LELAN ☼ Welcome to the new Age.

Tahiti est censé être un endroit paradisiaque. Et pourtant, pour els deux amoureux, depuis leur arrivée, cet endroit n’est pas de tout repos. Ils se sont fait remballer par les parents de Lela qui se disputent alors que les tourtereaux se câlinent dans le lit sans ambiguitë-pour une fois-. Je suis toujours prêt moi ! Dans ta chambre d’ado ? Vous m’offusquez mademoiselle Sullivan ! Elle rit joyeusement. Il y a bien longtemps que la future maman n’a plus rien d’innocent, preuve en est du bébé qu’elle attend. Elle a des pulsions constamment quand elle est avec l’homme qu’elle aime, encore plus sur un lit et en privé. C’est normal, à ses yeux. Finalement, Evan la décide à aller calmer le jeu entre ses parents et elle lui donne une peluche avec laquelle elle dort pour qu’il dorme avec son odeur. Merci… Mais y’a ton odeur partout ici tu sais. Elle lève les yeux au ciel. Je sais, mais perso, quand je dors dans mon lit sans toi, même si y a ton odeur, je préfère avoir quelque chose qui t’appartient. Elle lui fait un petit sourire et il prolonge avec passion son baiser, elle a presque envie de rester mais sort malgré tout les voir. Courage, ça va aller t’inquiète pas. Je t’aime aussi. Tu vas me manquer… Elle sourit tendrement et lui fait un signe de la main avant d’aller voir ses parents. Au final, elle rentre dans la chambre après quelques heures, en furie. Elle va réveiller Evan en le secouant doucement. Bébé, lèves toi, faut qu’on aille à l’hôtel, ils ne veulent pas de toi ici. Elle parle sèchement, dégoutée par ses géniteurs. Elle fait les valises, les larmes aux yeux, ses gestes sont saccadés et elle finit par éclater en sanglots, merci les hormones.

Elle va tenter d’arranger les choses avec ses parents. En effet, c’est mieux que de se tourner les pouces, même si elle doit avouer qu’elle resterait bien volontiers dans le lit avec Evan, à caresser ses cheveux bruns pendant qu’il dort paisiblement, tel un bébé. Lel adore regarder Evan dormir, l est si parfait avec ses traits apaisés, loin de toutes les inquiétudes de la vie. Mais elle n’en a pas pour longtemps, et après tout sera réglé. Cependant, quand elle revient, ce ‘est pas avec la réponse qu’elle escomptait que ses parents aient : elle doit partir avec Evan. Enfin, lui doit s’en aller le plus loin possible, son père a été très clair là-dessus. Lela… Elle n’en revient pas. Ils sont ses parents, elle a toujours tout fait pour qu’ils soit fiers d’elle, et c’est toujours elle la famine ingrate. Kaliska, elle en revanche, est la gamine parfaite. Elle explose en larmes à l’instant où Evan est prèss d’elle. Comment ils peuvent lui faire ça ? Comment ils peuvent oser vouloir lui enlever ce squ’elle a eu de meilleur dans toute sa vie ! Elle ne sait pas, elle ne comprend pas. Chut bébé… Ca va aller… Elle reste blottie contre lui, sentant son odeur rassurante. Écoute-moi, tu vas rester là. C’est moi qu’ils ne veulent pas, alors je vais aller à l’hôtel et on se voit demain, d’accord ? Ça leur laissera le temps de réfléchir. Elle se recule et le regarde, interloquée. Non ! Non, c’est nous trois ou rien.S’ils te rejettent, tu crois qu’ils vont vouloir de Nala ? Je pense pas, non. C’est nous trois ou rien, bébé. Elle le regarde de ses yeux bleus humides.

Ses parents les rejettent. L’un autant que l’autre. Lela ne comprend pas. Kaliska, mariée, est venue se taper son beau frère et elle est restée l’enfant modèle. Ça la dégoute. Evan veut qu’elle reste, qu’elle ne se dispute as avec ses parents. Mais elle ne eut pas s’en empêcher : ils l’indignent. Ils sont écœurant de els mettre à la porte pour une telle différence d’âge, c’est tellement quelque chose de pathétique, d’autant plus qu’elle attend leur bébé. Je sais, mais ils aimeront peut-être bien le bébé, tu sais pas. Mais je ne veux pas que tu te dispute avec ta famille à cause de moi. Tu ne les vois pas souvent, je ne veux pas gâcher ça… Elle les regarde et le fixe. Non, pas question, je viens. Je reste avec on amoureux qui parle pas un mot de français en dehors de Je t’aime. Elle li fait n air triste et se remet à ranger tout, prenant ensuite sa main. Il faudra bien qu’ils t’acceptent.

En cet istant précis, Lela maudit Kaliska. Elle ne comprend pas comment elle peut être la petite fille parfaite et idéale de ses parents pendant que la future maman accumule les errers et n’est qu’une parfait imbécile. Elle els déteste de leur faire ça, et elle déteste qu’Evan veuille s’avouer vaincu. Non,ils n’auront pas l’occasion de les séparer, elle en est certaine. J’espère… Pour Nala surtout. Elle rit malgré le dramatique de la situation. Tu l’as appelée Nala ! Elle fait un petit sourire en coin et se mordille la lèvre. C'est bon ? Oui, on y va. Elle sort et ignore ses parents, leurs vestes entre les mains. Ls quittent en claquant la porte, vant d’aller à l’hôtel où ils prennent une chambre. Lela s’étale sur le lit. Viens, il est génial ! Elle dit en riant.

Absolument personne ne veut d’eux par ici. Lela s’en montre blessée, mais elle époruve surtout une très grande rancune envers sa sœur aînée à cause de ses parents qui ne cessent de lui dire de prendre exemple sur elle. Si seulement ils savaient. S’ils savaient que Kali a trompé son mari avec son beau frère, ce ne serait plus elle le modèle. Elle ne supporte plus d’être comparée à sa grande sœur de la sorte : à présent, elle est enfin elle-même. Et elle ne changera pour rien au monde, elle ne sera pas une pâle copie de Kaliska Sullivan Brighton, il n’en est pas question. C’est donc énervée au plus haut point qu’elle quitte la demeure parentale, se moquant bien de ce qu’en pensent ses parents. Non mais… C’est ta faute ! Elle rit. Evan s’est enfin décidé à appeler sa fille par le prénom qu’elle a choisi. Ils vont à l’hôtel et prennent une chambre. Ouais c’est vrai ! Elle sourit timidement, allongée près de là où son petit ami est assis. Ça va ? Elle hoche la tête. Oui, je les maudit juste de me traîter comme la sale gosse pendant que l’ainée est une sainte à leurs yeux. Ca m’énerve. Et toi ? Elle lui demande avec un petit sourire. Allonge toi ! Elle le tire pour l’entraîner avec elle.

Ils se sont faits jeter. Jamais Lela n’aurait pu croire que ses parents se permettraient une telle chose. Certes, il était prévisible qu’ils soient un peu choqués par l’âge de son copain, mais quand même pas de là à se faire mettre à la porte. Elle ne leur pardonnera jamais et est encore plus en furie alors qu’elle a découvert le pot aux roses : ses parents la jugent comme la ratée, alors que Kaliska est l’enfant parfaite à qui on doit tout. Elle ne comprend franchement pas ça, c’est stupide comme raisonnement. Je suis désolé… On peut se sentir comme des moins que rien à deux si tu veux. Elle sourit tristement et hoche la tête. On a qu’a ffaire ça. Être des ratés à deux au milieu d’un monde de gens parfaits. Tant que c’est avec toi… Elle dit avant de l’embrasser tendrement. C’est toi la mieux mon bébé, t’inquiète pas. Elle rit doucement. Tant mieux. Elle se laisse câliner par son amoureux. On va faire quoi maintenant ? Elle réfléchit. Evan n’est jamais venu ici, et une réponse se présente comme une évidence. On a qu’à visiter, c’est superbe, tu verras… Elle lui chuchote en caressant sa joue.

Lela Sullivan voit bien qu’Evan est triste. Triste de ne pas avoir été accueilli aussi bien qu’ils l’espéraient par sa belle famille. De son côté, lela est en colère après son père d’avoir réussi à décider sa mère a faire quelque chose d’aussi affreux que de mettre sa propre fille à la porte. Enfil, c’est Evan qu’ils ont mit à la porte, mais ça revient à peu près totalement au même. Lela s’en montre tout autant blesée et Evan semble d’ailleurs ouloir l’en consoler alors qu’en vérité c’est lui qui doit être le plus dégoûté. Elle, elle est juste révoltée et a seulement envie de commettre des meurtres : la faute aux hormones. Ils sont allongés, l’un face à l’autre, et ils sont adorables. Je t’aime tu sais ? Peu importe ce qu’ils disent, c’est toi la femme de ma vie et c’est comme ça, que ça plaise ou non. On va avoir un merveilleux bébé et rien ne changera ça. Elle rit. Oui, le plus parfait des bébés… nala sera merveilleuse. Comme son père. elle sourit timidement en le regardant et prolonge tendrement son baiser. Elle ressemble à une adolescente, et pourtant, elle est devenue femme grâce à l’homme qu’elle aime. Oui pourquoi pas, je te fais confiance pour me montrer les plus beaux endroits. Elle caresse sa joue et passe un index sur les lèvres de l’homme. C’est un Paradis sur Terre, monsieur l’anglais, je suis certaine que tu vas adorer. Elle rit et se redresse ensuite,, allant se prendre un jus de mangue dans le mini frigo qu’ils ont eu.

Les parents de Lela ont vraiment exagéré. Elle ne comprend pas leurs réactions, parfois, et elle a l’impression d’être une gamine qui prend toujours la mauvvaise décision. Pourtant, Lela est heureuse avec Evan, elle attend leur bébé et ne voit pas le mal. Ses parents ne savent pas qu’Evan est marié, ni qu’elle couchait avec alors qu’il était son prof. Ni même qu’elle a perdu leur premier enfant. Et pourtant, ils se sont permis de le prendre de haut et de directement le juger sans même le connaître. Alors qu’Evan est le meilleur homme avec lequel elle ait jamais été, c’est assez clair ; ce n’est pas un drogué, ni un connard. Il est romantique, doux, patient et ils sont amoureux. Mais visiblement, ses parents ne voient que le mal, que le côté négatif de leur relation. Ils sont allongés l’un contre l’autre et essaient de se consoler en parlant de leur bébé qui va arriver, nala. Et belle comme sa maman… Lela rit doucement. Elle est certaine que leur fille sera parfaite, et elle est certaine que c’est une fille, d’ailleurs. Elle lui fait la promotion du lieu de vacances idéal qu’est Tahiti. Je te crois. Mais le paradis c’est juste d’être avec toi tu sais. Elle sourit alors timidement et passe lentement le doigt sur ses lèvres, appréciant de sentir les frissons d’Evan contre ses doigts. Finalement, elle se lève et va se servir à borie. On fait quoi alors maintenant ? Sullivan lui lance un petit regard en coin, finit son verre et revient poser ses fesses près de celles de son amoureux. On passe l’après midi à s’entraîner pour notre prochain enfant et aprèm au lit, ça te dit ? Elle lui demande avec un sourire en coin, se laissant tomber en riant.