If you need love, well then ask for love. {Kat & Riley} (terminé)

J'adorais vraiment la sentir aussi tendre et câline dès le matin. C'était vraiment trop agréable, je ne pouvais le nier. Et évidemment que je profitais un peu de tout ça. Que je profitais autant que possible de cette tendresse qu'elle semblait avoir à revendre dès le réveil. Bien sûr que si t'en joues ! Tu sais très bien que, faible homme que je suis, je vais forcément craquer ! Rétorquai-je avec amusement. Je me redressai finalement, pris le temps de tirer la couette sur elle pour qu'elle n'ait plus froid, et rejoignis la cuisine pour nous préparer du café. A mon retour près d'elle, je pris naturellement place contre elle, mon dos contre son torse. Elle était vraiment toute douce, maintenant en caressant mes cheveux de sa main et en venant même déposer un baiser sur ma tempe. Bon sang ce que ça pouvait être agréable tout ça quand même ! Je ne voulais plus me détacher d'elle ! Ainsi, quand elle disparu dans la salle de bain, je ne pu m'empêcher de la rejoindre. J'étais bien conscient que c'était toujours elle qui était aux commandes des initiatives entre nous. C'était toujours elle qui venait vers moi et rarement l'inverse. Mais maintenant que j'étais un peu plus détendu en sa compagnie, je m'en sentais la force. Et elle ne se fit pas prier pour me faire comprendre que j'étais le bienvenue, une fois que je fus dans la cabine de douche avec elle. L'appel de la sirène a été plus fort que moi ... J'embrassais et mordillais la peau de son cou et profitais d'avoir le visage dissimulé là, pour lui proposer qu'on termine le week end ensemble. En la sentant se figer, j'eus un doute et rougis comme pas possible. Ma proposition était si déplaisante que ça ? Heureusement qu'elle prit rapidement la parole. Là encore, le début de ses propos était inquiétant.

Mais comme elle me fit lui tourner rapidement le dos, je compris sans mal que c'était une connerie qu'elle s'apprêtait à me dire. A ses paroles, j'eus envie de rire tant c'était particulièrement drôle. Mais j'étais trop troublé par ses lèvres sur mon dos et ses doigts sur mon tatouage d'aigle, pour parvenir à rire. Je me contentais de fermer les yeux pour apprécier toutes les sensations qu'elle parvenait à me procurer si facilement. C'est vrai, tu ne lui rends pas souvent visite ... Commentai-je avec un petit sourire amusé. Je fermai les yeux quand elle déposa un baiser sur ma joue. Peu importe ... On peut rester ici pour ne pas avoir à sortir tout de suite. Ou on peut rentrer chez toi si tu préfères profiter du confort de ta grande maison... Je n'eus pas le temps de réaliser ce qu'elle s'apprêtait à faire quand elle descendit dans mon dos. Et quand elle me mordit une fesse, je laissai échapper un franc hoquet de surprise. Avant de rire de bon coeur. C'est pour toutes les fois où j'ai mordu tes seins ? Demandai-je avec amusement. Dire que je me retenais de mordre carrément ses fesses ! En même temps, l'occasion ne s'était jamais vraiment présentée. On ne prenait jamais vraiment la peine d'avoir des préliminaires et quand ses fesses étaient devant moi ... C'est parce que je la prenais en levrette. Et dans ces moments là, soit j'empoignais fort ses fesses, soit ses hanches, soit parfois même une épaule. Mais ma bouche était loin de son adorable postérieur en tout cas ! J'étais de nouveau pleinement détendu tandis que ses mains s'occupaient de me laver avec douceur.

Une fois qu'elle eut fini dans mon dos, je lui fis face pour qu'elle termine. Je pris ensuite le relais pour m'occuper de son corps. Je pris évidemment tout mon temps pour bien profiter de la caresser et la masser. J'aimais trop son corps pour ne pas en profiter ! Tout ça était vraiment trop érotique et trop excitant. Je reculai le bassin quand je lui fis tourner le dos pour m'occuper tendrement de ses cheveux, histoire qu'elle ne réalise pas l'effet qu'elle avait -encore- sur moi. Est-ce que c'était un truc qui allait s'estomper à un moment donné ? Je commençais vraiment à en douter ! Je finis par jurer doucement et ajouter un "tant pis" avant de la faire se tourner pour me faire de nouveau face. Je l'embrassais avec insistance, sans pour autant me montrer vraiment bestiale cette fois. Et l'attrapai par les hanches pour la soulever de terre. Quelques secondes plus tard à peine, je fondais en elle. C'était la première fois que je le faisais dans la douche. Je n'avais pas trop envie de le lui avouer. Même si elle devait maintenant se douter qu'il y avait beaucoup de premières que je faisais avec elle. Et cette première là était évidemment divine. Là encore, je pris le temps de faire grimper la tension. D'abord lent et tendre. Et bientôt, passionné et presque bestial comme nous l'aimions tant. Je gardais quand même une main à l'arrière de son crâne pour lui éviter de se cogner. J'étais toujours aussi prévenant. Enfin, je ne l'étais pas autant au début quand même. Quand nos rapports nous faisaient autant de mal que de bien. Ca allait certainement revenir d'ailleurs. Mais pour l'instant, une certaine tendresse subsistait entre nous. Entre râles et cris de plaisir, nous finîmes encore une fois sans dessus dessous. Et j'affichais un sourire aussi innocent que possible, quand je la reposai à terre, pas peu fier de ce que nous venions de vivre. Je déposai un baiser sur ses lèves avant de quitter la petite cabine de douche et attrapai une serviette que j'avais ramené pour elle et l'enroulai autour d'elle avant d'attraper la mienne.


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Comme si elle avait vraiment besoin de ce fameux chant de sirène, pour que j'accours. Elle me rendait dingue. Depuis le début, elle me faisait un effet fou. Et ce n'était pas du tout en passe de changer, pour sûr. Le simple fait que tu sois là, m'attire dans tes bras ... Lui soufflai-je d'une voix douce. Et je n'avais vraiment plus du tout envie de m'en éloigner. J'étais franchement trop bien comme ça, tout contre elle. C'est justement pour ça que je ne pouvais me faire à l'idée de m'en séparer aussi rapidement que prévu, dès la sortie de la douche. Je proposai donc qu'on passe le reste du week end ensemble. Elle accepta en émettant l'idée que je passe ensuite la nuit chez elle. Je ne pu m'empêcher de sourire de toutes mes dents à cette idée. Ouais, carrément que je le voulais ça ! Ca me va ! Lui répondis-je sans hésiter. Quelle question ! Moi, tant qu'on restait le plus longtemps possible ensemble, ça m'allait complètement. Nous prîmes notre douche sans plus parler, s'occupant de l'autre avec une certaine douceur. Jusqu'à ce que le désir soit trop fort et que je la soulève de terre pour me plonger en elle, sans prévenir. Vu sa réaction, ça ne lui déplaisait pas. Et je ne me fis pas prier pour aller et venir en elle de plus en plus vite et de plus en plus fort. Jusqu'à ce qu'on soit encore ravagés par un sacré orgasme commun. Le sexe était vraiment divin avec elle. Je m'en faisais la réflexion à tous les coups !

Quand je te prends par surprise ? Demandai-je avec un petit sourire en coin. Ouais moi aussi j'avais bien aimé faire ça. Et j'avais adoré sa réaction, pour sûr. Alors oui, ce serait avec grand plaisir que je remettrais ça à l'occas ! Pour l'heure, il fallait surtout qu'on pense à quitter la douche. Ce que nous fîmes sans tarder. Et avant de m'occuper de moi, je m'occupai d'elle en plaçant une serviette autour de son corps trempé. J'aime vraiment m'occuper de vous miss Van Der Statten ! Lui répondis-je sur un ton joueur, sans me départir de mon sourire. Une fois sec, j'enfilai un boxer et un pantalon, avant de sourire quand je la sentis s'installer dans mon dos et me prendre dans ses bras. Ouais ... C'est pas comme si on s'ennuyait ensemble de toute façon ... remarquai-je avec un petit sourire amusé. On trouvait toujours comment s'occuper, ça c'était certain. Mais pour l'instant, elle avait surtout envie de décortiquer mes tatouages, comme elle le dit elle même. Je la suivis sans rechigner jusque sur le lit et la laissai prendre place sur moi. Elle ne me laissa pas le temps de lui répondre, qu'elle flanquait directement sa langue dans ma bouche. Je grognai doucement et glissai une main sur sa nuque pour lui répondre avec autant d'insistance et de fougue. Quand elle se recula un peu, je pris le temps de reprendre mon souffle avant de prendre la parole. "Tapas" en Sanskrit. Demande pas pourquoi ... Ricanai-je en plissant un peu le nez. Parce qu'il n'y avait pas de raison amusante ou même intéressante. Comme c'était le cas pour la plupart de mes tatouages d'ailleurs.

Nous fûmes interrompus par la sonnette de la porte d'entrée. Je sursautai et mis un moment avant de réagir. Contrairement à Kat qui s'était déjà réfugiée dans la salle de bains. Enfin je me levai pour aller ouvrir. Je piquai un fard quand je fis face à ma collègue qui me complimenta tout naturellement sur mon torse. Putain ! Ca c'était vraiment gênant ! Je rougis et croisai les bras sur mon torse pour tenter de me cacher. J'aurais bien enfilé mon tee shirt, mais je ne l'avais pas là. Je gardais donc les bras croisés et attendis qu'elle parte, sans oser la foutre carrément à la porte. Ce n'était pas mon genre du tout ça. Je me forçais à lui répondre alors qu'elle me parlait. J'essayais d'être aussi poli que possible, comme toujours. Mais quand elle fila droit vers la salle de bain, j'insistai pour qu'elle n'y aille pas. En vain. Elle ouvrit la porte et tomba nez à nez avec Kat. Je grommelai dans ma barbe et posai mes mains sur mon visage. Je fus gêné de voir Kataryna débarquer, en sous vêtements. Comme si c'était tout à fait normal. Elle s'approcha de moi et attrapa l'un des gâteaux de ma collègue, pour mordre dedans. Après quoi, elle m'embrassa avec le plus grand naturel. Bien que surpris, je lui répondis et glissai une main sur sa taille. Ma collègue sembla gênée par la scène et s'éclipsa aussi vite que possible. Je m'en foutais pas mal. Je n'avais d'yeux que pour Kat. Elle était jalouse ? C'était l'impression qu'elle me donnait. Et je trouvais ça ... Super excitant ! Ca fait un bout de temps qu'elle me court après ... J'ai accepté de boire un verre avec elle une fois. Je pensais qu'elle comprendrait qu'elle ne me plait pas ... Avouai-je sans la quitter des yeux. Un petit sourire fini par se dessiner sur mes lèvres. Je pense que ta petite intervention l'a calmé ... Ajoutai-je avec amusement. Non, je ne lui en voulais pas le moins du monde !


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Plus on passait de temps ensemble et plus j'en voulais sérieusement. J'étais beaucoup trop bien en sa compagnie et je doutais de pouvoir me lasser d'elle. En fait, il était tout à fait évident qu'elle allait se lasser de moi avant moi ! Et ça me foutait les boules de penser à ça. Alors j'essayais de chasser ces sombres pensées de mon esprit. C'était nettement mieux ainsi ! Et puis je préférais encore parler cul avec elle tiens ... Je crois que je m'en étais rendu compte, que t'aimes quand je te prends, ouais ... Ricanai-je doucement. En effet, nous n'allions pas nous ennuyer de la journée, de la soirée et de la nuit, vu comme nous passions notre temps tous les deux. On s'entendait tellement bien sur le plan sexuel -entre autres- ! On était d'ailleurs tranquillement installés ensemble, quand débarqua ma collègue qui, pour ne pas changer, me fit un rentre dedans franchement chiant. Chiant dans le sens où je pensais lui avoir déjà bien fais comprendre que je n'étais pas intéressé par elle. C'était vain apparemment. Puisqu'elle était encore là. Mais avec la petite intervention de Kataryna devrait pouvoir la calmer. Elle allait sans doute s'imaginer que j'étais en couple avec elle. C'était assez ! Pas besoin qu'elle connaisse toute la vérité.

Je fronçai un peu les sourcils à la réaction de la jeune femme quand nous ne fûmes de nouveau plus que nous deux. Oui j'étais allé boire un verre avec elle. Ca faisait un moment maintenant. Elle semblait ne pas trop apprécier cette idée. Ce que je ne comprenais pas. C'était carrément de la jalousie là, non ? On dirait bien en tout cas. Elle est mignonne et gentille, ouais ... Mais un peu ennuyeuse ... Et j'ai ... Pas franchement envie d'un sosie d'Hannah ... Avouai-je doucement. Non, vraiment aucune envie ! Comment ça j'ai jamais bu un verre avec toi ? On est parti sur un genre de relation ... Totalement différent ... Et aux dernières nouvelles, je ne pense pas avoir le droit de m'afficher avec toi ... Lui fis-je remarquer, en espérant également lui faire entendre que tout ça, ça tenait surtout à elle. Ce n'était pas moi qui allais l'obliger à faire quoi que ce soit. Mais si c'était mon choix, il était évident que notre relation serait pas mal différente pour le coup ! Heeey ! Ne fais pas l'enfant ! J'attrapai un cupcake à mon tour et du lui courir après pour l'avoir. Evidemment, elle n'allait pas juste se laisser faire tiens ! Mon studio étant vraiment tout petit, je n'eus aucun mal à l'attraper. Je la fis basculer sur mon lit et lui couvrit le visage de crème, en m'installant à califourchon sur elle. Je n'étais pas peu fier de mon oeuvre !


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Je fis mine d'être surpris quand elle me "rappela" que moi aussi j'aimais "ça". A savoir le fait de la prendre. Evidemment que j'aimais ça. Non, j'adorais ça ! J'étais fan. Ca me rendait dingue. Le pied ! C'était le pied à tous les coups ! Mais je faisais mine d'être surpris par son affirmation. Ah bon ? C'est vrai ? J'ai dis ça moi ? C'est fou comme j'étais en train de changer en sa compagnie. Certainement parce que j'étais de plus en plus à l'aise avec elle. Et ce n'était pas pour me déplaire. Ca faisait beaucoup de bien de pouvoir me lâcher un peu. De pouvoir profiter aussi longtemps que ça durerait ! Même si je craignais un peu qu'elle ne finisse par me remettre à ma place à un moment donné. Parce que j'étais certain que ça allait finir par arriver. Après une visite très rapide de ma collègue qui me courait après depuis trop longtemps à mon goût, je parlai d'elle d'une façon assez négative. Ca non plus ce n'était pas mon genre du tout. Mais étrangement, j'avais la sensation que Kataryna avait besoin d'être rassurée sur le fait que, non, je n'étais pas intéressé par cette nana avec laquelle je bossais. C'était sans doute con de ma part de penser qu'elle avait besoin de ça. Mais je préférais prévenir plutôt que guérir ! Ouais ... Elle a passé toute la soirée d'hier à me parler de son chien qui est très malade. Je crois qu'elle attendait de la compassion de ma part ... J'avais surtout envie de lui conseiller de le faire piquer !

Oh mon Dieu ! Je venais vraiment de dire ça ? J'écarquillai les yeux, moi même surpris par mes propos. Oh putain ... Oublie ce que je viens de dire. Parce que oui, je le regrettais vraiment. C'était Kat qui avait vraiment une mauvaise influence sur moi, sans déconner ! A tel point, que lorsqu'elle eut un geste tout bonnement enfantin, je lui rendis la pareille en bien pire encore. Puisque je la fis basculer sur le lit pour lui foutre de la crème de partout sur le visage. Me massacrer comment ? En me mordant l'autre fesse ? Ricanai-je de bon coeur. L'idée n'était pas si déplaisante que ça non plus. Bon, un peu bizarre quand même. Parce que ce n'était pas un geste habituel. Mais pas horrible pour autant ! Deux trois boutons, c'est pas ce qui va ruiner un si joli visage, t'en fais pas ... Je me penchai pour donner un petit coup de langue sur sa joue et y retirer un peu de la crème qui y était étalée. Je marmonnai dans ma barbe quand elle appela ma collègue "ma minette". Pff. Ce n'était pas ma minette. Pas du tout. Juste une collègue. Intéressée par moi, soit. Hm. Bonne à marier apparemment ... Commentai-je en plissant un peu les paupières pour la regarder. Je cuisine très bien. J'ai pas besoin d'une nana qui soit douée pour ça !


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Non, je n'avais jamais très clairement dis que j'adorais coucher avec elle. Mais comme elle me le fit remarquer après un baiser claquant sur mes lèvres, je n'avais pas besoin de le dire d'une façon bien claire. Parce que je ne faisais que le démontrer encore et encore. Ouais, j'adorais qu'on couche ensemble et je ne m'en lassais vraiment pas ! Malgré tout, je ne pu m'empêcher de rougir un peu lorsqu'elle mentionna mes démonstrations de plaisir. Pourtant, j'assumais le fait de prendre autant mon pied avec elle ! Je grogne ? M'étonnai-je quand même, en rougissant de plus bel. A vrai dire, je n'étais pas du tout conscient de ce que je faisais dans ces moments là. Même si je me doutais bien que je devais faire autant de bruit qu'elle même en faisait de son côté. Ca ne me gênait pas. J'étais juste surpris d'apprendre que je grognais, carrément. Comme ... Comme un animal en fait ! Et à vrai dire, c'était un peu ce que nous étions quand on baisait, purement et simplement. Un peu plus tard, après une visite surprise de ma collègue, elle resta notre sujet de conversation pendant un petit moment. J'avouai à Kat qu'elle n'était pas du tout mon genre et que je la trouvais super ennuyeuse par dessus le marché. Mais je n'avais pas prévu de dire autant d'horreurs et je regrettai mes mots aussi rapidement. Je suis pas comme ça ... Lui fis-je remarquer, avant qu'elle ne rétorque que non, elle n'allait pas oublier ce que je venais de dire. C'est pas être franc et direct là .C'est être méchant gratuitement. Enfin, de mon point de vu. J'étais quelqu'un de trop poli et trop gentil, pour ne pas prêter une oreille attentive à qui venait vers moi pour se confier. Même si c'était sur des sujets dénués de tout intérêt !

Comme deux véritables gamins, nous finîmes par nous amuser avec la nourriture. C'était pourtant un truc que je détestais en temps normal. Mais là je n'y pensais pas vraiment et prenais plaisir à tartiner son visage de crème. Le dévorer, carrément ? Tu sais que tu deviens carrément flippante là ? Ricanai-je avec une petite moue. Oui je trouvais vraiment que c'était flippant maintenant. Elle ne faisait quand même pas une fixette sur mes fesses, en plus d'en faire une sur mon torse ? L'idée du mariage ne me déplaît pas du tout ... mais je ne veux pas me marier pour dire de me marier, avec la première venue ... Lui appris-je quand même au passage. Ce n'était pas parce que j'approchais dangereusement des trente ans, que je devais me précipiter. Je voulais me marier un jour, oui. Mais je voulais surtout que ce soit avec la bonne ! Je déposai un petit baiser sur ses lèvres avant qu'elle ne s'éclipse pour aller se laver le visage. Elle prit un temps fou et je commençais un peu à m'inquiéter, quand elle fini par revenir. Elle avait le sourire aux lèvres et le visage tout propre. Je ne m'en faisais donc plus maintenant. Qu'est-ce que tu veux manger ? Lui demandai-je avec un petit sourire, avant de rire sans pouvoir m'en empêcher quand elle mentionna encore une fois ma collègue. Elle a un gros cul ? J'ai jamais fais attention ... Ce n'était pas un mensonge du tout. Je n'étais pas trop du genre à mater. Sauf quand j'étais avec d'autres mecs en fait. Effet de groupe sans doute ! Je ne matais vraiment que quand j'étais intéressé. Alors autant dire que depuis quelques mois, j'avais bien du mal à détourner le regard de Kataryna. Une meat Pie, ça te dit ? Lui proposai-je en rejoignant la cuisine. Une fois là, je sorti tous les ingrédients et commençai la préparation.


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Heureusement qu'après m'avoir imité, elle m'assura qu'elle adorait quand je faisais ça. Parce que vu les bruits qu'elle était en train de faire qui ressemblaient vraiment à des râles et des grognements d'animal en rut, j'aurais eus comme un doute quand même ! C'était super effrayant. Oh mon Dieu je m'en rends vraiment pas compte ... Ca c'est parce que tu me rends complètement dingue ! Ce n'était pas du tout un reproche bien entendu. Et puis c'était juste un fait que je pensais avoir déjà prouvé à maintes reprises, justement au cours de nos étreintes des plus mouvementées. Elle me rendait fou et j'étais juste incapable de prendre sur moi pour ne pas le lui montrer. C'était toujours tellement bon en même temps ! Ce sujet de conversation, bien que fort intéressant dans le fond, fut remplacé par un tout autre quand ma collègue fit un passage éclair chez moi. Maintenant, je culpabilisais d'avoir eus des pensées vraiment méchantes à son encontre. Kat assurait que j'étais en droit de dire ce que je pensais. Moi je ne trouvais pas. Je ne voulais pas être méchant. Même avec Kataryna, du temps où elle était une vraie peste à mon encontre, je n'étais jamais mauvais. Pourtant, y'avait pas mal de moments où elle l'aurait largement mérité quand même ! Et j'étais certain qu'elle en était elle même consciente ! Peut-être ... Mais ça lui aurait fait du mal ... Je n'aime pas blesser les gens ... Surtout Kataryna elle même d'ailleurs. Mais je ne pouvais pas le lui avouer.

Ouais ... Ouais je crois que j'aime bien la garce en toi. A petite dose quand même ... Mais je dois être maso parce que parfois tes piques m'énervent et m'excitent en même temps. C'était surtout le cas depuis cette fameuse première fois où on s'était dessus au cours d'une violente dispute. Ouais, ses paroles assassines avaient fini par me faire perdre les pédales. Et c'était bien pour cette raison que nous nous étions sauté dessus comme ça. Comme si c'était tout à fait logique, nous parlâmes ensuite mariage. Sans honte, j'avouai que j'avais bien pour projet de me marier un jour. Ouais ... Bien sûr. C'est mon genre à moi ... Contrairement à elle qui venait de m'affirmer que ce n'était pas du tout son genre. En même temps, ça ne m'étonnait pas du tout. Mais tu rencontreras peut-être celui qui te feras changer d'avis. Lui fis-je remarquer avec un petit sourire. Ce serait drôle ça, de la voir changer d'avis parce qu'elle était folle amoureuse et persuadée qu'elle avait trouvé l'homme de sa vie. Mais ok, cette pensée c'était un véritable pincement au coeur ! Dans la cuisine, j'entrepris de nous préparer une tarte à la viande puisqu'elle semblait avoir besoin de preuves comme quoi je savais vraiment cuisiner. Je venais tout juste de commencer, quand elle s'empara d'une carotte. Sur le coup, je ne réagis pas. Je ne levai les yeux que quand elle m'interpella. Et là, je me figeai en la trouvant avec la carotte dans la bouche.

Sans me quitter des yeux, elle mima une fellation des plus sensuelles. Oh. Putain. J'ouvris grand les yeux et tous mes muscles se crispèrent. Elle continuait de faire aller et venir le légume entre ses lèvres et j'avais presque la sensation que sa bouche était plutôt ... Sur moi ... sur ... Oh bon sang. Je jurai et fermai les yeux, me penchant en avant pour poser mes mains à plat sur la table devant moi. On ne m'avait jamais ... Provoqué comme ça. C'était ... Putain c'était carrément bandant. Et le mot était faible ! Je pris de longues et lentes inspirations pour tenter de canaliser mon désir. Et eus un petit ricanement à ses mots alors qu'elle comparait mon membre à des légumes ... pour le moins volumineux. C'est normal que ça me fasse autant d'effet ? Marmonnai-je doucement. Ok, j'étais sans doute bien naïf. Mais maintenant elle savait que j'avais peu d'expérience. Et puis bon sang, j'avais découvert seulement la veille ce que c'était que de se faire ... Hm ... Eh bien sucer quoi ! Je poussai un petit soupir et me redressai pour terminer la tarte que je mis ensuite au four. Je la suivis alors qu'elle filait en direction de mon lit, de nouveau. Je sais pas ce que tu veux savoir de plus sur moi ... Ce que je fais de mes journées ? Mes passions ? Mes passes temps ? Ce que je regarde en premier chez une fille ? Tu veux en savoir plus sur mon passé ?


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Non en effet, elle n'était pas du tout silencieuse de son côté. A vrai dire, on faisait sans doute autant de bruit l'un que l'autre. sauf qu'elle, elle ne grognait pas vraiment. Du moins, pas la plupart du temps ! En général, ça tenait plus du gémissement. Parfois, carrément des cris. Et j'adorais ça. Parce que j'aimais carrément lui procurer un maximum de plaisir. En même temps, c'était bien le but de tout ça ! Notre relation était supposée n'être basée que sur le plan sexuel depuis le début. Même si j'étais fou d'elle. Comment ne pas être dingue de cette nana, une fois qu'on la connaissait, hein ? Tout simplement impossible, de mon point de vu ! N'empêche que parler mariage avec elle, ça avait le don de me troubler pas mal ! Et elle m'apprit alors qu'elle n'avait rien contre le mariage. mais qu'elle pensait que jamais un gars n'aurait envie de l'épouser elle. J'étais encore une fois choqué de la voir douter à ce point d'elle. Je commençais à peine à me faire à l'idée qu'elle n'était pas si sûre d'elle que ça ! Qu'est-ce que tu racontes ? Tu es sans doute juste trop jeune pour ça. Un jour tu commenceras à te poser, à faire un peu moins la fête et tout ça et tu rencontreras un type qui voudra t'épouser. Il faudra sans doute que t'évites de choisir juste des cons aussi, au passage ... Je la taquinais un peu sur ce dernier détail. Parce que oui, elle était du genre à ne choisir que des cons, malheureusement ...

Une fois en cuisine alors que j'étais en train de lui préparer un truc à manger, elle fit un truc qui me fit perdre tous mes moyens. J'étais vraiment dans tous mes états. Cinq secondes de plus et j'aurais été incapable de contenir mon désir qui aurait été alors des plus flagrants. Et je l'aurais même fais basculer sur la table, sans doute ! C'est toi qui me fais cet effet ! T'es ... Carrément hot ! Et je n'étais pas contre le fait qu'elle se joue encore de moi de la sorte à l'avenir. Même si c'était assez douloureux également au passage. Douloureusement bon, ça me convenait parfaitement ! Je découvrais vraiment des tas de trucs totalement dingues en sa compagnie. C'était juste parfait ! Une fois la tarte dans le four, nous nous installâmes de nouveau dans le lit. Cette fois ci, pour discuter tout à fait sérieusement. J'aimais bien faire ça aussi ! Même si ce n'était pas supposé faire partie de notre relation particulière. Le sourire et le regard. Jamais l'un sans l'autre. C'était bien ainsi que je m'étais rendu compte que ses sourires à elle, étaient souvent forcés. Si elle avait bonne mémoire, elle allait se rappeler de ça ! Et toi chez les hommes ? Tu regardes les fesses en premier ? Je ris de bon coeur à ma propre connerie. Mais franchement, ça ne devait pas être bien loin de la vérité ! J'aime les filles naturelles. Une nana qui en fait des caisses avec trois couches de fond de teint, ça me rebute complètement. C'est le genre qui fait peur une fois démaquillée. Et ça m'intéresse pas du tout. Lui répondis-je sans l'ombre d'une hésitation. Pour le caractère ... J'aime les filles intéressées par ce qui les entoure. Qui ne se contentent pas de rester campées sur leurs acquis et ce qu'elles savent déjà. Et j'aime pas les filles qui qui parlent pour rien dire ...


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