Que de choses étranges... ¤ Gabriel

Invité

Tandis que le micro-ondes faisait son travail, je pouvais plonger mon regarder dans celui de Gabriel. C'était la première fois que je pouvais le voir ainsi et autant dire que son visage était magnifique, rempli de douceur et de charme.

-Tout sera pour toi ! C'est moi qui les ai faites alors je ne suis pas certaines que tu aimes !

Je ne pus retenir un petit rire avant de lui répondre.

-Je suis une gamine par rapport à toi, j'ai 24 ans.

Invité

- Tout ça ? ça fait beaucoup, tu est sure ? Oh, arrête, je suis sur qu’elles sont très bonnes.

Je ris légèrement, à sa remarque.

- Une gamine ? mais non.. Du tout

Je lui souris, sincèrement, tandis que j'entendis enfin le "ting" du micro-onde retentir. j''avais la conviction qu'elle était bonne en cuisine, alors je salivais d'avance face a son plat maison.

Invité

En plus d'être physiquement très avantagé, Gabriel avait tout l'air d'être adorable. Rien que pour cela j'étais contente de pouvoir lui faire plaisir. Dès que le plat était chaud, je le sortis et le mis devant lui avec des couverts.

-Et voilà pour Monsieur ! Il y a bien meilleur je suis sûre !

Invité

Lorsqu'elle me tendit l'assiette, je souris, salivant d'avance, ça avait l'air délicieux. Attrapant des couverts, je m'empressais de gouter. C'était très bien.

- C'est très bon.

Je continuais alors a manger, tranquillement.

Invité

Je regardai mon invité manger et reçus son compliment avec un sourire. Il était le premier à se retrouver à ma table alors j'étais ravie qu'il soit satisfait !

-J'aurais su que j'avais un invité, j'aurais fait plus d'efforts !

Invité

Je prenais plaisir à manger ce plat, très bien préparer. Pour me rattraper, et pour le dérangement, je lui ferait préparerais un petit repas, un de ces jours. Je la regadait, pas dans les yeux bien sur, j'avais du mal avec ça.

- Tu est douée.

Je continuais alors a manger, jusqu'à finir l'assiette.

Invité

Malgré les compliments de Gabriel, je n'étais pas encore prête à envisager l'ouverture d'un restaurant, loin de là ! En tous les cas, le voir à l'aise et sourire me ravissait, lorsque je le croisais dans les alentours, il n'était jamais joyeux.

-Merci ! A moins que ce soit toi qui n'es pas difficile !

Je lui fis un petit clin d'oeil, continuant de le regarder.

-Tu veux autre chose ?

Invité

Continuant de manger, je finit par terminer mon assiette. J'étais satisfait, et cela me redonnais presque du baume au cœur.

- Non, je te remercie, sa ira.

Je souri alors gentiment, et me levait, pour aller laver ma vaiselle.

Invité

Je souris à la réponse de Gabriel avant d'attraper maladroitement l'assiette, prenant ses mains dans les miennes pour l'arrêter dans son geste.

-Laisse, la machine va faire la tête si tu lui piques son boulot !

Invité

Alors que je me dirigeais vers le lavabo, elle attrapa mon assiette, et mes mains, par la même occasion. Ce contact me troubla, au plus haut point. Cela me pétrifia même. Mon sang ne fit qu'un tour, mon coeur s’accéléra, tambourinant dans ma poitrine.

Invité

Je ne me rendis pas tout de suite compte de la réaction de Gabriel. Je mis rapidement la vaisselle dans la machine et la mis en route avant de me retourner vers lui. En voyant son visage, je m'approchai de lui et pris sa main dans la mienne.

-Quelque chose ne va pas ?

Invité

Gabriel H. Illyghan a écrit:: J'étais hypnotisé. Pétrifié. Je ne savais plus quoi penser mon corps ne me répondais plus. Je crois que la réponse était clair. Je faisais une crise, une foutue crise, encore... Mon souffle était court. Tout ça a cause de mes reins foutu... Cette maladie est une plaie

Invité

A y regarder de plus près, je me rendis compte que Gabriel avait un problème. Tout en gardant ses mains dans les miennes, je tirai une chaise et le fis s'y asseoir avant de me mettre face à lui.

-Qu'est-ce qui se passe Gabriel ? Qu'est-ce que tu as ?

Invité

J'étais tremblant comme une feuille, et je ressentait comme une vague de douleur en moi, qui oscillait, telle la mer. Une mer agitée et effroyable. Quand elle me fit assoir, me me recroquevillait sur moi même, comme si mon dos allait explosé.

- Mes... mes reins, j'ai...

Je ne pus finir ma phrase.

Invité

Ca me faisait mal au coeur de voir Gabriel dans cet état, lui qui était si heureux quelques instants plus tôt... Avant qu'il ne me précise d'où venait le problème, je ne savais vraiment pas quoi faire. Et même avec sa précision j'étais incertaine ne sachant pas quel était vraiment le problème. J'eus malgré tout le réflexe d'aller rapidement dans ma réserve et de ramener de la morphine que je lui tendis avec un verre d'eau.

-Tiens. Je ne te garantis pas d'effet miracle mais ça devrait t'apaiser un peu.

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