Soirée endiablée - Constanze & Kol.

Il était dix-huit heure quand Constanze termina sa journée de travail à la clinique vétérinaire. La belle blonde sortit de la clinique et salua ses collègues, souriant doucement. Constanze adorait travailler ici. Elle s'entendait bien avec tout le monde et elle travaillait avec des animaux, que demandez de plus? La belle blonde embarqua dans sa voiture noire et roula jusqu'à chez elle, regardant droit devant elle. La jeune Allemande adorait Bowen. Cela ne ressemblait pas à Berlin, sa ville natale, mais c'était justement cela qui lui plaisait bien. La jeune femme continua de rouler quelques minutes avant d'arriver chez elle. Constanze débarqua et entra dans sa maison. Son chien et son chat vinrent vers elle, ce qui la fit sourire. C'était ses deux amours. Elle était heureuse de les avoir dans sa vie. La belle blonde leur donna à manger et elle décida de prendre une douche chaude. Elle avait envie de sortir, alors elle devait se laver. La jeune femme resta de longues minutes, profitant de ce moment de détente. Constanze sortit par la suite et se sécha. Elle enfila une robe moulante noir et des talons hauts rouges. Elle se maquilla légèrement et lissa ses cheveux, se regardant ensuite dans le miroir. Elle pouvait donc attendre encore quelques heures avant de sortir. Avant tout, elle devait manger.

[...]

À vingt-trois heure, Constanze arriva à la boîte de nuit. Il y avait déjà beaucoup de personnes, comme à l'habitude. Elle alla au bar et commanda une vodka. Elle la but et alla ensuite sur la piste de danse, se mettant à danser. La jeune femme savait qu'elle pouvait se faire draguer par n'importe qui, mais il y avait un seul homme par qui elle voulait se faire draguer. Cet homme pouvait être un vrai con, mais la jeune femme était très attachée à lui, qu'elle le veuille ou non. Il était seulement trop con pour s'en rendre compte. La belle blonde continue de danser quelques minutes, quand elle sentit des mains se poser sur ses hanches. Constanze se retourna et vit alors Kol, cet homme. Elle se mordilla la lèvre inférieure, le regardant dans les yeux. Leurs contacts étaient toujours très intenses, même quand ils ne se touchaient pas. La jeune femme se mis alors à danser contre lui.

« J'espérais que tu viendrais. »

La jeune femme mis ses mains sur le torse musclé de Kol, continuant de danser. La belle blonde ne pouvait pas s'empêcher d'être une vraie dragueuse avec Kol. C'était ainsi.

« Oui je sais bien, mais je n'avais pas envie de paraître dépendante, alors que je ne le suis pas. »

Constanze a remarqué ce bel homme, dès qu'il est entré dans la clinique vétérinaire dans laquelle elle travaillait depuis deux ans. La jeune femme était tombée sur le charme et, depuis, ils se voyaient de temps en temps. L'Allemande était véritablement attirée par ce bel Anglais charmant et séduisant, mais il avait ce côté dragueur qui l'énervait plus que tout, mais elle ne disait rien. Elle voulait bien s'entendre avec cet homme. Constanze savait aussi qu'il avait une fille qui était adorable. La belle blonde le regarda dans les yeux, souriant. Il avait ce regard qui la faisait craquer plus que n'importe qui. La jeune femme adorait sa présence, son sourire, son regard, ses lèvres, son corps, ses tatouages... tout chez Kol la rendait folle et il en avait conscience. La jeune femme continua de danser près du brun, venant l'embrasser délicatement dans le cou. Elle pouvait sentir la bonne odeur de cet homme qui la rendait folle.

« Tu es très beau ce soir. »

Elle sourit contre le cou de Kol, venant l'embrasser encore quelques secondes avant de le regarder à nouveau dans les yeux. Elle avait un regard malicieux et plein de plaisir, mais elle voulait que ça continue longtemps. Elle continua de danser, souriant doucement. La jeune femme voyait bien les femmes qui n'arrêtaient pas de mâter Kol et cela rendait Constanze folle de jalousie, mais elle ne le disait pas. Elle avait trop de fierté.

Tout les petits surnoms qu'il lui disait rendait Constanze heureuse. La jeune femme sourit doucement, hochant la tête. Elle adorait Opale. Cette dernière était adorable. La belle blonde a toujours aimé les enfants, alors voir Opale de temps en temps la rendait très heureuse. Constanze hocha alors la tête, comprenant qu'elle pouvait l'appeler en tout tant, sans problème. La vétérinaire pouvait l'appeler, ce qui était rassurant. Elle avait eu peur de paraître trop dépendante ou folle, alors qu'elle ne l'est pas.

« D'accord. J'adore ta fille. Elle est trop adorable. »

La jeune femme rit légèrement aux paroles de Kol. Elle n'aimait pas se vanter, donc elle ne disait rien. Elle ne pensait pas ce que disait le bel homme. Elle ne pensait pas qu'elle était magnifique ou un truc dans le genre. La jeune femme n'avait pas envie de se disputer avec Kol en disant qu'elle ne pensait pas ce qu'il disait, alors elle se taisait. C'était mieux ainsi. Elle voulait passer une excellente soirée. Constanze dansait toujours, sentant les mains de l'homme dans le creux de son dos, ce qui la fit sourire. Ils ne se touchaient pas ainsi quand ils étaient devant Opale, pour une simple question de respect pour l'enfant. La jeune femme continua de danser, se mordillant encore la lèvre inférieure. Elle savait que cela rendait l'homme fou, alors elle continuait. Un peu de provocation? Pourquoi pas.

Constanze continuait de danser auprès de Kol, souriant doucement. Elle était heureuse de passer une belle soirée avec cet homme qui l'attirait énormément, qui la rendait folle, sans que ce dernier s'en rende compte. S'il le savait, il cachait très bien son jeu. La belle blonde le regarda dans les yeux, souriant doucement. La soirée était agréable, malgré le fait qu'il ait des filles qui regardent Kol comme un morceaux de viande et ce n'est pas ce qu'il est, bien au contraire. « D'accord, je te suis. » Constanze marcha avec Kol jusqu'au bar où elle s'assit, regardant Kol debout. Constanze commanda alors un martini et reporta son attention sur le bel homme à ses côtés. La jeune femme sourit doucement aux paroles de Kol, passant une main dans ses cheveux blonds. « Oui, en effet. Elle était inquiète à propos d'un bouton qui se trouvait sur le ventre du chaton, mais ce n'était rien de grave. Elle était soulagée. » Constanze savait que Kol était gentil et qu'il aimait, de temps en temps, offrir des cadeaux aux gens qu'il aimait. Secrètement, Constanze espérait en faire partie. Elle reçu sa boisson alcoolisée et but une gorgée, souriant. « Sinon, toi, comment vas-tu? Le travail semble prendre beaucoup de ton temps. »

• Mon corps faisait barrière entre les gens de la salle et la jolie allemande. Machinalement, je glissais un billet pour payer la martini et ma bière comme se devait un bon gentleman de le faire. Évidement, ça me faisait plaisir de le faire pour Constanze. Elle faisait partie des gens de mon entourage qui n'avait qu'à demander pour recevoir, mais elle ne semblait même pas s'en rendre compte. J'abandonnais mon alcool sur le bar pour me concentrer sur notre conversation. «  Tu as passé les frais sur mon dossier, n'es ce pas? » Demandais-je soucieux. Je ne voulais pas que mon amie dépense pour les soins de l'animal. Je me souvenais d'avoir glissé un mot sur ça à la blonde lors de l'adoption, mais j'espérais qu'elle m'avait prit au sérieux. J'observais l'allemande trempée ses lèvres dans l’alcool sucré avant de reprendre la parole. « Je vais bien. Valentino m'a approché pour m'avoir dans ses rangs. » Cette boutique était encore plus luxueuse que Hugo Boss. En plus, il me proposait le double du salaire. Malgré tout une petite voix continuait de me chuchoter que je devrais partir à mon compte. « Je ne sais toujours pas quoi leur répondre. » avouais-je

Kol faisait parti des gens en qui Constanze accordait une grande confiance. La belle blonde était follement attirée par ce beau brun tatoué et extrêmement gentil avec elle, malgré le fait qu'il pouvait se comporter en parfait connard. La belle blonde voulait l'avoir pour elle seule, mais il était presque inaccessible. Il était aussi compliqué qu'une femme. Constanze sait parfaitement qu'elle devra prendre son mal en patience pour que Kol finisse par entrer pour de bon dans sa vie, qu'il comprenne qu'elle est très attirée par lui. Amoureuse? Non, pas encore, mais cela pourrait arriver bientôt et cela la rend dingue, rien qu'à y penser. « Oui, comme tu l'as demandé. Tu es très gentil, tu le sais au moins? » Constanze avait l'impression qu'il ne se rendait pas compte de tout ce qu'il pouvait faire pour ceux qu'il aimait. La belle blonde passa alors une main dans ses cheveux et but ensuite une gorgée de son martini, regardant alors Kol dans les yeux. C'était une excellente nouvelle pour Kol. Valentino était une très grande marque de luxe, le genre de choses que Constanze ne pourrait pas s'acheter avec son salaire, mais elle fantasmait toujours sur l'idée qu'un jour, elle pourrait y parvenir, malgré le fait qu'elle sait que cela n'arrivera probablement pas. « Moi je crois que tu devrais prendre la bonne décision, celle qui correspond à ce que tu veux réellement. Je ne peux pas choisir pour toi, mais choisi avec ton cœur. » Elle avait espéré avoir donné un bon conseil à son ami. Elle repris une gorgée d'alcool et posa alors une main sur la cuisse de Kol, souriant doucement. « Dans tous les cas, tu réussiras et je serai extrêmement fière de toi. »

• J'étais heureux que Constanze est suivit mes indications en lien avec le payement des soins de la bête. Il était hors de question de donner un cadeau empoissonné à mon lutin démoniaque. Pourtant, lorsque l'allemande affirmait que j'étais gentil je n'avais pas résisté au rire qui était monté dans ma gorge. « On m'a souvent traité de profiteur, de con, de contrôlant, mais jamais on m'avait dit que j'étais gentil. » J'étais clairement surpris par le qualificatif. Je devais avoué que ma vie avait changé depuis l'arrivée de ma petite Opale, mais de là à devenir un prince charmant? Je ne le croyais pas. Il y avait bien que Constanze pour réussir à faire abstraction de pire en moi pour caresser le meilleur.  « Tu es beaucoup trop conciliante avec moi Sweetheart. » Je secouais la tête un peu découragé. Le sujet s'en suivit sur la proposition de Valentino que j'avais eu.  J'avais entrevue une petite étincelle dans les yeux de la blonde à l'entente du nom de la marque. C'est donc avec le sourire que je prenais note dans un coin de ma tête de lui faire parvenir un luxueux ensemble sur le perron de sa maison. Une petite surprise pour la princesse refoulée qu'elle était. «  Justement, je ne sais pas quelle est la bonne décision. J'ai peur d'avoir encore moi de temps pour la petite. » Je regardais la main couleur porcelaine sur ma cuisse. Const' avait toujours des mots calme et apaisant pour mon anxiété. «  Que ferais-je sans toi? » demandais-je doucement en passant la main dans les ondulations blondes de la jeune femme.

Constanze savait bien qu'il était difficile pour Kol qu'il se rende compte qu'il est gentil. Il pensait qu'il n'était pas ainsi et cela désolait la belle blond qui voulait que Kol se rende compte qu'il était exceptionnel. Elle rit à ses paroles. « Oui, tu es un peu con, je ne peux pas le nier, mais tu es ainsi. Par moment, tu m'énerves avec ta beauté et le fait que plein de filles soient à tes pieds, mais je ne peux pas nier que tu sois follement attirant. » Constanze avait eu besoin de lui dire, même s'il était déjà au courant. La vétérinaire lui avait dit une centaine de fois et elle allait continuer de lui dire aussi longtemps qu'elle sera dans sa vie. Elle espérait qu'elle soit dans sa vie jusqu'à la fin. C'était son vœu le plus cher. Constanze but une gorgée de sa boisson alcoolisée, regardant toujours Kol. « Je sais je sais. Je suis comme ça, surtout avec toi. » Elle adorait quand il lui donnait des petits surnoms. Cela la touchait énormément et elle voulait qu'il lui donne encore des petits surnoms. Il n'avait que lui pour la rendre aussi heureuse. Constanze regarda encore l'homme dans les yeux, l'écoutant. « Je peux comprendre que tu aies peur d'avoir moins de temps pour Opale, mais sache que je peux la garder aussi. Je n'ai pas des horaires de travail aussi intenses que les tiennes, alors elle peut venir à la clinique et passer du temps avec moi. Sérieusement, Kol, tu as une très belle opportunité de travail qu'on t'offre. Peu importe le choix que tu feras, je serai avec toi. Tu mérites d'avoir un travail qui te rendra heureux et qui te fera comprendre pourquoi tu aimes te lever à chaque matin pour te rendre au bureau. » Constanze avait un peu l'impression d'être une psychologue en parlant ainsi, mais elle pensait tout ce qu'elle venait de dire à Kol. « Moi je me demande ce que je ferais sans toi. » Elle sourit doucement et vint l'embrasser sur la joue, le regardant de nouveau dans les yeux. « Alors, sinon, tu as prévu des vacances? »