Teddy listen to me feat Anton

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Aujourd'hui avec la baby-sitter on se promène en ville, elle a bien vus que j'avais besoin de bouger, mais en même temps en ce moment j'ai tellement de choses en tête que j'arrive pas a resté en place. Mais au bout d'un moment je reconnais le coin, c'est pas loin de l'hôpital. Je suis triste, car depuis que j'ai été piquée par cette guêpe je n'ai pas eu l'occasion de revoir Teddy. il avait été si gentil avec moi. mon temps dans cet endroit m'avait paru tellement moins long en sa compagnie. Et pour tout dire c'est la seule personne à qui j'ai fait par de mes état d'âme. La seule personne à qui j'ai raconté le jour où j'ai retrouvé maman sur le canapé. A un moment on s'assoit sur un banc. J'en profite pour mettre un plan en place. Je lui demande"e gentiment avec mon visage d'ange si elle veut pas me chercher une glace, car ç cause de la chaleur je me sens pas très bien et que je l'attendrais sur le banc. elle me regarde méfiante et me demande si je suis sûr de pas vouloir rentrer. Mais je lui assure qu'une glace me fera du bien et que je suis désolée de pas pouvoir l'accompagner, mais ce serais mieux que je l'attende sur le banc. Et miracle elle accepte. Mais elle me fait promettre de ne pas quitter le banc, elle fait attention depuis qu'elle m'a perdu en pleine rue commerçante. Une fois qu'elle s'est un peu éloigné je saute du banc et je cours, ça serait bête qu'elle se retourne et me vois m'éloigner une fois passé le premier croisement je me cache derrière le mur et regarde. elle marche en direction du stand de glace elle n'a rien vu ouf. Je sens mon cœur qui bat la chamade, c'est trop stressant mais c'est tellement amusant. Je rigole un peu et j'ai un grand sourire maintenant direction l'hôpital.

Arrivé à l'hôpital je suis soulagée, tout le long du chemin je n'ai fais que regarder derrière moi pour voir si elle ne m'avait pas retrouvée. mais je suis tranquille elle ne pensera jamais à venir me chercher ici à moins qu'elle pense que je me sois blesser mais c'est pas dans les couloir de l'hôpital, non dans les couloir de l'hôpital le danger c'est pas la baby-sitter, mais Adilyn, si elle me chope je risque de me faire engueuler. On maintenant retrouver Teddy, je me vois mal demander à la réceptionniste. Plus qu'une solution chercher au hasard. je commence à m'avancer quand je vois un grand panneau avec plein truc d'écrit, je lis, on sait jamais ça pourrait m'aider. Cardiologie, non, Dermatologie, non, Endocrinologie, non, neurologie, non, Pédiatrie, huuum, mais c'est là où j'étais non ? C'est ça. je suis la grosse flèche, je me promène dans les couloir, mais je ne le vois nulle part. Je vais jamais le trouver. Aussi bien il n'est pas là et tous ça aura été inutile. Quand soudain je le vois sortir d'une chambre au fond du couloir. Je me mets à courir en évitant les passants qui me regardent bizarrement. « Teddyyy ! » J'arrive les bras grand ouvert prête à lui faire un câlin il m'a manqué pendant tous ce temps.

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Featuring Abygaël

La routine de Anton avait été bouleversée par ce qui se passait dans sa vie ces derniers temps. Il était quelque peu débordé par le travail parfois ce qui le rendait légèrement moins disponible mais ça n’était qu’une question de temps. Heureusement, une nouvelle pédiatre avait débarqué en Mai, Ondine, permettant de partage la patientèle et d’alléger l’emploi du temps. Quoi que en milieu hospitalier, il ne faut pas se plaindre non plus. Les horaires sont généralement fixes, que l’on soit de garde ou non. Dans le milieu libéral, c’est tout autre.
Le pédiatre travaillait donc en ce mercredi. Il était aux alentours des 15h30. Venant tout juste de terminer une consultation avec un jeune garçon qui avait 12 ans et qui avait du se faire opérer de l’appendicite. Rien de bien grave il s’agissait juste d’un suivi post-opératoire.

Remettant le stéthoscope autour de son cou, sur ses épaules, il ferma la porte de la chambre puis commença à peine à faire deux pas quand il entendit son surnom. Il reconnu immédiatement la voix de la petite Abygaël et sans avoir trop le temps de penser à quoique ce soit, la petite fille arrivait comme une fusée vers lui, en courant et ouvrant les bras. Le médecin eut juste le temps de la réceptionner en l’attrapant et la prenant d’emblée dans ses bras.« Hello mademoiselle chocolat ! ». Très étonné de la voir ici, il se demanda soudainement « On avait rendez-vous ?! J’ai raté quelque chose ? ». Un hochement de tête horizontal de l’ancienne patiente lui fit comprendre qu’il n’avait rien manqué du tout.
Fronçant un peu les sourcils (et continuant de marcher avec l’enfant dans les bras) il la regarda en lui demandant alors inquiet « Mais qu’est-ce qui se passe ? Qui t’as emmené ici ? Tu vas bien ? Tu as mal quelque part ?! ». Il jeta un œil de façon général pour scruter l’état de Abygaël Gatling, un peu comme un papa poule.

Il jeta un œil à sa montre et reposa la fillette par-terre à côté de lui. « J’ai quelques minutes devant moi…. chocolat chaud ou jus de fruit ? ». Le médecin réalisait qu’il allait devoir s’improviser un petit peu de temps pour la brunette qui lui tenait déjà à cœur. Visiblement si elle était là c’était pour une raison, et parler un peu. « Alors, dis-moi tout, que me vaut l’honneur de ta visite ? » lança t-il en reprenant la marche dans le couloir, à côté de Aby.

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J'ai courir jusqu'à lui trop contente de le revoir et à peine arrivée à son niveau je me sens quitter le sol, il m'a attrapé au passage et me soulève pour me prendre dans ses bras. je lui fais un gros câlin, je ne suis plus habituée à être dans les bras comme ça, je suis trop grande parait-il, mais ça n'a pas l'air de le déranger plus que ça. Il doit être fort. Il utilise même le surnom qu'il m'avait donné quelque mois plus tôt "mademoiselle chocolat". « Bonjour m'sieur ! » J'affiche un grand sourire, j'en oublierais presque pourquoi je suis venue le voir à la base. Quand il me demande si on avait rendez-vous je lui fais signe que non, il n'a rien manqué. Quand il fronce les sourcils j'ai peur qu'il me fasse une réflexion comme quoi je le dérange en plein travail, mais je suis assez vite rassurée quand il me demande pourquoi je suis là, j'adore comment il s'inquiète pour moi, ça veut dire que lui aussi m'aime bien. « Non, non c'est juste que j'avais plein de choses à te dire. » Bon j'évite de lui parler de la blessure au genou que je me suis faite en tombant d'un arbre l'autre jour, mais c'est rien de grave donc pas de raison de l'inquiéter.

Il décide ensuite de me reposer, de retour au sol je suis obligée de lever les yeux pour pouvoir le regarder, il est grand, j'ai tellement hâte de grandir pour ne plus avoir à lever les yeux pour parler aux yeux et les regarder. Oui il a quelque minute pour me parler c'est gagné. Je fais un grand sourire trop contente. « Un jus de fruit ! Merciii. » oui je pense que le jus de fruit se marie vachement mieux avec les bonbons qui sont forcément caché dans sa blouse, qu'il ne va sûrement pas tarder à me proposer. S'il le fait pas je boude de toute manière. M'enfin je bouderais après lui avoir dit ce que j'ai sur le cœur.

Quand on se met à marcher il me demande ce qui m'amène ici, j'essaie de trouver une manière d'aborder le sujet. « Hum, tu te souviens que mon papa nous à quitter moi et maman il y un peu plus d'un an maintenant ? Fin est partit, nous as abandonné plutôt. » Je marque un temps d'arrêt avant de reprendre, histoire de vérifier qu'il me suit bien. « Hé bien... C'est pas mon vrai papa, fin si c'est mon papa, c'est lui qui m'a élevée, mais c'est pas mon papa biomachinbidulchouette, je sais plus comment on dit. » Déjà cette nouvelle avait eu l'effet d'une bombe dans ma vie. J'ai eu l'impression qu'on m'avait menti toute ma vie, que papa et maman m'avait menti toute ma vie. « Je l'ai découvert quand mon père, oui parce que je peut pas les appeler de la même manière comment je m'en sorts sinon, donc y a mon papa et y a mon père. Et donc je l'ai découvert quand mon père est venu chez Adilyn, car maman lui a dit de s'occuper de moi, alors qu'il ne savait même pas que j'existais. Tu te rends compte mon propre père ne savait même pas que j'existais. » Je regarde Teddy pour lui montrer mon désarroi. mais ce n'est pas encore tout je n'ai pas fini mais je fais une petite pause, histoire de marcher un peu. Et de voir si Teddy a bien tout compris au bordel de ma petite vie.

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Featuring Abygaël

Le pédiatre était plutôt content de revoir la petite Aby gambader comme ça. Bien mieux de la voir ainsi que dans un état un peu critique ou du moins avec sa santé en jeu comme c’était le cas quelques semaines auparavant. Sans trop réfléchir il la prit instinctivement dans ses bras pour lui offrir un ‘câlin de bienvenue’ et puis la reposa au bout de quelques secondes après s’être assuré qu’elle n’avait rien. Bon, elle voulait parler alors forcément ça intrigua le médecin. Il lui avait affirmé, quelques temps plus tôt, qu’elle pouvait se confier, lui dire tout ce qu’elle souhaitait et qu’elle pouvait avoir confiance en lui. Ce qu’il ferait, ce serait essayer de l’aider au mieux.

D’abord, une pause goûter s’imposait car Anton disposait de quelques minutes devant lui avant d’aller voir le prochain patient dans sa chambre. Il prit donc la direction de la cafétéria (les boissons étaient toujours plus buvables que celles proposées dans les distributeurs automatiques) donc, alla d’abord vers l’ascenseur de leur étage. « Va pour le jus de fruit » glissa t-il avant de l’écouter lui expliquer la situation.

Marchant tranquillement dans les couloirs, il fit donc attention à ce qu’elle lui racontait. « Oui je me souviens » dit-il doucement avant d’enfin appuyer sur le bouton de l’ascenseur à côté duquel ils venaient d’arriver. Pour franchir les étages, la petite pouvait continuer de lui parler librement étant donné qu’ils étaient les seuls occupants. Un peu surpris d’une telle annonce, il regarda la fillette toujours étonné et la corrigea pour lui donner les termes exacts « biologique » puis il la laissa poursuivre. « Si je comprends bien, ton père qui est parti lorsque ta maman était en difficultés revient à la demande de celle-ci pour récupérer ta garde. Mais ce n’est pas ton papa biologique… c’est…. compliqué tout ça dis-donc » affirma t-il en se rendant compte que pour une fillette de 9 ans c’était sûrement difficile à encaisser. Il était un peu confus quand elle lui annonça que son père ne connaissait pas son existence car s’il était parti y avait un peu plus d’un an, forcément qu’il devait connaître Aby…. le pédiatre préféra demander une précision « Attends attends, minute papillon. Ton père ne savait pas que tu existais ? Celui qui est parti il y a un an ?! ». Il se passa sa main sur le visage car la vie de la petite était tout sauf simple et cela rendait évidemment la tâche plus dure. Mais cela n’empêchait que le médecin éprouvait une certaine compassion « Je suis navré d’entendre tout ça… ». L’ascenseur s’arrêta au 1er, à l’étage de la cafétéria et ils en sortirent pour rejoindre le lieu souhaité.

Subitement, le pédiatre fit un rapprochement entre la présence de la fillette à l’hôpital et cette histoire « C’est parce qu’il venait te chercher que tu es ici ? ». Il était légitime de se demander si elle avait pris la fuite.

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Oh mince il pas compris en même j'ai pas été des plus claires mais c'est tellement compliqué. Je respire un coup avant de me reprendre. « En fait, mon papa et mon père c'est deux personnes différentes, mon papa, celui avec lequel j'ai grandi est partit il y a un peu plus d'un an et mon père a débarqué chez Adilyn alors que je ne le connaissais ni de nom ni de visage, c'est juste un véritable inconnu. » Un inconnu qui a changé ma vie, déjà suffisamment en bordel avant son arrivée. Mais ce n'est même pas de sa faute. «Maman lui avait caché mon existence. Et maintenant je vais devoir aller vivre chez lui, il est pas méchant, il est même très gentil je l'aime bien mais j'ai longtemps vécu seulement avec des femmes et là je vais aller vivre chez mon père, un homme que je connais presque pas.

Sa question me perturbe, en fait pourquoi je tenais tant que ça à le dire à Teddy c'est vrai ça. Je mets quelque seconde à réfléchir. « Ha, eum, je sais pas vraiment, je crois que j'ai besoin de parler de tout ça, car je culpabilise quand je passe tu temps avec lui.» Oui il y a tellement de raisons qui me font culpabiliser. Donc une fois ça de dit je reprends mon historie. « Donc je vais aller vivre chez lui, mais je veux rester chez Adilyn je l'aime bien et elle est si gentille avec moi. bientôt je ne la verrais presque plus, enfin je pense, je sais pas du tout comment ça va se passer, mais quand je passe du temps avec lui et que je m'amuse, car il est très gentil et un peu maladroit c'est marrant, je culpabilise, car je me dis que je devrais passer ce temps-là avec Adilyn. Mais je culpabilise aussi, car j'ai l'impression de laisser un inconnu prendre la place de papa, c'est comme si je le trahissais. » Et après je pensais à maman. « Et je me demande si c'est honnête de ma part de m'amuser alors que maman elle est malade. Je dois lui manquer et moi j'ai tout plein de personnes qui sont gentilles avec moi. » A plusieurs repris j'ai pensé à ça, quand je suis contente il m'arrive de culpabiliser de m'amuser alors que maman est pas là, elle me manque tellement, mais il m'arrive de penser à autre chose. « Je suis complètement perdue dans toutes ces histoires. »

Tout à coup je pense à un truc. « Par contre, faut que tu me fasses une promesse, faut pas qu'Adilyn sache que je suis venue, sinon elle va me tuer. » Oui si elle sait que j'ai encore fais faut bon à la baby-sitter je vais me faire taper sur les doigts, enfin façon de parler, jamais Adilyn ne lèvera la main sur moi.

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Featuring Abygaël

Alors qu’ils étaient toujours en direction de la cafétéria, Anton essayait à la fois de se concentrer sur ce que lui racontait la petite Aby, ce qui n’était pas une histoire très simple, et en même temps il était un peu distrait par une certaine agitation qu’il remarquait de temps à autre dans une aile de l’hôpital. Ce n’était pas son service et quoi qu’il s’y passait, il ne pourrait rien faire. Toutefois, ça ne le laissait pas indifférent d’où le manque de concentration sur les propos de l’ancienne patiente. Il se rattrapa ceci dit en étant dans l’ascenseur juste avec elle. Là il suivait cette distinction qu’elle faisait entre ‘papa’ et ‘père’. Il avait simplement compris l’inverse.

Il finit de suivre les propos de l’enfant tout en sortant de l’ascenseur pour se diriger vers la destination souhaitée. Il pointillait la discussion de « huh huh » par ci par là avant de prendre à son tour la parole. « C’est normal que tu aies envie d’en parler et besoin même. Mais tu ne devrais pas culpabiliser tu sais ». Il reprit sa respiration avant de tourner vers la gauche du couloir, vers où se trouvait la fameuse cafet’ pour prendre un jus de fruit. « Tu veux connaître mon avis Aby ? » voyant que c’était le cas, il continua « Je crois que tu n’as aucune raison de culpabiliser de passer du temps avec l’un ou l’autre. Ce n’est pas une question que tu devrais te poser car ça concerne des adultes qui comprennent tout à fait et qui s’adaptent. Le principal, c’est que toi tu te sentes bien avec Adilyn ou ton père. C’est l’essentiel même. Si tout se passe pour le mieux avec l’un ou l’autre et bien aucun ne sera inquiété. Après, il est vrai que, comme il semble que ton père ait un peu apparu comme par enchantement, Adilyn qui te connait très bien garde quand même un œil ouvert. Mais d’un autre côté aussi, il est tout à fait normal que tu cherches à connaitre mieux ton père…. tu comprends ? ».

Puis lorsque la fillette avait évoqué le fait que sa mère était malade, Anton ne put que s’arrêter et se mettre à la hauteur de son ancienne patiente pour lui parler droit dans les yeux et prendre un ton doux « Et pour ta maman, je pense qu’elle est occupée à aller mieux pour te voir. Comme tu le dis justement, elle est un peu malade mais ça ira mieux bientôt, donc en attendant, même si tu lui manques parce que elle t’aime, et bien il faut que tu profites d’avoir tout cet entourage autour de toi, pour t’aider ! ».
Il sourit alors essayant d’obtenir la même chose de Aby avant de se redresser de nouveau. « Il faut juste du temps pour que tu t’adaptes à tout ça. Pour les adultes aussi. Mais tu ne seras pas perdue éternellement j’en suis persuadé. Chacun d’entre vous va trouver sa place et ça va bien se passer tout ça ! ».

Il lui posa une main sur l’épaule, amicalement puis voyant dans le présentoir au frais des jus de fruits, il demanda « Est-ce que tu veux des jus de fruits en bouteille ou alors un vrai jus de fruit fraichement pressé ? ». Le pédiatre aussi qui avait un certain affect pour Aby essayait de lui offrir le choix. « Promis, je te l’ai dit l’autre jour, tu peux me faire confiance, Teddy garde bien les secrets ». Pour sceller cette ‘promesse solennelle’, le médecin présenta devant l’enfant son poing fermé et le petit doigt dressé, légèrement recroquevillé pour qu’ils se serrent le petit doigt. Ainsi, la promesse serait confirmée.

Quand elle eut choisi ce qu’elle souhaitait boire, le médecin ponctua « bon choix mademoiselle chocolat » puis fit un clin d’œil. « Dis moi…. tu devais bien savoir que j’avais des bonbons dans la poche non …. ?! ». Car le jus de fruit, ça passait très bien avec ce genre de friandise. « Viens on peut s’asseoir un petit peu, j’ai encore quelques minutes devant moi bien que pas beaucoup ».

Ils prirent place et Anton réagit sans trop tarder à ce que l’enfant avait dit en dernier.
« Mais attends une minute…. si Adilyn ne sait pas que tu es ici… qui le sait ? Tu es venue toute seule ? Tu as fuguée ? ». Il regarda sa montre « Tu n’as pas école à cette heure-ci ?! ». Tel un ‘papa ours’ il se posait mille et une questions sur la sécurité de Aby.

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