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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.


 

 (Jerilas) i'm too hot god damn.

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MessageSujet: (Jerilas) i'm too hot god damn.    (Jerilas) i'm too hot god damn.  EmptyDim 3 Juil - 15:20

Who's
that bitch ?
Assise derrière mon ordinateur, je passais une main sur mon visage fatiguée tout en cherchant des informations pour mon nouvel employeur. Enfin l’un de mes nouveaux employeurs. J’avais dit que je me calmerai au niveau du hacking et qu’en plus je rentrerai dans le rang. Mais visiblement, la légalité, ce n’est pas pour moi. Never. Je regardai donc les trucs que j’avais amassés sur un potentiel rival de… Merde, j’ai oublié le nom du gars qui me paye. Jeremy machin chose. Une petite frappe propriétaire d’un club de strip-tease. Mouais. On a connu mieux. J’imprimai les choses compromettantes sur le gars et de quoi le faire passer un long séjour à l’ombre avant de regarder mon téléphone portable professionnel. Un message. Du gars en question justement. Il voulait me rencontrer. Non, ça ne va pas le faire mon biquet. Je ne rencontre jamais mes clients. On me paye par virement. Squirrel doit rester un secret, enfin ma véritable identité surtout. Je ne voulais pas trop qu’on associe la jolie petite youtubeuse gentille qui aime faire des vidéos sur des choses futiles à la redoutable Squirrel. La personne qui si l’envie vous prend pourrait vider vos comptes bancaires en un clic. « Pas de présence, pas d’argent. » Mais c’est qui ce connard ? Je soupire. Bien que j’ai énormément d’argent, je ne voulais pas perdre un centime. Pis merde, j’avais passé du temps à chercher ses infos. Ça me donnait l’occasion de jauger ce que valait ce mec. Je me levai donc pour aller me changer.

Vêtue d’un trench noir et de talons hauts (relax chéri, je suis habillée en dessous), je regardai la devanture du club de strip-tease. Pitoyable ce que les mecs ne feraient pas pour regarder des nanas nues. Et d’ailleurs, ce n’est pas eux qui me faisaient pitié mais plutôt les trainées qui se déhanchaient là-dedans. Un gorille me regarda pour me laisser entrer. J’ai l’air d’une poule de luxe. Une nana qui viendrait pour chercher un job ou autres. La musique est trop forte. Les pervers se comptent à la truelle. Et je les jauge avant de m’approcher du bar. N’est pas alcoolique qui veut. Je fixe la nana à moitié nue qui sert les verres. Chérie, où est ta dignité ? Je hausse un sourcil avant de soupirer. « Bonsoir, je viens voir M. Strauss. » Est-ce un hasard si ce mec porte le nom d’un des hommes politiques les plus pervers de mon pays natal ? Je monte sur un tabouret tandis que miss pétasse disparait. Non mais sérieux, on se croirait dans un bordel. Je passe une main dans mes cheveux avant de me retourner et de voir deux espèces de crétins baraqués qui me fixent. « Il n’est pas là. » Mais bien sûr. Il m’a envoyée un sms il n’y a pas dix minutes en me disant qu’il m’attendait. On doit me prendre pour une des anciennes conquêtes du gars. L’un d’eux essaie de me faire dégager mais je lui flanque un violent coup dans les… Inutile de faire un dessin. « Va dire à ton patron que Squirrel l’attend et que ma patience a ses limites. » Sinon, je t’égorge. Je décide de m’asseoir sur le comptoir –miss sans gêne bonjour- et de croiser mes longues jambes pour regarder autour de moi. C’est là qu’un nabot (difficile de dépasser mon mètre quatre-vingt) se plante devant moi. Un petit machin hargneux sans doute. Pas trop mal mais pas trop beau non plus. Je hausse un sourcil. « Combien pour la danse ? » Pardon ? J’éclate de rire tandis que le garde du corps que j’ai malmené revient me chercher.

On me fait entrer dans un bureau vide. Great. Je sors l’enveloppe avant de la jeter sur le bureau pour prendre place dans un fauteuil. Je sors donc une clope que je m’allume sans gêne pour attendre que mon patron débarque. Et avec la monnaie. Non mais le gars pourrait être ponctuel. Ce n’est que quand j’entends la porte claquer que je lance une fameuse tirade sarcastique. « En plus de manquer de ponctualité, les débiles qui occupent la sécurité ont grandement besoin d’une grève de cervelle. » Je me tourne alors pour le regarder. Pas mal. Pas assez pour m’arracher un sourire mais pas mal. Pour un imbécile. « Laissez-moi deviner vous vous attendiez à un petit bigleux assez pervers et pas à un machin d’un mètre quatre-vingt qui vous ferait rougir, mon mignon. Où est mon fric ? » Quand je disais que j’allais avoir le prix de franche camaraderie. Ou celui de madame salope. Au choix.


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MessageSujet: Re: (Jerilas) i'm too hot god damn.    (Jerilas) i'm too hot god damn.  EmptyLun 4 Juil - 5:27



   
jerilas.
    i'm too hot god damn.

A
ssis dans la cour arrière du club, je grillais une cigarette, dans mes pensées. Les choses étaient lancés, le personnel était briefé. Je pouvais prendre une pause bien mérité avant de retourner dans mon bureau. Ce n’était pas tout les jours faciles de gérer un club. Il y avait beaucoup de travail même si ça pouvait ne pas en donner l’impression. Gérer le personnel, les commandes, les filles, les clients trop éméchés. Si on ajoutait ça à la gestion de mon réseau, j’avais de quoi avoir des cheveux blancs. Heureusement j’avais mes propres moyens pour décompresser. Je jetais mon mégot avant de me relever et de retourner dans le club. La musique trop forte, la foule, les filles circulant entre les clients … Voilà une atmosphère qui me plaisait, qui bizarrement m’apaiser. Je me frayais un chemin dans tous ce petit monde. L’une des filles travaillant ce soir s’approcha, minaudant à mon encontre. Je souris, me laissant faire pour une fois. « Tiens … Bonsoir demoiselle. » Lui dis-je en souriant alors qu’elle arrivait devant moi. Je venais poser mes lèvres sur sa joue et glissant une main dans le creux de ses reins. « Bonsoir boss. » Elle sourit. « Tout va bien ? » Elle hocha la tête avant de me faire un clin d’œil. « Oui, ça va ! Aucun soucis. Tout le monde est content. » Me dit-elle, sachant pertinemment ce qui m’emporter véritablement. Un dernier sourire et elle retourna travailler. Elle était parfaite, compétente en plus d’être magnifique. Une bonne recrue. Je souris avant d’aller m’enfermer dans mon bureau.

Devant mon ordinateur, je passe en revue certain de mes dossiers, content. C’est exactement le genre d’information dont j’ai besoin. J’ai bien fais de l’engage ce Squirrel. Il faisait des merveilles. Cela fait plusieurs fois que je fais appel à ces services pou me dégoter des informations sur de potentiel rival, que ça soit pour le club ou pour mon réseau. Si je voulais être le meilleur, je ne devais rien laisser au hasard. J’étais impressionné par ses résultats. Tellement impressionné que j’ai envie de le rencontré en personne. Je lui envoyais donc un mail pour organiser une rencontre. Je fronçais les sourcils en lisant son refus. Mon gars, tu sais pas à qui tu as affaire ou quoi ? Il était rare que je prenne non pour une réponse acceptable. Je tapais donc ma réponse. Il voulait jouer ? Je pouvais jouer aussi. Pas de présence, pas d’argent. J’avais quand même besoin de me faire une idée du personnage, en personne. Je devais être sur de pouvoir lui faire confiance même si je n’avais eu aucune raison de douter pour le moment. De plus j’étais, je l’avoue, intrigué. Il était doué. Ca ne faisait aucun doute. J’attendis une réponse qui ne vient pas. Je continuais donc de m’occuper, tout en faisant quelques aller-retour en salle pour m’assurer que tout le monde faisait son boulot.

Je bois la dernière gorgée de mon verre quand on toque à ma porte. « Entrer. » Dis-je en vrillant mon regard sur la porte. C’est un membre de l’équipe de sécurité. J’ai oublié son prénom … Enfin c’est pas comme si j’en avais quelque chose à faire. Il entre. « Squirrel vous attend patron. » Je fronce les sourcils . Ca pour une surprise … Je souris. Cela risque d’être intéressant. Vraiment très intéressant. Je me lève. « Dans le bureau numéro 3. » Me dit mon employé. Je hoche la tête et me dirige vers le dernier bureau qui n’était pas occupé, sauf dans ce genre de cas. J’entre alors dans le bureau, et me fige quelque seconde. Mes yeux se posent par habitude sur cette cascade rousse, ses longues jambes … Je fais claquer  la porte pour signaler ma présence. «En plus de manquer de ponctualité, les débiles qui occupent la sécurité ont grandement besoin d’une grève de cervelle. » La jeune femme se tourne alors vers moi. Elle m’observe. Ca ne me dérange pas, surtout que je fais la même chose tant je suis intrigué. Alors comme ça le grand Squirrel est une femme. Et magnifique avec ça … Intéressant. «Laissez-moi deviner vous vous attendiez à un petit bigleux assez pervers et pas à un machin d’un mètre quatre-vingt qui vous ferait rougir, mon mignon. Où est mon fric ? » Dit-elle avec tempérament. Je la regardais avant de m’approcher d’elle. Je passe de l’autre côté du bureau, restant silencieux mais amusé. Je lorgne sur sa cigarette. « Veuillez éteindre cette cigarette s’il vous plait si vous voulez qu’on discute. » Lui dis-je sur un ton implacable en tendant un cendrier vers elle. « C’est un établissement non fumeur. Oh et juste un conseil, évitez de manquer de respect à votre employeur si vous voulez continuer à avoir un travail. » Ses remarques ? Elle peut se les gardés. J’ai autre chose à faire que de les écoutés de toutes façons. Je m’assoie alors sur un coin du bureau, souriant. « Alors comme ça, c’est vous Squirrel ? Je suis ravis de vous rencontrer. » Commençais-je en la regardant dans les yeux. Elle se ventait de pouvoir me faire rougir ? Et bien c’était aussi mon cas. Je souris. « Il est vrai que c’est une surprise de vous voir mais une chose est sûr, vous êtes plus agréable à regarder que les fameux bigleux pervers donc vous parlez. »  J’étais content d’avoir eu raison. Toucher à l’argent de quelqu’un et il fera ce que vous voulez. La preuve. Elle était là. « Mais je dois avouer que pervers ou sublime créature, ça m’importe peu si on fait ce que j’attend. Et c’est votre cas. Vous êtes douée et m’avais rendue de grand service. » Lui appris-je, calmement, maître de moi-même. Je prenais une respiration. « Avant de parler de paiement , vous devez avoir quelques chose pour moi n’est ce pas ? » Lui demandais-je. Je la regardais, attendant qu’elle me donne ce qu’elle avait trouvée.
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MessageSujet: Re: (Jerilas) i'm too hot god damn.    (Jerilas) i'm too hot god damn.  EmptyLun 4 Juil - 12:42

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that bitch ?
Je déteste qu’on me fasse déplacer pour rien. Et surtout dans ce genre d’endroit. Les gens qui viennent ici sont pathétiques et les mecs qui le gèrent encore plus. La femme n’est traitée que comme du stupide bétail et le pire était qu’elle s’en foutait. Je regarde une à une les danseuses pour me sentir de plus en plus lassée par la situation. Je pense que c’est ça le pire. Je suis blasée par tout. Je trouve les êtres humains ennuyeux et sans intérêt. Les gens sont devenus mornes, capitalistes et pour la plupart débiles. A vrai dire, je ne pense pas avoir rencontré un être humain digne d’intérêt. Même Terrence m’ennuie. Depuis la mort de ma mère, je n’ai plus goût à rien. Comme si les petits jeux débiles auxquels se prêtaient mes pairs n’étaient plus une aussi grande distraction. Un homme me dit qu’il va me conduire dans un bureau mais pas étonnant vu le coup que j’ai mis à son ami qui me jauge d’un œil noir. Je le salue vaguement avant de suivre l’autre gorille qui me fait entrer dans une pièce sans vie. Pas le moindre signalement de monsieur Strauss-Kahn. Je prends donc mes aises avant de m’allumer une cigarette. Je me contrefous de savoir si le lieu est non-fumeur. La porte claque et je ne prends même pas la peine de me retourner vers le mec qui m’emploie. Enfin l’un des nombreux mecs qui m’emploie. J’ai une réputation internationale. En France je faisais des miracles avant que a mère –paix à son âme qui doit brûler en Enfer- ne me demande de la rejoindre pour participer à son jeu macabre avec le dinosaure. Je vais donc part de ma mauvaise humeur au gars qui va me tenir compagnie pendant les cinq prochaines minutes. Je n’ai pas l’intention de m’attarder.

Je le détaille alors mais pas d’un œil gourmand comme le ferait la plupart des femmes. Encore une fois, je m’ennuie. Plutôt grand, bien que je suppose le surplomber d’une tête, il a les cheveux noirs coupés courts. Teint bronzé. Comme la plupart des australiens. Parfait contraste avec ma peau de porcelaine. Moustache, barbe. Jolis yeux cependant. Je pense que le monsieur doit en faire tomber plus d’une. Pas mon cas. Aucun intérêt. J’ai déjà goûté au plaisir de la chair et je trouve ça répugnant. Frigide inside. « Veuillez éteindre votre cigarette, si vous voulez qu’on discute. » Il m’avance un cendrier et je prends le temps de tirer allègrement dessus non sans le quitter du regard. Tout est dans la provocation. Bien entendu. Lilas méchante fille. Puis d’un geste, je l’écrase avant de soupirer. Voix grave. Pas mal, pas mal. Mais le regard qu’il pose sur moi me fait tiquer. Encore un pénis à pattes. Charmant. « C’est un établissement non-fumeur. Oh et juste un conseil, évitez de manquer de respect à votre employeur si vous voulez continuer à avoir un travail. » J’éclate de rire. Il est mignon de penser qu’il est mon unique employeur. Je lève mon index. « L’un de mes employeurs. Et j’ai un métier légal à côté. Une couverture donc… » Je hausse les épaules. En fait, je m’en carre la raie de t’offusquer mon gars. C’est bien il est drôle. Un bon point. « Alors comme ça, c’est vous Squirrel ? Je suis ravie de vous rencontrer. » Je secoue la tête. Non bien sûr que non, je ne suis pas Squirrel. Squirrel = écureuil. Un écureuil roux qui plus est. Et je suis quoi, rousse. Cherche un peu dans ta cervelle de piaf, affreux jojo. Je le fixe, amusée. « Il est vrai que c’est une surprise de vous voir mais une chose est sure, vous êtes plus agréable à regarder que les fameux bigleux pervers donc vous parlez. » Je hoche alors la tête pour le remercier. C’est bien, il sait flatter une femme. Ça le conduira tout droit à une MST ce genre de comportements mais bon, je ne vais pas m’en plaindre. « Merci. » Je croise mes longues jambes. Il parle beaucoup lui au final. Tu ne peux pas sortir le cash et me payer de suite plutôt que de me raconter ta vie. Ça y est, les cinq minutes sont écoulées là. Il attend quoi à me brosser dans le sens du poil ? A ce que j’écarte les cuisses dès qu’il m’aura fait son sourire le plus colgate. « Mais je dois avouer que pervers ou sublime créature, ça m’importe peu si on fait ce que j’attends. Et c’est votre cas. Vous êtes douée et m’avez rendue de grand service. » Décidément. Arrête de me flatter dans le sens du poil, j’ai dit. Ça ne marche pas avec moi. « De rien, dis-je dans ma langue natale. » Généralement, le français ça fait son petit effet. « Je comprends plus les machines que le genre humain que je trouve pour la plupart répugnant. » Toi compris mon gâteau au miel. « Avant de parler de paiement, vous devez avoir quelques chose pour moi n’est-ce pas ? » Et en plus, il est aveugle. Je me lève pour me déplier totalement avant d’aller m’asseoir à ses côtés sur le bureau et de glisser le dossier que j’avais mis tout juste sous ton nez. Puis, je lui souris. Biatch inside. « Il suffit parfois de savoir ouvrir les yeux M. Strauss. » Puis, je me relève pour aller reprendre ma place. « Une petite frappe. Rien de bien embêtant. Sachez que je peux aussi vider des comptes bancaires, infiltrer des virus et démanteler un réseau qu’il soit légal ou non par le biais de l’informatique. Ce n’est pas pour rien que j’ai une réputation internationale. » Je passe une main dans mes cheveux avant de regarder les lieux. « Maintenant qu’on en finisse. Payez-moi un verre et discutons de votre prochaine requête. » T’es mal élevé mon gars on ne fait pas se déplacer quelqu’un pour le laisser le gosier vide. « Au fait, je m’appelle Lilas. Ravie de vous rencontrer en personne, Jérémy. » On susurre le prénom du gars sans omettre le contact visuel. On penche légèrement la tête sur le côté avec un énorme sourire et on attend que le poisson morde à l’hameçon.


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MessageSujet: Re: (Jerilas) i'm too hot god damn.    (Jerilas) i'm too hot god damn.  EmptySam 9 Juil - 9:56



   
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D
ès que je suis entré dans la pièce, j’ai su qu’elle ne serait que problème. Elle était douée mais je ne comptais pas me laisser avoir et faire le toutou  pour ses beaux yeux et ses longues jambes. Elle trouverait aisément un adversaire à sa taille si elle allait trop loin. Je la regardais fixement, mains crispées sur le bureau en attendant qu’elle daigne éteindre sa cigarette. N’avais t-elle pas vu les pictogramme ou faisait t-elle ça uniquement pour se rendre intéressante ? Je pensais pour le choix numéro deux. Cela me semblait être son genre. Elle prend le cendrier que je lui tend en prenant, bien sûr, soin de tirer longuement sur sa cigarette avant de l’éteindre. Je la regarde, faisant tout mon possible pour garder mon calme. J’avais, dans une certaine mesure, besoin d’elle, ou plutôt besoin de ces capacités. Ces remarques sur mon personnel me font tiquer. Oh non je n’aime pas son air, son air suffisant. Je la met donc en garde. Elle éclate de rire. Mes phalanges deviennent blanches. Que cherche t-elle ? A faire sortir mon plus mauvais côté ? Elle s’en mordrait les doigts. Elle lève un index et tout mon corps se tend de rage. Cela doit même se voir maintenant. «L’un de mes employeurs. Et j’ai un métier légal à côté. Une couverture donc… » Me dit-elle en haussant les épaules. Je lève moi aussi la main. «Je vous arrête tout de suite. Je m’en contre fou de qui vous êtes, de vos autres patrons. Ce que je sais c’est que si vous êtes là, c’est que vous voulez être payer, que vous avez besoin de cet argent, et que c’est moi qui fait le chèque alors je vous suggère de faire attention ou mon argent ira à quelqu’un d’autre. » M’emportais-je en  pointant un doigts vers elle, en colère.
Je me calme et reprend ma discussion, toujours surpris de voir débarquer cette rousse aux longue jambes. Elle n’avait pas le profil mais je suis loin d’être désolé. Elle est plus agréable à regarder et plus intéressante sûrement qu’un geek lambda. Ce que je lui fais savoir. «Merci. » Me dit-elle après avoir hocher la tête. Je continue de parler, glanant des informations, la flattant comme je savais le faire. Elle était douée dans ce qu’elle faisait. Je ne pouvais pas le nié. Elle m’avait rendu de fière service en collectant ses informations. «De rien. » Me dit-elle en français. Je souris. «C’est normal. Votre réputation vous précède. » Dis-je, moi aussi en français parfait bien qu’avec un accent prononcé. Elle était douée et je ne regrettais aucun des centimes que je lui versais. Elle m’en faisait gagner bien plus. «Je comprends plus les machines que le genre humain que je trouve pour la plupart répugnant. » Je pouffais légèrement dans ma barbe, amusé. Je ne doutais pas qu’elle me mette dans le compte mais je m’en fichais pas mal. On était pas là pour se plaire, pour coucher ensemble. C’était de travail dont il s’agissait. Elle pouvait bien vomir en sortant, je m’en foutais. « Ca doit effectivement être d’une grande aide pour votre business. » Dis-je, souriant, en hochant la tête.
Au lieu de parler argent, je relance le sujet sur les informations que j’attend en contrepartie d’un généreux chèque. Elle se lève, me rejoint sur le bureau et me glisse un dossier devant les yeux. «Il suffit parfois de savoir ouvrir les yeux M. Strauss. » Je roule des yeux. « C’est de votre faute, j’étais tellement surpris de vous voir. » Je lui souris narquoisement, bien trop heureux de la taquiné, avant de prendre le dossier et de l’ouvrir.  «Une petite frappe. Rien de bien embêtant. Sachez que je peux aussi vider des comptes bancaires, infiltrer des virus et démanteler un réseau qu’il soit légal ou non par le biais de l’informatique. Ce n’est pas pour rien que j’ai une réputation internationale. » Je parcours le dossier en diagonale tout en l’écoutant. Je lève les yeux du dossier et la regarde. « C’est bon à savoir. » Dis-je simplement avec un hochement de tête. «Maintenant qu’on en finisse. Payez-moi un verre et discutons de votre prochaine requête. » J’esquisse un sourire amusé. Oui. Elle m’amuse. «Au fait, je m’appelle Lilas. Ravie de vous rencontrer en personne, Jérémy. » Je tique légèrement mais ne m’offusque pas du fait qu’elle m’appelle par mon prénom ni la manière qu’elle a eu de le dire. Elle joue avec moi. Je le sais. Elle doit probablement savoir autre chose sur moi que mon prénom, chose que j’évite de dévoiler mais c’est de bonne guerre. Elle a fait sa recherche sur moi. Logique. « Ravis aussi. J’avais hâte de pouvoir vous remerciez en personne pour vos services. » Lui assurais-je. Je me dirige vers la porte que j’ouvre. Je la regarde, elle et son minaudage. Oh chérie, je m’attendais à mieux. Je la regarde simplement. « Allons boire un verre Lilas. Vous l’avez si gentiment demander … » Je quitte alors le bureau, me dirigeant vers le bar. Je m’y adosse et me tourne vers la jeune femme. « Qu’est ce que vous prendrez ? » Demandais-je en profitant d’être au bar pour scruter la salle et voir si tout se passer bien. Elle donne sa commande et je fais de même. Un whisky. Je regarde Chaley qui est comme toujours au bar. « Tu nous fera amener ça au salon numéro 3 ok ? Merci. » Je regarde Lilas. « Suivez moi, nous serons plus tranquille pour discuter dans un salon privé. »  Encore une fois, je ne l’attend pas et prend le chemin du salon, impatient de voir la suite de cette entrevue.
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MessageSujet: Re: (Jerilas) i'm too hot god damn.    (Jerilas) i'm too hot god damn.  EmptyMar 19 Juil - 15:24

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that bitch ?
Les mecs dans son genre, ça m’ennuie. En fait, si on résume la situation, je trouve cette ville ennuyeuse, ses habitants encore plus et les situations dans lesquelles je me mettais à s’endormir. Pourquoi avais-je décidé de me déplacer ? Pour faire la belle sans aucun doute. Car en vrai, le fric je n’en ai rien à foutre. Je pourrais aisément vider son compte bancaire en un clic de souris et le mec ne saurait jamais d’où la faille viendrait. Je savais déjà à quoi le lascar ressemblait. Pas mal. Si on compte que je suis dénuée de tout désir envers les êtres et que je ne prends la position horizontale que pour faire plaisir à Terrence, histoire qu’il me foute la paix. Je prends donc tout mon temps pour éteindre cette foutue cigarette. Pays de coincés. On ne peut plus fumer nulle part. « C’est dingue ce que vous êtes coincés les Australiens. On ne peut plus fumer nulle part mais par contre, tout le monde baise avec tout le monde dans n’importe quel endroit. » Pathétique. Et après on se demande pourquoi je suis sociopathe. Les gens ne sont que des primates qui ne pensent qu’à forniquer dans le seul but de ressentir du plaisir. L’acte charnel a perdu tout intérêt le jour de mes seize ans. Depuis, je suis constamment en retrait pour ce genre de choses. «Je vous arrête tout de suite. Je m’en contre fou de qui vous êtes, de vos autres patrons. Ce que je sais c’est que si vous êtes là, c’est que vous voulez être payé, que vous avez besoin de cet argent, et que c’est moi qui fait le chèque alors je vous suggère de faire attention ou mon argent ira à quelqu’un d’autre. » Il pointe un doigt –vengeur ?- vers moi et je suis prise d’une crise de fou rire. Mon dieu, ce mec est trop drôle. Je prends donc moi aussi appui sur le bureau pour plonger mon regard dans le sien. « Vous êtes un petit nerveux dis donc. Mon chou, si j’avais voulu ton argent, je me serai servie. Alors tu redescends d’un étage. Et comme je suis sympa je te laisse admirer ma beauté et en plus je te fais cadeau de ma prestation de ce soir. » Histoire de montrer à cet imbécile enragé que je n’avais pas besoin de son fric. « Je ne suis venue que pour faire la belle. Le reste n’est que broutille. » Je lui lance un sourire carnassier avant de reprendre place dans le fauteuil pour le fixer en attendant la suite.

Il se calme donc. Petit nerveux. Il doit être fougueux dans les moments intimes. Les hommes ont souvent tendance à perdre leur sang-froid pour un rien. Je croise mes longues jambes pour le remercier lors d’un compliment. «C’est normal. Votre réputation vous précède. » C’est bien mon chou, flatte-moi dans le sens du poil. Je chasse son dernier compliment d’un revers de la main. « Squirrel n’est qu’une interface informatique, monsieur Strauss. Rien de plus. Je travaille vite, bien. Sans sentiments, sans état d’âme. » A vrai dire, je ne me soucie pas tellement de ma réputation, ni de ce que je fais subir aux gens. Je m’en fous. Mais alors à un point ? Je note que le jeune homme ici présent m’a répondue dans ma langue natale. « Est-ce que toutes les personnes présentes dans le pays des kangourous a pris option français ou quoi ? J’ai l’impression qu’elle est plus courante que l’anglais. » Je passe une main nonchalante dans mes cheveux. Ça y est, je m’ennuie à nouveau. Je constate que le monsieur se met à rire. Qu’ai-je dit de drôle ? Ma relation avec les machines ? Je n’allais pas lui parler de ma relation avec l’alcool qui m’aide à oublier cette putain de nuit lors de ma seizième année. Et aussi le récent meurtre de ma mère. Effectué de ma main. Non. « Ca doit effectivement être d’une grande aide pour votre business. » Je pourrais lever les yeux au ciel mais ce n’est pas poli dans ce genre de situations. Je me contente juste de mâchouiller ma lèvre inférieure. « Tout comme ça doit être d’une grande aide de connaitre les mensurations de vos… » Comment les appeler ? Je trouve ça répugnant de toute manière. « Demoiselles. »

Puis on enchaine sur le sujet qui m’amène ici et je me rapproche de lui. Non pas pour tenter de le séduire. Certes, il n’est pas trop mal mais je ne suis pas là pour ça. Et je suis professionnelle. Mais plutôt pour lui montrer que ce qu’il cherchait était juste sous son nez. « C’est de votre faute, j’étais tellement surpris de vous voir. » Il me sourit et je lui rends par mimétisme. « Une bonne surprise j’espère. Je parle visuellement. J’ai très mauvais caractère mais ça… » Je pourrais vite devenir ton pire cauchemar mon mignon. Si l’envie t’en prend. Mais disons que pour le moment, je me contente juste de jouer au jeu du chat et de la souris avec lui. Reste à savoir qui est le chat et qui est la souris. Je l’informe donc de mes autres services. Autant faire ma pub n’est-ce pas ? « C’est bon à savoir. » J’espère bien. Il m’amuse pour les affaires. Alors disons que je ne me gêne pas pour réclamer un verre. Où sont les bonnes manières chez les Australiens ? Je prononce son prénom presque d’une voix suave. Avec mon lourd accent français, cela ne doit pas donner grand-chose. Puis, je me lève de mon siège de fortune. Je suis limite plus grande que lui. Je m’en fous. C’’est souvent le cas malheureusement. « Ravi aussi. J’avais hâte de pouvoir vous remerciez en personne pour vos services. » Ok, pas trop réceptif à mon minaudage. Je reprends donc mon masque impassible pour passer devant lui. « Inutile de me remercier. C’est mon job. Point. » Pire qu’un job. Une véritable passion. J’ai des dossiers sur tous mes clients qui attendent au chaud. Il ne faut pas me la faire à l’envers car les affaires de ceux qui sont louches peuvent malencontreusement tomber entre les mains de la police. Je suis dangereuse et je le sais. Un jour, je me ferai tuer pour ça. Sans aucun doute. « Qu’est-ce que vous prendrez ? » Je le regarde alors avant d’écouter sa commande. Whisky ? Allons pour un malt alors. « La même chose. » les cocktails de Barbie, très peu pour moi. « Tu nous fera amener ça au salon numéro 3 ok ? Merci. » Un salon privé ? Quelle chance. Je lève les yeux au ciel tandis qu’il pose les yeux sur une blonde assez jolie au bar. Les hommes et leur pénis. Une grande histoire d’amour. « Suivez-moi, nous serons plus tranquille pour discuter dans un salon privé. » C’est ça et pourquoi pas une lap-dance gratuite aussi ? Ou un plan à trois. Je le suis alors non sans mal pour parvenir au lieu de la discussion privée. Je prends donc place sur un canapé non loin de lui avant de me tourner pour le regarder et lui sourire. « Alors qu’attendez-vous de moi ? Rien de sexuel j’espère ? » Je laisse échapper un petit rire. Chat, souris ? La question est encore en cours de traitement.


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MessageSujet: Re: (Jerilas) i'm too hot god damn.    (Jerilas) i'm too hot god damn.  EmptyDim 24 Juil - 12:29



   
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    i'm too hot god damn.

J
’ai beau savoir que la jeune femme devant moi m’a rendu bien des services, son comportement, son attitude me mette hors de moi. Une chose est sûr, cette fille à du caractère et du répondant. D’habitude j’apprécie plutôt ça chez une femme mais là, elle en devient même difficile à cerner et donc, à mes yeux, dangereuse. Mon énervement la fait rire. Je la regarde,  sidéré par son fou rire alors que je lui fais clairement comprendre qu’elle joue avec le feu. «Vous êtes un petit nerveux dis donc. Mon chou, si j’avais voulu ton argent, je me serai servie. Alors tu redescends d’un étage. Et comme je suis sympa je te laisse admirer ma beauté et en plus je te fais cadeau de ma prestation de ce soir. » Je la regarde, atterré par  son culot. « Mon chou » ?  Vraiment ? Je me retiens de tout arrêté sur le champ. Que je l’avoue ou pas, j’ai besoin d’elle et de ses services. J’en ai rien a carré qu’elle m’offre sa prestation ou qu’elle soit une belle femme tout en jambe au lieu d’un gamin boutonneux. Je sens mon cœur battre à mes tempes tant la colère s’insinue en moi. «Je ne suis venue que pour faire la belle. Le reste n’est que broutille. » Cette fois c’est à mon tour d’éclater de rire. Faire la belle ? Mais bien sûr chérie … Je la regarde avant de lever les yeux en l’air, pas convaincu du tout. Elle me sourit avant  de prendre place dans le fauteuil. « Je ne vous crois pas et je n’ai pas le temps, ni l’envie de m’amuser. » On se fixe durant quelques secondes.
Je finis par me calmer, conscient qu’elle était en position de force puisque c’était moi qui avait besoin d’elle et pas le contraire. Je continuais cependant à penser qu’elle s’était déplacée dans un but précis même si elle ne voulait pas l’avouer. Je doutais qu’elle est rendue visite à ces « autres employeurs » quoi qu’elle en dise. Je n’étais pas idiot. Je refusais de la payer sauf si elle se montrait et la voilà débarquant au club telle une tornade de feu. Simple coïncidence ? Je ne crois pas. Je la complimente. Après tout elle est douée et elle doit bien le savoir. Elle me remercie. Sa réputation la précède. Je ne l’avais pas choisit à l’aveugle. J’avais besoin de quelqu’un de compétent. Je m’en contre fou de son physique, de son caractère du moment qu’elle continue de m’apporter les informations dont j’ai besoin et pour lesquels je la paye grassement. «Squirrel n’est qu’une interface informatique, monsieur Strauss. Rien de plus. Je travaille vite, bien. Sans sentiments, sans état d’âme. » Me dit-elle en balayant mes mots gentils d’un revers de la main. Ca m’apprendra tiens … Je hoche la tête. « Et bien soit, ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. » M’exclamais-je en riant. «Est-ce que toutes les personnes présentes dans le pays des kangourous a pris option français ou quoi ? J’ai l’impression qu’elle est plus courante que l’anglais. » Dit-elle en passant sa main dans ses long cheveux de feu. Je haussais les épaules. « Le français est une belle langue. » Dis-je simplement, d’un ton détaché, n’ayant pas de meilleure réponse à lui apporter. Mes grandes capacités avaient souvent pour effet que je me lasse vite alors j’avais décidé d’apprendre plusieurs langue pour éviter l’ennuie et satisfaire mon besoin de connaissances. Je ris à nouveau alors qu’elle me parle de sa relation avec l’outils informatique. Je suis sûr que ça doit l’aider à faire son boulot. «Tout comme ça doit être d’une grande aide de connaître les mensurations de vos… Demoiselles. » Je la regarde, amusé. « Sûrement. Bien que je ne connaisse pas les mensurations de toutes mes filles, seulement de certaines. » Lui répondis-je en la regardant.
On aborde enfin le vif du sujet. Je suis surpris quand elle me glisse devant les yeux le dossier alors qu’il était posé pas loin. Je rejette la faute sur elle. Notre petite guéguerre verbale plus la surprise de la voir m’avait empêcher de voir ce qui était pourtant sous mon nez. Je lui souris et elle aussi. Tiens, ça change. «Une bonne surprise j’espère. Je parle visuellement. J’ai très mauvais caractère mais ça… » J’attrape le dossier avant de lever les yeux vers elle et hochais la tête. « Une bonne surprise oui. Je serais fou si cela n’était pas le cas. » Je souris à nouveau. « Je n’aurais pas deviner pour votre caractère … Vous faites bien de me prévenir. » Je soutiens son regard quelques secondes avant de me plonger dans le dossiers pendant qu’elle m’informe des autres services qu’elle propose. Elle me demande de lui payer un verre. Cela me surprend légèrement même si je ne montre rien. Puis je suis encore plus surpris quand elle se présente à moi. Lilas. C’est un jolie prénom. Ce qui ne me surprend pas par contre c’est qu’elle connaisse mon prénom. Elle devait sûrement avoir un tas d’information sur moi. C’était de bonne guerre et tant qu’elle était réglo, moi ça m’allait. Je comprenais qu’elle devait sûrement devoir se protéger. Je lui assure être content de la voir en face. Cela me donnait l’occasion de la remercier pour ses services rendue. Sans pour autant rentrer dans les détails. «Inutile de me remercier. C’est mon job. Point. » Elle m’amuse. Vraiment. On sent bien qu’elle n’est pas du genre à faire du surplace. « Cela vous tuerez d’accepter un compliment sans argumenter ? » Lançais-je, taquin. On quitte le bureau et on se dirige au bar. Ce sera un whisky pour moi. J’attend alors de savoir ce qu’elle prend. «La même chose. » Je souris. Je demande à ce qu’on nous apporte nos verres dans l’un des salon privée du club. Pas que j’ai envie d’être seul avec elle mais pour discuter de ce que j’attend d’elle, mieux vaut  qu’il n’y est pas d’oreille indisrète. Je souris à mon employé. On se dirige ensuite vers le salon avant de prendre place. Elle s’assoit sur le canapé, venant non loin de moi. Cela m’amuse. «Alors qu’attendez-vous de moi ? Rien de sexuel j’espère ? » Elle rit. Je souris, secouant la tête. « Bien sur que non. Rien de sexuel ! Vous savez ce n’est pas par ce que je dirige un club que je suis un pervers ou un proxénète. » Je la regardais toujours, voulant mettre les choses aux clairs vu que ça semblait la dérangée. Je passais une main dans mes cheveux. « Donc … Entrons dans le vif du sujet. C’est à peu près la même chose que d’habitude. J’aimerais que vous me trouviez le plus d’information possible sur Tiffany Sawyer. Tout ce que vous pouvez. »
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