Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: (Juam) This is not a joke ... Ven 30 Déc 2016, 16:33
JUAM
This is not a joke...
Un souffle, tu n’as pas envie d’y aller, mais tu y vas quand même. Tu n’as pas le choix, tu es bien obligé de fait la femme d’affaires importante mais pourtant cela te fait mal au cœur d’aller lui demander de l’aide. Mais en même temps, tu as besoin d’un lieu comme ça, tu as besoin d’une suite. Habillée dans ta tenue traditionnelle de tailleur beige, tu avances pochette en main dans la rue avant de passer les portes de cet hôtel. A peine avais-tu passé l’encadré que tous les regards étaient déjà déposés sur toi. Tu n’aimais pas ça. Mais vraiment pas ça. A croire que tu étais comme une bête de foire. Tu souffles un coup, remontant la tête pour observer l’endroit un peu plus en détail. C’était vraiment très beau et c’était même un très bon lieu pour les événements à venir. Tu décidas de diriger vers l’accueil, après avoir marcher quelques pas pour sourire à cette dame. Tu la trouvais trop .. Superficielle. Elle avait, sans doute, du coucher avec Noam. Mais qu’importe pour toi, tu lui souris faiblement. « Serait-il possible d’avoir les clefs d’une suite libre s’il vous plait. » Tu lui tends ta carte professionnelle alors qu’elle te donne une clef sans rien dire. Elle t’indique comment s’y rendre et tu la remercies par un sourire simple, sans trop forcément non plus. Elle veut pas que tu lui offres des fleurs en plus ou quoi ? Tu commences à monter dans l’ascenseur, soufflant un coup quand les portes se referment. Tu n’aimes pas être en terre ennemie et encore moins quand tu ne sais pas si il est là. A peine les portes de l’ascenseur s’ouvre que tu commences à marcher et ouvrir la porte de la fameuse chambre. Libre et silencieuse, tu poses ton regard un peu partout avant d’entendre des pas derrière toi, tu souffles et tu te retournes en souriant grandement. « Noam ! Quel plaisir de te revoir ! Excuse moi, on avait rendez-vous ? Je crois avoir noter dans mon agenda qu’on devait se voir aujourd’hui, tu es en retard. » Plaisir de te revoir ?! Non. Rendez-vous ?! Non. Agenda ? Que dalle. Tu continues de lui sourire, déposant ta grosse pochette sur la table basse de la suite alors que tu avances du haut de tes talons de dix centimètres. Il a l’air de faire la tête et tu souffles un coup. « J’ai pas le droit de venir voir mon fiancé adoré en train travail, à croire que cette grosse mégère de réceptionniste n’est pas capable de garder sa langue dans sa bouche ! A moins qu’elle l’a autre part, ça reste à voir. Et puis, je ne fais qu’emprunter les clefs, je te les rends après. Promis ! » Tu souffles, toujours obliger de se justifier avec lui, cela devient très chiant assez compliqué sérieux. Mais tu ne réfléchis quelques secondes pour essayer de contrer ses attaques qui risquent d’arriver dans peu de temps.
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Un souffle, tu n’as pas envie d’y aller, mais tu y vas quand même. Tu n’as pas le choix, tu es bien obligé de fait la femme d’affaires importante mais pourtant cela te fait mal au cœur d’aller lui demander de l’aide. Mais en même temps, tu as besoin d’un lieu comme ça, tu as besoin d’une suite. Habillée dans ta tenue traditionnelle de tailleur beige, tu avances pochette en main dans la rue avant de passer les portes de cet hôtel. A peine avais-tu passé l’encadré que tous les regards étaient déjà déposés sur toi. Tu n’aimais pas ça. Mais vraiment pas ça. A croire que tu étais comme une bête de foire. Tu souffles un coup, remontant la tête pour observer l’endroit un peu plus en détail. C’était vraiment très beau et c’était même un très bon lieu pour les événements à venir. Tu décidas de diriger vers l’accueil, après avoir marcher quelques pas pour sourire à cette dame. Tu la trouvais trop .. Superficielle. Elle avait, sans doute, du coucher avec Noam. Mais qu’importe pour toi, tu lui souris faiblement. « Serait-il possible d’avoir les clefs d’une suite libre s’il vous plait. » Tu lui tends ta carte professionnelle alors qu’elle te donne une clef sans rien dire. Elle t’indique comment s’y rendre et tu la remercies par un sourire simple, sans trop forcément non plus. Elle veut pas que tu lui offres des fleurs en plus ou quoi ? Tu commences à monter dans l’ascenseur, soufflant un coup quand les portes se referment. Tu n’aimes pas être en terre ennemie et encore moins quand tu ne sais pas si il est là. A peine les portes de l’ascenseur s’ouvre que tu commences à marcher et ouvrir la porte de la fameuse chambre. Libre et silencieuse, tu poses ton regard un peu partout avant d’entendre des pas derrière toi, tu souffles et tu te retournes en souriant grandement. « Noam ! Quel plaisir de te revoir ! Excuse moi, on avait rendez-vous ? Je crois avoir noter dans mon agenda qu’on devait se voir aujourd’hui, tu es en retard. » Plaisir de te revoir ?! Non. Rendez-vous ?! Non. Agenda ? Que dalle. Tu continues de lui sourire, déposant ta grosse pochette sur la table basse de la suite alors que tu avances du haut de tes talons de dix centimètres. Il a l’air de faire la tête et tu souffles un coup. « J’ai pas le droit de venir voir mon fiancé adoré en train travail, à croire que cette grosse mégère de réceptionniste n’est pas capable de garder sa langue dans sa bouche ! A moins qu’elle l’a autre part, ça reste à voir. Et puis, je ne fais qu’emprunter les clefs, je te les rends après. Promis ! » Tu souffles, toujours obliger de se justifier avec lui, cela devient très chiant assez compliqué sérieux. Mais tu ne réfléchis quelques secondes pour essayer de contrer ses attaques qui risquent d’arriver dans peu de temps.