Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Lun 5 Nov 2012 - 15:09
Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air !
Je tenais Winnie par le bras, craignant que ses jambes ne la lâchent d'un moment à l'autre. Elle zigzagua jusqu'à son lit puis se glissa sous les couvertures. Je remontai les draps jusqu'à son menton avant de murmurer : « Tu préfères que je reste ici cette nuit..? » Aucune réponse. Winnie venait de s'endormir. Je souris en voyant son visage apaisé qui lui donnait presque un air de petit ange, ce qui n'était pas le cas il y a une heure à peine lorsqu'elle draguait ouvertement un type douteux au bar.
Je fis le tour du lit pour venir me coucher à côté d'elle. Mes yeux irrités par la fatigue menaçaient de plus en plus de se fermer. La dernière image qui atteignit mon cerveau fut celle de la cage thoracique de Winnie, se soulevant et s'abaissant de façon régulière au rythme de sa respiration. Puis, le sommeil m'emporta.
Une lumière éblouissante m'extirpa des bras de Morphée. Je me redressai, le cerveau en compote, avant de jeter un coup d'oeil à la jeune femme qui dormait toujours. Son réveil indiquait dix heures. Je sortis du lit pour prendre le risque de la réveiller. Je vins m'asseoir à côté d'elle et caressai doucement sa joue. « Winnie ? Hey, grosse marmotte ? Réveille-toi. » Elle ouvrit enfin les yeux mais ne sembla pas me reconnaître. Elle savait qui j'étais au moins ? J'espérais que oui. Pas envie de savoir si elle était championne de karaté dans l'immédiat et si elle s'apprêtait à me foutre à terre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Lun 5 Nov 2012 - 18:34
Aidan & Winnie
«Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! » ⋉
Ta tête te tourne, de cette façon précise. L’effet de l’alcool, à n’en pas douter. Tes pensées sont chamboulées, brumeuses, dans le vague. Tu as l’impression d’être dans du coton. Tu as trop bu, alors que tu ne tiens pas tant que ça à l’alcool, mais cet homme, celui qui t’offrait des verres, était attirant, plus vieux, enfin, tu craquais pour lui, alors tu t’es laissée faire. Tu sens qu’on te soutient, et tu ne cesses de chanceler. Tu tournes la tête et croises le regard bleu électrique d’un homme. Comment il s’appelle encore ? Tu sais que tu connais son prénom, mais plus moyen de le trouver. Andy ? Harry, Eden ? Aidan, c’est ça ! Il t’emmène chez toi, parce que tu commences à reconnaître ton immeuble. Il te met dans ton lit, et tu te roules en boule, alors que ta tête te tourne fort. Les battements fous de ton cœur se calment, et tu entends sa voix au loin. Tu ne comprends pas ses paroles, non, tu t’endors. Ton sommeil est lourd, étrange, et agité. Tu te réveilles, pour te rendormir. Soudain, un mouvement, que tu perçois sans t’en soucier. Et puis une voix. Qui t’appelles, toi. Tes paupières s’ouvrent, montrant tes yeux bleus, écarquillés. Qui c’est ? Et surtout, qu’est-ce qu’il fout dans ta chambre bordelou ?! Tu te souviens de pas grand grand-chose de cette soirée, quelques passages flous, comme des flashbacks. Tu ouvres la bouche, pour la refermer de suite, et tu fermes tes yeux en émettant un très sexy grognement. Tu te tournes afin d’échapper à son regard, et tu prends la parole d’une voix rauque, et timide. « Salut… » tu marques une pause, cherchant désespérément son prénom. Sans arriver à mettre la main dessus. Tu soupires. « Désolée, mais j’me souviens pas de ton prénom. Ce qui prouve que ce devait être une soirée particulièrement bien… » Tu cherches ainsi une réponse. Vous avez passés la nuit ensemble, oui ou non ? Il est dans ton appart’ donc faut croire que oui. Mais t’en doutes, parce que vous êtes tout les deux habillés. Enfin, t’en as l’impression, alors histoire d’être sûre, tu passes vite fait ta tête sous ta couverture. Ouep, t’es habillée. Qu’est-ce que vous avez foutu hier soir donc ?
NB - J'mets en page tantôt, après mon devoir de math
Dernière édition par N. Winnie-M Montgomery le Mer 7 Nov 2012 - 21:16, édité 1 fois
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Mar 6 Nov 2012 - 23:25
« Salut… » Winnie semblait surprise par ma présence. Sa voix encore ensommeillée me fit sourire et son air timide eut le don de m'attendrir. Vu son état de la veille, elle ne devait pas se souvenir de ce qui aurait pu se passer. Elle finit par soupirer avant d'avouer: « Désolée, mais j’me souviens pas de ton prénom. Ce qui prouve que ce devait être une soirée particulièrement bien… » Je levai les yeux au ciel. Décidément, je n'étais pas au bout de mes peines avec cette fille. J'espérai au moins que la mémoire finirait par lui revenir et que je n'aurais pas à lui raconter la soirée d'hier en détail. Je haussai les épaules avant de lui répondre. « Mon prénom ? Aidan. Tu arriveras à le retenir plus de dix minutes, tu crois ? » dis-je d'un ton moqueur. Ma remarque n'avait rien de méchant mais j'étais quand même le preux chevalier de cette demoiselle en détresse alors si elle pouvait mémoriser mon prénom suffisamment longtemps pour que je passe à la postérité, ce serait cool.
« Sinon... repris-je. Oui, on peut dire que c'était une bonne soirée. Enfin, surtout pour toi. » Voir l'incompréhension s'immiscer sur son visage avait quelque chose d'amusant même si je dois avouer que je me montrais un peu trop cruel avec elle en manipulant les éléments qui lui échappaient. Je me relevai, passant ma main dans mes cheveux. « T'as faim ? Je peux te préparer un truc à manger si tu veux. Comme ça, ça te laissera le temps de... changer de tenue. » Au moins, une fois l'estomac rempli, Winnie aurait peut être les idées plus claires. Je quittai sa chambre pour me rendre dans la cuisine et fouiller les armoires afin de trouver une poêle. Toutes celles que je saisis avaient le fond totalement... brûlé. « Euh... C'est normal que toutes tes poêles soient carbonisées ? » lançai-je de la cuisine. Si elle avait un petit ami et que c'est elle qui cuisinait, celui-ci ne devait manger que des cendres. Enfin, vu la soirée d'hier, je supposai que Winnie était célibataire... Et c'était peut être mieux pour l'estomac de celui qui aurait pu partager sa vie (a). Lorsque je trouvai enfin une poêle potable, je jetai un carré de beurre dedans et préparai de la pâte à crêpe avec ce que je trouvais dans la cuisine peu fournie de Winnie.
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Mer 7 Nov 2012 - 21:11
Aidan & Winnie
«Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! » ⋉
Un sourire se dessine sur le visage de l’inconnu. Mais bon sang, pourquoi sourit-il ? Tu ne comprends pas, et tu n’as pas envie de chercher une explication au pourquoi du comment. Pas maintenant. Parce que là, pour le moment, ta tête te lance, t’as l’impression qu’un nain particulièrement en colère tape contre un gong chinois, le truc qu’ya dans les salles de relaxation-là. Et t’apprécies pas cette sensation qui est bien plus douloureuse qu’on peut penser. Tu gères pas les lendemains d’la veille toi. Mais pourtant, t’aime la fête qu’y a la veille. Bref. Pour l’heure, tu regrettes, parce que t’as un peu envie de vomir –mais ça, ça va, c’est très léger, juste un petit mal d’estomac, qui s’en ira après avoir manger, vomi, ou bu (de l’eau hein !)- , et t’as ce putain dans nain en colère dans la tête. Tu ne remarques pas ses yeux qui montent vers ton plafond, trop occupée à chercher malgré tout une explication. « Mon prénom ? Aidan. Tu arriveras à le retenir plus de dix minutes, tu crois ? » Tu soupires exaspérée. T’es blonde, mais pas conne bon sang ! Tu lui lances un regard mauvais et noir. « Ch’sais pas, faut voir si ça vaut la peine que je m’en souvienne. » réponds-tu du tac au tac. Na ! Bien sur que tu t’en souviendras, t’as pas vu là ! Soudain, le Mister Enquiquineur reprend la parole. T’es pas sûre de vouloir entendre la suite. « Sinon... Oui, on peut dire que c'était une bonne soirée. Enfin, surtout pour toi. » Tes yeux bleus s’écarquillent. Tu comprends pas, tu sais pas, plus, et t’aimerais savoir. Puis il insinue quoi là, le brundinet –blondinet ça donne mieux bref. - Tu as passé une bonne soirée. « T’insinues quoi là Aidan ? » Tu insistes en exprès sur son prénom. Chiante toi ? Jamais. Il se lève, en passant une main dans ses cheveux bruns. Dieu ce qu’il est sexy quand il fait ça. « T'as faim ? Je peux te préparer un truc à manger si tu veux. Comme ça, ça te laissera le temps de... changer de tenue. » Tu plisses les yeux. Il essaye d’être sympa là ? T’en reviens pas non plus. Puis tu lèves les yeux au ciel. « Pas besoin de me changer tu sais. » T’es toujours vêtue de ta tenue de la veille, une mini-robe, qui pour le moment, te remonte jusqu’à la poitrine, mais ça, il ne le sait pas, vu que t’es cachée par tes couvertures. Il quitte ta chambre pour se rendre dans ta cuisine, et t’en profite pour te lever en douceur, pour ne pas énerver encore plus M. Le Nain psychopathe qui a emménagé dans ton crâne. Ensuite tu passes vite fait à la salle de bain, où tu te débarbouilles vite fait, et où tu enfiles un t-shirt qui appartient à Ezra, qui est trop grand pour toi, et qui cache pas la moitié de tes fesses-mais t’as des sous-vêtements quand même hein-. Mais bon, si ce qui c’est passé hier c’est passé bah. Il a déjà vu tout ça hein. Alors que tu te changes, tu l’entends crier, et ça te fait marrer. Cuisiner, t’as jamais été très douée. Enfaite, douée tout court. Tu fais tout cramer. « Euh... C'est normal que toutes tes poêles soient carbonisées ? » Tu rappliques dans la cuisine, avec tes pantoufles têtes de chatons gris –susu- et tu l’observes. Un homme qui te cuisine un petit dej’, ça arrive tout les 36 du mois ça ! Il est beau, tu dois l’avouer, un caractère de cochon, mais beau. « Oui, c’est normal, j’ai un talent pour faire tout cramer, c’est dingue ! » Tu t’approches, et passes ta tête au dessus de son épaule. « Tu fais quoi ? »
NB - Sorry, j'ai fait un roman, t'es pas forcé de m'répondre pareil hein
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Ven 9 Nov 2012 - 22:04
Avant que je ne file comme un lâche jusqu'à la cuisine, Winnie m'avait demandé ce que mes insinuations fallacieuses insinuaient, ce à quoi j'avais répondu par un sourire à la fois lubrique et moqueur. Quoi ? C'était drôle de la voir dans l'incompréhension totale. Bon, il y a bien un moment où je devrais lui avouer que je n'avais rien introduit en elle et que je m'étais contenté de dormir à ses côtés sans même l'imaginer toute nue.
Alors que je quittai la pièce pour passer dans la cuisine, Winnie me signala qu'elle n'aurait pas besoin de se changer. Ah oui, c'est vrai, j'avais oublié que les princesses sentaient toujours la fraise et la vanille même après deux mois passé dans la même robe. Je préférai taire mes pensées avant qu'elle ne me balance à la figure une autre réplique cinglante.
Je m'activai autour de la cuisinière pendant que la jeune femme faisait je-ne-sais-quoi dans la salle de bain. Lorsque la pâte à crêpe me sembla prête à être versée dans la poêle, Winnie fit son apparition dans la cuisine. Je tournai la tête vers elle et ne put m'empêcher de rougir en voyant où arrivait le t-shirt qu'elle portait. Je reposai mon regard sur la poêle au fond noirci. « Oui, c’est normal, j’ai un talent pour faire tout cramer, c’est dingue ! » Je posai un regard méfiant sur elle, plissant les yeux pour prendre un air menaçant - pas très crédible, j'avoue. « C'était censé me rassurer, Winnie ? »
Lorsque le beurre eut fondu dans la poêle, je versai un peu de pâte à crêpe dedans. Par miracle, ça sentait pas trop le brûlé. Je sentis le corps de Winnie se rapprocher du mien et, du coin de l'oeil, je vis sa tête passer par dessus mon épaule. « Tu fais quoi ? » Je souris avant de lui répondre : « Des crêpes. T'aimes bien, au moins ? » C'est vrai que ça aurait été bien que je connaisse cette information. J'avais opté pour des crêpes parce que... Qui n'aime pas ça ? Mais de toute façon, maintenant que la pâte était faite, il fallait bien en faire quelque chose.
La présence de Winnie, toute proche de moi, me déconcentrait quelque peu. Pour éviter de foirer toute la série de crêpe, je me retournai et poussai la jeune femme en arrière, jusqu'à ce que son postérieur heurte la table de la cuisine. Je la soulevais pour l'asseoir sur le meuble, lui lançant un regard malsain tellement la position pouvait prêter à confusion. Je m'écartai aussitôt avant de lancer : « Ça va me perturber si tu restes collée à moi pendant que je cuisine alors reste là, juste le temps que j'ai fini. »
Je retournai à mes fourneaux et bientôt, j'amassai un petit tas de crêpes dorées dans une assiette. Je jetai une pincée de sucre sur celles-ci avant de jeter un coup d'oeil discret en direction de Winnie. « Dis... Après la robe courte, le t-shirt au ras des fesses... Je peux espérer te voir te balader en sous-vêtements d'ici dix minutes ? » J'aimais bien la narguer. Elle était mignonne quand elle démarrait au quart de tour, je dois l'admettre.
Je transportai l'assiette du meuble à la table, la déposant juste à côté des fesses de Winnie. Je découpai un morceau de crêpe, que j'empalai cruellement sur une fourchette. Je la portai jusqu'aux lèvres de la jeune femme. « Tu ouvres la bouche ? Faut que je sache si c'est mangeable. »
Réponse NB: mais je ne me suis pas senti forcé
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Sam 10 Nov 2012 - 9:11
Aidan & Winnie
«Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! » ⋉
Tu poses la question. Que voulaient dire ses insinuations douteuses. Aviez-vous ou non coucher ensemble ? Passer la nuit ensemble, cela te semble clair, mais êtes-vous aller plus loin ? Ce à quoi il te répond par un sourire moqueur. Tu soupires, et le foudroie du regard avant de lever les yeux au ciel. Les hommes tous pareil. Sur cette pensée, tu te retrouves seule dans ta chambre, alors que le monsieur est allé se réfugier dans ta cuisine, derrière les fourneaux. Impressionnée toi ? Jamais…
Tu files quand même dans la salle de bain, histoire de voir ton état. Ca va, tu fais pas encore trop peur, juste un peu Tes cheveux blonds sont quelque peu emmêlés, et comme tu ne t’es pas démaquillée, et bien, ton mascara a fait des paquets pas ultra sexy et ragoutant. Tu prends donc dans ton armoire une lingette démaquillante et entreprends de te démaquiller le visage avant de passer ce dernier sous l’eau. Puis tu enfiles quelque chose de plus confortable, un t-shirt d’Ezra, ton super coloc. Ensuite, direction la cuisine, vêtue très légèrement, ce qui a le don de faire rougir Aidan, alias le cuistot, oui, tu remarques ses joues soudain un peu rosées, à part un sourire de vainqueur, tu ne fais rien, ou ne dis rien. Le beau brun tenait une poêle dans une main, et te demandait le pourquoi du comment de son état. Tu lui expliques avec un sourire, et t’approches de lui, malgré son regard censé être menaçant. « C'était censé me rassurer, Winnie ? » Tu plantes ton regard dans le sien, et lui susurres. « Je ne sais pas, tu veux être rassuré ou pas ? » Tu restes à coté de lui, ta tête presque posée contre son épaule. T’aimes le contact, les câlins, tout ça, et tu es très, parfois peut-être même trop, tactile. Et il y en a plus d’un que ça énerve ou exaspère.
Au bout d’un moment, Aidan versa le liquide que t’as jamais réussi à obtenir, même après maintes et maintes tentatives, dans la poêle, et toi, tu te rapproches encore, allant, sans le chercher, ou l’avoir voulu, à coller ton corps contre le sien, ta tête passant au dessus de l’épaule du brun. Tu demandes pour être sûre ce qu’il fait. « Des crêpes. T'aimes bien, au moins ? » T’avais vu juste. Tu hoches la tête, et lui colles un baiser sur la joue, par impulsivité. « Qui n’aime pas ça ? » demandes-tu pour toute réponse, en restant toujours aussi proche de lui.
Mais il devait commencer à en avoir marre de cette proximité parce qu’il te poussa. Ou peut-être en voulait-il plus ? Parce qu’il te poussa jusqu’à ce que la table soit toute proche, et il te souleva pour t’asseoir dessus. Vêtue d’un t-shirt qui soudain paraissait riquiqui, les jambes plutôt écartées à cause de ce soudain portage, et son air plutôt pervers, cette scène laissait imaginer pas mal de choses. Tu lui lances un regard interrogatif, et limite chaud-bouillant du genre ‘Euké, tu veux qu’on fasse ça ici ?’ Mais il s’écarta, et s’expliqua alors. « Ça va me perturber si tu restes collée à moi pendant que je cuisine alors reste là, juste le temps que j'ai fini. » Une moue boudeuse apparaît sur tes lèvres, et tu le regardes comme une enfant triste, puis une petite lueur anime tes yeux. « Oooh, je vois. Ca te perturbe parce que je te plais, c’est ça ? » Tu résistes à l’envie de sauter de la table pour aller te rapprocher de lui. Et le regarde retourner auprès des maudites plaques de cuisine.
Il est doué ce gars pour cuisiner, en un rien de temps, il y a une assiette remplie d’une pile de crêpes toutes aussi appétissantes les unes que les autres. « Dis... Après la robe courte, le t-shirt au ras des fesses... Je peux espérer te voir te balader en sous-vêtements d'ici dix minutes ? » Un petit rire s’échappe de tes lèvres, et cette fois, tu ne te retiens pas, et tu t’approches de lui. « Serait-ce une demande ? Je peux le virer ce t-shirt tu sais. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Puis, tu n’as pas à demander de manière si détournée tu sais. » Tu t’amuses à le chercher, à jouer avec lui, et en même temps que tu parles, tes mains relèvent de plus en plus ton t-shirt, laissant voir clairement tes fesses recouvertes d’un fin tissu rouge, et ton ventre plat. Puis d’un coup, tu lâches tout, et va t’asseoir à nouveau sur la table, avec un petit bond plein d’énergie.
Il s’approche de toi, avec la fameuse assiette, qu’il pose à coté de tes fesses, tu le regardes faire. Couper un bout, le piquer avec les dents de la fourchette, et ensuite l’approcher de tes lèvres. Tu louches dessus. « Tu ouvres la bouche ? Faut que je sache si c'est mangeable. » Tu ouvres de grands yeux. « Quoi ? Parce que je suis un cobaye en plus ? » Néanmoins, tu ouvres la bouche, et attrapes du bout des dents le bout de crêpes. « Mmm. » dis-tu limite comme un gémissement, les yeux clos. Quoi, t’as jamais réussi à faire ça, alors bon, tu t’émerveilles toujours facilement des gens qui savent cuisiner. « Encoooore ! » souris-tu.
NB - Tant mieux alors
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Sam 10 Nov 2012 - 18:05
« Je ne sais pas, tu veux être rassuré ou pas ? » Je n'étais pas certain d'avoir saisi le sens profond de la phrase de Winnie. Elle voulait dire quoi par là ? Je fronçai les sourcils, posant sur elle un regard interrogateur. « Euh... On va juste dire que tant que tu gardes tes tendances pyromanes loin de mes cheveux, tout devrait bien se passer. »
Alors que, préparant déjà les crêpes, je venais seulement de lui demander si elle aimait bien ça, elle me répondit par l'affirmative. « Qui n’aime pas ça ? » Je soupirai de soulagement et ne pus m'empêcher sourire car Winnie avait dit tout haut ce que j'avais pensé tout bas. Elle me déconcerta d'autant plus en venant coller ses lèvres sur ma joue. Je tournai la tête vers elle, surpris, mais souriant malgré tout parce que son geste était mignon. « Ça t'arrive souvent de te taper des phases bisous comme ça, sans raison ? Et, en passant, heureusement que j'ai pas tourné la tête à ce moment-là. »
Mais le côté hyper tactile de Winnie avait tendance à me... déconcentrer et si je voulais éviter de foutre le feu à sa cuisine, il fallait que je l'éloigne, juste le temps d'amener la cuisson des crêpes à bon port. Je déposai la jeune femme sur la table et, lorsque je m'eus éloigné d'elle, elle parut déçue. Mais encore une fois, elle allait trouvé une technique infaillible pour me mettre mal à l'aise. « Oooh, je vois. Ca te perturbe parce que je te plais, c’est ça ? » L'aplomb de la jeune femme me surprit, encore une fois, et mes yeux, s'agrandissant d'étonnement, ne pouvaient que lui faire remarquer qu'elle me désarçonnait par son côté sans-gêne.
Mes joues rougirent à nouveau d'embarras et je m'empressai de me retourner avant de lâcher: « Fais pas l'innocente, t'es pas déplaisante à regarder. Mais peut être que si tu étais plus habillée, je serais moins perturbé. » Bien sûr, on avait passé toute la matinée à se chercher donc la jeune femme ne faisait que me rendre la monnaie de ma pièce. D'ailleurs, lorsque j'eus le malheur de lui demander quand je pourrais la voir en sous vêtements, elle me répondit avec toute l'audace qui la caractérisait. « Serait-ce une demande ? Je peux le virer ce t-shirt tu sais. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Puis, tu n’as pas à demander de manière si détournée tu sais. » Elle s'approcha de moi, soulevant doucement son t-shirt pour me laisser apercevoir un bout de ventre et ses fesses. Mais n'allez rien vous imaginer : elle mit fin au striptease avant de tout dévoiler et alla se rasseoir bien sagement. Je ne pus m'empêcher de sourire avant de lâcher: « T'es pas croyable... »
Une fois les crêpes accumulées en un petit tas sur une assiette, je revins vers Winnie pour lui en faire goûter l'une d'entre elles. Je lui demandai d'ouvrir la bouche, pour la nourrir comme une enfant et qu'elle serve de crash test, par la même occasion. Cette idée ne sembla pas lui plaire. « Quoi ? Parce que je suis un cobaye en plus ? » Mais finalement, elle obtempéra. Je la regardai s'extasier en mâchant le morceau de crêpe, ce qui m'amusa beaucoup. « Te tape pas un orgasme tout de suite... » lui susurrai-je. Pendant qu'elle avait les yeux clos, j'en profitai pour la regarder d'un peu plus près. Des jolis cheveux dorés, un beau teint, une peau qui semblait très douce, des longs cils de biche... Et toutes les autres parties de son corps qu'elle m'avait laissé entrevoir étaient plutôt charmantes... C'est vrai qu'elle était canon. Elle rouvrit les yeux: « Encoooore ! » Je souris, amusé par son air enfantin avant de lui lancer un regard de défi: « Ça arrive... Mais j'aurais quoi en échange de mes loyaux services de super cuisto, et tout ? »
Sur ce, je pris place à côté d'elle, sur la table, l'assiette de crêpes sur mes genoux. Je découpai un nouveau morceau de crêpe, pour moi, parce que je crevais quand même un peu la dalle. Je répétai le même geste mais cette fois, j'allais laisser ce morceau-là à Winnie. Je plaçai la fourchette devant sa bouche, attendant qu'elle l'ouvre, enchaînant sur un autre sujet. « Au fait, je suppose que tu veux toujours savoir si on a couché ensemble hier ? Et si c'est pas le cas, je suppose que tu voudras réparer cette erreur. » lui lançai-je sur un ton qui n'avait rien de sérieux. Enfin, je crois (a).
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Sam 10 Nov 2012 - 20:49
Aidan & Winnie
«Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! » ⋉
Tu éclates de rire. « Oooh monsieur à un amour surdimensionné pour sa touffe brune ! » plaisantes-tu en passant une main dans la dite touffe de cheveux bruns. Ok, c’était surtout une bonne excuse pour faire ça, parce qu’il faut avouer que t’en mourrait d’envie depuis déjà pas mal de temps. Depuis que tu t’es réveillé avec lui près de toi, et que t’as vu ses cheveux. Mais passons.
Il soupire, à première vue, ton propos le rassure. Et tu remarques un sourire qui se dessine sur ses lèvres, ce qui pique ta curiosité. « Pourquoi tu souris d’un coup ? » demandes-tu comme une enfant. Tu as souvent des petites questions innocentes comme ça, comme une petite enfant. T’as jamais tout à fait quitter cette période, parfois tu te caches derrière ça, cette innocence, pour ne pas avoir à faire face au monde. Mais pour le moment, ça t’es juste venu naturellement. Puis, tu colles un baiser sur sa joue, sous une soudaine envie, et il tourna la tête vers toi, un sourire aux lèvres. Il doit te prendre pour une folle, à coups surs. « Ça t'arrive souvent de te taper des phases bisous comme ça, sans raison ? Et, en passant, heureusement que j'ai pas tourné la tête à ce moment-là. » Tu rigoles légèrement. « Très souvent en faite, en général, c’est Ezra qui doit me supporter dans ces moments. Moi j’aurais dit dommage que t’aie pas tourné la tête à ce moment-là. » dis-tu avec un sourire d’ange.
Il te porte sur la table, et tu te laisses faire, allant même jusqu’à essayer d’enflammer les choses. Tu te rends bien compte que tu le déconcentre, tu fais souvent cet effet aux gens, tu es directe, vive, et tu n’y vas pas par quatre chemins, ce qui désarçonne souvent les autres. Et ce qui a le don de t’amuser bien souvent. Tu aimes en jouer, jouer avec les autres, mais pas méchamment, parce que t’es pas méchante, t’es juste perdue. Tu trouves la bonne phrase à répliquer, et avises ses yeux bleus qui s’agrandissent d’un coup. Un sourire satisfait nait sur tes lèvres pulpeuses, et tu te mets à bouger d’une fesse à l’autre, trouvant rien de mieux à faire.
Les joues du brun virent au rouge, et soudain, tu te sens légèrement coupable de lui faire subir ça. T’as l’air d’un chat qui fait mumuse avec une souris avant de la manger. « Fais pas l'innocente, t'es pas déplaisante à regarder. Mais peut être que si tu étais plus habillée, je serais moins perturbé. » A ton tour de sourire légèrement, très légèrement. « J’avais pas envie de m’habiller plus, désolée. Maintenant, je peux m’habiller moins, comme ça, tu seras totalement perturbé. » Tu sais pas quoi répliquer, alors tu commences à raconter n’importe quoi, le tout agrémenté d’un sourire joyeux. Mais t’es réellement prête à virer ce bout de tissu qui appartient à ton colocataire. Sans la moindre hésitation. D’ailleurs, tu lui donnes rapidement un avant-gout de ce qu’il pourrait, s’il le voulait, avoir, le tout en soulevant avec douceur, et précision ton t-shirt, dévoilant ta peau hâlée, et ton ventre plat. Tu sais que tu as un corps plutôt parfait, et t’aimes aussi en jouer. Et là, c’est sans remords que tu le fais. Avant de retourner sagement à ta place. « T'es pas croyable... » Tu souris, et l’observes terminer les crêpes. « En effet, c’est bien que tu t’en rendes compte. »
Une fois la préparation terminée, il revient vers toi, une assiette surmontée d’un tas de crêpes dans une main. Tu ouvres la bouche, même si tu sais que tu dois faire le cobaye, mais cette odeur t’enivre, t’envoute, t’as envie de manger toute la pile de crêpes. Et pourquoi pas si c’est Aidan qui te donne à manger en te regardant dans le blanc des yeux /OUT/ Après avoir quelque peu râler d’être le cobaye, tu ouvres la bouche, et profites de ce met délicieux en ponctuant cela par de petits gémissements de contentement. « Te tape pas un orgasme tout de suite... » Tu éclates de rire, et l’attires à toi, le coinçant avec tes jambes. « Tu voudrais peut-être être celui qui me fait m’en taper un ? » dis-tu sur le même ton. Tu ouvres les yeux lentement, laissant peu à peu l’océan bleu qu’étaient tes prunelles se dévoiler. Tu cris un ‘encore’ qui a le don d’amuser le beau brun. « Ça arrive... Mais j'aurais quoi en échange de mes loyaux services de super cuistot, et tout ? » Tu fais mine de réfléchir. « Eum… » Tu poses un doigt sur tes lèvres. « Ce que tu voudras ou presque. Donne ton prix mon beau. » lances-tu. Si ça c’était pas une invitation claire et nette.
Il s’installe à tes cotés, l’assiette sur les genoux. Il découpe un bout de crêpe, et tu crois qu’il t’es destiné, mais enfaite non, c’est pour lui. Une mine tristounette s’inscrit sur tes traits, mais il répète le geste, et place la fourchette devant tes lèvres que tu ouvres afin d’attraper le bout de crêpe. « Au fait, je suppose que tu veux toujours savoir si on a couché ensemble hier ? Et si c'est pas le cas, je suppose que tu voudras réparer cette erreur. » Tu tournes ta tête vers lui. « Je sais qu’on a pas couché ensemble. » T’en es persuadée. Pourquoi ? C’est simple, il est là, à te faire à manger, et il ne t’a pas touché, ni essayé de te foutre à poil. Les autres se seraient tirés, ou seraient occupés à s’envoyer en l’air avec toi en ce moment. Mais ça tu vas pas lui dire. Tu veux pas qu’il te voit comme ça. Mais il a raison sur une chose. T’as bien envie de réparer cette erreur.
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Dim 11 Nov 2012 - 1:55
Winnie se moqua de mon amour exacerbé pour ma chevelure et en profita pour passer sa main dans ma tignasse. Aussitôt, je me mis à râler: « Winnie, t'abuses ! Pour une fois que mes cheveux partaient pas trop en cacahuète... » Cette fille avait un don pour briser tous mes espoirs.
Lorsque Winnie m'annonça, de façon indirecte, qu'elle aimait les crêpes, je souris parce que la phrase qu'elle avait prononcé, la petite voix qui habitait ma tête l'avait dite de la même manière. Curieuse, la jeune femme chercha à savoir ce qui m'amusait assez pour me décrocher un sourire. Je haussai les épaules: « Pour... Un truc sans importance. » Ouai, casser le mythe du beau brun mystérieux, c'est pas mon genre. Même si pour le coup, je cachais pas grand chose.
Je demandai à Winnie si elle était souvent dans des périodes câlines et, en bonus, j'ajoutai une petite remarque sur la possibilité que nos bouches aient pu se rencontrer, accidentellement bien sûr. « Très souvent en faite, en général, c’est Ezra qui doit me supporter dans ces moments. Moi j’aurais dit dommage que t’aie pas tourné la tête à ce moment-là. » Je lâchai un rire nerveux avant de reprendre mon sérieux pour ignorer la dernière insinuation de Winnie. « Oh, c'est qui Ezra ? Ton frère ? »
Malgré nos passages incessants vers des sujets plus banals, il fallait que nous revenions toujours au même point : le sexe. D'ailleurs, lorsque j'expliquai à Winnie que, oui, son manque de pudeur me perturbait, il fallut qu'elle me provoque d'autant plus. « J’avais pas envie de m’habiller plus, désolée. Maintenant, je peux m’habiller moins, comme ça, tu seras totalement perturbé. » Ma bouche s'entrouvrit légèrement sans qu'aucun son n'en sorte puis, ne trouvant rien à répliquer, je la refermai. Je réfléchis un moment avant de lui répondre, encore une fois, par une question. « Et tu perturbes tous les inconnus qui rentrent chez toi ou je peux me sentir un peu VIP ? »
Ce n'était pas forcément une pique mais j'étais en train de me dire que Winnie était plutôt téméraire de se montrer aussi audacieuse avec moi, surtout qu'elle ne me connaissait pas. À vrai dire, elle était la personne la moins méfiante que j'ai rencontré. Si j'étais le seul avec qui elle s'était permise ce genre de familiarité, c'était pas gravissime - ce qui m'étonnerait - mais si elle faisait ça assez régulièrement, c'était peut être un peu inconscient de sa part. D'autre part, je me demandai ce qui me retenait de me jeter sur elle. Elle était plutôt bien foutue et ne me repousserait sans doute pas. La faute à ma conscience sans doute.
Je vins poser mes fesses à côté d'elle pour lui faire manger sa crêpe, comme on nourrirait un enfant en bas âge et ses petits gémissements eurent le don de m'amuser particulièrement. En même temps, ils étaient tellement... Sensuels et évocateurs que j'avais bien du mal à ne rien y voir de pervers. Ne pas faire d'insinuation à ce sujet relevait de l'impossible. Insinuation à laquelle Winnie répondit du tac à tac: « Tu voudrais peut-être être celui qui me fait m’en taper un ? » Et je décidai de céder un peu à la tentation. Juste un peu. Je pris le menton de Winnie entre mes doigts, l'obligeant à tourner la tête vers moi avant d'approcher mon visage du sien. Nos lèvres se frôlèrent, si bien que je pus sentir son souffle léger sur ma peau. Je lui susurrai : « Tu aimerais ? » Je souris largement avant de m'éloigner pour finir par reprendre ma position initiale et mon activité de base: nourrir Winnie.
Je piquai un énième morceau de crêpe sur les dents de la fourchette avant de demander à la jeune femme ce que j'aurais en échange de mes services. Sa réponse me plut beaucoup, parce qu'elle semblait ouverte à peu près à tout. « Ce que tu voudras ou presque. Donne ton prix mon beau. » Je fis mine de réfléchir, comme si j'étais partagé entre deux choix difficiles. Je finis par lâcher: « Je pourrais profiter de la situation mais ce ne serait pas sympa de ma part. Alors... Je vais me montrer clément : un baiser suffira. Et je te laisse choisir l'endroit, même sur le nez si ça se tente et tout. » Je devais avouer que j'avais bien envie qu'elle choisisse les lèvres parce que les siennes avaient l'air particulièrement agréable à embrasser mais connaissant la jeune femme, je devais m'attendre à nourrir de faux espoirs pour finir déçu.
Bien que la situation ne s'y prête pas, je finis par engager la conversation au sujet de la soirée d'hier. Je savais que Winnie ne s'en souvenait pas, ou peu, et que la question qui lui brûlait les lèvres depuis son réveil, c'était : avons-nous coucher ensemble, ou pas ? Que j'éludai à chaque fois. Et là, d'un aplomb sans faille, elle me répondit: « Je sais qu’on a pas couché ensemble. » Je haussai les sourcils, très surpris. Bon, elle se souvenait ou elle se foutait de ma gueule depuis le début ? « Ah bon ? » lâchai-je. Malgré le doute, je préférai poursuivre, histoire que les choses soient bien claires entre nous. « Enfin soit... Vu que tu draguais un type louche, j'ai préféré m'en mêler et te ramener chez toi, vu que t'étais pas trop en état de... Réfléchir? J'ai bien fait, hein ? » En fait, j'étais en train de me demander si, ayant dû se priver de son plan cul de la veille, Winnie ne jetait pas son dévolu sur moi pour compenser. Et dans le fond, je ne trouvais pas ça désagréable...
Spoiler:
T'as vu, ce message, c'est mon 69ème et je t'en fais honneur. Moi je dis que c'est un signe pour la suite de ce RP *OUT*
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Dim 11 Nov 2012 - 9:52
Aidan & Winnie
«Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! » ⋉
Winnie se moqua de mon amour exacerbé pour ma chevelure et en profita pour passer sa main dans ma tignasse. Aussitôt, je me mis à râler: « Winnie, t'abuses ! Pour une fois que mes cheveux partaient pas trop en cacahuète... » Cette fille avait un don pour briser tous mes espoirs.
Une fois la main posée dans la tignasse, tu t’amuses à tirer doucement quelques mèches en souriant. « Winnie, t'abuses ! Pour une fois que mes cheveux partaient pas trop en cacahuète... » Tu éclates de rire. « Bah dit donc ! Je me demande comment ils sont quand ils partent en cacahuètes alors ! » plaisantes-tu avec un gentil sourire.
Tu n’obtiens qu’une réponse vague à son sourire, et ça t’agace, t’aimes pas ne pas savoir, mais bon, tu te contentes de ce qu’il te dit. Il doit surement tenter de cacher quelques choses, ou soit d’épaissir le mystère histoire d’être encore plus attirant. C’est ce que font souvent les hommes d’ailleurs, en jouant le beau brun mystérieux « Ca devait être vachement intéressant ton truc. Bref. » Ouai, psychologie inversée, t’essayes quand même de lui faire cracher le morceau.
Un rire nerveux s’échappe des lèvres d’Aidan, ce qui te fait rire totalement. Il a pas l’air à l’aise alors que c’est lui qui te pousse à faire ses sous-entendus, propositions, et autres phrases bourrées de sens. . « Oh, c'est qui Ezra ? Ton frère ? » demande-il soudain sérieux. Serait-il jaloux ? « Nan, c’est pas mon frère Ezra. On a aucuns liens de parentés. Et heureusement. » A ton tour de laisser planer le mystère.
Le sujet qui ne cessait de refaire apparition était bien évidement le sexe. L’attirance, et ce petit jeu auquel tu te livrais avec le brun. Tu lui proposes d’enlever le t-shirt superflu, et il ouvre la bouche sans rien dire. Tu hausses les sourcils en cherchant son regard. « Et tu perturbes tous les inconnus qui rentrent chez toi ou je peux me sentir un peu VIP ? » Tu fais mine de réfléchir à sa question. Et enfaite, tu y réfléchis sérieusement. Non, y’en a pas d’autres avec qui t’es comme ça en fait. Les autres ils se tirent, ou te laissent pas jouer ou parler. « T’es un VIP mon beau. » souris-tu en restant sur la table, les yeux fixés sur Aidan.
Il vient enfin poser ses fesses à tes cotés, et il te nourrit comme si t’étais un petit enfant qui savait pas se nourrir seul. Mais ça te dérange pas au contraire, ça t’amuse et te plait pas mal. Tes bouchées sont ponctuées de gémissements, ce qui fait évidement sortir une insinuation de la bouche du cuistot. Tu souris, et lui réponds sans hésitation. Et soudain, il fait quelque chose. Il ne se contente pas de lâcher une bombe, non, il agit. Il prend ton menton entre ses doigts, et te forces à tourner la tête vers lui, ce que tu fais sans ressentir aucune obligation. Et il approche ton visage du sien, laissant vos lèvres de frôler. Tu sens son souffle brulant contre ta peau, tes yeux se ferment par automatisme. T’en veux plus. Pas juste ce petit frôlement. Mais tu prends sur toi. « Tu aimerais ? » Tu poses ta main sur sa cuisse, et approches tes lèvres de son oreille. « Oh que oui. » dis-tu très lentement avec un sourire assez coquinou. Puis vous vous éloignez, et il recommence sa tache, te nourrir.
Après plusieurs autres bouchées du délicieux met, le preux chevalier demande sa récompense. Ce qui te fait sourire. Rien sans rien comme on dit. Et tu lui proposes tout. Ou presque. T’espère secrètement qu’il te dira pas ‘Faire mon ménage pendant deux semaines’ parce que ça te tente absolument pas quoi. Mais il ne dit pas ça. Oh non ! Après quelques minutes de réflexion il annonce alors son prix. « Je pourrais profiter de la situation mais ce ne serait pas sympa de ma part. Alors... Je vais me montrer clément : un baiser suffira. Et je te laisse choisir l'endroit, même sur le nez si ça se tente et tout. » Tu lèves les yeux au ciel. T’aurais bien voulu qu’il profite de la situation faut dire ! Mais tu souris à sa demande, on dirait un petit garçon tout timide avec son monologue sur le nez. Tu hoches la tête, et approches ton visage du sien. De ses lèvres si attirantes, tu t’approches encore, et tu dérives d’un coup, vers son cou, que tu couvres de baisers brulants d’envie. Puis, ton envie ayant prise le dessus, tu remontes vers sa mâchoire, et enfin ses lèvres que tu embrasses pour de bon, avec passion et avidité, sans vouloir arrêter ce baiser.
Il parle alors de la soirée, de ce que tu te souviens ou non de cette soirée. Si vous aviez ou non couché ensemble ? Tu lui réponds que tu sais que non, que vous avez juste dormi et c’est tout. Il parait étonné, très étonné, mais qui ne le serait pas ? « Ah bon ? » Tu hoches la tête doucement. « Enfin soit... Vu que tu draguais un type louche, j'ai préféré m'en mêler et te ramener chez toi, vu que t'étais pas trop en état de... Réfléchir? J'ai bien fait, hein ? » Tu l’écoutes attentivement, peu à peu couverte de honte. Tu descends de la table, et fais mine de regarder par la fenêtre pour ne pas qu’il voit tes joues brulantes et rouges de honte. « Oui, t’as bien fait. Merci. Je me contrôle plus quand je bois trop, et je finis souvent en très pitoyable état, je suis désolée que t’ai du t’occuper de moi dans ce genre d’état. » Tu te retournes vers lui, et marches jusqu’ à la table, où tu t’approches beaucoup trop du brun. « On a rien fait donc hier soir ? » chuchotes-tu d’une voix légère, mais qui promettait pas mal de choses. Tes mains se posent sur ses genoux pour remonter doucement sur ses cuisses, alors que tes yeux sont plongés dans les siens.
Spoiler:
Oulala quel honneur Moi j'dis aussi qu'c'est un signe
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Dim 11 Nov 2012 - 16:52
« Nan, c’est pas mon frère Ezra. On a aucuns liens de parentés. Et heureusement. » Le fait que Winnie laisse planer le mystère sur ce fameux Ezra m'amusa beaucoup. Et je savais qu'elle cherchait à me rendre jaloux d'une façon ou d'une autre mais j'étais bien trop fier pour lui offrir ce plaisir. « Content de savoir que tu couches pas avec les gens de ta famille ! »
Mais plus les répliques salaces s'enchaînaient, et plus j'avais envie de savoir si Winnie se contentait de me narguer ou si elle était sincère, même juste un peu. J'entrepris donc de rentrer dans son petit jeu, mais physiquement cette fois, approchant mes lèvres de sa bouche, lui demandant si elle aimerait que je l'aide à « se taper un orgasme ». Sa réponse m'enchanta. « Oh que oui. »
Faisant des allers et venues avec ma fourchette de l'assiette à sa bouche, je réclamais ma récompense à Winnie, les yeux pétillant comme ceux d'un enfant. Je voulais un baiser, un seul et elle pouvait encore en choisir l'endroit. Elle sourit et hocha la tête avant de s'approcher de moi. Son visage se retrouva à quelques centimètres du mien et mon coeur s'emballa, impatient que nos lèvres se rencontrent. Au dernier moment, elle dévia pour aller embrasser mon cou. Je dirais même qu'elle le recouvrait de mille baisers. Je ne pus m'empêcher de sourire avant de souffler: « J'aime bien ta notion d'UN SEUL baiser... » Je me mordis la lèvre inférieur lorsque je sentis sa bouche passer de mon cou à ma mâchoire. Je m'attendais à ce qu'elle s'éloigne au dernier moment lorsqu'elle vint sceller nos lèvres. J'émis un petit gémissement de surprise avant de me laisser faire sagement, appréciant la fougue qu'elle employait pour m'embrasser.
Lorsqu'elle s'éloigna de moi, je fus presque déçu ne plus pouvoir goûter à ses lèvres. Un sourire béa se dessina sur mes lèvres et je murmurai : « Je devrais te faire la cuisine plus souvent... » Puis, nous avons enchaîné sur un autre sujet, la soirée d'hier, comme si de rien n'était. Je me décidai à expliquer à Winnie comment elle s'était déroulée, bien que je n'étais plus certain qu'elle ne s'en souvienne plus. Elle parut aussitôt embarrassée par la tournure de celle-ci. « Oui, t’as bien fait. Merci. Je me contrôle plus quand je bois trop, et je finis souvent en très pitoyable état, je suis désolée que t’ai du t’occuper de moi dans ce genre d’état. » dit-elle en descendant de la table, restant dos à moi. Je cherchai immédiatement à la rassurer: « T'en fais pas, Winnie, c'était pas un souci. Puis... Je passe un bon moment, là. Ça compense bien, non ? »
Lorsque la jeune femme se retourna, je lui souris tendrement pour lui prouver la sincérité de mes paroles. Aussitôt, elle s'approcha lentement de moi. Je ne savais pas du tout ce qu'elle allait faire. À vrai dire, je m'attendais à un câlin mais apparemment, j'étais complètement à côté de la plaque. « On a rien fait donc hier soir ? » Je secouai la tête pour signifier que non, attendant la suite. Elle posa ses fines mains sur mes genoux et je posai mes yeux sur celles-ci. Elle les fit remonter jusqu'à mes cuisses et je relevai la tête. Je remarquai qu'elle avait planté son regard azur dans le mien. Nous restâmes un moment silencieux, tandis que je scrutai son visage pour y percevoir le détail qui m'amènerait à penser qu'elle allait se défiler. Rien.
Je posai un doigt sur le bout de son nez, le laissant glisser jusqu'à ses lèvres, m'y attardant légèrement, avant de le laisser poursuivre sa route sur sa gorge, entre ses seins, sur son ventre, pour arriver au bout de son t-shirt. J'en saisis le pan de mes deux mains pour le relever lentement, en profitant pour caresser sa peau du bout des doigts dans la foulée. Je fis passer le vêtement par dessus sa tête et allais le déposer sur la table, derrière moi. Je posai mes mains sur ses hanches pour les faire remonter jusqu'à sa poitrine puis son visage pour qu'elle ne puisse plus m'échapper. J'approchai mes lèvres des siennes, laissant mon souffle baigner le bas de son visage. Je susurrai: « Je peux continuer ou le propriétaire du t-shirt, ce... Ezra, risque d'être jaloux ? »
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Dim 11 Nov 2012 - 17:23
Aidan & Winnie
«Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! » ⋉
« Content de savoir que tu couches pas avec les gens de ta famille ! » Tu ouvres la bouche, puis la refermes, lui lançant un regard noir. « Je ne couche pas avec lui ! » dis-tu sèchement. Qui est prit celui qui croyait prendre. Bien joué Winnie, t’as voulu jouer les mystérieuses, et bin, c’était une mauvaise idée. Tu croises tes bras contre ta poitrine, détachant tes yeux de lui.
Après avoir manger un peu, il réclame son dû. Sa récompense. Que tu comptes lui donner sans soucis aucun. Sa demande t’enchante, il faut l’avouer. Tes yeux pétillent d’un éclat nouveau, et tu t’approches de lui, faisant mine d’embrasser ses lèvres avant de les poser sur son cou. « J'aime bien ta notion d'UN SEUL baiser... » Tu souris, et poses un doigt contre ses lèvres, avant de le remplacer par tes lèvres, et de l’embrasser avec passion. T’en avais envie, et c’est bien au-delà de tes espérances. Il émet un petit gémissement, ce qui te fait sourire, et déployer encore plus d’ardeur dans ce baiser.
Puis tu t’éloignes, presque l’air de rien. Ca t’as plu, et t’as encore envie, mais pas question de le lui avouer. Pas maintenant du moins… Tu l’observes, observes sa réaction. Qui te réjouis. Un sourire béat est présent sur ses lèvres, comme toi d’ailleurs. « Je devrais te faire la cuisine plus souvent... » murmure-il, et tu pars d’un petit rire joyeux. « Fais moi un plat, et t’auras plus qu’un simple baiser, je te le promets. » susurres-tu en caressant son bras du bout des doigts. Puis il parle de la soirée d’hier. Et tu es mortifiée par la honte. T’as encore exagéré, encore pété un câble, encore foutu n’importe quoi. Ca devient une habitude avec toi. Tu lui tournes alors le dos, pour ne pas qu’il aperçoive ton soudain changement d’humeur. Tes yeux sont humides, et tes joues brulantes. Lunatique. Tu passes des rires aux larmes en moins de temps qu’il faut pour le dire. Quelle tare ! « T'en fais pas, Winnie, c'était pas un souci. Puis... Je passe un bon moment, là. Ça compense bien, non ? » C’est mignon, adorable ce qu’il tente de faire, il essaye de te rassurer, et cela fonctionne. Tu hoches la tête, et affiches un sourire fin sur tes lèvres. « Même, faudrait plus que ça pour te faire oublier hier soir. Je devais être chiante en plus. Rassure-moi, j’ai pas vomi… ? » demandes-tu, en ayant un peu peur de sa réponse. ‘Ouai, tu m’as vomi dessus.’ C’est pas top-top pour une rencontre hein…
Tu te tournes vers lui, et un beau sourire est gravé sur ses traits, tu t’approches avec un sourire bien plus grand que précédemment. Tes pas lents te guident vers lui, et tes mains se posent sur ses genoux, alors que tu attends qu’il plonge son regard dans le tien. Ce qui ne prend pas longtemps. Il guète un signe dans tes yeux, une lueur qui montre que tu vas te défiler, que tu plaisantes. Mais il n’y a rien de tout ça. Tu es sûre de toi, et tu le lui montre sans faillir, alors que tes mains remontent lentement le long de ses cuisses.
Il pose alors un doigt sur ton nez, et tu fronces les sourcils, te demandant ce qu’il fait, mais alors, il le fait glisser jusqu’à tes lèvres, où il s’attarde quelques instants, avant de continuer à descendre, t’arrachant de doux frissons. Ses doigts passent sur ta gorge, entre tes seins, sur ton ventre, et enfin, au bout du t-shirt. Ton souffle est court, précipité. Il le saisit des deux mains, et le soulève avec délicatesse, et lenteur. Ses doigts effleurent à nouveau ta peau, et tu déglutis. Bientôt, il t’enlève totalement le t-shirt d’Ezra, et tu te retrouves en sous-vêtements devant lui. Ses mains passent sur ta peau nue, de tes hanches, jusqu’à ta poitrine, ce qui t’arrache un soupir, et enfin, elles s’arrêtent à ton visage. T’es prise au piège. Mais c’est pas comme si tu voulais t’échapper. Oh que non ! Il approche ses lèvres des tiennes, et tu attends, tu as hâte qu’il t’embrasse, mais il s’arrête, et susurre quelques mots, son souffle caressant ton visage. tu souris, et remontes tes mains qui s’étaient suspendues dans leur montée. « Il sera pas jaloux, c’est que mon colocataire. » murmures-tu avant de l’embrasser doucement, et en pressant ta poitrine contre lui.
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Dim 11 Nov 2012 - 18:11
« Fais moi un plat, et t’auras plus qu’un simple baiser, je te le promets. » susurre-t-elle en caressant mon bras. Je la regarde, les yeux brillant d'un éclat peu commun avant de m'exclamer, d'une voix joyeuse: « Han oui ! » Par contre, la conversation sur la tournure de la soirée d'hier fit beaucoup moins sourire la jeune femme et d'un côté, je m'en voulus d'avoir aborder le sujet. L'information : « pas de sexe hier » aurait suffit.
Dans un sourire gêné, elle me demanda: « Même, faudrait plus que ça pour te faire oublier hier soir. Je devais être chiante en plus. Rassure-moi, j’ai pas vomi… ? » Je ne pus retenir un éclat de rire. L'expression qu'affichait le visage de Winnie était juste hilarante. Lorsque je repris mon sérieux, je lui répondis: « Non, tu n'étais pas chiante, tu étais... à l'ouest. Puis, non, tu n'as pas vomi non plus. Tu t'es effondrée sur ton lit avant de t'endormir comme une bûche et j'ai préféré passer la nuit à côté de toi, au cas où. »
Mais bientôt, les gestes effacèrent le malaise provoqué par la conversation précédente. Je venais de lui retirer son t-shirt, laissant la jeune femme en sous vêtements devant moi, son corps totalement à ma merci, souriant sous ses soupirs. Je posai un regard admiratif et plein de désir sur ses courbes harmonieuses. Je suspendais un moment mes lèvres devant les siennes pour demander à Winnie si « Ezra » ne serait pas jaloux de mes mains baladeuses. « Il sera pas jaloux, c’est que mon colocataire. » murmura-t-elle.
Vu la réponse assez froide de Winnie, tout à l'heure, je préférai ajouter : « Ah... Et désolé si ma remarque au sujet du fait que tu couchais avec lui a pu te blesser... » Mais pas le temps de me répandre en excuse que la jeune femme posa ses lèvres sur les miennes, collant son corps au mien. Je soupirai de contentement, comme si j'attendais ce moment depuis des jours. Je descendis de la table, appuyant son baiser avec fougue et laissant mes mains découvrir chaque parcelle de son corps. Je posai mes doigts sur la chute de ses reins, remontant le long de sa colonne vertébral pour rencontrer l’agrafe de son soutient-gorge. Je la détachai, laissant tomber le bout de tissu sur le sol avant de faire tourner la jeune femme pour la bloquer une nouvelle fois contre la table.
Mes lèvres quittèrent un instant les siennes pour retrouver l'odeur de son cou. J'enfouis mon visage dans son épaisse chevelure pour embrasser sa peau avec désir. Mes mains frôlèrent délicatement sa poitrine et son ventre plat, s'arrêtant au bout de tissu rouge qui recouvrait encore maigrement la jeune femme. Je lui souris avant de demander: « Toujours envie ? »
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Dim 11 Nov 2012 - 21:01
Aidan & Winnie
«Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! » ⋉
Il s’exclame joyeusement « Han oui ! » à ta pseudo proposition. Les hommes qui cuisinent, c’est sexy faut dire, et puis, il cuisine bien alors il mérite bien une récompense. Tu lui fais un sourire et continues à caresser son bras d’un air distrait. Vient alors sur le tapis la soirée de la veille. Le fiasco de la veille plutôt.
Il éclate de rire à ta question. As-tu vomi hier soir ? Cela à le don de te rassurer, si ça avait été le cas, il n’en rigolerait probablement pas n’est-ce pas ? Ou soit il ne rigole pas de ça… Tu l’interroges du regard, et bien vite, il redevient sérieux, répondant alors à ta question. A tes questions. « Non, tu n'étais pas chiante, tu étais... à l'ouest. Puis, non, tu n'as pas vomi non plus. Tu t'es effondrée sur ton lit avant de t'endormir comme une bûche et j'ai préféré passer la nuit à côté de toi, au cas où. » A l’Ouest, t’étais à l’Ouest. Bourrée quoi, et bien loin. Mais ce qu’il te dit te rassure fortement, t’as pas du trop te ridiculiser, ça va. « J’ai pas ronflé hein ? » rigoles-tu, histoire de détendre l’atmosphère. « C’était très gentil, et attentionné de rester ici cette nuit, alors merci, la plus part ne l’aurait pas fait. » souffles-tu en plongeant tes yeux dans les siens.
Un changement d’atmosphère s’opère alors que l’ambiance commence à chauffer. Les mains d’Aidan te déshabillent lentement, te laissant seulement vêtue d’un ensemble de sous-vêtements en dentelle. Ses caresses contre ta peau ne cessent de te soutirer des soupirs de bien-être. Tu sens son regard sur toi, ses yeux pétillants de cette lueur que tu es bien habituée à voir, mais que tu chéris quand même. Et tu ne t’attendais pas à la voir brillé dans ses yeux à lui. Etonnement, tu te sens différente avec lui, pas seulement une fille comme ça. Mais c’est probablement utopique de penser le contraire.
« Ah... Et désolé si ma remarque au sujet du fait que tu couchais avec lui a pu te blesser... » Ses propos te font chaud au cœur, il n’est pas du tout comme les autres. Tu hoches la tête, et caresses sa joue, avant de l’embrasser, pressant ton corps brulant contre le sien. Il soupire, et en écho à lui, tu fais pareil. Bientôt, il descend de la table, et parcourt ton corps de ses mains, posant ses doigts au bas de ton dos, avant de les remonter vers le milieu de ton dos. Vers l’attache de ton soutien-gorge. Un mouvement de doigts, et hop, il se dégrafe. Bien vite, le bout de tissu rouge tombe au sol, laissant ta poitrine nue. Aidan te fait tourner, et une nouvelle fois, tu te retrouves contre la table.
Ses lèvres trouvent ton cou, puis tes cheveux, et ta peau qu’il parsème de baiser. Ses mains frôlent alors tes seins, et ton ventre, ce qui te fait légèrement gémir. Elles s’arrêtent sur le dernier bout de tissu qui couvre ton corps. Avec un sourire, il prend la parole. « Toujours envie ? » Tu éclates de rire, et hoches la tête. « Encore plus qu’avant ! » susurres-tu, en passant tes mains sous son t-shirt, et en caressant sa peau, avant de l’enlever d’un geste rapide. Tes yeux parcourent son torse musclé, avant de revenir vers son visage, avec un sourire soudain timide.
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ] Dim 11 Nov 2012 - 22:39
« J’ai pas ronflé hein ? » Je souris, amusé par les petites inquiétudes de la jeune femme. « Mais non. Puis, les princesses, elles ronflent pas de toute façon, si ? Et t'as pas bavé sur ton oreiller non plus, si tu veux tout savoir. » Autant prendre les devants à ce niveau comme ça, je répondais déjà ses futures questions. Elle ajouta: « C’était très gentil, et attentionné de rester ici cette nuit, alors merci, la plus part ne l’aurait pas fait. » À ça, je me contentais de simplement sourire, avec un regard qui voulait dire « De rien » parce que ça ne m'avait absolument pas déranger de m'occuper d'elle.
D'ailleurs, en parlant de m'occuper d'elle, on pouvait dire qu'en ce moment, elle avait toute mon attention. Winnie était maintenant seins nus en face de moi, bloquée entre le bord de la table et mon bassin. Nos souffles, harmonieux, étaient rythmés par le désir et bientôt, mes caresses devinrent de plus en plus audacieuses. Lorsque mes doigts rencontrèrent son boxer en dentelle, je demandai à Winnie si elle avait toujours envie d'aller plus loin. Sait-on jamais qu'elle ait prit conscience de la situation que maintenant (a). Elle éclata de rire avant de lancer : « Encore plus qu’avant ! » Je me mis à rire aussi, jusqu'à ce qu'elle passe ses mains sous mon t-shirt. Je frissonnai, lorsqu'elle l'envoya rejoindre son soutient-gorge. Je remarquai ses yeux se balader sur mon torse, puis croiser mon regard. Son sourire avait quelque chose de particulier. Il était à la fois enfantin et timide. Je fronçai les sourcils, ne sachant pas trop ce que je devais en conclure.
« Viens, si on allait inaugurer ta chambre ? » C'était pas que la cuisine ne conviendrait pas à nos ébats mais, d'une part, j'avais pas envie que quelqu'un tombe sur nous en pleine action, d'autre part, un lit c'est toujours une valeur sûre pour une première fois avec une nouvelle personne. Je collai donc mes lèvres aux siennes et posai mes mains sur ses hanches pour la guider jusqu'à sa chambre à reculons. Retrouver le chemin fut aisé vu que, maintenant, je le connaissais mais avec ma poisse légendaire, il fallut que je me prenne le pied dans une armoire. Je lâchai un « Bordel... » peu romantique mais je réussis malgré tout à conduire Winnie jusqu'au lit.
Je retrouvai le chemin de ses lèvres pour y déposer quelques baisers. Ma bouche descendit jusqu'à son nombril puis, je me redressai. Les espaces entre les stores laissaient un peu de lumière, pas trop mais suffisamment pour mettre en valeur le superbe corps de Winnie. Je restai immobile un moment pour la regarder et ce spectacle fut des plus agréable. Je me penchai alors légèrement vers elle pour saisir les bords de son boxer. Je plantai mon regard dans les yeux de Winnie, affichant un sourire satisfait. Je fis descendre lentement le bout de tissu le long de ses longues jambes, jusqu'à ses orteils, pour aller le déposer au pied du lit.
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Sujet: Re: (#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ]
(#97) Non, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure qu'on faisait pas la vaisselle, on s'envoyait en l'air ! [ feat. Winnie ]