(hot) C'est l'histoire d'une petite Eilynn née Jade. - Jeff

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" Il est délicieux de lire dans une âme comme dans un livre, et d'y voir clair comme dans l'eau d'une source. Il est encore plus doux de se sentir désiré et de pouvoir faire rayonner de joie un cœur et un visage, rien que par une parole ou un regard. Mais ce que je préfère à tout, c'est l'entente muette et tranquille de deux volontés qui ont une entière confiance l'une dans l'autre et se sentent à l'abri. "

Le partage. Il n’y a rien de plus beau dans l’acte d’amour. Donner. Recevoir. Enivrer. Envouter. Avant de couler dans l’extase ensemble. Couler dans l’abime et dans le délice. C’est bouleversant. Déroutant. Et c’est ce que tu fais vivre Jeff quand il attise avec gourmandise ta féminité. Mais pas question de le priver de ce plaisir. Pas question d’être égoïste. Alors tu viens à ton tour enivrer et envouter sa chair. Tes lèvres embrassent. Tes doigts caressent. Ton corps frôle et effleure le sien. Tu attises d’avantage la flamme que ce jeu charnel à sérieusement mise à mal. C’est exquis de le voir frissonner et réclamer tes baisers de moins en moins chastes. Alors sans aucune retenue tu titilles. Délicatement. Effrontément. Puis avec plus d’appétit. Ton regard se perd dans le sien. Et tu l’entraines dans un voyage jusqu’aux portes du paradis. De votre paradis. Un endroit interdit où seul vos êtres se perdent dans ces moments intenses et intimes. Et tu aimes quand son regard se voile de ce délice que tu distilles avec passion au creux de chaque parcelle de son corps. Cela te rend plus vorace. Surtout quand il dévore tes doigts du bout de ses lèvres. Il te chavire. Te donnant encore plus envie de le faire d’avantage prisonnier de l’étau de tes lèvres. A son tour de sentir le désir incendier ses entrailles. A son tour de sentir le plaisir s’engouffrer avec rage dans sa chair. Et il perd pied. S’abandonne aux caresses de ta bouche chaude et humide. Et tu cueilles sa délivrance. Tu prolonges l’instant pour que l’abandon soit complet. Et puis tu le retrouves, ivre du bonheur de l’avoir comblé. Tu gémis contre ses lèvres alors que ses mains s’emparent à nouveau de ta chair. L’envie c’est faite plus intense. Ton corps en veut plus. Il veut Jeff. Tu veux le sentir en toi plus brulant encore que lors de votre dernière joute. Tes mots. Tes gestes. Tout donne le ton de la suite. Cela t’excite encore plus. Ses doigts et ses lèvres qui marquent ta chair ne font qu’accentuer ton désir. « Oui rien qu’à moi .. comme je ne suis qu’à toi. » Et l’échange devient sulfureux. L’un comme l’autre vous ne voulez qu’une seule chose. Unir vos corps dans la même passion. Plus question de vous retenir et encore moins quand vos intimités se touchent brulantes de désir. « Moi aussi je te veux. » Et tu réponds à l’appel du corps de ton amoureux. Tu as envie de lui. Envie de le combler. Envie de succomber à cette sucrerie encore plus délicieuse que celles que vous venez de partager. Vos bassins s’unissent dans un râle de plaisir. Puis ils s’harmonisent sur le même rythme. Il te laisse mener la danse et tu prends le contrôle. Tu lui fais l’amour. Tes lèvres kidnappent à nouveau les siennes. Les baisers n’ont plus rien de sage. Ils sont même voraces. Tu le mordilles. Sa mâchoire. Son cou. Son lobe d’oreille. Tout y passe. Pendant que tes mains s’emparent de son dos laissant leur marque comme souvent quand Jeff te possède. Ton cœur. Ton souffle. Se font plus rapide. « Putain que c’est bon. » Ton regard plonge dans le sien. L’eau rend l’instant plus troublant. Ta peau glisse contre la sienne. Tu resserres l’étreinte voulant le sentir plus profondément en toi. Tu viens même poser tes mains sous ses fesses pour le pousser d’avantage. Tes gémissements viennent accompagner les siens. Et tu te laisses aller dans cette danse charnelle. A la fois tendre et passionnée. Douce et enflammée. Un savant mélange entre le paradis et l’enfer. « J’aime quand tu es si torride .. » Tout ton corps frissonne. Brule. L’instant est délicieux. Insolent. Indécent. Et cela rend ta faim plus grande. Tu augmentes le rythme sachant très bien qu’à un moment Jeff va reprendre le contrôle. Mais tu adores aussi quand ton homme devient plus possessif sur ton corps. Parce que cela te rend fragile et encore plus sensible. Il est d'ailleurs le seul à t'avoir rendu fragile dans l'acte charnel. Mais tu trouves cela tellement exquis que tu en redemandes.

good vibes.

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On ne peut résister bien longtemps entre ses lèvres. Surtout lorsqu'elle nous dit de nous laisser aller. De ne pas contenir notre plaisir. De s'abandonner à elle. Un baiser de plus, un va et vient de plus et c'est l'extase. Les orteils qui se plient. Les doigts qui tentent de s'agripper car le plaisir est bien trop intense. Le regard posé vers notre amour dont l'attention n'est portée que sur nous et la partie de notre corps de ses désirs. On se lâche et on ne retient rien. Surtout pas nos gémissements. Reprenant presque difficilement notre souffle. Ces échanges avec notre femme sont toujours si passionnels, si complices. Toujours teintés d'amour. Tout comme ce baiser. Vorace. Qui marque son territoire. Cette bouche est à nous. La notre est sienne. Nos mains qui se retrouvent sa peau jusque là abandonnée. L'extase et la continuation de celle-ci. Nous venons de succomber mais Eilynn ne se fait pas sage pour autant. Envie de plus. Plus de partage, d'amour, de corps contre corps. De prolonger cette douche coquine à l'extrême et retomber peu à peu dans le plaisir. Une minute. Juste une minute le temps d’échanger des baisers bien plus chauds. Le temps d'échanger quelques phrases qui font palpiter notre coeur, notre corps, notre entrejambe. Le temps que sa main vienne nous caresser d'avantage et faire regrimper la température. Et que les nôtre se perdent sur ses fesses. Rien qu'à moi … On veut notre femme. Là. Comme ça. On veut qu'elle dicte l'échange. Qu'elle nous prenne. Que ce soit son bassin qui bute contre le notre. Et elle nous comble lorsqu'elle vient glisser sur nous. Lorsque son bassin se fait conquérant. Que ses coups de reins nous bloquent contre la douche. Qu'on se retrouve prisonnier de notre femme. Tributaire du plaisir qu'elle a à nous offrir. Car c'est ce qu'on veut oui. On veut qu'elle nous fasse l'amour. Qu'elle soit farouche, féline. Qu'elle nous mordille comme elle le fait. Partout. Si bon. Si chaud. Si plaisant. Nos doigts qui resserrent l'emprise de ses fesses et qui accentuent la folie de nos corps. Nos lèvres entrouvertes qui soufflent péniblement au creux de son oreille. Et qui retrouvent pleinement les siennes. Sa voix qui nous met dans tous nos états. Son ton. Ses mots. C'est bon. Diaboliquement bon. Notre regard qui soutient le sien. Qui le provoque. Ce feu dans nos entrailles. Ce désir qu'elle déclenche en nous. C'est comme ça que j'te veux. On veut perdre le contrôle. On veut plus. Plus fort. Plus fougueux. Plus éreintant. On lève le bras et on agrippe le rebord du haut de la douche. L'autre main maintenant ancrée dans sa chair. Le bassin un peu plus avant. Ses doigts qui prennent notre corps également. L'échange est sans égal. On aime notre femme et nos ébats s'en font ressentir. L'union de nos corps qui nous enflamme, nous rende fou. Le rythme insoutenable. Ce désir prononcé dans un cri. Oh oui putain … Cette vulgarité du désir. Les yeux qui se ferment et les gémissements qui accompagnent le son de sa peau contre la notre. C'est elle qui est torride. Elle qui nous entraîne. Elle qui nous rend comme on l'est. Déraisonnable. Insolent. Quémandeur. Et lorsqu'on sent notre femme s'éreinter. Que son bassin ne se fait plus aussi sauvage. Que c'est à nous de refaire grimper le plaisir dans nos corps, on inverse les rôles. Laisse moi être torride … On repose le pied sur le sol de la douche. Notre main retrouve la chaleur et la moiteur de son corps pour deux coups de rein enivrants. Deux coups de reins qui font reculer d'Eilynn d'un pas. Viens là … On retourne notre femme. Ses fesses qui viennent buter contre notre bas ventre. Une main qui s'empare d'un sein, qui plaque son dos contre notre torse. Nos lèvres qui retrouvent les siennes. Nos doigts qui nous guident en elle. Et qui maintiennent ensuite sa hanche pour nos coups de reins. Le tout en un rien de temps. Le tout dans l'échange d'un baiser sulfureux. D'un souffle sur ses lèvres. D'un regard maintenant plus que brûlant. Nos dents qui mordillent sa lèvre. Qui l'étire doucement avant de la relâcher et que nos langues se mêlent et s'entremêlent. Notre corps se donne à elle. On veut qu'elle nous le répète. Que c'est bon. On veut qu'elle nous dicte le rythme à prendre. On veut s'engouffrer au plus profond de l'extase, du nirvana. On veut l'emmener avec nous. Ou qu'elle nous y emmène. On quitte sa poitrine pour s'emparer du pommeau. On vient le coller contre le ventre de notre femme. Nos lèvres ne quittent plus les siennes mais un sourire terriblement coquin s'imprime sur notre visage. Notre bassin continue d'aller et venir en elle. Et notre main glisse lentement vers sa féminité. L'eau chaude venant alors nous inonder. Nos lèvres glissent dans son cou. On sent peu à peu son corps se tendre. Résiste moi … Coquin. Joueur. Bien trop. Alors on glisse le pommeau sur sa cuisse l'espace de quelques secondes. Avant de revenir vers son antre d'amour. Encore … Un murmure. Le ton se fait moins sauvage. Notre langue erre sur son cou, sa nuque, son lobe d'oreille. Notre sourire toujours bien présent. Une douce torture pour décupler l'explosion de plaisir. Des vas et vient plus long, plus profond. Non plus sur ce rythme effréné mais qui sont d'autant plus incroyables. On ne plonge pas dans ses yeux. On ne veut pas « détourner » son attention. Pour qu'elle ressente pleinement chaque parcelle de son corps en émoi. Encore … Et lorsque s'en est trop. Lorsque son corps ne peut plus contenir notre masculinité. Lorsque son corps souhaite hurler de plaisir, que son souffle se coupe. Que notre coeur à nous bat à tout rompre de la rendre comme cela. On murmure bien trop chaudement à son oreille. Tout près de son oreille. Chavire …

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" Il est délicieux de lire dans une âme comme dans un livre, et d'y voir clair comme dans l'eau d'une source. Il est encore plus doux de se sentir désiré et de pouvoir faire rayonner de joie un cœur et un visage, rien que par une parole ou un regard. Mais ce que je préfère à tout, c'est l'entente muette et tranquille de deux volontés qui ont une entière confiance l'une dans l'autre et se sentent à l'abri. "

Cette douche tu en as rêvé toute la journée. Bon d’autres pensées ont bien entendu envahi ton esprit. Mais ce moment câlin tu l’as désiré avec ardeur. Imaginant sa douceur, sa sensualité au cours des heures qui se sont égrainées. Et là alors que l’eau caresse ta peau, tu te livres sans pudeur, sans retenue, à l’homme qui fait battre ton cœur. Qui te chavire et t’enivre depuis plusieurs mois. Tu t’abandonnes, partageant un instant intime qui se fait de plus en plus torride. Tu l’allumes. Tu le provoques. Mais Jeff en fait de même. Mettant le feu à ta peau avec ses lèvres. Avec ses mains. Le jeu se fait plus intime, plus torride. Délicieux et exquis. Tu succombes sans aucune peur dans cet abime sans fin. Vos mots et vos gestes se font plus complices, amplifiant sans détour ce sentiment qui vous unit et qui grandit en vous chaque jour. Jeff te rend fragile, fébrile et tu aimes te sentir ainsi entre ses bras. Mais tu prends aussi le contrôle car la tigresse n’est jamais bien loin quand la joute charnelle se fait plus vorace. Il te laisse faire. Te pousse même dans cette partie de toi. Il devient ta proie. Et tu le dévores avec gourmandise. Toujours plus affamée. Toujours en attendant d’un autre frisson ou d’un autre baiser. C’est à la fois enivrant et doux. Déroutant et puissant. Et vos corps s’unissent dans une danse folle, bercée par le mouvement de l’eau qui ruisselle sur votre peau ardente. Pas de retenu dans vos mots. Tu te livres telle que tu es. Sauvage et indomptable. Pourtant à cet instant il n’y a plus de carapace. Elle éclate en mille morceaux pour offrir à Jeff la femme qu’il a fait naitre au fil de vos rencontres. Au fil de vos ébats. Celle que tu repoussais souvent par peur de souffrir. Par peur d’aimer. Elle est là plus présente que jamais le corps collé contre le corps de son amant. Libre et amoureuse. Et votre faim se fait plus rageuse. Plus intense. Jeff reprend le contrôle. Et tu le laisses faire. Gourmande de le sentir encore au fond de tes entrailles. « Oui fais toi torride.. » Des mots que tu souffles dans un râle de plaisir. La chaleur de son corps te submerge. Ses lèvres. Ses mains. Son regard. Sa virilité. Tout t’emporte et t’envoute avec délice. Et ses vas et viens te retournent les tripes. Tu frissonnes de désir. Tu t’embrases d’avantage. N’ayant qu’une envie sentir la vague de jouissance glisser au plus profond de ta chair. Mais avant, la danse va encore te faire perdre la tête. Immerger ton corps dans une vague folle ou seule la jouissance t'apportera l’issue. Et vos lèvres se kidnappent. Vos chairs s’appellent encore. Vos mains caressent. Vos corps s’enchainent avec plus de passion. Pris par cette frénésie gourmande. Et l’harmonie se fait parfaite. Insolente parfois. « Oui c’est bon .. continue. » Et vous ne faites qu’un. Emporter par la même partition. Chaque geste devient une note qui sublime l’instant suivant. Tu alternes entre la douceur et la violence. Jouant habillement avec ton corps. Tu invites Jeff à aller plus loin. Puis tu calmes le jeu pour retarder le moment de délivrance. De toute façon il te demande de lui résister. Mais l’épreuve est difficile vu que ton amant ajoute un grain de sel dans le rouage de votre acte charnel. Le pommeau de douche se joint à la joute. « Sadique .. » Alors en retour tu t’emploies à le frustrer d’une certaine manière. Il enivre ta chair d’avantage du bout de ses lèvres. Du bout de ses doigts. Tu te retiens sachant que la délivrance sera plus intense. Il te torture avec délice et subtilité, et le désir se fait plus vorace. « Tu aimes jouer avec moi … mon amour .. » Ta voix est chaude. L’envie se fait plus brulante. « C’est délicieux .. » Mais la vague se fait plus puissante. Plus tenace au creux de tes entrailles. Et tu le sens au bord du gouffre. Tu resserres l’étreinte. Tes doigts s’accrochent à sa chair. Ton regard se voile tout en cherchant le sien. Ton cœur s’emballe. Et ton corps hurle d’ivresse et de plaisir. « Chavire avec moi .. » Et tu lâches prise. Tu libères ton corps de tout ce désir insolent que Jeff a fait naitre durant cette joute. Tu te laisses emporter par la vague. Et tu emportes ton amant avec toi. Ton corps frissonne et explose. « Oui .. » Tu retrouves ses lèvres dans un baiser sulfureux et passionné. Tu sens la caresse du feu te ravager. L’eau n’apaise pas l’incendie provoqué mais elle soulage ta chair enflammée. Tu restes comme suspendu dans le vide. Le regard perdu dans le paradis de la jouissance. Tes mains se font plus câlines contre le corps de Jeff. Tu profites de cet après. Moment exquis qui te trouble à chaque fois d’avantage. « Tu m’as délicieuse comblée mon amour .. » Et tu retrouves ses lèvres pour un baiser plus doux. La douche se fait tendresse. Autant dans vos gestes que dans vos mots. Et tu sais que cette tendresse va encore vous emportez une fois dans votre lit. Cet instant d’ivresse en emmènera un autre tout autant merveilleux. Et l’idée de la suite fait briller ton regard. Même si pour le coup tu as juste envie de rester là blottie au creux des bras de ton amoureux.

good vibes.

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Si nous sommes déjà torrides comme ça, on veut le devenir encore plus. Beaucoup plus. On a aimé que notre femme nous fasse l'amour. Qu'elle se soit donnée à nous sans retenue. Qu'elle se soit faite des plus féline, sauvage. Et alors que le rythme retombe, on le reprend à notre compte. Elle quitte notre corps que pour mieux le retrouver. Son bassin contre le nôtre. Notre main sur sa poitrine. Nos lèvres qui se délectent autant de ses lippes que de son cou. Nos coups de reins qui prennent le contrôle. L'envie qui grandit un peu plus au creux de nos entrailles. Le bruit de notre corps qui percute le sien. Et on continue. Alternant le rythme pour plus de passion. Une main qui remonte sur sa joue. Un baiser sauvage pour rendre cet instant toujours plus « bon ». Notre bassin qui prend un peu plus d'ardeur. Nos lèvres et notre langue qui glisse une fois de plus sur son cou, son épaule. Oh oui j'aime ça … Et on devient alors bien plus joueur. Nous aidant du pommeau de douche pour satisfaire encore plus notre femme. Pour la frustrer gentiment d'abord. Qu'elle se laisse aller mais pas trop. Qu'elle se retienne. Un petit objet pour pimenter les choses. Rendre cette douche toujours plus coquine. Gentiment sadique pour une explosion de plaisir à venir bien plus forte. On se joue de notre femme. On joue avec notre femme. Baladant le jet d'eau de son intimité à sa cuisse. A son bas ventre. Faire monter son envie jusqu'à la limite et la faire quelque peu retomber. Je sais que j'te plais comme ça … Eilynn est une femme des plus coquines, charmante et qui n'a peur de rien pour les câlins. Elle aime dicter les échanges. Mais aussi se laisser kidnapper par nos lèvres, nos mains, nos doigts, notre virilité. On sent cette envie monter en elle. Alors que notre bassin prend ce rythme enivrant. Long. Lent. Profond. Une main qui se porte sur son flanc et qui agrippe délicatement sa chair. J'aime ça. Ca me rend fou de toi chérie. Les mots nous font battre le coeur, nous font brûler de désir l'entrejambe. Qui n'attend plus qu'Eilynn explose pour la rejoindre. C'est trop booon … Les mots toujours les mots. Le bassin qui fait monter les ébats. Nos voix chaudes. Tremblotantes d'envie. De retenue. Des doigts qui pressent des chairs. Des regards qui se perdent. Des baisers plus fous. Résiste nous mon coeur. Encore. Et chavire. Mais notre chérie nous veut. Pour un amour parfait. Un plaisir partagé au même moment. Attends moi mon coeur … Et tout s’enchaîne et se déchaîne. Le rythme de nos va et vient accélère. Nos corps se crispent. Nos souffles se font court. Notre visage s'enfuit dans son cou avant qu'elle ne vienne nous chercher la joue. On lâche le pommeau et on le remplace par nos doigts torrides qui prennent un peu plus possession de son entrejambe. Et nous explosons à l'unisson avec notre femme. Oh ouiii … Les doigts ancrés sur son flanc ou qui caressent sans relâche son intimité. Le bassin d'avant en arrière. D'arrière en avant. Pour nous faire chavirer dans le plaisir, le bonheur, l'oubli de tout. Un seul et même corps. Un seul et même cri. Un baiser torride pour conclure ce nirvana de jouissance. Et toute la folie retombe. Les mains se font plus sages, plus douces. Les lèvres aussi. Nos corps se séparent, nos mains retournent doucement notre belle avant de venir la coller tout contre nous. Sentir cette chaleur qu'elle continue d'émaner. Des caresses délicieuses. Des échanges de regard. L'impression de la voir sans la voir. Perdus nous aussi dans le bonheur, le bien-être, la plénitude. Toi aussi mon amour. On embrasse ses lèvres, descend dans son cou. Tout chez toi me comble. De ta félinité à ta douceur. De tes mots à tes non-dits. Tu me combles le coeur, la tête et le corps ma femme. On se sent presque fébrile. Notre corps qui ne demande qu'à lâcher prise. Retrouver le lit, s'abandonner un peu plus dans l'extase, dans l'après. On plante notre visage en face du sien. Nos yeux rivés dans ses prunelles. Et pour le dessert ce sera des mamours. Accompagnés de petits mots doux, caresses et baisers. Dans un lit de tendresse. Nos mais glissent sur sa taille, ses hanches. Nos lèvres viennent rejoindre les siennes, les effleurant à peine avant de leur succomber avec douceur. Un murmure à peine audible. Je t'aime. On veut passer notre nuit dans cet état. Tantôt plongé dans son regard. Tantôt suspendu à ses lèvres. Tantôt à lui susurrer quelques mots au creux de l’oreille. Tantôt à entendre les siens. Passer une nuit oui. Mais surtout passer notre vie.

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