Between work and pleasure ~ ft. Frida

Entre les manuscrits personnels, les scénarios et les photographies qu’on me propose, je dois bien dire que je ne perds pas mon temps. Je le rentabilise même très bien. Ce n’est clairement pas pour me déplaire. Je les choisi après tout les projets dont je m’occupe. Bien sûr, je privilégie mes romans, cela va de soit. mais ma maison d’édition est loin d’être oppressante vis-à-vis de mes nouveaux manuscrits. Chose qui est bien plus efficace sur le long terme. J’ai toujours aimé prendre mon temps pour tout, et particulièrement pour mes écrits. Lorsque des scénarios me sont demandés, là c’est bien différent, c’est bien plus rapidement, et l’art de la description ne m’est guère demandé. Toujours est-il, que par moment, je peux me permettre de me mettre quelques sous de côtés en acceptant des projets photographique. Aujourd’hui, j’en avais justement un de prévu, un de mes préférés à vrai dire. Tout simplement parce que je recevais une femme particulièrement attrayante. Elle faisait partie des exceptions, celle que je me permettais de revoir, avec qui je pouvais faire des folies plus d’une fois, tout simplement parce que derrière, c’était rentable et que j’ai toujours aimé mélanger le plaisir au travail. Autant en profiter. J’avais donc pu réserver mon studio photo habituel, et on s’est donné rendez-vous en début d’après-midi. Je ne savais pas encore exactement ce qu’elle allait me demander, mais je faisais un maximum de place et commençais à installer la lumière de base, quand elle sonna Frida. Je t’en prie, entre. Sourire narquois et aguicheur à la fois s’affichait sur mon visage à sa vue.

Quand Frida rentra dans le petit studio photo, forcément mes yeux la reluquèrent de haut en bas. Elle avait toujours le chic de s’habiller de façon à m’aguicher. Non pas que je trouvais ça gênant, mais en plein boulot, j’avais forcément du mal à me concentrer. Mais je ne m’en plaignais jamais non plus. Bonjour Frida. Lui répondais-je avant qu’elle ne me demande si j’étais en forme. Je répondais à son sourire en coin par le même, en rajoutant Explique-moi tout ça. J’avais pris le soin de prendre une bouteille de whisky, ne pouvant pas m’en passer, particulièrement quand je dois me concentrer face à une belle femme. L’avantage c’est qu’avec elle, il n’y avait plus de tabous, je n’avais plus besoin de prendre mes distances, je connaissais déjà toutes les courbes de son corps, et je savais l’effet que je pouvais lui faire. En temps général je m’en fichais pas mal, je n’aimais d’ailleurs pas autant de facilités, mais cette femme me permettait de travailler ma deuxième passion, je ne pouvais donc pas lui refuser une partie de plaisir si c’était ce dont elle avait envie. Les lumières de bases étaient enfin installés face au mur blanc du studio, espérant qu’elle ne souhaite pas changer de couleur. En même temps, elle allait encore passer trois heures à se changer, à tous les coups. J’allais devoir m’occuper pendant ce temps-là. Un verre à la main, très certainement.