Une soirée en amoureux (hot)

Lisandro n'était pas un grand fan de télévision, il ne la regardait pas souvent hormis pour tout ce qui est informations, histoire de savoir ce qui se passe un peu partout. C'était essentiel lorsqu'il ne sortait jamais, c'était sa seule relation avec le monde extérieur, et même si maintenant les choses ont un peu évolué de ce côté là, il aime tout de même regarder les informations et se tenir informé des choses se déroulant ailleurs dans le monde.

Lorsqu'il revient s'installer auprès de Maddie, cette dernière semble avoir trouvé le programme qui lui correspond, à savoir une série plus ou moins comique d'après elle. Il ne rechigne pas et s'installe auprès d'elle, en prenant soin de mettre son bras sur le dossier du canapé l'instant qu'elle vienne se faufiler tout contre lui, et qu'il met son bras autour de ses épaules. Même s'il ne disait pas grand chose, l'italien aimait ces instants où tout lui paraissaient si simple et si naturel.

Durant quelques instants, Lisandro regarde la série sans vraiment comprendre de quoi il s'agit, et même s'il ne veut pas blesser Maddie, il ne lui dit pas que ça ne l'intéresse pas, il n'en a pas vraiment le temps puisqu'elle vient déposer ses lèvres sur les siennes avant qu'il ne puisse répliquer quoique ce soit. Il poursuit ce baiser, l'approfondit même avec une certaine pointe de fougue. Leurs lèvres ne se quittent plus et le corps de l'ancien sportif réagit au quart de tour. Il en est presque gêné. Pourtant, il savait que ça allait arriver, mais voir quel effet elle lui faisait, c'était toujours délicat.

Les caresses de sa petite amie lui donna des frissons, mais immédiatement il prit conscience de la tournure des choses, et c'est là qu'il commençait à paniquer. Bien sûr qu'il avait envie d'elle, c'est normal après tout, mais ce qui l'effrayait c'était de savoir comment il allait pouvoir la satisfaire vu sa condition. C'était le genre de sujet qu'il avait rapidement abordé avec Elio, qui lui avait dit qu'il y avait mille et une façon de combler une femme, et qu'il trouverait bien une alternative. Mais ce soir semblait être le grand soir et Lisandro était tétanisé à cette idée. Pourtant, il n'avait pas le coeur de la repousser, parce qu'il en avait tout aussi envie qu'elle.

Pour commencer, il passe sa main sur la jambe qu'elle vient de remonter sur lui, puis, il suit les courbes de celle-ci en arrivant au genou, puis à la hanche et ainsi jusqu'à atteindre ses cheveux où il perdit sa main dedans tout en renforçant le baiser qu'il venait de lui donner. Les choses devenaient sérieuses entre eux et il ne pouvait pas s'imaginer la repousser parce qu'il n'était pas prêt. Enfin d'ailleurs il était prêt, c'est simplement qu'il a peur de ne pas être à la hauteur. Et malgré le murmure contre ses lèvres qui lui a donné un coup de chaud en plus, que Maddie ne tardera sans doute pas à voir, il faut qu'il lui avoue, tant pis si ça gâche ce moment, il ne pourra s'en prendre qu'à lui.

" - Maddie je.."

Il n'arrivait pas à formuler ses angoisses, ce qui lui faisait réellement peur.

" - Est-ce que c'est vraiment ce que tu veux.. ?"

Imbécile comme il est, il préféra faire comme si la jeune femme ne savait pas à quoi s'attendre et donc la prévenir, mais la vérité c'est qu'elle savait très certainement ce qu'elle voulait, que lui aussi voulait vraiment, mais il n'y arrivait pas. Il n'était pas confiant par rapport à son corps et à ce qui allait arriver entre eux.

Dès le début de leur relation et même bien avant, Lisandro était persuadé que plus jamais il ne pourrait avoir une copine et la satisfaire comme un véritable homme devait le faire. Il avait déjà eu cette discussion avec Woody qui lui avait exposé sa manière de voir les choses, puis plus récemment avec Elio. Mais comment pouvait-il s'imaginer passer un moment intime avec une femme alors que tout le bas de son corps est immobile ? Il n'est même pas capable de se déplacer seul, alors faire l'amour avec sa copine c'est quelque chose qu'il n'a jamais imaginé. Mais c'est surtout quelque chose qui l'angoisse. Il avait repoussé encore et encore cet instant se disant que ça n'arriverait pas, que Maddie se lasserait de lui avant de passer aux choses sérieuses, mais ce soir elle semblait décidé plus que jamais. C'était le soir, mais Lisandro n'était pas prêt. Les craintes qu'il avait nourri à de nombreuses reprises étaient désormais bien réelles et il devait y faire face. Son avenir était entre ses mains : fuir comme il l'avait toujoirs fait jusqu'à présent ou bien, faire taire ses peurs et se laisser porter en oubliant qu'il est handicapé.

Les baisers s'enchaînent et son corps devient de plus en plus réactif aux caresses de la belle brune. Il ne peut le nier qu'il a envie d'elle, ce n'est pas un crime après tout, c'est une chose normale. Mais il ne cesse d'angoisser, il aurait aimé avoir un mode d'emploi et suivre les étapes mentionnées dessus, mais il n'avait rien de tout cela. Il était seul et il devait agir d'une manière ou d'une autre. Comme pour s'assurer que c'est vraiment ce qu'elle désirait il lui posa la question, connaissant déjà la réponse par avance. Mais contre toute attente, elle lui retourna son interrogation. Est-ce que c'est ce qu'il voulait ? Oui. Non. Il avait envie de la satisfaire, de la voir le regarder avec l'espoir que lui-même oublie son handicap, mais il ne pouvait pas prendre le risque de la faire attendre et de la décevoir. Valait-il mieux qu'il refuse et qu'il mette un terme à tout ça maintenant ? C'était maintenant ou jamais.

" - Je.. Non.. Enfin si.. Je.. J'ai peur Maddie.. Je.. Je n'ai jamais fais ça depuis que.."

Inutile de dire le reste, elle saurait interpréter comme il le faut ses propos. Il était essentiel de se livrer, c'était la clé de la réussite dans leur relation. Et même si pour cela, il devrait montrer ses faiblesses et se mettre à nu devant elle, il le ferait parce qu'elle mérite qu'il soit totalement transparent avec elle. Il avait besoin qu'elle le guide, qu'elle lui montre ce dont elle avait envie, et quand sa main vient chercher celle du sportif pour la pauser sur sa hanche, il ne chercha pas à la retirer. Glissant même sa langue dans un joyeux ballet avec celle de sa partenaire. Il glissa lentement sa main sous le haut de Maddie, de sorte à ce que ses doigts effleurent sa peau douce. Mais il n'a pas osé aller plus loin.

Lisandro n'avait aucune idée s'il y avait un délai minimum à respecter de pouvoir partager une nuit avec son partenaire. Si toutefois il y en avait un, il n'en avait jamais eu connaissance. Il n'était pas non plus du genre à enchaîner les relations sans lendemain, il n'y avait jamais vu aucun intérêt, bien qu'à l'époque il était conscient qu'il aurait pu profiter de sa notoriété pour ça.

Aujourd'hui, il était face à sa petite amie qui semblait avoir envie de franchir un nouveau cap dans leur relation. L'italien n'avait jamais été contre, bien au contraire, et si ses paroles n'étaient pas forcément les meilleures qu'il soit, son corps lui, ne mentait pas, et la jeune femme n'allait certainement pas tarder à s'en rendre compte. Est-ce que c'est ça qu'elle avait en tête quand elle lui avait demandé de venir passer un peu de temps avant de rentrer chez elle ? Un sourire se dessina sur ses lèvres à cette simple idée.

Ils avaient échangé quelques baisers, plus passionnés et langoureux que d'habitude. Le corps de l'ancien sportif s'était d'ailleurs rapidement embrasé tout comme celui de sa partenaire. Mais au moment où il aurait dû laisser parler son corps et son envie, il en était incapable. Incapable de faire quoique ce soit, trop frustré d'être dans cette situation. Lisandro avait décidé de lui avouer la vérité, il la lui devait, au moins, les choses seraient peut-être moins gênantes par la suite. Contrairement à ce qu'il avait pensé dans un premier temps, Maddie ne lui tenait pas rigueur, bien au contraire, elle lui demanda de lâcher prise, de ne plus réfléchir autant qu'il le faisait, et c'est ce qu'il essaya de faire au même moment où elle passa ses mains sous son tee-shirt, avant de retirer le sien et laisser pleine vue sur son soutien-gorge. On dirait que c'est la première fois qu'il voit ça, comme un adolescent qui découvre pour la première fois le corps d'une femme. Figé, il reprend ses esprits lorsqu'elle rompt le baiser pour retirer le haut qu'il avait sur lui, laissant ainsi tout le loisir d'admirer le travail effectué à la salle de sport ou pendant l'entraînement de football qu'il avait suivi avec assiduité.

Lentement mais sûrement, alors qu'elle est à califourchon sur lui, le basané poursuivit le baiser tout en laissant ses mains explorer le corps de sa partenaire. Il voulait en connaître chaque parcelle dans le moindre détail. Tout d'abord, il les laissa glisser sur ses jambes, pour les ramener doucement au niveau de son fessier sans toutefois trop l'effleurer. Il remonta ensuite jusqu'au dernier bout de tissu couvrant le haut de son corps et décida d'en faire glisser les bretelles sur le côté et libérer son sein du bonnet. Il commençait tout juste à reprendre un peu de contenance, mais il n'osait pas aller trop vite non plus, inutile de la brusquer, ils avaient toute la nuit devant eux.

Depuis le début, Lisandro sait que c'est ce moment là qu'il redoutait le plus. Ce n'était pas les sorties, le fait d'être exposé aux regards des autres, c'était bel et bien cet instant intime qui demandait beaucoup au niveau des attentes de chaque partenaire. Et puis, cela faisait plus de deux ans qu'il n'avait plus jamais touché une femme, ni même pour l'embrasser. Il était un peu comme cet adolescent qui découvrait sa partenaire pour faire sa première fois avec elle.

Malgré ses réticences et le fait d'avoir exposé ses craintes à Maddie, elle ne sembla pas lui en tenir rigueur, mais plutôt l'inciter à lâcher prise, le temps d'une soirée. Le temps qu'ils atteignent tous les deux le septième ciel après avoir exploré en détail le corps de leur partenaire respectif. Il essayait de prendre au pied de la lettre les conseils de la jeune femme en se laissant porter par ce que son corps lui disait, et à cet instant précis, il était on ne peut plus prêt.

L'italien laisse ses mains se balader sur le corps de sa partenaire avant de s'attarder un peu plus longuement sur sa poitrine. Comprenant ses intentions, la brune prend l'initiative de retirer ce bout de tissu qui ne lui sera plus utile à partir de maintenant. Après avoir rompu leurs baisers tous plus torrides les uns que les autres, il déposa ses lèvres sur son téton avant de lui donner un traitement de faveur. Puis pour ne pas faire de jaloux, il s'attaqua à son voisin pendant que Maddie descendait sa main encore et encore. Il avait envie de fermer les yeux, de tout abandonner et la laisser faire, parce que bon dieu il mourait d'envie de lui faire l'amour, et chacun de ses gestes renforçait cette envie qui bouillonnait en lui.

Lorsque la jeune femme en vient à glisser sa main sur son caleçon, son sexe ne mit pas longtemps à réagir à ce nouveau contact, plus qu'appréciable. Lisandro poussa un soupir tout en se mordant la lèvre. Ce simple geste avant suffi à lui donner la vigueur nécessaire pour poursuivre son assaut de son côté.

" - Retire ton bas.." souffla-t-il entre deux baisers.

Son corps était en éveil de partout et il avait simplement envie de pouvoir explorer le corps de sa partenaire, mais pour cela, il avait besoin de son aide. Tout comme il aurait besoin de son aide pour retirer son propre pantalon. Les mains de l'italien glissèrent lentement sur le fessier de sa partenaire avant de revenir le long de ses cuisses, puis faire de même en prolongeant les caresses entre le pantalon qu'il venait de déboutonner et le tissu qui recouvrait son intimité. C'était la dernière barrière avant que leur corps ne puissent en former plus qu'un seul.

Les mouvements du brun n'étaient pas encore très fluides, mais ils devenaient doucement un peu plus assurés et naturels, et un peu moins mécanique. Leurs deux bouches ne se quittent que rarement, hormis pour enlever les couches de vêtements qui restent encore sur leur peau respective. L'ancien sportif s'attaque à la poitrine de sa belle dans un premier temps. Ce qui semble lui plaire vu les soupirs qu'il perçoit. Il s'y attarde quelques secondes avant de passer à l'autre, jouant avec sa langue sur l'extrémité de son sein. Ensuite, il est déconcentré quelques temps quand Maddie passe sa main sur son érection. Ce contact le fait frissonner, et il se demande ce que ça va être lorsque leur peau vont être en contact, il a déjà le goût sucré de la peau de sa petite amie sur ses lèvres.

Lisandro lui intime de retirer son bas, parce que lui ne peut pas le faire comme il le souhaitait. Mais ce petit ordre ne semblait pas lui déplaire et, lorsqu'elle s'exécuta il ne put réprimer un sourire. Elle était désormais vêtue de ce seul bout de tissu qui venait recouvrir son précieux sésame. Cet endroit qu'il avait hâte de découvrir pour en observer toute la beauté, mais pour le moment, il avait d'autres projets. Tout comme Maddie d'ailleurs, puisqu'elle extirpe son pantalon pour que lui aussi, ne soit plus qu'en simple caleçon, laissant clairement apparaître le plaisir que lui procurait Maddie qu'avec de simples mots, de simples caresses.

Au bout du compte, Lisandro finit par s'allonger entièrement sur le canapé, de sorte à ce que la jeune femme soit au-dessus de lui. Quand elle épouse la forme de son érection, coincée dans son caleçon qui ne demandait qu'à respirer, qu'à être libérée, il poussa un soupir de soulagement, se mordant la lèvre inférieure et ondulant les hanches pour aller à la rencontre de la main de la brunette. Accrochant ses mains sur ses hanches dans un premier temps, il finit par caresser ses cuisses en s'y attardant peut-être plus que nécessaire avant de lentement les glisser sous le dernier bout de tissu qui couvrait sa peau. C'était désormais à lui de jouer avec son point sensible. Il joua avec ses doigts en la caressant simplement, attendant de voir sa réaction pour poursuivre et aller encore plus loin dans le processus pour lui donner tout le plaisir qu'il était capable de lui procurer. Pour accéder au Graal ultime, il ne leur restait plus qu'un vêtement qui le séparait pour unir leur deux corps pour la première fois depuis leur rencontre, mais pas pour la dernière il l'espérait fortement.

Au fil des minutes qui passent, le jeune homme se laisse un peu plus aller, il faut dire qu'il n'a pas vraiment le choix étant donné que le désir de s'unir avec sa partenaire est plus fort que tout le reste. Mais avant toute chose, il veut simplement s'assurer qu'il en est capable et au vu des gémissements qu'elle pousse, un sourire de satisfaction se dessine sur ses lèvres alors que les siennes et celle de sa partenaire ne se quittent plus. Puis, l'ordre qu'elle venait de lui murmure ne faisait qu'amplifier cette envie qu'il avait, ce désir de sentir sa peau chaude sur la sienne, son souffle s'accélérer et ses lèvres explorer chaque parcelle de son corps.

L'italien ne se fait pas prier évidemment pour continuer sa douce torture sur le corps de Maddie en glissant sa main sous le dernier bout de tissu qui lui reste, puis lentement, il commence les caresses, jouant avec son bouton de chair. Ils ne sont pas pressés et ont toute la soirée pour se découvrir intimement mais, il sait pertinemment que ni l'un ni l'autre ne sera capable de rester des heures ainsi sans succomber à l'appel du corps de son partenaire.

Lisandro s'allonge sur le canapé pour être plus à l'aise dans ce qu'il entreprend, tandis que la brune reprend sa place à califourchon sur lui, sa main toujours au même endroit, faisant grossir encore un peu plus sa virilité sous l'effet de ses caresses. Tandis qu'il poursuit ses caresses, la jeune femme entreprend de les libérer tous les deux du bout de tissu recouvrant leur plus simple appareil. Ils sont désormais libre de leurs mouvements et leur peau sont l'une contre l'autre. Leurs vêtements par terre, Lisandro ne peut que pousser des soupirs d'aise quand les mains de sa douce s'agitent sur sa virilité. Il en veut plus, il a besoin de plus.

" - Ne t'arrête pas.." murmure-t-il alors qu'il a la tête en arrière et les yeux clos.

Cela faisait des années qu'une femme n'avait plus touché son corps, et il ignorait si c'est parce que c'était Maddie qui avait des doigts de fée, ou si parce qu'il la désirait secrètement, mais cet instant était bien trop intense. Bien plus que tout ce qu'il avait déjà vécu auparavant.

Chacun des deux semblaient vouloir passer à l'étape supérieure mais, l'ancien sportif n'avait rien pour se protéger et si sa petite amie ne prenait pas la pilule, il ne voulait pas risquer les mauvaises surprises.

" - Est-ce que.. Tu prends la pilule ?"

C'était extrêmement gênant comme question, mais ils étaient deux adultes consentants, ils savaient les risques qu'ils encouraient s'ils ne se protégeaient pas, et même si l'idée d'avoir des enfants ne le gênait pas le moins du monde, puisque c'est ce qu'il désirait, il était certainement trop tôt pour ce genre de nouvelles.

Les choses se déroulent bien mieux qu'il n'aurait pu l'imaginer. Après cette soirée au restaurant, il était loin de penser qu'en rentrant chez lui, Maddie, sa petite amie lui exprimerait son envie de poursuivre la soirée ensemble. Il en avait été plus que ravi, mais une fois de plus, il n'aurait pas imaginé que cette soirée se finirait d'une manière aussi ... excitante et relaxante. Bien que les craintes qui s'étaientt emparées de lui avait failli mettre un terme à cet instant intime entre eux, la jeune femme ne lui en avait pas tenu rigueur et n'avait pas tenté de le rassurer. Elle lui avait simplement dit de ne plus autant réfléchir et de se laisser aller, Lisandro ne le regrettait pas le moins du monde, puisqu'en quelques minutes, il s'était retrouvé entièrement nu, son corps dévoilé à la femme qui faisait battre son corps. Lui qui était pudique ce n'était pas l'étape la plus facile, mais sa relation avec Maddie était différente sue celle qu'il entretenait avec son aide à domicile qui, l'avait plus d'une fois vu dans son plus simple appareil, mais il n'éprouvait pas cette envie et ce désir qu'il avait envers sa petite amie.

Une fois de plus, il failli gâcher ce moment en demandant à la jeune femme si elle prenait de quoi se protéger, parce que lui, n'avait rien là à l'instant T sous la main. Dans sa chambre, dans le tiroir il en avait, mais pas ici même, et heureusement, elle lui répondit par l'affirmative, ce qui chassa les dernières craintes de son esprit avant qu'elle exprime clairement ses envies. Des envies que l'italien partageait et même bien plus que ça. Alors maintenant que leur deux corps n'avaient plus aucune barrière pour les empêcher de vivre leur union, la brunette, qui attisait toujours plus le désir de l'ancien sportif finit par venir s'installer de sorte à unir leur corps pour la première fois.

À ce moment précis, l'italien poussa un juron dans sa langue natale. Rien qui ne soit censé inquiéter sa petite amie, puisque ce n'était que pour exprimer son envie de son corps, de cette union qu'il avait tant redouté mais qui le comblait au plus haut point. Il posa alors ses mains sur les hanches de sa partenaire, l'immobilisant quelques secondes afin de profiter de cette sensation d'extase, de plénitude. Puis, il l'invita à se mouvoir sur lui à un rythme délicat, leur bouche ayant repris possession de celle de leur partenaire pour ne plus se quitter malgré les quelques gémissements que chacun poussaient. Leur corps étaient désormais uni et Lisandro aurait tout donné pour que cette nuit ne se termine jamais, que Maddie reste ici, avec lui, dans cette position.