life is ours, we live it our way (aelya) -HOT-

Il referait exactement les mêmes choix s’il devait tout recommencer à zéro, espérant simplement pouvoir recroiser le chemin de son amour, la seule âme qui avait accepté de s’ouvrir à lui quand les autres avaient tout fait pour lui échapper à cause de la réputation qu’il traînait derrière lui et qui  le recouvrait depuis trop longtemps. Il avait accepté de se dévoiler à Aelya, très rapidement, ne peinant aucunement à mettre des mots sur son passé, comme elle l’avait fait avec lui, comme si dés les débuts, ils s’étaient voués une confiance aveugle. « Des chances… ? J’veux plus que ça moi. » Souffla-t-il, le regard joueur alors que ses lèvres s’étaient considérablement rapprochées des siennes, les tentant doucement jusqu’à ce qu’elle ne finisse par succomber à ses avances, Niels prolongeant le baiser qu’elle lui donna. « Ouais, c’est vraiment louche ce timing. » Dit-il, faisant mine d’être interloqué avant de rire légèrement, amusé par la situation qui s’était dessinée, tous les deux tombant à l’eau après avoir pris le risque de se rapprocher sur le kayak. « T’aimes trop me punir pour tout et n’importe quoi toi… Bon j’avoue que j’aime bien me laisser faire aussi. » Ajouta-t-il, amusé, revenant jusqu’au kayak pour se diriger jusqu’à la rive, s’autorisant une découverte des alentours et de cette forêt, Niels gardant sa petite-amie contre lui. « J’compte pas changer mon bébé, surtout si tu m’aimes comme ça. » Souffla-t-il amoureusement, lui qui voulait qu’elle continue à le voir de la même façon, à le regarder avec toujours autant de passion, parce-qu’à ses yeux, il n’y avait rien de plus rassurant que son regard brillant d’amour sur lui. Ils grimpèrent ensemble jusqu’en haut de la falaise, y découvrant la splendeur du paysage qui n’était pas aussi impressionnant vu d’en bas, prenant quelques secondes pour graver ces images dans son esprit. « C’est vrai ça. C’est toi ma force bébé, rien que toi. » Sourit-il, faisant un pas vers elle pour l’enlacer contre son corps qui désirait sentir le sien, incapable de se passer de ce contact qui le rendait dingue, lui qui peinait à ne pas la coller dés lors qu’elle apparaissait dans son champ de vision. Il tendit la nuque pour atteindre tendrement ses lèvres, ses bras lui promettant une sécurité éternelle. « Pareil. D’ailleurs… j’aimerais bien y retourner le plus vite possible là… » La défia-t-il, un sourire joueur ancré aux lèvres, lui qui ne tarda pas à lui montrer l’étendue de son affection en embrassant chaque zone de son visage, souriant davantage en entendant son rire qui lui réchauffait le coeur. « J’te trouve pas du tout niaise, moi… Mais c’est sûrement parce-que j’suis pire que toi. » Rit-il, se moquant de lui-même, contemplant les traits de son visage qu’il détenait entre ses mains, son regard caressant le sien avec une bienveillance sans nom. « Tu devrais te les accaparer tout le temps, pour être sûre qu’il y ait personne qui te vole la place. » Joua-t-il, cherchant à l’attirer contre lui, dans ses filets, afin qu’ils puissent vivre ensemble jusqu’à la fin des temps. Il sentit son coeur louper un battement aux quelques mots qu’elle lui murmura, comme si elle lui confiait le plus beau des secrets, chose qu’il croyait fermement, parce-qu’entendre la confirmation de ses sentiments le rendait toujours plus qu’heureux. « Viens contre moi… » Souffla-t-il à son oreille, désirant la sentir contre son torse alors qu’il se sentait défaillir aux caresses de ses doigts, une vague de chaleur s’emparant de lui. « Ouais, tu verras, dans cinq minutes on y sera. » Rit-il, conscient qu’il était toujours motivé lorsqu’il savait que son corps l’attendait, prenant sa main pour retourner jusqu’à leur kayak dans lequel ils reprirent place, arrivant finalement au lieu de location. « On est décidément trop forts. » S’amusa-t-il à sa remarque, ses doigts se faufilant dans les siens pour retourner jusqu’au van. « On va profiter au maximum du temps qu’il nous reste mon coeur. Puis, on reprogrammera un voyage bébé, j’te ferai ce cadeau moi aussi. » Ajouta-t-il, déposant un baiser sur sa joue alors qu’il ouvrit les portes de leur véhicule, souriant à ses mots qui l’incitaient à venir la réconforter. « T’as besoin d’un câlin, peut-être ? » Joua-t-il, feignant l’innocence alors qu’il s’allongea dans leur lit, ouvrant ses bras pour l’inviter à y prendre place. « Ou j’peux te faire un massage bébé, histoire d’éviter les courbatures avec tout ce sport qu’on a fait. » Se justifia-t-il, tirant finalement sur son bras pour la déséquilibrer, son corps tombant sur le sien, riant doucement alors qu’il accrocha son regard. « Faut qu’on voit le bon côté des choses, on va retrouver notre bébé à la maison. »

Elle était tombée amoureuse de lui, de ses fêlures comme de la pureté de son âme, parce qu'elle le connaissait par cœur malgré tout ce qu'on pouvait dire de lui. Ca n'avait jamais défini sa vision qui s'illuminait dès qu'il entrait dans le faisceau de ses iris qui ne cherchaient que lui pour toujours. Elle referait encore les mêmes erreurs si c'était pour retomber dans ses bras encore une fois, parce que c'était la réalité qui lui plaisait le plus, Aelya ne pouvant maintenant plus s'imaginer sans l'étau de ses bras autour de son corps.

- Pourtant t'adores la prise de risques... Et tu sais très bien que quand il s'agit de mes sentiments pour toi, t'en prendras jamais, répondit-elle avec un léger sourire, sachant qu'elle lui serait éternellement vouée, et que jamais elle ne serait capable de refuser la moindre de ses avances, ses lèvres venant se superposer aux siennes dans un baiser amoureux.

Elle acquiesça à sa remarque, tentant de feindre le sérieux avant de légèrement rire, eux qui s'étaient toujours amusés à se tourner autour depuis le début, usant de toutes les stratégies pour se voir tomber dans leurs filets.

- T'es la victime parfaite, je l'ai toujours pensé. Et t'es parfait aussi entant que bourreau, j'adore quand tu me domines toi... Répondit-elle d'une voix séductrice après être revenue sur le kayak suite à leur chute dans l'eau, tous deux rejoignant la forêt qui les guidait au travers d'un chemin tracé à leurs pieds. J'veux jamais que tu changes. Ni pour moi ni pour personne, tu me le promets ? Demanda-t-elle amoureusement, gardant son corps tout près d'elle, Niels qui était et serait toujours le seul remède à ses blessures, leur trajet prenant fin en hauteur, sur cette falaise qui leur offrait une vue imprenable, Aelya n'ayant pourtant des yeux que pour son amour qu'elle se prenait à admirer sous la lueur du Soleil. Je te soutiendrais toute ma vie. Tu pourras toujours compter sur moi, affirma-t-elle comme une promesse, ancrant son regard dans le sien alors qu'elle s'avançait, enlaçant son petit ami avant de laisser leurs lèvres se lier amoureusement, la brune souriant en coin à sa remarque qui faisait perler le désir dans ses pupilles. Ça te manque de partir en vacances là bas... Avec moi ? Lança-t-elle, se délectant de cette aura chaleureuse qui se déployait entre eux avant de sombrer d'amour sous l'effet de ses baisers vifs qui l'amusaient en l'attendrissant. J'aime tellement comme t'es moi... T'es trop adorable avec moi alors que j'suis chiante, rit-elle légèrement, complimentant sa patience, son regard détaillant la moindre parcelle de son visage alors que le sien se trouvait entre ses mains. Han comme tu me prends par les sentiments là j'hallucine... Feignit-elle de se plaindre, amusée. Et ça marche en plus... Murmura-t-elle avant de déposer un baiser sur ses lèvres, répondant à son affection qui la faisait frémir, son cœur s'activant dans sa poitrine à sa simple présence, sa peau frissonnant à l'entente de son murmure qui l'attira un peu plus contre lui, son buste venant contre le sien tandis que sa main caressait son torse, ses doigts captant sa chaleur. J'ai jamais douté de nos performances quand c'est pour se retrouver plus vite, s'amusa-t-elle avant de rejoindre leur kayak pour pagayer jusqu'au point départ, Aelya acquiesçant fièrement à sa remarque lorsqu'ils marchèrent en direction du van, sa main dans la sienne. T'es pas obligé bébé, j'peux m'en passer des vacances tant qu'on profite ensemble, le rassura-t-elle amoureusement, savourant son baiser sur sa joue avant de le suivre à l'intérieur du van, le regardant s'immiscer dans le lit, Aelya prenant un air amusé en écoutant ses propositions qui ne visaient qu'à faciliter le contact entre leurs peaux. Fais moi ce que tu veux, j'veux juste t'avoir contre moi là, tu me manques beaucoup trop, répondit-elle d'une voix envieuse avant de basculer contre lui lorsqu'il tira son bras pour l'attirer dans le lit, Aelya riant à son tour, son regard brillant dans le sien. Il me manque aussi lui, je suis contente de bientôt le retrouver, ajouta-t-elle, se mettant à califourchon sur Niels, sa main caressant doucement sa joue. Il me semble que tu dois toujours te rattraper pour tes bêtises... Joua-t-elle contre ses lèvres, les siennes dérapant sur sa mâchoire pour s'échouer dans son cou afin d'aspirer sa peau. Tu me fais un massage plus un câlin bébé ? Je le mérite je trouve, souffla-t-elle malicieusement à son oreille avant de mordiller son lobe.

Il l’aimait au-delà de tout, capable de se priver de l’univers entier parce-qu’Aelya était la seule dont il avait besoin, la seule pour qui il respirait. Il adorait sentir son regard sur lui, le seul regard qui lui avait toujours importé, son coeur battant la chamade dés qu’elle lui accordait de l’attention. Il n’y avait pas un monde, pas une seule dimension où il s’imaginait sans elle, peinant à croire qu’il aurait survécu à un quotidien où elle aurait été absente, sa présence l’incitant à tenir debout. « J’prends pas de risques avec ce qui me tient le plus à coeur… Je sais ce que je peux perdre. » Admit-il, conscient qu’il perdrait tout s’il la perdait elle, n’ayant aucune envie de se risquer à jouer sur ce terrain-là. Il profita de la douceur de ses lèvres au travers d’un baiser amoureux, eux qui continuaient de se chercher dans leur façon de se parler, de s’échanger certains regards qui ne trompaient pas. « T’es ma victime préférée si tu veux savoir, la plus belle aussi. J’adore te voir sous mon emprise… » Joua-t-il, avant de prendre la décision de continuer pendant quelques mètres à pied, son amour contre lui qu’il ne quittait pas, son coeur battant pour le sien. « J’te le promets mon ange. J’resterai toujours aussi chiant. » Sourit-il, s’amusant de ses propres mots avant d’atteindre la falaise pour contempler le paysage, l’horizon à perte de vue, la nature leur offrant ses plus belles couleurs, frissonnant en sentant les yeux d’Aelya s’arrêter sur lui. « J’le sais bébé, j’suis chanceux de t’avoir. » Murmura-t-il à son oreille alors qu’il l’avait enlacé, pressant ses lèvres dans un baiser amoureux, chaleureux qu’il avait peiné à rompre, retrouvant son regard alors que le sien brillait d’une lueur amoureuse, ses pupille s’assombrissant de désir aux sous-entendus qu’ils échangeaient malicieusement. « Ouais ça me manque… Beaucoup même. On y retourne quand ? » Joua-t-il, laissant sa bouche parsemer son visage de baisers tout aussi vifs que tendres, s’attendrissant devant leur manière de toujours se vouloir l’un contre l’autre. « Ouais j’te l’accorde ça. » Pouffa-t-il, faisant exprès de rentrer dans son jeu pour la taquiner, ses mains encadrant son visage qu’il peinait à lâcher du regard tant il en était amoureux. « Tant mieux si ça marche… » Souffla-t-il, juste avant qu’il ne cède contre ses lèvres, leurs corps semblant crier au désir d’être l’un contre l’autre, Niels peinant à garder son calme alors qu’il avait d’autres idées dans la tête pour sa petite-amie et lui. Il s’éloigna d’elle à contre coeur, ayant hâte de retrouver le van pour l’aimer de la plus belle des façons possibles, s’installant de nouveau dans le kayak pour parvenir à leur point de départ. « On est vraiment une fine équipe. » Sourit-il, heureux d’être enfin arrivé, sa main rejoignant celle de son amour alors qu’il tenta de se projeter pour leurs futures vacances. « Tu m’as offert un voyage mon amour. J’veux te faire un cadeau à la hauteur du tien… J’veux qu’on traverse le monde ensemble bébé. » Ajouta-t-il, l’esprit parsemé de rêves, ouvrant le van pour venir s’y installer, s’allongeant dans leur lit en l’incitant à venir tout près de lui. « Alors viens bébé, j’ai une idée pour arrêter de te manquer… » Souffla-t-il, d’un air charmeur, finissant par l’attirer contre lui, son regard percutant le sien lorsqu’il évoqua Hank. « Ça se trouve qu’il vit sa meilleure vie et qu’on lui manque pas du tout. » Pouffa-t-il, ses mains glissant lentement sur ses cuisses lorsqu’elle s’installa à califourchon sur lui. « Oui c’est vrai, t’as une bonne mémoire… » Ajouta-t-il, d’un air amusé, sa cage thoracique se soulevant au passage de ses lèvres sur sa mâchoire et dans son cou, Niels empoignant la chute de reins d’Aelya. « J’te fais tout ce que tu veux bébé, toute la journée s’il le faut. » Joua-t-il, son regard brûlant d’envie. Il se mordit la lèvre, s’écartant pour laisser Aelya s’allonger sur le ventre, venant s’installer au-dessus d’elle sans lui soumettre son poids, ses jambes de part et d’autre de son corps alors qu’il colla son bassin à son bas dos. Il esquissa un sourire, laissant ses mains débuter de légères pressions dans son dos, passant directement en dessous de son t-shirt pour caresser sa peau. Il remonta jusqu’à ses épaules qu’il massa délicatement, espérant la détendre, son corps se penchant vers le sien pour atteindre sa nuque qu’il taquina avec ses lèvres, plongeant à pleine bouche dans son cou où sa respiration se hacha. « J’pourrais te faire sauvagement l’amour bébé… »

Tout prenait du sens depuis qu'il s'était introduit dans sa vie, dans son coeur et dans son âme qui ne juraient que par lui, Aelya le cherchant partout, surtout dans les endroits où il n'y était pas, son esprit ayant lui-même du mal à se faire à son manque qui la persécutait de toute part quand ils étaient séparés. Elle ne vivait plus que pour les moments où elle s'immergeait dans leur cocon amoureux, s'octroyant du répit dans la chaleur de son étreinte qui éteignait tous ses doutes, toutes ses craintes, lui qui lui donnait continuellement ce sentiment d'exister et de compter.

- Tu me perdras jamais... Depuis que je te connais je pense qu'à toi, tu me laisseras jamais indifférente, avoua-t-elle, persuadée que dans n'importe quel univers il l'aurait attrapé dans ses filets, Aelya peinant à croire qu'elle aurait pu se sortir indemne de cette attirance aux effets fulgurants, dont elle avait fini par en tomber accro, complètement attachée à succomber au doux charme de son amour. J'ai jamais aimé être sous l'emprise de quelqu'un... A part de toi. Et j'adore ça, de voir que t'es le seul à pouvoir me canaliser... Admit-elle dans un regard séducteur, Niels dont elle était dépendante pour toujours, elle qui ne se verrait jamais sombrer aussi loin pour quelqu'un d'autre que lui, Aelya riant légèrement à sa remarque visant à la conforter sur son comportement qu'il garderait intact pour elle, parce qu'elle ne voulait que ça. Tu m'as donné ce que j'ai jamais eu... Une sécurité, des repères, et j'm'en rends compte à quel point j'ai eu de la chance de tomber sur quelqu'un d'aussi exceptionnel que toi, répondit-elle amoureusement, nichée au milieu de cette falaise qui surplombait les environs, leur donnant cette impression d'être sur le toit du monde alors qu'Aelya avait rompu les quelques mètres de distance pour se blottir contre son amour qu'elle embrassa amoureusement, se délectant de la douceur de ses lèvres, de ce contact chaleureux qui la faisait fondre. Très bientôt... Je compte pas passer cette fin de journée sans y retourner de toute façon, avoua-t-elle malicieusement, lui faisant insidieusement comprendre qu'elle ne passerait pas une journée sans se nourrir de sa peau, de son amour qu'elle aimait regarder s'infiltrer en elle, Aelya pouffant amoureusement en sentant ses baisers sur son visage, croulant sous son affection.

Elle attrapa son regard dans un échange joueur mais toujours amoureux, appréciant la proximité de leur visage alors qu'il portait le sien dans le creux de ses paumes, Aelya venant rapidement se rapprocher de sa peau qu'elle caressa, imprimant la chaleur de son corps dans la pulpe de ses doigts, son regard se teintant de braises alors que son désir bouillonnait dans ses veines, elle qui vint s'enflammer davantage contre ses lèvres qu'elle dévora. Elle rompit le contact pour se diriger jusqu'au van, reprenant place dans le kayak.

- Y'a pas plus terribles que nous, renchérit-elle fièrement, pagayant jusqu'à la rive, sa main rejoignant la sienne lorsqu'ils atteignirent la terre ferme. On traversera le monde ensemble mon coeur, moi j'y crois, et je ferais tout pour réaliser nos envies. Mais ma plus grande envie c'est déjà juste qu'on reste ensemble, admit-elle, touchée par sa volonté qui répondait à la sienne, Aelya le suivant à l'intérieur du van avant de fermer les portes, souriant de manière joueuse à sa remarque. J'ai quelques idées moi aussi en tête pour que t'arrêtes de me manquer... Répondit-elle, se laissant tomber sur lui, son regard amusé happé dans le sien. Si Hank est mieux avec les autres qu'avec nous je fais un scandale, plaisanta-t-elle, espérant intimement qu'on prenait bien soin de leur animal, son corps venant se positionner sur le sien. J'ai toujours une bonne mémoire pour ces choses-là... Murmura-t-elle contre ses lèvres, le regard pétillant de malice avant de venir grignoter sa mâchoire puis son cou qu'elle désirait voir rougir, Aelya soupirant contre sa peau en sentant l'emprise de ses mains sur ses courbes. J'adore quand tu me dis ça... Parce que j'ai bien envie de t'accaparer un peu là... Ajouta-t-elle, envieuse, captant sa lèvre qu'il mordit avant de se placer sur le ventre, accueillant Niels au niveau de son dos, respirant profondément en sentant ses mains s'infiltrer sous son haut, la propulsant dans le bien-être avant de frissonner en percevant ses lèvres dans sa nuque s'emballer dans des baisers de plus en plus fiévreux, laissant son coeur battre anarchiquement. Fais moi crier... Tu m'excites déjà trop, murmura-t-elle, faisant directement volte face pour attraper ses lèvres en plein vol de manière passionnée, ses mains glissant de ses cheveux à son torse pour finir par caresser son bas ventre à travers son jean. Dévore-moi... Susurra-t-elle dans une voix brulante, se débarrassant de son propre haut pour laisser apparaître son sous-vêtement.

Jamais il ne se remettrait d’une séparation, lui qui savait très bien à quel point il pouvait se sentir vide sans elle, comme si son existence perdait toute sa valeur, toute sa légitimité. Il n’aurait certainement pas envie d’assister à sa propre descente aux Enfers, conscient qu’elle serait bien plus douloureuse qu’un coup de poignard dans le coeur, lui qui n’espérait plus rien de la vie si son chemin venait à se détourner de celui d’Aelya. Il continuerait de s’accrocher à elle bien plus qu’à n’importe qui d’autre, incapable de la laisser filer sous ses doigts. « Reste à moi mon amour, toute ta vie. J’veux pas imaginer me retrouver sans toi un jour. » Avoua-t-il, tombant amoureux d’elle, de ses mots doux qu’elle ne cessait de faire pleuvoir sur son coeur pour l’apaiser et lui rappeler l’affection qu’elle lui portait. « J’adore ça moi, te canaliser… C’est toujours un bon compromis d’essayer de te calmer… » Souffla-t-il, faisant naître plein d’images dans son esprit, ceux de leurs moments passionnés où il n’y avait qu’eux qui comptaient, eux contre le reste du monde qu’ils parvenaient à oublier lorsqu’ils étaient l’un contre l’autre. Les mots de son amour résonnaient dans sa tête, se frayant un chemin jusqu’à son myocarde qu’elle alimentait par cet amour si pur qu’ils se vouaient, Niels esquissant un sourire heureux. « J’étais pas exceptionnel bébé… C’est parce-que je t’ai toi que j’me donne à fond. J’veux que tu vois la meilleure partie de moi mon amour. » Lui souffla-t-il, d’un air amoureux, laissant Aelya rejoindre ses bras qui l’encerclaient tendrement, Niels souhaitant continuer de la protéger avec cette même ardeur, lui qui ferait tout en son pouvoir pour protéger son trésor du monde entier. Ses lèvres profitèrent du contact des siennes, le temps semblant s’être arrêté alors qu’ils partageaient ces quelques instants l’un contre l’autre. « Parfait. J’avais bien envie d’y retourner très vite moi aussi. » Ajouta-t-il l’air de rien, désirant retrouver Aelya de la meilleure manière qui soit, son corps se voyant déjà affamé du sien. Il se délecta des quelques minutes qu’ils s’accordèrent devant le paysage majestueux, leurs yeux dévorant ces images qui resteraient à jamais gravées dans leur esprit. Ils reprirent la route inverse, traversant la rivière pour rendre le kayak, amusés par le fait que leur mésaventure soit passé inaperçue, leurs mains se retrouvant pour se diriger tous les deux vers le van. « Ça c’est pas négociable. Faut pas croire que j’vais te laisser t’échapper, ça arrivera jamais. » Joua-t-il, son regard se posant malicieusement sur elle, l’attirant avec lui dans le lit. « Peut-être qu’on a les mêmes idées en fait… » Souffla-t-il, d’un ton faussement innocent, ses mains se posant sur son corps qu’il avait attiré contre le sien, recouvrant sa chute de reins. « J’espère qu’il était vraiment bon ton petsitter là… » Ajouta-t-il, faisant mine d’être menaçant alors qu’il savait parfaitement qu’Aelya avait choisi la meilleure personne pour garder leur chiot. Il capta la malice de son regard à ses murmures, tendant légèrement la nuque pour lui laisser l’espace de le grignoter, sentant son coeur s’emballer en percevant son souffle s’échouer contre sa peau, Niels resserrant l’emprise de ses mains sur ses hanches. « J’suis tout à toi. J’irai nul part. » La tenta-t-il, prenant les devants pour débuter le massage qu’il lui avait promis, ses doigts prenant le temps de masser son corps, lui laissant des caresser à chacun de leur passage. Il ne put résister à son envie de marquer son cou, peinant à retenir sa fougue alors que ses baisers s’emballaient de plus en plus, faisant rougir sa peau par l’aspiration de ses lèvres. Il lâcha un soupir bien moins discret à ses mots qui le firent défaillir, son envie grandissant alors qu’il était toujours contre elle, son bassin collé à son bas dos. Il répondit à son baiser lorsqu’elle se retourna finalement, son corps inévitablement attiré contre le sien lorsqu’elle passa sa main dans ses cheveux, l’approchant d’elle, retenant un soupir lorsqu’elle s’occupa de le caresser au-dessus de ses vêtements. Il esquissa un sourire joueur, le regard embrasé par le désir, sa paume venant taquiner son anatomie par dessus son jean. « Tu me donnes très faim en plus… » Susurra-t-il, son regard insistant sur sa poitrine qu’elle dévoila, ses lèvres se faisant un plaisir de laisser leur trace sur son buste, avant de glisser lentement vers son nombril, ses doigts défaisant lentement l’attache de son bas avant de le retirer. Il continua sa descente pour laisser sa bouche frôler son sous-vêtement, embrassant l’intérieur de ses cuisses qu’il maintenait ouvertes avec ses bras. « Tu veux vraiment que je te dévore… ? » Lâcha-t-il, juste pour l’entendre lui redemander une seconde fois, ne se lassant jamais de la voir se tortiller de plaisir. Il pressa ses lèvres sur son sous-vêtement, levant les yeux vers elle. « Tu crois que je devrais enlever le reste…? » Joua-t-il.

Aelya avait vu ses peurs diminuer au contact de sa douceur, elle qui s'était ouvert le cœur pour qu'il puisse recueillir le moindre de ses secrets qu'elle dissimulait dans ses silences, dans le creux de ses pupilles qui n'étaient maintenant vouées qu'à sombrer dans les siennes. Et c'était tout ce qu'elle faisait depuis leur rencontre, elle se noyait dans l'océan de ses iris dont elle captait la moindre intensité pour y discerner tout ce qu'il ne disait pas et pourtant, tout ce qu'elle savait déjà, parce qu'elle le lisait comme un livre ouvert, son âme ayant appris à entrevoir la sienne.

- Y'a aucun risque. J'aurais plus aucune raison de me lever, d'aller travailler, de respirer si t'étais plus là, admit-elle, se revoyant dans leurs séparations, le cœur arraché, la mine blafarde, peinant à tenir debout loin de son amour. T'as toujours les récompenses pour tes efforts surtout, tu peux que aimer le faire... Répondit-elle malicieusement, son regard détaillant ses traits dont ses lèvres qu'elle aurait aimé maltraiter dans des milliers de baisers, elle qui désirait mettre en pratique toutes les images qui se développaient dans son esprit, ses sens voulant simplement se gorger de son être tout entier. J'aurais pas pu rêver de mieux en partenaire pour la vie... Tu me fais craquer tout le temps bébé, t'es vraiment trop ma corde sensible toi, avoua-t-elle, fondant pour ses mots, pour cet amour qui perlait dans leurs regards qui se répondaient, Aelya sachant qu'elle ne pourrait jamais se délester de sa présence dans sa vie qui lui était vitale, la brune s'enfermant de ses bras qui la réchauffait par le biais de son affection, Aelya ne se sentant en sécurité que dans son étreinte, là où ses lèvres se chargeaient de caresser les siennes. J'ai trop hâte de te retrouver là-bas, je sais pas pourquoi, ça se termine trop souvent sans vêtement, mais la vue est plus qu'agréable je trouve, ajouta-t-elle, un air amusé sur le visage alors qu'ils se cherchaient de plus en plus, Aelya laissant ses doigts marquer discrètement son torse alors qu'ils profitèrent encore quelques instants de la vue qui s'étendait devant leurs yeux ébahis, avant de rejoindre le kayak et son point de location, Aelya s'amusant de leur discrétion vis-à-vis de leur chute dans l'eau. C'est la plus belle poisse qui peut me tomber dessus, de rester coincée avec toi toute une vie tu sais, s'amusa-t-elle, sa main infiltrée dans la sienne, tous deux arrivant jusqu'au van où Aelya posa son regard sur Niels qui rejoignit le lit, la brune se voyant rapidement attirée contre lui. C'est une possibilité parce qu'on est toujours sur la même longueur d'ondes... Répondit-elle, joueuse, son regard brûlant d'envie dans le sien alors qu'elle se plaça au-dessus de lui, savourant le contact de ses mains sur ses courbes qui s'offraient à Niels. J'ferai toujours le mieux pour notre bébé tu le sais bien, puisque j'fais toujours ce qu'il y a de mieux pour toi amour, affirma-t-elle amoureusement, laissant ses lèvres glisser sur sa peau qu'elle mordilla sous l'effet de ses paumes qui pressaient ses hanches, son souffle se saccadant de désir. T'as toujours été qu'à moi bébé... Depuis le début et pour toujours, murmura-t-elle à son oreille, la voix passionnée par son amour.

Elle le laissa venir contre son dos, savourant les massages de ses doigts, ses muscles se détendant sous ses caresses, jusqu'à ce qu'il ne vienne l'embraser en venant grignoter son cou, son corps se cambrant directement pour rapprocher leurs deux corps, elle qui soupirait plus bruyamment en sentant son désir se développer contre elle, incapable de retenir la chaleur qu'elle vint enflammer contre ses lèvres qu'elle dévora en se retournant, permettant à sa langue de danser fiévreusement avec la sienne, sa main chutant le long de son corps, jouant avec son anatomie qu'elle caressait par dessus ses vêtements.

- J'suis carrément affamée là, et que de toi bébé... Susurra-t-elle dans un soupir envieux, aimant le regarder jouer avec son anatomie au travers de ses vêtements, Aelya retirant son haut pour laisser la liberté à ses lèvres de venir jouer avec elle, sa cage thoracique se soulevant au passage de ses lèvres, à ses brûlures qui irradiaient sa peau de passion, Aelya le laissant la dévêtir, sombrant pour ses baisers vers son nombril qui testaient sa patience. Je veux même que t'en laisses aucune miette... Joua-t-elle, se mordant la lèvre en le voyant tenter son anatomie, réveillant l'urgence dans son corps. Enlève tout bébé... J'te veux... Tu me rends dingue là... Lança-t-elle, pressant sa poitrine entre ses mains sous l'effet du désir qui explosait, décidant de retirer son soutien gorge, alors que ses cuisses se pressaient doucement autour de lui. J'vais tellement me venger amour... J'vais te manger moi aussi, joua-t-elle fiévreusement.

C’était sans crainte qu’il avançait dans cette relation, se sentant en pleine sécurité lorsqu’il était dans ses bras, lorsqu’elle lui assurait qu’elle continuerait de l’aimer jusqu’à la fin. Parce-qu’il la croyait, persuadé qu’elle tiendrait sa parole. Et c’était aussi certainement parce-qu’il n’imaginait pas une seule seconde pouvoir passer sa vie sans elle, lui qui avait trouvé toutes les raisons de vivre à travers son regard qu’il peinait à ne pas chercher en tout temps. « Je bouge pas bébé. J’ai l’intention de passer ma vie avec toi. On va rester ensemble, j’te le promets. » Lui souffla-t-il, son regard amoureux lui promettant l’éternité, alors qu’un sourire vint étirer le coin de ses lèvres à ses mots joueurs. « J’le fais qu’avec toi. Tu me diras… ça serait risqué d’essayer de faire parler mes talents ailleurs. » Pouffa-t-il, la taquinant avec amusement, captant son regard qui vrillait jusqu’à ses lèvres, le désir augmentant lentement mais sûrement entre leurs deux corps, Niels sentant l’atmosphère se charger d’une tension électrique presque palpable. « J’suis ravi de l’être mon amour. Je passerais mon temps à te faire craquer si je pouvais. » Ajouta-t-il, encerclant son amour de ses bras chaleureux, ceux qui voulaient être son seul refuge, ses lèvres pressant doucement les siennes dans des baisers tendres. Il arqua un sourcil à ce qu’elle ajouta, faisant mine de réfléchir à ses paroles avant de reprendre la parole. « Je sais pas pourquoi non plus, c’est fou ça. J’crois qu’il fait vraiment chaud là-bas, ça doit être pour ça. » Reprit-il, amusé par leur manière de se tourner sans arrêt autour, bien trop accro l’un à l’autre pour mettre fin à ce petit jeu de séduction qui perdurait depuis qu’ils s’étaient rencontrés. Ils reprirent ensemble le chemin de leur van, remontant dans le kayak pour le rendre après avoir profité de ces quelques minutes suspendues dans le temps, sur les toits du monde. « Tu sais que t’es la détenue la plus heureuse du monde ? » S’amusa-t-il, faisant référence au fait qu’elle était prisonnière de son amour, comme lui l’était, Niels se voyant incapable de la laisser s’échapper, l’aimant beaucoup trop pour pouvoir imaginer ce scénario. Ils prirent place dans le lit, lui qui avait refermé les portes derrière eux, pour profiter de leur intimité, ayant bien en tête les mots qu’ils avaient échangé plus tôt. Il se mordit doucement la lèvre, se concentrant sur son corps, ses mains agrippées à ses hanches, valsant sur sa chute de reins pour la posséder entièrement. « Je sais bien bébé, t’es une maman poule avec lui. » Joua-t-il, soufflant plus bruyamment en sentant ses lèvres glisser dans son cou, Niels resserrant l’étreinte de ses paumes sur son corps. « Jusqu’à la fin… » Ajouta-t-il, avant de s’exécuter pour lui offrir ce massage dont il lui avait parlé, peinant à rester calme alors qu’il s’approcha un peu plus de son corps, son bassin se collant à son bas dos alors que son buste s’était penché vers elle pour pouvoir atteindre son cou avec ses lèvres, la dévorant comme il aimait le faire. Il lui susurra quelques mots brûlants, satisfait de la voir se retourner pour attraper sa bouche, leurs langues se mêlant vite à la danse endiablée de leurs lèvres qui se cherchaient. Il les taquina d’ailleurs avec ses dents en sentant la main d’Aelya se balader jusqu’à son jean, son souffle se percutant au sien alors qu’il chercha à décupler son plaisir en descendant lentement jusqu’à son nombril, laissant la marque passionnelle de ses lèvres là où il le pouvait. « J’vais te marquer partout amour… » Souffla-t-il, dans un soupir envieux, s’installant entre l’ouverture de ses cuisses pour jouer avec son anatomie qu’il caressait au-dessus de son vêtement, espérant la faire languir d’impatience. « J’vais te faire du bien bébé… J’veux t’entendre crier… » Lâcha-t-il, ses deux mains s’occupant de lui retirer son dernier vêtement, sa bouche s’abandonnant à son désir avec lequel il jouait d’une langue experte. « J’ai hâte de voir ça… » Sourit-il, à ses mots, son regard captant tout le plaisir qu’elle semblait ressentir, explosant d’envie lorsqu’elle s’occupa d’enlever son haut, ses gestes la rendant incroyablement sexy. « T’es trop magnifique quand t’es comme ça… » Murmura-t-il avant de reprendre ce qu’il faisait, sa main glissant fiévreusement sur son corps pour atteindre sa poitrine qu’il pressa à son tour, désirant lui faire atteindre le nirvana. « Tu apprécies ton massage mon bébé…? » Souffla-t-il, un brin joueur, conscient que le moment de détente avait pris une bien autre tournure.

Les seuls regrets qu'elle avait, était d'avoir laissé tout ce temps meurtri s'écouler loin de lui, quand il se perdait ailleurs, quand Aelya avait sombré dans les soubresauts douloureux de son coeur, quand il n'y avait que la noirceur qui l'appelait à avancer, à laquelle se raccrocher. Sans lui, elle n'était que des cendres, des miettes étalées sur une terre toxique, rongée par ses propres remords acides, les souvenirs collant à sa peau, ouvrant ses maux jusqu'à ce qu'elle ne cède au désastre, parce qu'il était le seul antidote à son mal.

- Merci de me supporter. Je sais que c'est pas simple. Mais t'es là, et tu l'as toujours été. T'es l'amour de ma vie, répondit-elle entre l'amusement et la tendresse, Aelya n'ayant aucune autre envie que celle de parcourir une vie entière avec son amour. Très risqué. Parce que le monde entier doit savoir que t'es à moi, donc y'aura forcément des conséquences, s'amusa-t-elle malicieusement, consciente que jamais elle ne laisserait quelqu'un avoir les mêmes privilèges qu'elle avait avec lui, toutes ces petites choses qui déterminaient leur relation si fusionnelle. Tu le fais tout le temps, même par sms, t'es vraiment trop doué pour m'amadouer toi... Ajouta-t-elle, le regard caressant ses traits, elle qui était éperdument amoureuse de tout ce qu'il lui offrait continuellement, son désir se réchauffant sous l'effet des images qui se déployaient dans son esprit, qui l'attiraient instinctivement à rapprocher son corps du sien, blotti dans l'étau de ses bras chaleureux tandis que ses lèvres parsemaient les siennes de tendres pressions. T'as raison. Il fait vraiment chaud. Surtout quand t'es là bizarrement, renchérit-elle, joueuse, lui tournant autour comme elle avait l'habitude de faire, Aelya qui se ne lassait jamais de leur jeu qui était toujours destiné à les faire sombrer l'un contre l'autre, sa peau vibrant déjà à la seule pensée de le retrouver dans les draps, eux deux qui avaient donc décidé de retourner à leur van après cette escapade idyllique, rendant leur kayak pour avancer vers le van. C'est une bonne chose nan ? Lança-t-elle, espiègle, consciente qu'elle se délectait de cette délicieuse addiction qu'était Niels, elle qui n'avait jamais rien fait pour contrer tous ses effets et pour trouver un moyen d'y remédier, bien trop atteinte par son aura délicieuse.

Entrant à l'intérieur du van, elle était rapidement venue à califourchon contre son amour, appelée par sa chaleur qu'elle voulait absorber pour imprimer la moindre particule de son être à l'intérieur du sien. Elle acquiesça à sa remarque sur Hank, soupirant fiévreusement en sentant l'emprise de ses paumes autour de ses formes, les lèvres d'Aelya se permettant de laisser sa marque dans le creux de son cou qu'elle embrassait fougueusement. Elle frémit à son murmure qui faisait écho à tout ce qu'elle voulait entendre, la brune le laissant venir contre elle pour la masser, bien consciente que son toucher allait forcément réveiller le désir qui s'agitait déjà dans ses entrailles, révélé par sa bouche qui vint déchaîner sa passion alors qu'il dévorait son cou, sa respiration devenant haletante alors qu'elle entendait son souffle s'échouer dans son oreille, leurs deux corps se cherchant avant qu'elle ne se retourne pour attraper ses lèvres, permettant à sa langue de lui administrer toutes les images brûlantes qu'elle avait à l'esprit, son soupir s'écrasant contre ses lèvres quand il mordit la sienne, la main d'Aelya venant jouer tout près de son bas ventre avant qu'elle ne le regarde descendre sensuellement entre ses cuisses, son corps se soulevant dans son désir incontrôlable.

- J'te veux partout... J'te veux tout entier bébé... Ajouta-t-elle, savourant les brûlures qu'il laissait sur son corps, celui se tendant à chaque vague d'envie qu'il développait entre ses cuisses, ses lèvres jouant avec sa patience. Bébé... Tu me tortures... Tu sais pas comme tu m'excites là... Avoua-t-elle, se mordant la lèvre avant que son dos ne vienne se cambrer d'un seul coup en sentant sa bouche contre son anatomie, ses courbes s'agitant dans des spasmes liés au plaisir, Aelya attrapant sa poitrine sous ses yeux, peinant à maîtriser l'explosion de chaleur qu'il lui offrait. C'est toi qui me rends comme ça... Tu me fais perdre la tête... Souffla-t-elle dans un soupir envieux, gémissant lorsque la main de son amour vint presser sa poitrine à son tour. Tu te rattrapes plus que bien si tu veux tout savoir... Sourit-elle en coin, sa main venant se loger dans ses cheveux pour l'inciter à continuer, sa tête se renversant en arrière, le corps ravagé par le plaisir alors que ses gémissements se faisaient entendre entre les parois, la chaleur la gagnant jusqu'à ce qu'elle ne sente le bien-être extrême la happer dans son orgasme, ses cuisses se contractant autour de son amour. Putain bébé, tu m'as fait vibrer... J'te veux encore trop... Viens là toi... Souffla-t-elle, la respiration encore tourmenté par son plaisir alors qu'elle attrapa sa main pour le faire remonter, lui donnant un baiser vif et fiévreux avant de l'inviter à s'allonger, sa bouche venant tracer une ligne de baisers jusqu'au bouton de son jean qu'elle vint défaire, le faisant glisser sur ses jambes avant de passer ses mains sur son boxer, son regard félin planté dans le sien. J'espère que tu vas apprécier ma vengeance... S'amusa-t-elle malicieusement, ses lèvres venant taquiner sa peau au niveau de son nombril en même temps que ses mains ne retiraient son tissu, Aelya laissant sa langue s'offrir à son anatomie, avant que sa bouche n'alterne entre des caresses amples et plus lentes, et des caresses plus rapides, sa main venant aider ses mouvements. J'arrêterai quand t'en pourras vraiment vraiment plus... Joua-t-elle, continuant à le tourmenter.

Il s’était senti mourir en la voyant scellée à un autre que lui, comprenant qu’il avait sûrement laissé passer la chance de sa vie, parce-qu’il ne retrouverait plus jamais quelqu’un comme Aelya. Il était incapable d’aimer si ce n’était pas elle, comme s’il s’était rendu compte que tout ce qui viendrait après elle n’aurait jamais aucun sens. Il abandonnerait son coeur entre ses mains, livré à lui-même, piégé dans un monde qui n’était pas fait pour lui s’il s’y retrouvait seul. « C’est mon activité préférée de te supporter bébé. J’veux aller nul part sans toi. » Répondit-il amoureusement, touché par ses mots tendres dont il discernait l’entière sincérité. « Le monde sait pas à quel point t’es dangereuse quand c’est pour avoir ce que tu veux. J’te trouve très sexy quand t’es possessive. » Joua-t-il, amusé par leur comportement toujours excessif, eux qui n’étaient certainement pas prêts à laisser les autres s’approchaient de la personne qu’il convoitait le plus dans ce monde. Il pouffa de rire à ses mots qu’il ne pouvait pas contredire, se rendant compte qu’il tentait toujours d’attirer son attention même lorsqu’ils n’étaient pas ensemble, Niels ne supportant pas l’idée de pouvoir être balayé de son esprit. « C’est pour m’assurer que tu m’oublies pas. Mais si ça t’embête, j’peux jouer au mort pendant mes journées de travail. » Dit-il, taquin, juste pour la voir le rattraper, parce-qu’il était évidemment incapable de ne pas établir le contact avec elle même lorsqu’il travaillait. Il sentit son coeur se déchaîner dans sa poitrine alors qu’elle le tentait avec ses lèvres, Niels y répondant, entrecoupant leurs baisers pour pouvoir la regarder. « Même la science pourrait pas expliquer ces phénomènes je crois… » Souffla-t-il malicieusement, continuant de la dévorer du regard pour lui donner un aperçu de tout ce qu’il avait en tête, de tout ce qu’il comptait lui faire lorsqu’ils auraient rejoint le van. « Bien sûr que ça l’est, je te séquestre et t’adores ça, que demander de mieux ? » Pouffa-t-il, prenant rapidement place dans le lit en attirant Aelya contre lui, incapable de résister à sa chaleur et aux courbures de son corps qu’il touchait, enviait, ses paumes rapprochant leur bassin pour lui donner encore plus chaud. Il adorait sentir son corps aussi près du sien, peinant à retenir ses soupirs lorsqu’elle dévora son cou, conscient qu’il ne ressortirait pas indemne de cet échange qui promettait d’être plus que sauvage, Niels se retrouvant bien vite au-dessus de son amour, ses mains se prenant à lui délivrer de tendres pressions pour la détendre. Il voulait la pousser à bout, réveiller la fougue qui sommeillait en elle alors qu’il savait qu’elle pourrait percevoir l’envie qui s’était réveillée au niveau de son bas ventre qu’il pressa contre sa chute de rein pour atteindre son cou avec ses lèvres. Il se mordit la lèvre en voyant son corps se cambrer davantage, la laissant finalement se retourner pour attraper ses lèvres dans un baiser survolté et langoureux, Niels ne cachant pas sa satisfaction de les voir tous les deux plonger la tête la première dans ce désir brûlant. « J’te prendrai partout mon amour, et t’es la seule qui m’auras comme ça… » Lâcha-t-il dans un soupir enflammé près de son oreille, juste avant que ses lèvres ne viennent grignoter sa mâchoire puis son cou, continuant leur descente vers son nombril pour défaire le reste de ses vêtements. « C’est toi qui m’excites comme un fou là… Putain ce que t’es belle… » Souffla-t-il, ses lèvres frôlant son anatomie avant de lui céder entièrement, Niels la dévorant sans ne laisser aucune miette, sa langue alternant parfaitement le rythme de ses caresses pour la voir fondre de plaisir. Ses yeux la contemplaient, détaillant ses traits qui se tiraient à chaque fois qu’il changeait de cadence, ses mains pressant ses cuisses pour garder son emprise sur elle. « C’est tout ce que je voulais, me rattraper. » Joua-t-il, sa bouche s’abandonnant à elle lorsqu’elle l’incita à continuer par le biais de sa main qui s’était faufilée dans ses cheveux, Niels venant faire danser ses doigts contre son anatomie pour lui faire expier son plaisir, s’occupant d’elle comme il ne le ferait jamais avec une autre. « T’as l’air affamée toi… » Souffla-t-il, un sourire en coin, remontant jusqu’à elle pour l’embrasser furtivement, ses lèvres encore brûlantes. Il se retrouva sous l’emprise de son amour, frémissant à la longue descente de ses lèvres jusqu’à la limite de son jean qu’elle fit rapidement tomber, sa main empoignant son désir visible. « Je l’apprécie déjà. » Joua-t-il, son regard ne quittant pas Aelya qui s’employait à le rendre fou, son souffle se saccadant à la vue de sa bouche qui s’offrait à lui, à la sensation de ses lèvres qui le caressaient en se fondant sur lui. « Putain… » Lâcha-t-il dans un gémissement, ses muscles abdominaux se contractant à chaque vague de plaisir, Niels peinant à retenir ses soupirs. « J’adore quand tu fais ça bébé… » Articula-t-il entre deux gémissements, se forçant au calme alors que son bassin ondulait instinctivement, Niels tendant la nuque. « Faut que tu reviennes bébé, j’vais pas tenir… »

Elle rendrait l'impossible possible pour ses beaux yeux, Aelya n'ayant aucun mal à s'imaginer affronter la moindre péripétie pour pouvoir laisser son âme s'accrocher à la sienne, sa main épousant parfaitement celle de Niels pour ne jamais avoir à la lâcher, ce qui entraînerait sa propre perte, lui qui avait de par son seul sourire réussi à conjurer ses propres ténèbres, réveillant son espoir qui se nourrissait de chaque contact qu'elle avait avec son être.

- Alors on restera ensemble, jusqu'à ce qu'on soit vieux et qu'on soit mis dans un asile pour démence, s'amusa-t-elle tendrement, imaginant passer ses jours entiers avec l'homme de sa vie qu'elle ne quitterait jamais. J'ai jamais été possessive moi avant toi, j'le suis rien que pour toi, juste parce que t'es ma perle rare, et que je sais que tu seras la seule, avoua-t-elle amoureusement, consciente qu'elle explosait facilement sous l'effet de la jalousie qui lui brûlait la peau, l'esprit, enflammant sa raison pour la pousser à la colère, Aelya se découvrant d'autres facettes de sa personnalité sous l'emprise de son amour passionné et passionnant. Comment tu veux que je t'oublie ? T'es dans ma tête à chaque seconde de ma journée bébé. T'arrêtes jamais de me harceler... C'est toi qui fait rayonner ma journée en plus quand j'suis loin de toi. Tu veux pas avoir mon malheur sur la conscience, si ? Lança-t-elle, arquant un sourcil joueur, ses yeux s'imprégnant de malice et d'affection pour son visage qu'elle se prenait à admirer avant de laisser ses lèvres céder aux siennes pour mieux réchauffer leur désir perceptible dans l'air. Ça me va de rester dans l'ignorance, j'y trouve mon compte je crois... Avança-t-elle, joueuse, elle qui vivait pour lui, pour sa peau contre la sienne qui la faisait toujours renaître, ayant soudainement hâte de retrouver son souffle de vie dans une étreinte dont ils avaient le secret. Tu trouveras jamais une victime aussi docile que moi, même pas la peine de chercher ailleurs, lança-t-elle, son regard espiègle brillant dans le sien alors qu'elle voulait le condamner à lier sa vie à la sienne pour toujours, incapable de voir son avenir autrement.

A califourchon sur lui, son regard animé se laissa happer dans le sien avant qu'elle ne laisse ses lèvres délicieusement marquer son cou pour jouer lui, le laissant prendre place sur son corps pour ressentir les pressions de ses mains qu'elle aimait sentir partout sur elle, sentant un pic de chaleur l'aspirer dans le désir à la sensation de ses lèvres dans son cou, de son bassin contre sa chute de reins qui se tendait vers son bas ventre qu'elle percevait au travers de leurs vêtements, réveillant en elle une urgence qu'elle vint confirmer en attrapant ses lèvres dans un baiser fougueux qui ne laissait place à aucun doute vis-à-vis de son besoin de l'avoir contre elle, en elle, ses mains s'affairant à descendre contre son jean pour le tenter.

- Tu feras toujours ce que tu veux de moi, si tu savais l'effet que tu me fais là... Répondit-elle, le regard brûlant pour son amour, le souffle en perdition alors qu'il embrassait sa peau fiévreusement, ses lèvres s'entrouvant dans des soupirs alors qu'il descendait vers son nombril. J'vais te rendre encore plus fou amour... J'veux te faire exploser... Admit-elle dans un souffle brûlant, mordant fiévreusement sa lèvre alors qu'il jouait avec son anatomie, Aelya s'agitant lorsqu'il céda complètement à sa peau, survoltée par le plaisir qui venait la percuter, les yeux fermés, la tête renversée dans le nirvana, gémissant fortement en sentant ses doigts venir aider ses lèvres, sa cage thoracique se soulevant à chaque vague tandis que ses spasmes s'intensifiaient, maîtrisés par Niels, jusqu'à expier son dernier gémissement quand elle eut atteint le sommet de son plaisir. De toi, toujours bébé, j'le suis encore plus là, j'vais te dévorer tout cru, ajouta-t-elle, les pupilles assombris par son envie incandescente qu'elle étouffa dans un baiser, prenant position sur son corps qu'elle embrassa jusqu'à glisser jusqu'à son jean, sa main venant s'approprier l'objet de tous ses désirs qui se révélait sous ses yeux joueurs. Tu vas encore plus l'apprécier, sourit-elle, laissant ses lèvres s'amuser avec son désir, sa langue s'alliant pour le faire frémir dans ses gestes. T'en veux encore mon bébé...? Demanda-t-elle, ses yeux félins accrochant son regard, savourant l'état dans lequel il était alors que ses mouvements devenaient plus rapides, s'alliant à sa main, avant qu'elle ne vienne doucement s'arrêter à sa remarque, son corps remontant sensuellement pour venir à hauteur de ses lèvres. Fais moi l'amour bébé. Maintenant, lâcha-t-elle passionnément, ses doigts attirant son bas ventre dans le creux du sien, Aelya poussant un soupir contre ses lèvres à la sensation de plénitude qu'il lui offrait.

Il était prêt à se mettre à dos le monde entier pour elle, pour ses beaux yeux qu’il se prenait toujours à contempler. Il n’y aurait jamais rien qui l’arrêterait, son amour pour elle se voulant éternel, grandissant de jour en jour, se répandant comme de la traînée de poudre. Il avait souri à ses mots joueurs, hochant doucement la tête avec un air amusé. « Tant qu’on reste ensemble mon amour, tout me va… J’suis sûr que je pourrais m’y plaire si je suis avec toi. » Lança-t-il, lui adressant un clin d’oeil joueur, son coeur fondant à ses mots emplis de tendresse. « C’est toi mon trésor mon bébé. J’me rends compte que je pourrais jamais aimer quelqu’un d’autre comme je t’aime toi. J’fais un rejet à toutes les autres, ça doit bien t’arranger. » Joua-t-il, pouffant légèrement de rire, lui volant un baiser rapide. Il avait voulu changer la donne, se convaincre pendant leur rupture qu’il parviendrait à passer à autre chose, mais sans doute qu’au fond, il n’avait jamais cru en lui-même, à lui sans elle. « C’est vrai ça ? Tu vois que moi partout ? Non parce-que j’commençais à penser que j’étais le seul à avoir un problème. » Pouffa-t-il, se laissant happer par ses lèvres qu’il parsema de baisers plus vifs les uns que les autres, secouant la tête de gauche à droite en captant son regard de manière amoureuse. « Non… J’veux pas ton malheur sur la conscience. J’veux te rendre heureuse à chaque seconde. » Répondit-il, tendrement, sa main prenant la sienne pour l’emmener avec lui jusqu’au van, bien satisfait de savoir qu’elle aimait sa position, celle d’être liée à lui pour l’éternité. Il arqua un sourcil curieux à ce qu’elle ajouta, amusé par sa manière de vouloir le garder pour elle. « Ça fait longtemps que j’ai arrêté de chercher tu sais. Mais t’as raison, vaut mieux que tu le précises quand même. » La taquina-t-il, avant de s’immiscer dans le van où il l’attira contre elle, son désir se réveillant bien vite alors qu’il posa ses mains sur son corps, massant fiévreusement sa peau, détendant ses muscles sous la pression de ses paumes. Les lèvres plongées dans son cou, il eut du mal à retenir l’afflux de son désir, son bassin épousant la cambrure de son dos avant qu’elle ne finisse par se retourner pour l’attirer contre ses lèvres. « J’ai envie de te faire de l’effet tout le temps bébé… Comme toi tu m’en fais. » Lâcha-t-il, son souffle s’échouant rapidement contre son nombril, son visage trouvant rapidement le chemin de ses cuisses, tentant son désir avec ses lèvres par dessus son tissu. « Shhhh… d’abord je m’occupe de toi, on verra la suite après. » Lâcha-t-il, d’une voix brûlante, s’appliquant à faire glisser sa langue sur son anatomie, pressant sa zone sensible avec ses lèvres, la dévorant avec passion alors que ses mains maintenaient ses cuisses ouvertes. Son souffle se faisait plus court, Aelya l’excitant d’autant plus alors qu’il percevait ses gémissements s’échapper dans l’air, résonnant à travers les parois du van. « Bébé, t’es délicieuse… » Soupira-t-il, ses yeux se relevant pour la regarder alors qu’elle subissait son plaisir de plein fouet, Niels se voyant rapidement renverser sur le lit, Aelya désirant mettre en oeuvre sa vengeance. « Montre-moi ça. » La chercha-t-il, le regard embrasé par l’envie, ses pupilles dilatées par toutes ses promesses qu’il voulait maintenant voir à l’oeuvre, son corps se tendant rapidement lorsqu’elle s’affaira à le dévêtir entièrement pour atteindre sa zone sensible. Incapable de rester calme, il expia son plaisir, sa main cherchant à atteindre la chevelure de son amour pour l’inciter à continuer, ses muscles se contractant à chaque vague de plaisir. « Putain ouais… » Lâcha-t-il, se mordant fortement la lèvre alors que sa cage thoracique se soulevait de plus en plus rapidement, subissant son plaisir, lui qui se sentait exploser, demandant à Aelya de revenir contre ses lèvres pour profiter de son corps. « Un jour tu vas me tuer toi… » S’amusa-t-il, attrapant ses lèvres passionnément, caressant sa langue en sentant son corps s’enfouir dans le sien. « Bébé… j’adore te sentir comme ça. » Souffla-t-il, profitant de leur position pour agripper ses hanches, accompagnant ses mouvements pour que leurs bassins puissent fondre parfaitement l’un sur l’autre. « Dis-moi que t’en veux plus… » Gémit-il, tendant la nuque pour aspirer la peau de son cou, donnant un coup de rein plus conséquent pour basculer sur elle, ses mains venant chercher ses poignets pour les emprisonner au-dessus de sa tête, butant amoureusement contre son corps, son bassin ondulant de plus en plus profondément en elle. « C’est bon comme ça amour… C’est tellement bon. » Lui souffla-t-il à l’oreille qu’il mordilla fiévreusement.

Comme une fleur, elle s'était épanouie dans le creux de ses paumes qui ne faisaient que de la réchauffer, que de la protéger des intempéries qui avaient autrefois arraché ses pétales, l'avaient meurtris au point où elle avait senti la mort s'infiltrer par tous ses pores, lui volant toute la chaleur de son espoir pour la confiner dans le noir, là où elle avait sombré, là où Niels était venu la chercher afin de la conforter dans ses bras où elle puisait toute sa force, toute sa vie.

- J'suis sure qu'on pourrait se plaire n'importe où tant qu'on reste ensemble, soudés, renchérit-elle, le regard fier et amusé, eux qui formaient une paire indissociables, Aelya perdant son identité lorsqu'ils se séparaient, elle qui ne se reconnaissait qu'à travers ses yeux. Oui ça m'arrange parce que j'suis vraiment pas douée pour te partager. Je peux faire des efforts pour toi, mais pas des miracles, s'amusa-t-elle, attendrie par ses mots d'amours qui la confortaient dans toute la tendresse qu'elle ressentait pour lui, Aelya ne portant cette attention que pour Niels, jusqu'à la fin. C'est plus drôle d'avoir un problème à deux, t'as vu ? On se sent tout de suite moins seuls et moins bizarres. Je pense qu'on est pas mal atteints, rit-elle, sombrant contre ses lèvres qui réceptionnèrent ses baisers, souriant de manière amoureuse à ses mots, les yeux brillants d'affection pour son amour qui la rendait heureuse à chaque instant. T'es doué pour ça toi, le rassura-t-elle amoureusement, le suivant jusqu'au van. Je pense que y'a un million de femmes qui seraient prêtes à se jeter sur toi si j'te laissais filer donc ouais, j'préfère le préciser parce que t'es à moi, c'est toi que j'vais épouser, ajouta-t-elle entre le jeu et la tendresse, s'immisçant à l'intérieur du van pour venir contre son amour, le laissant prendre soin de son corps qui s'offrait tout à lui, Niels qui déclenchait des tempêtes dans son ventre à la seule proximité de ses lèvres dans son cou, de son bassin qu'elle voulait enflammer, réunir avec le sien, la poussant à se retourner pour le retenir contre elle, soupirant chaleureusement à sa remarque alors qu'il s'affairait à descendre langoureusement le long de son corps qui se réchauffait au fur et à mesure, Aelya frémissant à la tentation de ses lèvres qui testaient sa patience entre ses cuisses. Tu sais trop bien prendre soin de moi toi en plus... Murmura-t-elle fiévreusement, consciente qu'il était doué avec elle dans tous les domaines, la brune se tordant sous l'effet du plaisir qui se développait dans son bassin qui brûlait sous son emprise, elle qui laissait ses gémissements se déployer dans les airs, incapable de réprimer tout le bien qui la consumait alors qu'elle laissait ses mains glisser entre sa poitrine et les cheveux de Niels qu'elle caressait. J'aime tellement me faire dévorer comme ça par toi... Admit-elle, à bout de souffle, survoltée par son plaisir, Aelya prenant rapidement place sur son amour pour le dévêtir. J'vais te montrer à quel point t'es ma gourmandise préférée, répondit-elle avec un clin d'oeil, descendant fiévreusement jusqu'à son bassin pour s'occuper passionnément de lui, ses lèvres glissant sensuellement sur son anatomie, son regard remontant pour le voir en proie à son désir qui l'incitait toujours à agrémenter ses caresses qui devenaient plus amples et plus rapides, sa main venant caresser ses abdominaux en même temps. Tu me fais tellement envie quand t'es comme ça amour... Souffla-t-elle chaudement contre sa peau, avant de remonter vers son visage. C'est une belle mort je trouve... Joua-t-elle, attrapant ses lèvres dans un baiser langoureux, en profitant pour lier leurs deux corps qui se cherchaient pour qu'ils viennent se retrouver. J'adore quand t'es en moi... Susurra-t-elle, soupirant en sentant l'emprise de ses mains sur ses hanches qui dansaient contre son bassin, frissonnant à sa demande. J'en ai jamais assez de toi bébé... J'en veux encore, j'veux que tu me donnes tout, répondit-elle fiévreusement à son oreille, respirant bruyamment quand il vint aspirer son cou, le laissant inverser leur position, ses poignets emprisonnés dans ses mains, le regard brûlant de milles feux alors que sa voix recommençait à se faire entendre dans l'habitacle. Bébé... Gémit-elle alors qu'il mordillait son oreille, ses cuisses le rapprochant davantage de son bassin pour approfondir leur échange. Tu vas vraiment me redonner un orgasme là... Admit-elle entre deux gémissements, ses lèvres attrapant la peau de son cou pour le marquer encore, ses muscles se contractant à chaque coup de rein qu'il lui donnait, son corps se cambrant pour épouser le sien, pour mettre en avant ses courbes qui ne voulaient se révéler que pour son regard. Dis-moi que je t'excite mon amour... Demanda-t-elle, se mordant la lèvre.

Il était convaincu de leur force, leur amour se voyant inatteignable après tout ce qu’ils avaient pu vivre, tout ce qu’ils avaient dû surmonter, les ruptures à répétition, les déchirements. Et Niels n’avait jamais été autant touché que lorsqu’il s’agissait d’Aelya, comme si elle était la seule à pouvoir l’atteindre aussi profondément, son coeur se retrouvant à vif dés qu’on appuyait sur sa corde sensible, celle qui le reliait à l’amour de sa vie. « Y’a jamais personne qui me séparera de toi de toute façon. Qu’ils essayent un peu… ils sont pas prêts de voir ma vengeance. » Lâcha-t-il, espiègle, lui qui pouvait se transformer en véritable furie dés qu’on essayait de lui enlever ce qu’il avait de plus précieux au monde, cette relation qu’il chérissait avec toute son âme. « Tu vois, on arrive même à trouver des compromis. On est vraiment faits pour être ensemble. » S’amusa-t-il, attendri par cet échange qui ne faisait qu’amplifier tout cet amour qu’ils se vouaient sans arrêt, sans aucune limite. Il hocha la tête à ses mots, pouffant de rire à son intonation et sa malice qui transparaissait dans sa voix. « Ouais j’suis d’accord, c’est beaucoup plus sympa de pas se sentir seul. On est clairement atteints bébé. » Lâcha-t-il, riant à son tour avant de déposer quelques baisers sur ses lèvres, attendri par leur complicité qui grandissait, promettant de ne jamais s’éteindre. Il prit sa main pour rejoindre le van, Aelya trouvant toujours les mots justes pour faire exploser son coeur, le simple fait de l’entendre parler mariage avec lui le rendant complètement exalté. « Deviens madame Björk quand tu veux bébé, j’attends que ça moi. » Joua-t-il, sans pour autant perdre sa sincérité, sa main attirant Aelya contre lui lorsqu’ils eurent fermé les portes derrière eux, la chaleur grimpant rapidement dans l’intimité du van. Il était venu chercher son désir, le provoquant avec le simple biais de ses lèvres qui avaient dessiné un sillon brûlant jusqu’à l’intérieur de ses cuisses, Niels faisant valser sa langue contre son intimité après l’avoir fait patienter de longs instants. « Profites-en mon bébé… » Lâcha-t-il, dans un souffle empreint d’envie, Niels s’adonnant à sa tâche favorite, celle de diffuser le bien-être dans l’organisme de son amour qui s’offrait à lui, le laissant faire ce qu’il souhaitait d’elle. Il s’affaira à lui provoquer le plus de sensations possibles, continuant à accélérer la cadence en percevant la main d’Aelya dans ses cheveux, excité par les mots qu’elle lui soufflait difficilement, entre deux gémissements incontrôlés. Rapidement, Aelya décida de reprendre les devants, le dévorant comme il venait de le faire, Niels tentant de se forcer au calme sans réellement y parvenir, le mouvement des lèvres de sa petite-amie continuant de faire grandir son désir. Il se mordit fortement la lèvre, venant dégager les cheveux de son amour pour mieux la regarder, son corps subissant ce brasier qui ne faisait que de s’enflammer jusqu’à ce qu’il ne décide de la ramener contre lui, mettant fin à cette délicieuse torture en se laissant glisser entièrement dans son corps. « T’as vu dans quel état tu me mets toi… » Lâcha-t-il, ses lèvres grignotant son cou alors qu’il débutait les ondulations contre elle, son plaisir se décuplant. « J’adore savoir ça… J’veux que tu me sentes entièrement mon amour… » Souffla-t-il, dans un murmure brûlant, sa langue tentant la sienne dans des baisers survoltés, ses mains continuant de soutenir ses hanches pour accompagner leurs mouvements. « T’as juste à le demander… » Lâcha-t-il, se retournant finalement pour basculer contre son corps, ayant maintenant tout le loisir d’accélérer la cadence de leur échange, son bassin butant avec plus d’intensité contre le sien alors qu’il prit la décision d’emprisonner ses poignets. Le coeur au bord des lèvres, il attrapa les lèvres de son amour, soupirant en sentant leurs bassins se rapprocher davantage. « Laisse-toi aller mon coeur… » Gémit-il, désirant l’amener une nouvelle fois toucher les étoiles, Niels finissant par la libérer pour coller son corps au sien, fusionnant leurs âmes et leurs bassins qui se répondaient avec une harmonie sans nom. « Tu m’excites trop bébé… Putain, t’arrêtes pas… » Lâcha-t-il, en proie à son plaisir, donnant son coeur et son corps dans un dernier effort avant d’atteindre l’apogée de leur étreinte, le coeur battant à toute vitesse, le corps tremblant contre celui de son amour alors qu’il explosait contre elle. « Bébé… » Souffla-t-il, les muscles encore contractés, établissant encore de légères ondulations pour éteindre leur étreinte.

Elle avait mal sans lui. C'était comme si on ouvrait le vide là où il le remplissait de par sa simple présence, Aelya peinant à ne pas regarder l'horloge accrochée sur le mur du club quand elle travaillait, se laissant trop souvent happée dans ses songes qui lui rappelaient que son amour l'attendait chez eux tandis qu'elle, tout ce qu'elle voulait était d'emprisonner ses lèvres dans les siennes, dans un baiser qui lui montrerait à quel point son manque était réel, invasif.

- T'es tellement sexy toi quand tu deviens un peu... Dangereux, répondit-elle, animée par ses mots, elle qui ne laisserait jamais personne se mettre en eux sans en payer les conséquences, Aelya étant prête à tout pour garder son petit ami contre elle. J'en ai jamais douté, je le sais depuis quelques temps déjà que t'es l'homme de ma vie, ajouta-t-elle tendrement, le regard valsant sur son visage qu'elle admirait, y trouvant toutes les ambitions qu'ils nouaient ensemble, riant légèrement à sa remarque. La sagesse nous va clairement pas de toute façon, j'ai déjà fait mon deuil à ce sujet, s'amusa-t-elle malicieusement, se rendant compte à quel point ils faisaient la paire tous les deux, à se jouer de la vie et de ses conséquences tant qu'ils pouvaient être ensemble, se rapprocher dans les flammes qui les encerclaient, Aelya n'ayant envie de porter le nom que de son homme. Ça te fait pas peur toi... De savoir que tu pourras être engagé de cette manière à moi...? Parce que moi aussi j'veux que ça... Avoua-t-elle amoureusement, suivant son amour dans leur nid, sa peau brûlant d'envie pour la sienne alors qu'elle l'attira contre elle, Aelya mettant rapidement fin aux massages pour qu'il vienne posséder son corps de manière charnelle, passionnelle.

Son échine se courba à la chaleur de ses lèvres entre ses cuisses qui la faisait frémir dans une urgence qu'elle ne pouvait retenir dans sa trachée, Aelya poussant des cris liés à son plaisir, ses cuisses se contractant sous l'effet des vagues de chaleur qu'il lui offrait. Elle en demandait encore, toujours plus quand il s'agissait de Niels, son appétit pour sa peau étant insatiable, sa main dans ses cheveux le poussant à continuer avant qu'elle n'inverse les rôles, accablée par son plaisir qui la rendait survoltée, sa bouche découvrant en quelques mouvements son anatomie, son regard savourant sa réaction, planté dans le sien, alors qu'elle accentuait la moindre caresse de ses lèvres pour le faire bondir de plaisir avant de revenir à sa hauteur, liant son bassin au sien.

- Faut bien que quelqu'un te détende un peu bébé d'amour... S'amusa-t-elle, consciente qu'il s'était plus que détendu sous l'effet de ses lèvres qui prenaient soin de lui comme jamais elle ne l'aurait fait, sa respiration se saccadant à la sensation de ses baisers brulants dans son cou. J'veux te sentir comme ça toute ma vie... J'veux jamais qu'on s'arrête pour personne, t'es ma drogue, admit-elle contre ses lèvres qu'elle vint dévorer, sa langue dansant avec la sienne avant de venir mordiller sa lèvre inférieure.

Elle le laissa venir contre elle, sentant le plaisir la percuter à chaque fois qu'il entrait en elle avec toujours plus de profondeur, voyant dans cette alliance une manière concrète de lui dire qu'elle l'aimait, qu'elle le désirait plus que tout au monde, ses poignets se voyant captivés dans ses mains alors que les cuisses d'Aelya pressèrent davantage son bassin pour l'amener tout contre elle pour qu'il n'y ait aucun espace entre eux.

- Fais moi rêver encore... T'arrêtes jamais... Murmura-t-elle dans une demande de toujours l'avoir contre elle, Aelya laissant ses mains caresser son torse, pressant ses muscles entre ses mains pour l'inviter à continuer, ses gémissements répondant aux siens. Jamais bébé... J'veux t'entendre crier encore... Répondit-elle, ses mains glissant sur ses côtes, son corps frissonnant sous ses coups de reins jusqu'à l'apothéose qui lui tira un dernier soupir bruyant, ses bras se refermant autour de son dos pour l'enlacer, laissant le bruit de sa respiration s'éteindre dans le creux de son cou. Mon amour... Souffla-t-elle amoureusement dans son oreille, son visage se nichant dans son cou. T'étais parfait... Y'a que toi qui me fait vibrer comme ça, le complimenta-t-elle, déposant de tendres baisers dans son cou. J'vais avoir une extinction de voix à force avec toi bébé... S'amusa-t-elle. Je t'aime, susurra-t-elle tendrement.

Il était prêt à tout pour elle, au pire, Niels ne voyant aucune limite si c’était pour protéger l’amour de sa vie, ne voyant aucun inconvénient à y laisser sa vie si c’était pour la faire vivre elle. C’était plus fort que tout, ça ne répondait surtout à aucune logique, Niels se voyant happé dans cet état amoureux qui n’aurait jamais aucune fin. Il esquissa un sourire à ses mots, arquant un sourcil joueur alors qu’elle le flatta une nouvelle fois. « T’aimes bien quand j’me rebelle un peu ? Parce-que si c’est que ça, j’peux être dangereux tout le temps… » Ajouta-t-il, joueur et plein de malice, ses yeux vrillant jusqu’à ses lèvres qui appelaient au baiser. « Garde-le tout le temps en tête mon amour, m’oublie jamais. » Souffla-t-il, admirant ses traits qu’il trouvait toujours magnifiques, lui qui était complètement subjugué par tout ce qu’elle était, tout ce qu’elle représentait à ses yeux. Il pouffa de rire à ses mots, incapable de la contredire puisqu’il savait très bien qu’ils ne feraient jamais dans la raison et la sagesse, eux qui agissaient comme des piles électriques, prêts à bondir lorsqu’il le fallait. Il s’intéressa à ses mots, ceux qu’il ne se lasserait jamais d’entendre parce-que Niels serait prêt à vendre son âme au diable pour se voir lié officiellement à son amour, rêvant de crier sur les toits du monde qu’elle était sa femme. « Pourquoi j’aurais peur ? J’serais le plus heureux bébé. Je doute pas de notre couple, j’sais qu’on sera toujours ensemble. T’as peur toi… ? » Souffla-t-il amoureusement, approchant ses lèvres des siennes pour y déposer un baiser tendre, souhaitant balayer les doutes de son esprit juste pour qu’elle se rappelle de l’essentiel, de cet amour qu’ils ressentaient l’un pour l’autre. Il rejoignit le van avec elle, sombrant rapidement contre son corps qu’il désirait plus que tout au monde, Niels laissant son visage glisser jusqu’entre ses cuisses pour lui imposer de longues et fiévreuses caresses, sa bouche s’occupant  de son anatomie dont il prenait soin, frémissant à son langage corporel et les cris qu’elle laissait échapper contre les parois du van. Elle lui offrit le même plaisir quelques instants plus tard, Niels sentant son désir s’envoler, ses lèvres expiant tout le bien qu’elle administrait en lui par le biais de ses lèvres qui s’offraient à son corps, son regard captant le sien pour lui transmettre tout ce que les mots étaient incapables de décrire. Il se mordit fermement la lèvre, l’attirant finalement contre lui pour lier leurs corps, le bassin d’Aelya chevauchant fiévreusement le sien. « Tu le fais plus que bien mon amour… J’suis détendu pour une vie là. » Soupira-t-il, la respiration percutée par le plaisir qui s’accentuait, ses lèvres trouvant le cou d’Aelya pour le marquer, sa langue dessinant un sillon contre sa peau pour intensifier leur échange. « Drogue-toi à moi tout le temps, dés qu’on en a l’occasion mon bébé… » Lâcha-t-il, retrouvant le chemin de sa bouche qu’il caressa avec la sienne avant que Niels ne la fasse basculer contre le matelas, inversant leur position pour rendre ses mouvements plus percutants, gémissant à chaque fois qu’il venait en elle avec un peu plus de profondeur, le plaisir qu’il lisait sur ses traits agrémentant le sien. « J’arrêterai jamais mon amour… » Lâcha-t-il, les caresses d’Aelya l’incitant à continuer, poursuivant l’effort alors que leur plaisir se décuplait. « C’est trop bon, j’vais exploser… » Souffla-t-il, son visage s’enfouissant dans son cou alors qu’il se laissa emporter par la fougue, ondulant contre elle jusqu’à l’orgasme qu’il atteignit en même temps qu’elle, Niels relâchant un dernier long soupir, son corps épris de spasmes lorsqu’il se déversa en elle. Il releva lentement son visage vers le sien, les cheveux ébouriffés par l’effort, son regard captant amoureusement celui d’Aelya. « C’est toi qui es parfaite mon amour… Tu comprends pourquoi j’veux que tu deviennes ma femme… » S’amusa-t-il, tournant légèrement la tête pour embrasser sa tempe alors qu’elle déposait de tendres pressions dans son cou. « J’trouverai un moyen de te faire crier encore, même si t’as plus de voix… » Lâcha-t-il, riant légèrement, son coeur battant toujours contre le sien. « Je t’aime aussi, toujours et pour toujours. » Il tendit la nuque pour atteindre ses lèvres, les faisant tendrement valser avec les siennes. « J’resterai bien contre toi comme ça, mais j’crois pas que ça soit raisonnable. Faut qu’on continue de profiter du temps qu’il nous reste ici. » S’amusa-t-il, basculant à côté d’elle, remontant le drap sur la moitié de son corps.