Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: it's always about you (ethan&vassili) Dim 22 Mar 2020 - 10:35
Il faut dire que ces temps-ci tu t'es un peu effacé. Tu n'as donné de nouvelles à personne et t'as beaucoup cogité ? Pourquoi ? Tu n'en sais rien vraiment mais tu avais ressentis le besoin de t'échapper du reste du monde. Vraiment tout le monde, même Ethan. T'avais lutter corps et âme pour ne pas lui envoyer de message, ne pas répondre aux siens. Peut être que votre début de quelque chose t'avais vraiment fait peur. Tu ne savais même pas ou vous en étiez, si vous pouviez réellement appeler ça une relation. T'étais perdu et ça t'avais fait peur, parce que c'est pas ton genre toi de t'attacher à quelqu'un. Et cet idiot, il t'as complètement retourner le cerveau. Au final, tu t'étais rendu compte comme ça qu'il te manquait vraiment et ça te fichait la trouille. Ce soir, t'avais enfin décidé de redonner signe de vie et d'ailleurs l'homme qui se rapprochait le plus de ton prince charmant actuellement t'avais proposé de sortir. Tu avais accepté et une fois prête, cheveux lissés, maquillage fixé, tu te dirigeais vers l'appartement, la boule au ventre. Tu avais peur de ce que tu pourrais ressentir en le voyant, ou bien de ce que lui ressentirait. Une fois devant sa porte, tu inspiras un grand coup avant de sonner et tu te mis à sourire en entendant l'aboiement que tu ne connaissais que trop bien. Même Oz t'avais manqué. Les secondes te paraissaient des minutes et les minutes des heures. En temps normal tu serais rentré directement, mais avec cette absence tu n'étais pas sur d'en avoir encore le droit. Salut toi. dis-tu en souriant timidement alors que la porte s'ouvre. Une timidité qui n'est pas la tienne. Tu ne sais même pas d'où elle sort. Peut être que c'est juste la timidité qui parle ? Tu n'en avais aucune idée. Est ce qu'il avait parler de toi à Vass depuis ce temps ? Est ce qu'il serait là ce soir ? Beaucoup de questions tournaient encore dans ta petite tête.
Invité
Sujet: Re: it's always about you (ethan&vassili) Dim 22 Mar 2020 - 13:42
it's always about you
Les doigts tremblent sur le cellulaire. Ce message, il était attendu, et inespéré. Quasi un mois sans nouvelles, quasi un mois à continuer à faire comme si de rien était, alors que l'esprit s'est déjà enflammé. Il avait essayé de s'occuper, pour pas avoir le nez toujours collé au téléphone, il s'était occupé pour ne pas penser que Sib ne lui répondait pas. Et chaque jour, c'était le silence total, et chaque jour, il luttait pour ne pas aller frapper à sa porte. Parce qu'il était fidèle à sa façon de penser, aussi, il avait accepté qu'elle ne veuille plus le voir après ce qu'ils avaient traversé. L'amour, ça va, ça vient qu'il se dit depuis toujours. Et quand ça ne dure pas, faut pas s’apitoyer sur son sort, parce que ça aide pas à avancer. Sauf qu'il arrive pas à bloquer son cerveau depuis des semaines, sauf qu'il a carrément changé de rythme de vie et qu'il a encore plus travaillé pour faire passer le temps. Pourtant, aucune compagnie n'était aussi agréable que celle de Sib. Et pendant ce temps-là, il continuait quand même à aller voir Vass, à faire comme si de rien était, alors que dans le fond, il n'arrivait même plus à être posé le cul sur une chaise sans se lever deux secondes après. Sans attendre, il lui dit de venir. Et la seconde d'après, il se dit que ce serait bien que Vass vienne aussi, que tous les trois, ils puissent enfin se retrouver comme à l'époque, sans se prendre la tête. Et il envoie les messages, et il attend, et Oz vient se coller à lui en sentant son malaise. Et le soir même, on sonne à sa porte, et c'est Oz qui réagit en premier. Il a été chercher de quoi grignoter et picoler à la supérette cet aprem pour faire les choses bien, et quelques minutes avant que ça frappe, il était encore dans sa salle de bain, à se raser les trois poils sur le menton, à repasser un coup de rasoir électrique dans les cheveux, car depuis des semaines, il avait abandonné ses longues mèches qui étaient si caractéristiques de son personnage. Maintenant, il était presque à nu. Avec ses cheveux courts, on voyait les fleurs et les rides naissantes sur son front, la plume sur sa joue, bref, tous ces éléments qui, habituellement étaient cachés. Et juste avant d'ouvrir la porte, c'est la peur qui le prend. Il est excité, mais il a la trouille. Alors, fin d'été ou pas, il se fout un bonnet sur la tête, pour cacher ce qu'il a fait subir à son crâne, de peur que ça lui plaise pas. Et quand il voit son visage derrière la porte après avoir eu les couilles de l'ouvrir, il sourit, parce qu'il est heureux, par qu'il est gêné, et qu'il sait même pas comment réagir. « Salut, princesse. Tu m'as manqué. » Il reste planté là comme un con, le souffle court, tirant sur le bas de son tee-shirt, se demandant quelle posture adopter pour ne pas les brusquer tous les deux. Finalement, au bout de quelques secondes, il se dit que la meilleure solution c'est de s'approcher, et de la serrer dans ses bras, comme si ça pouvait effacer le temps qui les avait séparés. Mais il a cette pudeur qui l'empêche de faire plus, qui le fait se contenter de lui embrasser le front, avant de lui faire signe de le suivre à l'intérieur de l'appartement, alors qu'il met ses mains dans les poches en se dirigeant vers le salon, tentant de ne pas montrer qu'il est totalement déstabilisé à l'idée qu'elle soit là, et que bon sang, il la trouve plus belle que jamais. « Fais comme chez toi, princesse. Au fait, y'a Vass qui va passer. » se contente-t-il de dire en soupirant, alors qu'il s'assoit sur le sofa, lui laissant le loisir de s'installer où elle le souhaite. « Il m'a cassé les couilles pour qu'on repasse une soirée comme avant, j'crois qu'il m'aurait étripé si je lui avais dit non. » Il sourit, amusé, haussant les épaules au passage. Il essaie de faire la conversation pour briser le malaise, plus qu'il n'essaie d'en envoyer dans les dents de Vass. Il dit ça juste par affection, pour le chambrer.
Sujet: Re: it's always about you (ethan&vassili) Lun 23 Mar 2020 - 13:35
HJ:
Comme Vass m'a dit qu'il arriverait plus tard je réponds
Stressé, perturbé, apeuré. C'est actuellement les émotions qui se passait dans ton corps alors qu'il t'ouvrait cette porte. Tu ne pu t'empêcher de sourire alors qu'il t'appelais de nouveau princesse. Toi aussi tu m'as manqué. avouas-tu, les joues rosies. Tu détestais te sentir comme ça, tu préférais quand tu avais le contrôle. Hors là, tu avais juste l'impression d'être une gamine qui avait fait une connerie. Tu fermes les yeux alors qu'il te sert dans ses bras et tu en profites pour respirer son odeur. Tu ne lui mentais pas, il t'avait vraiment manqué. Son bisous sur le front te fit sourire, tu aurais bien demandé plus mais tu n'étais pas sur d'en avoir toujours le droit. Tu rentres alors et tu grimaces intérieurement quand il te dit que Vass n'allait pas tarder. Mais, il est au courant ? Je veux dire, enfin tu sais ? Pour nous, ce n'était quand même pas compliqué à dire mais ça n'arrivait pas à sortir. Comme si c'était un mot interdit et que tu lutterais pour ne pas le sortir la première. Tu t'installes sur le sofa à ses côtés mais pas trop près non plus, ne sachant pas qui casserait la distance en premier. Tu ris quand il te dit que le Russe l'aurait étripé. Depuis quand t'as peur de lui ? demandas-tu en riant. Au pire il aurait boudé cinq minutes mais il ne t'en aurait pas voulu. dis-tu en haussant les épaules. Mais c'est vrai que ça fait longtemps, ça ne peut pas nous faire de mal. Tu lui souris, profitant du silence pour plonger ton regard dans le sien comme tu savais si bien le faire il y a un mois de ça. Rien n'avait changé à l'intérieur de toi et tu mourrais d'envie qu'il brise les quelques centimètres qui vous séparaient.
Invité
Sujet: Re: it's always about you (ethan&vassili) Lun 23 Mar 2020 - 17:01
HRP:
Pas de soucis, j'ai hâte de savoir quand il va se décider de débarquer
it's always about you
Il est affolé à l'idée que Vassili puisse être au courant. Comment ce pourrait être possible ? Ils avaient pourtant été discrets, même s'ils avaient tendance à beaucoup se voir tous les deux sans le russe dans les parages. Et s'il les avait croisés par inadvertance ? Ou pire, s'il les avait déjà aperçus, chez eux, s'embrassant ? Non, ce ne pouvait pas être possible, Ethan devait arrêter de partir dans des théories du complot qui n'ont pas lieu d'être. « Non, j'lui ai rien dit. Tu lui as dit, toi ? » Il comprit aussitôt que non, en voyant la tête que faisait Sibyl. Il était à la fois terrifié et soulagé. Il ne savait pas comment son ami allait réagir et, pire, il avait peur que leur histoire à tous les deux ne brisent leur trio. Poussant un soupir, il se mit à se gratter le front, encore peu habitué à ne plus y avoir une mèche gênante. Puis il tourne la tête vers elle, s'humecte les lèvres par instinct alors que son nez se retrousse et qu'il rit. « Il a une famille dangereuse, tu sais. » Piètre excuse, mais au moins l'humour permet de détendre un peu l'atmosphère, du moins, il l'espère. Parce que maintenant qu'ils se retrouvent sur le canapé, il ne peut pas s'empêcher de se souvenir de cette soirée films qui avait tourné court, parce qu'il avaient franchi la dernière barrière qui les séparait. Et rien que de la revoir dans cette tenue d'Eve, il rougissait. Parce qu'il la trouvait belle, et qu'il avait terriblement envie de rompre la distance qui les séparait. D'ailleurs, Oz devait sentir ce qu'il se passait ici puisque depuis qu'ils s'étaient installés, elle était partie s'installer sur le balcon silencieusement. « Bon alors, mis à part ça, est-ce que ça va mieux, maintenant que tu es là ? Fin', je veux dire, après ta pause, tu vois. » Il déglutit, ce pauvre con. Il est complètement perdu. Et putain qu'il a chaud. Il était à l'aise toute la journée dans son tee-shirt, et là, ça va plus, il est complètement déréglé. « Tu sais, j'te ferais bien un câlin mais j'ai peur de ruiner ton brushing et ton maquillage. » Il rit, hausse les épaules et tend la main pour serrer celle de Sibyl dans la sienne, seul geste maladroit qu'il s'autorise, perturbé. Putain, ils étaient dans la merde pour cacher leur état à Vass, il était certain qu'il allait s'en rendre compte à peine entré dans la pièce.
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Les doigts tremblent sur le cellulaire. Ce message, il était attendu, et inespéré. Quasi un mois sans nouvelles, quasi un mois à continuer à faire comme si de rien était, alors que l'esprit s'est déjà enflammé. Il avait essayé de s'occuper, pour pas avoir le nez toujours collé au téléphone, il s'était occupé pour ne pas penser que Sib ne lui répondait pas. Et chaque jour, c'était le silence total, et chaque jour, il luttait pour ne pas aller frapper à sa porte. Parce qu'il était fidèle à sa façon de penser, aussi, il avait accepté qu'elle ne veuille plus le voir après ce qu'ils avaient traversé. L'amour, ça va, ça vient qu'il se dit depuis toujours. Et quand ça ne dure pas, faut pas s’apitoyer sur son sort, parce que ça aide pas à avancer. Sauf qu'il arrive pas à bloquer son cerveau depuis des semaines, sauf qu'il a carrément changé de rythme de vie et qu'il a encore plus travaillé pour faire passer le temps. Pourtant, aucune compagnie n'était aussi agréable que celle de Sib. Et pendant ce temps-là, il continuait quand même à aller voir Vass, à faire comme si de rien était, alors que dans le fond, il n'arrivait même plus à être posé le cul sur une chaise sans se lever deux secondes après. Sans attendre, il lui dit de venir. Et la seconde d'après, il se dit que ce serait bien que Vass vienne aussi, que tous les trois, ils puissent enfin se retrouver comme à l'époque, sans se prendre la tête. Et il envoie les messages, et il attend, et Oz vient se coller à lui en sentant son malaise. Et le soir même, on sonne à sa porte, et c'est Oz qui réagit en premier. Il a été chercher de quoi grignoter et picoler à la supérette cet aprem pour faire les choses bien, et quelques minutes avant que ça frappe, il était encore dans sa salle de bain, à se raser les trois poils sur le menton, à repasser un coup de rasoir électrique dans les cheveux, car depuis des semaines, il avait abandonné ses longues mèches qui étaient si caractéristiques de son personnage. Maintenant, il était presque à nu. Avec ses cheveux courts, on voyait les fleurs et les rides naissantes sur son front, la plume sur sa joue, bref, tous ces éléments qui, habituellement étaient cachés. Et juste avant d'ouvrir la porte, c'est la peur qui le prend. Il est excité, mais il a la trouille. Alors, fin d'été ou pas, il se fout un bonnet sur la tête, pour cacher ce qu'il a fait subir à son crâne, de peur que ça lui plaise pas. Et quand il voit son visage derrière la porte après avoir eu les couilles de l'ouvrir, il sourit, parce qu'il est heureux, par qu'il est gêné, et qu'il sait même pas comment réagir. « Salut, princesse. Tu m'as manqué. » Il reste planté là comme un con, le souffle court, tirant sur le bas de son tee-shirt, se demandant quelle posture adopter pour ne pas les brusquer tous les deux. Finalement, au bout de quelques secondes, il se dit que la meilleure solution c'est de s'approcher, et de la serrer dans ses bras, comme si ça pouvait effacer le temps qui les avait séparés. Mais il a cette pudeur qui l'empêche de faire plus, qui le fait se contenter de lui embrasser le front, avant de lui faire signe de le suivre à l'intérieur de l'appartement, alors qu'il met ses mains dans les poches en se dirigeant vers le salon, tentant de ne pas montrer qu'il est totalement déstabilisé à l'idée qu'elle soit là, et que bon sang, il la trouve plus belle que jamais. « Fais comme chez toi, princesse. Au fait, y'a Vass qui va passer. » se contente-t-il de dire en soupirant, alors qu'il s'assoit sur le sofa, lui laissant le loisir de s'installer où elle le souhaite. « Il m'a cassé les couilles pour qu'on repasse une soirée comme avant, j'crois qu'il m'aurait étripé si je lui avais dit non. » Il sourit, amusé, haussant les épaules au passage. Il essaie de faire la conversation pour briser le malaise, plus qu'il n'essaie d'en envoyer dans les dents de Vass. Il dit ça juste par affection, pour le chambrer.
