Invité | Sujet: In need of a shoulder! feat CIrcé Mar 31 Mar 2020 - 2:20 | |
| Tu essayait temps bien que mal depuis deux jour de rejoindre ta femme.... Mais tu tombais toujours sur son répondeur. Tu as besoins d'elle; ta besoins de son soutient mais elle est encore indisponible. Tu tourne en rond depuis le moment fatidique dans ta maison qui te semble trop grande. Tu te sens étouffer; c'est quand même normale puisque tu viens de perdre une partie de ton cœur. Tu as l'impression que les mur rapetisse a chaque inspiration que tu prend; t'as drôlement besoins de sortir. Tu prend tes clés et tu sort. L'air frais devrais te faire du bien mais ce n'est pas le cas. Tu regarde ta voiture; mais une seul envie te prend faire le vide. Tu te met donc a courir. Comme si tu t'entrainait mais cette fois tu cours pour la liberté de ton esprits.
Tu ne te rend même pas compte que tu as parcourue la moitie de la ville. Tu te trouve désormais en ville; loin des quartiers résidentiels... Tu peux rebrousser chemin ou bien rentrer dans ce bar. Celui qui avait fait partie de ton histoire laissant une chance au passée de refaire surface.
TU va prendre place au bar te mettant dans un coins malgré que la salle soit comble. Le broua-a t’empêche de pleurer ou de penser a la fin tragique qu'ils ont connu... Tu te dit que tu dois leur rendre hommage et donc tu commande deux verre. ce que chacun préférait et tu les bois d'une traite. avant d’apostropher le barman pour continuer avec une bière. Tu est légèrement perdu dans ta tête les souvenir afflux mais bon pas question d'avoir l'alcool encore plus triste que tu l'es déjà! tu affiche donc un sourire léger mais pas très convaincant tout en te perdant dans le liquide ambre!
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Invité | Sujet: Re: In need of a shoulder! feat CIrcé Ven 10 Avr 2020 - 18:12 | |
| La journée avait été longue. Nous étions en train de lancé ma nouvelle gamme de soin pour le corps, une gamme destinée à la gente masculine et il nous fallait encore peaufiné les détails. Les formules étaient prête, les packaging aussi, ne restait plus qu’à savoir comment nous allions réellement la diffuser. Tout ça était un peu différent des gammes que j’avais lancé jusqu’alors parce qu’elle me faisait tout simplement sortir de ma zone de confort. Mais j’aimais ça au fond, même si cela creusait parfois des rides sur mon front, le challenge me plaisait. Malgré tout, je n’étais pas mécontente de quitter mes ateliers, et la boutique, ce soir. Sac à main sur l’épaule, j’abaissai mon rideau de fer, fermai le tout à clef puis décidai de me dégourdir un peu les jambes avant de rentrée. Un verre me ferait du bien ! décrétai-je d’un seul coup en passant devant un bar où l’ambiance m’apparaissait festive. Je pris place au comptoir, commandai un whisky sans glace, le meilleur de la maison tant qu’à faire, puis dégustai le breuvage en silence, laissant sa rondeur m’emplir le palais. J’aimais les bonnes choses, ça n’était plus à prouver. J’aimais me faire plaisir aussi. Je ne buvais jamais trop, et que je buvais, je m’étais un point d’honneur à ce que ce soit bon. Je favorisai la saveur à la sensation d’ébriété. Mais…hélas, ça n’était pas le cas de tout le monde. Un homme, accoudé non loin de moi, semblait vouloir enchainé les verres. Il ne me semblait pas en forme, et cela me peina. Je décidai alors de m’approcher de lui, prenant la place vide à ses côtés puis me racler la gorge, en coulant sur lui un sourire bienveillant. — Bonjour ! commençai-je gentiment, je peux me permettre de vous proposer une oreille amicale ? Croyez-moi qu’elle est un meilleur remède que l’alcool…
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