one more light -hot- (niels).

Il aurait passé sa vie à ramasser chaque pièce de son âme pour la reconstituer, Niels qui savait combien elle pouvait briller si on lui permettait de le faire. Parce-qu’Aelya était un trésor, un diamant brut qui n’avait jamais eu l’occasion de se montrer, elle qu’on avait constamment ramené au sol pour lui faire croire qu’elle était faite pour tomber et s’écorcher. Niels, il la voyait telle qu’elle était, comme la femme extraordinaire qu’il avait connu, cette battante qui ne reculait devant rien, une véritable force de la nature qui avait appris à être indépendante. « Tu veux qu’on organise ça ce soir…? Un débat digne de ce nom… » La chercha-t-il, jouant avec les mots comme elle le faisait si bien, juste pour l’attirer un peu plus contre lui en réchauffant son esprit, Niels n’ayant jamais peur de se brûler contre elle. « Faut qu’on fasse ça au plus vite, ouais. On prendra la pièce la mieux isolée. » Joua-t-il, tentant de garder son sérieux comme elle le faisait avant de pouffer de rire, eux qui étaient doués pour faire grimper le thermomètre en un rien de temps, pourtant conscients qu’ils avaient encore un bon nombre de cartons à décharger. Ils n’eurent pas besoin d’attendre bien longtemps avant que la tension ne redescende, la disparition de Hank s’en chargeant plus que bien, faisant palpiter leurs coeurs de panique, Niels peinant à rester calme alors qu’il savait que leur chiot errait dans la nature, sans eux, sans leur protection. Il s’était forcé à avancer, craignant de voir Hank sur la route, renversé par une voiture, son corps entier finissant par se détendre lorsqu’il vit sa silhouette au loin, se dépêchant de le ramener dans leur terrain, s’appliquant à fermer leur portail pour ne plus le voir s’échapper. Il avait dû faire face à une Aelya dépitée, n’ayant pas besoin de la regarder pour comprendre qu’elle s’en voulait, son ton traduisant toute l’angoisse qu’elle avait ressentie à l’idée de perdre Hank. Et si les doutes avaient été émis de son côté, c’était maintenant Niels qui ne semblait plus sûr de rien, perdant pieds, les mots d’Aelya tournant en boucle dans son esprit. Il fronça les sourcils à sa question, retrouvant son regard qui semblait être suspendu à ses lèvres. « Ça veut dire que j’ai peur de merder Aelya… » Lâcha-t-il, écoutant les paroles rassurantes de sa fiancée, hochant doucement la tête à ce qu’elle ajouta pour qu’il puisse se reconcentrer sur l’essentiel. « T’as raison… » Souffla-t-il finalement. « Désolé, j’sais pas pourquoi je flippe comme ça… J’veux qu’on ait un bébé mon ange, qu’on soit les meilleurs parents pour lui. On a encore le temps de s’améliorer. » Conclut-il, retrouvant son optimisme alors qu’il s’approcha de son amour pour l’embrasser, réchauffé par ses mots doux et attentionnés alors qu’il laissait son souffle se perdre au creux du sien. Les cartons enfin entreposés un peu partout dans la maison, il eut une pensée pour la suite, souriant aux mots encourageants de son amour. « Tu sais comment motiver les troupes toi… Surtout comment me motiver moi en fait. » Rit-il, laissant Aelya s’échapper sur la terrasse, la rejoignant quelques instants plus tard pour pouvoir fumer avec elle. « J’aime trop cette maison. J’sais pas toi, elle a beau être vide et pas encore finie, mais je m’y sens bien. Et j’ai toujours eu cette sensation. » Admit-il, le sourire aux lèvres, reprenant la drogue pour tirer dessus, se détendant sous les paroles amoureuses de sa future femme. « J’suis fier de toi aussi bébé. Et d’être ton homme. » Souffla-t-il amoureusement, déployant son bras pour caresser tendrement sa peau sous son haut, ses doigts valsant lentement dans son dos, Niels calant sa tête contre la sienne, souriant à ses premiers mots avant de relever la tête, arquant un sourcil amusé à sa demande faussement innocente. « Evidemment que j’te dis oui… » Souffla-t-il, regardant la fumée s’échapper des lèvres d’Aelya. « On peut le faire pour de vrai si tu veux… Tiens. » Ajouta-t-il, enlevant une des bagues qu’il portait pour la lui tendre, lui faisant comprendre qu’elle avait le droit à ce moment, tout comme lui. « J’attends votre déclaration, mademoiselle Osborn. » Sourit-il, malicieusement.

Leur renaissance, ils l’avaient vécu et expérimenté ensemble, se reconstruisant sous leurs mots réparateurs, sous leurs gestes doux auxquels ils n’avaient jamais eu droit avant de se rencontrer. Niels, il avait appris la signification de la tendresse dans les bras d’Aelya, convaincu que personne ne l’avait déjà touché comme elle l’avait fait, en profondeur, comme si elle était parvenue à effleurer son âme dés la première nuit. « Faut dire qu’on y met notre coeur… et notre corps, aussi. » S’amusa-t-il, jouant avec les mots, eux qui n’avaient pas besoin de paroles pour se rendre compte à quels points leurs ébats étaient fiévreux, répondant à la signification même de la passion. « J’veux même pas y penser, ça me fait déjà trop mal… » Pouffa-t-il, faisant en sorte d’exagérer sa réaction bien qu’ils savaient tous les deux combien la frustration serait immense pour eux, qui détestaient se faire passer après les autres, surtout dans ces situations où tout ce qu’ils souhaitaient au fond, c’était de s’aimer. Un voile noir s’était installé au-dessus de leurs têtes alors qu’ils s’étaient mis à chercher leur chiot qui avait fui dans leur dos, l’esprit brouillé et la vue embrumée par toutes les pensées toxiques qui s’agitaient dans sa tête après cette conversation trop rapide, trop brutale et trop blessante qu’il avait eue avec l’amour de sa vie. Il détestait ces moments où leur peur prenait le dessus sur tout, les empêchant de réfléchir et de réagir en conséquence. Alors que la tension était toujours électrique malgré le retour de Hank, Niels avait relevé finalement les yeux vers son amour, sentant qu’elle était maintenant plus apte à discuter. « Et j’le pense toujours… Faut juste que je me le remémore de temps en temps. » Souffla-t-il, hochant la tête, conscient qu’Aelya avait totalement raison. « T’es la meilleure bébé, j’sais pas ce que je ferais sans toi. » Finit-il par dire, la laissant s’approcher pour l’embrasser tendrement, Niels rouvrant les yeux doucement pour capter les siens. « J’voulais pas douter, pardon mon amour… J’le veux notre enfant, j’ai trop hâte de le voir t’appeler maman. » Sourit-il, appuyant ses mots pour lui montrer qu’il était prêt à tout, à surmonter n’importe quelle angoisse pour eux, pour les voir avancer. Il s’amusa de ses mots taquins, se pinçant la lèvre alors qu’il envisageait les récompenses qu’ils pourraient s’offrir. « On est plus efficaces lorsqu’on les pose tout de suite en plus. » Souffla-t-il, lui adressant un clin d’oeil avant de suivre Aelya sur la terrasse, lui faisant part de son ressenti sur leur maison, souriant à sa réponse chaleureuse qui le touchait. « C’est parce-que t’es là que tout ça a du sens mon amour. J’serais resté dans notre appart’ miteux toute ma vie si je t’avais pas rencontré. » Joua-t-il, tirant sur le joint avant de le lui tendre, son visage tourné vers le sien pour mieux la regarder. « C’est pas grave bébé. Culpabilise pas, ok ? Moi je t’en veux pas, c’est déjà oublié. Quoique… Si tu pouvais me faire un bisou, ça irait encore mieux. » La chercha-t-il, prenant un air faussement innocent pour formuler sa demande qui ne l’était pas, Aelya qui savait parfaitement qu’il pouvait utiliser tous les prétextes pour avoir un peu de son affection. Se prenant au jeu de leurs paroles échangées, Niels retira sa bague, souhaitant l’entendre formuler une demande comme il avait pu le faire quelques mots plus tôt, son regard amoureux ne quittant pas le sien. Il fondit littéralement devant sa déclaration qui le faisait chavirer, lui qui était déjà amoureux d’elle et qui se surprenait à éprouver des sentiments encore plus forts chaque jour. « Je t’aime comme un fou mon amour, j’te dis oui, maintenant, demain et tous les jours du reste de notre vie mon coeur. » Lâcha-t-il amoureusement, encadrant son visage pour l’embrasser tendrement, frôlant ses lèvres avant d’exercer une pression plus importante. « Tu fais chavirer ton futur mari, tu t’en rends compte…? » Joua-t-il, esquissant un léger sourire, avant de tendre sa main gauche pour qu’elle puisse à son tour lui passer la bague au doigt. « Tu vas voir, c’est unique comme sensation. » L’incita-t-il, riant légèrement, le regard brillant.

Cette nouvelle vie, il n’aurait jamais pu la vivre, ni même l’imaginer si Aelya ne s’était pas présentée à lui ce soir où son destin avait complètement basculé, elle qui avait renversé son monde, le changeant du tout au tout pour lui montrer que tout était possible. Et ça avait vraiment été le cas, Niels qui s’était épris amoureusement d’Aelya, apprenant à faire confiance à cette âme qui n’avait jamais cherché à le faire couler, ni même à lui rappeler les décisions de son passé qu’il s’était longtemps surpris à regretter. Mais lorsqu’il ouvrait les yeux chaque matin, qu’il apercevait le doux visage de son amour, Niels savait pertinemment qu’il n’aurait pas pu prendre de meilleures décisions, prenant conscient qu’Aelya l’avait sauvé. « J’ai jamais eu aussi chaud qu’en Australie bébé… Et c’est pas parce-que j’vivais en Angleterre avant. » S’amusa-t-il, jouant avec elle, avec son regard qui en disait long sur le désir qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Il fit mine de réfléchir à sa demande, se pinçant la lèvre alors qu’il recapta le regard de son amour. « J’en doute fortement mais… faudrait essayer. » Répondit-il, malicieux, elle qui savait combien il aimait jouer avec le feu, attiser son désir au maximum pour la voir exploser, peu importent les conséquences, peu importent les situations. Si ce n’était pas lui qui craquait, Niels passerait certainement à la vitesse supérieure pour tenter de l’attirer dans ses bras, et jusqu’à son corps qui ne désirait que le sien. L’angoisse s’était finalement invitée entre eux alors que leur chiot s’était échappé, Niels prenant les devants pour le chercher, préférant oublier les mots échangés avec Aelya qui l’avaient heurté et blessé. Soudainement, c’était comme si tous les doutes avaient profité de cette brèche ouverte pour s’infiltrer en masse dans son esprit, brouillant sa vision pour que les mots d’Aelya puissent tourner en boucle et parler plus fort que sa raison. Il était revenu à lui, et à l’essentiel grâce aux mots de son amour qui s’était évertuée à le rassurer, revenant sur ses paroles qui avaient été dites dans la précipitation, dans la panique, Niels comprenant alors qu’Aelya n’avait jamais souhaité le blesser. « Je t’écoute bébé… Je te promets que je le fais. » Souffla-t-il, n’ayant pas envie d’appuyer sur sa culpabilité qu’il percevait déjà, Aelya ne méritant pas de se sentir fautive pour des mots qu’elle n’avait finalement jamais pensé. « Dis pas n’importe quoi amour… Tu m’as aidé plus que tu le penses. C’est toi qui m’as tout appris. J’avais aucun but avant toi. » La rassura-t-il, balayant ses doutes en se rapprochant d’elle et en accrochant ses lèvres amoureusement, réitérant son envie d’avoir un enfant avec elle, Niels esquissant un tendre sourire à ce qu’elle ajouta. « Il ressemblera à nous deux, ça sera notre ange à nous… ou notre petit démon, ça dépend comment on voit les choses. » Rit-il, se laissant finalement bercer par toutes ces images de paternité qui l’attendrissaient, Niels désirant passer cette étape avec l’amour de sa vie. « C’est encore plus intéressant comme ça… » Ajouta-t-il, arquant un sourcil joueur, finissant par confier à son amour qu’il n’aurait certainement jamais franchi ces projets sans elle, levant les yeux au ciel à ce qu’elle ajouta pour lui montrer qu’il n’aurait jamais souhaité être autre part que là où il se trouvait actuellement, dans ses bras. « On saura jamais de toute façon bébé. J’veux pas refaire le monde avec des si parce-que ce que je vis avec toi, je l’aurais jamais imaginé, même dans mes rêves. » Souffla-t-il amoureusement, assis sur le rebord de la terrasse avec Aelya, l’attirant contre ses lèvres malicieusement, Niels profitant de son baiser. « Je t’aime. » Répondit-il contre ses lèvres, s’intéressant à ses mots pour l’inciter à lui faire une demande, presque aussi officielle que la sienne, Niels fondant devant ce moment spécial qui faisait battre son coeur à toute allure. « Reste à moi toute ta vie mon ange, on va faire de grandes choses tous les deux. » Murmura-t-il, s’amusant doucement avec ses lèvres avant de leur céder complètement, goûtant une nouvelle fois à la douceur de sa bouche qu’il aimait presser contre la sienne. « Tu vas finir par en avoir marre, tu sais. Parce-que quand tu le fais craquer comme ça, il a juste envie de te sauter dessus et de te faire l’amour. » S’amusa-t-il, la laissant glisser la bague autour de son annulaire, captant son regard pétillant avant de se laisser embrasser. « Tu regrettes pas ma demande quand même ? » La taquina-t-il, ses doigts entourant tendrement les siens, son autre bras la rapprochant de lui en se plaçant dans son dos. « Mais t’es mon tout… » Répondit-il, laissant leur baiser s’éterniser, Niels jouant avec ses lèvres qu’il mordilla légèrement, son souffle se faisant plus court. « Je rêve de tout ça mon amour… Tu vas être magnifique dans ta robe, tu seras la plus belle mariée qui soit et moi, l’homme le plus chanceux du monde. » Sourit-il, tirant une dernière fois sur le joint, laissant Aelya le terminer. « Ça tient toujours ta proposition de massage ? » Demanda-t-il, d’un air espiègle, faisant mine de hausser les épaules avant de reprendre : « Sinon c’est pas grave, je me coucherai encore tendu… » La chercha-t-il, prenant son air de chien battu pour attirer son amour.

Il avait touché le fond lorsqu’elle était partie, et même lorsque c’était lui qui avait pris la décision de le faire. Parce-que la vie n’avait aucun goût sans elle, aussi fade qu’inutile, Niels qui avait eu l’impression de vivre un éternel recommencement à chaque jour qu’il avait passé sans elle. Il peinait à capter la lumière si elle n’était pas dans les parages, préférant se morfondre sur son sort alors que le monde s’écoulait sous ses pieds. C’était à ça que ressemblait sa vie sans Aelya. Un véritable enfer. « Ouais y’a moyen qu’on ait chaud tous les deux là-bas… C’est normal bébé, j’suis là pour ça. » S’amusa-t-il de son compliment, conscient qu’il profitait toujours de s’approcher d’elle pour tenter de la faire tomber dans ses bras. « Je m’attire tes foudres quand j’essaye de le faire… » Joua-t-il, Aelya qui avait tendance à le pousser dans ses retranchements jusqu’à ce qu’il ne finisse par céder contre elle, lui qui aimait toujours sentir leurs êtres ne faire qu’un. Niels s’était rendu compte que le vent pouvait toujours vite tourner entre eux, surtout lorsque les doutes se mêlaient à leur conversation. Il l’écoutait attentivement, pouvant aisément percevoir ses regrets, ses remords, vis-à-vis de tout ce qui s’était dit entre eux, Niels comprenant qu’Aelya avait cédé à la panique sans forcément penser ce qu’elle lui avait reproché. Il fronça les sourcils, ayant mal de la voir aussi atteinte, de la voir douter aussi de ses capacités à le rendre heureux. « Hey amour… C’est pas grave, on est un couple, on a le droit d’avoir des bas aussi. Quand je doute, tu me relèves, et quand tu doutes, c’est moi qui prends le relai. J’suis heureux bébé, tu me rends heureux, doute pas de ça mon ange. » La rassura-t-il, cherchant son regard qu’il ne voulait pas voir fuir, se raccrochant à tout ce qu’ils avaient vécu, à ces moments difficiles qu’ils avaient traversé ensemble et à ces moments de joie qui étaient venus bercer leurs coeurs. « Et aussi malin que sa mère… » Joua-t-il, un sourire étirant ses lèvres devant ces pensées qui l’attendrissaient, Niels finissant par rejoindre la terrasse pour profiter de cette fin de soirée avec son amour. « Et j’suis l’homme le plus chanceux d’avoir une fiancée aussi dévouée que toi mon amour. J’te veux que toi, jusqu’à la fin, ça se passera pas autrement. » Souffla-t-il amoureusement, se laissant embrasser par Aelya, fondant à ses légères pressions entrecoupée de ses mots d’amour. « Encore… » La chercha-t-il, sourire aux lèvres, gardant son visage près du sien pour bénéficier encore de baisers. Il la laissa lui déclarer sa flamme, de la même manière qu’il l’avait fait quelques mois plus tôt, sentant la sincérité de ses mots le heurter en plein coeur. « Nan c’est pas rien… C’est même toute ma vie. On va continuer, j’suis sûr qu’on peut le faire. » Ajouta-t-il, amoureusement, la voix gorgée d’espoir, l’embrassant tendrement avant de la taquiner. « Je sais pas… Tu pourrais te lasser à force. » La chercha-t-il, adorant l’entendre lui dire qu’elle aimait toujours autant leurs moments intimes au creux desquels leur complicité explosait toujours. Son regard pétilla de malice lorsqu’elle fit glisser la bague sur son doigt, amusé par ce moment unique et complice. « Même si on était un peu bourrés ? » Pouffa-t-il, sa main caressant celle d’Aelya alors que leurs sourires se répondaient, prenant soin de la rapprocher un peu plus de lui en passant son bras autour de son dos, leurs lèvres se rencontrant une nouvelle fois. « J’ai hâte que tu portes mon nom bébé… Que j’puisse enfin dire que t’es ma femme, rien que la mienne. » Murmura-t-il, ses yeux détaillant la délicieuse texture de ses lèvres qu’il adorait dévorer, Niels en profitant pour savoir si Aelya était toujours motivée à le détendre comme elle savait parfaitement le faire. « Moi ? Du chantage ? » Lâcha-t-il, faisant mine d’être outré, avant de rire, répondant à son baiser alors qu’elle encadrait son visage, Niels tendant sa main vers la sienne pour se redresser. « Faut que tu t’occupes de ton vieux un peu… » Se moqua-t-il de lui-même, Niels prenant les devants alors qu’Aelya s’occupait de rentrer Hank et de fermer la fenêtre, prenant la direction de leur chambre encore vide. « Ça nous fait moins de problèmes à gérer au moins… » Joua-t-il, fermant la porte avant de se laisser déshabiller par Aelya qui enleva son haut. « J’suis d’accord… c’est mieux sans. » Dit-il, malicieux, Niels s’abaissant pour s’étendre sur le lit, son regard ne quittant pas une seconde celui de son amour alors qu’il lui faisait toujours face. « J’ai pas mal au dos aujourd’hui… J’ai mal ici, ça doit être les cartons… » Fit-il mine de se justifier, désignant ses pectoraux et ses obliques.

Il n’y avait aucune vie possible sans elle, Niels qui refusait de se retrouver dans un monde où leur amour était impossible, parce-qu’il vivait pour elle, pour eux, pour qu’ils puissent continuer de s’épanouir comme ils le faisaient depuis deux ans. Avec Aelya, il ne retenait que le bon, elle qui lui avait apporté ce réconfort sans égal, cette affection qu’elle seule était capable de lui donner et dont il était finalement devenu dépendant. « J’te ferai visiter tout ce que tu veux mon amour. On fera tout ce que je faisais quand j’étais gamin, j’suis sûr que ça va te plaire. » S’amusa-t-il, tentant de lui donner envie, elle qui savait qu’il avait toujours possédé ce désir d’aventures, même plus jeune. « Faudra que j’me rattrape correctement alors… J’aime pas te voir bouder toi en plus. » Lâcha-t-il, s’approchant d’elle pour déposer un baiser dans son cou, Niels qui connaissait tous les points faibles de son amour. Ils avaient dû laisser passer ce moment de froid entre eux où la tension avait été à son comble, lui qui avait préféré ne pas renchérir après ces mots qui avaient su le percuter en plein coeur, parvenant même à le faire douter de ses capacités. « Mon coeur, t’es parfaite pour moi. J’le sais que tu m’aimes, et j’sais que tu me veux aucun mal. J’doute pas de toi, moi, t’es l’amour de ma vie, y’a personne qui prend autant soin de moi. » La rassura-t-il, tentant d’être le plus sincère possible parce-qu’il croyait en chacun de ses mots, lui qui n’avait jamais connu une âme aussi bienveillante que celle de son amour. « Tu vois bébé… t’es mon âme-soeur. On reste à deux. » Souffla-t-il, ravi de la voir se détendre peu à peu, souriant à leurs mots échangés sur leurs projets à venir, sur cet enfant qu’ils désiraient avoir ensemble lorsqu’ils seraient prêts à le recevoir. Il hocha doucement la tête à ses dernières paroles, fermant les yeux lorsque leurs lèvres finirent par entrer en contact, Niels n’hésitant pas à en redemander, parce-qu’il était accro à elle, accro à tout ce qu’il ressentait lorsqu’elle l’embrassait. Son coeur s’était mis à battre plus fort à leur contact rapproché, Niels réouvrant les yeux lorsque son amour reprit la parole. « Je sais pas le faire non plus bébé. Ça me rend malade d’y penser, surtout maintenant qu’on a fait tout ça tous les deux. » Murmura-t-il, lui qui n’envisageait plus de vivre sans l’amour de sa vie, parce-qu’elle était son pilier, celui de sa vie, Niels qui était persuadé de s’écrouler si jamais elle venait à le quitter, comme une maison dont les fondations s’effriteraient. « C’est vrai…? Tu m’aimes beaucoup beaucoup ? » La chercha-t-il, presque innocemment, Niels se prenant au jeu alors qu’elle venait de lui passer la bague au doigt, se remémorant cette nuit où il lui avait demandé d’être sienne pour la vie entière. « C’est vrai… On est jamais sages nous, c’est à notre image. » Ajouta-t-il, le sourire aux lèvres, son bras s’écartant pour accueillir le corps d’Aelya contre le sien, sa main faisant des va-et-viens tendres dans son dos, leurs lèvres se rapprochant jusqu’à se toucher, s’effleurer puis se chercher dans un baiser amoureux. « Le monde sait déjà que je suis pris bébé… J’regarde que toi, y’a personne qui m’intéresse. Et j’suis sûr que tu t’occuperais bien des femmes qui voudraient me tourner autour. » S’amusa-t-il, faisant référence à cette possessivité qu’ils partageaient, Niels laissant son regard vriller vers ses lèvres. « Exactement… Tu sais que j’suis pas comme ça, hein ? » S’amusa-t-il, en profitant pour retourner la situation à son avantage, se redressant finalement pour rejoindre leur chambre. « T’as dit deux fois que j’suis vieux dans ta phrase là… J’vais finir par mal le prendre. » Pouffa-t-il, souriant à son amour. « Oui, on trouvera notre bonheur dans les magasins, j’en doute pas. » S’amusa-t-il, s’imaginant demander à un professionnel un sommier qui résisterait à leurs ébats passionnés. Il s’allongea finalement sur le matelas au sol, face à son amour qu’il regardait, l’incitant à venir directement sur lui pour profiter de la douceur de ses mains. « T’as pas mal toi…? » Souffla-t-il, posant ses mains près de sa poitrine, vers ses côtes, en profitant pour palper ses courbes. Il se mordit discrètement la lèvre, hochant docilement la tête, ses mains glissant jusqu’à sa chute de reins pour la garder au plus près de lui, Niels expiant un soupir en sentant les doigts d’Aelya parvenir jusqu’à son torse. « T’es une déesse… » Murmura-t-il, tendant la nuque lorsqu’il perçut les pressions plus appuyées de ses mains, soupirant plus bruyamment quand ses lèvres vinrent rejoindre son cou. « Et alors, t’en dis quoi…? J’suis à ton goût ? » Susurra-t-il à son oreille, ses mains venant glisser dans les poches de son jean, pressant sa chute de reins contre son bassin. « Il est super agréable ton massage bébé… »

Aelya faisait de lui quelqu’un de meilleur, il en était intimement convaincu, lui qui n’aurait jamais osé sauter le pas avant elle, pour n’importe qui d’autre, persuadé que ce genre de relation le mènerait à sa perte. Aelya lui avait simplement prouvé qu’il s’était trompé pendant toutes ces années et qu’elle était la seule qui en valait la peine, lui qui avait finalement accepté de prendre tous les risques pour se lancer dans une relation exclusive. « J’ai trop hâte qu’on fasse tout ça à deux… Tu sais que y’a personne qui s’est déjà intéressé à moi comme ça avant toi…? » Sourit-il, attendri par ses propres mots, comprenant à quel point sa fiancée était une femme exceptionnelle, qui avait de l’amour à revendre. « En même temps, j’déteste te savoir loin de moi. Je peux mourir si j’ai pas ma dose de bisous amour. » Joua-t-il, exagérant pour la taquiner une nouvelle fois, lui qui adorait lui montrer à quel point il prenait au sérieux leur relation. C’était sûrement la raison pour laquelle il s’était braqué de la sorte après les mots de son amour, Niels qui aurait simplement voulu être à la hauteur pour elle, afin qu’elle puisse comprendre qu’il était prêt à tout pour voir leur relation évoluer parce-que l’avenir ne lui faisait pas peur si c’était avec elle qu’il le planifiait. « On se perdra pas. C’est fini tout ça, on a assez merdé comme ça, moi le premier. » Ajouta-t-il, captant son regard, elle qui savait parfaitement où il voulait en venir, ces ruptures à répétition qui leur avaient gâché l’existence à tel point où ils avaient cru ne jamais s’en remettre. « T’es qu’à moi mon amour, t’es ma femme, j’laisse personne essayer de te voler à moi. Ça aussi c’est impossible. » Souffla-t-il amoureusement, Niels qui n’avait aucune limite lorsqu’il s’agissait de protéger l’amour de sa vie, la seule et l’unique qui faisait battre son coeur. Il hocha la tête à ses dires, ne pouvant qu’être d’accord avec elle, parce-qu’ils avaient traversé le pire ensemble et toutes ces expériences leur avaient forgé un caractère et une détermination à toute épreuve. C’était aussi parce-qu’ils avaient côtoyé l’enfer en se séparant qu’ils étaient prêts à tout pour rester ensemble. « Moi aussi je t’aime. J’pourrais jamais te remercier assez pour tout ce que tu me donnes bébé, t’es mon tout. » Renchérit-il, le regard brillant d’amour alors qu’il sentait l’ambiance redevenir ce qu’elle avait été avant leur moment d’égarement, leurs sourires se répondant, Niels s’amusant de leur moment complice lorsqu’elle fit passer sa bague autour de son doigt, comme une véritable déclaration d’amour. « On a pas à changer bébé, on est parfaits comme on est. » Souffla-t-il, d’un air espiègle, Niels qui avait toujours été naturel dans les bras de sa fiancée, se révélant devant ses yeux. Leurs lèvres se retrouvèrent tendrement, leurs mains se cherchant dans des caresses amoureuses alors que son bras était venu la ramener contre lui, là où sa chaleur n’attendait que sa peau pour venir s’y déposer. « A leur place, je tenterais pas le diable… » Joua-t-il, continuant de frôler ses lèvres, fondant devant son côté possessif qui n’était finalement que le reflet du sien, Niels n’acceptant certainement pas qu’Aelya puisse être convoitée par d’autres hommes. « Jamais… vraiment, j’serais le pire si j’le faisais. » Joua-t-il, d’un air faussement innocent, celui qu’il utilisait toujours pour obtenir ce qu’il souhaitait avec son amour. Il prit la direction de la chambre avec elle, faisant mine de bouder à ses remarques qui lui rappelaient son âge, Niels qui se rapprochait rapidement de la trentaine, ayant l’impression que le temps passait à une vitesse folle. « J’étais trop blessé pour entendre tes compliments. » Se justifia-t-il, faisant semblant de lui en vouloir avant de s’installer dans le lit, regardant son amour venir à califourchon sur son corps, enflammant sa peau sous ce simple contact. « J’me disais bien… » Souffla-t-il, alors qu’il avait commencé à caresser ses côtes, ses mains glissant lentement sur sa poitrine, tirant légèrement sur son haut pour dévoiler son décolleté, ses paumes venant presser doucement ses seins. « Ça va mieux, là ? » Joua-t-il, frémissant à ses massages sur son torse, avant de laisser son amour s’occuper fiévreusement de son cou. « J’adore quand tu le fais. J’veux rester ta plus grande gourmandise à vie mon amour… » Soupira-t-il plus bruyamment, devenant plus sauvage en attrapant sa chute de reins pour la rapprocher de son bassin. Il arqua un sourcil lorsqu’elle reprit la parole, baissant les yeux vers sa main qui s’était aventurée sur son jean, sur sa zone érogène. « Ils sont vraiment intéressants ces extras… » Lâcha-t-il, soupirant davantage, sa main venant se superposer sur la sienne pour l’inciter à continuer, ajoutant un peu plus de pression avant d’inverser la position de sa main pour retrouver l’entrejambe d’Aelya. Il se redressa pour attraper ses lèvres, gardant Aelya contre son corps, en profitant pour lui retirer son haut. « Toi aussi, t’as le droit à mes massages… »

Aelya, elle avait fait dérailler la machine, contournant sa mécanique pour le pousser à ressentir autre chose pour la première fois. Il était tombé amoureux d’elle, de sa malice, de sa sensualité qui l’avait fait frémir dés qu’il avait posé son regard sur elle. En un instant, c’était comme si le monde entier s’était éteint, lui qui n’avait eu que de yeux de pour elle lors de cette soirée pourtant bondée de monde. Il était atteint en profondeur, dans chaque cellule de son organisme qui vibrait à chaque fois qu’elle posait ses mains sur lui. « Y’a personne qui est autant dévoué que toi mon amour… Les autres peuvent pas comprendre ce qu’on vit. » Souffla-t-il amoureusement, eux qui étaient liés par cette relation magnifique pour laquelle ils se donneraient corps et âme. « J’préfère ça… C’est mon traitement jusqu’à la fin de ma vie. » Joua-t-il, Niels qui ne refusait jamais de se crouler sous l’affection de son amour, sous ses délicieuses lèvres qu’il adorait sentir sur sa peau frémissante. Ils étaient conscients du chemin qu’ils avaient parcouru, de ces brèches qui étaient venues amoindrir leur chance de ressortir gagnants et qu’ils avaient finalement détourné pour finir plus forts. « Je sais bébé… » Lâcha-t-il, pensant à ces nombreuses fois où ils avaient pensé que c’était la seule solution, bien que ça n’avait été qu’une raison de plus pour foncer droit dans le mur. Il fut bouleversé par ses mots suivants, l’amour pulsant dans ses veines, Aelya qui trouvait toujours les mots pour le toucher. « Je t’aime. J’veux rester tout ça pour toi, je supporterais pas qu’on se perde. » Souffla-t-il, Niels étant pourtant convaincu qu’il n’y avait aucune possibilité que leurs chemins ne viennent à se séparer à nouveau. Il esquissa un sourire tendre face à sa détermination, celle qui le motivait également à tout faire pour que leur couple puisse continuer de perdurer. « J’te remercie parce-que tu me supportes depuis deux ans aussi bébé… » Pouffa-t-il, reprenant vite son côté taquin avec elle, regardant son doigt s’habiller de nouveau de sa bague. « Ouais nan, je partage pas mes punitions. Elles sont que pour moi celles-là… » Dit-il, finissant de l’embrasser et de la rapprocher de lui pour ne laisser aucun courant d’air ne séparer leurs corps. « Ça serait carrément impardonnable… J’crois que j’pourrais qu’accepter mon sort. » Lâcha-t-il, jouant avec elle en rentrant dans ce jeu de séduction qu’ils entretenaient maintenant depuis deux ans. Il suivit ses pas pour rejoindre la chambre, Niels prenant sa moue boudeuse suite aux remarques concernant son âge, pouffant de rire aux mots de son amour qui ne faisaient que de décrire parfaitement la vérité. « Merde, j’suis démasqué… » S’amusa-t-il, grimaçant légèrement comme un enfant qui aurait fait une bêtise, Niels finissant par prendre place sur le lit, Aelya le surplombant sensuellement, ses yeux peinant à ne pas la regarder avec désir. Ses mains s’invitèrent sur son corps auquel il était incapable de résister, ses mains se frayant un chemin sur son décolleté. « J’essaye de faire de mon mieux… » Joua-t-il, l’air espiègle, soupirant de bien-être en sentant la langue de son amour réchauffer son cou, Niels jouant avec sa chute de reins qu’il empoigna généreusement. « Et y’a rien d’aussi bon que quand tu me dévores comme ça toi… » Souffla-t-il, troublé par le désir qui ne faisait qu’augmenter, lui faisant tourner la tête lorsqu’Aelya se mit à caresser son membre au-dessus de ses vêtements, le brun en profitant pour accompagner ses mouvements emplis de fièvre avant de lui infliger le même supplice, ses doigts cherchant à taquiner son envie. Il attrapa fougueusement ses lèvres, décidant de la déshabiller à son tour, souriant contre sa bouche. « T’as pas le droit de les refuser… Un corps comme le tien, c’est fait pour être touché bébé. » Joua-t-il, ses doigts jouant avec ses hanches qui bougeaient tout contre lui, ses yeux rivés sur son corps à moitié nu sous ses yeux. « T’es tellement… wow. » Lâcha-t-il, se mordant la lèvre avant que son amour ne l’embrasse à pleine bouche, leurs langues valsant l’une contre l’autre. « Moi aussi j’en ai très envie… Autant que j’ai envie de toi là. » La chercha-t-il, entre deux baisers, ses lèvres quittant les siennes pour rejoindre son cou, descendant progressivement jusqu’à sa poitrine qu’il embrassa langoureusement. « T’as envie que je continue… ? Plus bas peut-être ? » Murmura-t-il, le regard embrasé.

Tout s’était déroulé à une vitesse folle avec Aelya, comme si en un claquement doigt, elle était parvenue à l’atteindre comme personne ne l’avait jamais fait. Elle était spéciale, unique et le lui avait comprendre en une soirée, Niels qui s’était abandonné à son corps, à son âme, pour une nuit entière, lui proposant rapidement de remettre ça parce-que le manque s’était fait intense, vicieux, l’empêchant de réfléchir correctement. Trop vite, elle était devenue essentielle à son quotidien. « On n’a pas besoin de s’exposer au monde entier. Tu sais que je t’aime et je sais que tu m’aimes. Ça me suffit amplement amour. » Souffla-t-il amoureusement, ne quittant pas le regard de celle qu’il aimait, Niels souriant, amusé par ses mots. « Y’a pas de raison, pour un accro comme moi, ça devrait le faire. » Joua-t-il, n’ayant aucun doute sur le fait qu’il était capable de rester accro à son amour pour la vie entière, lui qui était persuadé qu’il continuerait de tomber amoureux d’elle, un peu plus chaque jour. Leurs coeurs étaient liés, scellés l’un à l’autre jusqu’à ce que la mort ne vienne en décider autrement. Il avait le regard qui brillait à l’entente de ses mots, le coeur qui battait à une vitesse folle alors qu’elle venait simplement de lui confirmer qu’elle l’aimait pour la vie entière. « J’te veux pour l’éternité. C’est possible ça…? On est tellement bien tous les deux mon coeur. » Admit-il, d’un regard tendre, Niels qui jouait avec l’ambiance légère, rappelant à son amour que leur histoire durait depuis deux ans et qu’elle avait encore de longues et belles années devant elle. « T’as choisi un mec chiant, faut assumer amour. » Dit-il, hochant la tête faiblement, faisant mine de grimacer avant de rire, se délectant de ces moments qui étaient toujours uniques à ses yeux alors que la nuit s’installait doucement mais sûrement, assombrissant le ciel de Bowen. « C’est les meilleures… Je les adore moi aussi. » Ajouta-t-il, agrémentant ses mots d’un clin d’oeil malicieux, n’ayant de cesse de faire comprendre à son amour combien il l’aimait, combien son corps était un trésor qu’il voulait protéger, garder au plus près de lui parce-qu’il était convaincu d’être le seul à l’aimer et la respecter de la sorte. « Ouais t’as vu. J’ai bien évolué, j’me rends compte que j’vais vraiment trop loin des fois. » S’amusa-t-il, gardant une mine faussement sérieuse avant de sombrer contre les lèvres de son amour, regagnant la chambre pour sceller cette journée longue et éreintante. « Si tu me connais trop justement, c’est dangereux ça… » Lâcha-t-il, d’un air espiègle, se mordant la lèvre quand il sentit Aelya venir tout contre lui, tentant son bassin déjà enflammé par la pression qu’elle exerçait contre le sien. Ses mains vinrent rapidement presser sa poitrine, répondant à son envie de le sentir contre elle, Niels se délectant de ses délicieux soupirs qui se percutaient contre sa peau. « Toi aussi tu me donnes chaud… J’me sens à l’étroit dans mon jean bébé… » La chercha-t-il, tendant la nuque pour lui laisser plus d’espace, frémissant à ses baisers langoureux qui s’intensifiaient au fil des minutes, Niels se voyant incapable de retenir ses soupirs de plaisir. Il s’agrippa à ses hanches pour les faire davantage bouger contre son bassin qui portait les stigmates de son désir, Niels se mordant la lèvre plus fortement lorsque ses doigts vinrent glisser sur son jean pour le caresser. « C’est bon mon amour… » Souffla-t-il à son oreille, ses doigts rejoignant les siens, avant de finir contre son jean à elle, pressant son anatomie encore prisonnière de la toile. Il s’attarda sur sa poitrine nue, son regard comblé par sa beauté à peine croyable, voyant son regard se charger de passion. « Toi aussi… J’en peux plus là. » Il attrapa ses lèvres, l’embrassant langoureusement, avant de relever les yeux vers elle à ses mots. « Comme d’habitude… J’dors pas sans te sentir contre moi mon bébé… » Lâcha-t-il, d’une voix fiévreuse, presque fébrile tant l’envie le consumait. Sa bouche dérapa sur sa poitrine, l’embrassant avec passion, sa langue se mêlant à la danse de ses lèvres, Niels menaçant de descendre davantage alors que son autre main continuait de caresser sa peau. La main d’Aelya s’était finalement aventurée dans l’ouverture de son jean, Niels lâchant un gémissement lorsqu’elle empoigna son envie. « Putain… Moi aussi. » Lâcha-t-il, se pinçant la lèvre, son bras passant autour de son dos pour inverser leur position, Niels plaquant le dos de son amour sur le matelas. « Je t’avais dit que j’étais affamé… » Joua-t-il, se courbant doucement vers elle, Niels laissant sa bouche descendre entre ses seins, butant contre l’ouverture de son pantalon dont il se débarrassa bien vite, le faisant glisser et tomber sur le sol. Il écarta sauvagement les cuisses de son amour, s’amusant à la tenter par dessus son sous-vêtement, jouant de ses lèvres pour la faire défaillir. « J’vais te rendre folle ce soir bébé… »