Invité | Sujet: Re: tragedyyyyy, yeah ! [ft. Edd] Dim 7 Mar 2021 - 17:12 | |
| Edd éclata franchement de rire, bien lancer, il devait bien l’avouer. Même si, dans un certain sens, il devait être vexé. Qu’on lui balance son handicap à travers la tronche, pas quand c’était Billie. « Outch… Ça fait mal ! Déjà, ça a des avantages… » Sa main posait sur sa poitrine, surjouant la douleur dans une grimace sincère sur le visage avant de haussant doucement les sourcils. Dans sa tête, il était borné à penser que tout ce qu’il avait de l’attrait à l’amour était une histoire tout droit sorti d’un conte pour les filles. Qu’est-ce qu’elles avaient à toutes bavé sur ces types, les hormones à l’affût. « On a déjà eu la conversation… Même si je suis bien placé pour ce poste, je dois faire mes preuves. L’aspect jeune n’est clairement pas à mon avantage. Mais comme je suis son meilleur élément et son espoir. J’ai le privilège qu’il me donne quelques ficelles et puis… J’ai la liberté de faire ce que je veux » Non, ça ne marchait pas comme ça. Edd avait l’avantage d’être dans se parcourt depuis longtemps. Donc il le connaissait assez, pour installer une certaine confiance, et de l’avoir pris sous son aile. « Tu es sérieuse là ? Je suis parfait ! Ce n’est pas ma faute, si vous avez tous était élevé au gras, au sucre, au amphéte… Des fois, je croise des gens, j’ai l’impression de voir un concours de qui a les plus gros muscles... » Avec l’impression d’être dans un mauvais cartoon. « Tiens à notre moitié Billie ? » Une menace vaine, face à ces attaques. Mais c’était leur façon de fonctionner. Et elle avait le don de la lui faire fermer. Il avait envie de fumer là, face au sentiment, il avait beaucoup de mal. « Tu vas avoir tes règles bientôt ? Tu es fait dans les sentiments » Un soupir s’aventurait entre ces lèvres, fermant les yeux. Se frottant les yeux comme si un mal de tête venait s’inviter. « On l’a dit…. » Sa phrase mourrait entre ces lèvres. « Je tien à toi aussi, même si je n’aime pas cette idée. Je ne sais pas si tu l’as remarqué, je n’ai pas une liste de proches longue comme le bras... » Un soupir, le temps de remettre ces idées en place. « Le peu, j’aimerais les gardes. Je peux être un vrai connard, je ne sais pas, insensible ce que tu veux. Mais le peu que j’ai.. J’en prends soin. Donc non ! » C’était sa façon, de montrer ces sentiments, maladroits certainement. « Ça me touche ! Tu ne peux pas faire comme tout le monde, sauver le monde ? ce truc vert c'est propre, qu'est l'environnement ? j'ai trouvé moi même le slogan, c'est cadeau... Mater le mec vogue dans la dernière série à la mode ? » Même si c’était rude, une apparence. Il serra sa main. « Je t’aurais bien embrassé, genre le front, ou la joue, mais je suis désolé, tu pues encore » Belle esquive. |
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