Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: vamos a la playa ! ft. elle Dim 6 Jan - 11:32
La plage. Perry aime bien y aller pour se détendre, bronze un peu, manger des beignets, draguer les jolies demoiselles en maillot de bain, bref pas faire grand chose quoi, comme d’habitude. Il n’avait prit que le minimum, serviette, crème solaire, eau et gâteaux, ouai parce que la bouffe c’est sacré ! Pas de parasol, encore moins de livre ou de magasines, la lecture c’est vraiment pas son truc. En fait, sa technique c’est d’aller voir une fille ou plusieurs, si possible jolies, c’est toujours mieux et leur demander s’il peut squatter son parasol. Oui vive les techniques de drague à la Perry ! Il s’approchait donc d’une des filles, il avait des lunettes de soleil sur les yeux et un short de bain pour ne pas passer pour un nudiste. « hey, salut ! J’peux me mettre à côté, j’ai pas de parasol. » au pire elle lui dit non et il s’en remettra, c’est pas un drame ! Il a déjà connu plusieurs échec même si avec ces lunettes de soleil là, il est juste irrésistible, et ouai !
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Sujet: Re: vamos a la playa ! ft. elle Dim 6 Jan - 21:32
Titre du Sujet
Aujourd'hui, on ne travaille pas ! Youpi. Enfin, y'en avait marre de faire l'ouverture jusqu'à 18 heures toute la semaine. Alors aujourd'hui, on en profite un peu et on sort prendre du soleil.Comme toujours, j'ai flemmarder jusqu'à midi et le soleil est rentré dans ma chambre en me disant : lève toi ! Tu as vu l'heure qu'il est et ne me dit que pas que tu as fait la fête hier, je sais très bien que tu as passé la soirée à la maison. Alors, c'est bien inutile de procrastiner contre ça. Alors je me suis lever, ou enfin, je suis tomber de mon lit comme une grosse crêpe, j'ai ramper jusqu'à la salle de bain, je me suis durement relever en m'appuyant sur le rebord du lavabo et je me suis simplement brossé les dents, j'ai légèrement arranger mes cheveux (qui sont du pour une teinture d'ailleurs) et enlever le surplus de maquillage de la veille que je n'ai pas enlever parce que, je n'en avais pas envie. Bref, la que faire aujourd'hui ? Question existentielle. À regarder par la fenêtre, il fait SUPER BEAU ! J'adore ce genre de température, alors...je vais aller à la plage. J'enfile mon joli maillot rose, parce que je ne sais pas si vous le saviez, mais j'aime vraiment le rose, eh oui ! Une petite tunique blanche somme toute, un peu transparente et très légerte (ça doit pas être à moi ce truc, je ne porte pas ça en temps normal) et des sandales compensés qui ressemblent beaucoup à des chaussures pour traînée, un chapeau et des lunettes de soleil immense qui me donne l'air d'une mouche, bizz bizz. Maintenant, dans le sac, j'enfourne quelques bières, un paquet de clopes, ce n'est pas la marque que j'utilise, non parce que là, c'est de la grosse merde, mais bon on fait avec ce qu'on a, mon portable, serviette et...je ne sais pas. Je jette un coup d’œil à l'appartement, qu'est-ce que je pourrais apporter d'autres. Ah oui ! J'ai acheter des nouveaux comics hier, alors on va commencer cette lecture si palpitante. Maintenant, je descend dans le sous-sol, aller prendre un parasol dans notre minuscule salle d'entreposage. Rendu au dernier niveau, bah je manque de péter la gueule royalement, j'ai manquer une marche à cause de ces foutues chaussures. Je comprend maintenant pourquoi elles pourrissaient dans le fin fond de mon armoire, c'est presque du suicide essayer de marcher avec ça. Alors, bon revenons à nos moutons, je rentre dans la petite pièce et attrape rapidement le vieux parasol sortit tout droit des années 60 et me voilà prête. La plage n'est pas trop loin, nah en fait, elle n'est que de l'autre côté de la rue, alors je traverse en faisant bien attention de ne pas me faire écraser. Je retire mes sandales et enfonce mes orteils dans le sable chaud qui cuit sous le soleil. Je flâne sur la plage pendant quelques mètres en traînant mes pieds dans le sable et parfois en donnant des coups de pieds dans l'air, lançant tout le sable qui enterre mes pieds dans le vide, jusqu'à ce que j'en reçoive une partie au visage. BUUUFFFFH, pas une bonne idée, je serais mieux d'arrêter ses conneries tout de suite. Je plante le parasol dans le sable, étant ma serviette et m'assied. Je sors la première bouteille de bière sans l'ouvrir, je vais la laisser la un peu et je vais la prendre quand ça me le dira. Je l'allume quand même une clope, parce que je suis rebelle et non pas parce que ça me donne de la classe (quoique...non, ça me donne vraiment la classe). Il y a des petits gamins qui joue dans l'eau en se poussant et en s'aspergant. J'aimerais bien aller jouer avec eux,mais j'aurais l'air un peu de trop et même folle. Maintenant, lecture ! Je commence mon premier comics quand une ombre me masque le soleil qui me tapait sur mon bras depuis un moment. Je lève légèrement les yeux pour y apercevoir un mec qui se tient là. Comme de fait, il me demande si il peut partager mon espace d'ombre. Surprise, moi qui croyait que j'aurais l'air ridicule avec ce truc affreux et démodé. Enfin, je ne lui dirai pas non, parce que je ne suis vraiment pas très cruelle. "Ouais, assis toi. J'te mangerai pas" Je ne crois pas que j'aurai l'intention de manger qui que ce soit en fait. Non parce que en fait, c'est du cannibalisme ça et bien franchement, je trouve ça un peu dégoutant... m'enfin, je lui laisse une petite place.
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Sujet: Re: vamos a la playa ! ft. elle Lun 7 Jan - 21:34
Perry ignorait s’il allait commencer à draguer cette mystérieuse demoiselle, même s’il n’a pas l’habitude de séduire des femmes aux cheveux roses, elle a quand même du style. Il aime bien quand les gens sont un peu fou, décalé, qu’il assume leur différence. Lui, n’est pas très différent, disons qu’il rentre dans cette catégorie de la population encore bloquée dans leur enfance. Ce n’est pas le syndrome de Peter Pan, il n’a pas peur de le grandir, il ne veut juste pas, enfin, les choses vont sûrement changée avec l’arrivée de sa nièce. Perry, devrait, si tout se passe bien, devenir dans quelques jours le père adoptif d’une fille de six ans. Ce n’est pas commun, c’est le moins que l’on puisse dire ! Sa sœur jumelle, qu’il n’a pas vu depuis dix-neuf ans, date à laquelle les parents de Perry sont morts et qu’ils ont été séparés, est morte dans des circonstances troubles, il y a quelques semaines, laissant derrière elle quelques amies en deuil et une petite fille de six. Le jeune homme est donc la personne la plus proche et bien que sa décision fut difficile à prendre, ayant déjà du mal à se prendre en charge lui-même, il choisit d’adopter cet enfant. Il se dit qu’il profite au maximum de ces derniers jours de vie « libre », car bien sur s’il est très heureux d’avoir un enfant, bien que cela lui soit très étrange, il ne pourra pas sortir en boite jusqu’à trois heure de matin, manger des céréales toute la journée, draguer à peu près toutes les personnes qu’il trouve attirante, et bien d’autres choses.
Cette fille, il n’est pas non plus la voir par hasard, déjà ce sont ses cheveux qu’ils l’ont attiré, faut dire que ça se voit de loin, mais pas que. Il y a aussi le fait qu’elle soit en train de lire un comics. Bon, même si Perry n’est pas un grand lecteur, c’est le moins que l’on puisse dire, il ne brille pas par son intelligence en général, il aime beaucoup les comics, enfin surtout les films, c’est beaucoup moins compliqué et se demande moins d’efforts, il est partisan du moindre effort. De toute façon le jeune homme est fan d’à peu près tous les films, les dessins animés de science-fiction, pas trop compliqué, pouvant être compris par quelqu’un qui à l’intelligence et la culture d’un gamin de dix ans et encore ! La demoiselle tenait aussi dans une main une bière et une cigarette, autant dire qu’elle cumulait pas mal de vice en même temps, mais ce n’était pas pour le déranger. La voir lui rappelait un peu Dash, sa colocataire, et son amie, enfin amie, ils se disputent assez souvent, mais au fond, ils s’aiment bien. Elle lui dit qu’il pouvait s’asseoir, une étape de passé, passons à la deuxième, faire connaissance. Parce que oui accepter Perry, c’est accepter de discuter avec lui, de beaucoup discuter avec lui. En effet, il est assez, voir très bavard, il aime bien connaître de nouvelles personnes. « sinon, tu t’appelles comment ? Moi c’est Perry Peach, ouai comme l’ornithorynque dans Phineas et Ferb, et comme la princesse de Mario, t’as vu un peu le mélange de ouf ! » il préfère anticiper les réactions, tout le monde ne peut pas se targuer d’avoir un prénom de dessin animés et un nom de jeu vidéo.