you're the best i ever had. -hot- (niels)

Elle avait trouvé en Niels le partenaire idéal, son complice, l'âme qui sciait le mieux à sa décadence programmée qu'il avait arrêté dans le doux fléau de ses baisers. C'était la plus belle chose qui lui avait été donnée de faire, de l'aimer, de le vouloir jusqu'à exploser, sa cage thoracique peinant à contenir l’entièreté de tout ce qui palpitait pour son être aimé. Elle hocha la tête à sa remarque, ne pouvant le contredire quand ils parlaient d'eux, de cette soirée qui avait changé leur destinée, Aelya qui s'était faufilée dans le creux de ses draps en même temps qu'à l'intérieur de son myocarde. Elle aurait pu passer tout son temps là, dans cette chambre à le couvrir d'amour, certaine que jamais ils ne sortiraient de leur chambre s'ils commençaient comme ça, à se perdre dans leur toucher.

- Nan et quand tout le monde nous demandera comment c'était Las Vegas, on aura que le souvenir de notre chambre, pouffa-t-elle, consciente que ce scénario pouvait leur ressembler, son sourire se dessinant avec malice quand il ajouta qu'il serait sage, peu à même de concevoir ça entre eux. Le problème bébé, c'est que si j'te colle trop, j'te fais l'amour sur le comptoir. Y'a pas de juste milieu avec toi, se mordit-elle la lèvre, amusée, repensant à toutes ces fois où son corps avait menacé de se jeter sur le sien juste parce qu'il était un peu trop proche d'elle, ses lèvres venant s'étendre dans son cou alors qu'elle se laissait doucement habiller par le désir qui ne renoncerait jamais devant Niels. Bébé... Tu me donnes encore trop chaud... Souffla-t-elle sur sa peau, sentant son coeur battre à tout rompre face à sa délicieuse présence. Ma bouche t'aime à la folie, renchérit-elle en souriant, tendant la nuque pour capter un peu plus ses baisers qui s'écrasaient tendrement contre ses lèvres, Aelya savourant sa chaleur qui se déversait sur sa peau, laissant sa bouche le retrouver plus longuement dans un baiser amoureux. Tu sais à quel point j'adore te voir tout fou de moi, sourit-elle, admettant sans ciller qu'elle n'avait que ça en tête, le voir sombrer pour elle, sa jalousie n'étant jamais loin lorsqu'il s'agissait de Niels. J'te calmerai dans la chambre mon bébé... Que si t'es sage et que tu penses qu'à moi et moi seule, s'amusa-t-elle, craquant déjà pour cette image qu'elle avait de lui, de le voir sous l'emprise de son désir qu'elle aimait canaliser pour le regarder exploser. Y'a jamais aucun compliment qui me fera autant d'effet que les tiens amour... T'es ma vie, mon tout, et celui que je veux tout le temps, même quand c'est pas permis, avança-t-elle malicieusement, son regard valsant sur sa stature à moitié nue qu'elle se prenait à dévorer silencieusement, son cœur loupant un battement lorsqu'il s'agenouilla pour lui mettre son bas. J'veux que ça mon amour. Te supporter c'est ce que je sais faire de mieux dans ma vie, avança-t-elle amoureusement. Je veux jamais y penser bébé... Ça m'angoisse rien que d'y penser. Si j'avais pu t'avoir dès le départ, j'aurais été la plus heureuse du monde, avoua-t-elle tendrement, sa main caressant doucement sa joue pour se réfugier dans ses cheveux. Je t'aime aussi, répondit-elle dans un regard profondément amoureux, mettant le haut de son maillot avant de s'agiter sensuellement contre lui lorsqu'elle se mit de dos, adorant jouer avec lui. J'veux justement réveiller mon démon préféré parce que je sais ce qu'il aime, joua-t-elle en ondulant contre lui. Han, pourquoi, tu m'aimes plus ? Lança-t-elle, feignant l'inquiétude, le regardant mettre son maillot. On y va si tu me promets de me coller. Je veux que tu me touches quand même moi, ajouta-t-elle, prenant sa main pour sortir de la chambre lorsqu'ils prirent le nécessaire pour se rendre à la piscine, marchant dans les couloirs jusqu'à arriver devant l'étendue d'eau, Aelya posant sa serviette sur un transat. On va se rafraîchir bébé ? Proposa-t-elle en avançant vers l'escalier pour rentrer doucement dans l'eau.

Il savait intimement qu’il n’existait aucune autre femme capable de l’aimer comme le faisait Aelya, parce-qu’ils se suivaient dans leurs excès, dans leurs folies qui se complétaient à merveille, eux qui avaient rapidement compris que leurs âmes et leurs personnalités de feu avaient été conçues pour ne former qu’une seule et même entité. Et il était fier que sa destinée ait rejoint celle d’Aelya, lui qui ne faisait que de l’aimer de plus en plus fort à mesure que les jours passaient, comme si son amour n’avait aucune limite, s’étalant jusqu’aux étoiles. Il avait souri à ses mots qui ressemblaient bien à leur façon de fonctionner, Aelya et Niels étant capables de passer une semaine enfermés dans leur chambre à se donner de l’amour. « On dira que c’était bien bébé, et très sportif du coup. » Pouffa-t-il, faisant référence à leurs ébats passionnés où leurs corps en sueur se déhanchaient dans la fougue de l’instant. « Ça sonne pas comme un problème pour moi bébé. » Répondit-il avec un air joueur, conscient qu’ils auraient toujours un mal fou à contenir le désir hautement inflammable qui menaçait leur calme dés lors qu’ils s’approchaient l’un de l’autre, peinant à résister à l’appel de la chair qui leur faisait toujours tourner la tête. « Toi aussi mon amour… T’es pas croyable toi… » Susurra-t-il à son oreille, fermant les yeux pour apprécier ses baisers appuyés dans son cou, Niels rattrapant sa bouche pour la parsemer d’amour, continuant de l’embrasser plus longuement lorsqu’il en eut l’occasion. « C’est toujours le cas bébé. Si je m’écoutais, mes mains seraient toujours en train de t’arracher tes vêtements tu sais. » Dit-il, sur un ton faussement désespéré, esquissant un sourire en songeant au fait que son attirance pour elle était impérissable. « J’ai envie de penser à personne d’autre qu’à toi bébé. Tu prends déjà toute la place de toute façon… » Souffla-t-il, lui qui désirait la voir mettre à exécution ses dires, fou du plaisir qu’elle injectait dans ses veines lorsqu’elle s’occupait de lui et de son désir brûlant. Parce-qu’il crevait d’amour pour elle, n’ayant jamais ressenti ces sensations pour une autre personne, persuadé qu’Aelya resterait l’exception de son coeur, de sa vie entière. « Même quand ça l’est pas mon amour, on trouve toujours un moyen d’enfreindre les règles. Et j’crois que j’adore ça… » Répondit-il malicieusement, fier de leur complicité éternelle, eux qui ne laisseraient jamais personne décider à leur place, surtout lorsqu’il s’agissait de leur relation. Il décida de s’agenouiller pour lui enfiler son bas, se prenant à se remémorer la soirée de sa demande en mariage, se rappelant de chaque seconde de cette nuit qui avait bouleversé leur vie. « Faut être fou pour savoir me supporter comme toi tu le fais bébé… » S’amusa-t-il, attendri et reconnaissant de la savoir encore avec lui après trois années de relation. « Ça me fait pas du tout rêver de m’imaginer sans toi… J’crois que j’serais en train de dépérir quelque part bébé. » Avoua-t-il, lui qui aurait certainement continué à errer sans le moindre objectif, sans le moindre rêve, le regard vide et terni par ces années d’errance. Il se redressa à sa hauteur, échangeant ces mots doux et amoureux avec elle, captant son regard qui avait toujours eu le don de lui provoquer des frissons. Il lâcha un léger rire en regardant l’amour de sa vie se coller à lui pour jouer avec son désir, son regard captant ses courbes parfaites qui s’amusaient à le tenter. « Tu me connais beaucoup trop… » Dit-il en faisant mine de se plaindre, fondant d’amour à son air faussement inquiet. « Je t’aime trop bébé. Beaucoup beaucoup beaucoup trop. J’ai de gros problèmes de contrôles avec toi. » Souffla-t-il, se mordant la lèvre alors que sa main glissa sur sa hanche, Niels se trouvant toujours derrière elle. « C’est du chantage ça bébé. » S’amusa-t-il avant de la suivre dans l’hôtel, arrivant à la piscine où ils prirent leurs aises, se réservant deux transats. « J’te suis. » Lâcha-t-il, arrivant à son tour dans l’eau, plongeant entièrement son corps avant de nager jusqu’à son amour. « Le problème c’est que l’eau est pas assez fraîche… Si tu me chauffes, ça risque d’être compliqué. » Joua-t-il, venant chercher le corps de sa femme pour se coller à elle, passant ses bras autour de sa taille. « Mais ça veut pas dire que j’veux pas de tes bisous hein… »

Elle pourrait passer le restant de ses jours entre les murs de leur complicité, emprisonnée dans le doux étau de son amour qu'elle n'était pas apte à quitter. Le temps perdait de sa valeur lorsqu'Aelya rencontrait le regard de Niels, comme si le monde arrêtait de fonctionner pour laisser tourner le leur. Elle accordait beaucoup trop d'importance à leurs moments privilégiés, ceux qui se dévoilaient dans leur intimité, à l'intérieur de leur univers qu'ils avaient crée pour se protéger des autres.

- Tout le monde que j'suis devenue une athlète grâce à toi en plus, s'amusa-t-elle, ne pouvant s'empêcher de sombrer pour son regard dès que l'occasion s'y prêtait, le câlinant de toute son affection qu'il enflammait. C'est bien pour ça que je t'aime à la folie toi, sourit-elle, amusée par sa réponse, par ce désir qui les consumait dans une impatience qui faisait toujours écho à leur manque.

Sa bouche vint s'échouer dans son cou pour distiller sa marque de possession, Aelya se brûlant dans son envie à mesure qu'elle caressait sa peau avec avidité, rongée par tous ces délicieux songes qui se débattaient dans son esprit. Ses lèvres attrapèrent les siennes lorsqu'il tendit la nuque vers elle, s'amusant de ces baisers vifs qui muèrent en un long échange amoureux.

- J'vivrais ma meilleure vie si on pouvait faire ça tout le temps, avoua-t-elle, joueuse, ses mains qu'elle désirait constamment voir sur sa peau à vif de désir, à vif de lui. Et si un jour c'était plus le cas... ? Demanda-t-elle, son ton trahissant l'inquiétude alors qu'elle s'imaginait ce qu'elle n'était pas capable de concevoir, une vie sans Niels, lui partant ailleurs quand son coeur ne demanderait que lui, Aelya qui refuserait de se laisser aller sur un chemin qu'il ne foulait pas parce que tout perdait son sens en son absence. J'crois que j'aime beaucoup trop ça aussi, te faire passer avant tout et tout le monde, et me foutre de tout parce que c'est toi en premier, c'est toi que j'peux pas attendre parce que tu me manques toujours trop, admit-elle amoureusement, le laissant lui enfiler son bas dans une position qui faisait remonter à la surface l'un des plus beaux jours de sa vie, illuminée par les étoiles qui s'étaient accordées dans leur amour. N'importe quoi bébé, tu te connais mal bébé. T'es un amour toi, même avec ton bordel, rit-elle légèrement. C'est pour ça que je compte rester avec toi toute ma vie. J'peux pas m'imaginer que tu dépérisses bébé, j'aurais trop mal... Soupira-t-elle, balayant toutes ces images beaucoup trop sombres pour elle, pour son affection qui ne pouvait pas se permettre autant de noirceur quand elle ne faisait que briller sous la lumière de son beau regard, lui qu'elle ne faisait que d'admirer, dans n'importe quel moment, ses courbes venant effleurer son bassin pour jouer avec son désir qu'elle aimait sentir contre elle. Tes gros problèmes de contrôle favorisent mes gros problèmes d'envie de te faire l'amour, on se complète bien, pouffa-t-elle, joueuse, frissonnant à la pression de sa main sur sa hanche. Oui et alors ? S'amusa-t-elle, consciente qu'elle lui faisait du chantage pour mieux se rapprocher de lui, tous deux s'en allant vers la piscine autour de laquelle ils réservèrent leurs transats, Aelya attirant son amour dans l'eau avec elle. Pourquoi j'ai justement envie de te tenter quand tu m'dis ça... ? Sourit-elle malicieusement, le laissant approcher d'elle dans l'eau, ses bras l'enlaçant amoureusement. J'espère bien, parce que j'vais me dessécher sans tes bisous sinon, admit-elle, amusée, plongeant ses lèvres contre les siennes pour lui soutirer quelques baisers. T'es beau bébé... Souffla-t-elle contre sa bouche, sa main glissant sensuellement sur son torse pour s'arrêter à la bordure de son maillot de bain. J'vais nager ça va me refroidir, s'amusa-t-elle, faisant mine d'aller plus loin en nageant, l'appelant de son regard à l'attraper.

Il s’enfermerait à chaque minute, à chaque seconde de sa vie dans l’étau de ses bras, verrouillant la porte de leur monde pour qu’ils puissent profiter de leur intimité comme ils l’avaient toujours désiré. Parce-qu’ils savaient combien le temps était précieux, eux qui avaient maintes et maintes fois frôlé le pire, la mort tentant de les arracher l’un à l’autre sans aucun scrupule. Et pourtant, ils avaient toujours su déjouer les plans de leur sombre destinée, trouvant toujours l’issue qui les ramènerait l’un contre l’autre. « Tu l’étais déjà bébé… Grâce à la danse hein. » S’amusa-t-il, faisant mine d’ignorer qu’Aelya avait eu d’autres partenaires avant lui, préférant outrepasser le passé sulfureux qu’ils avaient eu tous les deux. « Tu vas continuer de m’aimer alors, parce-que j’compte pas changer bébé. » Souffla-t-il, sa respiration s’approfondissant à la sensation de ses lèvres qui caressaient son cou avec intensité, elle qui parvenait à le faire frissonner dans n’importe quelle situation, connaissant ses points faibles, ceux qu’elle taquinait avec habileté. A bout de souffle après leur échange amoureux, il capta son regard, esquissant un léger sourire à ses mots. « On fait déjà de notre mieux pour se faire le plus de câlins possibles bébé… Tu trouves pas ? » Ajouta-t-il avec un regard tendre, ses mains caressant sa peau alors que son air inquiet le fit fondre, Niels secouant immédiatement la tête pour réfuter son hypothèse. « Ça arrivera jamais bébé. J’suis l’homme d’une seule femme, de la mienne. Ça sera toujours toi. Si c’est pas toi, c’est personne d’autre bébé… » Murmura-t-il, conscient qu’il ne pourrait jamais guérir les blessures de leur rupture avec une autre, lui qui ne serait plus qu’un corps sans vie à la recherche d’un bonheur perdu, l’idée de vivre sans elle le faisant frémir d’angoisse. « J’suis dingue de toi mon amour, j’ai pas envie de te faire passer au second plan. T’es mon univers, t’es la seule qui compte. Je vis que pour toi. » Murmura-t-il avec sincérité, lui qui avait même parfois du mal à gérer l’ampleur de ces sentiments qui ne faisaient que de s’étendre encore et encore, semblant inarrêtables. Agenouillé au sol, il se redressa pour revenir à la hauteur de son amour, amusé par les mots qu’elle employait pour le définir. « Mon bordel fait partie de moi bébé. C’est bien de savoir le supporter lui aussi. » Pouffa-t-il, bien conscient qu’il n’était pas l’homme le plus ordonné du monde, bien qu’Aelya avait appris à accepter ses défauts. « Prends soin de moi toute ta vie bébé… Tu sais que j’suis nul pour le faire quand j’me retrouve tout seul. Je veux qu’on soit toujours ensemble pour veiller l’un sur l’autre. » Murmura-t-il, songeant à ces nombreux moments où Niels avait été à deux doigts d’abandonner la bataille, préférant se laisser partir plutôt que d’avoir à subir ce manque incisif qu’il n’avait jamais su supporter. Il balaya rapidement ces pensées trop noires, se concentrant sur les ondulations de son amour qui s’amusait à le tenter comme elle le faisait toujours parfaitement, Niels effleurant sa hanche avec sa paume. « Pour se compléter, on le fait plutôt bien ouais… » Souffla-t-il chaudement, faisant référence à leur manière de s’abandonner l’un à l’autre, lorsque leurs deux corps ne formaient plus qu’un. « T’es un petit diable bébé… » Joua-t-il, se mordant la lèvre en la regardant se déhancher contre son corps déjà en manque d’elle, Niels suivant Aelya jusqu’à la piscine où ils avaient prévu de se détendre. « Parce-que t’aimes me torturer peut-être, non ? » S’amusa-t-il, nageant vers son amour pour venir l’enlacer amoureusement, ses yeux captant ses lèvres avec envie. « J’laisserai pas ça arriver mon bébé… » Murmura-t-il, tendant la nuque pour capter la douceur de ses lèvres, frémissant à ce contact dont il ne se lasserait jamais. « Tu l’es encore plus toi… » Lâcha-t-il, mordillant sa lèvre lorsqu’il sentit sa main buter contre l’élastique de son maillot de bain, ayant à peine le temps de réagir qu’Aelya lui échappa, feignant l’envie de se refroidir. « Tu crois vraiment que j’vais te laisser te refroidir alors que moi j’suis bouillant là…? » Lui adressa-t-il discrètement, se lançant à sa poursuite pour la rattraper, riant comme un gosse amoureux, Niels passant ses bras autour d’elle. « Tu me laisses pas comme ça madame Björk, t’as pas le droit ! » S’amusa-t-il, plongeant ses lèvres dans son cou.

Aelya, elle avait vu les roses de son coeur desséché fleurir au contact de sa chaleur, sécurisant son épanouissement dans le creux de ses bras où elle s'était vue revivre, sourire sous l'effet de sa douceur dont elle était tombée follement amoureuse. Il n'y avait rien qui pouvait surpasser tout ce qui battait dans son palpitant, celui-là même qui s'envolait dès que son regard se posait sur son être. Elle n'avait jamais été capable de cacher ses sentiments qui se lisaient dans la moindre parcelle de son visage animé par son amour. Il disposait du secret de son bonheur, et s'il disparaissait, c'était son monde entier qui sombrerait dans la noirceur.

-Y'a rien qui était plus intense que le sport de chambre avec toi, s'amusa-t-elle, ne pouvant absolument pas contredire le fait qu'elle avait eu d'autres partenaires, bien que rien n'était comparable à côté de lui, de cette fougue qui lui était destinée. T'es parfait comme t'es et je passerai ma vie à te le dire bébé, pour que t'en doutes jamais, sourit-elle tendrement, éperdument amoureuse de sa personnalité révoltée qui répondaient harmonieusement à la sienne, sa bouche s'amusant à le mordiller, à attraper sa peau comme elle le faisait quand elle l'attirait dans ses filets, réveillant un désir qui n'était jamais éteint, qui menaçait toujours de se développer. C'est jamais assez pour moi. Mais bon, j'ai pas envie d'aller en taule parce que j'sais pas me contrôler avec toi, pouffa-t-elle, consciente que son envie outrepassait n'importe quelle règle, parce que son besoin de sa peau passait avant tout. De toute façon bébé, j'te ramenerai toujours à moi... Je pourrais jamais m'en empêcher, avoua-t-elle, comprenant qu'elle userait d'égoïsme si son bonheur se trouvait entre d'autres mains, parce qu'elle serait incapable d'accepter cette vision qui la déchirerait. Si tu savais à quel point je pourrais juste tout te donner à toi... Je continuerai de le faire mon amour. Parce que c'est naturel pour moi de t'aimer comme ça, d'être dans l'excès, ajouta-t-elle amoureusement, égayée par ses mots d'amour qui faisaient toujours gonfler son coeur d'amour, son esprit se revigorant au contact du doux souvenir qu'était la demande en mariage de Niels, sa peau frissonnant lorsque ses mains remontèrent son bas. En même temps, tu m'as pas laissé le choix donc ouais, facile de dire ça, s'amusa-t-elle, feignant l'agacement alors qu'elle adorait qu'il ne lie son bazar au sien, remplissant son univers de son aura qui ne se lasserait jamais de son mari. C'est pour ça qu'on se complète si bien bébé... T'es ma moitié. J'ai besoin de toi aussi pour aller bien, pour me tirer vers le haut, sourit-elle tendrement, consciente qu'ils étaient tous les deux assez facilement attirer vers les ténèbres lorsque leurs regards se teintaient par les ombres qu'ils n'étaient pas aptes à repousser sans leurs présences mutuelles.

Elle voulait se complaire dans le positif, profiter de lui comme si demain tout volerait en éclat, juste pour n'avoir aucun regret. Ses hanches dansaient doucement contre lui, un sourire se déployant sur son visage alors qu'elle s'amusait avec son désir.

- J'ai eu le meilleur professeur en diablerie, rit-elle malicieusement, damnée à le faire craquer pour elle, pour son corps qui brûlait dans un incendie éternel de désir, tous deux se retrouvant en face de l'eau qui les appelait. Pas faux, te torturer c'est ma première passion, sourit-elle, joueuse, accueillant son amour contre elle au milieu de l'eau fraîche, son regard le détaillant avec admiration avant de répondre à ses lèvres dans un baiser tendre qui se réchauffait doucement par son envie à mesure que sa main chutait lentement le long de son torse, butant contre son maillot. C'est pas mon problème bébé j'dois aussi gérer le mien là, joua-t-elle en faisant référence à son désir, s'échappant de son emprise avec amusement avant que son amour ne vienne la rattraper dans l'eau. Mais bébé ! T'abuses ! J'essayais de nous aider là, rit-elle lorsqu'il passa ses bras autour d'elle, ne résistant pas à ses lèvres dans son cou qui la foudroyaient de frissons. Tu veux vraiment jouer à ça ? T'es sûr ? Lança-t-elle dans un air faussement menaçant, sa main se réfugiant dans sa nuque pour l'amener à tendre son cou vers ses lèvres, Aelya le mordillant de plus belle, laissant sa main ripper sous l'eau tout contre son bas ventre dissimulé sous son maillot qu'elle caressa. T'es autant un allumeur que moi monsieur Björk, s'amusa-t-elle à son oreille qu'elle mordilla.