you're the best i ever had. -hot- (niels)

Le mariage n’avait jamais été une option sur laquelle il avait parié avant qu’Aelya ne vienne chambouler son quotidien, lui donnant une autre vision de la vie et des projets qu’il souhaitait mener. C’était grâce à son amour qu’il avait évolué, lui qui aspirait à devenir meilleur chaque jour, au moins pour elle, parce-qu’elle méritait la meilleure version de lui. Ses lèvres s’amusaient encore à effleurer son cou alors qu’ils étaient réfugiés sur la banquette arrière du taxi qui les emmenait jusqu’à leur hôtel. « C’est le plus beau cadeau que tu m’aies fait bébé… » Avoua-t-il, lui qui n’aurait pas pu rêver d’une meilleure compagne de vie, elle qui représentait sa plus belle fierté, sa plus grande réussite, Niels comprenant qu’il ne serait pas grand chose sans son âme soeur. Leurs lèvres s’étaient retrouvées le temps de quelques baisers amoureux, leur laissant le temps de se déshabiller pour se rendre sous la douche. « Un peu de bordel ? » Rit-il, lui qui se désignait toujours comme une tornade qui était capable de tout ravager sur son passage. Avec elle, il avait appris à se canaliser, bien qu’ils étaient toujours la meilleure équipe qui soit pour s’entraîner dans leurs déboires. « Reste-le bébé, j’aime bien quand tu montres à tous ces gens que j’suis ta propriété privée. » Ajouta-t-il avec malice, la suivant dans la chambre pour qu’ils puissent choisir leurs tenues pour la soirée qui s’annonçait. « Ça je le sais, t’en fais bon usage dans mon dos aussi amour. » La taquina-t-il, faisant référence aux marques qu’elle lui laissait lors de leurs moments intimes. Ses yeux ne la quittèrent pas une seule seconde lorsqu’elle enfila sa robe, émerveillé par cette femme aux courbes sensuelles qui le faisait fléchir depuis presque trois ans. « Ton amour que t’aimes d’amour ? » Demanda-t-il avec un air presque innocent, l’aidant à finir de fermer sa robe jusqu’en haut, hochant la tête à ses mots. « Entre autres, oui. » Répondit-il avec un clin d’oeil joueur, profitant d’un baiser rapide avant qu’Aelya ne vienne s’intéresser au contenu de sa valise. « Pour ça, faut que tu m’habilles d’abord bébé… Et après ouais, on fera tout ce qu’on veut. » Murmura-t-il avec un air coquin, Niels pouffant de rire à ses mots avant de la laisser s’éloigner pour finir sa préparation, en faisant de même devant le miroir. « J’serais collé à toi à longueur de temps si on avait le choix bébé. » Souffla-t-il au creux de son oreille après s’être faufilé dans son dos, ses mains glissant avec sensualité sur ses courbes, ne manquant pas de croiser son doux regard dans le miroir, son sourire répondant au sien. « On partage le même. » Dit-il amoureusement, respirant son parfum à plein poumons alors qu’elle avait tendu son visage vers le sien, ses lèvres effleurant sa joue. « Justement, c’est fait pour que tu succombes mon ange. » Ajouta-t-il malicieusement, ses mains se posant de part et d’autre de son corps, s’appuyant sur le lavabo, son souffle se faisant plus profond alors qu’Aelya continuait de s’approcher de lui pour effleurer ses lèvres. « Mange-moi mon amour… » Murmura-t-il, entrouvrant la bouche pour lui permettre de mordiller ses lèvres, son coeur tapant dans sa poitrine, une de ses mains glissant avec envie sur sa chute de reins. « Ouais bébé, vaut mieux parce-que tu m’enflammes là. » Il l’embrassa vivement une dernière fois, récupérant leurs affaires pour quitter l’hôtel et rejoindre la rue. « On va se faire plaisir bébé, j’veux pas qu’on se prive ce soir. »

- C'est pas Hank le plus cadeau que je t'ai fait ? Sourit-elle, replongeant dans les méandres de ces deux souvenirs aussi prenant l'un que l'autre, Aelya qui avait dans tous les cas vu le bonheur briller dans ses yeux, son rôle ne s'apparentant qu'à distiller des perles dans la profondeur de son magnifique regard. Ouais, beaucoup de bordel même, mais tu sais que j'adore ça vivre dans ton bazar, s'amusa-t-elle sous l'eau qui perlait sur leurs peaux, Aelya qui n'en finissait pas de le dévorer du regard, lui le plus beau fléau de sa destinée qui s'était l'air de rien, réfugié dans ses nuits pour les emplir de vie. Elle est plus que privée ma propriété. J'aurais pu dresser Hank juste pour qu'il saute à la gorge de tous ceux qui te regardent un peu trop longtemps. Genre plus de trois secondes, exagéra-t-elle, désirant lui faire comprendre que sa jalousie n'avait aucune limite tant qu'elle l'aimerait de cette manière, dans la déraison, Aelya qui lui présenta sa tenue juste pour le charmer un peu plus, savourant cette aura de désir qui s'éprenait d'eux. Ton dos m'adore je crois, pouffa-t-elle, songeant à toutes ses marques qu'elle lui avait déjà laissé dans son dos sous le coup de la passion, enfilant sa robe sous son regard. Mon amour que j'aime d'amour à la folie, renchérit-elle sur le même ton, son sourire se dévoilant dans la tendresse de leur moment, Aelya sentant ses doigts effleurer sa peau en remontant la fermeture de sa robe. T'as pas besoin de vêtements très sophistiqués pour être magnifique toi t'facon, admit-elle en regardant le contenu de sa valise, choisissant ses vêtements en fonction de leur soirée avant de le laisser s'habiller pour rejoindre la salle de bain. On a le choix là bébé alors... Faut qu'on en profite, souffla-t-elle en le regardant à travers le miroir, sa peau frissonnant à son souffle qui se déposait dans son cou, à ses mains qui parcouraient ses courbes, Aelya caressant doucement ses bras qui l'enlaçaient. J'ai déjà succombé à mon homme y'a trois ans de ça... Et je finis pas de lui succomber, avoua-t-elle doucement, son visage effleurant le sien alors qu'elle le respirait dans toute sa splendeur, avant qu'elle ne se retourne pour se perdre dans son étau qui l'entourait, ses lèvres cherchant les siennes alors que la tension de leur intimité avait augmenté d'un cran. J'en rêve... Murmura-t-elle, laissant ses lèvres tracer un chemin jusqu'à son cou qu'elle mordilla pour revenir contre sa bouche qu'elle tenta avec ses dents, son souffle s'échouant avec envie sur sa peau alors qu'il pressa sa chute de reins. J'aurais pu t'arracher tes vêtements là, je t'aurais même décoiffer là tellement que j'ai envie de toi, et tous nos efforts auraient servis à rien... Joua-t-elle, sa cuisse s'ouvrant pour caresser la sienne, ses lèvres venant attraper celle de son amour avant de sortir de l'hôtel. Moi non plus. On va bien se retourner la tête bébé, sourit-elle, confiante, sa main dans la sienne alors qu'ils marchaient dans les rues bondés de monde, Aelya s'arrêtant devant une boîte de nuit. On y va bébé ? Proposa-t-elle. Que j'te prenne pas à mater les meufs à poil ! Lâcha-t-elle, jalouse, en voyant des femmes à moitié nue traîner dans les rues.

« Hank c’est notre bébé, évidemment que c’est mon plus beau cadeau. Il est même plus que ça amour. » Sourit-il à son tour, songeant à cette matinée où il avait fait la rencontre de son meilleur acolyte, se souvenant de sa bouille qui avait toujours réussi à les faire craquer, lui qui avait bien grandi depuis le temps bien qu’il gardait son caractère de feu. « Heureusement pour moi, j’crois que tu serais partie depuis longtemps sinon. » Pouffa-t-il, appréciant chacune des secondes qu’ils passaient ensemble, eux qui prenaient le temps de souffler maintenant qu’ils le pouvaient, ne craignant plus les représailles puisqu’ils étaient à l’autre bout du monde, isolés des problèmes qui étouffaient leur quotidien. « Ça aurait pu être une option ouais, si on avait pas un nounours comme chien. » S’amusa-t-il, aimant se sentir si protégé par l’amour de sa vie, lui qui agissait pareil lorsqu’il était question de jalousie, parce-qu’il ne supportait pas de voir des regards trop insistants traîner sur Aelya. Charmé par sa tenue, il n’avait pas pu la lâcher des yeux une seule seconde, trop hypnotisé par sa beauté, par ses courbes qu’il pourrait reconnaître entre mille. « C’est moi t’aime le plus. » Joua-t-il, sentant la tension monter doucement mais sûrement entre eux, Aelya et Niels qui adoraient se chercher dans des jeux de regard, dans des mots toujours plus équivoques, se faisant savoir combien ils se désiraient. « Ça va alors si tu l’aimes d’amour à la folie. » Dit-il en reprenant ses mots avec un doux sourire, attendri par la tonne d’affection qu’ils s’offraient à chaque instant, ne manquant jamais une occasion pour se prouver leur amour sans failles. « C’que je préfère c’est être tout nu dans le lit contre toi de toute façon. » Rétorqua-t-il à ses mots flatteurs, aimant entendre de ses lèvres qu’il était l’homme de ses rêves, celui qui la faisait chavirer depuis toujours. Après avoir fini sa préparation de son côté, il s’était empressé de rejoindre son amour dans la salle de bain pour passer du temps avec elle, lui qui ressentait toujours le manque lui tirailler les entrailles. « C’est vrai bébé… J’vais en profiter. » Murmura-t-il, ses lèvres embrassant son cou alors qu’il l’avait enlacé de dos, aimant sentir leurs corps se rapprocher et se réchauffer l’un contre l’autre. « Continue alors… Et t’arrêtes jamais. » Murmura-t-il amoureusement, caressant son visage tendrement avant qu’elle ne se retourne, leurs lèvres se taquinant lentement, la température environnante devenant soudainement plus importante. A son tour il attrapa ses lèvres avec ses dents, désirant lui montrer à quel point il aurait eu envie de la déshabiller et de lui faire l’amour, ses muscles se contractant alors qu’elle continuait de jouer avec la peau de son cou, sa main chutant sur ses courbes délicieuses. « Je t’aurais fait l’amour ici bébé, sur ce lavabo… Mais ouais, t’as raison, on risque de se saccager nous connaissant. » S’amusa-t-il, conscients qu’ils ne faisaient jamais dans la dentelle lorsqu’il s’agissait de s’abandonner l’un à l’autre, Niels répondant amoureusement à son baiser avant qu’ils ne sortent de l’hôtel, se faisant la réflexion qu’ils allaient passer une bonne soirée. Main dans la main, ils appréhendèrent les rues de la ville, abasourdis par la foule, par les lumières, par toute cette vie qui rendait l’ambiance si spéciale. « Carrément qu’on y va bébé. » Dit-il enjoué, avant de rire aux menaces de son amour. « Quelles meufs ? » Lâcha-t-il, cherchant à lui montrer qu’aucune autre femme ne l’intéressait ce soir, que la seule femme qui comptait était déjà devant ses yeux. « Allez viens mon amour, on va boire un verre. » Dit-il, sa main se réfugiant sur sa hanche pour la laisser avancer jusqu’au comptoir, lui qui ne la lâcherait pas une seule seconde. « Je sais que t’aimes bien commencer par des shots bébé, on prend ça ? » Demanda-t-il avec un sourire, attendant son approbation pour passer commande.

Elle sourit à sa remarque, attendrie par les mots qu'il donnait pour parler de leur chien, cette boule de poil qui avait finalement réussi à bouleverser leur vie pour le meilleur, Aelya ne s'imaginant même plus vivre sans Hank.

- Ouais y'a moyen, ouais, parce que parfois ton bazar est clairement pas un cadeau, s'amusa-t-elle, taquine, désirant profiter de son amour sans limite, surtout maintenant qu'ils étaient loin de leurs problèmes, et donc beaucoup plus proches de leur essentiel qui se trouvait dans leur amour. Faut pas trop le sous-estimer quand même bébé, tu te rappelles de ce qu'il a fait des vêtements de ton ex ? Lâcha-t-elle, faisant mine d'insister sur ce terme pour parler de Sienna, sa nemesis, la personne qu'elle détestait le plus bien qu'Aelya détestait beaucoup trop de monde, la haine étant toujours plus simple à atteindre que l'amour. Tu m'aimes pas plus que je t'aime, commence pas bébé, roula-t-elle des yeux, incapable de résister à son charme qui attisait la flamme éternelle de son cœur, celui battant à tout rompre alors que son regard se déposait sur son physique attrayant. Personne peut l'aimer autant. Ça peut pas exister, renchérit-elle, persuadée que son amour était même incompréhensible tant il était intense. C'est la meilleure des sensations, j'aime beaucoup trop que tu me donnes chaud comme ça, sourit-elle malicieusement, son regard valsant entre ses lèvres et son regard avant qu'ils ne se quittent pour se préparer chacun de leur côté, son sourire se réanimant lorsqu'il revint dans son champ de vision. Profite de moi bébé... Surtout de mon corps... Le tenta-t-elle chaudement, frémissant à ses baisers dans son cou, ses hanches bougeant doucement contre son bassin.

Elle perdit patience sous l'effet de la tension chaleureuse de leur désir, celui qu'Aelya vint agrémenter contre ses lèvres en les taquinant, soufflant de manière saccadée en sentant la délicieuse vengeance de son amour. Elle fit sombrer sa bouche dans son cou, le gardant sous son emprise pour que leurs corps ne s'éffleurent encore et encore.

- Bébé... J'aurais trop eu envie que tu me fasses l'amour sauvagement sur ce lavabo... Murmura-t-elle fiévreusement, enroulant sa jambe autour de la sienne alors qu'il caressa sa chute de reins, Aelya se faisant violence pour sortir de l'hôtel avec son amour irrésistible dont elle tenait la main, perçant la foule sous les buildings illuminés. Bonne réponse. Très bonne réponse. T'as de la chance, s'amusa-t-elle alors que la tentation était partout, Aelya suivant Niels à l'intérieur de la boîte de nuit à sa remarque, restant proche de son contact qu'elle ne pouvait pas lâcher alors qu'ils arrivèrent jusqu'au comptoir. J'te suis bébé d'amour qui me connaît trop bien, admit-elle en souriant, le laissant passer commande, le serveur leur donnant une rangée de shots quelques minutes plus tard. Comme d'hab bébé, on fait moitié-moitié ? Proposa-t-elle, la mine éclairée par le jeu.

« Arrête, j’suis sûr qu’ils te manqueraient mes skates qui trainent partout… » La taquina-t-il à son tour, s’amusant de sa propension à semer le bazar, bien qu’il avait fait des efforts depuis qu’Aelya était entrée dans sa vie. Leur conversation sur Hank l’amusa, entendant parfaitement le mot sur lequel Aelya avait insisté pour désigner Sienna, lui qui savait combien la rancoeur était encore présente après tout ce qu’elle leur avait fait subir. « Ouais je m’en rappelle, j’pense qu’elle aussi. » Ajouta-t-il, se souvenant parfaitement des lambeaux de tissus qui s’étaient éparpillés dans l’appartement, Niels qui avait dû feindre l’agacement devant son ex petite-amie. « Toi commence pas. T’es perdante à ce jeu-là mon amour. Le monde entier sait que je t’aime le plus. » La chercha-t-il, son regard complice ne la quittant pas alors qu’il continuait de l’admirer, de la contempler comme la plus belle des oeuvres d’art. « Tant mieux. J’veux que tu sois la seule à m’aimer comme ça bébé. » Ajouta-t-il, les yeux brillant d’amour, de toute cette dévotion qui caractérisait leur relation. Un sourire satisfait étira ses lèvres alors qu’ils continuaient de se chercher, de se tourner autour comme à leur habitude, jouant avec les mots et leurs sens pour se faire comprendre que le désir était toujours plus que présent. « Toi aussi tu me donnes chaud… Même là… » Murmura-t-il, effleurant ses lèvres avec malice, avant qu’ils ne se quittent quelques minutes, le temps que Niels ne finisse sa préparation pour la rejoindre dans la salle de bain, collant son torse à son dos. « Compte sur moi, j’vais bien en profiter ce soir… » La chercha-t-il, son regard quittant une seconde le sien pour observer ses hanches qui ondulaient légèrement contre son bassin, Niels se mordant la lèvre en imaginant la chaleur de leurs ébats. Ils se retrouvèrent face à face, perdant peu à peu le contrôle de la situation, eux dont les lèvres se cherchaient de plus en plus, leurs souffles saccadés laissant entendre les échos de leur désir. « Moi aussi… J’me serais pas arrêté bébé… Je t’aurais fait l’amour comme un fou jusqu’à ce que t’en puisses plus… » Murmura-t-il à son oreille, sa main glissant de sa chute de reins jusqu’à la fente de sa robe pour caresser sa cuisse, celle qu’elle avait ramené contre la sienne. Ils se raisonnèrent finalement, sortant à l’extérieur de l’hôtel pour rejoindre la rue, leurs mains liées l’une à l’autre alors qu’ils foulaient cette ville encore inconnue pour eux. « De la chance ? Ça veut dire quoi, que tu m’aurais puni si j’avais dit autre chose ? » S’amusa-t-il, rentrant ensemble dans la boîte de nuit, Niels veillant à ne pas lâcher l’amour de sa vie. « Après trois ans, c’est mieux bébé que j’te connaisse bien. » Rit-il, déposant un baiser sur sa tempe alors qu’ils attendaient leurs shots, la planche arrivant quelques instants plus tard. « Oui bébé, tiens. » Dit-il en lui tendant son premier verre, prenant le sien pour trinquer avec elle. « A ce séjour mon amour. Et à nous. » Ajouta-t-il, claquant son shot contre le sien avant de l’avaler d’une traite, grimaçant légèrement en sentant l’alcool réchauffer son oesophage. « Ah ouais d’accord, il veut nous coucher le barman en fait. » S’amusa-t-il, finissant les verres un à un avec Aelya, son regard brillant captant le sien. « T’es vraiment la plus belle… Y’a personne qui t’arrive à la hauteur là. » La complimenta-t-il, sa main se nichant dans le creux de son dos pour la rapprocher de lui. « Bébé… fais comprendre aux autres que t’es qu’à moi… »

- Tes skates qui me menacent de me tuer à chaque fois que je trébuche dessus ? Ils sont pas très conviviaux j'trouve, lâcha-t-elle, un léger sourire amusée sur ses lèvres alors qu'elle s'éprenait de leur complicité, son coeur allégeant son poids à mesure que leurs corps s'exportaient loin de Bowen, leurs sourires se répondant alors qu'ils parlaient de leur chien. J'espère qu'elle a bien subit, renchérit-elle, ayant besoin de savoir que Sienna avait même souffert au moins autant qu'elle qui s'était confinée dans la douleur de sa perte qu'elle n'avait que vu s'agrandir sous l'emprise d'Evan. N'importe quoi... C'est ta vérité, ouais, mais pas la mienne, donc je te donnerai pas raison, ajouta-t-elle, faisant mine de croiser les bras pour ne pas lui offrir son acceptation, Aelya qui l'aimait à en perdre la raison, Niels qui gardait sa vie entière entre le creux de ses mains, son âme entière s'abandonnant à son amour. J'le ferai toute ma vie, même quand j'aurais quatre-vingt-cinq ans, s'amusa-t-elle, persuadée que son affection n'aurait jamais aucune limite tant que son coeur battrait, sans aucune fausses notes depuis qu'il cognait pour lui dans une délicatesse qu'elle n'avait jamais connu auparavant. J'ai hâte de te faire subir encore plus de chaleur bébé... J'veux me réchauffer contre ton corps, joua-t-elle, s'imprégnant de cette tension chargée de désir entre eux, son regard ayant du mal à détourner son attention de sa gourmandise favorite, Niels qu'elle se voyait grignoter de ses lèvres fiévreusement attirées par sa peau. Tu me feras faire une nuit blanche ? Le tenta-t-elle alors qu'il était venu dans son dos, sa chute de reins s'amusant à taquiner discrètement son bassin alors que ses courbes s'offraient à lui, à ses lèvres qui mangeaient amoureusement son cou, avant qu'Aelya ne vienne plonger dans son regard noir d'envie, son souffle s'échouant sur ses lèvres dans l'intimité de leur attraction qui les liait comme des aimants. Bébé... Murmura-t-elle, dans un soupir envieux. J'ai déjà mon coeur qui s'emballe là... Le chercha-t-elle fiévreusement, prenant sa main pour qu'il vienne presser son sein, là où son coeur ébruitait son urgence. Tu me feras crier bien comme il faut ce soir, amour... ? Demanda-t-elle, le regard sensuel valsant entre ses lèvres et ses yeux alors qu'il caressait sa jambe nouée autour de la sienne, visant à le retenir dans ses filets.

Ils décidèrent de rester sages, rejoignant la rue illuminée et animée de vie, tous deux ne se lâchant pas alors que leurs mains restaient liées.

- Je t'aurais bien puni ouais. Je t'aurais attaché au lit ce soir, répondit-elle malicieusement, gardant cet air léger malgré la jalousie qui résidait toujours au bord de ses nerfs. J'espère que j'ai encore des choses à t'apprendre, histoire que tu te lasses pas, admit-elle, entrant dans la boite de nuit pour suivre Niels dans sa commande de shots qui arriva en quelques minutes, son sourire se dessinant dans une excitation qu'elle peinait à contenir, Aelya récupérant le shot pour trinquer avec son amour. A nous mon bébé. Je nous aime, ajouta-t-elle en claquant son verre contre le sien, buvant cul sec le contenu avant de grimacer sous l'aigreur de la liqueur. On va pas se plaindre, c'est arrangeant même, pouffa-t-elle, continuant d'absorber sa partie en même temps que Niels, l'estomac réchauffé par l'acidité de l'alcool. Mon amour... J'regarde que toi... J'les vois même pas les autres, lança-t-elle, son regard détaillant avec amour son beau visage, son corps s'avançant légèrement lorsque sa main l'entraina vers lui. Tout de suite... Lâcha-t-elle avant d'attraper ses lèvres avec passion, ses bras se nouant autour de sa nuque, sa langue venant caresser la sienne au milieu du souffle qu'elle perdait, elle qui perdait la tête tant elle l'aimait. Ca te plait comme ça bébé...? Demanda-t-elle, la respiration saccadée. T'es qu'à moi... Souffla-t-elle, sa main caressant son torse, ses doigts se réfugiant entre les boutons de sa chemise pour caresser sa peau. Danse contre moi mon coeur... Proposa-t-elle, sa main cherchant la sienne.

« T’exagères bébé. En plus, je les range maintenant, j’ai fait des efforts. » Ajouta-t-il pour plaider sa cause, amusé par ses mots qui caractérisaient ses habitudes et sa vision particulière du rangement. La conversation dévia sur Hank, puis sur Sienna, eux qui se rappelaient avec amertume l’enfer qu’ils avaient traversé l’un sans l’autre, cette séparation qui les avait atteint en profondeur avant qu’ils ne finissent heureusement par se retrouver. « Bébé… Tu te fais du mal là… » S’amusa-t-il pour la taquiner, sa main se posant sur ses bras alors qu’elle faisait mine de croiser les bras, ses lèvres venant effleurer son cou. Il esquissa un doux sourire à ses mots, se plaisant à penser que leur relation n’aurait jamais de fin, que les années qui les attendaient étaient belles et heureuses. « J’ai hâte aussi mon coeur… J’ai plein d’idées en tête là quand j’te regarde. » La tenta-t-il, sentant le désir gonfler un peu plus alors que son regard s’attardait sur elle, sur son corps qui le faisait constamment chavirer. Il n’avait d’ailleurs pas tardé à la rejoindre dans la salle de bain, son manque le guidant vers elle, Niels se rapprochant doucement pour venir coller son torse à son dos. « Faut au moins ça pour calmer la bête… » Joua-t-il, ses mains glissant sensuellement le long de ses hanches qui ondulaient légèrement contre son bassin, ses lèvres grignotant son cou avant qu’elle ne se retourne vers lui, la température grimpant en flèche dans la pièce. « T’es excitée mon bébé…? » Demanda-t-il avec un air malicieux après avoir entendu son soupir, sa main dérapant sur son sein lorsque sa main s’empara de la sienne, son autre paume caressa sa cuisse au niveau de la fente de sa robe. « T’es trop sexy quand t’es comme ça… » Murmura-t-il, lui qui adorait voir ses pupilles se dilater, un seul regard suffisant à lui faire comprendre ce qu’elle désirait. « Ouais bébé, on va faire chier les autres chambres. Ça faisait longtemps… » S’amusa-t-il, s’écartant finalement de son amour pour qu’ils puissent se rendre à l’extérieur, vagabondant dans les rues éclairées de Las Vegas. « Ça peut être bien si c’est avec toi bébé. » Dit-il avec cet air joueur, Aelya qui savait combien l’idée de rester attaché au lit avec elle ne lui déplaisait pas. « J’me lasserai jamais de toi bébé. T’es trop surprenante. » La flatta-t-il, n’ayant aucun doute sur le fait qu’il ne ressentirait jamais aucune lassitude avec l’amour de sa vie, lui qui aimait connaître chaque facette de sa personnalité, chacune de ses préférences, parce-qu’il savait qu’elle ne s’ouvrait pas si facilement aux autres. Ils prirent la direction de la boîte de nuit, commandant de quoi commencer la soirée, leur planche de shots arrivant jusqu’à eux quelques instants plus tard. « C’est toi que j’aime. » Murmura-t-il avant d’avaler son premier verre, hochant la tête avec un sourire aux mots d’Aelya, continuant de boire avec son amour avant de se rapprocher d’elle. « Prouve-le moi bébé… » Demanda-t-il, sa main s’occupant de la rapprocher de lui, Niels qui adorait sentir la chaleur émaner de son corps. Il se laissa embrasser par sa fiancée, son deuxième bras ne nouant autour de ses hanches, leurs langues valsant fiévreusement dans un rythme amoureux. « Beaucoup trop… J’ai encore envie de tes lèvres… » Murmura-t-il, lui qui en oubliait le monde entier, son corps déjà réchauffé par l’alcool qu’ils avaient ingéré. Il frissonna au contact de ses doigts sur sa peau, esquissant un sourire à sa demande alors qu’il l’amena au milieu de la foule, sans quitter sa main, ses paumes trouvant refuge sur ses hanches alors qu’ils bougeaient dans le même rythme. « J’arrive pas à croire qu’on soit ici, rien que tous les deux bébé. » Dit-il à son oreille, son coeur gorgé de bonheur alors qu’il ressentait enfin cette impression de liberté, eux qui n’avaient ressenti que la peur depuis les dernières semaines. « Eh bah… Elles ont pas froid elles. » Lâcha-t-il en voyant que des femmes à moitié vêtues s’étaient hissées sur le comptoir pour danser, Niels recentrant son regard sur la seule femme qui l’intéressait.

- C'est vrai, t'as rangé un tiers de tes skates déjà, je perds pas espoir de voir l'autre partie rangée un jour, pouffa-t-elle, taquine, Aelya aimant pourtant le bazar de son amour, parce qu'il le représentait lui, parce qu'il lui confirmait tous les jours qu'elle vivait avec lui, au milieu d'un rêve qu'elle craignait de voir un jour s'éteindre. C'est toi qui te fais du mal à te faire trop d'illusions, renchérit-elle de manière boudeuse, s'amusant avec son amour sur l'étendue de leurs sentiments qui s'appelaient depuis le début pour croître entre l'alliance de leurs âmes, Aelya souriant finalement en sentant la douceur de ses lèvres dans son cou. Reste inspiré bébé... Parce que je compte pas m'endormir sans que tu m'aies fait tourner la tête, admit-elle dans un regard fiévreux, elle qui sentait les vapeurs du désir s'immiscer dans les pans de son être, son esprit se voyant déjà tourmenté par toute l'effusion de leurs mots qui les rapprochaient. Tu pourras même me faire l'amour demain matin... Il me faut au moins ça pour bien commencer la journée bébé, ajouta-t-elle, un sourire enjôleur sur ses lèvres, son bassin tentant le sien dans de légères ondulations qui avaient pour but de réchauffer son envie qu'elle désirait voir s'étendre contre elle, son cou se tendant sous la brûlure de ses baisers avant qu'elle ne se perde dans la profondeur de ses prunelles. Un peu beaucoup là... J'ai beaucoup trop chaud à l'intérieur bébé... Admit-elle dans un souffle brûlant, guidant sa main sur sa poitrine, frissonnant en sentant son autre main caresser sa cuisse. J'suis frustrée bébé tellement que j'te veux, s'amusa-t-elle avant de rire à sa remarque qui fit suite. On saura tout de suite si les murs sont bien isolés. Ca nous a jamais empêché de rien de toute façon, sourit-elle malicieusement, admettant sans problème qu'ils pouvaient être égoïstes quand c'était pour mieux s'aimer, la brune s'entrainant dans les rues de la ville en compagnie de son partenaire favoris, secouant la tête de manière amusée à sa remarque. T'es exceptionnel toi bébé. T'adores te faire torturer par mes soins je pouvais pas rêver mieux, s'amusa-t-elle avant d'entrer dans la boîte de nuit avec son amour.

Main dans la main, ils se frayèrent un chemin au travers de la foule pour arriver jusqu'au bar, le regard illuminé d'Aelya valsant entre son fiancé et les shots d'alcool qui entrèrent dans leur champ de vision. Epris par le jeu, elle absorba rapidement la liqueur après avoir trinqué avec Niels, son coeur tambourinant d'amour pour lui. Elle s'approcha doucement de lui à sa demande, elle qui ne manquait jamais une occasion de lui montrer qu'elle était à lui, qu'elle l'aimait éperdument, ses lèvres venant attraper les siennes dans un baiser fiévreux au milieu duquel son corps caressait celui de son amour.

- Embrasse-moi encore mon amour... Souffla-t-elle contre ses lèvres, Aelya qui oubliait tout autour d'elle, qui ne vivait que dans les réalités où son ame-soeur errait, ses doigts caressant doucement son torse avant de suivre Niels dans la foule pour danser, son corps venant se coller au sien. C'est tout ce qu'on avait besoin bébé, renchérit-elle, savourant cette liberté qui coupait court à cette peur constante qu'ils avaient à Bowen, le regard d'Aelya suivant celui de Niels à sa remarque. Bébé ! Regarde pas ! Lâcha-t-elle, se jetant immédiatement contre ses lèvres pour l'embrasser encore et encore, sa bouche glissant dans son cou pour le mordiller. J'ai oublié de te marquer tout à l'heure, c'est très important dans ce genre d'endroits, admit-elle de manière joueuse, guidant dans le même temps ses mains sur sa chute de reins.

« T’as raison bébé, perds pas espoir. » Joua-t-il, amusé par leur conversation, lui qui n’avait jamais eu un sens de l’organisation très pointu, Aelya qui l’avait été à y voir plus clair dans le bazar de son quotidien. « Mon bébé boudeur qui sait que j’ai raison… » La taquina-t-il, fondant devant son air faussement irrité, Niels qui se surmènerait pour lui montrer à quel point elle comptait, à quel point il était fou d’elle et ce, depuis le soir de leur rencontre. « J’perds jamais l’inspiration avec toi. Dés que j’te vois, j’ai plein d’idées qui fusent bébé. » Murmura-t-il, son regard brûlant de désir ne la lâchant pas, priant déjà pour que les heures ne défilent rapidement afin qu’ils puissent se retrouver comme ils le désiraient. « Tous les matins et toutes les nuits bébé. Ça nous fera notre sport de la semaine. » S’amusa-t-il, faisant mine de leur trouver une excuse alors que le simple fait de l’aimer trop fort était suffisant pour eux. Il se sentit défaillir devant les légères ondulations de ses hanches qui s’agitaient sur son bassin, Niels tendant la nuque pour atteindre son cou qu’il grignota, la poussant à bout jusqu’à retrouver son regard de braise. « Si on avait pas prévu de sortir, je t’aurais encore plus réchauffé mon amour… » Souffla-t-il, sa paume pressant son sein avec envie, percevant les battements de son coeur qui s’emballait sûrement autant que le sien. « Mon amour… J’ai envie de toi là… » Lâcha-t-il dans un souffle brûlant, se mordant la lèvre alors qu’il s’agrippait à sa cuisse, riant avec son amour en évoquant leurs ébats. « Si la réception nous appelle, ouais, on saura que les murs sont en carton. » Ajouta-t-il avec un air amusé, eux qui ne se priveraient pas de s’abandonner l’un à l’autre pour autant. Ils foulèrent ensemble les rues de la ville, leurs regards complices témoignant du bonheur dans lequel ils nageaient. « Ouais, j’ai développé le syndrome de Stockholm avec toi. » Pouffa-t-il, la taquinant avant qu’ils n’entrent dans cette boîte de nuit déjà noire de monde, se rendant naturellement jusqu’au comptoir pour consommer leurs premiers verres. Se lançant des regards de défi, ils avalèrent la planche de shots en quelques minutes, Niels se réchauffant déjà sous les baisers que lui offrait l’amour de sa vie. « Si on commence comme ça, j’vais plus te lâcher bébé… » Murmura-t-il, s’avançant une nouvelle fois contre les lèvres chaudes de sa fiancée, s’en emparant fiévreusement alors qu’il en oubliait qu’ils étaient au milieu de la foule. Il se colla à Aelya pour danser contre son corps, tombant une nouvelle fois follement amoureux d’elle, de la manière dont elle le regardait, son corps ne cessant de frissonner à chaque fois qu’elle le caressait. « J’suis trop heureux avec toi… » Ajouta-t-il à son oreille, esquissant un tendre sourire avant que son regard ne soit attiré par des cris d’engouement derrière Aelya, Niels faisant remarquer la présence de femmes à son amour. « Mais j’regarde pas bé… » Ses lèvres furent emprisonnées avant même qu’il ne puisse finir sa phrase, Niels souriant d’amusement contre sa bouche, laissant son amour s’amuser dans son cou. « J’te reconnais bien là… » Rit-il, ses mains glissant amoureusement sur sa chute de reins, montrant à la foule qu’Aelya était entièrement sienne. « Bébé… J’suis bleu, ça y est ? » S’amusa-t-il, voyant que son amour se vengeait contre sa peau. « Tu m’attends, j’vais nous chercher un verre mon amour. »

Elle dit légèrement à sa remarque, Aelya qui avait accepté Niels dans son intégralité, avec ses défauts et ses qualités qui faisaient de lui l'homme exceptionnel qu'elle comptait épouser.

- Ton bébé bondeur qui confirme que t'as tort, protesta-t-elle, bien trop amoureuse et déterminée pour lui laisser une chance de s'imaginer qu'il avait raison alors qu'elle entendait toutes les secondes son cœur palpiter pour lui. Le genre d'idées où je termine essoufflée j'imagine... Tu sais que je t'attends avec hâte... Sourit-elle malicieusement, la peau déjà brûlante d'envie, le cœur à la ramasse juste à la simple vision de son corps qu'elle imaginait onduler avec passion contre le sien. C'est mon sport préféré, je suis accro bébé, admit-elle, joueuse, laissant son bassin lui donner un aperçu de tout ce qu'elle avait en tête, son dos se cambrant à la réception de ses baisers dans son cou, Aelya qui se retourna pour regarder son fiancé avec un désir plus que visible. Me dis pas ça... Expia-t-elle dans un souffle qui s'échoua sur ses lèvres, soupirant de plaisir sous l'effet de sa paume autour de son sein, activant son cœur de plus belle. J'ai envie de te dévorer partout avec mes lèvres mon cœur... J'ai envie de te voir m'en redemander encore... Susurra-t-elle, ettoufant un soupir à la pression de ses doigts sur sa cuisse. On s'en fou de pas se faire d'amis bébé, on est plus là la semaine prochaine au pire, s'amusa-t-elle, leur trouvant encore des excuses pour jouer sur leur égoïsme, leurs mains se joignant ensemble alors qu'ils marchaient dans Las Vegas. J'espère que ton tyran est au moins à ton goût, le chercha-t-elle, arrivant jusqu'à la boîte de nuit qu'ils percèrent jusqu'au comptoir, commandant une tournée de shots qu'ils partagèrent en deux avant qu'Aelya ne sombre contre ses lèvres qu'elle embrassa avec envie. Et alors...? C'est censé être un problème ça...? Sourit-elle en coin, laissant son amour venir trouver ses lèvres, les siennes s'ouvrant pour lui offrir des baisers amoureux, passionnés, Aelya ne s'arrêtant que pour le suivre au milieu de la piste où des courbes se mirent à bouger sensuellement sous l'emprise de ses mains. T'es le meilleur mon amour, ajouta-t-elle à son oreille, ses mains glissant sur son torse avant qu'elle ne vienne happer son attention lorsqu'elle comprit où celle de Niels pouvait aller. J'ai pas envie qu'elle te voit comme un homme libre... On sait jamais... Ajouta-t-elle, ses lèvres se réfugiant dans son cou pour le mordiller, Aelya qui ne savait pas être autre chose que jalouse. Mouais... Je recommencerai peut être tout à l'heure si j'estime que c'est toujours pas assez, avoua-t-elle, en regardant son œuvre. Fais vite, lâcha-t-elle, suivant sa silhouette arriver jusqu'au bar, Aelya dansant quelques temps de son côté avant de percuter une femme, la même qui dansait à moitié nue sur le bar. Pardon, admit Aelya, avant que la jeune femme ne s'excuse à son tour, faisant connaissance avec elle quelques minutes, la jeune femme venant lui confier un petit sachet contenant deux pilules d'ecstas.

Il l’aimait à n’en plus finir, lui qui adorait ressentir l’amour qu’il lui vouait couler dans ses veines, celui qui promettait de grandir encore et encore jusqu’à la fin de leur vie. « Tu vas pas lâcher l’affaire bébé, j’me trompe ? » Pouffa-t-il, amusé et attendri par son comportement, elle qui restait figée sur sa position, souhaitant lui montrer que son amour était tout aussi intense que celui qu’il ressentait à son égard. « Exactement… Dés qu’on rentre bébé, j’te saute dessus. » Souffla-t-il, son regard malicieux croisant le sien, eux qui avaient à l’esprit les mêmes images brûlantes de leurs deux corps nus et en sueur l’un contre l’autre. « Moi aussi j’suis accro, j’suis complètement accro à toi. » Ajouta-t-il, son regard attiré par ses courbes qui effleuraient son bassin, l’enflammant davantage alors qu’il rêvait de lui arracher sa robe pour lui faire sauvagement l’amour. « Je peux pas m’en empêcher bébé… J’peux pas te mentir… » Souffla-t-il contre ses lèvres, caressant sa poitrine sur laquelle sa main s’était retrouvée, amenée par celle d’Aelya. « Putain bébé… Tu m’excites là… J’suis à deux doigts de te séquestrer dans la chambre. » Ajouta-t-il, le regard noir de désir, un léger sourire étirant ses lèvres, sa main continuant de caresser sa cuisse. « J’veux pas d’amis, j’en ai pas besoin, je t’ai toi bébé. » Dit-il en lui adressant un clin d’oeil, Aelya qui était l’unique complice dont il avait besoin, son amour pour elle lui faisant oublier le monde entier. Ils marchèrent l’un contre l’autre dans les rues de Las Vegas, déjà émerveillés par ce qu’ils avaient sous les yeux, eux qui découvraient ensemble cette ville qui semblait tenir toutes ses promesses. « Ouais et c’est sûrement ça le problème tu sais. Mon tyran est beaucoup trop sexy, j’arrête pas de penser à elle. » Ajouta-t-il, amusé par leur conversation, leur marche les amenant jusqu’à une boîte de nuit dans laquelle ils s’immiscèrent, trouvant leur place près du comptoir pour commander leur première consommation. Attirés l’un à l’autre comme des aimants, leurs lèvres se retrouvèrent dans des baisers amoureux, leurs corps se rapprochant de plus en plus. « Non t’as raison… J’avais pas l’intention de te laisser tranquille une seule seconde t’façon. » Répondit-il malicieusement, Niels s’accaparant une nouvelle fois ses lèvres pour confirmer ses dires, ses mains glissant sur ses courbes qui n’appartenaient qu’à lui. « C’est toi bébé… » Murmura-t-il, fermant les yeux alors qu’il bougeait contre elle, ressentant le bien-être s’injecter dans ses veines alors qu’Aelya était venue l’embrasser, l’empêchant de détourner son attention d’elle. « J’suis loin d’être un homme libre bébé. Et même si elle croit ça, moi je l’envoie bouler amour. » La rassura-t-il, lui faisant savoir qu’il ne s’intéresserait à aucune qu’elle, parce-que toutes ses pensées étaient happées par elle, par la seule femme qui avait de l’importance à ses yeux. « C’que je l’aime ma sangsue personnelle. » S’amusa-t-il, la laissant s’accaparer son cou qu’elle grignota généreusement pour lui laisser des traces. Il s’éclipsa après lui avoir offert un baiser, commandant deux verres de gin au comptoir avant de revenir vers son amour qu’il aperçut en compagnie d’une femme. « Tiens bébé. » Dit-il en revenant vers Aelya pour lui tendre son verre et imposer son couple, lui qui n’oubliait pas que son amour pouvait attirer le regard des hommes comme des femmes. « J’suis Niels, son mec. » Dit-il pour se présenter, attendant que la jeune inconnue en fasse de même.

Jamais elle ne lâcherait l'affaire, même pour si peu, parce que ce serait comme abandonner les vapeurs de l'amour qui s'étaient accrochées à sa peau, à son âme, Aelya qui ne pouvait se délester de ses sentiments sans écorcher son identité.

- Jamais. Tu devrais le savoir depuis le temps, sourit-elle en coin, amusée par le jeu qui faisait écho à tout l'amour qui régnait entre eux, Aelya et Niels qui n'avaient jamais finis de se montrer à quel point ils s'aimaient. J'y compte bien, j'ai l'impression que ça fait une éternité que tu m'as pas fait l'amour, avança-t-elle, consciente que cela ne devait pourtant faire que quelques heures qu'il avait laissé sa peau rougie par son désir. C'est pas encore assez pour moi, t'es pas encore assez accro bébé, lança-t-elle malicieusement alors que son bassin taquinait sensuellement le sien, l'invitant à se réfugier dans ses songes brûlants. Tu me rends jamais la tâche facile toi quand t'es honnête justement... Mais tu me fais rêver quand tu me rends brûlante comme ça... Le regarda-t-elle fiévreusement alors qu'il caressait sa poitrine, sa jambe l'enfermant contre elle, contre son bassin. Tu sais que je me débattrais pas si tu me séquestres... Enfin juste pour te faire du bien mon amour... Que du bien... Susurra-t-elle, ses lèvres dansant tout près des siennes. T'es mon tout bébé. Tu remplis tous les rôles, renchérit-elle amoureusement, rompant cette délicieuse tension pour se blottir sous les lumières de la ville, l'ambiance des rues animant l'éclat dans ses yeux qui ne brillaient que pour son âme-soeur. C'est peut-être son but premier, de te hanter, joua-t-elle, lui tournant autour comme au premier soir, tous deux entrant dans un type de lieu qu'ils connaissaient bien, absorbant l'alcool rapidement pour s'en abreuver plus vite avant qu'ils ne sombrent l'un contre l'autre dans des baisers passionnés, langoureux, animés par cette attirance dont elle ne savait se défaire.

Elle sourit à sa remarque, son corps venant se coller au sien sous les vibrations de la musique qui résonnait entre sa cage thoracique, Aelya se laissant bercer par ses bras qui la maintenaient contre lui alors qu'ils dansaient, son regard ne voyant que lui malgré la foule qui les entourait. Elle attrapa ses lèvres encore une fois, préférant qu'il oublie le monde afin de se concentrer sur elle.

- C'est moi qui l'envoie bouler plutôt, et bien comme il faut, ajouta-t-elle, Aelya ayant de la jalousie à revendre pour Niels qu'elle protégeait envers et contre tout, ses lèvres glissant sur son cou pour l'aspirer amoureusement. Ta sangsue t'aimes beaucoup trop, s'amusa-t-elle avant de l'embrasser pour le laisser partir au bar, Aelya discutant avec la jeune femme qui dansait sur le comptoir, le regard s'animant lorsqu'elle glissa un petit sachet dans sa main. Merci mon coeur, sourit-elle lorsque Niels revint à elle, prenant le verre pour le porter à ses lèvres. Claire. Enchantée, répondit la jeune femme avec un sourire aux lèvres. Je vais vous laisser profiter tous les deux. Vous avez surement des choses à faire... Ajouta-t-elle en envoyant un clin d'oeil à Aelya, la brune se retournant pour lui faire un signe de la main. Elle est grave cool bébé. Elle m'a donné un petit cadeau, admit-elle, enjouée.

Il savait que son amour était toute aussi têtue que lui, elle qui ne céderait jamais à ses taquineries parce-qu’ils souhaitaient tous les deux se prouver que leur amour était éternel et bien trop intense pour être compris. « J’le sais bébé, j’aime trop ça d’ailleurs. » Dit-il avec un air joueur, lui qui adorait savoir qu’elle était aussi impliquée que lui dans cette relation pour laquelle ils se damneraient. « Moi aussi… J’suis en feu bébé, j’suis en manque de toi. » Murmura-t-il, lui qui avait la peau qui brûlait rien qu’à l’idée de s’imaginer contre son amour, en sueur, le bassin entre ses cuisses. « Bébé… On peut pas faire plus. » Lâcha-t-il fiévreusement contre son oreille, sa main contre sa hanche, regardant son bassin taquiner le sien, lui qui était déjà excité à l’idée de la retrouver plus intimement lorsqu’ils rentreraient. « C’est toi bébé, t’es mon rêve tout entier… » Souffla-t-il, effleurant ses lèvres qui mourraient d’envie d’emprisonner les siennes et de ne jamais les quitter. « Bientôt j’serai ton mari, j’gagnerai encore un rôle mon ange. » Ajouta-t-il avec un regard tendre, profitant d’un dernier baiser avec elle avant qu’ils ne quittent leur chambre d’hôtel, découvrant avec émerveillement les lumières qui scintillaient dans la ville, et cette ambiance si particulière dont ils étaient déjà fans. « Elle est très très très forte dans ce cas. J’suis à ses pieds. » S’amusa-t-il, Aelya qui représentait son tout, sa raison de vivre, elle qui occupait toutes ses pensées à chaque seconde depuis le jour de leur rencontre, cette soirée où il avait compris qu’il serait à tout jamais hanté par ce regard profond. Leur complicité ne les quittait pas alors qu’ils entamaient la soirée, buvant leurs shots respectifs pour se mettre dans l’ambiance, pour se réchauffer, eux qui le firent en se rapprochant l’un de l’autre, s’embrassant comme s’il s’agissait de leur dernier baiser. Sa main l’entraîna au milieu de la foule, là où il ne prit que quelques secondes avant de se coller contre son corps, se laissant porter par le rythme des basses alors que son regard ne lâchait pas celui de l’amour de sa vie. Leurs lèvres se retrouvèrent une nouvelle fois, Niels fondant devant la jalousie d’Aelya qui faisait écho à son attachement sans limite, la laissant grignoter son cou pour le marquer. « C’est jamais beau à voir quand la lionne se réveille. » S’amusa-t-il, lui qui savait qu’Aelya était prête à tout pour le protéger lui, pour les protéger eux, elle qui l’avait déjà prouvé à de nombreuses reprises. « Continue bébé, j’aime trop quand tu fais ça… » Murmura-t-il, ses mains recouvrant sa chute de reins pour l’enflammer davantage, avant qu’il ne décide d’aller leur chercher deux verres de gin au comptoir. Il revint aux côtés d’Aelya, surpris de la voir avec cette femme qu’ils avaient vu danser sur le comptoir quelques minutes plus tôt, Niels faisant glisser sa main autour de la taille de son amour pour montrer à l’inconnue qu’ils étaient ensemble. « Enchanté. » Répondit-il simplement, arquant un sourcil curieux aux mots qu’ajouta la jeune femme avant de les laisser tous les eux. « Elle te voulait quoi ? Elle t’a dragué ? » Lâcha-t-il, s’imaginant déjà le pire, Niels peinant à ne pas monter en pression, ne sachant pas quoi penser de l’engouement de sa fiancée. « Quel cadeau ? J’ai raté un truc là… » Ajouta-t-il, les sourcils froncés.

Elle avait finalement bien fait de s'écouter, de noyer tous les doutes qui avaient tenté de l'étouffer, de contraindre son seul espoir à s'effacer alors que la main tendue de Niels avait été la seule chose qui l'avait secouru durant ces dernières années. Elle sourit, s'efforçant de garder son calme malgré l'incendie qui dévalait les pentes de sa patience, mise à mal par la seule présence de son amour qu'elle désirait à en crever.

- Même quand on fait l'amour tu me manques encore bébé... Y'a pas de remède, admit-elle, Aelya qui même en se remplissant de son âme peinait à s'éloigner de ce manque de lui qui la dévorait constamment. J'en veux toujours plus de toi... J'en peux plus, tu me rends dingue là... Souffla-t-elle, ses lèvres jouant avec les siennes en même temps que son bassin, Aelya qui aurait surement aimé ouvrir l'autre cuisse, le laisser entrer dans le creux de son désir brûlant. Je t'aime tellement mon amour... Susurra-t-elle, animée par ses mots qui représentaient le monde entier pour elle, son identité qu'elle était incapable de détacher de la sienne, elle qui avait cette impression de ne former qu'un avec lui. J'ai hâte que tu le gagnes ce rôle... Mais tu sais que j'aurais jamais eu besoin d'une alliance pour être tienne éternellement, sourit-elle amoureusement, son regard valsant entre ses lèvres et son regard, Aelya qui l'avait choisi pour le meilleur et pour le pire dès le départ, qui marchait main dans la main avec son amour sans crainte, ici à l'autre bout du monde. Tu sais toujours me parler toi, s'amusa-t-elle, attendrie par sa manière de toujours lui montrer qu'il l'aimait, Aelya n'ayant besoin que de ça pour être heureuse, que de lui pour respirer correctement.

Ils débutèrent la soirée comme à leur habitude, en s'abreuvant de légèreté, l'amour venant perler sur les lèvres de Niels assez rapidement parce qu'elle était incapable de faire autrement, son être tout entier l'appelant à se coller à lui parce qu'il lui était vital, son coeur partant à la dérive en son absence, dans les ténèbres où son âme faisait naufrage. Elle suivit son fiancé au milieu de la foule, celle-ci s'éclipsant sous la lumière de sa beauté qui faisait pour toujours palpiter son myocarde, son corps se déhanchant contre le sien, tentant de le ravager avec le charme de son regard qui ne brillait que pour lui. Ses lèvres vinrent se jeter sur les siennes pour glisser dans son cou lorsqu'elle comprit que des courbes avantageuses se donnaient en spectacle devant eux, devant l'amour de sa vie dont elle cherchait l'attention exclusive.

- La lionne elle est belle que pour tes yeux surtout ouais, admit-elle, amusée, continuant d'aspirer son cou avec envie et malice. J'aime beaucoup trop quand tu me touches bébé... Avoua-t-elle, soufflant contre son cou en sentant ses mains presser ses courbes.

Elle le laissa s'éclipser au comptoir pour prendre deux verres, Aelya faisant pendant ce temps connaissance avec la danseuse qui lui offrit deux pilules d'ecstasy. Elle savoura la présence plutôt possessive de son amour autour d'elle, lui qui ne devait pas comprendre ce qu'il se passait, la jeune femme partant quelques secondes plus tard.

- Mais non bébé. Pas du tout. J'lui ai rentré dedans sans faire gaffe et du coup on a vite fait discuté, avoua-t-elle, cherchant à rassurer Niels. Attends... Tu vas vite comprendre, répondit-elle en parlant du fameux cadeau, Aelya plongeant sa main dans sa poche pour récupérer une des pilules, l'immisçant rapidement entre ses lèvres avant de tendre la nuque pour venir embrasser amoureusement son amour, lui transmettant la drogue. On va planer un peu bébé... C'est surtout ça le cadeau, sourit-elle, joueuse, immisçant la deuxième pilule dans sa bouche. T'es content mon petit bébé jaloux ? S'amusa-t-elle, ses bras venant s'enrouler autour de sa nuque.

Jamais de sa vie il n’aurait imaginé tomber amoureux de la sorte, lui qui se sentait plus que chanceux d’avoir pu croiser le chemin d’Aelya, cette femme à l’âme tourmentée qui ressemblait pour s’y méprendre à la sienne. Il l’aimait pour tout ce qu’elle était, sentant déjà son coeur s’emballer dans sa poitrine alors qu’ils se tentaient dans des allusions brûlantes. « Faudrait que j’te fasse l’amour toute la journée alors… » Ajouta-t-il, amusé par cette pensée, cette idée qui ne pouvait que le faire rêver bien qu’elle était irréalisable. « Brûle pour moi mon bébé… » Murmura-t-il, son regard captant le sien entre les baisers qu’ils se donnaient, sa main remontant lentement sur sa cuisse pour lui montrer l’intensité de son désir qu’il aurait aimé soulager contre elle. « Je t’aime à en crever… » Et ces mots étaient encore trop faibles pour décrire tout ce qu’il ressentait lorsqu’il la regardait, lorsqu’il ne faisait que penser à elle, sa vie entière étant vouée à cette relation. « C’est vrai. Mais c’est mieux pour qu’on crée notre famille nan ? » Ajouta-t-il avec un tendre sourire, eux qui touchaient des doigts ce rêve auquel ils n’avaient jamais eu droit avant, celui d’appartenir à une vraie famille, à un vrai clan qui serait le leur jusqu’à la fin des temps. Ils descendirent de leur chambre d’hôtel pour rejoindre l’extérieur, se retrouvant sous le couvert de la nuit et sous les lumières scintillantes de la ville. Il se sentait protégé à ses côtés, son corps comme libéré de la peur constante qu’ils avaient subi ces dernières semaines, eux qui ne pensaient plus qu’à eux et ces quelques jours loin de tous leurs tourments. Ils pénétrèrent dans une boîte de nuit déjà bien fréquentée, se mettant doucement dans l’ambiance en ingurgitant quelques shots d’alcool, se mettant en conditions pour cette soirée qui s’annonçait festive. Son amour pour elle l’incita à se rapprocher de son corps, de ses lèvres qu’il emprisonna fiévreusement, n’ayant aucun scrupule à embrasser l’amour de sa vie au point d’en oublier le monde entier, lui qui n’était juste pas capable de ne pas être expressif avec elle. Il resserra son étau autour de sa fiancée lorsqu’ils eurent atteint le milieu de la foule, ses bras s’enfermant autour de ses courbes comme dans un perpétuel désir de la protéger de l’extérieur, leurs regards se cherchant à travers les spots qui éclairaient partiellement leurs pupilles. « Et mes beaux yeux en profitent bien… » Ajouta-t-il, se mordant la lèvre sous l’effet qu’elle lui faisait, sentant sa bouche aspirer sa peau, son cou qu’elle torturait délicieusement. « Je regrette de pas pouvoir le faire encore plus bébé… Parce-que je retiens mes mains de glisser sous ta robe là… » La tenta-t-il pour la provoquer davantage, eux qui devaient un minimum se tenir bien que la tension sexuelle environnante était à son comble. Il s’éclipsa quelques secondes pour revenir avec des verres, trouvant son amour avec une femme qu’il avait croisée quelques minutes plus tôt, se posant des questions sur les regards presque complices qu’elles se lançaient. « Pour te faire un cadeau au bout de deux minutes ouais… Vous avez vite fait connaissance là. » Lâcha-t-il, ne sachant pas encore la nature de ce cadeau dont lui avait parlé Aelya. L’air interrogateur, il laissa son amour se rapprocher de lui, acceptant son baiser avant de sentir la pilule entre ses lèvres, comprenant maintenant de quoi il s’agissait. « Je comprends mieux… » Ajouta-t-il, esquissant désormais un sourire amusé et joueur, regardant son amour prendre la deuxième pilule. « Ouais… Mais faut pas me faire des frayeurs comme ça bébé, j’étais à deux doigts de mal lui parler là. » Joua-t-il, la laissant s’agripper à lui, finissant de faire passer la pilule avec une gorgée de son breuvage. « J’suis jaloux de tout ce qui bouge bébé… Ça va pas en s’arrangeant. » Dit-il en se moquant de son propre comportement, son regard toujours ancré à celui de l’amour de sa vie. « T’es beaucoup trop belle pour être réelle toi aussi… » La complimenta-t-il, regardant son verre à moitié rempli, décidant de le finir en une gorgée. « Tu me suis ? » La tenta-t-il, jetant un coup d’oeil au verre d’Aelya, l’incitant à en faire de même.