you're the best i ever had. -hot- (niels)

Ils avaient perdu du temps dans les méandres de leurs ruptures qui n’avaient jamais mené à rien, eux qui avaient tenté se convaincre qu’ils n’étaient pas faits pour perdurer dans cette relation alors que tout leur avait toujours prouvé le contraire. Ils avaient tenté de détruire l’indestructible, et tout ce qu’ils avaient récolté ne se résumait qu’au néant, à la souffrance et au manque, finissant par côtoyer les enfers, se rendant compte combien la présence de l’autre leur était vitale et irremplaçable. « Tant que je suis ton homme parfait à toi… J’me fous bien du reste. » Murmura-t-il, laissant son souffle chaud se mêler au sien dans la danse amoureuse de leurs lèvres, avant qu’ils ne puissent goûter au champagne qui leur avait été apporté dans leur chambre. Il l’avait attiré contre lui pour partager cette danse avec elle, leur raison bientôt censurée quand leurs envies de se céder furent écoutées, Niels laissant son amour s’occuper de lui, de son torse qui réclamait ses lèvres encore et encore. « On va bien dormir demain matin bébé… » S’amusa-t-il, faisant écho au fait qu’il comptait lui faire du bien toute la nuit, pour annihiler le manque qui épuisait son corps en manque du sien, Niels qui ne put s’empêcher de la dévorer du regard lorsqu’elle mit sa poitrine à nue. Sans pouvoir se retenir, il la porta jusqu’au lit, son désir pour elle l’affamant, l’obligeant à se jeter sur sa peau qu’il embrassa avec fougue et envie, la caressant langoureusement. « J’ai hâte de voir ça… » Murmura-t-il à ses mots qui l’enflammaient davantage, Niels qui ne se lassait pas de la voir prendre du plaisir et de lui en donner, lui qui n’avait jamais ressenti de telles sensations avant elle. Il s’amusa avec ses sens, jouant entre le chaud de ses lèvres et le froid du champagne qui était venu s’écouler sur sa peau, soupirant d’envie en entendant les murmures d’Aelya qui semblait apprécier ses gestes fiévreux. Pour ne rien arranger, elle l’obligea à rebasculer sur ses genoux, son coeur ratant un battement lorsqu’elle attrapa ses lèvres pour l’embrasser langoureusement, sentant sa main chercher l’ouverture de son jean pour le caresser avec envie. « Tout de toi m’a manqué bébé… » Susurra-t-il à son oreille, peu avant que sa main ne vienne se réfugier dans sa chevelure pour la voir tendre la nuque vers sa bouche, Niels s’adonnant à des baisers appuyés pour la voir rougir sous son emprise. Il expia des soupirs plus bruyants quand sa main libéra son urgence, son bassin rythmé par les va-et-viens de ses doigts autour de son anatomie qui se tendait d’envie. « Tu sais bien que ça sonne comme un rêve pour moi… » S’amusa-t-il, lui qui ne demandait qu’à se perdre dans leur étreinte pour l’éternité, l’amenant à buter contre son jean pour l’inviter à le déshabiller, son regard captant le sien avant qu’Aelya ne le pousse contre le matelas pour basculer sur lui. « Putain t’es trop sexy toi… » Murmura-t-il, sa tête s’enfonçant dans le matelas lorsqu’il perçut les lèvres d’Aelya sur son corps, sa cage thoracique se soulevant à chaque frisson qu’elle lui provoquait. Il se mordit la lèvre en voyant son jean s’abaisser jusqu’à ses mollets, son boxer ne tardant pas à suivre la même direction, dévoilant son membre durci d’excitation. « Bébé… » Lâcha-t-il, entre deux gémissements quand Aelya se retrouva à caresser langoureusement son anatomie, lui coupant le souffle sous le plaisir infini qui s’injectait dans ses veines. « C’est trop bon, j’hallucine comme t’es parfaite… » Gémit-il, redressant la tête pour la regarder englober son membre avec ses lèvres, cette vision le faisant défaillir d’envie, Niels tendant le bras pour venir caresser sa main, l’amenant jusqu’à ses lèvres pour l’embrasser. « Tu me rends dingue… J’ai trop envie de te sentir sur moi bébé… » Murmura-t-il, laissant son bassin onduler entre les lèvres de la femme de sa vie qui s’occupait à merveille de son plaisir.

Elle n'avait jamais rêvé de mariage jusqu'à rencontrer Niels, lui qui avait bouleversé son monde tout entier pour s'y intégrer, y apporter cette magie qu'elle n'avait jamais connu dans le passé. Elle faisait abstraction de tout qui se passait autour d'eux, ses yeux n'ayant envie de s'intéresser qu'à celui qui était allé chercher son cœur dans les sables mouvants de sa vie. Elle répondit à ses lèvres amoureusement, laissant son amour traverser son souffle pour animer le sien, elle qui lui donnerait la moindre molécule d'oxygène restant dans ses poumons pour le voir continuer à vivre, à sourire comme ça. Dans ses bras au travers de cette danse, ses lèvres étaient venues glisser sensuellement sur son torse, se nourrissant de sa chaleur, cette envie qui taquinait en tout temps ses entrailles.

- Et demain au réveil, j'te resaute dessus... Sourit-elle malicieusement, accro à son corps, à son âme qu'elle avait besoin de sentir contre elle jusqu'à l'overdose, dans l'implosion de leurs cœurs qui battaient à l'unisson.

Elle frémit à ma chaleur de son regard qui s'anima lorsqu'il s'arrêta sur sa poitrine mise à nue, Aelya qui voulait devenir sa muse pour ce soir et pour toujours, s'incruster dans ses pensées les plus sages pour les agiter passionnément. Elle se vit se faire soulever du sol par Niels qui l'allongea dans le lit, détaillant sa poitrine de baisers, sa langue sur ses courbes qui lui arrachaient des soupirs de plus en plus bruyants. Elle se sentit défaillir dans sa folie qui portait son prénom lorsqu'il rechauffa sur sa peau les perles glacées de champagne qu'il avait lui-même échouées, déclenchant un vif incendie piègé dans le creux de son bassin, ses lèvres sur sa peau continuant à la guider dans son désir.

- Faut qu'on se rattrape bébé... Expia-t-elle, à mi-chemin dans un gémissement, le buste redressé pour attraper ses lèvres dans un baiser langoureux, agité par les sensations qu'elle portait en elle et qui l'intoxiquaient délicieusement, sa main venant jouer tout près du bouton de son jean.

Elle soupira lorsque sa main se faufila dans sa chevelure, la conduisant à tendre sa nuque pour qu'il puisse la dévorer, déposer sa marque comme elle adorait le voir faire, ses doigts prenant possession de son anatomie dans son jean pour lui soutirer du plaisir.

- C'est toi mon rêve... Renchérit-elle, le regard brûlant d'amour et de passion, se retrouvant sur Niels lorsqu'il se mit à la provoquer. Tu voulais que je sois sauvage bébé... Joua-t-elle en se mordant la lèvre, avant de faire glisser sa bouche le long de son corps, le délestant de son jean et de son boxer, son regard le dévorant tout entier avant qu'elle ne plonge ses lèvres contre son anatomie raidie, s'en délectant avec attention, avec plaisir. Je veux remercier mon mari d'être qui il est, ajouta-t-elle contre sa peau, laissant sa langue valser le long de son membre, sa main continuant les va-et-viens, son cœur s'envolant à l'entente de ses gémissements. Patiente un peu bébé... Je m'amuse là... Sourit-elle en lui accordant un regard malicieux, laissant son amour embrasser sa main, Aelya retirant ses lèvres pour laisser sa main le caresser avec ferveur, avant de s'arrêter brutalement lorsque sa bouche reprit possession de son membre, agrémentant ses ondulations langoureuses de succions. Putain bébé... T'es trop bon... Fais moi l'amour mon bébé tout brûlant... Expia-t-elle d'envie.

Depuis qu’il connaissait Aelya, Niels se laissait porter par son instinct, écoutant son coeur qui l’incitait à réfléchir pour deux, pour leur couple et sa prospérité. Il y avait eu des erreurs de parcours qui l’avaient poussé à prendre des décisions hâtives, irréfléchies, qui l’avaient mené à se séparer de la femme qu’il aimerait pour la vie. Fort heureusement, ils avaient toujours su retrouver leur chemin l’un vers l’autre, se confrontant à cette douce fatalité que représentait l’amour qui les liait à tout jamais. Dansant tout contre elle dans l’étau rassurant de ses bras, il ne quittait pas son regard, se faisant la réflexion qu’elle était définitivement la plus belle chose qui lui soit arrivée de toute son existence. « Un peu de sport le matin, ça fait jamais de mal bébé… » Murmura-t-il avec un cet air malicieux, Niels qui ne refuserait jamais d’accueillir le corps de son amour contre lui, encore moins dés leur réveil. Il peinait à garder son calme, ses pupilles dilatées par le désir, par cette attirance indéniable qu’il vouait à l’amour de sa vie, sa femme qui se dénuda sous son regard qui ne cessait de la dévorer. N’ayant plus envie de laisser la distance les envahir, il souleva Aelya pour la plaquer contre le matelas de leur immense lit, dévorant sa peau de baisers, de légères morsures qui faisaient écho à toute la fougue qui s’éprenait de lui, sa bouche dérapant sur sa poitrine puis jusqu’à son nombril lorsqu’il y récupéra les gouttes de champagne. « Ouais bébé, ça va plus là… Le manque me fait perdre la tête amour, aide-moi… » Murmura-t-il contre ses lèvres qu’elle était venue retrouver, leurs langues se mêlant à la danse de leurs lèvres, Niels gardant sa position pour recevoir les caresses érotiques de son amour qui passa la barrière de son jean. Le coeur battant à toute vitesse, il s’acharnait contre le cou d’Aelya qui porterait les stigmates de sa passion, soupirant son plaisir qu’elle lui procurait par le biais de sa main qui faisait grandir son envie, les ondulations de son bassin lui signifiant tout le bien qu’il ressentait. « T’es l’amour de ma vie… » Souffla-t-il, se laissant pousser vers le matelas lorsqu’Aelya l’obligea à basculer pour venir à califourchon sur son corps en feu, son regard captant le sien avant qu’elle ne se mette à jouer avec lui, laissant sa bouche déraper sur son torse avant de venir trouver son anatomie qu’elle emprisonna entre ses lèvres pulpeuses. « T’arrête pas bébé… » Demanda-t-il, à déjà bout de souffle, la respiration écourtée par le plaisir et les gémissements qu’il expiait, regardant la langue de sa femme s’approprier son membre raidi par tout ce qu’elle lui faisait. « Ma femme fait les meilleures gâteries du monde… » La complimenta-t-il, ses muscles se contractant à chaque vague de plaisir, Niels peinant à être discret alors qu’Aelya accentuait les mouvements de ses va-et-viens. « Tu me tortures… J’suis accro à tes lèvres bébé. » Lâcha-t-il entre deux soupirs, baissant les yeux vers elle alors qu’elle redoublait d’efforts, Niels embrassant sa main alors qu’elle continuait de le caresser. « Aelya… » Souffla-t-il bruyamment, lorsqu’il sentit la chaleur humide de sa bouche reprendre possession de son corps, le faisant bouillonner de plaisir à chacune de ses ondulations. « J’en… J’en peux plus bébé… » Lâcha-t-il dans un râle de plaisir, Niels se redressant pour venir surplomber le corps de sa femme, le regard noir de désir, ses mains s’occupant de faire glisser son dernier sous-vêtement le long de ses jambes, le faisant valser dans la pièce. « Tu regretteras pas de m’avoir excité comme un fou toi… » Murmura-t-il, ses mains faisant glisser son corps vers le sien en écartant ses cuisses, jouant avec la proximité de leurs anatomies pour la tenter, caressant son bas ventre avec son membre pour lui faire subir une longue et délicieuse attente. « T’es excitée mon amour…? » Demanda-t-il, d’une voix grave, son membre jouant avec l’entrée de son corps qu’il taquina, sans lui céder entièrement, Niels se penchant vers son amour pour lui demander un baiser.

Elle était déterminée à rester à ses côtés, incapable de s'imaginer sa perte, parce que sa lumière ne tenait qu'entre ses mains, Niels qui a lui tout seul avait percé son obscurité pour la faire rayonner, changeant son mode de fonctionnement jusqu'à ce qu'elle ne s'offre entièrement à lui dans la symbolique d'une alliance qui les liait tous les deux.

- Surtout pas quand c'est en amoureux, s'amusa-t-elle de manière complice, Aelya qui laissait parler son regard enjoleur à la place de tout ce qu'elle aurait pu continuer à dire pour agiter ses pensées sulfureuses.

Parce qu'il savait ce qu'elle avait en tête, Aelya qui le mangeait du regard, qui laissait sa poitrine se délivrer de son soutien-gorge pour s'abandonner à son regard qui brûlait sa peau de désir. Elle le voulait, et c'était comme si son corps entier le criait alors qu'il vint la plaquer sur l'immense lit qu'elle voulait défaire dans leur fougue, elle qui se nourrissait de la chaleur de ses lèvres qui valsaient sur ses courbes, sa respiration s'arrachant dans son attirance intense.

- Je vais pas te lâcher bébé... J'vais te faire avoir une overdose de moi de mes lèvres qui veulent te pousser à bout... Souffla-t-elle, envieuse, sa langue dansant avec la sienne fougueusement, Aelya en profitant pour immiscer sa main dans son jean, empoignant son anatomie qu'elle voulait voir se rigidifier dans les flammes de sa passion, soupirant à son oreille à la sensation de ses délicieuses morsures dans son cou. J'suis ta femme pour la vie... Renchérit-elle, animée par l'amour, par son corps qu'elle sentait se tendre dans ses caresses fiévreuses.

Elle surplomba son corps dans un geste fougueux, son regard félin parcourant son être à moitié dénudé avant que sa bouche ne vienne s'approprier la partie la plus sensible de son anatomie, sa langue la découvrant, la goûtant avec amour, déchaînant l'urgence qu'elle contenait dans le creux de son bassin qui l'attendait.

- Ta femme aime beaucoup trop gâter son mari comme ça, sourit-elle, savourant les effets du jeu de ses lèvres qui raidissaient son bas ventre, sombrant d'envie en le voyant sous son emprise. T'en veux encore bébé...? Le chercha-t-elle, jouant de ses rythmes, de sa main et de sa bouche pour le pousser à bout, son cœur cognant plus fort dans sa poitrine à l'entente de ses gémissements, s'abandonnant totalement à son plaisir, incapable de ne pas le trouver magnifique dans son état. T'es trop beau bébé... J'adore savoir que t'es à bout... Susurra-t-elle sur sa peau réchauffée avant que Niels ne vienne échanger leurs positions, Aelya soupirant bruyamment de désir sous ses gestes urgents qui visaient à lui retirer son dernier vêtement. Je me doute, c'était le but, joua-t-elle malicieusement, lâchant un gémissement en le voyant écarter ses cuisses pour laisser son bas ventre effleurer le sien. Touche-moi pour le savoir... Le tenta-t-elle en se mordant la lèvre, son bassin s'agitant sensuellement à la sensation de son anatomie qui dansait à l'entrée de son corps, Aelya tendant sa nuque pour lui offrir un baiser, ses mains venant presser sa chute de reins avec envie. Bébé... J'en peux plus de t'attendre, soulage-moi, gémit-elle entre deux baisers, ses cuisses s'écartant davantage pour lui permettre d'émettre un lien en profondeur entre leurs deux corps, ses lèvres glissant sur sa mâchoire pour la mordiller.

Il n’avait aucun avenir viable sans elle, persuadé qu’il disparaîtrait dans la douleur de sa perte, dans l’angoisse de son manque qui viendrait hanter ses nuits jusqu’à le rendre fou. Il serait incapable de faire sans elle, incapable de respirer correctement, ni de trouver la force nécessaire pour tenter de survivre, parce-que rien ne valait une vie avec Aelya. « J’peux pas dire le contraire. J’aime beaucoup trop me dépenser avec toi bébé. » Ajouta-t-il avec cet air malicieux qu’elle lui connaissait bien, Niels sentant son coeur s’emballer à la seule pensée d’imaginer Aelya se réveiller contre son corps, lui qui sauterait sur l’occasion pour la rendre folle dés les premières lueurs du soleil qui viendraient transperçaient les baies vitrées de leur chambre. Il ne cachait d’ailleurs plus l’excitation dont il était la première victime, son désir se lisant dans son regard noirci par l’envie, Niels s’empressant de venir plaquer sa femme contre le matelas, cherchant à lui montrer l’étendue de toutes les pensées qu’il avait en tête lorsqu’il la regardait. « Tes lèvres sont délicieuses bébé… J’pourrais m’en nourrir tous les jours… » Susurra-t-il, sa bouche dévorant la sienne de baisers, sa langue valsant fougueusement avec la sienne, ses soupirs se perdant dans son souffle saccadé lorsqu’Aelya empoigna son anatomie pour le caresser. « Oui bébé, pour l’éternité même. » Murmura-t-il, se mordant fiévreusement la lèvre en regardant son amour prendre les devants, basculant sur lui pour laisser ses lèvres prendre le relai, goûtant son corps avec une passion qui le fit défaillir. Il ne s’empêchait plus de gémir, ses soupirs se déployant dans l’air pour faire savoir à Aelya combien il aimait ce moment, combien les sensations qu’elle lui procurait étaient délicieusement addictives. Il soupirait son nom, ses yeux accrochant le visage de la femme de sa vie qui semblait prendre un malin plaisir à le torturer, agrémentant ses caresses langoureuses de mouvements rapides avec sa main qui continuait de faire grandir son envie, son membre enflant entre les lèvres d’Aelya. « Bébé… Je m’en lasserai jamais… » Lâcha-t-il à bout de souffle, lui qui adorait voir son amour en action, à lui administrer un plaisir qu’il ne trouverait nul part ailleurs, parce-qu’il lui appartenait corps et âme. « Si tu continues, tu vas me faire jouir bébé… » Murmura-t-il, ses muscles continuant de se contracter à chacun de ses va-et-viens, Niels laissant ses mains rejoindre la chevelure de son amour pour dégager les mèches de cheveux qui empiétaient sur son magnifique visage. La fougue l’incita finalement à la faire basculer sur le dos, ne résistant plus à l’appel de la chair, à l’appel de son corps que le sien demandait encore, ses mains écartant ses cuisses pour y faire glisser son bassin qui ondula contre le sien, cherchant à la faire frémir avec la raideur de son membre contre son anatomie réchauffée par l’envie. « C’est toi la plus belle, rien que toi… » Souffla-t-il, arquant un sourcil joueur à ses mots qui l’incitèrent à faire glisser ses doigts entre ses cuisses, confrontant la chaleur humique de son anatomie qui lui confirmait ses dires. « J’veux te toucher autrement moi… » Joua-t-il, dansant amoureusement contre son bassin, l’effleurant de plus en plus, jusqu’à faire buter son anatomie à l’entrée de la sienne, prolongeant le baiser que son amour lui offrit. « Tout ce que tu veux bébé… » Ajouta-t-il, Niels ne résistant plus à la tentation, s’immisçant en elle avec une envie folle, ses mains de part et d’autre du corps d’Aelya retenant le poids du sien. « Putain… » Lâcha-t-il, son bassin faisant quelques lents va-et-viens pour pénétrer son corps en profondeur, la respiration entrecoupée de gémissements qu’il soufflait à son oreille. « Ça va mieux…? » La chercha-t-il, Niels imposant un rythme un brin plus rapide à leurs ondulations, ses paumes dévalant son corps pour se poser sur ses hanches, caressant ses cuisses qui restaient ouvertes. « C’est tellement bon d’être en toi mon amour… » Lâcha-t-il, se redressant légèrement pour augmenter la cadence de ses coups de rein, se délectant de plaisir qu’il lisait sur le visage d’Aelya.

L'éternité ne serait jamais assez suffisante pour les réunir, elle qui nourrissait son âme de chaque moment passé avec l'amour de sa vie comme dans la crainte constante qu'on pouvait le leur voler. Elle se rendait compte que la vie était bien trop courte depuis qu'elle la passait dans ses bras, Aelya qui aurait voulu à maintes reprises retourner dans le temps pour vivre encore une fois le moindre de ses regards, de ses mots doux qui caressaient ses fêlures.

- C'est la chose que je préfère dans ma journée, avoua-t-elle, éperdument attirée par son mari qui ne faisait que de martyriser délicieusement sa patience, mise à mal par son simple regard dans lequel elle projetait toute sa passion, son amour, mais aussi son espoir.

C'était lui ou personne, lui qui la fascinait de par sa beauté, sa combativité, sa ténacité, tout ce qui l'habillait pour les faire exister, parce qu'Aelya, elle reposait son souffle sur le sien, celui qui venait doucement se réchauffer alors que la tension augmentait entre eux, les poussant l'un contre l'autre dans les draps froids qu'ils comptaient bien couvrir de chaleur.

- Mange-les mes lèvres bébé... Souffla-t-elle contre sa bouche, son bassin brûlant sous ses baisers sur son être, sous sa présence qui s'appuyait sensuellement sur sa peau frissonnante d'envie alors que sa langue cherchait la sienne, animée fougueusement par ce manque qui ne trouvait aucun répit.

Elle apprivoisa son anatomie, plongeant dans son jean à moitié ouvert pour lui soutirer du plaisir avant de directement basculer sur lui, laissant ses lèvres prendre soin de son corps qu'elle connaissait par cœur bien qu'elle aimait le redécouvrir à chaque fois. Ses lèvres longeaient son bas ventre, sentant son envie prendre forme au travers de ses caresses langoureuses, son souffle bruyant se déployant sur sa peau à l'entente de ses gémissements qui la poussaient à continuer.

- Je te l'interdis même. J'aime beaucoup trop te dévorer mon amour, sourit-elle en coin, son regard sensuel et joueur trouvant le sien alors que sa main et ses lèvres s'alliaient en rythme pour le faire expier son désir, Aelya resserrant la pression de sa bouche autour de son membre. C'est pas grave bébé si tu jouis, tu sais que j'te lâcherai pas de la nuit quand même, s'amusa-t-elle, sa langue parcourant la rigidité de sa peau brûlante alors qu'il dégagea son visage, Aelya venant faire glisser sa main le long de son torse qu'elle accrocha avec ses ongles dans un élan passionné.

Elle se laissa basculer sur le dos, accueillant son amour entre ses cuisses avec une urgence qu'elle n'était plus apte à dissimuler tant elle irradiait d'envie pour son homme qui s'amusait avec sensualité sur son bassin, laissant le sien valser entre la chaleur de son anatomie, sans lui céder.

- T'as tout pour toi mon bébé... Souffla-t-elle, son regard malicieux suivant le trajet de ses doigts qui trouvèrent refuge dans le creux de son corps, Aelya s'agitant doucement sous la sensation de sa caresse rapide avant de sourire à sa remarque. Tant que tu me touches, je me contente de tout, admit-elle, joueuse, étouffant ses soupirs contre ses lèvres alors qu'il ondulait contre son anatomie, s'amusant tout près de l'entrée de son être qui s'hydratait d'envie. Bébé... Gémit-elle, lorsqu'il entra enfin en elle, ses mains pressant sa chute de reins pour le guider avec profondeur jusqu'à son âme qui l'attendait, Aelya frémissant à la caresse de son souffle saccadé dans son oreille. Beaucoup mieux. C'est indescriptible comme ça me fait du bien, sourit-elle, sa cage thoracique se gonflant de passion à ses ondulations plus rapides, ses doigts glissant sur ses pectoraux quand les siens caressaient ses cuisses. J'ai pas envie que t'en sortes bébé... J'ai envie de te sentir toute la nuit... Avoua-t-elle à son oreille, ses bras l'enlaçant pour maintenir son cœur contre le sien, ses cuisses se renfermant dans son dos pour admettre une plus grande proximité. Niels... Amour... Gémit-elle, ses mains s'infiltrant dans ses cheveux avec passion. Tu me fais rêver... Soupira-t-elle, venant grignoter son cou pour lui laisser des marques.

C’était dans la puissance de leurs sentiments qu’ils puisaient leurs forces, eux qui avaient souvent subi les fracas de leur impulsivité, Aelya et Niels étant connu pour leurs réactions parfois trop fortes, incontrôlées, surtout lorsqu’il s’agissait de leurs sentiments amoureux. Parce-qu’ils ressentaient tous les deux une peur viscérale de se perdre, de finir seuls, Niels qui savait qu’il n’y avait absolument rien d’envisageable sans l’amour de sa vie. « On a bien profité ce soir, peut-être qu’on pourrait passer une partie de la journée de demain au lit, t’en penses quoi ? » La tenta-t-il, frémissant déjà à l’idée de lui enlever sa robe et de l’aimer à en perdre la raison, jusqu’à ce que leurs corps ne fassent plus qu’un. « Tu m’y autorises bébé ? » Murmura-t-il, sa bouche tentant déjà la sienne, ses lèvres valsant contre les siennes dans un baiser langoureux et déjà équivoque de l’envie qui naissait dans son corps en manque du sien. Il glissa lentement contre son corps qu’il avait allongé sur le matelas, ses pupilles dilatées par le désir toujours plus insistant, celui qu’Aelya prit rapidement en main pour lui montrer que dans l’histoire, c’était lui sa proie. Il aurait pu fondre sur place à la sensation de sa main qui s’agitait autour de son membre, rapidement rejoint par ses caresses langoureuses qui lui avaient arraché des soupirs bien plus profonds. Elle le rendait dingue et elle le savait parfaitement, contrôlant son plaisir d’une main de maître, Niels qui subissait les talents de sa femme, son corps soumis entièrement à elle, à ses lèvres qu’il voulait sentir contre lui jusqu’à ne plus en pouvoir, jusqu’à ce que l’attente devienne une torture. « Dévore-moi autant que tu veux, quand tu veux mon amour… » Murmura-t-il, ses muscles se contractant lorsque le plaisir affluait dans ses veines sous les gestes contrôlés de l’amour de sa vie qui savait exactement comment le faire sombrer d’envie. « Nan bébé… J’veux te faire l’amour tout de suite… C’est en toi que j’veux jouir. » Souffla-t-il entre deux gémissements, sa nuque se tendant pour regarder son amour prendre soin de lui, peinant à garder son calme en percevant ses ongles s’ancrer dans sa peau, dérapant sur son torse qui se marqua de son geste. Finalement, il se redressa pour faire basculer son amour sur le dos, s’immisçant entre ses cuisses où son bassin mourrait déjà d’envie de se frayer un chemin, ondulant contre son anatomie sans lui céder. « Tant mieux que t’aimes ça… Parce-que j’suis accro à toi bébé, ça serait une torture de pas pouvoir te toucher… » Lâcha-t-il, ses lèvres recevant ses soupirs qui se déployaient dans les airs alors qu’il continuait de taquiner l’entrée de son corps, se délectant de la chaleur de sa peau qui lui confirmait qu’ils étaient tous les deux ravagés par le désir. Et finalement, il céda à leur envie mutuelle de s’abandonner l’un à l’autre, s’immisçant en elle dans un mouvement lent et contrôlé, poussant un soupir de soulagement qui s’écrasa contre son cou. « J’devrais continuer alors… » Souffla-t-il, appréciant de la voir prendre autant de plaisir que lui, Niels prenant les devants pour augmenter la cadence de leurs ondulations, leurs bassins se répondant avec envie. « J’suis trop bien comme ça bébé, tu me réchauffes mon amour… » Ajouta-t-il, se collant d’autant plus à elle lorsque ses bras vinrent l’enlacer, laissant son torse caresser sa poitrine qui s’agitait sous ses coups de rein plus intenses. « Je t’aime… » Gémit-il, frémissant lorsqu’elle prononça son prénom dans un souffle, Niels continuant à la rendre folle, à percuter son bassin avec plus de force, jusqu’à ce qu’il ne décide de se retirer, sa bouche dévalant son corps sans prévenir, avant de trouver son intimité qu’il caressa langoureusement. « Tu croyais que j’allais pas me venger…? » La chercha-t-il, ses bras entourant ses cuisses pour maintenir sa position, ses lèvres s’agitant amoureusement contre son anatomie.

Elle s'était jetée dans la spontanéité du moment sans réfléchir, comme à leur habitude. Parce qu'en même temps Aelya savait qu'elle ne pourrait jamais le regretter, que c'était une évidence de lui dire oui ce soir, à l'autre bout de leur vie qui les attendait à Bowen. Elle n'en finissait plus de l'aimer, sa raison et sa patience se faisant la malle devant cet amour qui la poussait dans le gouffre, dans le sien, celui qui battait dans le creux de sa poitrine où elle voulait s'y loger pour l'éternité.

- Me dis pas ça bébé... Tu sais que je suis capable de pas être raisonnable avec toi... Mais moi passer la journée de demain dans tes bras, dans notre cocon, tu sais pas à quel point ça me va parfaitement, avoua-t-elle, le regard lumineux d'amour, Aelya qui égoïstement, avait envie de soustraire Niels au monde entier juste pour se l'approprier comme elle le désirait. Je t'autorise tout à toi... Fais de moi ce que tu veux, souffla-t-elle, le regard aguicheur, ses lèvres jouant en suspension au-dessus des siennes avant qu'elle ne s'abandonne à lui dans un baiser amoureux, passionné, agité par leurs sentiments.

D'un regard félin, elle détailla la beauté de son visage, de ses lèvres qu'elle accrochait dans son souffle déchiré par le désir, laissant sa main glisser jusqu'à son anatomie qu'elle caressa fiévreusement dans l'ombre de son vêtement, cherchant à le tendre sous ses doigts. Animée par son envie, ses lèvres se jetèrent à leur tour sur son corps pour glisser autour de son membre, jouant avec sa patience et son urgence pour entendre encore ses soupirs se frayer un chemin jusqu'aux battements anarchiques de son myocarde.

- J'en ai jamais assez de ton corps bébé... Y'a que toi que je veux comme ça pour la vie, lâcha-t-elle, consciente que jamais elle ne se donnerait autant à quelqu'un d'autre, elle qui continuait à aspirer délicieusement l'objet de tous ses désirs, sa main venant approfondir ses caresses langoureuses. Mon amour... Soupira-t-elle d'envie à son murmure, ses ongles glissant passionnément sur son abdomen contracté, Aelya qui n'en finissait plus de le vouloir en elle, de le sentir au plus près, lui qui vint juste après surplomber son corps pour la tenter. Jamais je me permettrais de plus te toucher... J'en suis incapable. Je serais prête à tout pour t'avoir contre moi, avoua-t-elle, soufflant tout son désir qui palpitait dans son cœur, son bas ventre prenant feu au contact de ses frottements maîtrisés, avant qu'il ne cède à son appel, Aelya gémissant son soulagement face à sa chaleur qui s'immisca en elle. Tu devrais surtout ne jamais t'arrêter. T'es un rêve avec tes talents toi, le complimenta-t-elle, sentant sa respiration s'ébruiter entre les murs lorsqu'il accéléra la cadence, Aelya qui pouvait percevoir son corps aller et venir dans le cocon de son être. C'est pas fini mon bébé... Tu vas être brûlant à la fin... Quand je t'aurais donné ton orgasme, ajouta-t-elle sensuellement à son oreille, ses bras le ramenant contre sa poitrine, son corps tout entier vibrant dans le lit à ses coups de reins qui malmenaient avec passion son bassin. Je t'aime aussi, je suis dingue de toi, renchérit-elle, gémissant de plus en plus fort en soufflant son prénom, ses cuisses se contractant à chaque vague de plaisir qu'il inséminait entre ses hanches avec toujours plus de profondeur et de sensualité, jusqu'à ce qu'il ne se retire pour laisser son visage plonger sur son anatomie sans prévenir. C'est mal te connaître c'est vrai, sourit-elle, cambrant l'échine face à l'afflux de plaisir qui s'imprégna d'elle au contact de ses lèvres sur sa peau sensibilisée par son désir. Mon coeur... Gémit-elle, sa main se réfugiant dans ses cheveux, la nuque renversée sur l'oreiller, la respiration bousculée par sa fougue. J'ai encore plus envie de toi... C'est impensable à quel point j'te veux, admit-elle dans une voix essoufflée, ses doigts le long de ses courbes alors qu'elle regardait son amour avec envie.

Il lui aurait dit oui dans n’importe quelle ville, dans n’importe quel pays du monde, lui qui savait que les frontières n’auraient jamais arrêté leurs sentiments, leur amour dépassant les limites, s’étendant partout et tout le temps. Et s’ils s’étaient mariés loin de leurs proches, à des milliers de kilomètres de Bowen, Aelya et Niels n’en étaient pas moins heureux, parce-qu’ils avaient désiré ce moment du plus profond de leur âme, conscients qu’ils n’auraient jamais pu manquée l’opportunité qui s’était présentée à eux ce soir. « Et pourquoi pas mon amour…? Je t’ai jamais demandé d’être raisonnable moi. Et puis, on pourra profiter de l’hôtel, de la piscine et du spa. Ça nous fera une journée détente en amoureux. » Murmura-t-il pour la tenter davantage, eux qui auraient certainement besoin de décuver après la soirée qu’ils venaient de passer où ils ne s’étaient refusés aucun excès. « J’adore le savoir… Réserve tout ton corps rien que pour moi mon amour… » Souffla-t-il, avant de prendre en otage ses lèvres qu’il avait longuement admiré, mourant d’envie d’être à elle pour le restant de ses jours, de finir sa vie dans ses bras qui lui procuraient une chaleur enivrante. Il l’avait laissé prendre possession de son corps, expiant des soupirs d’envie lorsque sa main s’agita contre son anatomie, suivie de près par ses lèvres qui s’étaient amusées à le caresser langoureusement pour lui faire perdre la tête. Et c’était exactement ce qu’il faisait Niels, il perdait la tête, accablé par ce trop plein de plaisir qui le foudroyait, tous les muscles de son corps se contractant à chaque fois qu’Aelya englobait un peu plus profondément son membre dressé par son envie débordante. « Alors continue toute ta vie mon bébé… J’suis à toi pour l’éternité… » Lâcha-t-il entre deux soupirs, son corps rougissant sous les caresses appuyées de son amour sur son torse, lui qui vibrait d’excitation et d’amour pour la femme qu’il aimait depuis toujours. Incité par ses murmures, il la renversa sur le matelas pour imbriquer son bassin au sien, ne pouvant plus contenir en lui l’envie de se lier à elle. « T’as pas à faire grand chose pour m’avoir contre toi bébé… J’te veux tout le temps, j’suis trop dingue de toi mon amour. » Avoua-t-il, effleurant son bas ventre contre lequel son anatomie se frottait, jouant avec l’attente avant de pénétrer en elle, la sensation de leurs êtres liés charnellement lui arrachant un soupir de soulagement. « C’est toi mon rêve… » Répliqua-t-il, débutant cette danse endiablée entre ses cuisses, contrôlant leur échange dans un rythme d’abord lent, puis plus soutenu, Niels qui voulait voir son amour sombrer de plaisir. « Tu vas encore m’envoyer au septième ciel toi… » Souffla-t-il avec un air joueur, se collant un peu plus à sa peau chaude lorsqu’elle renferma ses bras autour de lui, son torse surplombant sa poitrine dont il pouvait deviner les courbes, Niels en profitant pour approfondir ses coups de rein qu’il rendait plus puissants. « Sois-le à vie. » Ajouta-t-il, son regard ne quittant pas celui de son amour, se délectant de chacune de ses réactions, de chacun de ses traits qui s’étiraient dans le plaisir, s’amusant à ralentir leur échange pour que les sensations lui soient encore plus agréables. Et pour la pousser à bout, il se retira sans même un mot, se penchant vers le bas de son corps que ses lèvres prirent en otage, sa langue caressant son anatomie dans des gestes mesurés. « Toi aussi t’as le droit à ta punition bébé… » La chercha-t-il, s’en donnant à coeur joie pour la faire frémir, souhaitant l’entendre crier son plaisir, ses yeux captant les siens dans cet échange torride. « Tu veux que je revienne mon bébé…? » Lui demanda-t-il pour la tenter, Niels finissant ses caresses buccales pour glisser de nouveau en elle, reprenant ses coups de rein rapides pour ne lui laisser aucun moment de répit. « Bébé… Putain… T’es parfaite… » Lâcha-t-il entre chaque souffle saccadé, Niels rapprochant les cuisses d’Aelya pour décupler leurs sensations, jusqu’à ce qu’il ne finisse par crier son nom en atteignant l’orgasme, son corps en sueur tremblant d’envie contre le sien contre lequel il s’allongea pour éteindre doucement les flammes de leur échange. « On a le droit maintenant, non ? On est un vrai couple marié. » Murmura-t-il avec amusement dans son cou qu’il venait d’embrasser, conscient qu’ils n’avaient certainement pas attendu cette étape pour s’abandonner l’un à l’autre.

Elle était satisfaite de sa vie, des choix qu'elle avait pris, certains lui ayant arraché le cœur parce qu'elle s'était éloignée de son monde pour se rapprocher du sien. Pourtant, elle ne regrettait pas, parce que son dernier refuge fuyait, laissant entrer le froid et les vapeurs toxiques d'un univers qu'elle n'avait jamais compris. C'était lui ou rien, c'était eux avant le reste.

- T'as toujours de très bonnes idées toi... Ça me dit bien tout ça avec toi... Je vais te faire pleins de bisous et de câlins dans la piscine, sourit-elle amoureusement, se voyant déjà le coller devant tout le monde, parce que son être ne pouvait subsister sans son contact. C'est ça depuis la première fois que tu m'as touché... Susurra-t-elle contre ses lèvres, bercée par ses doux songes qui la replongeaient dans le passé, celui qui les avait amené jusqu'ici dans un tendresse infinie.

Elle effleura ses lèvres d'abord doucement, puis dans un élan passionné, leur baiser gagna en fièvre et en profondeur, tandis que leurs corps se chevauchaient, se répondaient dans une agitation brûlante. Sa main piégée dans son jean, Aelya, elle le caressait sensuellement, laissant juste après à ses lèvres le loisir de se nourrir un peu plus de lui, son bas ventre qu'elle faisait valser entre sa bouche et sa langue pour le plonger dans une délicieuse torture. Elle n'en pouvait elle-même plus de le voir comme ça, dans un état qui appelait sa patience à être rompue.

- Il me faut au moins une éternité avec toi pour que je calme mon manque, admit-elle entre deux caresses langoureuses déposées sur son anatomie, Aelya se laissant foudroyer par son propre désir que Niels faisait fleurir sous la beauté de son plaisir qu'elle percevait entre ses lèvres.

Elle le laissa inverser leur position peu après, soupirant d'envie au contact fiévreux de son bas ventre tendu contre son anatomie, savourant l'emprise qu'il avait sur son corps qu'elle lui offrait pour la vie.

- Je sais pas faire sans toi mon bébé... T'es tout ce que j'ai, y'a pas plus important que toi dans ma vie, renchérit-elle amoureusement, égayée par tout ce qu'il lui apportait tous les jours sans même s'en rendre compte.

Elle expirait bruyamment à chaque va-et-viens qui réchauffait son bas ventre, Niels qui savait exactement comment faire pour la pousser à bout, lui qui lui arracha un soupir lorsqu'il entra enfin en elle, les liant dans la même harmonie. Son bassin suivait ses mouvements, épousant à merveille les formes de son âme qu'elle accueillait pour toujours en elle.

- C'est prévu bébé... Je veux te voir exploser de plaisir, ajouta-t-elle malicieusement.

Elle le garda contre elle, laissant leurs peaux se chevaucher, se coller dans la chaleur dans leur étreinte. Elle se sentait vivre dans le plaisir qu'il administrait en masse dans ses veines, ses muscles qu'elle sentait se contracter et se détendre à chaque fois qu'il se rapprochait d'un peu plus près d'elle, lui qui maniait le rythme de leur danse d'une main de maître. Elle tendit vivement son corps lorsqu'il se retira pour laisser ses lèvres basculer entre ses cuisses, déclenchant en elle un incendie incontrôlable d'endorphines.

- Punis-moi toute ma vie comme ça bébé, je pourrais vraiment être pas sage du tout pour y avoir le droit... Joua-t-elle, expiant son plaisir de plus en plus fort jusqu'à le crier, ses cuisses se contractant à mesure qu'il se délectait de sa peau. Oui bébé, oui, reviens me faire l'amour tout de suite, lança-t-elle comme dans une supplication, soufflant en sentant son amour revenir en elle, gémissant sous la cadence de leurs gestes plus saccadés. T'es trop doué mon bébé, t'es un dieu au lit, ajouta-t-elle dans un souffle arraché par l'envie, fermant ses cuisses sous sa pression pour crier davantage, laissant sa voix se percuter contre les murs, ses ongles accrochant son dos jusqu'à l'atteinte de l'orgasme qu'elle rejoignit avec son amour, criant une dernière fois son prénom, ses mots d'amour qui n'avaient que lui en destinataire. J'crois qu'on est plus dans l'illégalité pour la moralité ouais bébé, s'amusa-t-elle, ses mains glissant doucement dans son dos pour le caresser. On est mariés pour de vrai bébé... J'y crois pas... Murmura-t-elle tendrement, regardant son alliance s'agiter doucement sur sa peau alors qu'elle continuait ses caresses, ses lèvres venant déposer des baisers sur sa tête. J'ai pas envie que tu te décales amour... On fait comment du coup ? Pouffa-t-elle, le serrant très fort contre elle au même moment.

Il était fier de la vie qu’ils menaient, de leur évolution, eux qui avaient toujours pensé que la réussite ne ferait jamais partie de leur quotidien avant de tomber l’un sur l’autre. Il le pensait Niels, avec toute son âme, qu’Aelya était sa plus belle réussite, la seule dont il serait éternellement fier, parce-qu’elle lui avait fait ouvrir les yeux sur son existence entière, lui donnant une importance qu’il n’avait jamais su entrevoir auparavant. « On va être bien tous les deux mon amour… Et évidemment que tu me feras des bisous et des câlins, j’survis pas sans ça moi bébé… » Ajouta-t-il avec un sourire, lui qui ne se lasserait jamais des marques d’attention de son amour, complètement accro à son affection qu’il ne refuserait jamais. « J’tuerai pour toi bébé… Pour que tu sois qu’à moi toute la vie. » Souffla-t-il contre ses lèvres, ne se privant pas pour continuer de l’enflammer dans ce baiser langoureux où sa respiration se hacha, provoquée par les caresses brûlantes de son amour contre son anatomie. Il aurait pu exploser de passion pour elle, lui qui attrapait les draps à chaque vague de plaisir pour tenter de se maîtriser, percevant les lèvres de son amour se resserrer autour de son anatomie. « Bébé… Tu me fais trop du bien là… » Soupira-t-il, tendant la nuque pour la regarder s’abandonner à lui, son membre dressé d’envie emprisonné par les va-et-viens de ses lèvres qui le tourmentaient avec passion, jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus, l’obligeant à s’extirper de son emprise pour lui faire subir son excitation inarrêtable. « Jamais j’te lâche bébé… J’suis à toi pour toujours. » Murmura-t-il, s’immisçant doucement en elle, lui laissant l’occasion de profiter des sensations que son corps pouvait lui offrir, lui se mouvait avec envie en elle, gérant la cadence de leur ébat pour qu’elle puisse prendre du plaisir. « J’veux t’offrir un orgasme aussi mon amour… » Murmura-t-il à son oreille, son bassin chevauchant le sien, claquant de plus en plus fort contre sa peau, eux qui expiaient ensemble leurs gémissements de plaisir, les lèvres de Niels rejoignant celles de son amour pour étouffer leurs soupirs bruyants. Il avait en lui l’idée de la rendre folle, comme elle l’avait fait avec lui pour l’exciter davantage, Niels glissant son visage entre ses cuisses pour s’occuper de la caresser chaudement, ses lèvres la dévorant avec envie. « J’compte te punir comme ça tous les jours bébé… T’échapperas pas à ta sentence. » Murmura-t-il chaudement, sa langue valsant habilement contre son anatomie, Niels l’empêchant de refermer ses cuisses pour continuer de lui faire subir cette délicieuse torture. « J’suis là mon bébé… » Lâcha-t-il en revenant contre elle, son corps s’emboîtant de nouveau au sien, reprenant ses ondulations de plus belle, faisant taper le lit contre le mur de leur chambre qui se réchauffait par la chaleur émanant de leurs corps. « Faut bien que je fasse du bien à ma femme... » Murmura-t-il dans un soupir, maintenant ce rythme soutenu jusqu’à ce qu’ils atteignent le sommet de leur plaisir, Niels déversant toute sa passion dans le corps de sa femme qui se détendait en même temps que le sien, refusant de se détacher trop vite d’elle. « On pourra plus rien nous dire bébé. » S’amusa-t-il, nichant son visage entre son cou et l’oreiller, frémissant à ses caresses dans son dos. « T’es heureuse mon amour ? » Demanda-t-il après sa remarque, lui qui ne désirait que ça, ayant ce besoin de la savoir épanouie avec lui. « J’ai pas envie d’aller de mon côté du lit bébé… J’suis trop bien comme ça, en toi… » Répondit-il, amusé par cette habitude qu’ils avaient à rester l’un contre l’autre après avoir fait l’amour, Niels s’étendant en passant ses bras sous son oreiller, renforçant leur étreinte autour de son amour qui l’avait enlacé. « T’es mon paradis… Fais moi encore des bisous bébé, j’suis accro. » Ajouta-t-il relevant le visage vers elle pour tendre ses lèvres vers les siennes, en demande de son affection.

Elle avait envie là tout de suite de ne jamais revenir, de vivre au travers des étoiles qui rayonnaient dans les lumières des buildings avec son amour. Elle avait l'impression d'avoir fait un bond dans le futur, elle qui était maintenant mariée à l'homme de ses rêves, partageant avec lui une maison et un chien, créant autour d'elle tout ce qu'elle n'avait jamais osé imaginer.

- On va bien se détendre que tous les deux mon amour à moi... Ça fait du bien d'être loin de tout avec toi, avoua-t-elle tendrement, Niels qui était son refuge, sa maison avant celle qu'il possédait, Aelya étant capable de le suivre n'importe où parce que c'était sa manière de survivre, d'être en vie. Et tu sais quoi...? Je t'aiderai à cacher le corps si jamais, joua-t-elle de manière complice, fondant sur ses lèvres qu'elle faisait rougir sous ses pressions passionnées, sa langue se mêlant à la sienne avant que sa bouche ne glisse sur son anatomie raidie par le plaisir, celui qu'elle faisait valser entre ses lèvres qui se repulpait à son contact chaleureux. Crie encore bébé... Pour moi, le tenta-t-elle chaudement en accélérant la danse de sa main autour de son bas ventre, ses lèvres revenant à son membre pour mieux le goûter, le regard d'Aelya s'assombrissant de désir à chacun de ses souffles arrachés. J'irais pas loin sans toi bébé, renchérit-elle, animée par son amour qui s'immisca en elle, tourmentant un peu plus son désir en jouant avec le rythme de son bassin, la chaleur dans son corps décollant sous son emprise alors que ses hanches dansaient en même temps que les siennes. T'es sur le bon chemin comme d'habitude, avoua-t-elle en souriant contre ses lèvres qu'elle mordillait dans la fougue, sa peau rougissant au contact de la sienne qui claquait dans l'écho de leurs respirations bruyantes, avant que Niels ne chute entre ses cuisses, ses lèvres emprisonnant son anatomie. Han... Bébé... T'es beaucoup trop dangereux pour que je résiste à tes punitions de toute façon, joua-t-elle, blotti dans son plaisir qui prenait forme dans la cambrure de son corps qui s'arquait, dans ses expirations mêlées à ses gémissements, sa peau frissonnant à chaque fois qu'il y laissait glisser sa langue.

Au bord de l'explosion, les doigts enfouis dans ses cheveux, elle cria de plaisir, laissant son amour revenir à sa hauteur pour se blottir dans son corps encore une fois.

- Tu m'as manqué bébé, admit-elle, se mordant la lèvre, ses mains pressant ses flancs alors qu'il ondula contre elle plus rapidement, ses cuisses continuant de le piéger contre son bassin, alors que les draps se défaisaient à mesure que le lit tapait contre le mur. Tu le fais divinement bien... Répondit-elle, ayant envie que son amour sache à chaque fois à quel point il lui faisait perdre la tête, son corps se contractant une dernière fois lorsqu'ils parvinrent au nirvana, restant enlacée à son amour. Qui nous disait quelque chose bébé ? Que je le frappe déjà, pouffa-t-elle, prenant un air faussement sérieux. Je suis la plus heureuse avec toi... Murmura-t-elle à son oreille, ses doigts valsant dans son dos avec amour. Vas-y pas bébé... Il fait trop froid là-bas en plus. T'es bien en moi, lâcha-t-elle, faisant mine de vouloir le convaincre, savourant ce moment tendre et complice alors que Niels avait resserré son étreinte. Tous les bisous que tu veux même... Sourit-elle avant de fondre sur ses lèvres rapidement, laissant les siennes se déposer partout sur son visage pour l'amuser. Satisfait ? Demanda-t-elle, amusée, enroulant sa jambe autour de la sienne entre les draps. Bébé... Tu m'apaises tellement que je pourrais dormir comme ça là. J'suis tellement crevée que j'ai même pas la force d'allumer une clope, pouffa-t-elle, ses yeux se fermant doucement.

Il touchait les étoiles avec elle, sa présence chaleureuse ayant toujours réussi à réchauffer son corps et son coeur qui ne battait que pour elle, que pour la chance de voir des sourires naître sur ses lèvres. Niels aurait tout donné pour continuer d’effleurer le paradis d’aussi près, parce-qu’il vivait un rêve avec Aelya, elle qui avait su lui donner tout ce dont il avait cruellement manqué avant leur rencontre. « On est bien tous les deux bébé, on s’amuse bien ensemble. » Ajouta-t-il avec un sourire attendri, Niels qui n’avait jamais douté du fait qu’en plus d’être la femme de sa vie, Aelya était aussi sa meilleure amie, sa complice de toujours, celle qui le comprenait en un échange de regards. « On formera toujours la meilleure équipe du monde toi et moi. » Répondit-il avec un air malicieux, adorant savoir que son amour le suivrait toujours dans ses idées sans émettre le moindre jugement. Leur baiser s’était intensifié sous leurs souffles saccadés, les lèvres de Niels emprisonnées chaudement par celles d’Aelya qui ne tarda pas à faire glisser sa bouche vers le bas de son corps, atteignant la partie la plus sensible de son anatomie pour le faire vibrer de plaisir. « M-Mon amour… » Gémit-il, sa cage thoracique se bombant alors que sa respiration se faisait plus profonde, lui qui expiait chaque vague de plaisir par des gémissements évocateurs de tout le bien que lui procurait son amour. A bout de souffle et follement attiré par son corps, Niels mit fin à la torture, pénétrant dans l’intimité de son amour avec une fougue perceptible, ses pupilles dilatées par l’envie le trahissant. « J’vais atteindre mon objectif, tu sais à quel point j’suis motivé pour ça… Quand il s’agit de ton plaisir… » Lâcha-t-il, se mordant la lèvre alors qu’il regardait Aelya avec une envie d’elle qui ne pouvait pas lui échapper, soufflant tout son plaisir alors que leurs corps se répondaient dans des ondulations félines, jusqu’à ce que Niels ne décide de s’occuper chaudement d’Aelya, prenant soin de son corps comme elle l’avait fait avec lui. Ses lèvres et sa langue s’activaient entre ses cuisses, stimulant ses points faibles pour l’entendre gémir son prénom. « Et t’adores ça que j’sois dangereux bébé… » La provoqua-t-il, ses lèvres réchauffant son anatomie déjà brûlante, sa langue allant et venant pour la caresser amoureusement, finissant par céder à leur envie mutuelle de se lier à nouveau. Blotti contre elle, il retrouva son regard qui ne cessait de le faire fondre, s’agitant encore dans la profondeur de son bassin qu’il percutait avec le sien. « J’te manque moins là…? » La tenta-t-il, désirant compléter son âme et son corps à merveille pour qu’elle ne puisse jamais ressentir un quelconque manque d’amour. Il augmenta la cadence de leur échange, faisant en sorte qu’Aelya puisse ressentir chacun de ses mouvements, lui qui fondit en elle en sentant l’orgasme le percuter, son coeur tapant à travers sa cage thoracique alors qu’il éteignit l’incendie de leur ébat plus tendrement, s’étendant contre le corps brûlant de sa femme. « Y’a personne qui osait nous dire quoique ce soit, ils savaient tous qu’il fallait pas nous chercher sur ça t’façon. » Joua-t-il, amusé par cette pensée qui les définissait bien, sa peau frissonnant au passage de ses doigts. « Et moi le plus heureux bébé… » Murmura-t-il, attendri par ce doux échange, par leur manière de toujours vouloir rester l’un contre l’autre. « C’est vrai que j’suis trop bien ici bébé, tu me tiens bien chaud… » Murmura-t-il, lui qui s’était étendu un peu plus contre elle, son bassin toujours lié au sien, Niels souriant en sentant les lèvres de son amour percuter vivement les siennes. « Ouais c’est bien comme ça. Tu peux continuer. » Joua-t-il, toujours gourmand quand il s’agissait d’elle et de son affection. « Moi aussi j’suis crevé bébé, j’ai pas la force bouger… On peut dormir un peu comme ça, nan ? » Demanda-t-il, replaçant sa tête entre son oreiller et son visage, Niels tendant la nuque pour embrasser sa joue. « Dors mon bébé… Je t’aime. » Souffla-t-il, sa main remontant vers sa chevelure pour la caresser, l’aidant à s’endormir, trouvant également le sommeil quelques instants plus tard. Il se réveilla au petit matin, se rendant compte qu’il s’était décalé pendant la nuit pour laisser plus de confort à son amour, Niels ouvrant les yeux, tombant directement sur le visage endormi de sa femme. Attendri par ses traits angéliques, il ajusta le drap sur son corps dénudé, décidant de la laisser profiter de son sommeil pour s’occuper d’appeler le room service afin qu’ils puissent profiter d’un petit déjeuner en amoureux. Un sourire étira ses lèvres lorsqu’il remarqua la présence de l’alliance sur sa main, cette vision faisant battre son coeur un peu plus vite, l’idée d’être lié de cette manière à l’amour de sa vie le rendant profondément heureux.

Elle n'aurait jamais été capable de délaisser son amour, même si cela aurait pu sous-entendre qu'elle se serait moins déchirée dans le manque, dans le remord, dans la peine. Parce qu'aimer lui avait également apporter l'autre revers de la médaille pour la combler dans un bonheur réel, ressenti, sans tous les artifices qu'elle avait pu tenter d'apposer avant sur son quotidien pour essayer de s'y complaire sans y arriver. Niels l'avait fait décoller de son Enfer pour l'amener dans les nuages, là où ils se retrouvaient dans leur intimité amoureuse.

- T'es le meilleur partenaire de jeu que je pouvais avoir bébé, et dans tous les sens du terme, répondit-elle dans un sourire en coin, Niels qu'elle suivrait dans toutes ses idées juste pour se rapprocher encore de lui, le seul qui la faisait vivre. J'serais capable du pire t'façon si tu me remplaces, admit-elle, ne sachant même pas réellement si elle exagérait réellement son propos, quand elle mettait en lumière ses agissements vis-à-vis de Niels qu'elle cherchait constamment à ramener vers sa propre personne.

Elle caressa ses lèvres chaudement avant de faire glisser les siennes sur son anatomie, tentant de le pousser dans les retranchements de son plaisir qu'elle testait, Aelya qui essayait de l'étirer au travers de ses caresses langoureuses pour qu'il ne pense plus qu'à ce moment, à lui-même entrain de doucement s'agiter sous son effet. Elle sentit son coeur louper un battement à son gémissement, l'incitant à continuer d'embraser son bas ventre qui se durcissait entre ses lèvres, Aelya qui perdait toute notion de sagesse sous la vision de son amour qui subissait délicieusement son emprise. Elle s'arrêta à son initiative fougueuse qui l'emprisonna dans son étreinte, son corps le laissant entrer pour  que leurs âmes ne fassent qu'une.

- Il te faut pas beaucoup pour me pousser à bout toi, tu connais toutes mes faiblesses aussi, c'est trop facile pour toi... S'amusa-t-elle, débordée par ce plaisir qui irradiait dans ses veines, Niels qui la remplissait de sa présence brûlante tandis que son corps lui répondait, avant qu'elle ne tende sèchement la nuque dans l'oreiller lorsque ses lèvres trouvèrent refuge entre ses cuisses, Aelya se laissant dépasser par cette vague de plaisir qui faisait onduler ses hanches. Putain oui, sois encore plus dangereux même mon amour... Expia-t-elle, joueuse, le corps épris de spasmes sous l'assaut de ses lèvres sur son anatomie, Aelya criant son prénom qui résonnait avec tout le désir qu'elle avait pour lui, laissant son amour lui revenir pour posséder son corps de nouveau, lui qui ne laissait aucune pause à son plaisir qui l'incendiait. Un peu moins, mais c'est pas encore ça... Le tenta-t-elle à continuer, à approfondir ses ondulations pour que leurs bassins ne se chevauchent davantage, la brune caressant son dos fougueusement, jusqu'à lui laisser des marques de son passage fiévreux, ses cuisses l'enfermant tout contre elle jusqu'à l'apothéose qui la foudroya dans un dernier gémissement, sa respiration s'ébruitant encore lorsqu'il vint s'étendre sur son corps. Personne m'empêche de profiter des talents de mon mari c'est clair. J'aime beaucoup trop l'aimer comme ça mon bébé, avoua-t-elle, amusée par leur manière de se donner l'un à l'autre, Aelya souriant tendrement lorsque Niels lui confirma qu'il était lui aussi heureux, ses douces caresses se déployant sur sa peau humide. Y'a que comme ça que tu me manques moins bébé... Sinon après je subis trop, admit-elle, avant d'embrasser ses lèvres, laissant ses baisers glisser partout sur son visage, s'attendrissant à sa volonté d'en avoir toujours plus d'elle. Oui bébé. J'pense que c'est plus sage qu'on reste collés comme ça, qu'on tente de bouger. On va pas prendre le risque de prendre froid, s'amusa-t-elle en feignant un air sérieux, son regard détaillant le visage de son amour qui était venue poser sa tête juste à côté de la sienne. Toi aussi mon amour... Je t'aime, souffla-t-elle en appréciant son baiser sur sa joue, sa main venant doucement caresser la sienne qui était posée sur son visage avant de sombrer dans le sommeil.

Elle sombra dans ses songes durant quelques heures, continuant à dormir lorsque Niels se réveilla en premier. Apaisée par leur soirée, elle n'avait même pas remarqué qu'ils s'étaient détachés dans la nuit, chose qu'elle comprit en tout cas lorsqu'elle ouvrit les yeux, faisant face à son vide dans le lit.

- Mon bébé... T'es où... ? Lâcha-t-elle, à moitié réveillée avant de remarquer sa présence dans la pièce. Viens là toi... J'veux tes câlins amour, ajouta-t-elle, souriant à face à son amour. J'me souviens qu'on a une journée en amoureux mariés à préparer, s'amusa-t-elle, conquise par ses souvenirs.

Il aurait accepté de revivre toutes ses peines, tous ces instants où ils s’étaient déchirés, entre les larmes et les cris, juste pour pouvoir en arriver de nouveau à ce qu’ils étaient devenus. Parce-qu’au-delà des nuits sombres qu’il avait passé sans elle, le bonheur qu’elle lui apportait quotidiennement surpassait n’importe quelle peine, eux qui avaient su se sortir de l’ombre pour rayonner à nouveau. « T’es la meilleure acolyte du monde mon amour… T’es aussi barge que moi, j’adore ça. » Pouffa-t-il, son regard complice trouvant le sien alors qu’elle avait appuyé sur les sous-entendus pour l’attirer dans ses filets. « T’as aucune remplaçante bébé. T’es pas quelqu’un qu’on oublie toi. » Murmura-t-il, caressant ses lèvres qui ne faisaient qu’empirer sa faim d’elle, son envie qui se décuplait au fil des minutes pour devenir insoutenable quelques instants plus tard, sous les lèvres brûlantes de son amour qui allaient et venaient contre son anatomie. Ses gémissements devenaient de plus en plus bruyants, Niels qui subissait ce plaisir enivrant jusqu’à ce qu’il ne vienne contre sa femme pour la posséder entièrement, son corps s’immisçant dans son être avec une envie inégalable. « Tant mieux non…? Le but c’est que tu prennes ton pied mon amour… » La tenta-t-il avec un air joueur, Niels ramenant le bassin d’Aelya contre le sien pour mieux la sentir, ses ondulations se calant sur un rythme plus rapide, leur extirpant des soupirs de plaisir. Décidé à la pousser à bout, il entreprit de faire glisser ses lèvres entre ses cuisses, jouant avec son désir qu’il géra par le biais de sa langue qui s’agitait contre son bas ventre humidifié par l’excitation. « Tout ce que tu veux bébé… » Murmura-t-il, son souffle chaud se percutant contre sa peau nue, sa bouche continuant de la dévorer jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus, ses mots et son ton suppliant l’incitant à revenir contre elle pour la posséder à nouveau. Il arqua un sourcil amusé à ses mots, accélérant la cadence et la profondeur de ses coups de rein pour le faire devenir plus bruyante, son regard ne quittant pas le sien. « Et maintenant…? » Souffla-t-il, dans un soupir de plaisir, Niels refusant de diminuer le rythme de leur ébat, finissant par exploser d’amour et de passion contre elle quelques instants plus tard. « Crois-moi qu’il aime vraiment trop aussi… » Répondit-il avec un sourire tendre et amoureux, Niels gardant sa position contre son amour, bien trop détendu par sa présence et sa chaleur pour se décaler de son corps. « Moi aussi j’suis pas bien quand on est pas ensemble… Y’a rien qui me fait envie sans toi bébé. » Ajouta-t-il, tendant ses lèvres vers les siennes pour les attraper amoureusement, fermant les yeux lorsqu’il reçut les baisers de son amour sur son visage. « Ouais j’suis d’accord bébé. Surtout que j’suis tout nu là, j’pourrais vite attraper froid là. » Se justifia-t-il avec un air amusé, sa main venant rejoindre la chevelure de sa femme pour la détendre, déposant un dernier baiser sur sa joue avant de s’endormir sous l’écho ses mots d’amour. Il ouvrit les yeux en premier le lendemain matin, immédiatement apaisé et attendri par son amour qui dormait encore profondément à ses côtés, lui qui aurait pu la contempler comme ça pendant des heures. Mais il voulait que la journée soit parfaite, à l’image de la soirée qu’ils avaient passé la veille, Niels prenant l’initiative de leur commander un petit déjeuner copieux. Enfilant un boxer au passage, il s’arrêta sur la vue que leur offrait leur chambre sur les buildings de Las Vegas, son regard absorbé par le paysage avant que la voix de son amour ne vienne faire battre son coeur, l’incitant à la rejoindre. « J’suis là mon bébé d’amour. » Répondit-il avec un doux sourire, venant la rejoindre dans le lit pour satisfaire son réveil, s’installant entre ses cuisses pour embrasser amoureusement son visage. « T’es trop belle le matin toi. T’es belle tout le temps, même quand t’as une bouille fatiguée mon amour. » Murmura-t-il, habillant sa peau de baisers, trouvant ses lèvres quelques fois. « Tu te souviens bien oui… » S’amusa-t-il, venant chercher ses deux mains pour y lier les siennes, les emprisonnant de part et d’autre de son visage, sa bouche venant glisser dans son cou. « C’est une torture de pas te dévorer toi… » Murmura-t-il, embrassant amoureusement sa peau, remontant sur sa mâchoire, sa main droite sentant la présence de l’alliance sur le doigt de son amour. « J’adore te voir porter cette bague bébé… »