you're the best i ever had. -hot- (niels)

A plus de dix milles kilomètres de leur quotidien, elle avait besoin de s'imprégner d'espoir quand à Bowen, elle s'était vue tombée dans son angoisse. Cette boule au ventre qui ne l'avait pas quitté alors que ses cauchemars lui avaient rappelé tous les jours qu'ils pouvaient être menacés, qu'ils pouvaient être séparés. Elle savourait le doux voile que la légèreté déposait sur sa peau, le sourire de son amour qu'elle admirait sans plus aucune arrière pensée obscure, celle qui avait plané sur leur relation à cause de la peur de le perdre.

- Fais le, lança-t-elle, le regard brillant de défi, Aelya qui n'en aurait jamais marre de voir sa peau brûler à son contact, venant mordiller sa lèvre à son murmure qui intensifiait la délicieuse tension entre eux. Bébé... J'étouffe sans toi... Ajouta-t-elle contre ses lèvres, le bassin en feu, son amour embrasé par son souffle qui s'étendait sur les braises de son désir, Aelya qui aurait aimé le sentir contre elle, qui aurait voulu le piéger dans son vide qu'elle adorait le voir combler. Pour créer notre famille bébé... Il nous faut surtout beaucoup de nous et beaucoup d'amour, sourit-elle dans un air presque innocent tant il était tendre.

Elle se créait une bulle avec son amour, s'enchainant à lui sous la houle magique qui les entrainait tous les deux dans un univers qui calmait les ardeurs de leur crainte, les laissant profiter de ce qui comptait le plus, leurs âmes qui se tentaient pour mieux se rapprocher dans la lueur des néons. Son regard ne regardait que lui, le chef d'oeuvre de sa vie, ses bras qui s'ouvraient dans l'obscurité comme pour l'amener encore et toujours à tomber pour lui. Et c'était tout ce qu'elle savait faire, tout ce qui pulsait dans ses veines, son corps chaud dansant tout près du sien avant qu'elle n'attrape ses lèvres dans un élan d'amour possessif, cette urgence qui n'attendait rien ni personne, qui la happait pour mieux le protéger. Elle sourit à sa remarque, ses lèvres grignotant sa peau avec avidité, avec gourmandise, marquant son empreinte pour que le monde entier ne sache à quel point l'encre de son amour était plus que incrustée dans son âme.

- Et moi je retiens ma main de plonger dans ton jean... Joua-t-elle chaudement, ses mains glissant sur son torse pour effleurer doucement le bouton de son jean, Aelya perdant la tête sous l'effet de l'envie qui régnait entre eux et qui ne se calmait pas, jusqu'à ce que Niels ne s'éclipse, Aelya faisant connaissance avec une jeune femme qui lui offrit de quoi s'amuser. C'est pas ma faute bébé si elle est aussi sociable aussi, lâcha-t-elle, comprenant simplement que c'était dans le tempérament de la jeune femme, Aelya s'avançant vers son amour avec la pilule entre les lèvres, l'embrassant avec amour, dans le but de le rassurer mais également de lui faire comprendre ce qu'elle lui avait offert. Bébé... Tu crois vraiment que je l'aurais laissé me draguer ? Y'a que toi mon amour. Toi et toi seul, ajouta-t-elle en souriant, amusée par le petit jeu, par leur complicité alors qu'ils avaient tous les deux acceptés la pilule. T'es beaucoup trop sexy comme ça, admit-elle, joueuse, son coeur palpitant à son compliment. Tu me fais craquer quand tu me regardes comme ça... Souffla-t-elle, le regard amoureux, le regardant finir son verre. Toujours et pour toujours bébé, répondit-elle malicieusement avant de boire ce qu'il restait dans son verre, sa tête commençant à tourner, sa vision à se troubler. Bébé. J'commence à être défoncée, rit-elle, sautant dans les bras de son amour pour remplir son visage de baisers, la drogue la poussant à exacerber son amour. Je t'aime à la folie mon amour, y'a rien de plus important que toi dans ma vie tu sais... Ajouta-t-elle amoureusement. Bébé, il fait trop chaud ici à cause de toi, ça te dit on sort ? Proposa-t-elle, amusée, faisant référence à son charme qui la foudroyait.

Ils avaient enfin l’occasion de souffler, de lâcher prise, eux qui avaient dû être sur la retenue pendant les dernières semaines à cause de la peur qui les avait figé dans leur quotidien. Niels avait enfin l’impression d’être libre, dans les bras de son amour dont le sourire resplendissait depuis qu’ils avaient quitté Bowen. Il s’amusait à la tenter, à l’approcher avec une malice qui ne le quittait jamais, son affection brûlante se déposant sur sa peau. « Bébé… Tu vas vraiment nous faire rester dans la chambre une semaine si tu continues… » Souffla-t-il à son oreille qu’il mordilla, avant qu’Aelya ne se retourne, son bassin se butant au sien alors que sa main faisait de doux va-et-viens sur sa cuisse. « Reste pas sans moi alors… Embrasse-moi tout le temps. » Murmura-t-il, effleurant ses lèvres, s’en emparant dés qu’il le pouvait, lui qui brûlait de désir pour sa femme. « Beaucoup beaucoup beaucoup d’amour… » Répéta-t-il, insistant sur ses mots alors qu’il répondait à la tendresse de son sourire, rêvant de pouvoir bientôt franchir le pas avec elle, désirant la voir porter leur enfant derrière son ventre arrondi. Pour l’instant, il n’était question que d’eux et de cette semaine qui leur appartenait, Aelya et Niels se retrouvant au beau milieu d’une boîte de nuit pour commencer les festivités, leurs corps se retrouvant l’un contre l’autre lorsqu’ils eurent fini leurs premiers verres. Et la proximité avec ses courbes, avec la chaleur de ses lèvres lui donnait le tournis, Niels qui sentait son coeur battre à mille à l’heure dés lors qu’il s’immisçait dans la profondeur de ses prunelles. Sa peau se chargeait de frissons à chacun de leur baiser passionné, elle qui savait parfaitement comment lui faire de l’effet, les regards qu’il lui lançait ne pouvant pas lui échapper. « Bébé… » Souffla-t-il contre son visage, ses muscles abdominaux se contractant lorsqu’elle y fit glisser ses mains pour aller buter au niveau de sa ceinture, le bruit des basses camouflant son soupir. « Si ça tenait qu’à moi, je t’aurais emmené dans les toilettes bébé… J’suis trop excité… » Lâcha-t-il, embrassant Aelya avant de leur donner quelques minutes de répit pour que la tension redescende un peu, revenant avec deux verres en main. « Faut les fuir les gens comme ça bébé… » Dit-il sur un ton jaloux, lui qui savait que les femmes étaient bien plus subtiles dans le jeu de la séduction, et c’était sûrement ce qui l’avait le plus inquiété lorsqu’il avait vu l’inconnue en compagnie de sa fiancée. Il avait finalement compris de quoi il était question lorsqu’Aelya l’embrassa pour lui donner la pilule, Niels esquissant finalement un sourire alors que son corps se détendait enfin. « J’imagine qu’elle est douée avec les mots vu qu’elle est sociable… » Dit-il en roulant des yeux, aimant lui faire comprendre qu’il était jaloux et qu’il se méfiait de chaque personne qui l’approchait d’un peu trop près à son goût. « C’est pas de ma faute si tu m’hypnotises aussi… » Murmura-t-il, la dévorant littéralement du regard, l’incitant à finir son verre, un sourire joueur aux lèvres, avant qu’il n’ouvre les bras pour la réceptionner lorsqu’elle s’accrocha à lui, riant à son tour. « Tant mieux, ça signifie plus de bisous pour moi. » S’amusa-t-il, appréciant cette tonne d’affection qu’elle lui donnait, Niels trouvant ses lèvres pour l’embrasser plus longuement. « Je t’aime tellement aussi, t’es tout pour moi mon amour, y’a rien qui passe avant toi. » Avoua-t-il, les lèvres rougies par l’intensité de leurs échanges. « Moi aussi j’ai chaud, c’est toujours le cas quand t’es dans les parages… » La complimenta-t-il, prenant sa main pour l’attirer dehors, n’attendant pas plus longtemps pour la plaquer contre le mur du bâtiment pour l’embrasser fougueusement, ses mains glissant fiévreusement sur ses hanches. « Putain bébé… je t’aime trop… » Souffla-t-il, incapable de retenir sa fougue, ses lèvres dévalant sur sa mâchoire puis dans son cou, Niels s’autorisant à déposer des baisers jusque dans son décolleté. « Arrête-moi bébé… »

Elle ne regrettait aucune décision prise, parce que tout la ramenait à eux qu'elle cherchait à préserver pour voir leur amour régner, leur relation passant en priorité. Le monde pouvait bien crever qu'Aelya, elle, tant que Niels s'immortaliserait dans leur étreinte, elle se fichait du reste, laissant l'égocentrisme qu'elle portait à leur lien se révéler au-delà des falaises qu'ils surmonteraient toujours à deux.

- Tu veux vraiment que j'arrête... T'es sûr... ? Joua-t-elle malicieusement, son corps ondulant légèrement contre le sien, cherchant à l'attirer davantage dans ses filets, Aelya se sentant brûler sur place lorsque les lèvres de son amour était venues taquiner son oreille, la poussant à s'abandonner à son regard qui la dévastait de désir. C'est pas ce que je fais déjà ? Sourit-elle, venant l'embrasser juste après, savourant leur manière se tourner autour. Et éternellement, ajouta-t-elle à ses mots, son sourire lui répondant.

Elle se sentait invincible ici, loin des tourments qui les avaient tous les deux altérés. Elle ne cherchait que ça Aelya, vivre dans son regard pour l'éternité même si cela signifiait d'écorcher son âme pour y parvenir. Elle n'était rien sans lui, et si ses mots ne représentaient jamais ce qui palpitait dans son coeur, ses lèvres, son regard qui dansait sur ses traits parlaient pour elle. Elle avait ce besoin viscéral de le sentir sous la pulpe de ses doigts, et la liaison de leurs corps au milieu de la foule rappelait la collision de ses cellules avec les siennes, celle qui avait ramené la vie dans ses veines. Elle avait accaparé sa bouche, puis son cou pour chercher son attention, elle qui se sentait mourir dès l'instant où ses beaux yeux s'en allaient ailleurs.

- Tu sais que j't'aurais jamais dit non amour... J'te veux partout... Susurra-t-elle fiévreusement, ses doigts dansant à la lisière de son jean, piégés dans son désir qu'elle rêvait d'assouvir avant qu'ils ne se séparent, se retrouvant après qu'Aelya ait attisé sans le vouloir sa jalousie. Bébé. Y'a jamais eu personne d'aussi dangereux que toi pour me séduire, le rassura-t-elle, elle qui savait à quel point il était facile de tomber ses bras, ses lèvres venant lui transmettre le remontant qu'on venait de lui offrir. Pas autant que toi, renchérit-elle en secouant la tête de manière amusée. T'es le plus sexy bébé, le plus parfait... T'as mis la barre trop haute pour le monde entier, le complimenta-t-elle, cherchant à lui faire savoir que jamais personne ne pourrait l'avoir comme il l'avait. Ouais, comme si t'en avais pas assez, rit-elle, venant se coller à lui, sentant l'alcool et la drogue se déverser en masse dans son corps après l'avoir avalé avec sa dernière gorgée, ses lèvres s'épuisant sur son visage avant d'être attrapées par les siennes dans un baiser amoureux. T'es ma vie mon bébé. T'es mon univers, ajouta-t-elle amoureusement, le souffle saccadé après leur baiser, Aelya souriant à sa remarque avant de lier ses doigts aux siens afin de sortir du lieu, son corps passionnément plaqué sur le mur sous le poids de son amour qui embrassait sa peau avec urgence. Bébé... Soupira-t-elle, en proie à un désir impérieux, ses mains se réfugiant dans ses cheveux, son souffle s'ébruitant à mesure qu'il grignotait son corps. Putain bébé... J'en suis incapable... Avoua-t-elle, ses mains glissant dans les poches de son jean, Aelya en profitant pour presser sa chute de reins, amenant son bassin à buter contre le sien. J'en peux plus... Bébé... Tu sais pas comme je t'aime, comme tu me fais perdre la tête là... J'suis trop brûlante... Murmura-t-elle, en proie à son envie invasive. J'crois que faut que j'émette une distance de de sécurité avec ton corps c'est pas possible là... Mais j'ai pas envie d'être sage... Sourit-elle, joueuse, savourant le contact de son corps contre le sien, oubliant tout ce qu'il pouvait se passer autour d'eux.

Le monde pouvait bien être ravagé par les pires catastrophes, quitte à s’écrouler autour d’eux, que Niels continuerait de ne s’intéresser qu’à elle, qu’à eux et à cette histoire pour laquelle il donnerait sa vie. Parce-qu’il n’y avait rien de plus beau que la manière avec laquelle ils s’aimaient, au-delà des tourments et jusque dans les abysses les plus profondes. « Si j’avais le choix, j’te voudrais nue contre moi vingt-quatre heures sur vingt quatre bébé… Alors nan, c’est pas vrai, j’veux pas que t’arrêtes… » Murmura-t-il, fondant de désir pour elle, pour chaque frisson qu’elle faisait naître sur sa peau brûlante d’envie. « J’en veux toujours plus. Tu sais à quel point j’suis gourmand non ? » La tenta-t-il, acceptant son baiser qu’il prolongea amoureusement, répondant à son sourire avant qu’ils ne décident enfin de débuter leur soirée, l’un contre l’autre, comme à leur habitude. Parce-que rien n’importait dés qu’Aelya était dans son champ de vision, dés qu’elle lui donnait de l’attention, lui qui espérait capter la sienne pour la posséder intégralement. Ils étaient fidèles à eux-mêmes, continuant de tomber amoureux dés qu’ils le pouvaient, dés que leurs lèvres se retrouvaient pour partager ce qu’ils avaient de plus cher. « Je sais bébé… Mais c’est pas ici, ni comme ça que j’ai envie de te faire l’amour… » Murmura-t-il, conscient qu’elle méritait plus que ce qu’ils avaient en tête pour s’abandonner l’un à l’autre, lui qui désirait toujours lui offrir ce qu’il y avait de mieux, quitte à devoir patienter jusqu’à la fin de la soirée. « T’es qu’à moi bébé, j’veux pas savoir qu’il puisse y avoir quelqu’un d’autre entre nous… » Ajouta-t-il, rassuré par les mots qu’elle avait à son égard, juste avant qu’Aelya ne lui offre une pilule par le biais d’un baiser. « Le plus jaloux aussi… Qu’elle revienne pas te voir quand même, parce-que j’vais la renvoyer d’où elle vient moi. » Lâcha-t-il, déployant ses bras autour d’elle comme une envie de protéger son trésor, buvant le reste de son verre avant de s’intéresser de nouveau à l’amour de sa vie et à l’affection qu’elle déposait en masse sur son visage. « J’suis accro à tes lèvres bébé, j’y peux rien moi. » Dit-il malicieusement pour justifier son besoin de recevoir son amour, l’embrassant longuement pour lui montrer sa dévotion, lui qui était voué à l’aimer jusqu’à la fin des temps. « Tu me rends trop heureux mon ange… » Souffla-t-il contre ses lèvres, finissant par emmener son amour à l’extérieur, leurs mains liées pour qu’ils ne puissent jamais se perdre, ayant à peine passé la porte que Niels se jeta à corps perdu sur Aelya, l’embrassant fougueusement. « J’peux pas te résister… J’suis pas fait pour ça… » Murmura-t-il entre chaque baiser qu’il déposa sur sa peau, son souffle saccadé par le désir qui continuait de grandir, Niels laissant un soupir s’échapper lorsqu’Aelya le rapprocha de son bassin en pressant sa chute de reins. « T’es tellement sexy toi… J’peux pas me contenir avec toi mon amour, j’rêve juste de t’arracher ta robe là. » Susurra-t-il, ses lèvres dévorant son cou, son bassin cherchant le sien pour la tenter encore et encore. « Une distance de sécurité… Bébé, même toi t’y crois pas. » S’amusa-t-il, s’écartant légèrement d’elle, la regardant avec une envie sans nom, ses cheveux ébouriffés par ses soins. « On peut compter combien de temps on tiendra… » Joua-t-il, l’air taquin, reprenant sa main pour l’emmener un peu plus loins. « Faut qu’on marche un peu mon coeur, sinon on va finir par dormir ici avec tout ce qu’on a pris. » Dit-il, ses doigts se nouant aux siens, continuant de découvrir la ville illuminée. « C’est con qu’on soit déjà bourrés bébé, on aurait pu aller s’amuser dans un casino. »

Piégée dans les abîmes de sa peine inconsolable Aelya, elle avait trouvé en Niels le seul remède à tous ses maux, l'unique pansement à ses blessures lorsque même les plus grosses coutures s'arrachaient. Elle avait besoin de sa présence pour faire éclater les rayons du soleil sur sa peau qu'il savait constamment réchauffer de ses mots, de ses caresses.

- J'te connais assez pour savoir que tu voulais tout sauf que j'arrête mon bébé... Souffla-t-elle, amusée, sombrant pour leur complicité fusionnelle qui emmêlait leurs âmes pour n'en créer qu'une. J'adore quand t'en demandes toujours plus... Avoua-t-elle amoureusement, attrapant ses lèvres dans un baiser qui se voulait amoureux, teinté de ce désir impérissable.

Elle se retrouva contre son corps quelques instants plus tard, dans la fièvre qui s'emparait d'eux alors que l'alcool se déversait dans leur organisme, laissant la musique rythmer leurs gestes, ses lèvres se retrouvant dès qu'elles le pouvaient sur les siennes, celles-ci glissant dans son cou dans une volonté de lui faire oublier tout le reste si ce n'était elle.

- Tu sais que je t'attendrai tout le temps de toute façon bébé... J'rêve que de toi, avoua-t-elle, elle qui le suivrait partout, dans les ténèbres comme dans la lumière si c'était pour l'imprimer encore une fois sur son coeur. Y'a personne, et ce sera toujours comme ça bébé. J'te promets, répondit-elle, cherchant à calmer cette vague de jalousie qu'elle ne comprenait que trop bien pour l'expérimenter très souvent. Je sais, j'te confiance, t'es le meilleur pour renvoyer les gens d'où ils viennent, s'amusa-t-elle après lui avoir donné la pilule, son corps se réfugiant dans son étreinte pour encore se complaire dans l'amour qui brillait dans son regard, suivant Niels qui termina son verre avant de plonger ses lèvres sur son visage pour le couvrir d'affection. J'fais bien de passer ma vie sur te lèvres alors, admit-elle sur le même ton, captant ses lèvres dans un long baiser. J'vais continuer à le faire mon bébé. Toute notre vie, promit-elle tendrement, Aelya n'ayant cette dévotion que pour lui, Niels qui lui avait appris à s'ouvrir dans ses sentiments avec une facilité déconcertante. Résiste-moi pas... Susurra-t-elle alors qu'elle se retrouva à l'extérieur, plaqué contre le mur bétonné de la boite de nuit, subissant les délicieux baisers que son amour déposait sur sa chair brûlante avant d'attirer son bassin contre le sien dans le même élan fougueux. Fais-moi ma fête ce soir bébé... Ajouta-t-elle chaudement, soupirant toute l'envie qu'elle possédait en elle, son bassin se réchauffant à mesure qu'il la tentait avec le sien. J'pourrais essayer si ça peut nous permettre de pas finir nus sur la voie publique, s'amusa-t-elle, laissant Niels s'écarter pour refroidir ses sens, son regard continuant de dévorer ses yeux et ses lèvres. Faudra qu'on tienne de toute façon. T'as pas le droit de me sauter dessus avant qu'on rentre, avança-t-elle, joueuse, prenant sa main avant de légèrement rire à sa remarque qu'elle ne pouvait contredire vu leur état. Et pourquoi pas ? C'est une très bonne idée bébé ! S'exclama-t-elle en souriant de manière enjouée, attirant son amour dans le premier hôtel qu'elle croisa sur leur route pour se diriger jusqu'au casino, leur comportement extravagant attirant déjà l'oeil des vigiles alors qu'ils se présentèrent au guichet pour transformer leur argent en jetons. Si ça se trouve on deviendra riche ici bébé... Lança-t-elle, avant de pouffer de rire devant la guichetière, complètement envahie par les effets de l'alcool et de la drogue.

C’était un vide abyssal qu’il avait côtoyé avant que son regard ne croise le sien, comprenant qu’Aelya était le phare qui le guiderait dans ses nuits noires, qu’il n’aurait qu’à suivre ses pas pour espérer sortir du néant. Et depuis plus de deux ans, il avait enfin l’impression de s’en être échappé grâce à la chaleur de sa main dans la sienne, elle qui avait fait de son quotidien un rêve éveillé. « Jamais… J’suis en manque de toi dés que tu t’éloignes mon amour. » Murmura-t-il, ses yeux captant les siens, lui qui ressentait à chaque instant la brûlure de son manque. « Et j’adore quand tu me donnes ce que je veux… » Ajouta-t-il, prolongeant le baiser amoureux qu’elle lui donna, leurs corps qui ne semblaient pas vouloir se lâcher, même au beau milieu de cette boîte de nuit où leur affection ne faisait que grandir. « T’es mon rêve mon ange… J’te promets que l’attente vaudra le coup. » Murmura-t-il, faisant allusion à la façon avec laquelle il comptait lui faire l’amour, lui qui voulait charger son esprit d’images toujours plus brûlantes. « J’te partage pas bébé. » Ajouta-t-il, rassuré par les mots de son amour, par sa manière de lui montrer qu’elle n’appartenait qu’à lui, que le monde entier n’avait aucune importance à côté de leur histoire. Il esquissa un sourire à ses mots, conscient qu’un rien pouvait le mettre hors de lui, sa jalousie parlant toujours trop fort lorsqu’il s’agissait de l’amour de sa vie. Il finit par se calmer, se concentrant sur Aelya, tombant encore une fois fou amoureux d’elle alors qu’elle parsemait son visage de tous ces baisers dont il raffolait. « Oui tu fais bien, faut que tu penses à ma santé bébé. » S’amusa-t-il, avant d’embrasser Aelya plus longuement, sa main glissant amoureusement sur sa joue, frissonnant à ses mots qui lui promettaient l’éternité. Ils finirent par se retrouver dehors, Niels ne résistant pas à son envie d’accabler d’amour sa fiancée, se jetant sur ses lèvres alors que son corps avait emprisonné le sien contre le mur. « T’y échapperas pas bébé. J’vais t’épuiser… » La tenta-t-il chaudement, soupirant contre son visage alors que l’envie se faisait toujours plus insistante, leurs bassins se cherchant avant qu’ils ne décident de s’éloigner pour faire redescendre la tension. « Faudrait m’attacher les mains et me bander les yeux bébé… J’te désire trop, c’est un vrai problème quand on sort. » S’amusa-t-il, son regard trouvant le sien, frémissant à l’intensité avec laquelle elle le regardait, prenant sa main pour qu’ils puissent se dégourdir les jambes. « T’as raison bébé, on s’en fout des autres. » Répondit-il avec plein d’engouement, suivant son amour dans un hôtel pour qu’ils puissent s’enfouir dans le casino, se rendant au guichet. « Ça serait le voyage le plus rentable du monde bébé. » Rit-il, croisant le regard de la professionnelle qui semblait être dubitative face à leurs comportements. « C’est normal que ça soit aussi long là ? On vous a donné que cinquante dollars nan ? » Dit-il d’un un air moqueur, se retenant de rire alors qu’Aelya en faisait de même, la guichetière leur tendant finalement leurs jetons. « Allez viens bébé, on va s’amuser. » Ajouta-t-il en prenant la main de son amour pour l’entraîner avec lui dans le hall immense. « Tu veux jouer à quoi mon amour ? Pas trop de réflexion s’il-te-plaît, j’suis pas sûr d’en être capable là. » Pouffa-t-il.

Son coeur avait imploré son prénom dans les moments les plus noirs, ceux qu'elle redoutait encore aujourd'hui d'affronter sans l'amour de sa vie. Elle regrettait tous ces instants gâchés en son absence qui n'avaient que fait d'ouvrir le manque à l'intérieur de son âme. C'était lui ou personne, c'était eux deux ou rien.

- C'est vraiment trop triste ça... Je déteste savoir que t'es en manque bébé... J'veux régler tout ça pour de bon moi, admit-elle, la voix suave, n'ayant de cesse de vouloir se nourrir de sa peau pour se gorger de lui, de vie, Aelya savourant l'effet de ses mots, de sa présence tout autour de son corps qui s'emplissait de sa présence, son parfum défiant sa patience qui s'entachait dans son désir. J'suis jamais déçue avec toi, t'es doué bébé pour me faire vibrer, le complimenta-t-elle, ressentant l'urgence de l'avoir contre elle la happer alors que toutes ses cellules s'entrechoquaient avec les siennes, à l'unisson sur les basses de la musique qui les transportait dans leur univers. T'as pas intérêt à le faire un jour, renchérit-elle, Aelya qui ne désirait appartenir à personne d'autre, qui crèverait à la minute où leur chemin se séparerait, comme à chaque fois qu'ils avaient osé le faire, finissant par se rendre compte qu'ils étaient inséparables, leurs coeurs se retrouvant à battre pour se réunir dès lors qu'ils se perdaient. T'as de la chance, t'es ma priorité toi, s'amusa-t-elle en déposant une masse de baisers vifs sur son visage suite à cet élan d'amour qu'elle avait besoin de lui donner, sa bouche se retrouvant amoureusement capter par la sienne, et tout à coup, la musique s'était comme éclipsée dans le bruit sourd de son coeur qui tombait encore une fois en amour avec lui. C'est tout ce que je demande bébé... J'te veux trop... T'as pas idée, susurra-t-elle, le dos plaqué contre le mur froid tandis que son corps brûlait de milles feux, son regard assombri par son désir urgent dévalant la beauté de ses traits, alors que ses gestes avaient pour but de l'amener au plus près d'elle. On est pas sortables bébé de toute façon... Faudrait qu'on prenne des cours de self-control, pouffa-t-elle lorsqu'il s'éloigna d'elle, incapable de ne pas se nourrir de son image parfaite, tous deux arrivant à se faire violence pour repartir dans l'avenue éclairée, emplie par la foule, avant qu'Aelya ne prenne l'initiative de les amener dans un casino. J'en voudrais pleins des voyages comme ça avec toi bébé, sourit-elle, enjouée, avant de rire à sa remarque. Bébé... Calme toi... Si ça se trouve c'est son premier jour... Murmura-t-elle à son oreille, pensant que la guichetière ne l'entendait pas. Je vous entends, lâcha-t-elle froidement avant de leur tendre les jetons, Aelya se mordant la lèvre pour ne pas pouffer de rire avec Niels, prenant sa main avec engouement pour rejoindre la salle. Viens bébé, on va jouer à la roulette ? Ca se demande juste de la chance. Chose qu'on a rarement mais bon, la réflexion non plus on l'a pas, s'amusa-t-elle en attirant Niels vers l'emplacement. Je choisis le nombre, tu choisis la couleur bébé ? Proposa-t-elle, avant de venir l'embrasser à pleine bouche devant l'employé qui était censé mener le jeu, se fichant complètement des conduites à tenir.

Il savait désormais qu’il serait incapable de vivre sans elle, parce-que la noirceur de son quotidien marqué par le manque l’enfoncerait dans les méandres de l’enfer. C’était ce à quoi ressemblerait une vie sans l’amour de sa vie, lui qui avait déjà expérimenté son absence à de trop nombreuses reprises. « Oui… vivement que tu puisses m’aider là. Ça va vraiment pas fort bébé. » Dit-il pour faire mine de se plaindre, son corps rêvant d’être caressé par le sien, par ses mains qui savaient exactement ce qu’il désirait, Aelya qui connaissait chacun de ses points faibles. « Tu l’es aussi… T’es très très très douée toi et j’aime trop quand tu me montres tous tes talents. » Ajouta-t-il, sa voix marquée par le désir, par cette envie de la dévorer sur le champ, ses lèvres continuant d’effleurer les siennes pour la tenter encore et encore. « Jamais bébé. J’lâche pas mon trésor. » Susurra-t-il à son oreille, incapable d’imaginer la laisser entre les mains d’un autre que lui, persuadé que personne ne serait capable de prendre soin d’elle comme lui le faisait, parce-que personne n’était en mesure de l’aimer comme lui l’aimait. « Pour la vie bébé ? » Demanda-t-il, sur un ton presque innocent, Niels qui adorait savoir qu’Aelya le mettait au premier plan, eux qui ne cesseraient jamais de prioriser leur relation envers et contre tout. Il se mordit la lèvre à chaque baiser qu’elle déposa sur son visage, fermant les yeux pour apprécier la douceur de sa bouche qui dévalait sur sa peau, la sienne finissant par s’emparer de ses lèvres pour les embrasser comme s’il s’agissait de leur dernier baiser. « Si je sais mon amour… J’brûle autant que toi… » Murmura-t-il après l’avoir plaqué contre le mur, sa main remontant lentement sous sa robe, au niveau de sa fente, Niels qui se retenait d’aller plus loin, son regard assombri par le désir captant le sien. « Même ça, j’suis pas sûr que ça serait efficace pour notre addiction bébé. » Pouffa-t-il, s’éloignant légèrement d’elle pour mieux la contempler, se faisant violence pour ne pas venir s’accaparer une nouvelle fois ses lèvres. Ils prirent le chemin du premier casino venu, patientant au guichet que leur argent soit converti en jetons. « Moi aussi bébé, on repart quand ? » Demanda-t-il avec un air malicieux, lui qui savait que le retour à Bowen serait difficile, parce-que leur quotidien et la routine reprendraient leur droit. « Bah j’espère que c’est son premier jour bébé, y’a que ça qui pourrait l’excuser d’être aussi lente là. » Dit-il sur le même ton que son amour, croisant le regard noir de la guichetière, se retenant de rire à sa réflexion, Niels qui récupéra les jetons en la remerciant avant de prendre la direction du hall. « Ouais c’est parfait ça, c’est à notre niveau. » Rit-il, s’avançant vers la table où se déroulait le jeu, Niels hochant la tête avant de répondre au baiser de son amour, le prolongeant sans se soucier des regards qui s’étaient posés sur eux, ne s’en rendant compte que lorsqu’ils le rompirent. « Y’a un problème ? » Demanda-t-il sans gêne, d’un air arrogant, Niels regardant son amour. « Rouge, comme la robe de ma magnifique future femme. » Dit-il avec un doux regard, sa main venant se loger dans le creux de ses reins, laissant Aelya placer les jetons sur le chiffre qu’elle désignerait.

Il était sa famille à force d'avoir comblé l'absence de la sienne, lui qui assumait tous les rôles à merveille, confortant Aelya dans son choix qui ne se poserait jamais que sur Niels. Elle n'avait besoin de personne depuis qu'il lui avait montré qu'il était capable d'être tout ce qui pouvait lui être nécessaire. Elle sourit à ses mots, se laissant distraire par son sourire qui avait toujours mis à plat la moindre de ses résistances, elle qui fût un temps, avait vraiment espéré s'en tirer sans séquelle de cette attraction qui avait changé sa vie entière.

- J'suis devenue talentueuse parce que j'ai un super cobaye aussi. Il m'attire énormément, avoua-t-elle, joueuse, se plaisant à lui faire comprendre qu'elle n'avait jamais été aussi démonstrative avant lui, Aelya qui n'avait jamais compris ce qu'était de faire l'amour avant de l'avoir trouvé lui.

Elle adorait l'entendre susurrer, entendre son souffle s'ébruiter dans la même douceur qui la happait elle aussi, le désir ne s'éteignant jamais pour Niels qui l'attrapait dans son étau comme le ferait un aimant. Emprisonnée dans la beauté de son regard, le sien lui traduisait tout ce qu'elle taisait au monde entier, tout ce qu'il était le seul à comprendre.

- Pour la vie et même plus, promit-elle, persuadée que la mort ne serait jamais un frein à leur histoire, elle qui pourrait le rattraper dans n'importe quel univers si on lui en donnait l'opportunité.

Ses lèvres cherchèrent son visage dans une multitude de baisers, son comportement déjà d'un naturel amoureux s'amplifiant à cause de la drogue ingérée, elle qui s'amusait dans ce jeu dont eux seuls avaient le secret, cet interdit qui les amenait constamment à se rapprocher. Elle plongea sur ses lèvres, abîmée par ce manque qui la prenait toujours trop vite à la gorge, sa passion se faufilant entre chacun de leurs souffles qui se répondaient.

- Si tu savais tout ce que je t'aurais fait si on était à l'hôtel... Susurra-t-elle, savourant l'emprise de son corps contre le sien alors que le mur l'empêchait de lutter contre cette douce tentation qui défiait sa raison. Est-ce qu'on a vraiment envie que ça le soit de toute façon ? Pouffa-t-elle, consciente que jamais elle n'aurait réellement envie de changer ce qu'ils étaient, même si ça pouvait poser problème aux autres.

Frémissant au contact de sa main qui remontait sur sa cuisse, elle décida de se contraindre à être sage pour pouvoir profiter du reste de leur soirée, son engouement prononcé les amenant finalement devant le guichet d'un casino.

- Quand tu veux. La semaine prochaine même, sourit-elle, elle qui aurait aimé que ce soit possible. Chuuuuut, rit-elle, peinant à rester sérieuse sous l'effet des mots de Niels qui l'amusaient et qui refroidissait l'employée, tous deux partant dans la salle pour s'adonner à un jeu qui ne demandait pas énormément de réflexion, ses lèvres venant attraper les siennes dans un baiser fougueux, au milieu des regards interrogateurs. Regardez ailleurs au pire, renchérit-elle à la remarque de son amour, n'ayant aucune gêne face à son amour qu'elle ne savait dissimuler. J'suis déjà ta femme amour... Depuis le début même, lança-t-elle amoureusement, prenant deux jetons pour les placer sur le nombre qu'elle avait en tête. Le dix bébé, parce que c'est nous, souffla-t-elle tendrement, faisant référence à la date du début de leur relation, avançant d'autres jetons pour les placer sur la couleur rouge, Aelya faisant un signe de tête au croupier pour qu'il lance la bille.

La présence d’Aelya agissait comme un pansement sur ses plaies à vif, elle qui avait su colmater les brèches, apaiser le mal sans même avoir à faire grand chose. Elle avait été là lorsque les autres lui avaient tourné le dos, Niels qui ne s’était pas senti aussi important depuis une éternité, lui qui réapprenait à ressentir, à éprouver des sentiments nouveaux, ceux qui lui avaient fait comprendre qu’Aelya était la femme qu’il avait toujours attendu. « C’est mon rôle préféré bébé. Quand j’te confie tout mon corps. » Répondit-il avec un air joueur, conscient qu’il n’y avait qu’elle pour lui faire ressentir ces afflux de bien-être, elle qui savait injecter le plaisir en masse dans ses veines dés qu’ils s’adonnaient à leur activité préférée. Il aimait penser que la mort n’existait pas lorsqu’il la regardait, se plaisant à imaginer que leurs vies seraient éternelles, qu’il pourrait l’aimer autant de temps qu’il le souhaiterait sans que rien ni personne ne vienne leur enlever ce bonheur. « J’ai trop de chance de t’avoir mon amour… » Murmura-t-il, se prêtant à ce petit jeu dans lequel ils étaient tous les deux gagnants, laissant Aelya s’accaparer son visage puis ses lèvres, la gardant auprès de lui pour ressentir chaque frisson, chaque note de son parfum qui le rendait dingue, lui dont les sens étaient mis en exergue par la drogue et l’alcool qui coulait à flot dans ses veines. Il l’amena à l’extérieur sans la lâcher, se brûlant à son désir qui faisait écho au sien, Niels qui ne parvenait pas à s’éloigner d’elle, jouant avec le feu en l’embrassant à pleine bouche, ses mains se faufilant sous sa robe. « J’aurais aimé voir ça… » Murmura-t-il, mordillant sa lèvre inférieure, comprenant qu’ils ne parviendraient jamais à être sages. « Non bébé, t’as raison. J’aime trop être excité par toi à longueur de journée. » S’amusa-t-il, finissant par admettre une distance entre eux pour ne pas qu’ils aient à se sauter dessus en plein lieu public. Ils décidèrent de continuer leur soirée dans un casino, se retrouvant devant le guichet. « Si on fait fortune ce soir bébé, on se programme un tour du monde. » Ajouta-t-il, beaucoup trop enjoué par cette idée,  Niels finissant par s’impatienter, se prenant à taquiner la professionnelle qui ne semblait pas du tout amusée par leurs comportements. « Bébé, t’as vu elle est pas docile celle-là, elle est à deux doigts de me faire la peau… » Dit-il en captant son regard noir, riant avec son amour qui comme lui, ne prenait pas du tout la situation au sérieux. Ils s’élancèrent jusqu’à la table où se déroulait le jeu de la roulette, eux qui échangèrent un baiser des plus passionnés sans la moindre gêne. « Ouais allez, misez au lieu de fantasmer. » Lâcha-t-il, s’amusant de leurs mines gênées, Niels optant pour la couleur rouge, son regard amoureux croisant celui de son amour. « Et tu la seras pour toujours… » Murmura-t-il, sa paume recouvrant tendrement son bas dos, esquissant un tendre sourire à l’entente du chiffre pour lequel opta sa fiancée. « Très bon choix. » Dit-il avec un sourire, regardant Aelya déposer les jetons sur les cases correspondantes, son regard glissant sur ses courbes lorsqu’elle se pencha. « La prochaine fois, c’est moi qui mets les jetons bébé, c’est pas gérable de te regarder, t’es trop belle, tu me rends dingue… » Dit-il, se concentrant de nouveau sur le jeu lorsque la bille s’arrêta. « Les jeux sont faits, rien ne va plus… 13, noir. » Lança le croupier, Niels levant les yeux au ciel, pouffant de rire. « Putain bébé, on fera jamais fortune je crois. » Rit-il, déposant ses lèvres sur sa joue. « J’en ai déjà trop eu en te rencontrant. »

Elle avait appris à s'ouvrir, à faire confiance à ce que la vie pouvait lui mettre sur son chemin, et pour une fois elle avait gagné au change, sa vulnérabilité mise à découvert n'avait pas été malmené par la douce tempête qu'avait apporté Niels, lui qui avait bouleversé son fonctionnement tout en entier pour le meilleur. Et maintenant, avec lui, elle n'était plus jamais seule.

- Et j'adore tester mes envies sur ce corps magnifique moi... Surtout quand il me laisse le torturer... Admit-elle d'une voix malicieuse, son regard parlant pour tous les sous-entendus qu'elle émettait dans ses mots.

Il n'y aurait jamais rien qui pourrait l'empêcher de d'être sienne, de se lier avec l'amour de sa vie sous le ciel de leurs rêves, ceux qu'ils faisaient briller dans leurs yeux depuis le départ. Et si elle s'était longtemps amusée avec lui sur l'amour et ses effets, persuadée que ce n'était pas pour elle, elle se rendait compte rien qu'en le regardant que tout avait toujours été prévisible avec lui. Parce qu'il était parfait pour elle, dans toutes ses fêlures, toutes ses qualités qui faisaient l'être unique qu'il était, et c'était sans aucune difficulté qu'elle avait sombré dans ses prunelles pour y récupérer son plus beau trésor, celui qu'elle cherchait à protéger par dessus tout.

- Tu sais pas comme j'suis reconnaissante de t'avoir toi dans ma vie, répondit-elle amoureusement.

Elle se brûlerait constamment les ailes pour lui, pour qu'ils puissent s'abreuver de liberté sans s'empoisonner, pour qu'ils puissent s'aimer sans s'abîmer. Elle se sentait comme sur un nuage là, à laisser ses lèvres caresser son visage, retrouvant le ciel étoilé lorsqu'il la plaqua contre le mur. Elle aimait cette sensation, de se sentir pris au piège par la chose la plus dangereuse qui lui avait été de goûter, sa peau qui avait le goût de cet amour fou qui avait la plus grande emprise sur elle.

- J'aime trop le savoir... Parce que j'aime beaucoup trop te savoir excité... Susurra-t-elle sans lâcher son regard, le sien s'embrasant en glissant sur son visage, sur son corps qu'elle aurait aimé pouvoir déshabiller, tous deux s'en allant vers le casino qu'ils croisèrent sur leur chemin. On fait notre tour du monde et on s'achète une villa bébé, proposa-t-elle avec un grand sourire, avant de continuer à pouffer de rire suite aux remarques de son amour qui cherchait la guichetière. On risque de finir mal bébé... Elle a l'air de nous jeter un sort avec ses yeux, s'amusa-t-elle, faisant mine de lui dire un secret, la femme devant eux perdant patience avant qu'ils n'arrivent jusqu'au jeu de leur choix, Aelya s'emparant de ses lèvres avec passion, se jouant du regard des autres qui les toisaient. Arrêtez de jalouser, lâcha-t-elle, sans lâcher son amour, son corps restant à ses côtés alors qu'elle fût attendrie par le choix de sa couleur. Laisse-moi être à toi pour la vie... Murmura-t-elle, comme un secret qu'elle voulait qu'il soit le seul à entendre, sa peau frissonnant au contact de sa main alors qu'elle plaça les jetons sur leur mise. Ce sera pas gérable non plus pour moi bébé... Tu sais comme tu me fais déjà perdre la tête là, avança-t-elle, enjôleuse, regardant la bille tourner, avant de lever les yeux au ciel à l'annonce du chiffre et de la couleur. On est fait pour être pauvres bébé, lâcha-t-elle en riant, passant son bras autour de son dos lorsqu'il embrassa sa joue. Vous avez vu comme il est trop parfait quand même ? J'peux que me contenter de cet échec avec cet homme, répondit-elle, s'adressant au croupier en même temps. Bon c'est pas fini là ? Si vous avez fini de jouer, partez merci, annonça un vigile qui s'était invité à leur table. C'est comme ça que vous traitez des gens qui sont justes heureux d'être vos clients ? Putain mais sérieux. Viens bébé, on s'casse, pas besoin d'eux, lança-t-elle en prenant la main de son amour pour sortir à l'extérieur.

Jamais personne ne lui avait fait confiance comme Aelya l’avait fait, elle qui s’était ouverte à lui, lui donnant un accès privilégiée à ce qu’elle renfermait au plus profond d’elle, jusque dans les recoins de son âme qu’il s’était surpris à découvrir. Et il était tombé amoureux de chaque trait de sa personnalité, de chaque passage de son histoire qui l’avait forgé pour faire d’elle une femme unique et extraordinaire. « La torture est trop délicieuse bébé… Fin… c’est ce qu’on m’a dit. » Dit-il, faisant mine d’évoquer ce corps comme si ça n’était pas le sien, lui qui n’échangerait pourtant sa place pour rien au monde. Il était à elle, lui appartenant corps et âme, prêt à tout pour être sien à tout jamais, l’idée même d’imaginer se faire toucher par une autre femme lui étant insupportable. Parce-qu’il ne tolérait qu’elle, que sa douceur, que son amour, Niels désirant s’épuiser à tout jamais contre les battements incessants de son coeur. « Je t’aime pour toujours. J’suis le fiancé le plus comblé du monde mon amour. » Murmura-t-il amoureusement, se brûlant à force de jouer avec le feu, lui qui ne contrôlait plus son envie de la toucher un peu plus alors qu’il l’avait plaqué contre le mur de la boîte, ses lèvres effleurant les siennes, soufflant son désir à travers des soupirs qui ne pouvaient plus cacher l’envie qui le consumait de l’intérieur. « Le problème c’est que j’le suis beaucoup trop là bébé… Aide-moi à me calmer mon amour… » Murmura-t-il, conscient que de lui demander une telle chose était peine perdue, eux qui adoraient se pousser à bout dés qu’ils le pouvaient. Ils laissèrent cependant la tension redescendre légèrement, se rendant vers un casino pour poursuivre leur nuit d’excès, imaginant ce qu’ils feraient s’ils faisaient fortune. « Une villa pour pouvoir accueillir nos vingt-cinq bébés mon amour ? » S’amusa-t-il, son regard complice retrouvant le sien alors qu’ils s’amusaient comme deux gamins que rien ne pouvait arrêter. « Ouais bébé, baisse les yeux, on sait jamais… » Pouffa-t-il, devant le regard exaspéré de l’employée qui s’obligeait à être courtoise au risque de perdre son métier, eux qui continuèrent de s’amuser de la situation en s’embrassant à pleine bouche devant un tas d’inconnus. « Elle est à moi. » Lâcha-t-il en lançant un clin d’oeil aux hommes qui étaient amassés autour de la table de jeu. « Je refuse que ça se passe autrement. C’est toi ou personne. » Murmura-t-il à son tour, le regard brillant d’amour, son bras entourant ses hanches après qu’elle ait mis les jetons sur le tapis de jeu. « Attends qu’on rentre, t’es pas prête pour ce que je vais te faire… » La tenta-t-il, se mordant discrètement la lèvre avant que le résultat ne tombe, la bille finissant par s’arrêter, Aelya et Niels comprenant qu’ils venaient de perdre leur mise. « Malheureux au jeu, heureux en amour. C’est pas ça le dicton bébé ? » S’amusa-t-il, esquissant un sourire lorsqu’Aelya le flatta en s’adressant au croupier, Niels continuant d’embrasser sa joue avant qu’une voix ne vienne les rappeler à l’ordre. « C’est quoi le problème ? Vous êtes tous désespérés et tristes à en crever. Putain mais vivez les gars, y’a pas que le fric dans la vie. » Lâcha-t-il, hochant la tête aux remarques de son amour, prenant sa main pour la suivre vers l’extérieur. « C’est tous des frustrés bébé, on a pas besoin d’eux. » Dit-il, s’avançant vers elle pour s’emparer de ses lèvres amoureusement. « Et si j’ai envie de t’embrasser comme ça, je le fais… Y’a personne qui va m’en empêcher mon amour. » Murmura-t-il contre ses lèvres.

Elle avait laissé ses défenses s'évanouir dans ses bras, là où la sécurité régnait, là où elle pouvait être elle-même. Elle n'avait jamais cru être capable d'abandonner un jour son masque, celui qui lui avait collé à la peau jusqu'à sa rencontre avec l'homme qu'elle avait toujours attendu, sans le savoir.

- T'es bien renseigné à ce que j'vois. J'pourrais t'en faire une démonstration bientôt. Enfin si ça te dit, fit-elle mine de proposer, un sourire joueur sur ses lèvres, son regard valsant entre ses yeux et ses lèvres qu'elle détaillait avec intensité, elle qui crevait d'envie de mettre à exécution tout ce qui tournait en boucle dans la chaleur de son désir. J'veux que tu le sois encore plus, j'veux tout faire pour toi bébé. J'veux que tu gardes ton magnifique sourire qui me fait craquer depuis le départ, avoua-t-elle, le coeur au bord des lèvres alors qu'elle s'intéressait à son visage parfait, son corps venant doucement se coller au mur lorsque Niels vint contre elle, son bassin venant rencontrer le sien dans des légers mouvements, cherchant à admettre encore plus de flammes dans leurs regards. Bébé... J'ai juste envie de t'exciter encore plus quand j'te vois comme ça... Tu m'en demandes trop là, soupira-t-elle d'envie contre ses lèvres avant de venir mordiller la sienne, tous deux se décidant de se raisonner pour le reste de la soirée, leurs mains se joignant alors qu'ils marchaient dans la rue jusqu'au casino. Evidemment bébé, Hank aura même tout une chambre pour lui tout seul aussi, lança-t-elle, amusée, pouffant de rire à ce qu'ajouta Niels vis-à-vis de la guichetière, peinant à s'arrêter de rire dans leurs conneries qui les liaient dans leur complicité, Aelya attirant son amour contre ses lèvres au milieu de la salle, n'ayant que faire de leur jugement qui n'atteindrait jamais la beauté de leur relation. Et j'vois que lui, renchérit-elle, joueuse, adorant crier au monde entier à quel point elle était dévouée à son âme. C'est juste nous bébé, les autres on s'en fou... Susurra-t-elle de manière complice, posant les jetons sur les mises, égayée par la présence de Niels autour de son corps. Oublie pas que mes lèvres sont en manque de toi là... C'est toi qui devrais te préparer, joua-t-elle sensuellement, fixant la bille tourner avant que le croupier n'admette leur perte. Si j'crois. Il a été écrit pour nous, lança-t-elle en riant, complimentant son amour en s'adressant au croupier avant qu'ils ne soient interpellés par le vigile qui voyait d'un mauvais oeil leur extravagance. Heureusement qu'on aime la vie, nous ! T'imagines on serait comme eux ? Lâcha-t-elle, faisant exprès de parler fort alors qu'ils se dirigeaient vers la sortie, Aelya laissant son amour capter ses lèvres dans un baiser amoureux. On laissera personne nous prendre ce qu'on a, hein bébé ? Lança-t-elle entre deux baisers, sa main venant se lier amoureusement à la sienne, Aelya tournant la tête au même moment, apercevant une bijouterie. Bébé, regarde ! On avait pas dit qu'on devait choisir nos alliances ? Avança-t-elle, enjouée, son regard se projetant au travers de la vitrine.

Ils s’étaient tous les deux dévoilés sans imaginer la tournure de leur histoire, Niels qui s’était surpris à se confier, sans même savoir pourquoi il le faisait. Et peut-être que ça avait toujours été instinctif et naturel, parce-qu’il ne s’était jamais senti en danger avec elle, son regard bienveillant ayant toujours réussi à le mettre en confiance. « Ouais ça m’intéresse beaucoup. Bientôt ? Ça veut dire dés qu’on rentre de notre soirée ? » S’amusa-t-il avec un air joueur, celui qui répondait au sien, eux qui aimaient tourner autour du pot pour finalement s’abandonner l’un à l’autre. La liberté qu’il ressentait avec elle était grisante, vivifiante, ayant l’impression qu’ils n’avaient plus eu le droit à cette sensation depuis trop longtemps. « Y’a pas de raison qu’il s’en aille mon sourire bébé. Pas tant que tu restes avec moi et que tu continues à me rendre heureux comme tu le fais. » Murmura-t-il amoureusement, contemplant chaque trait magnifique de son visage, leurs corps ne manquant pas de s’effleurer lorsqu’ils sortirent de la boîte de nuit pour se retrouver un peu plus intimement, les mouvements de son bassin lui faisant perdre la tête. « Tu vas me faire exploser bébé, tu t’en rends compte….? Faudra que tu me soulages quand on sera à l’hôtel… » Souffla-t-il chaudement, réceptionnant son soupir pour finir conter ses lèvres qu’il embrassa fiévreusement, juste avant qu’ils ne décident de se raisonner pour continuer à arpenter les rues de Las Vegas. « Il est toujours gâté t’façon. Ça sera toujours notre premier bébé lui. » Ajouta-t-il avec un sourire amusé en imaginant la scène, leurs taquineries fusant alors qu’ils se retenaient à peine de rire en se moquant ouvertement de la guichetière qui devait faire avec leur état. Récupérant leurs jetons, ils trouvèrent un jeu qui leur conviendrait compte tenu du niveau de réflexion qu’ils pouvaient avoir ce soir. « Désolé les gars. » Dit-il, faisant mine d’être déçu pour eux, son bras s’enroulant de manière possessive autour du corps d’Aelya qui plaça les jetons sur le tapis. « Les miennes aussi j’te ferais remarquer… J’vais te dévorer toute crue… » Souffla-t-il à son oreille, comme une confession sensuelle qui n’était vouée qu’à elle, Niels riant de leur malchance lorsqu’il comprit qu’ils avaient perdu leur mise. « Ça me va bébé, ça me dérange pas d’être pauvre toute ma vie si en contrepartie, je t’ai toi. » Ajouta-t-il avec un air amoureux, riant de nouveau avec son amour avant qu’on ne tente de faire taire leur engouement. « Putain on serait mal barrés bébé. Tous des frustrés ici. » Lâcha-t-il, suivant Aelya en dehors du casino, se réappropriant ses lèvres une nouvelle fois, lui qui était perpétuellement en manque de sa chaleur. « Jamais. Faudra pas me passer dessus avant. » Souffla-t-il, embrassant vivement ses lèvres, ses doigts se renfermant autour des siens avant qu’il ne tourne à son tour la tête lorsqu’Aelya repéra une bijouterie. « Si bébé, viens, on va voir ce qu’il y a. » Répondit-il, un sourire toujours scotché aux lèvres, s’avançant vers la vitrine avec son amour, captant les étincelles dans son regard avant de tirer sur sa main. « Viens mon coeur, on rentre dedans. » Dit-il en l’attirant à l’intérieur de la boutique, saluant le vendeur, ses yeux s’illuminant devant toutes les vitrines remplies. « Regarde celles-là bébé, t’en dis quoi ? » Demanda-t-il en pointant du doigts deux alliances en or blanc, sans même s’intéresser au prix affiché. « Excusez-moi, on pourrait essayer un modèle ? » S'adressa-t-il au vendeur, le regard brillant d'amour pour sa fiancée.

Elle était fière de le rendre heureux, elle qui pouvait enfin s'accrocher à cette parcelle d'espoir qui jaillissait de leur amour, lui rappelant qu'elle n'était pas juste douée à voir ce qu'elle aimait finir en cendres entre ses mains. Elle était aussi capable d'aimer, de distiller du bonheur là où il n'y en avait pas eu pour son fiancé.

- Dès qu'on passe juste la porte de notre chambre... Lança-t-elle, cherchant à le tenter, à voir ses yeux s'illuminer dans cette promesse qu'elle s'empressait d'appliquer, elle qui voyait déjà les marques qu'elle pouvait créer sur sa peau qui n'était jamais assez marquée à son goût, son regard cherchant son refuge dans le sien, dans l'intimité d'un silence qui ébruitait leur désir et leur amour. C'est bien pour ça que maintenant je sais qu'il faut qu'on reste ensemble. Qu'on peut pas être heureux autrement bébé, répondit-elle amoureusement, suivant son amour en dehors de la boite de la nuit, son corps venant effleurer le sien, blotti dans son étau qui faisait palpiter son coeur un peu trop fort, un peu trop vite, lui qui sans doute aurait pu s'envoler pour se loger dans le creux de son âme. J'te soulagerai avec mes lèvres bébé... J'vais m'amuser avec toi, j'vais te dévorer tout cru mon amour... Le tenta-t-elle dans une voix fiévreuse, agitée par son urgence qui s'enflammait sous l'effet de ses pensées passionnées qu'elle échoua contre ses lèvres dans un baiser langoureux, se calmant peu après pour rejoindre la rue éclairée. Il aime beaucoup trop qu'on le considère comme ça, renchérit-elle, attendrie par l'image de leur chien qu'elle avait en tête, tous deux se moquant ouvertement de la guichetière qui n'avait rien demandé, qui essayait juste de faire son travail quand eux se remplissait de rires, incapables de ne pas s'amuser de la situation avant d'arriver devant la table de jeu, Aelya attrapant ses lèvres, habitée par cette envie de se complaire dans son amour. Laisse rien de mon corps bébé alors... Sinon j'vais venir et me venger bien comme il faut, s'amusa-t-elle sensuellement, son dos se collant à son torse alors qu'ils avaient choisi leurs mises, la chance ne se présentant pas ce soir finalement. J'donnerai même tout ce que j'ai pour avoir un peu plus de toi encore et encore... Admit-elle amoureusement, persuadée que l'argent ne remplirait jamais son coeur comme Niels le faisait depuis le départ, eux qui s'étaient vus arrêtés dans leur engouement par la sécurité. On a rien à faire avec eux bébé. On est au-dessus nous, répondit-elle fièrement, d'un air plus qu'arrogant, trouvant l'extérieur avant que son amour ne vienne emprisonner ses lèvres amoureusement, son sourire se dessinant à sa remarque, Aelya prenant sa main pour se planter devant la vitrine d'une bijouterie encore ouverte. Bébé, si on rentre ça va finir par être cher, lança-t-elle avant de finalement le suivre avec un sourire aux lèvres, son regard se plaçant sur les vitrines avant de prêter attention à ce que Niels lui montrait. Magnifiques bébé, admit-elle dans un sourire rêveur, se mordant la lèvre d'excitation à la demande de son amour que le vendeur accepta, leur présentant les modèles en les invitant à les essayer. Tend ta main amour, ajouta-t-elle, ayant envie de se voir lui passer cette alliance au doigt, la bague s'enfilant doucement autour de son annulaire, lui déclenchant une vive émotion. Putain bébé... Elle te va trop bien... T'es trop beau comme ça... Avoua-t-elle, incapable de détacher son regard de sa merveille qui était à elle. On pourra les faire graver tu penses ? Demanda-t-elle, le regard brillant.