(-18) that feelin’ that you givin’ really drives me crazy (concho & alba)

Oui Alba avait été blessée par ses reproches qui n’en étaient pas forcément. Ils étaient juste tous un peu perdu face à cette situation et la blonde essayait de gérer la jalousie qui la rongeait un peu. Elle avait des sentiments pour Freja et elle connaissait ceux de la belle brune pour Conchobàhr. Puis hier, elle avait apprécié passer ce moment avec lui. Il avait été le premier homme avec qui elle avait été intime depuis son retour, celui qui pendant plusieurs minutes lui avaient fait oublié Léo. Tout cela était bien trop compliqué, mais elle hocha la tête, les pardonnant déjà des mots qu’ils n’avaient pas eu pour but de la blesser. Elle sourit même à la remarque de Freja, pour ce qui est des relations communes elles étaient douées attendant un peu fatalement la prochaine personne qui s’ajouterait à ce mélodrame. Ils l’attendaient, Concho et elle pendant que la brune était allée chercher à boire. Soulevant un sourcil, elle ne croyait pas trop qu’ils allaient être plus sages. Elle connaissait Freja, elle commençait à connaître Concho, et ce n’était pas le genre de personne à chercher de la sécurité surtout pas quand il s’agissait de plaisir sexuel. Plaisir qu’elle avait eu la chance de partager avec eux séparément. Freja revenait avec une bouteille et elle ne laissa personne le temps de réagir qu’Alba prenait déjà trois gorgées. Puis elle souriait à cette phrase à double sens. Elle aurait aimé parler de champagne ou de vin blanc mais elle s’abstenait, ce n’était peut-être pas une bonne idée de parler de souvenirs en face de l’un comme de l’autre. En revanche, Alba n’arrivait pas à détacher son regard de l’érection de Concho qui depuis le début leur faisait de l’œil à Freja et à elle. Et la blonde ne savait pas se taire quand il le fallait, mettant mal à l’aise Concho quand elle vit le rouge prendre place une nouvelle fois sur son beau visage. Par contre, elle ne s’était pas attendue à cette réponse, la faisant à son tour rougir. Comme Freja, elle commençait à la sentir cette tension. Elle avait déjà commencé un peu plus tôt lorsqu’elle les avait surpris. Mais la main de Freja qui se posait sur la cuisse de Concho et qui remontait doucement vers son entrejambe réchauffait le bas-ventre de la photographe. La bouteille que Freja venait de poser retourna vite dans la main d’Alba alors qu’elle observait la scène malgré elle. C'est mal de dire que j'ai envie de vous embrasser, tous les deux ? Alba avait envie de l’embrasser, de regoûter à ces lèvres si délicieuses. Elle avait également envie de toucher Concho et de redécouvrir ce corps musclé. Il y avait un petit moment de silence, chacun se regardant, comme si la prochaine personne qui parlait allait donner le ton sur ce qu’il allait se passer. « Comme vous voulez. » Alba le savait, c’était elle l’élément extérieur de ce couple, c’était à eux de choisir, mais elle espérait qu’au fond ils ne la rejettent pas parce que son corps commençait à demander de l’attention.

J’arquai un sourcil avec un rire amusé quand Freja prit le temps de spécifier que j’étais facile à satisfaire … avec l’alcool. Heureusement qu’elle avait ajouté ça, quand même. Je n’avais plus treize ans. Quoique, en ce moment, à bander entre deux femmes sublimes et à rougir au regard d’Alba posé sur mon érection, c’était tout comme. J’avais l’impression d’être de retour à l’adolescence en train de m’imaginer mon plus grand fantasme. Sauf que là, ce que j’avouais à voix haute, ce n’était pas dans un rêve, c’était dans la réalité. Bien sûr que le vin ingurgité un peu plus tôt avec la norvégienne y était pour quelque chose. En temps normal, je me serais contenté de devenir rouge comme une tomate et d’attendre que la honte – et l’excitation – passent. Mais j’étais actuellement désinhibé, jusqu’à en avouer à Freja et à Alba que leur présence à toutes les deux éveillaient de profonds désirs. D’où le refus de mon corps de se rendormir. Je tournai direct la tête vers la brunette quand elle avoua avoir cru être la seule à sentir cette tension. « Yeah ? » Demandais-je comme pour m’assurer qu’elle ne se foutait pas de ma gueule. Je ne voulais d’histoires de jalousie ou de regrets, mais si elle était all in, je l’étais. Évidemment, ça ne dépendait pas que de nous deux. Je tournai la tête vers Alba alors que la main de Freja remontait sur ma cuisse. Je déglutis difficilement, beaucoup trop conscient de tout ce qui se passait dans mon corps. Je regardai à nouveau Freja quand elle demanda si c’était mal qu’elle ait envie de nous embrasser tous les deux. Si c’était mal, j’irais moi aussi aux Enfers. « J’en ai envie aussi … » Avouais-je, avant qu’un court silence s’installe pendant lequel nous nous regardions tous les trois, en attente du feu vert. Après avoir prit une bonne lampée de mojito, Alba affirma que c’était comme nous voulions. Oh fuck, this is really happening. Je posai ma main sur celle de Freja, toujours posée sur mon entrejambe, et je la glissai sous mes sous-vêtements. Je penchai la tête vers Alba, puisque j’étais assis entre les deux, et mes lèvres s’emparèrent des siennes dans un baiser brûlant. Mes mains se déposèrent de chaque côté de moi, sur la cuisse de la blonde et sur la cuisse de la brune. Je relâchai les lèvres d'Alba, reculant un peu ma tête pour les laisser toutes les deux se retrouver à leur tour. Je me durcissais davantage rien qu'à cette image qui allait se concrétiser sous mes yeux.

Quand Conchobáhr demande confirmation, à propos de toute cette tension qui plane dans l'air, tu hoches la tête, le regard sombre. C'est probablement imperceptible pour une personne extérieure mais de l'intérieur, ça se ressent énormément. Sans doute parce que vous vous désirez énormément tous les trois. Alors, sans réfléchir, tu affirmes avoir envie de les embrasser tous les deux, sans savoir si c'est inconscient, irréfléchi ou tout simplement divin. Ton corps penche plutôt vers cette dernière affirmation même si ta tête enclenche un signal d'alarme, elle. Mais tout le monde sait que tu agis plus souvent sous l'impulsion que sur la réflexion. Un peu comme Concho qui, dés qu'il obtient l'approbation d'Alba, fait glisser ta main en dessous de ses sous-vêtements pour que tu le caresses plus aisément. Ta main s'empare de son sexe, exerçant des mouvements de haut en bas malgré le peu d'espace disponible, à cause des tissus qui se superposent par dessus. Tu les regardes s'embrasser, subjuguée, avant d'avancer ton visage vers celui d'Alba, retrouvant ses lèvres qui t'ont tant manquée. Ta langue se joint à la partie, s'enroulant autour de la sienne pour quelques secondes, jusqu'à ce que vos lèvres se détachent. Ton corps est déjà en ébullition, prêt à imploser et vous ne faites que commencer. « Enlevez le bas. » Murmures-tu, la voix suave, avant de venir te placer devant eux, à genoux. Une fois le terrain dégagé, tu commences par venir déposer des baisers à l'intérieur des cuisses d'Alba, te dirigeant dangereusement vers son intimité. Pendant ce temps-là, tu laisses la blonde se charger du plaisir de Conchobáhr. Doucement, ta langue se fraie un chemin jusqu'à son clitoris, venant titiller celui-ci en l'effleurant, d'abord, puis en augmentant la cadence et la pression. Après quelques minutes, tu t'arrêtes pour les regarder avec désir et envie, te rapprochant un peu plus de ton ex petit-ami, pour lui offrir, à nouveau, des caresses avec ta bouche. Sans attendre, tes lèvres viennent entourer son sexe, remontant et descendant le long de celui-ci. Pour l'instant c'est surtout tes lèvres qui s'occupent de leur intimité mais tu ne doutes pas qu'ils te rendront la pareille par la suite. Et puis de toute façon, tu as toujours été de celle qui apprécie énormément procurer du plaisir aux autres. Presqu'autant qu'en recevoir, d'ailleurs.

Ils se parlent, se comprennent et Alba elle est témoin de l’accord qui se scelle entre les deux mais qui la concerne également. Elle les désire, depuis longtemps. Elle ne réfléchit pas aux futurs conséquences mais seulement aux demandes de son corps et de son désir. Elle leur sourit timidement, voulant également regoûter à ces lèvres qui lui ont été privé depuis un moment maintenant. Et c’est Concho qui démarre guidant la main de la brune dans son pantalon. Elle observe Alba, grisée par cette caresse cachée mais qu’elle imaginait. Très vite les lèvres de Concho se posent sur les siennes. La chaleur de ce baiser enflamme la blonde s’avançant un peu du couple. Ses lèvres se détachant de la douceur de celle de Concho retrouvent celles fugaces de sa belle brune. Elles lui ont manqué ses lèvres et cette langue qu’elle enroule pendant qu’elle kidnappe la tête de Freja intensifiant le baiser. Le corps entier de la blonde brûler et son esprit n’écoute que la voix de Freja lui ordonnant d’enlever les remparts protégeant son intimité. Elle sent les baisers sur ses cuisses et cette caresse sur son sexe. Elle regarde le danseur, avant de prendre sa virilité en main, montant et descendant au rythme des caresses de Freja. Puis elle repose ses lèvres sur celle de Conchobàhr faisant danser sa langue avec la sienne avant de parsemer son cou et ses torse de baiser chauds. Les caresses de Freja s’accentuent amenant Alba un peu plus haut dans l’excitation. Excitation qui se ressent à travers les caresses qu’elle donne au danseur. « C’est trop bon. » Disait-elle dans un souffle. Elle sourit à Freja heureuse de retrouver ses sensations qui lui manquaient avant de laisser la brune donner plaisir à Concho. Elle fixe son intimité disparaissant dans la bouche de la belle brune. Cette scène est encore plus grisante que celle d’avant, spectatrice cette fois-ci du premier rang. Elle les regarde, se rendant compte de l’intensité du moment. Ce n’était pas la première fois que la blonde partageait un moment intime mais c’était la première fois qu’elle était autant excitée. Alba en profite pour se mettre au niveau de la brune après avoir une nouvelle fois embrasser Concho. Elle redécouvre doucement les formes de Freja avant de détacher les boutons de son pantalon et d’y glisser sa main pour à son tour donner du plaisir à celle qui lui en a donné quelques minutes auparavant.

Mon sexe, qui s’était montré impatient pendant les dernières minutes, se sentit enfin sur le point d’être délivré alors que les mains chaudes de la norvégienne l’entourèrent à nouveau, sous mes sous-vêtements. Ses vas-et-viens restreints m’extirpèrent quelques gémissements de contentement. Je tournai la tête vers Alba et l’embrassai avec un désir mal contenu. Cette situation avait tout d’irréel, j’avais de la difficulté à saisir que c’était bel et bien en train de se passer. Quelques semaines auparavant, je faisais l’amour à la blonde avec le sentiment qu’enfin, je partageais un moment intime et vrai avec quelqu’une d’autre que Freja, comparativement à toutes mes autres vaines tentatives d’assouvissement purement physique. Et voilà qu’Alba était à nouveau l’objet de mes désirs mais cette fois, elle tenait le rôle avec la norvégienne. En même temps que la norvégienne, plutôt. Je me détachai à contre-cœur de ses lèvres exquises, mais la suite des choses me plaisait tellement que je m’en remis rapidement, dès que les deux femmes s’embrassèrent langoureusement. Reculé, adossé au banc, je les regardai faire avec une excitation à son comble. Elles étaient des plus séduisantes, sexy, et cette scène érotique cachait également toute une douceur que nous ressentions les uns pour les autres. Ce n’était pas deux femmes complètement étrangères comme la toute première fois – et seule fois jusqu’à ce soir – que je vivais un ménage à trois. Nous avions des liens, forts ou naissants, mais des liens et des sentiments quand même. Ça rendait le moment encore plus exaltant. Les deux jeunes femmes cessèrent leur échange torride et, d’un ton suave et sans équivoque, Freja nous ordonna à Alba et moi de retirer nos vêtements du bas. Pendant que la blonde et moi nous exécutions, la brunette vint s’agenouiller face à nous. J’envoyai valser mes pantalons et mes caleçons à l’autre bout de la cabine. Mon regard suivit la bouche de Freja qui vint se perdre sur l’intimité d’Alba. Cette dernière me regarda et sa main se fraya un chemin jusqu’à mon sexe qu’elle caressa au rythme de son propre plaisir, et le mien ne tarda pas à se mettre sur la même longueur d’ondes. J’embrassai la blonde, laissant ma langue jouer avec la sienne à travers nos souffles. Elle couvrit ensuite mon cou et mes lèvres de ses baisers brûlants. Alba s’agenouilla ensuite auprès de Freja, pour lui donner du plaisir à son tour, de ses doigts agiles qui la connaissaient déjà. Je ne tardai pas à les rejoindre sur le plancher de la cabine. La norvégienne avait ouvert le bal, maintenant c’était à elle de profiter. Pendant qu’Alba s’occupait de son entrejambe, je fis descendre les bretelles de sa robe pour découvrir sa poitrine, et je laissai ma bouche s’y glisser, ma langue trouvant son chemin jusqu’à ses mamelons durcis par l’excitation, que je titillai, mordillai et embrassai, l’un après l’autre.  

C’est trop bon. C'est aussi ce que tu ressens et d'ailleurs, c'est presque trop bon pour être vrai. Pour l'instant, tu décides de laisser tes doutes et tes questionnements de côtés. Et plus précisément cette question qui s'est immiscée dans ton esprit depuis que tu as appris que Conchobáhr et Alba avaient déjà couché ensemble. Et s'ils désiraient recommencer parce qu'ils ont ressenti plus qu'une simple attirance ? Qu'est-ce qui t'arriverait, à toi ? Devrais-tu renoncer à l'homme que tu aimes à et à la femme qui te fait tourner la tête ? Probablement. Comme toujours, tu finirais par t'effacer à ton propre détriment. Mais pour l'heure, en tout cas, tu te décides à profiter de l'instant sans penser aux conséquences. Tu souris à ton tour à Alba avant de revenir vers ton ex petit-ami pour lui procurer le même genre de caresses, prenant son sexe entre tes lèvres. Rapidement, la blonde se met à ta hauteur, ses doigts se glissant sous ton sous-vêtement pour venir caresser ton intimité. Tu gémis en sentant cette décharge exquise continuant tes caresses sensuelles sur le sexe de Concho jusqu'à ce qu'il vous rejoigne sur le plancher du wagon. Habilement, il fait glisser les bretelles de ta robe pour dévoiler ta poitrine nue et venir y déposer ses lèvres. Tu soupires en fermant les yeux l'espace de quelques secondes, submergée par les doigts d'Alba et les lèvres de Conchobáhr. « Oh putain... » Murmures-tu en prenant conscience que le combo des deux peut très vite t'emmener au septième ciel. Cherchant les lèvres d'Alba, tu viens l'embrasser avec fougue, ta main s'emmêlant dans ses cheveux blonds, vos langues exécutant une danse lascive. A bout de souffle, tu t'arrêtes en lui jetant un regard brûlant de désir. Puis, tournant la tête vers Concho, tu viens l'embrasser avec la même ardeur pendant que ta main glisse sous son haut pour venir effleurer ses abdominaux et la douceur de sa peau. Toujours en l'embrassant, tu fais remonter son tee-shirt jusqu'à ce que vos lèvres doivent se séparer pour le faire passer au dessus de sa tête. Avec sensualité, tes lèvres embrassent l'os de sa mâchoire, descendent dans son cou et viennent déposer quelques baisers sur son torse. « Tu vas... me faire... jouir. » Murmures-tu entre deux gémissements à Alba, toujours occupée à titiller ton intimité de ses doigts experts.

Les langues, les bouches et les caresses se mélangent amenant chacun des participants et agir ou profiter. Embrasser une nouvelle fois le danseur a ramené Alba à cette fameuse soirée où ils se sont rencontrés. La bouche de Freja lui a tant manqué et la blonde compte en profiter et se nourrir de cette douceur perdue. Elle ne réfléchit pas Alba, encore naïve sur les complications que cette soirée va engendrer. Non, pour le moment elle profite des caresses de Freja et de donner du plaisir à Conchobàhr. Les yeux de la photographe sont noirs de désir, à moitié dévêtue elle sourit et gémit au rythme de ses partenaires. La norvégienne a toujours réussi à amener Alba au point de non-retour que ce soit avec sa langue ou ses doigts. Une fois qu’Alba ait profité de cette longue caresse, elle rejoint la brune sur le plancher. Elle regarde un instant ses deux amants. Elle sourit en voyant les yeux fermés de Concho et le plaisir qu’il ressent. Elle s’excite devant la bouche de la belle norvégienne qui monte et descend sur la virilité du danseur. Et Alba, elle met sa main dans la culotte de la brune, jouant un peu avec son clitoris avant de d’insérer progressivement ses doigts. Rejointes par l’homme, il en profite pour dévoiler la poitrine de Freja. Poitrine qu’Alba a tant embrassé et qu’elle observe avec faim. Mais elle laisse Concho s’en occuper. Ce traitement plait à Freja et Alba accentue ses gestes, lui enlevant sa culottes avec empressement pour avoir un meilleur accès. La bouche de son amante se pose sur les siennes. Elle s’en délecte Alba de l’intensité de ce baiser fiévreux. Elle est essoufflée à la fin de ce baiser et regarde Freja avec désir. Puis elle les regarde s’embrasser, pour la première fois en continuant les caresses dans l’entrejambe de la brune. Puis son autre main vient caresser les fesses du danseur. Freja est presque au point de non-retour et Alba amplifie ses efforts pour voir l’orgasme sur le visage de la belle brune. « Vous êtes tellement beaux. » Elle lâche cette phrase en les voyant s’embrasser, le rouge aux joues et les yeux remplis de désir. Elle retourne embrasser Concho après l’avoir délaissé pour satisfaire le plaisir de Freja. Elle ne sait plus où donner de la tête, parce qu’elle les désir tellement les deux. Il y a Freja, cette femme qui lui fait tourner la tête depuis des semaines maintenant. Et il y a Concho, celui qu’elle apprend à connaître mais qui dégage une telle aura.

J’étais maintenant au même niveau qu’elles, sur le plancher de ce wagon qui n’avait peut-être jamais accueilli trois corps aussi chauds les uns pour les autres. Je dévoilai la poitrine de Freja pour y déposer mes lèvres et en faire un terrain de jeu pour ma langue, qui faisait des allers et de retours entre ses deux mamelons, dessinant parfois les cercles de ses aréoles définies. Le corps de la brunette se crispait sous la double attention reçue par Alba et moi. Je relevai les yeux pour voir les deux femmes s’embrasser, déconcentré de ma tâche l’espace de quelques secondes. Je me redressai d’ailleurs pour mieux les regarder et me masturber face à cette scène des plus excitantes. Freja délaissa finalement les lèvres de son amante pour retrouver les miennes. Ma main lâcha mon membre et vint se poser sur l’épaule d’Alba, une douce caresse pour ne jamais briser notre lien à tous les trois. La main de la blonde vint se poser sur mes fesses pendant que j’échangeais un baiser ardent avec mon ex-petite-amie. Je rompis ce dernier en tournant la tête vers la photographe alors qu’elle affirmait que nous étions si beaux. Je lui souris, remarquant ses joues rosies. « Tous les trois. C’est beau. » Ce moment-là, cet instant inattendu mais parfait. Freja fit glisser ses doigts vers le haut de mon torse pour relever mon chandail. Je levai les bras au-dessus de ma tête pour l’aider à me le retirer, me retrouvant ainsi complètement nu. J’allais retrouver les lèvres de la brunette lorsqu’elle souffla qu’Alba allait la faire jouir de ses doigts d’expert. Alors, pour la conduire moi aussi à l’orgasme, je retrouvai sa poitrine dont je m’occupai de ma bouche et de mes mains pendant que la blonde redoublait d’efforts entre ses jambes. Un moment plus tard, après la déflagration de la norvégienne, j’allai m’allonger sur le divan de la cabine. Je pris la main de Freja et la guidai jusqu’à mon sexe qui n’en pouvait plus. J’avais envie, j’avais besoin, de la pénétrer. Je ne laissais cependant pas Alba en reste, attrapant ensuite sa main. « Viens ici … » Murmurais-je avec désir en la guidant cette fois vers mon visage. Je pris doucement sa jambe d’une main pour la hisser par-dessus moi, assise par-dessus ma bouche et face à Freja. Je posai mes mains de chaque côté des cuisses d’Alba et laissai ma langue redécouvrir son intimité, au rythme de nos gémissements à tous les trois.

Ce qui est en train de se passer est complètement fou et tellement intense. Tu te rends compte que vous prenez votre pied en vous touchant mais aussi en regardant les autres se toucher, s'embrasser. A chaque fois que tu vois Conchobáhr et Alba s'embrasser, tu ne peux pas t'empêcher de t'arrêter pendant quelques secondes pour voir leurs lèvres s'entrechoquer et leurs langues se retrouver. Et c'est exactement ce que ton ex petit-ami fait lorsque tes lèvres retrouvent celles de la blonde. Quelques instants plus tard, c'est celles du brun que tu retrouves jusqu'à ce que votre baiser soit interrompu par les dires d'Alba. Tu souris à ton tour, tes joues sûrement aussi rouges que les siennes à cause de la chaleur de ton corps, hochant la tête aux propos de Concho. « Je n'aurais pas pu dire mieux. » Dis-tu en leur souriant à tous les deux. Avec l'aide du jeune homme, tu lui retires son haut pendant que les doigts d'Alba titillent toujours ton clitoris et se glissent à l'intérieur de ton sexe. C'est exquis et tu sens que tu n'es plus très loin de la jouissance ultime. Alors, pour te faire basculer jusqu'à l'orgasme, Conchobáhr vient embrasser ta poitrine pendant que la jeune femme redouble d'ardeur avec ses doigts. Tu fermes les yeux, savourant l'instant jusqu'à ce que l'orgasme explose dans tout ton corps. « Oh oui... » Gémis-tu en rouvrant les yeux pour les regarder à tour de rôle alors que ton corps est toujours pris d'assaut par des spasmes incontrôlables. Tu profites encore quelques secondes de cette sensation de bien-être ultime avant de suivre Conchobáhr sur le canapé, t'asseyant à califourchon sur lui. Ta main guide son sexe jusqu'au tien, l'enfonçant progressivement en toi ce qui provoque de longs gémissements de plaisir. Ce que c'est bon de le retrouver, de te sentir tout autour de lui. Une fois Alba placée devant toi, tu la fixes du regard avec envie, te mordillant la lèvre. « Aide-moi... » Murmures-tu en tendant les bras pour lui enlever son haut. Tu veux pouvoir caresser sa poitrine pendant que Concho s'occupe de son intimité. Et une fois la poitrine de la blonde libérée de tout vêtement, tu commences à caresser le bout de ses seins du bout des doigts. Pendant ce temps-là, tu commences à bouger, exécutant des mouvements de haut en bas contre le membre de ton ex. Prenant appui sur le torse du brun, tu viens embrasser les seins de la jeune femme à tour de rôle, mordillant légèrement le bout de ceux-ci pour les faire durcir.

Il y a trois corps qui n’en font qu’un. Il n’y a pas d’espace libre, personne mit de côté et il y a ce besoin de contact. Chacun a manqué à l’autre. Freja a besoin de fusionner avec Conchobàhr, Alba a besoin d’aimer la brune et vice versa. Et Concho et Alba ont besoin de retrouver cette complicité qu’ils ont partagé la première fois. Ils se touchent et s’embrassent. Mais le désir monte à chaque fois qu’ils s’observent embrasser ou toucher l’autre. Alba peut être jalouse en voyant le traitement que Concho donne à Freja mais elle ne l’est pas profitant de l’autre partie du corps de la brune. Ils sont beaux nus, le souffle court et le corps transpirant. Le danseur caresse son épaule pendant qu’il embrasse fougueusement la norvégienne. Les observer intensifie les geste de la blonde sur l’intimité de Freja. Aidée par Concho, les deux amants s’accordent pour donner un orgasme à la belle brune. Elle gémit et Alba sourit. Elle est prise de spasme et Alba vient embrasser tendrement son ventre. Elle aurait pu rougir face à ses quelques compliments partagés, mais ses joues sont déjà bien rougit par le plaisir. La main de Freja flattant la virilité de Concho lui donne de nouvelles envies. Il s’installe sur la banquette pendant qu’Alba se met un peu de côté, laissant quelques secondes les deux amants se retrouver. Elle voit le sexe de Concho disparaitre en Freja. Ce scène rend Alba fébrile, excitée par cette pénétration où elle n’est que le témoin privilégié. Mais il lui prend la main Concho, la guidant au-dessus de sa tête, en face de la brune. Les mains sur ses cuisses font frissonner la blonde et elle pousse un gémissement quand elle sent la langue du châtain. Aidée par Freja, la blonde retire son haut qu’elle envoie à l’autre bout du wagon. Il ne lui reste qu’un dernier rempart avant d’être à son tour nue devant eux. Son soutien-gorge est vite remplacé par les mains de la brune. Elle veut regarder toute la scène, mais ses yeux se ferment sous le plaisir, et les gémissement sont de plus en durs à retenir. La stimulation entre ses jambes et celle sur ses seins lui font ressentir des tonnes de choses. « Je ne vais pas tenir longtemps. » Disait-elle dans un souffle, déjà bien excitée par les caresses de Freja auparavant. Les deux langues font des merveilles sur le corps de la blonde pendant qu’elle regarde comme elle le peut la montée et la descente de Freja sur la virilité de Concho.

Si ce moment était aussi intense, c’était parce que tous les trois, on se voulait et on s’excitait totalement. Il n’y en avait pas un des trois qui était de trop, pas un des trois qui n’était pas désiré. Je voulais entendre jouir Freja autant qu’Alba, et je voulais les regarder toutes les deux en train de se procurer du plaisir. Nous l’avions tous déjà fait l’un avec l’autre auparavant, la seule nouveauté ce soir était que nous y étions tous, en même temps. Nos corps se connaissaient déjà et savaient quoi faire pour rendre les autres dingues. Certes, avec Alba ça ne s’était passé qu’une seule fois, mais je me souvenais encore de la tension dans ses muscles quand je l’embrassais ici et là. C’est pour ça que c’était si beau, si bon, à mes yeux. Joignant nos efforts, la blonde et moi amenâmes Freja à l’orgasme. Je n’en aurais jamais assez de l’entendre jouir, de voir son corps trembler de plaisir, de regarder son visage en pleine délivrance. Quand elle retrouva le contrôle une fois l’orgasme dissipé, je me relevai afin de m’allonger sur le divan, sur le dos, et de guider la norvégienne pour qu’elle s’assoit à califourchon, sur mon sexe prêt depuis de longues minutes. Je pris ensuite la main d’Alba pour l’amener à califourchon au-dessus de mon visage, offrant un accès privilégié à mes lèvres qui prirent la relève de la bouche de Freja. Je les sentis bouger au-dessus de moi et je devinai le mouvement pour retirer le haut d’Alba. J’imaginais sa poitrine ainsi libérée et mon érection se durcit davantage à l’intérieur de la brunette qui débuta les vas-et-viens. Un grondement de plaisir incontrôlable s’échappa d’entre mes lèvres, soufflant contre le sexe de la blonde. Nous gémissions tous les trois à l’unisson, et la voix d’Alba s’éleva entre nos râles de plaisir parce qu’elle ne tiendrait pas longtemps. « Moi non plus … c’est trop bon … » Et j’aurais voulu tenir plus longtemps, que ce moment ne s’achève jamais, mais l’excitation était à son comble et aucune pensée inverse ne refroidirait une telle extase. De toute façon, je n’avais pas envie d’envoyer ma tête ailleurs. Ce qui se passait là, maintenant, était trop précieux.

Cette scène est tellement érotique et excitante. Tu voudrais pouvoir la voir de l'extérieur, tu voudrais pouvoir te dédoubler pour voir la scène dans son ensemble. Et que celle-ci s'ancre dans ta mémoire à tout jamais. C'est trop bon, trop beau, trop vrai. Trop tout. C'est sans doute l'adrénaline qui coule dans tes veines ainsi que l'excitation à son comble qui te poussent à penser cela mais tous tes sens sont en alerte. Chaque caresse, chaque baiser, chaque geste, est multiplié par mille. Tu prends ton pied comme rarement tu l'as pris jusqu'ici et on peut dire que, dans ta vie, tu as beaucoup fait l'amour (haha). Alors que tes mains caressent la poitrine d'Alba et que les lèvres de Concho s'occupent de son intimité, la blonde exprime son incapacité à tenir beaucoup plus longtemps. Cela tombe bien car toi non plus tu n'es plus loin de l'extase. Ton premier orgasme précipitant sans aucun doute le deuxième. « Ne vous retenez pas... » Murmures-tu en accélérant tes mouvements de bassin contre le sexe de Conchobáhr. Même si tu voudrais que ce moment s'éternise, encore et encore, tu veux les voir jouir à l'unisson. Tu veux voir leur expression quand ils atteindront l'orgasme, incapables de contrôler les spasmes de leur corps. Tu viens déposer des baisers sur le torse de ton ex petit-ami avant de te pencher vers l'avant, t'étirant davantage pour atteindre la poitrine d'Alba. Tes lèvres viennent capturer le bout de ses seins, les faisant durcir. Puis, ta main prend à nouveau le relais alors que tu reprends tes mouvements de va-et-vient contre le membre de Concho. Avec assurance, puisque tu connais son corps par coeur, tu intensifies tes mouvements, t'enfonçant plus loin et plus fort. Quelques secondes plus tard, tu le sens basculer vers l'orgasme et tu te délectes de la scène. Posant finalement tes yeux sur Alba, tu la regardes avec tout le désir que tu éprouves, espérant la voir flancher d'ici peu en même temps que toi, pour la seconde fois.

Elle n’en est pas à son premier threesome Alba. Mais celui-là distance les autres sans hésitation. Peut-être parce qu’elle éprouve autre chose que simplement une attirance physique pour ses deux partenaires. Elle ne pense pas à son plaisir, elle veut que Concho et Freja jouissent et se souviennent de cette nuit dans le train de Noël de la ville. Si son esprit n’était pas perturbé par ce moment, elle aurait ri imaginant la tête du maire découvrant à quoi servait son évènement de Noël. Mais elle n’a pas le temps de penser, Freja atteignait le point de non-retour, exprimant l’orgasme de la plus belle des manières. Mais les choses continuèrent à l’initiative de Conchobàhr. Allongé sur cette banquette, Freja le chevauchait imité par Alba. Deux femmes l’une en face de l’autre se dévorant des yeux. Les premières caresses du danseur rendait Alba folle. Folie qui s’accentua quand Alba nue subissait les assauts des mains de Freja sur ses seins. Le souffle chaud de Concho accélérait l’excitation d’Alba. Ses jambes commençait déjà à trembler suite aux plaisir qu’elle ressentait. Ses mains l’aidant juste à tenir en équilibre laissant les deux s’occuper d’elle, pendant que Freja satisfaisait l’érection de Concho. Elle le sentait l’orgasme monter, un peu trop rapidement. Elle qui voulait continuer cette danse sensuelle. Mais les deux langues étaient bien trop fortes sur sa détermination et même si elle voulait ralentir l’orgasme, elle ne voyait que Freja et le sexe de Concho. Cette image ne l’aidait pas, bien au contraire. Il était dans le même état le danseur, le signifiant la bouche contre l’intimité de la blonde. Et Freja, elle attendait le moment où les deux flancheraient. Alors elle continuait mordillant et léchant la zone sensible des seins d’Alba. Son souffle se faisait plus court. La position qu’elle avait compliquait également les choses pour Concho qui lui non plus n’allait pas tarder. Plus il atteignait l’orgasme plus il intensifiait le traitement qu’il prodiguait à Alba. La phrase de Freja annonçait la fin, du moins pour Alba. Ses muscles ne la tenait plus et l’orgasme vint, presque en même temps que Concho et elle espérait de Freja. Elle tomba sur la banquette juste derrière Concho, faisant tout de même attention à lui quand elle s’allongea se remettant doucement ses spasmes de l’orgasme. Les yeux fermés, elle reprenait son souffle. « C’était fou … » Disait-elle d’une voix encore essoufflée. Elle aurait voulu reprendre, continuer à caresser ses deux partenaires mais avant elle essayait de récupérer son souffle qui avait été coupé suite à l’orgasme.

Quelques secondes à peine après avoir affirmé que je ne tiendrais pas longtemps moi non plus, Freja accéléra ses mouvements de bassin, me projetant vers le point de non-retour. Et quand elle nous dit de ne pas nous retenir, Alba et moi, je ne me fis pas prier. Malgré ma concentration définitivement perturbée, je continuais de stimuler Alba, ma langue jouant avec son clitoris et se perdant parfois en elle, glissant sur la paroi de son vagin. Mes mouvements se faisaient plus pressants sur elle, pendant que mon propre corps perdait la route face aux mouvements prononcés de Freja sur mon sexe. Je voulais l’entendre jouir sans plus tarder, et mêler son orgasme au mien et à celui de Freja que je sentais imminent pendant que je bougeais encore en elle. Presqu’en même temps que les jambes d’Alba flanchèrent, mon corps trembla du bout des orteils jusqu’au bout de mes doigts, qui d’ailleurs se resserrèrent autour des cuisses de la blonde, dans un mouvement que je contrôlais à peine. C’était tout le plaisir qui paralysait mon corps alors que j’éjaculais en Freja, contractant les fesses pour me surélever et presser mon bas-ventre contre elle pour exploser profondément en elle. Nos cris de jouissance se mêlèrent les uns aux autres et un sourire étira mes lèvres face à la beauté du moment. Alba se laissa ensuite tomber derrière moi sur la banquette. Je fermai les yeux un moment, laissant les derniers spasmes traverser mon être, avant de me hisser un peu plus haut pour venir poser doucement ma nuque dans l’entrejambe mouillé de la blonde. Je tirai Freja vers moi pour qu’elle s’allonge sur moi. « Fou, tu dis ? J’crois que je m’en remettrai jamais complètement … » Dis-je en riant en basculant la tête vers l’arrière, pressant légèrement contre le ventre d’Alba, pour la regarder à l’envers. Je la rebaissai ensuite pour fixer le plafond avec un sourire niais, comblé, heureux. L’une de mes mains glissait dans les cheveux de Freja et l’autre caressait la cuisse d’Alba. J’aurais aimé que ce moment ne se termine jamais.

Il ne faut pas longtemps pour que tes mouvements de bassin fassent flancher Conchobáhr qui continue tant bien que mal à caresser l'intimité d'Alba avec sa langue. Presque simultanément, ils jouissent tous les deux, évacuant des râles de plaisir incontrôlables. Sans doute qu'on vous entend de l'extérieur du wagon mais vous n'en avez que faire. La beauté du moment vous importe plus que tout le reste. Incapable de détacher les yeux de tes deux amants en pleine extase, tu exploses à ton tour en sentant le sexe de Concho s'enfoncer encore plus profondément en toi. Tu gémis avant de te laisser retomber sur le torse de l'homme, le temps que ton orgasme se calme. C'était beau, intense et inoubliable. Il ne fait nul doute que ce moment restera gravé encore longtemps dans ta mémoire. Une fois vos respirations partiellement retrouvées, tu t'allonges sur ton ex en relevant légèrement la tête pour les regarder à tour de rôle quand ils commentent la beauté du moment. « Moi non plus... » Dis-tu en souriant, approuvant les dires de Concho. « T'avais déjà fait ça ? A trois je veux dire ? » Demandes-tu en regardant Alba parce que tu connais déjà la réponse du jeune homme. Tu as appris qu'il avait déjà participé à un threesome durant une soirée confidences au 17. Depuis, tu jalouses ce moment et regrettes de ne pas y avoir participé. A présent, tu peux affirmer que toute ta jalousie s'est envolée. Tu n'as plus rien à lui envier parce que tu es persuadée qu'aujourd'hui prend le pas sur sa première fois avec deux femmes. Caressant du bout des doigts le torse de Concho, tu ajoutes : « Dommage que ça se soit passé ici. C'était excitant de peut-être se faire surprendre mais j'aurais aimé qu'on puisse passer la nuit ensemble. » Pour faire durer ce moment encore et encore.