(hot) quelle idée d'aimer une femme à l'humeur vengeresse? (aletí)

13 ans en arrière, une chaude nuit d'été ;

À l'époque, Letícia était quelqu'un de relativement instable. Elle ne gardait pas très longtemps ses boulots, elle aimait surtout vadrouiller partout dans le monde. Pour les hommes, c'était plutôt pareil jusqu'à ce qu'elle tombe sur ce mec. Alexander, dit Alex. Si au départ ils n'étaient pas convaincus à devenir un couple, le temps et leur complicité les ont rattrapés. Et puis Alex, c'était le genre d'homme dont les femmes tombaient facilement amoureuses. Canon, ambitieux, charismatique. Letí n'avait pas réussi à résister longtemps sous son charme, bien qu'elle avait essayé de prétendre le contraire. C'en fut déstabilisant d'ailleurs, elle qui tenait tellement à rester cette jeune femme insouciante et indépendante. Dépendante, elle l'était désormais de lui. Quand elle allait en boîte de nuit pour danser et s'amuser, aux côtés d'Alex, la soirée prenait une toute autre tournure.

Ce soir-là, le ton allait encore monter. Ravie de lui faire tourner la tête, elle avait choisi cette robe blanche ultra moulante qui laissait deviner les moindres courbes de ses formes. Elle aimait qu'on la regarde, Letícia, parfois elle en faisait peut-être un peu trop. Ce qu'elle fit, en se déhanchant sur la piste de danse. Elle aimait jouer avec le feu quand elle dansait avec Alex. Elle se collait fort à lui puis d'un coup se détachait de ses bras pour danser seule, d'un œil provocateur. Cela ne durait pas longtemps, elle voulait juste le rendre fou, parce que c'était aussi l'effet qu'il lui faisait. Quand il plantait son regard noir sur elle, non seulement ça l'agaçait mais ça l'excitait aussi. Au bout de quelques danses ils firent une pause elle se chargea d'aller leur prendre des boissons. En revenant du bar, verres à la main, elle retrouva Alex accompagnée d'une femme blonde aux allures de bimbo. Letícia monta direct en pression. Putain, t'es sérieux, c'est quoi ton problème? Toi, dégage, ton défilé se passe sur le trottoir! se précipita d'enchaîner Letícia qui s'adressa alors à la blonde. Cette dernière, visiblement gênée, ne se fera pas prier longtemps pour déguerpir. Letí fonça droit sur Alex. Chance ou non, elle posa brusquement les verres sur la table, même si elle avait bien envie de les lui balancer à la tête. Tu veux jouer à ça? lui dit-elle d'un air menaçant.

@Alex Richardson

Ça a toujours été électrique entre vous. Cette tension qu’elle soit sexuelle ou bien juste cette attirance était trop forte pour vous. Leticia te rendait vraiment dingue et tu la rendait tout autant dingue. C’était étrange de voir ça de l’extérieur mais vous ça vous convenait, du moins pour l’instant. Comme chien et chat, vous vous entendiez quand même assez bien même si la jalousie prenait la part sur tout et c’était elle comme toi, sur ce point là. Et c’est surement ça, qui a mit fin à votre relation un jour.


Alors que vous étiez dans un bar, ta belle petite-amie était partie chercher deux verres pour que vous puissiez vous hydrater après une danse endiablé. Elle t’avait rendu fou, dans tous ses gestes, mais aussi de la manière dont elle était habillé. Leticia t’avait donné extrêmement chaud mais elle avait décidé de couper tout d’un coup. Alors tu la suivais, prêt à recevoir ton verre mais en même temps une jeune femme venait t’interrompre dans tes pensées, alors que tu matais ta petite amie au loin, entrain de commander. Forcément, tu sortais ton regard de charmeur vers cette inconnue, qui était elle aussi très charmante. Après quelques regards et quelques mots doux échangés, ta petite amie revenait vers la table et commençait à s’énerver. « Oh, bébé, t’énerves pas là ça va » dis-tu à la brésilienne. Tu prenais une gorgée de ton verre qu’elle t’avait ramené avant de répondre à sa question. « Tu m’chauffes et tu t’barres, c’est toi qui joue là ! » dis-tu en haussant un peu le ton à ton tour.

Il était bel homme Alex, il les faisait toutes craquer, même celles déjà prises. De quoi rendre folle Letícia, qui cherchait par tous les moyens de le faire languir, qui ne veuille qu'elle, juste elle. Puis elle aimait se sentir désirée, elle aimait sentir son regard brûlant sur son corps. Oh oui, elle aurait fait n'importe quoi pour qu'il ne regarde qu'elle, même si pour y parvenir elle devait le faire de la pire des façons. Derrière cette relation toxique, il y avait aussi des sentiments et ce n'était pas pour rien que Letícia ne supportait pas de le voir flirter avec une autre. Avant d'expédier la jeune femme qui discutait avec Alex, ce dernier tenta de calmer Letí. En vain.  Non, je ne pense pas! Trop tard, elle explosait, quitte à recevoir les regards indiscrets des gens autour d'eux. Je peux pas te laisser 5 minutes sans que tu fasses les yeux doux à une pétasse! s'énerva-t-elle alors qu'il avait pris son verre des mains. D'un geste théâtral, elle posa le sien très brusquement sur la table.  Je te suffis pas?! Tu veux que je demande à d'autres si ils ont pas envie de ça? Elle désigna sa poitrine. Ça? Elle désigna son derrière.  Alors bébé, tu veux que je demande? le défia-t-elle, prête à allumer la mèche qui lancera le début d'une guerre.

T’as toujours été charmeur et tu aimais ça, les regards séducteurs et plaire aux femmes. Mais ta petite amie était pareil que toi. Elle aussi savait jouer de ses charmes et de ses atouts et des fois, ça te rendrai totalement dingue. Tu prenais une gorgée de ton verre en lui disant de se calmer mais elle était entrain de monter dans les tours. « Alors j’ai rien fais, elle est venue comme une fleur ta pétasse » dis-tu en levant les mains pour avoir l’air innocent. Elle était en feu la brésilienne, et sans trop savoir pourquoi, ça te rendait toute chose de la voir comme ça. Tu savais que cette soirée finirait comme les autres, une engeulade, une partie de jambe en l’air et puis basta. « J’t’ai dis de te calmer » dis-tu en utilisant le même ton qu’elle. Tu attrapais ton bras avec lequel elle avait désigner ses fesses et sa poitrine de façon un peu violente, et tu chuchotais à ton oreille. « Ça c’est à moi et à personne d’autre, compris ? » murmuras-tu en serrant un peu les dents sous le ton de la colère.

Alex! J'ai vu comment tu la regardais s'impatienta-t-elle, d'un air incrédule. Il prétendait innocemment y être pour rien mais Letícia se contentait de croire ce qu'elle avait vu : lui, avec une autre femme. Le ton et la tension montait d'un cran. Elle le savait jaloux lui aussi, alors elle n'hésita pas une seconde, pour le provoquer, à titiller sa jalousie. Dans sa robe moulante, elle lui avait désigné ses parties les plus généreuses, lui demandant si elle devait interroger d'autres hommes et voir si ils auraient envie d'elle. Ce coup bas sembla porter ses fruits car Alex réagit aussitôt. Ça c’est à moi et à personne d’autre avait-il dit entre ses dents. Non seulement il était fichtrement sexy quand il disait ça, mais cette façon dont il avait attrapé son bras, l'avait scotchée sur place. La brésilienne resta sans voix, à la fois excitée et déstabilisée. Elle dut prendre un instant avant pouvoir répliquer et mettre son visage à sa hauteur. Puis elle plongea son regard dans le sien et vint se coller lentement à lui.  Prouve-le lui dit-elle toujours sur le même ton de défi, un mince sourire aux lèvres. Cette fois elle ne souriait pas par provocation, mais par excitation. En effet, leurs disputes se finissaient souvent de la même façon.

« J’ai des yeux, j’regarde » soufflas-tu en levant les yeux au ciel. Tu comprenais pas vraiment pourquoi elle s’énervait, même si dans les fait, elle avait bien raison de le faire puisque tu étais clairement entrain de flirter avec une autre femme qu’elle. Mais c’était quand même sexy, de la voir se mettre dans tous ses états comme ça. Tu t’étais un peu emballé, en lui attrapant le bras de manière un peu violente et en lui chuchotant sous le ton de la colère. Mais ça semblait lui plaire puisqu’elle mettait un peu de temps à répondre. Non pas parce qu’elle avait peur de toi, parce que tu savais que ce n’était pas le cas, mais parce qu’elle était un peu excitée. Elle venait se coller à toi et te demander de le prouver. Tu mettais une main sur son fessier et une autre sur sa joue pour coller tes lèvres sur les siennes et l’embrasser de manière sensuelle. Au bout de quelques secondes, tu te détachais, toujours à quelques millimètres de son visage et tu osais ouvrir la bouche. « T’as besoin de plus ? » demandas-tu avec un sourire espiègle. « Si c’est que ça, on a qu'à aller dehors » dis-tu en te mordant la lèvre inférieure.

Piquée au vif par le toupet de son petit ami, Letícia explosait sa colère, sans se soucier du monde qui les entourait. De toute façon, cela devenait tellement une habitude entre eux, que certains devaient sûrement ne plus y prêter attention. Surtout que la tension redescendait aussi vite qu'elle était montée. A vrai dire, il s'agissait d'une toute autre tension qui régnait à présent entre eux. Le regard d'Alex était sombre, sauvage et intense.  Letí prit du temps avant de répliquer, et pas une seule fois elle chercha à se détacher de son emprise. Elle déglutit. Alex lâcha son bras pour mettre une main sur son fessier et l'autre sur sa joue. Il l'embrassa et elle rendit son baiser aussi fougueusement que lui. Ce fut lui qui se détacha d'elle. Il suffisait d'une toute petite étincelle pour que cela dérape. Oui, j'en veux plus exigea-t-elle en répondant avec ce même sourire espiègle. Elle posa ses mains sur son torse pour se blottir contre lui. Impossible de refuser sa proposition, elle glissa sa main, frôlant intentionnellement son entrejambe. Emmène-moi. lui demanda la brésilienne.

Elle semblait surprise de ce que tu venais de faire mais ça ne l’empêchait pas de te rendre ton baiser avec une fougue égale voir supérieure à celle que tu venais de lui donner. Et ça te plaisait plutôt bien. A vrai dire, c’est toi qui devait te détacher d’elle pour respirer légèrement. Ton visage près du sien, elle te disait qu’elle en voulait plus et toi aussi, ça tombe bien. Sa main se déplaçait de ton torse jusqu’à ton entre jambe et ça tu murmurais à son oreille. « Si tu commences à faire ça, j’vais pas pouvoir aller très loin avant de te sauter dessus » soufflas-tu entre tes dents. Tu ne savais pas résister à Leticia et tous ses gestes. Vous étiez des animaux des fois, on va pas se le cacher. Mais ça ne te déplaisait pas. Vous sortiez alors de l’endroit où vous étiez, tu te mettais à l’embrasser de nouveau avant de la regarder. « On va où ? » commences-tu par demander. « Parce que la, j’ai trop envie de toi, bébé » soufflas-tu avec un regard espiègle.

Son baiser sensoriel, faisait vibrer chaque partiel de son corps. Impuissante quand il la touchait - même si cela aurait été que le frôlement de ses lèvres - Letícia perdait le contrôle d'elle-même. Leurs visages proches l'un de l'autre, attirés comme des aimants, le désir prenait le dessus des deux amants. Elle afficha un sourire satisfait en découvrant qu'elle lui faisait de l'effet, à lui aussi. Ce n'est pas pour autant qu'elle cessa de caresser son entrejambe jusqu'à ce qu'il décide de l'emmener en dehors du bar. Dès qu'ils furent à l'extérieur ils reprirent leur baiser, mais finirent par se détacher pour se décider où ils allaient se planquer. Dans la voiture? Non, la dernière fois, on s'est fait grillé. Sourire malicieux. Allons voir dans cette impasse. Ensemble ils se dirigèrent dans le fond de la ruelle, près de ce qu'il ressemblait un escalier de secours. Le claquement de ses talons fut le seul bruit qui résonnait dans les environs. L'horizon paraissait désert.  Personne, tu vois? T'as toujours envie? lui demanda-t-elle en déposant sa bouche un peu partout sur le cou de son petit ami. Entre temps elle glissa sa main le long de son pantalon.

Ça en devenait animal, sauvage. Mais c’était ça entre vous. Vous étiez plus des animaux en quête de satisfaction plutôt que des êtres humains qui veulent passer un bon moment. La voiture était une bonne idée mais vous vous étiez fait cramé un nombre incalculable de fois en faisant l’amour à l’intérieur. La jeune femme te proposa l’impasse d’à côté. « Dehors, t’es sur ? » demandais-tu en te mordant la lèvre. Tu ne pouvais pas attendre de toute façon, et puis c’était extrêmement excitant de savoir que quelqu’un pouvait vous surprendre a tout moment. Vous vous dirigiez vers la ruelle et la brésilienne te confirmait que personne n’était là. Elle s’approchait de toi pour couvrir ton cou de baiser et glissa sa main dans ton pantalon. « Tu te doutes bien qu’oui » dis-tu en glissant à ton tour ta main sous sa robe, caressant sa cuisse. Ta main remontait dangereusement vers son intimité pendant que tu prenais possession de ses lèvres. « Et toi ? T’as vraiment envie qu’on fasse l’amour ici ? » demandais-tu alors que ton visage était à quelques millimètres du sien.

Alex et Letí ne formaient pas un couple stable avec une relation douce à la vanille. Ils représentaient l'opposé ; la ténacité d'être l'un pour l'autre toxique. Ils aimaient l'amour bestial et cela incluait des parties de jambes en l'air dans des endroits qui sortaient de l'ordinaire. Ce soir-là en faisait partie, Letícia incitait Alex à ce qu'ils cèdent à la tentation dans cette impasse déserte. Pourquoi pas? lui dit la brésilienne qui parsemait sa bouche un peu partout sur le cou de son petit ami. La perspective qu'on pouvait les surprendre à tout moment l'excitait encore plus. Après tout cela ne serait pas la première fois. La main dans son pantalon elle cherchait à voir si il ressentait la même chose qu'elle. Intensément, ils s'embrassèrent et dès que leurs lèvres se détachement, Letí semblait perdre de plus en plus le contrôle de son souffle.  Tu poses vraiment la question?  chuchota Letí, réprimant un sourire, tandis qu'Alex relevait sa robe en s'approchant de plus en plus de son intimité. Dans un geste de précipitation elle releva sa robe jusqu'à ses hanches et commença à déboutonner le pantalon d'Alex. Assis-toi sur les escaliers, je vais m'occuper de toi.   lui dit-elle en continuant de lui caresser l'entre jambe, pour sentir son membre durcir sous ses doigts.

Jamais tu n’aurai pensé avoir une relation ainsi avec une femme. Pourtant, tu es un homme qui aime la bestialité et l’amour sauvage. Être brutal c’est un peu ton quotidien, sans être trop violent bien sur. Mais tu aimes dominer les choses, tu aimes être le chef et décider. « Parfait » dis-tu contre ses lèvres quand elle te disait qu’elle était partante pour faire l’amour dans la ruelle. C’était tellement excitant, tu sentais déjà la chaleur monter en toi et l’envie de la rendre complètement folle de toi, encore plus qu’elle ne l’est déjà. « Non, là je pose plus de question » soufflas-tu entre deux respiration haletantes. Tu avais envie d’elle, énormément mais ça, elle pouvait le remarquer grâce à ton membre qui devenait de plus en plus dur. Tu t’exécutais et tu écoutais la brune te demander de t’assoir sur l’escalier. Tu déboutonnais ton pantalon et tu baissais ton caleçon avec avant de prendre place. « J’attends que ça, bébé » dis-tu en te mordillant la lèvre.

Prenant en compte qu'ils pouvaient être surpris à tout moment, ils prirent le risque de faire l'amour dans cette ruelle qui menait nulle part et où visiblement personne n'y circulait. Entendre la respiration haletante d'Alex donna une montée d'adrénaline à Letícia qui elle-même avait le souffle coupé. Elle lui demanda de s'asseoir sur les escaliers de secours. Tandis qu'Alex s'exécutait, elle serra son visage entre ses mains et se mit à l'embrasser fougueusement. Il avait libérer son membre, et elle le sentit, ondulant son bassin sur lui pour le sentir contre son intimité. Puis brusquement, elle  relâcha son étreinte en déposant ses lèvres un peu partout sur lui. Sa nuque, la lobe de son oreille, son menton. Elle descendit encore plus bas, léchant le pouce de sa main pour lui montrer quel chemin elle allait parcourir. Elle descendit le caleçon de son petit ami jusqu'à ses chevilles et elle se plaça au milieu de ses cuisses, à genoux. La brune ne portait plus son petit sourire espiègle. Elle planta son regard sérieux et intense dans les yeux sombres d'Alex. Abandonne-toi, d'accord? lui demanda Letícia dans un chuchotement. Et sur ces mots, sans le quitter du regard, elle plongea sa bouche pour commencer à le sucer fort. Ses lèvres descendirent aussi bas qu'elle le pouvait. C'était un plaisir triomphant de le voir perdre le contrôle.

C’en devenait de plus en plus excitant de vous abandonner tous les deux au plaisir alors que vous étiez en pleine rue. Même si cette dernière n’était pas fréquentée, il y avait quand même une chance de vous faire surprendre et ça, ça t’excitait encore plus. Quand la brune se frottait contre toi, tu commençais à perdre le contrôle. Passant une main violente dans ses cheveux, l’autre le long de son bassin et la serrant fort contre toi, attrapant sa fesse au passage. La jeune femme commençait à descendre ses baisers et venir se mettre à genoux devant toi. « Fais-moi rêver » soufflas-tu avec un sourire malicieux. Tu sentais les lèvres de la brésilienne venir sur ton membre qui était déjà tout émoustillé par ce qu’elle commençait à faire. Tu lâchais un énorme râle de plaisir en sentant les vas et viens de ta petite amie et tu posais ta main dans ses cheveux. C’était intense et bordel que ça te faisait du bien. « Continues comme ça » soufflas-tu en fermant les yeux, profitant de l’instant.

Aucun bruit de pas, ou de véhicule, régnait dans la ruelle. On entendait seulement leurs respirations saccadées qui révélaient combien l'envie se faisait plus pressante. Alex passa une main dans les cheveux de la brésilienne dans un geste violent, non, dans un geste qu'elle qualifierait plutôt excitant. Il la serra fort, attrapant au passage ses fesses, et elle échappa un gémissement incontrôlé. Son corps s'agitait, impatient, mais avant de succomber Letícia tenait à donner du plaisir à son petit ami. Avec assurance elle prit les devants et lui demanda de s'abandonner. Sans plus attendre elle plongea son visage entre les cuisses de son amant pour le sucer. Fort. Quelle satisfaction, de sentir son membre gonfler dans sa bouche, et encore plus de l'entendre expirer un râle de plaisir.

Elle ferma les yeux, l'enfonça plus loin dans sa bouche et continua ainsi les vas et viens, comme il l'avait demandé. Ses mains s'aggripèrent à ses hanches en redoublant d'efforts, puis elle se retira doucement pour lècher doucement la longueur de son membre. Curieuse de croiser son regard, elle leva ses yeux vers lui. Sa langue titillait, jouait sur le bout de son sexe. Un sourire coquin s'afficha sur son visage avant de remplir de nouveau sa bouche et d'accélérer la cadence. Il fallait qu'il la supplie d'arrêter ; car c'était ce qu'elle cherchait : le rendre fou pour qu'il lui fasse l'amour sauvagement. Dominer pour être mieux dominée.