(hot) quelle idée d'aimer une femme à l'humeur vengeresse? (aletí)

Ce silence qui régnait dans la rue était excitant. Seules vos respirations haletantes se faisaient entendre. Surtout la tienne puisque Leticia était entrain de faire sa petite affaire et ça te comblait de désir. Tu lâchais quelques gémissements, et puis un énorme râle de plaisir. Tu lui faisais comprendre que tu aimais ce qu’elle te faisait en ce moment. Tu lui ordonnais de continuer, pour te donner encore plus de plaisir et c’est ce qu’elle faisait. Ta main dans ses cheveux, lui tirant presque, tu lui montrais à quel point tu étais désireux d’elle. « Putain, Leti » hurlas-tu presque alors que tu étais entrain de te mordre les lèvres de plaisir. Elle allait de plus en plus vite dans ses mouvements et là, il fallait qu’elle s’arrête sinon tu allais finir et ça allait être terminé pour la soirée. « Arrêtes, tu vas me tuer » dis-tu simplement. Tu avais besoin de lui rendre la pareil, qu’à ton tour tu lui fasses du bien. C’était surement violent, et brutal mais c’était comme tu étais et tu avais envie de lui faire l’amour sauvagement.

Les gémissements d'Alex furent bientôt imités par ceux de Letí, bien qu'étouffés dans sa bouche. C'était si bon de le voir et de le sentir prendre du plaisir, qu'elle aussi ressentait une vague de chaleur monter en elle. Elle le voulait dur, prêt à jouir. Sa main ferme dans ses cheveux l'encouragea à continuer. Au bord de l'extase, elle le sentit gonfler. Il tenta de l'arrêter mais elle jugea pouvoir le pousser encore un peu avant l'orgasme. Alors elle glissa ses mains sur ses hanches, et y prit appui pour enfoncer de nouveau sa bouche, plus vite, serrant ses lèvres en protégeant ses dents. Avant qu'il lui demande de nouveau d'arrêter, elle ôta ses lèvres autour de son membre, brandit comme un ressort. Un sourire de satisfaction se dessina sur le visage de Letí. Pardon, je me suis laissée emporter lui dit-elle, d'une petite voix innocente. Tenant son sexe entre sa main, elle continua de le caresser lentement. Une pensée lui vint soudainement. Je n'ai pas de capote lui fit-elle remarquer, d'un air détaché. Mais elle avait tellement envie de lui, là, maintenant, qu'elle n'était pas prête à retourner dans la voiture pour chercher un préservatif. J'ai trop envie de toi, je tiens plus se précipita de rajouter la brésilienne en se redressant, écartant déjà sa petite culotte sur le côté. S'il-te-plait. Fuck me hard, baby. le supplia-t-elle, son doigt caressant son clitoris.

Elle réussissait toujours à te rendre chaud. Enfin, elle savait comment s’y prendre avec toi. Et c’était très important. Ses mouvements te faisaient râler de plaisir et tu prenais vraiment ton pieds. Tu sentais qu’elle aussi, elle aimait ce qu’elle faisait mais surtout qu’elle allait aimer la suite, parce que c’est bien pour ça qu’elle faisait ça, pour que tu lui donnes du plaisir après. Sa petite voix innocente à la fin de sa fellation te faisait sourire. « Laissée emportée, bien sûr » dis-tu alors que tu reprenais ta respiration qui était très haletante. « J’en ai pas non plus » soufflas-tu un peu interloqué. « Ça te dérange pas ? » demandas-tu quand même à ta petite amie. Même si ce n’était pas la première fois que vous faisiez l’amour, tu voulais quand même avoir son accord pour le faire sans protection. « J’arrive, bébé » dis-tu en regagnant ses lèvres. Une fois son accord donné, tu la poussais contre le mur et tu portais une de ses jambes au niveau de ton bassin. Tu avais vu qu’elle avait déjà commencé à se caresser et tu ne pouvais pas t’empêcher de faire de même avec ta main libre. « T’aimes ça ? » dis-tu alors que tu commençais à insérer un doigt en elle, faisant quelques vas et viens. Tu te mordais les lèvres en la voyant se laisser aller.

Letícia souriait, bêtement, mais tellement satisfaite d'avoir donné autant de plaisir à son petit ami. Je savais ce que je faisais, et regarde, tu n'as pas jouis dans ma bouche se défendit-elle toujours avec cette toute petite voix innocente. Mais elle savait aussi qu'il n'en avait pas été loin. La respiration saccadée d'Alex en disait long. Elle le trouvait sexy, elle était excitée et elle ne voulait pas attendre plus longtemps pour qu'il la prenne sauvagement. Soudainement elle réalisa qu'elle n'avait pas de préservatif... et lui non plus. En voyant Alex précautionneux, qui lui demandait si cela ne la dérangeait pas, une partie d'elle ne put s'empêcher d'éprouver de l'attendrissement. Cependant c'était une Letícia très / trop excitée qui prenait le dessus. Ce n'est pas grave. assura-t-elle d'un ton indifférent. Avec son feu vert, Alex prit les devants et la poussa sur le mur tout en  aggripant une de ses jambes. Il inséra un doigt en elle ce qui la fit gémir instantanément. Un gémissement bien audible et incontrôlé qui fut difficile à dissiper car Alex continuait ses vas et viens. Elle ferma les yeux, et au bout d'un court moment elle lui mordilla l'épaule. Non, toi. réclama la brune, alors qu'une de ses mains se posa sur son sexe encore dur. Rempli-moi lui implora-t-elle. Le regard intense, elle ondula son corps pour sentir l'extrémité de son membre contre son intimité. Ses yeux convulsèrent de plaisir, elle qui était si impatiente de le sentir en elle.

« Parce que tu t’es arrêté au bon moment » dis-tu avant de plonger tes lèvres dans son cou. C’était à ton tour de lui faire du bien, comme elle t’en avais fait. Mais vous n’aviez pas de quoi vous protéger, et tu demandais quand même l’autorisation à ta petite amie avant de faire quoi que ce soit. Elle semblait être dans le même optique que toi, une envie folle de faire l’amour et le reste on s’en fou. « Ça m’arrange » dis-tu en revenant vers le visage de ta petite amie pour l’embrasser. Tu plaquais la jeune femme contre le mur et tu relevais une de ses jambe pour accéder à sa petite culotte. Balayant cette dernière sur le côté, tu insérais un doigt en elle pour commencer à lui donner du plaisir. Elle semblait aimer ça, puisqu’elle venait te mordre sur l’épaule. « Ça arrive, bébé » dis-tu alors qu’elle attrapait ton sexe pour le frotter contre le sien. Tu la laissais faire quelques instants, continuant tes vas et viens avec tes doigts pour la faire mouiller un peu plus. Jusqu’au moment où tu ne pouvais plus résister et tu insérais ton sexe en elle. Et là, ça devenait encore plus intense, plus sauvage. Tu donnais des coups de reins tellement fort que tu en poussais quelques gémissements. Elle était entrain de grimper sur le mur au fur et à mesure de tes coups de reins, tellement ils étaient forts. C’était l’amour sauvage, brutal mais satisfaisant.

Letícia avait effectivement arrêté au bon moment, lui qui était à deux doigts de jouir dans sa bouche. Il aurait pu car ni l'un ni l'autre n'avait de préservatif. Pourtant aucun d'eux ne semblaient y attacher grande importance, bien qu'Alex ait tout de même demandé avant la permission à sa petite amie. Le désir avant la raison. Au moins sur le plan sexuel, ils étaient sur les mêmes ondes. D'ailleurs la température avait méchamment monté après la fellation de Letí et c'était au tour d'Alex de la chauffer un peu. Un peu, non, disons plutôt beaucoup. A peine quelques vas et viens de son doigt en elle, qu'elle sentait une vague de chaleur l'envahir. Son corps appelant le sien, faisait des vagues. Elle le réclamait, sous ses doigts habiles. Il ne céda pas tout de suite, de quoi la rendre encore un peu plus folle et un peu plus mouillée. Puis sans prévenir il le fit. Il la s'inséra et tout devint plus intense. Faire l'amour sans protection était tout de même clairement différent, selon la brésiliennes. Les sensations paraissaient décupler. Il la pénétrait donc, avec force, si bien qu'elle grimpait sur le mur à chaque coup. Oh... ouais... Comme ça lui dit-elle le souffle coupé par chacun de ses coups de reins. Sa main serra son bras, l'autre tenait son visage pour le faire face. Aucun de ses gémissements n'avaient de retenu. Quand il allait plus fort, elle criait plus fort. Ce qui l'excitait davantage c'était de l'entendre lui aussi gémir. A chaque fois qu'il laissait échapper un râle de plaisir, elle vibrait. Puis elle enfonça ses ongles dans sa peau et sous un énième coup de rein, ses yeux convulsèrent. Letícia s'abandonnait, elle se sentait venir, tout proche de l'orgasme. Alors que sa jambe tremblait, faiblement sa main descendit au menton de son amant. Regarde-moi  lui demanda-t-elle, en cherchant ses yeux sombres après lui avoir relevé une mèche sur son front. Qu'il était fichtrement sexy.

C’était intense, fou mais aussi diablement excitant. Elle avait réussi à s’arrêter au bon moment, lors de sa fellation, sinon tu aurai totalement pu finir dans sa bouche. Mais la brésilienne te connaissait plutôt bien, et surtout elle connaissait ton corps à force de faire l’amour avec toi. Même dans un contexte différent, c’était toujours la reine de l’action. Avant de la pénétrer, tu ne pouvais t’empêcher de jouer avec le feu pour qu’elle apprécie encore plus le moment. Mais rapidement, tu cédais à son envie mais aussi à la tienne. Plus tu donnais des coups de reins, plus elle grimpait sur le mur. Tu l’entendais gémir et ça te rendait encore plus fou. T’es yeux planté sur son visage, sa main qui te tenait la joue, tu voyais le plaisir sur son visage. « Putain que c’est bon » dis-tu en écho à ses mots. Tes yeux viraient vers la nuit étoilée qui s’offrait à vous en ce moment de plaisir. Tu sentais que c’était bientôt la fin, que tu allais finir dans les moments qui suivaient. Elle t’attrapait faiblement le menton en t’ordonnant dès la regarder. « Vos désirs sont des ordres » soufflas-tu malgré ta respiration saccadée. Tes yeux plantés dans les siens, tu ralentissais les coups de rein que tu lui donnais, pour qu’elle prenne un peu plus de plaisir, plus lentement, plus sensuellement.

Après une fellation qui avait mené Alex aux portes de l'orgasme, Letícia avait arrêté à temps avant qu'il ne jouisse dans sa bouche. Bien excité, son petit ami allait enfin lui faire l'amour. Il joua avec son intimité pour la mettre dans de meilleures conditions pour la pénétrer. Lorsqu'il la pénétra avec force, Letí poussa un gémissement qui fut le premier de bien d'autres. Alex mettait toute son énergie dans ses coups de reins, un délice pour la jeune femme qui savourait la sensation de son membre bien dur et sans protection. Sa jambe tremblait, ses yeux convulsaiaient, et les ongles dans sa peau révélaient à quel point leurs ébats étaient sauvages. Letí s'abandonnait, tout proche de l'ultime orgasme elle demanda à son petit ami de la regarder. Ses yeux sombres dans les siens, il s'exécuta donc. Ça la rendait toute chose, qu'il la regarde ainsi. Comme si il la possédait toute entière. Je suis à toi lui dit-elle, toute chamboulée. C'était sa façon de lui dire qu'elle l'aimait, au milieu de ce sexe intense et brutale. Mais Alex ralentissait la cadence, lui permettant de reprendre son souffle. Tu veux jouir en moi, bébé? lui suggéra la brune, toujours en le regardant droit dans les yeux.

Tu n’avais pas pu jouir dans la bouche de ta petite amie, voulant te préserver pour la suite des événements mais ça avait été dur de résister car elle s’était arrêter à un moment crucial. Maintenant, c’est toi qui prenait les devants, prêt à lui faire l’amour sauvagement. Tes coups de reins étaient violents, ils la faisaient grimper le long du mur. Tu sentais que tu étais au bord de l’orgasme, donc tu ralentissais la cadence. « Entièrement à moi » soufflas-tu en essayant de reprendre ton souffle. Tu faisais de plus en plus doucement, donnant quand même des coups de reins très prononcés. Les ongles de Leti dans ta peau te faisaient grogner mais tu sentais que tu lui donnais un maximum de plaisir. Quand elle te demandait si tu voulais jouir en elle, tu hochais la tête. « Oui, bébé » dis-tu avant de poser tes lèvres sur les siennes. C’était même pas un baiser, c’était de la passion, tu passais une main dans ses cheveux, l’autre lui remontait la jambe que tu tenais fermement depuis le début. Tu sentais qu’elle faiblissait, ta petite amie, à sa jambe qui tremblait et ses yeux qui convulsaient. Tu posais ton front contre le sien, pour la regarder droit dans les yeux. La lèvre supérieure qui mordait la lèvre inférieure, tu n’avais que de la passion dans le regard. Il était venu l’heure du dernier coup de rein, et tu te lâchais en elle, en poussant un énorme grognement de satisfaction. « Putain, qu’est-ce que c’était bon » dis-tu, alors encore au septième ciel, toujours à l’intérieur de ta copine.