feeling high with what we had, feeling down when it's gone (perry)

Perry se sentait désorienté. Il voulait de nouveau de Jackson dans sa vie, il n’a jamais voulu ne plus l’avoir en réalité, mais il a été trop lâche pour lui avouer alors il l’avait quitté, ce qui dans sa tête faisait parfaitement sens. Mais il pensait que ça ne pourrait jamais de nouveau être le cas, parce qu’il ne voulait pas de quelqu’un d’autre avec eux et il pensait que Charlie rentrerait toujours en ligne de compte. Mais là il apprend que les deux colocs ne sont plus ensemble. Histoire d’être un peu plus au calme et se remettre les idées en place, il propose d’aller dehors, ce que Jackson accepte avant de répondre à ses interrogations. Honnêtement, il lui expliqua qu’ils ont essayé de faire durer le truc sans lui, qu’il tient beaucoup à la jeune femme et qu’elle aura toujours une place importante pour lui mais que ce qu’il ressent pour elle ce n’est pas de l’amour, pas comme ce qu’il peut (ou a pu) ressentir pour Perry. Le principal intéressé senti son cœur se serrer face à cette déclaration. Ça fait aussi parti des choses qu’il ne lui a jamais avoué, que derrière ses airs de gars sûr de lui, Perry flippait de ne jamais être à la hauteur pour son petit-ami. Il ne s’est pas totalement trompé là-dessus mais il n’a jamais bien mesuré à quel point il a pu tenir à lui. Le brun continua en expliquant qu’il ne pensait jamais être assez pour lui et qu’avoir Charlie avec eux pourrait combler ce manque. Perry ne put s’empêcher de rire avant de répondre. « Oh wouah ! Tu sais...j’me suis dit exactement la même chose, que Charlie pourrait t’offrir tout ce que moi j’arrive pas à faire, quelqu’un avec qui parler vraiment, tout ça. Donc là en fait, on a tous les deux acceptés ça pensant faire plaisir à l’autre c’est ça ? J’pense qu’y’a eu comme un p’tit soucis de communication là. J’me sens con. » Parce que les problèmes de communication viennent en majorité de lui et que s’il avait été honnête, ils auraient pu éviter tout un tas de péripéties supplémentaires. Plus sérieusement, il ajouta en le regardant. « Tu m’as toujours suffit. J’ai jamais eu envie d’aller voir ailleurs avec toi. T’es vraiment un gars exceptionnel et je serai con de pas savoir m’en contenter. Enfin j’ai été con, mais bon. » Il posa une main sur son bras avec un sourire.

Un beau duo d’imbéciles, que vous formiez là. Tu t’étais dit que cette histoire de trouple avec Charlie était une bonne idée parce que Perry y trouverait davantage son compte. Lui s’était dit que Charlie t’offrirait ce que lui n’était pas en mesure de te donner niveau relationnel. Ça avait été vrai, un temps. T’avais eu le meilleur de tous les mondes. Et puis, comme tu avais une profonde connexion avec Charlie, ça te convenait bien aussi de pouvoir poursuivre ça avec elle. Mais tout ça, ça ne fonctionnait que si Perry était là. Si Perry n’était plus là, alors tu n’étais plus satisfait. « Ce serait mentir de dire que j’l’ai pas fait aussi pour mon propre plaisir, j’ai bien aimé ce temps-là avec Charlie et toi. Mais ouais, à la base, j’me suis aussi dit que c’était peut-être la seule solution pour sauver notre couple. Clairement j’me suis trompé. » Et vachement, d’ailleurs, puisque c’est tout le contraire qui s’était produit. « Si tu m’avais dit que c’était ça, le problème, on en aurait parlé, et on aurait pris la décision d’arrêter ça. Y’aurait pas eu besoin qu’on passe des mois l’un sans l’autre. À la place on a perdu tout ce temps. Fait chier, Perry. » Vous aviez souffert, en plus. Mais t’étais tellement amoureux de lui que toute cette peine, elle semblait s’envoler dès qu’il te disait que tu lui avais toujours suffit, qu’il n’avait jamais eu envie d’aller voir ailleurs avec toi. T’étais exceptionnel ? Alors là, tes joues se teintèrent de rose. « Oui, t’as été bien con. Maintenant que ça, c’est établi … Where do we go from here ? » Tu lui ouvrais la porte, carrément, Jackson. T’avais pas besoin de temps pour réfléchir à la soirée, pas besoin de temps pour lui pardonner. T’étais là, face à lui, prêt à reprendre tout ce qui avait été abandonné. T’aurais peut-être dû le faire languir un peu, le punir, le faire attendre. Mais t’avais pas envie de jouer à ce jeu-là. Ce serait encore du temps trop précieux de perdu.

En entendant Jackson répondre, Perry sentit une pointe de jalousie en lui, il a une relation spéciale avec Charlie et même si ce n’est pas de l’amour, elle a une place importante pour lui, il sera bien obligé de l’accepter, si jamais cette discussion ne signe pas une fin définitive à leur histoire. Elle lui manquait aussi, même s’ils n’ont jamais eu la relation qu’elle a avec Jackson, ils ont toujours bien ri tous les deux et se sont tout de même rapprochés pendant toute cette histoire de trouple. Elle manquait aux enfants aussi, qui s’étaient demandés pourquoi elle ne venait plus les garder de temps en temps lorsqu’il n’était pas là. Actuellement il se sentait vraiment nul de n’avoir rien dit et que ça ait tout foutu en l’air entre eux alors que visiblement ils étaient tous les deux plus ou moins sur la même longueur d’onde sans le savoir. « J’voulais pas que t’aies à faire un choix, j’voulais pas que tu choisisses moi mais que tu regrettes après. » Du coup il a fait le choix pour lui, comme avec Aisling puisqu’il semblerait qu’il n’apprenne jamais de ses erreurs. Il espère que cette fois il ne reproduira plus les mêmes pattern. Perry tenta donc de se montrer rassurant et aimant, de lui dire sincèrement ce qu’il pense de lui, à savoir que Jackson est une personne qu’il ne mérite sans doute pas, bien trop bien pour lui. S’il n’arrive pas à se contenter de seulement lui, il n’arrivera jamais à se contenter de qui que ce soit. Non pas que ne pas être en couple avec quelqu’un toute sa vie lui pose problème, l’amour, comme le sait que trop bien l’homme en face de lui, ça n’a jamais été son truc. Mais avec le brun il a bien envie que ça le soit, à nouveau et mieux cette fois. « Quelque part tous les deux ? » demanda-t-il en ne pouvant s’empêcher de sourire. « Si t’es prêt à ce qu’on soit juste tous les deux, moi j’ai envie d’être avec toi et de faire ça mieux...en même temps pire je sais pas si ça serait trop possible, enfin si faudrait qu’en plus j’sois nul au lit mais là dessus je peux pas baisser mon niveau. »

Perry ne voulait pas t’imposer un choix à faire alors à la place il t’avait imposé son choix à lui, qui n’était pas celui pour lequel toi, t’aurais opté. C’était con et c’était une excuse de merde, et si tu ne voulais pas envenimer les choses, tu ne voulais pas non plus balayer ça sous le fauteuil en espérant que ça ne se reproduise plus. Vous vouliez communiquer mieux ? Ça devenait commencer dès maintenant. « C’est bien gentil de penser autant à mes regrets mais j’sais assumer mes choix. Et j’aurais su, mieux que toi, ce que je voulais et ce qui était bon pour moi. Et comme ce n’est maintenant plus une surprise que ce choix n’aurait pas été le même que toi … J’aimerais bien, à l’avenir, que tu me laisses l’opportunité de décider pour moi. » Tu le lui avais dit assez fermement, parce qu’il n’y avait pas de place à la rigolade là-dessus. Il fallait que ça lui rentre dans la tête. Tu voulais bien lui laisser une autre chance, à Perry, mais tu n’aurais peut-être pas la même patience que dans les dernières années. Tu retrouvas ta douceur en lui demandant qu’est-ce que vous faisiez à partir de maintenant, où vous alliez une fois cette discussion finie. Tu ne parlais pas nécessairement de la suite de cette nuit, mais bien de la suite de votre vie. C’était quoi, le plan ? Perry te proposa quelque part, tous les deux, et tu l’écoutas terminer avant d’ajouter : « Ce quelque part tous les deux, je veux que ce soit ici. J’en ai marre de fuir et de ne filer le parfait bonheur que lorsqu’on est ailleurs loin des gens qui nous connaissent. Si t’es all in avec moi, t’es all in avec moi aux yeux de tout le monde, pas juste de moi. » T’étais plutôt fier de toi, Jackson, de savoir exprimer tes attentes et de mettre tes limites. Tu ne les avais pas assez mises depuis le début de votre relation et ça s’était terminé en véritable fiasco. À partir de ce soir, tu n’hésiterais plus à t’affirmer. « Tes colocs sont là ? On pourrait aller passer la soirée avec eux, chez toi. Et quand tout le monde sera couché, peut-être qu’on pourra s’assurer qu’on n’est effectivement pas pires qu’avant … » Dis-tu, faisant évidemment référence à vos prouesses sexuelles.

La lâcheté est l’un des nombreux défauts de Perry. La fuite lui semblait plus confortable que d’admettre ses sentiments, ses peurs et en prenant cette décision, il évitait à Jackson de se demander s’il avait fait le bon choix. Mais il n’aurait pas dû choisir à sa place, ni penser qu’il n’était pas capable de prendre une décision. Mais il se dit aussi que s’il avait choisi Charlie plutôt que lui, il aurait été encore plus triste qu’après les avoir quitté. L’égoïste est aussi un défaut qui resurgit parfois chez lui, même s’il fait beaucoup pour ses amis et qu’il ne manque pas de générosité à leur égard. « Désolé...je ferai attention. Je suis déjà pas doué pour prendre les décisions pour moi alors faudrait vraiment que j’en prenne pas pour les autres. » Jackson est un grand garçon et il lui prouve bien ce soir qu’il sait ce qu’il veut et qu’il impose ses limites. C’est peut-être ça aussi qu’il leur manquait, sans doute ayant trop peur que Perry fuit pour le moindre truc, à raison, il n’avait pas osé lui dire toutes les choses concrètes qu’il faisait mal, gardant ça pour lui, le laissant naviguer dans le brouillard. Perry avait l’impression d’avancer avec cette conversation, que ce soit dans leur relation à tous les deux et dans son rapport à lui-même. Il vient de passer un nouveau niveau dans sa vie et il se sentait un peu fier d’évoluer même s’il sait qu’il a du boulot et que cette fois il ne va pas devoir rien faire s’il ne veut pas que cette seconde chance tourne au fiasco. « Ok. J’suis all in avec toi partout où tu veux. » acquiesça-t-il. Si ses enfants et ses colocs le connaissent déjà, en plus d’un an ils ont eu quelques occasions de le croiser, il n’a jamais vraiment passé de temps avec Jackson et d’autres gens en dehors des quelques soirées d’anniversaires où ils étaient tous les deux. « Oui j’crois qu’ils sont là mais ça me va. J’te préviens ils risquent de te jeter des fleurs en te voyant, ils doivent en avoir trop marre que je les bassine avec toi et que je me plaigne h24. » Il avait fini par plus parler de son petit-ami une fois qu’ils étaient séparés que lorsqu’ils étaient ensemble. A présent il est bien décidé à continuer à parler de lui et à être avec lui. « Mais ça va être si long d’attendre que tout le monde soit parti se coucher. » dit-il en se pinçant les lèvres avant de s’avancer, passant ses bras autour de la taille de son ancien ex, nouveau petit-ami à nouveau, pour l’embrasser.

« Merci. » Te contentas-tu de répondre à Perry quand il t’affirma qu’il ferait attention. C’était déjà un début. Il avait pris des mauvais plis et tu ne pouvais t’attendre à ce qu’il se redresse complètement dès la première minute, on ne pouvait s’attendre à cela de personne. Juste le fait qu’il s’en rende compte et qu’il veuille bien travailler là-dessus, ça comptait pour toi. Après, il faudrait quand même qu’il fasse ses preuves assez rapidement même si ce n’était pas dans l’instant. Le plus grand pas ce fut qu’il accepte d’être all in avec toi, partout où tu le voulais. T’aurais pu lever les deux poings en l’air et crier victoire dans la nuit, tellement cette déclaration te rendait heureux. Bordel, c’est ce que tu attendais depuis tout ce temps. Ça, juste ça. Tu ne cachas pas ce grand sourire qui se dessina sur tes lèvres. Alors, puisque c’était convenu ainsi, tu proposas à Perry d’aller terminer la soirée avec ses colocataires. Tu savais la place importante qu’ils occupaient dans sa vie et ça t’avait toujours peiné d’être là sans être là, avec eux. T’avais jamais été invité aux vraies soirées du 17, quand ce n’était qu’eux et les partenaires. T’étais là juste quand il y avait un paquet d’autres randoms et tu t’étais senti comme ça, comme un autre random, alors que dans ta tête t’étais le copain de Perry. Tu ris en t’imaginant te prendre des fleurs par la tête en rentrant. « C’est parfait, ça. On va pouvoir partager notre bonheur avec eux. » C’est comme ça que tu le voyais, toi. The more the merrier. Et pis, ils finiraient tous bien par aller se coucher tôt ou tard, même si dans la tête de Perry ce serait tard peu importe l’heure. Tu savais qu’il avait hâte que vous vous retrouviez, intimement, et toi aussi, mais … tu ne souhaitais plus que votre relation ne tourne qu’autour de ça. Les retrouvailles physiques attendraient. « La patience, ça aussi, ça se travaille. » Tu ris au même moment où Perry s’approchait de tes lèvres, alors sans perdre ton sourire sur tes lèvres, tu refermas quand même la bouche pour l’embrasser sans qu’il se cogne à tes dents, quoi. Tu passas à ton tour tes bras autour de lui pour le sentir tout contre toi. Ton cœur sembla exploser comme un feu d’artifices un premier juillet pour le Territory Day. Ça t’avait manqué. Il t’avait manqué. Quand tu te détachas finalement de lui, rapidement ta main vint se joindre à la sienne. « Allez, on rentre … » … à la maison.

Il lui faudra sûrement quelques rappels à l’ordre de Jackson pour réellement mettre en place toutes les choses dont ils ont discuté, mais Perry se sentait prêt. Il ne serait pas parfait, il ferait toujours des erreurs et ne sera jamais le genre petit-ami romantique au quotidien, à part s’il se sent pousser des ailes certains jours mais pour Jackson, il ferait tous les efforts possibles. Surtout qu’il ne lui demandait pas des choses insurmontables, seulement l’intégrer à sa vie, se confier à lui, que leur relation passe un next step et devienne encore un peu plus sérieuse. Mais cette fois ça ne le faisait pas flipper, même si mettre son cœur entre les mains de quelqu’un lui faisait toujours terriblement peur. Avec leur séparation il a appris qu’il le veuille ou non, son cœur était déjà aux mains de Jackson, que toutes les protections qu’il s’efforçait de mettre en place ne servait à rien, alors autant faire tomber toutes les barrières. La première étant d’arrêter de laisser son petit-ami à l’écart des autres au lieu de l’intégrer, tout comme Pippa avait pu être intégrée. Le 17 resterait toujours que eux quatre au fond, malgré leurs mises en couple avec d’autres, mais ce n’est pas pour autant qu’il ne pouvait pas intégrer Jackson un peu dedans. Et puis ils seraient sans doute contents pour eux, après avoir entendu Perry se plaindre des semaines durant, étant le pire cœur brisé de la terre. « Ce qui veut dire boire probablement trop de mojitos. » S’il a vu les anniversaires et quelques soirées, le brun n’est pas prêt pour les soirées entre colocs. Ils ne font rien de complètement fous mais les discussions partent souvent dans tous les sens, les piques fusent, les private jokes, les jeux à la con. C’est leur ambiance de grands gamins qui tentent d’être un peu adultes seulement quand il y a les enfants. Mais si Perry adore ses colocs, à cet instant il aurait préféré passer un moment seul à seul avec Jackson pour réellement le retrouver mais celui-ci se montra inflexible. « Faut que je garde quand même quelques défauts. » répondit-il avec un air angélique avant de s’avancer pour l’enlacer et finir par poser ses lèvres sur les siennes. Si depuis leur rupture il a eu l’occasion d’embrasser quelques autres personnes, ces baisers étaient à des années lumières de celui-là. Comme son cerveau fonctionne à deux à l’heure, surtout dans un moment comme celui-là, il ne réalise pas vraiment qu’ils viennent de se remettre ensemble, qu’il pourra à nouveau se réveiller à côté de lui, céder face à ses yeux doux pour rester au lit un peu plus longtemps, lui glisser des sous-entendus à la moindre occasion et à présent aussi, se confier sur sa vie. Il attrapa sa main. « J’sens que tu vas vite te sentir beaucoup trop à l’aise chez moi. » dit-il en riant. Mais ça ne le dérangeait pas qu’il se sente bien là-bas, qu’il s’entende bien avec ses colocs, avec ses enfants, qu’il fasse partie du paysage chaque jour qui passe.

T’entendais tout le temps parler des soirées légendaires au #17, avant, sans jamais pouvoir dire que t’avais vraiment assisté à l’une d’entre elles. Pas les vraies, pas les pures, pas celles qui réunissaient vraiment que les OG et leurs partenaires. Ce soir, tu serais le partenaire de Perry et ça, ça te faisait plaisir. L’idée de le voir boire un mojito plutôt qu’un whisky, aussi. « Ils vont recommencer à avoir meilleur goût, les mojitos, maintenant que t’es là. » Tu en avais bu pour te sentir proche de Perry même alors qu’il t’avait jeté. Ils goûtaient juste amers, sans sa présence. T’avais envie que Perry ramène un peu de douceur sucrée à ta vie. Tu souris quand il se défendit, prétextant devoir garder quelques défauts. T’étais d’accord. Et tu pouvais gérer son impatience, surtout quand il était question de te désirer au point tel qu’il n’en pouvait plus d’attendre. « C’est vrai. » Tu l’embrassas, ton coeur explosant de joie de le retrouver enfin. Tu remercias le ciel de t’avoir envoyé sur cette date ratée avec le mec dont t’avais déjà oublié le nom. Si t’étais pas venu ce soir, t’aurais jamais croisé Perry, et vous n’auriez sans doute jamais étalé tous ces sentiments sur le trottoir devant le Hendrix. Main dans la main, ils prirent la direction du logement de Perry. « J’vais me garder une petite gêne, quand même, mais … J’espère bien m’y sentir bien, à ma place. » Tu échangeas un sourire avec lui, le regard brillant, avant de reporter ton regard vers le trottoir éclairé par les faibles lampadaires. La nuit était douce et les voix rieuses s’évaporaient derrière vous alors que vous quittiez la rue principale pour vous engouffrer dans un silence qui ne vous appartenait qu’à vous. Ça ne dura pas bien longtemps puisque, comme l’avait prédit Perry, à la seconde où t’étais rentré avec lui au #17, tous ses colocataires vous avaient accueillis avec surprise, joie et taquineries. Tu sentais déjà que tu faisais partie de quelque chose, maintenant. Que tu faisais partie de la vie de Perry. Pour de vrai cette fois.

TERMINÉ