(#42, hot) The show must go on ϟ Isménia

i want to feel the sunshine on my face

Par amour je pourrais faire un tas de chose mais savoir qu'un mec avec qui je voulais être et que j'allais aimer de jour en jour j'allais pas pouvoir, supporter qu'il couche avec d'autres femmes je ne pouvais juste pas. "Je suis désolé Anton mais je peux pas partir sur une relation si tu me dit clairement que d'arrêter de sauter d'autres nanas est trop dur pour toi." Je le regarda avant de me pincer les lèvres et détourner le regard.

the show must go on

J'étais blessé en quelque sortes, cette situation était aussi délicate pour moi que pour elle, et je doute qu'elle puisse s'arranger en fin de compte. Un jour je me tuerai pour être sincère. « Je suis sincère avec toi Isménia, je ne veux pas te mentir. Je n'ai pas dit que c'était trop dur, juste que ça me prendrait du temps d'arrêter de draguer, ou de regarder une autre femme. Je sais un minimum être fidèle, mais j'ai besoin d'un peu de temps, et d'aide. Mais si tu juges que ça n'en vaux pas le coup, eh bien je peux le comprendre, j'ai juste voulu être honnête. » Elle avait détourné le regard, j'en profitais alors pour me lever, et partir à la recherche de mon short.

i want to feel the sunshine on my face

Il était honnête et je respectais sa maintenant je ne pouvais pas non plus dire que sa me faisait plaisir cette situation, on était pas pareil et moi j'étais jalouse et incapable de voir un mec que j'appréciais approcher ou draguer une autre femme je ne pouvais tout juste pas. "Je suis désolé Anton, j'apprécie ta sincérité mais je peux pas c'est tout juste au dessus de mes forces." J'étais mal à cet instant présent, j'avais vraiment cru qu'on aurait pu vivre un truc surtout après ce moment passer ensemble mais je m'étais fait des films encore une fois.

the show must go on

J'avais enfilé mon caleçon, je ne pris pas la peine de chercher après mon short, de tout façon, elle pourrait me le déposer dans la chambre, où dans la salle de bain. J'ai envie de fuir, la facilité toujours. « Désolé d'être un con. Je n'en suis qu'un de plus dans ta vie. Désolé de pas valoir mieux que les autres. » Je lui tournais le dos et je sortis de sa chambre. Je n'avais plus rien à y faire, je crois que je me suis fait jeté. C'était aussi décevant pour elle, que pour moi. Je filais dans la cuisine, histoire de prendre de quoi nettoyer. J'avais mis le bazar dans sa chambre, la moindre des choses était de nettoyer maintenant. Je retournais à sa porte, toqua, passa le bras en agitant une éponge. « C'est la femme de ménage ! » dis-je avec une voie aiguë pour tenter de la faire sourire, parce que je m'en voulait.

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J'étais mal, j'avais vraiment cru qu'il y aurait ou avoir quelque chose entre nous, je tenais à lui et bien plus que j'aurais du du coup je ne répondis rien à sa remarque, que répondre de toute manière il pouvait rien me promettre et je m'étais fait encore des films trop rapidement. Je le regarda quitter la pièce en restant allonger dans mon lit le drap sur moi pour recouvrir mon corps mais quand il revena et qu'il essaya de me faire sourire, je regarda vers la porte mais j'étais trop mal pour rire. "Laisse tomber Anton je nettoierais."

the show must go on

Ho mon dieu ce que j'avais l'air minable, je ne pouvais rien faire, je lui avait brisé le coeur. Un monstre, parfois je pensais que je n'avais aucun coeur, mais je ne peux lutter contre ma nature, surtout quand elle nous domine depuis 10 ans. C'est dur de changer, et encore plus dans la seconde qui suit, ce n'est pas réaliste, mais si je la voulais, il me fallait changer, il me fallait arrêter. J'allais devenir fou, mais ce n'était pas ça l'amour ? « Non. Tout est ma faute, c'est la seule chose que je puisse faire tout de suite pour toi alors m'en prive pas. » J'entrais et commençais à nettoyer.

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J'avais pas envie de le blâmer, j'étais mal dans ma peau oui mais il ne m'avait pas forcer à coucher avec lui et aimer ça, aimer être dans ces bras et vouloir encore y être. J'étais donc là allonger dans mon lit à déprimé presque mais quand il insista je baissa les yeux en retenant mes larmes. "Fait ce que tu veut." Je me redressa pour attraper une longue veste de jogging qui allait recouvrir mon corps jusqu'aux cuisses, je pense que c'était même à Anton, je l'enfila alors avant de la fermer jusqu'à ma poitrine avant de me diriger vers la porte pour sortir.

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Je ne daignais pas la regarder quand elle enfila la veste, il n'y avait rien à faire, aujourd'hui en tout cas. Mais une ambiance de mort allait régner à présent dans l'appartement, et ça je pouvais en mettre ma main à couper. Je nettoyais la chambre d'Isménia, du mieux que je pouvais, retirant les draps, nettoyant les carreaux. J'y passais au moins une bonne heure, si ce n'est deux. Cela me changeait les idées, m'évitant de penser à elle..

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