Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Ven 2 Fév 2024 - 14:31
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Il serait fabuler de prétendre que tu n'aurais pas préféré que les circonstances se déroulent différemment. Que votre volonté commune d'outrepasser toutes les limites du politiquement correct, n'engendre pas sur son passage, un nombre incalculable de victimes collatérales. Et possiblement espérais-tu te donner bonne conscience en affirmant que si le processus avait ainsi évolué, c'était simplement parce qu'il ne devait pas en être autrement. L'excuse ne valait rien, tu en avais là aussi, plutôt conscience, et si rien, jamais, ne saurait justifier de tes comportements les moins élogieux, tu ne reviendrais pas non plus, sur les actes ayant été perpétrés dans la foulée. De ce fait, tu ne serais pas surprise que les rumeurs d'officialisation ne viennent à s'ébruiter dans la foulée, au risque éventuellement, d'amorcer à nouveau le chaos. Après tout, tu n'avais pas pour vocation de patienter des lustres, sous prétexte de vous préserver de l'opinion d'autrui. Peu importe ce que vous comptiez ou non daigner à l'avenir, tu le savais, il existait toujours quelqu'un au goût duquel, ça ne serait pas. Après tout, seule l'opinion de l'anglais t'importait aujourd'hui, au même titre notamment, que ses confidences lorsqu'il avançait ne plus pouvoir se passer de toi, au risque de voir sa vie basculer, et non pas pour le meilleur. Sans surprise, tu partageais une vision identique à la sienne, là-dessus, tu ne pouvais effectivement, que confirmer. Épiant chacun de ses faits et gestes, tu optas pour une moue prétendument offensée, lorsque ce dernier, ne se déroba pas sous ses accusations. Chacun de vous, arborant un aspect relativement machiavélique, lorsqu'il s'agissait plus que jamais, de parvenir à vos fins. « Dans l'genre, tu te défends pas mal non plus. » Le gratifiant au passage d'un clin d'oeil complice, tu fus néanmoins, contrainte au pire des scénarios. Un vent de frustration s'étant immédiatement emparé de toi, lorsque Levi, s'était quant à lui, empressé d'instaurer une certaine distance entre vous deux, afin notamment de s'affairer à la tâche, derrière les fourneaux. Et si tu t'évertuais encore à faire bonne figure face à ton amant, tu savais également, qu'il ne s'agissait-là que d'une vulgaire question de temps, avant que tu ne sois plus en mesure de te le permettre. « Tu imagines même pas. Dans ma tête, j't'ai déjà désapé une centaine de fois, au moins. » Admis-tu sans jamais chercher à dissimuler tes véritables intentions. Après tout, il suffisait de s'en tenir à la manière dont tu ne cessais de le toiser, et la moue particulièrement envieuse venue soudain, s'éterniser parmi tes traits, pour prendre conscience de l'ampleur du brasier pulsant à l'intérieur de toi. Secouant frénétiquement la tête en guise de réponse, tu ne fus manifestement pas en mesure d'endiguer un rictus à première vue malicieux, sous l'effet escompté de l'alcool, venue incendier son oesophage. « Peut-être qu'entre le café et la vodka le matin, tu devrais revoir tes priorités. » Sous-entendu, que le café, n'était pas le genre de boissons que tu avais pour accoutumances de consommer, à l'inverse, l'effluve à lui-seul, parvenait sans mal à te rebuter. Te saisissant dans la foulée de l'assiette tendue par ton complice, tu commenças à gratter le fond de cette dernière à coup de fourchette, afin de te délecter des premières bouchées. « Si ça peut te rassurer, j'pourrai m'alimenter que de ça, en permanence. » Avouas-tu, une main s'agitant tout juste devant toi, tandis que tu t'efforçais d'ingérer au possible, le contenu de ta soucoupe. Cependant, tu aurais pu jurer que ton corps s'était mis à vibrer au contact de ton âme-soeur, dont les doigts, avaient trouvé refuge contre ta cuisse. « C'est pas toi qui prévoyais d'être raisonnable? » Le cherchas-tu, une lueur tentatrice traversant tes iris, tandis que ton visage s'était empressé de se rapprocher du sien, ses lèvres percutant les tiennes de plein fouet dans la foulée. Une étreinte d'abord furtive, mais que tu t'empresseras cependant de réitérer, de manière essentiellement, à la prolonger.
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Levi Wheeler
MESSAGE : 25008 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Ven 2 Fév 2024 - 23:44
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Leur couple ne pouvait peut-être avoir aucune légitimité aux yeux du reste du monde qu’il s’en moquait ouvertement, incapable de regretter d’avoir trouvé en Sahar l’âme à laquelle la sienne s’était accrochée. Et il avait beau savoir que leur idylle naissante avait semé le chaos, Levi n’était aucunement capable d’éprouver la moindre rancœur quant à la manière dont s’étaient déroulés les événements, les prenant de court, ne leur laissant aucune chance d’anticiper les événements auxquels ils seraient confrontés. Aujourd’hui, plus que jamais maîtres de leur destin, ils avaient décidé de mettre fin à cette attente insensée, qui ne ferait simplement que repousser l’échéance, alors qu’ils crevaient d’envie d’officialiser ce qu’ils avaient de plus précieux. Il n’était désormais plus question d’attendre, exprimant cette hâte de voir leurs existences se lier quand bien même leur idylle semblait récente, eux qui semblaient plus sûrs que jamais, se projetant sans le moindre mal à l’autre bout du monde où ils formuleraient leurs vœux d’éternité. Et Levi, il aimait plus que de raison de les savoir sur la même longueur d’onde, leurs âmes connectées en tout temps, comme si elles avaient été conçues pour fonctionner ensemble. « C’est toi qui m’as tout appris. » Se justifia-t-il, la malice de son regard percutant celui de sa favorite, Levi se faisant violence pour instaurer quelques mètres de distance entre eux afin qu’il puisse se concentrer sur la recette qu’il comptait réaliser. Et sentir le regard de Sahar sur lui le déstabilisait bien plus qu’elle ne pouvait l’imaginer, même après les mois écoulés, convaincu qu’il serait toujours hypersensible à l’intérêt qu’elle lui portait. « Si tu veux j’enlève mon haut, pour te faciliter la tâche. » Ajouta-t-il, incapable de ne pas se saisir de cette perche tendue par sa favorite, lui qui s’affairait à continuer la préparation de la pâte à pancakes, peinant à ne pas se laisser tenter par l’appel de sa chair à quelques centimètres de lui. Levi s’était dans la foulée emparé de la bouteille tendue par Sahar, en prenant une gorgée difficile à avaler pour lui, peu convaincu par l’idée d’attaquer la journée de cette manière. « C’est toi qui devrais tenter quelque chose d’autre le matin, tu penses pas ? » Fit-il mine de demander, sans se délaisser de cet air volontairement léger, n’ayant aucune envie d’embrumer leur conversation avec ce sujet on ne peut plus sensible alors qu’il n’était pas question de lui reprocher ses addictions. Il avait beau s’inquiéter constamment pour celle qu’il considérait comme l’amour de sa vie, Levi savait qu’elle tentait de dissimuler des fêlures bien plus profondes derrière une consommation excessive des substances en tout genre. Il s’était assuré que Sahar se saisisse de son assiette fraîchement dressée, appréciant de constater qu’elle faisait des efforts pour lui, ingurgitant quelques bouchées de pancakes encore chauds. « Me tente pas, j’pourrais t’en faire tout le temps moi. » Répondit-il, un sourire satisfait étirant ses lèvres avant qu’il ne goûte à son tour au plat préparé, se laissant finalement dévier vers sa plus belle addiction. « Oui, j’le suis. » Murmura-t-il, allant à l’encontre de ses propres mots alors qu’il écrasa ses lèvres contre les siennes, dans un baiser se voulant d’abord furtif, qui se prolongea instinctivement sans qu’ils ne puissent s’en empêcher. « Finis de manger bébé. » Lâcha-t-il dans un souffle, rompant difficilement leur étreinte, ses doigts glissant contre sa cuisse, conscient que cette approche ne l’aiderait pas à s’écarter de sa favorite. « Arrête de me tenter comme ça, toi aussi. » Ajouta-t-il dans un semblant de reproche, lui qui se savait ô combien faible lorsqu’il s’agissait de Sahar.
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Sam 3 Fév 2024 - 16:26
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Le fait était que, tu craignais dans le fond, que Levi, ne se soit fait une image relativement versatile de toi, sous-entendu, notamment, que ta manière d'avoir auparavant amorcé les événements le concernant, laissait entrevoir le pire avec lui aussi. Il serait fabuler d'affirmer, que tu détenais l'entière certitude que ce dernier te vouait une confiance aveugle, qui plus est, après les révélations auxquelles il fut confronté les minutes précédentes. De plus, t'avais jamais vraiment adhéré à ses motivations, sous quel prétexte notamment, avoir jeté son dévolu sur quelqu'un comme toi, au détriment d'une personnalité beaucoup plus raisonnable, que tu ne le serais jamais. Tu redoutais le moment où ce dernier finirait par déplorer l'ampleur du problème, lassé de tes penchants les plus délétères, au point, tout naturellement, d'envisager ton exact opposé. D'après toi, et malgré quelques-unes de tes tentatives pour le devenir, tu peinais considérablement à te convaincre d'avoir un jour été à la hauteur du barman, dont le dévouement et l'authenticité, n'étaient définitivement plus à prouver. Cependant, tu avais au moins le mérite d'essayer, effectivement, outre le chaos généré régulièrement par une possessivité hors de contrôle, tu ne cessais jamais de te démener pour faire de lui une priorité absolue. Secouant frénétiquement la tête en guise de protestation, tu le laissas toutefois, vaquer à ses occupations derrière les fourneaux. Non pas que la distance récemment instaurée par l'anglais, t'ait des masses enchanté, cependant, on ne pouvait pas vraiment affirmé qu'il t'ait vraiment laissé le choix. Forcée de constater que vous ne possédiez pas une capacité de résistance équivalente, face au désir qui tendait déjà à te meurtrir les entrailles. Scrutant chacun de ses faits et gestes, rares furent les fois durant lesquelles, ton regard avait osé se détourner de leur cible. « Tu ferais ça? Il est vrai que je le trouve pas mal encombrant. » Fi-tu mis de déplorer, main tendue dans sa direction, afin de l'inciter à se délecter lui aussi d'une gorgée de ton liquide clairsemé, dont l'amertume lui avait possiblement embrasé l'oesophage. Tu le savais Levi et toi, ne partageait pas nécessairement un avis identique quant à la manière de débuter la journée. Pour sûr que son opinion, détenait une légitimité plus évidente que la tienne, toutefois, il existait des aspects de ta personnalité que tu n'étais pas en mesure de régenter, même si tu en avais seulement eu la volonté. « Hé, je peux savoir pourquoi ça serait à moi de changer mes habitudes? J'ai toujours cru qu'un verre de vodka le matin, c'était la norme. » Te permis-tu d'ironiser, avant de récupérer à ton tour, l'assiette tendue par ton complice, dans lequel il eut au préalable, soigneusement disposé ses pâtisseries. Grattant d'abord ton contenu du bout de ta fourchette, tu t'efforças néanmoins, de faire honneur à ses pancakes, en ingérant une quantité, à première vue infime, en comparaison à la quantité servie. « J'suis supposée prendre ça pour une menace? » Poursuis-tu, arborant aussitôt une mine faussement dubitative, tes iris s'illuminant soudain d'une lueur joueuse, tandis que tu aurais pu jurer que ton corps s'était mis à vibrer au contact de ses doigts venus percuter ta cuisse dans la foulée. Ses pulpeuses heurtant également les tiennes de plein fouet, d'abord de manière relativement furtive, tu réitéras sans plus tarder, afin, notamment, de prolonger le suivant. « J'ai pas super faim. Puis sans vouloir paraitre offensante envers tes pancakes qui sont vraiment géniaux ceci-dit, j'trouvais toutefois, ton autre proposition plus alléchante. » Soufflas-tu à proximité de son visage, l'une de tes mains se superposant contre la sienne, afin de notamment, de la guider à peine plus profondément à l'intérieur de ton accoutrement. « C'est vraiment pas mon genre d'essayer de te tenter. Là encore, j'vois pas de quoi tu parles. » Le gratifiant instantanément d'une d'une moue candide, la tête légèrement inclinée sur le côté, il serait mentir de prétendre que ton comportement n'avait à ce moment précis, rien de particulièrement tendancieux. « Après, j'peux toujours bouger si tu préfères. » Même si l'envie n'y était pas.
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Dernière édition par Sahar Essaïdi le Dim 4 Fév 2024 - 14:06, édité 1 fois
Levi Wheeler
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Dim 4 Fév 2024 - 12:57
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Il était le premier au courant des sacrifices faits par sa complice au moment charnière de leur relation, où la réalité les avait frappé de plein fouet, leur faisant réaliser qu’ils ne pourraient pas lutter indéfiniment contre leurs sentiments. Et quand bien même le chaos s’était amorcé à ce moment précis, pour rien au monde Levi n’aurait désiré que Sahar ne réagisse autrement, témoin de sa dévotion aux prémices de leur histoire. Parce-qu’il était évident qu’il n’était certainement pas le plus à plaindre dans cette histoire, qu’il n’était pas une victime collatérale, lui qui pour la première fois, s’était senti choisi comme jamais auparavant. Et il était convaincu que sa favorite n’avait aucune idée de l’impact qu’avaient eu ses décisions sur lui, elle qui lui avait donné une raison d’exister à la seconde où leurs lèvres s’étaient effleurées pour la toute première fois. Aujourd’hui, Sahar était au centre de sa vie entière, lui qui lui vouerait l’entièreté de son existence, prêt à sceller définitivement leurs âmes et leurs corps pour l’éternité. Il vibrait au moindre de ses contacts, à chaque fois que sa partenaire daignait poser son regard sur lui, et qu’il ressentait les effluves de cette alchimie qui ne faiblissait jamais. Il ne lui suffisait d’un rien pour lui succomber, Levi se forçant à s’éloigner de quelques centimètres, au moins pour se laisser l’opportunité de leur préparer un petit-déjeuner digne de ce nom, lui qui désirait que Sahar ne puisse éponger ses excès de la veille. « Enlève-le moi si tu veux. » La chercha-t-il, un sourcil malicieusement arqué, alors qu’il s’affairait à la tâche, cédant à une gorgée de la liqueur alcoolisée tendue par son âme-sœur, peinant à en apprécier les effluves brûlantes. Et quand bien même il n’était pas un adepte de sa routine matinale, il était le premier à savoir que les addictions lui menaient la vie dure et qu’il ne serait jamais simple de chercher à les balayer. Levi s’appliqua à dresser une assiette de pancakes pour la tendre à Sahar et lui donner une bonne raison de lâcher la bouteille à laquelle sa main était accrochée. « La norme serait de réchauffer les draps avec ton fiancé mais c’était pas possible ce matin visiblement. » Releva-t-il, feignant une déception alors qu’il l’observa ingérer quelques morceaux de pancakes, déjà satisfait de ses efforts alors qu’il savait pertinemment que son estomac ne criait pas famine. « Je sais pas. » Souffla-t-il, jouant sur l’ambiguïté de ses mots, amusé par leur complicité inégalable, Levi peinant à retenir ses gestes d’affection, ses doigts effleurant lentement sa cuisse. Et comme si c’était écrit, il succomba une première fois à l’appel de ses lèvres, avant de se laisser tenter par un deuxième échange, bien plus long et fougueux, à l’image du tumulte qui s’agitait en lui à chaque fois qu’ils étaient l’un contre l’autre. Son regard brillait et il le savait, trouvant celui de sa promise, comprenant qu’ils étaient animés de ce même désir, alors que sa main se superposa à la sienne pour la guider davantage contre sa peau. « C’est hallucinant à quel point tu peux faire ce que tu veux de moi. » Constata-t-il, entièrement subjugué par tout ce qu’elle était, ses doigts prenant le relai pour s’immiscer lentement sur sa hanche, déviant au dernier moment vers l’intérieur de ses cuisses. « Tu fais pire que ça. » Murmura-t-il, sa nuque se tendant vers son visage pour venir effleurer ses lèvres des siennes, sa main libre se nouant autour de sa taille pour la rapprocher du bord du plan de travail. « Tu vas nulle part. » Lâcha-t-il, resserrant son emprise autour d’elle, son souffle devenant bien plus désorienté alors que son corps brûlait déjà pour le sien.
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Dim 4 Fév 2024 - 17:28
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Ce que tu vivais aux côtés de Levi, n'avait rien d'anodin. La manière dont vous aviez passionnément fini par vous aimer, n'était en rien comparable aux histoires habituelles qui se tramaient quotidiennement. Après tout, il restait plutôt ardu de justifier de quelle manière, d'une extrême, tu avais tout bonnement vrillé à son contraire. Revendicatrice invétérée d'une indépendance, souvent décriée comme incompatible à la monotonie de toute une vie, tu semblais dorénavant coutumière à ce besoin quasi-substantiel, visant essentiellement à ne jamais trop t'éloigner de l'humain qui partageait pas moins, que ton existence, dans son entièreté. Non seulement soumise à cette volonté clairement incontestable de pallier à son absence, même pour les tâches aussi insignifiantes soient-elles, tu l'étais également devenue à tes envies les plus impures, que tu n'étais la plupart du temps, même plus en mesure de réfréner. En d'autres termes, tu ne jurais que par l'anglais, et ce désir relativement insoutenable, de lui être corps et âme dévouée, qu'importe les circonstances. Tu en étais à ce point rendue, que tu ne voyais aucun inconvénient à ce qu'il t'accompagne absolument partout, et inversement, sans jamais dénoter d'une intention particulièrement à espérer qu'il ne s'éloigne de toi, même pour une courte durée. Le fait était que, davantage vous consumiez de temps tous les deux, et plus tu n'aspirais qu'à intensifier davantage votre proximité. Et rien ne saurait mieux illustrer cette convoitise, que votre échange actuel, lorsqu'il n'était question que de vous, et ce besoin presque maladif d'entretenir cette dépendance à son plus haut niveau. Effectivement, Levi te connaissait suffisamment pour savoir que te tenter, tel qu'il se le permettait en ce moment, ainsi vautré derrière ses fourneaux, n'irait pas en dispersant le brasier qui récemment s'était amorcé parmi tes entrailles. Ton silence en guise notamment de réponse, ne signifiait pas que tu ne comptais pas te départir de son vêtement, mais seulement que tu attendais l'instant propice. « On est encore ce matin. » Soufflas-tu, tout en récupérant l'assiette tendue par ton complice dans la foulée, une mine profondément malicieuse, s'étant aussitôt emparée de tes airs, même les plus fatigués. Faute d'avoir été en mesure d'ingérer une quantité raisonnable de ses pâtisseries soigneusement composées pour l'occasion, tu t'étais cependant évertuée, à picorer quelques maigres bouchées de façon notamment, à saluer les efforts de ce dernier, pour te voir t'alimenter. Néanmoins, tout portait à croire que les évènements s'avéraient prédestinés à évoluer différemment, l'instigateur, plus que jamais conscient, quant au fait, qu'un geste d'affection, quel qu'il soit, s'avérait susceptible de tout changer. Après un premier échange, ô combien furtif, vint aussitôt lui succéder un second, désormais bien plus prononcé. L'une de tes mains, n'ayant pas perdu de temps pour se superposer à celle de ton amant, que tu guidas instinctivement plus profondément à l'intérieur de ton accoutrement, une moue à la fois envieuse, et visiblement satisfaite à l'écoute de ses confidences. « Putain, je pourrai me damner, juste pour t'entendre répéter ça, en boucle. » Tes iris en proie à une lueur particulièrement tentatrice, tu profitas du moment où ses pulpeuses s'étaient retrouvées à effleurer les tiennes, ton corps accusant d'un mouvement en avant contre le plan de travail, pour finalement l'alléger de son t-shirt, au travers d'un élan désespérément précipité. « Et j'suis même allée jusqu'à daigner ce que tu m'as incité à faire juste avant. » Sous-entendu, le débarrasser de ce tissu dépeint un peu trop comme encombrant, selon toi. Tu ne te lasserais donc jamais de la vision que t'offrait systématiquement son buste parfaitement dessiné, tes lippes, heurtant spontanément les siennes parmi une frénésie à peine maîtrisée, tu te délectas au passage, de l'emprise purement exquise exercée autour de toi, lorsque tu lui avais émis l'hypothèse de le laisser tranquille. « De toute façon, je comptais aller nulle part. » Avouas-tu, espiègle à en crever, ta bouche déviant de la sienne, jusqu'à son épaule que tu criblas d'attentions chacune d'elles, plus appuyées que celle d'avant, avant de remonter lentement jusqu'au creux de son cou, auquel tu infligeas un sort similaires, tes mains, quant à elles, allant et venant au rythme de tes caresses.
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Dim 4 Fév 2024 - 21:45
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Mar 6 Fév 2024 - 10:22
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Mar 6 Fév 2024 - 17:11
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Mar 6 Fév 2024 - 23:22
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Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Mer 7 Fév 2024 - 14:17
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Levi Wheeler
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STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: loving can hurt sometimes, (levi). Mer 7 Fév 2024 - 23:25
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i’m gonna love the hell out of you ○ take all the pain that you're going through. I'll bring you heaven if that's what you need ´cause you've always loved the hell out of me.