Tu me manques, je sens un vide sans toi[Hugo]

-Cette nuit j'avais mal dormis, me réveillant tout les deux heures à regarder l'heure, aller voir si ma mère était présente et pour en conclure que je me trouvais seul encore. Je bus un verre d'eau et vis une photo de moi avec Hugo, sur cette photo nous avons le sourire et je l'avais dans mes bras et lui également, il me manquait je m'étais éloigner de lui depuis que mon père et partis, enfin depuis qu'il est mort, mais pour tout dire Hugo n'y ai pour rien. Je décidais d'aller me remettre au lit et me replonger dans mon sommeil.

Le matin se leva, je descendais les escaliers et vis le manteau de ma mère, je regardais si elle dormait et vis qu'elle dormait paisiblement, j'avais envie de lui mettre un somnifère pour quelle dorme encore et encore. Mais je la laissais et pris mon petit déjeuner rapide et alla sous la douche. Ensuite je m'habillais comme à mon habitude et pris mon sac et partis au complexe scolaire. Arriver vers ce lieux, je pris un banc et me posais pour lire j'avais mis une photo de moi et Hugo comme marque page, un mec avec qui je parlais me demandais de venir. Je vis de dos Hugo et pris mon courage à deux mains et refusa de le suivre ainsi que sa bande. Ce dernier me pris au col et je le regardais et lui pris ses deux poignets et appuyais à un endroit sensible. Il me supplia de le laisser, je le laissa et il parti ailleurs.

Tout cela était seulement pour Hugo, rangent mon livre je m'approchais de Hugo qui étais avec quelque personnes. Je toussais pour me faire entendre et dis

"Hugo tu peux venir avec moi, je voudrais parler"

La vie prenait enfin un sens, il avait enfin un vrai chez lui, enfin pour être totalement honnête sa faisait à peine un mois jour pour jour qu’il était chez Callie, mais sa vie avait enfin un sens. Il n’avait plus besoin de fuir ses maisons, ses fausses familles. Le seul bémol, c’était que son meilleur d’enfance, n’était plus très présent dans sa vie.

L’école qui était son ancienne échappatoire, le seul endroit où il avait l’impression d’être un enfant comme les autres, se transformait de jour en jour en une prison. Hugo avait la sensation de devoir faire semblant que tout allait bien, que le monde était beau, ignorer Tony c’était comme tomber d’un trottoir.

Il avait son téléphone portable en main, il répondit à un texto de sa sœur de cœur Nicky, parlant encore de la sortie qu’ils avaient fait. Il s’arrêta contre un mur au hasard sans se rendre compte, il n’était pas loin de Tony.

Il attendait que la cloche sonne pour aller au premier cour de la journée, ses yeux quittèrent un instant son précieux artifice technologique, pour se poser sur un arbre de la cour c’était un Duboisia myoporoides, qu’il était beau ! Il admira silencieusement la plante, jusqu’à qu’un groupe d’élèves se mirent devant lui. Il s’apprêta à se décaler et s’approcher de l’arbre pour mieux l’observer lorsqu’il entendit une personne tousser.

Ses yeux bleu s’illuminèrent lorsqu’il remarqua que c’était son blondinet, son meilleur ami. Il regarda en arrière, pour vérifier qu’il n’avait pas d’autre Hugo dans les alentours. « Moi ? » Un léger sourire se dessina aux coins de ses lèvres, son cœur s’accéléra. Mon dieu ! Il lui avait parlé, il n’était plus fâché ? Il ? Plusieurs questions se bousculèrent dans sa tête. « Oui, pas de problème. Tony », dire se surnom lui fit un bien fou, malgré qu’il avait quasiment murmuré celui-ci, comme s’il ne se rendait pas compte que c’était vrai, croyant certainement qu’il rêvait. Il s’approcha de lui et ils s’éloignèrent du groupe d’élèves, après avoir parcouru quelques mètres sur le bitume il lui demande. « ça va ? » c’était plus fort que lui, mais il s’inquiétait, il ne pouvait pas lui bouder, l’accuser de l’éloignement, peut-être plus tard, même jamais, mais ce n’était pas la priorité dans sa liste.

-Je marchais avec Hugo pour être assez loin et pouvoir lui parler, mais avant cela je laissais tomber mon sac au sol et pris Hugo contre moi "Pardon d'avoir fais cela, tu n'y étais pour rien, tu n'avais pas le droit de subir cela. C'est comme un vide sans toi, tout est gris et désert quand tu n'es pas avec moi. Et tout cela c'est de ma faute, plus jamais non plus jamais je vais te laisser. A présent tout et redevenu coloré, mon monde n'est plus désert. Je vais me rattraper Hugo, crois moi je serais là maintenant je suis là je ne m'éloigne plus." Je me reculais avec quelque larmes aux yeux, j'essuyais sentant les larmes couler sur mes joues. Je sortis quelque chose de mon sac et tendis le livre à Hugo. "Tiens c'est ton cadeau d'anniversaire, dès que je l'ai vus j'ai pensé à toi." Je m'assis en pensant déjà à ce qui aller se passer après mes cours. "Je peux rester avec toi après les cours? Depuis que mon père est mort, ma mère à trouver un second boulot et elle est plus dans son travail que à la maison. Alors je m'ennuie et être sans toi c'est comme si j'étais orphelin. Non pardon c'est pas ce que je voulais dire, excuse-moi Hugo tu as plus de problème que moi. Je m'excuse pour ce que je viens de dire, je suis c** et nul." Je levais mes yeux humide à cause des larmes, je regardais ailleurs pour éviter de rougir. Je me demandais si je n'avais pas de sentiments pour Hugo.

Il faut bien l’avouer il ne s’attendait pas à cette marque d’affection, il tapota maladroitement le dos de son camarade, pour lui assurer qu’il comprenait, qu’il lui pardonnait. Il humidifia ses lèvres, baissant les yeux vers le sol, lorsque l’étreinte fu terminé, car il avait remarqué que son ami pleurait, il se sentait honteux de le faire pleurer, ce qui techniquement n’était pas sa faute, il se mordilla la lèvre inférieur pour s’empêcher de l’imiter. Il avait toujours été un garçon légèrement sensible.

Anthony l’obligea à le regarder, il avait un cadeau pour lui. Il prit le livre dans ses mains, observa la couverture, il sentit ses joues rosir. « Merci, je euh… j’sais pas quoi dire. »

Il feuilleta rapidement les pages du livres, l’odeur du neuf, ainsi que son ami était présent il huma celui-ci quelques secondes, puis il le rangea dans son sac. « Pardonne moi, mais je n’ai pas de cadeau pour toi, tu sais… notre anniversaire est passé depuis des mois et tu… enfin… » S’excusa-t-il maladroitement, il le regarda s’assoir, il préféra rester debout, déjà qu’il était petit contrairement à Tony.

« Il n’y a pas de problème, par contre on évite de rentrer chez moi. T’as envie d’aller au parc ? Ou boire un café ? Si Emily est là, elle nous donnera des cookies. » Il faut être honnête, depuis qu’ils étaient plus ‘ensemble’, Hugo avait vogué dans plusieurs foyer, puis il avait trouvé du réconfort chez Emily ou encore Nicky, des filles bien plus âgées que lui, mais adorables, que certainement Anthony connaissait pas. « Tu veux qu’on joue à la play ? Je me suis entrainé depuis, tu sais ! » Dit-il pour changer de sujet et éviter de parler de sujet fâcheux, comme la non présence de la mère de son ami et qu’il était ‘orphelin’. « Puis tu m’as toujours pas apprit à surfer ! » il ne tenait réellement pas faire se sport, après tout il avait deux pieds gauches il ne voyait pas comment il pourrait surfer, mais il pouvait bien essayer pour son ami.

"Je sais que notre anniversaire est passé, mais je tenais à t'offrir ton cadeau pour tes treize ans. Je sais que j'ai pas été super ses derniers temps, mais je vais me rattraper Hugo, je ne veux pas te laisser maintenant, je tiens à toi et personnes ne pourra nous séparé, même pas mes soucis. Hugo il faut que je t'avoue un truc, même si je me suis éloigner je te suivais pour voir comment tu allais. Quand j'étais seul je sortais pour te surveiller. Mais depuis que j'ai pus voir que tu t'en sortais bien, je peux....Non rien c'est impossible." Je remis mon sac et le serrais doucement, je reste un long moment contre lui, ma main vint se poser sur ses cheveux. "Bon aller viens avec moi je dois avoir une tenue adapter pour toi, je garde mes tenue au cas ou, parfois j'apprend à des jeunes comme toi et moi ou encore des plus jeunes." Je partis avec lui chez moi et chercha une tenue pour lui, je trouvais tout et pris un sac avec tout et porta le sac. Hugo et moi partis vers la plage et je décidais d'aller me changer dans une cabine et lui aussi. Une fois changer, je pris ma planche et lui dis la sécurité ensuite nous partons dans l'eau je lui montra et je m'assis sur ma planche pour le regarder, il était beau et il avait un coeur. Je le vis qu'il se pris l'eau sur lui et me dépâchais de nager et le pris et le posais sur ma planche, je ramena la planche et Hugo sur le sable.Je vis ses yeux qui me faisait craquer. Sans réfléchir je l'embrassais et me reculais directement. "Excuse moi, tu dois me trouver stupide. C'est que depuis dix ans, j'ai pas arrêter de le garder pour moi, peur de tout le monde, peur que l'on me frappe. Mais c'est pas facile de savoir ce qui se passe quand une mère deviens un fantôme, je ne sais rien de tout ce qui se passe après dix ans. Je suis amoureux de toi voilà maintenant tu le sais, alors je crois que je vais rentré chez moi. Tu peux tout garder Quand je dis chez moi, j'eus mal au coeur et je pris ma planche et remontais le bord pour aller vers l'endroit ou je passais mes nuits et jours à pleurer depuis mes dix ans. Je me posais sur un rocher et enfuis ma tête dans mes deux bras, je laissa mes larmes couler et regarda une photo de moi avec mon père, puis une seconde photo de moi avec Hugo.

Le discoure de son meilleur ami lui faisait chaud puis froid, il était heureux de savoir que Tony pensait toujours à lui, comme lui pensait régulièrement à lui, mais il n’aimait pas savoir le fait qui le suivait, il n’avait rien à se reprocher, mais comment dire, il se demandait, ou était-il alors la fois qu’il avait fugué ? Ou était-il lorsqu’une de ses familles adoptives l’avaient frappés ? Ou était-il lorsqu’il c’était mutilé pour la première fois ? Il ne lui avait pas demandé de le sauver, de supplier sa mère de l’adopter, non il aurait juste voulu qu’il soit là, pour le conseiller, le consoler.

Il ne comprenait pas ce qu’il avait, il aurait pu lui hurler dessus, lui avouer tout ce qu’il avait dans son cœur, mais son côté réservé prit le dessus, il ne pouvait pas gâcher leur retrouvaille, sa faisait des mois qu’il pensait à ceux-ci. Pourvoir enfin tourner cette page et voilà le jour J fut arrivé.

« Pardon ? » demanda-t-il, « j’ai bien compris ? Je euh… tu sais, je croyais qu’on allait faire sa après l’école. Si je fais trop de gaffe, je risque… la maison de redressement, surtout que… » il faisait tout l’effort du monde, pour dissuader le blond de sécher, mais le de son ami regard, sa main sur ses cheveux, non il ne pouvait rien lui refuser… « Bon ok ! »

Il savait déjà qu’il allait passer un mauvais quart d’heure avec Callie. Il le suivit docilement, rien que passer la limite de l’école le fit peur, il n’était pas un grand trouillard, cependant les seuls fois où il avait sécher l’école, il ne c’était pas du tout présenté dans l’établissement.

La route qui le mena chez Tony se passa silencieusement, il se demandait s’il aurait la force, le courage à monter sur une planche de surf. Un frison parcourra son corps, il attendit à l’entré, lorsqu’il chercha les affaires, il observa la maison, elle avait l’air vide, beaucoup de poussière trônait sur les meubles, il avala sa salive, effectivement la mère de son ami n’était plus la même, avant tout était nickel. Il fut heureux de pouvoir sortir de la maison. Il voulut aborder le sujet de la non présence de la mère de son best friend, mais la plage était juste à côté et il ne savait pas comment partir sur ce terrain glissant.

Il lui refourgua une tenue, euh sa se mettait comment se truc ? Il entra dans la cabine, puis enfila avec du mal la combinaison. Qu’est-ce que sa collait à la peau ! Il écouta le blabla sur la sécurité, ce qui ne rassurer en rien le gamin, il se mordilla la lèvre inférieur pour ne pas prendre ses jambes à son cou, puis le suivit dans l’eau.

Punaise ! Mais c’est dur de monter sur la planche une fois dans l’eau. Hugo tomba plusieurs fois, jusqu’à qu’il puisse enfin mettre ses fesses sur l’objet flottant. Il trembla, de froid, de peur. « Wééé ! Je suis dessus t’as v… » pafff un vague l’avala, il but la tasse, il se débattait frénétiquement avec la force de l’eau, il avait du mal à revenir à la surface à cause de la pression, heureusement que son ami d’enfance lui porta secours. Une fois sur la planche de son ami, il toussota recrachant ainsi l’eau qu’il avait ingurgitée. « Pouuah ! Ce n’est pas bon ! Entre nous, je ne crois pas que je suis fait pour ce sport ! » Lui dit-il. Une fois sur la terre ferme, il se sentit mieux, vivant !

Quel miracle ! Il c’était assis, il était juste à côté de son camarade et soudainement il sentit un truc humide sur ses lèvres. Hein ? C’était quoi ce… rêve ? Il euh… c’était pour lui apprendre le bouche à bouche ? Il le questionna silencieusement, bien trop choqué pour réellement réagir correctement, ses doigts touchèrent ses lèvres vérifiant qu’elles étaient bien humides que ce n’était pas un rêve, puis Tony se mit à parler, il ne comprit pas les premiers mots, bien trop sur le choc pour que son esprit arrive à analyser le truc. Amoureux ? Chez lui ?

Il resta figer de longues minutes, comme s’il était en train de faire un puzzle. Tony avait disparu de son champ de vision, il avait une planche avec lui, son portable et ses affaires d’école étaient restés à la maison de son camarde.

Il avait parlé de retourner chez lui, il serait certainement là-bas. Il retourna à la maison de son ami, il tomba sur le bitume du a sa maladresse, mais il ne se fit pas mal. Il déposa la planche, ainsi que la combinaison dans l’entré, il avait pris la clef cachait dans le pot de fleur, pour ouvrir la maison.

Il fit le tour de celle-ci, il ne trouva personne, il prit enfin son portable et envoya un texto à Anthony, lui demandant ou il était, il était réellement inquiet, après tout, ce qui était passé à la plage n’était pas habituel.

Puis le baisé, l’amour, il avait lu beaucoup de chose sur ça, pourtant, là il était comme un petit chien perdu, comprenant rien de chez rien. Est-ce que ça lui avait quelque chose que son ami l’a embrassé ? La réponse était positive, mais est-ce que c’était du dégout ? De la frustration ? Du désir ? La était la réelle question, il ne savait pas du tout.

N’ayant toujours pas de réponse, il décida de verrouiller la demeure et longer la plage pour le retrouver. Il le trouva dans un coin paisible entouré de rocher, le genre d’endroit pas fait pour Hugo, lui qui était totalement maladroit, il se tenu à plusieurs rochers, se hissa doucement, jusqu’à s’assoir à côté de son camarade. « euh.. » oui il était très lochasse, il le prit dans ses bras. « Anthony, je ne savais pas que ça allait si mal, enfin si je m’en doutais, mais tu me laissais pas t’aider, tu… pardon. Tu es le meilleur tu sais. Tu as tout pour toi, tu as une mère, tu es sportif, tu es gentil, tu … personne va te rejeter. Tu sais moi j’en connais plus que toi à ce sujet. Je suis au numéro 289, 289 familles qui ne veulent pas de moi, puis qu’est-ce que tu t’enfou des autres ! »

Il lui déposa un baisé sur le front, comme pour lui dire qu’il allait le protéger toujours et le sera plus contre lui, se demandant s’il arriverait à trouver les mots qu’il faut.

Alors que j'étais sur le rochers, je sentis une présence ensuite que l'on me pris dans les bras. Je restais contre Hugo et je serrais mes bras pour le garder contre moi. Il commença son discours et je m'écartais un peu pour lui expliquer, malgré mes larmes. Quand mon père est mort, trois jours après la cérémonie ma mère à cherche un travail en plus de son premier. Elle en a trouver un depuis je suis constamment seul à la maison, je sais que tu as vus la poussière dans la maison. Mais je ne sais pas si je vais rester à la maison, je suis souvent absent donc surement je vais être retire de la garde de ma mère. Mais je veux pas, même si je dois être seul je sais me débrouiller. Demain je vais vider la maison, je vais la mettre nickel comme avant. Non je n'ai pas vraiment tout pour moi, je vis seul dans la maison, elle rentre je dors déjà. Mais tu sais si un jour tu te sens seul tu viens, tu fais le tour et tu grimpe à l'échelle et tu frappe à ma fenêtre. Je t'ouvrirais et te ferais une place près de moi. Je le laissa faire et ferma mes yeux, il me serra plus contre lui, je sentis comme une douleur en son intérieur, je me reculais un peu et posais ma main sur son visage, je regardais l'heure il était encore possible d'aller en cours, mais impossible de rentre chez moi se sécher et ensuite y retourne, car les cours serait fini. Je me leva et pris ma planche, prenant sa main pour qu'il ne glisse pas je l'aidais à descendre. Une fois au sol je sortis une serviette et lui sécha ses cheveux et le peigna. Je crois que je devrais te ramené chez toi, tu vis où? Au faite je m'excuse de t avoir suivis mais je voulais m'assurer que tu allies bien. Même si je n'étais plus là, en faite je n'ai pas pus te laisser.

Hugo comprenait parfaitement les réflexion de son camarade, après tout lui aussi avait vogué de famille en famille, il avait connu la stabilité deux fois, la première avec sa grand-mère, qui sois dîtes en passant était loin d’être une model de vertu, elle buvait beaucoup, coucher tard, faisait tout le temps de la moto et adorait la bagarre, cependant, même si elle n’était pas la femme la plus parfaite, il l’avait adoré, parfois il regrette de ne plus la sentir, il était si bien avec elle, après il avait connue Nathaniel, il l’avait appelé papa, oui, car il l’avait considéré comme tel, il fallut qu’une femme face tout basculer, depuis il faisait son possible pour n’avoir plus de famille trop déçue par les gens qu’il aime. « Je comprends… si tu as besoin d’aide pour ranger, je suis là, mais faudra faire ça un week-end, sinon elle va m’empêcher de sortir. » Il aurait pu avoir rien à faire des dires de l’adulte avec qui il vivait, mais il se sentait bien chez elle et il n’avait pas envie de tout gâcher. Il s’humidifia rapidement ses lèvres hébéter par ce que son meilleur ami était en train de vivre, il le laissa faire qu’on il lui touche le visage, il lui adressa un petit sourire,

Il s’assit, laissant son ami lui peigner ses cheveux mi- longs et fit de même avec lui. Il ferait une bouche douche en rentrer sa peau était séché à cause du sable et de l’eau salé. « Non, enfin, il ne faut mieux pas que tu sois là, lorsque je vais avoir ma punition, tu sais elle est gentille, je me sens bien avec elle, mais elle risque de vouloir qu’on se voit plus et donc je préférais rentrer seul. »

Je m'en veux que tu es sécher les cours, tout cela à cause de moi. Tu n'aurais pas du me suivre Hugo, tu vas te faire crier dessus et te faire punir alors que tout est de ma faute. Et pour la maison, je m'en charge il y a quelque truc que j'ai besoin de faire seul. Si je dois pleure c'est pas en ta présence. Si elle est gentille alors rentre chez toi tout seul maintenant, peut être que elle ne te consignera pas longtemps. Enfin moi je ne le suis jamais, car elle est jamais là. [i]Je chercha dans ma veste une boite et l'ouvris, je pris le bijoux et pris la main de Hugo, j'y déposais le bijoux dans le creux de sa main et la referma, je souris et lui déposais un baiser sur sa joue, je sentis mon portable sonner et décrochais je parlais avec ma mère, qui me dis que elle n'allais pas pouvoir rentré aujourd'hui, je soupirais et raccrochais. Nous devons fêter le jour mémorable de mon entrer dans l équipe de surf, je regardais un instant la mer qui se cognait contre les rochers, je respira avec difficulté et dis à Hugo de rentré chez lui.Je le regardais s'éloigné et me laissa tomber dans le sable, je pris le collier autour de mon cou, j'ouvris et vis la photo de moi avec ma mère, je le jetais à l'eau et me levais. Je commença à aller à la maison et commença le nettoyage de toute la maison. Je me mis à écrire une longue lettre, pris mes affaires qui me concernait et partis vers l'hôtel, je donna de quoi payer l'hôtel avec l'argent mis de côté et me posais dans une chambre.[i]