(#17) Let's divorce. PLEASE. (Cherry.)

Charlie avait passé la matinée dans sa boutique à cuisiner et puis à parler avec ses clients pour savoir s’ils avaient des remarques ou autres à propos de sa boutique et tous les commentaires étaient positifs ce qui lui fit chaud au cœur, elle n’utilisait pas toute ses forces pour rien.
Perry avait donné rendez vous chez lui à Charlie, elle était quelque peu énervé contre lui puisqu’il n’était pas venu à la mairie pour divorcer, elle était à l’heure du rendez vous devant sa porte elle toqua à la porte en espérant qu’il serait là et en tenue convenable pour ne rien compliquer. Elle savait aussi qu’il avait des colocataires donc sa sœur avec qui elle avait fait la connaissance il y a quelques jours. Elle attendit quelques instants avant qu’il vienne lui ouvrir « Bonjour. ». Elle espérait que cette fois-ci il signerait ses papiers qu’elle avait prit dans son sac pour enfin être divorcé parce qu’elle n’aimait pas l’idée d’être mariée, et puis ce n’était qu’à l’origine une bêtise du maire, et tout les deux savaient qu’ils n’étaient pas réellement mariés, ils ne se comportaient pas comme tel, de toute façon charlie ne s’imaginait même pas mariée ou ne savait même pas si elle était capable d’aimer réellement quelqu’un. Elle le regarda avant de dire  « T'es prêt à divorcer Peach! ».

Bon c’est vrai, j’ai un cerveau vide, mais bon. J’ai oublié d’aller à la mairie pour divorcer, ça arrive à tout le monde, nan ? Je me demande si j’ai pas la maladie des vieux qui fait perdre la mémoire. J’espère pas, sinon ça craint vraiment. Bon. Du coup, j’ai rendez-vous avec Charlie, à l’appart’, pour signer les papiers. Perso’ je m’en fous un peu d’être marié. C’est pas ça qui change ma vie. Mais bon, apparemment, pour elle ça compte, alors bon. J’étais en caleçon, comme d’habitude j’ai envie de dire. Franchement, ça sert à quoi de s’habiller ? Il fait beau, il fait chaud et la voisine d’en face s’arrange toujours pour sortir en même temps que moi histoire de profiter un peu de la vue. Si je peux servir à illuminer la journée d’une dépressive, c’est cool ! Enfin bref, pour le moment, je suis pas encore sorti aujourd’hui, j’espère que la fille d’en face s’est pas pendu, ce serait un peu weird. Je suis assis sur le canapé, je regarde des dessins animés et bouffe des céréales, rien d’inhabituel quoi. On toque à la porte. Je me lève, pas hyper réactif. C’est elle. Pas la voisine, mais Charlie. « salut. » dis-je simplement. Je la laisse entrer puis elle me demande si je suis prêt à divorcer. « j’sais pas. J’ai pas assez profité de notre lune de miel, je me sens légèrement arnaqué ! »

Perry était comme d’habitude en caleçon d’un coté c’était agréable parce qu’il n’était pas moche à regarder mais c’était perturbant parce qu’il savait que charlie était autant attiré par lui qu’il ne l’ait pas elle. Mais bon après elle l’avait vu avec beaucoup moins de vêtements et que cela et vice-versa. Elle lui demanda s’il était prêt pour divorcer et il dit qu’il avait l’impression de se faire arnaquer car il n’avait pas profité de la lune de miel, elle le regarda avant de dire « si je t’avais fait payer un mariage trèèèèèès cher et qu’ensuite on aurait divorcé là tu l’aurais eut bien profond. » ajouta-elle avec un grand sourire, de toute façon charlie n’est pas le genre de fille à payer excessivement cher pour quelques choses, elle ne comprends pas les filles qui payent 300$ pour une paire de chaussures. Et puis c’était important pour elle de divorcé c’était comme enlever un poids à son pied.  Elle le regarda en souriant légèrement s’approchant de lui pour l’embrasser doucement. « C’est tout ce que tu auras si tu ne signes pas les papiers, et on ne fera plus jamais rien. JAMAIS. » ajouta-elle en souriant. Du chantage ? Tout à fait. Charlie savait comment faire chanter un garçon surtout comme perry qui aime le sexe et les rousses alors elle avait bien fait de mettre une petite robe avec un décolleté assez plongeant. Le pire dans tout cela c’était qu’au fond elle aimait beaucoup passé du temps avec Perry parce qu’elle s'amusait bien, elle rigolait bien et puis elle prenait son pieds. Un beau combo pour deux personnes qui s'amusent.

Quand elle commença à me dire que si j’avais payé un mariage méga cher et tout, enfin bref. Je suis en train de m’imaginer en costard. Comme j’en met jamais, je sais même pas à quoi je ressemblerais. Soit à un pingouin soit à James Bond. Je préfère choisir James Bond. Mais bon, la guimauve, les fleurs, les musiques cul-cul et compagnie, franchement, c’est carrément pas mon truc. Surtout que, pour avoir été à quelques mariages (pour la plupart sans y être invité), trois quarts des gens on les connaît pas. La preuve j’étais un inconnu, je connaissais personne à pas mal de ses mariages, et personne ne m’a jamais vaqué. E général on dit qu’on est un cousin éloigné, et ça passe. Bon à part si on tombe sur la vieille grand-mère qui connaît l’arbre généalogique sur vingt-six générations. « oh tu sais j’me fous du fric. » mes parents en ont plein. Et en plus je suis généreux, j’en file à plein de gens, et je leur demande même pas de me le rendre, franchement, si c’est pas être sympa ça. Bon après elle se rapproche et elle m’embrasse. Fallait s’y attendre. Bah ouais, elle n’a pas pu résister plus longtemps à mon sex-appeal ouf. Et après elle m’annonce que si on divorce pas, bah j’aurais plus le droit de passer du bon temps sur un bureau ou autre, avec elle. J’suis pas d’accord ! Enfin bref. « c’est pas grave. Déjà, parce que bon, tu pourras pas résister à l’envie que t’as de me sauter dessus à chaque fois que tu me verra. Et puis aussi, parce que j’ai des dizaines de filles et de mecs, qui courent après, donc ça sera pas dur de t’oublier. » dis-je en souriant.

Perry n’avait pas l’air de se préoccuper de l’argent, charlie était pareil mais à une époque c’était plus difficile de ne pas penser à cela, tu sors de prison toute seule sans aucun sous en poche, tu fais tout ce que tu peux pour trouver des jobs, les plus minables les uns que les autres, mais l’argent c’est ce qui te permet de vivre. Maintenant charlie n’avait plus de probleme d’argent loin de là mais elle n’en dépensait pas non plus trop. On va dire qu’elle a appris la valeur de l’argent quand elle était petite et que sans argent on ne peut rien faire. Elle haussa les épaules, heureusement l’argument du pas de divorce pas de sexe avait attiré son attention, en même temps c’était limite le mot magique pour Perry, et il ne semblait pas content par ce qu’elle venait de faire et il disait qu’il s’en fichait que de toute façon elle ne pourrait pas résister à son envie de lui et puis qu’elle serait facile à oublier elle s’approcha de lui dangereusement, sa bouche à quelques centiments de la sienne.« je sais que je suis presque ta femme idéale, je suis rousse et t’aimes ça, je suis carrément bien foutue, je suis sexy, et tu sais que j’ai quelques choses dans la tête, et en plus toi et moi on sait que tout les deux on prends notre pied ensemble. Mais bon Perry, t’es pas irremplaçable non plus. » ajouta d’un ton très hautain, elle frôla ses lèvres, et puis elle tourna les talons elle prit le dossier sur la table avant de se diriger vers la porte. « Si je pars on ne se reverra jamais perry du moins pas SANS vetements. » ajouta-elle avec un petit sourire sournois.

Elle fait chier à me tenter comme ça. Je sais qu’elle fait tout pour que je signe ces foutus papiers. Enfin moi, ça me dérangerait pas de les signer, mais bon, en étant marier, je peux dire à une fille que je le suis sans avoir l’air coupable. Oui parce qu’on sait tous que l’interdit c’est le plus excitant, alors après ça, elles peuvent plus résister. Enfin bref. Charlie se rapproche de moi. Quelle idée j’ai eu de dire que j’aime bien les rousses ? C’est vrai je les trouve plus canons que les autres, mais bon, maintenant elle s’en sert contre moi. Et JE suis irremplaçable ! Une fois qu’on a couché avec moi, quand on se tape un autre mec, c’est différent, on prend pas autant son pied. Bon en fait ça je peux pas vraiment le confirmer puisque j’ai presque jamais reparlé à mes coups d’un soir. Et là, elle commence à se barrer en disant que si je signe pas ces papiers de merde, bah on se reverra plus à poil. « ok. Alors je peux au moins en profiter une dernière fois avant que tu partes. » dis-je en faisant mon sourire de beau gosse qui fonctionne tout le temps. Tout le monde a un sourire de bg, et l’utilise plus ou moins souvent, c’est le truc qui marche à chaque fois ! Déjà qu’il est dur de résister, alors là, elle est foutue. Je me rapproche d’elle, pour me retrouver dans la même situation qu’il y a quelques secondes, sauf que là nous sommes encore plus près.  

Ils jouaient au jeu de celui qui craquera le plus rapidement, charlie était doué à ce jeu, en plus elle sait se servir de ses atouts féminins, c’était sure que les filles avaient plus de chances au niveau de cela, elle avait une bouche sensuelle, de longues et fines jambes et un décolleté plongeant. Elle savait qu’en s’éloignant de lui, en lui disant qu’ils ne coucheront jamais ensemble cela allait le provoquer il y aurait surement plus d’action de leurs parts, alors il s’approcha d’elle encore plus proche qu’avant et il lui dit ok, comme si ce n’était pas grave mais qu’il voulait profiter d’elle un dernier moment elle leva les yeux au ciel comme désespéré, et puis il faisait son sourire de séducteur, charlie en avait vu des sourires comme ça et au final cela n’avait presque plus aucun effet sur elle, elle déposa un baiser tout près des lèvres de Perry. « Non » elle se dégagea de son emprise, et puis elle ouvrit son sac pour sortir une boite en carton de sa boulangerie. « C’est pour ta sœur, poppy. Elle est vraiment très gentille ! Et elle m’a dit que si j’avais besoin d’aide pour le divorce je pouvais lui en parlait. Est-ce que tu veux impliquer ta sœur dans ça ? » elle savait que la famille c’était important pour perry aussi. Elle déposa doucement la boite sur la table et remis les papiers du divorce dessus, et puis revint vers la porte où perry était toujours, elle s’approcha de lui, caressa doucement sa joue, puis l’embrassa fougueusement. « C’est dommage, je t’aimais bien. » et elle ouvrit la porte de l’appartement. C’était un rappelle au fait que s’il la laissait partir il n’y aurait plus rien entre eux, elle était maligne la jeune femme, et contrairement à Perry elle pouvait se passer de sexe.

Comment est-ce qu’elle peut refuser une offre pareille ? Il faut avoir un problème pour refuser de coucher une dernière fois avec moi. Surtout quand je suis en caleçon. Mais c’est nul, nous les mecs, on peut pas mettre grand chose en valeur, donc on se démerde comme on peut. Ensuite elle sortit une boite en carton de son sac en disant que c’était pour Poppy, ma sœur. Elle a parlé à ma sœur de notre mariage ?! Bon ok, je suis mort, c’est la fin du monde. Je suis comme pétrifié. Bon c’est pas comme-ci ma sœur me faisait peur (quoiqu’elle peut être vraiment flippante des fois), mais c’est que je lui en ai pas parlé. Après avoir posé la boite sur la table, elle revient vers moi. J’ai toujours pas bougé. Elle m’embrasse, mais j’en ai presque rien à faire. Je finis par lâcher « t’en a parlé à Poppy ! Tu te rends compte que je vais mourir dans d’atroces souffrances, et tu voudrais même pas être mon dernier coup ? la dernière personne à qui je penserai ? » oui parce que c’est évident que je suis un homme mort. Finalement, je me dirige vers le canapé pour attraper mon paquet de céréales, j’ai besoin de sucre. Ou alors, y’a une autre option, je fais mes valises et je m’en vais, ailleurs, très loin. Genre à Los Angeles (faut quand même un coin où il fait beau et chaud et où y’a des plages). Je peux pas retourner chez mes parents, eux aussi me tueraient. A mais nan, j’y pense, y’a Penny, je peux pas la laisser. Et puis y’a mes amis aussi. Ah !

Perry était énervé parce qu’elle avait parlé à poppy à propos du mariage, à vrai dire, dit comme il venait de le faire on aurait dit que c’était Charlie qui avait chercher Poppy dans la ville pour lui dire ça, mais non, on voyait bien que perry ne connaissait pas vraiment Charlie, il parlait de meurtre et ensuite de sexe, bref du perry tout cracher, il vint s’asseoir sur le canapé et elle le rejoint quelques instants plus tard, elle le regarde « Perry, ça se voit que tu ne me connais pas, j’en aurais jamais parlé,  j’étais dans ma boutique et quelqu’un m’a FELICITER pour mon mariage, et ta sœur était là… A vrai dire que je ne savais même pas que tu avais une sœur avant ça, je lui ai expliqué tout et elle était limite plus en colère contre le maire que contre nous. Donc calmes toi. » Charlie essaya de le rassurer elle expliqua la situation et comment elle avait connu poppy, tout cela, le mariage, poppy, bowen à vrai dire ce n’était que des coïncidences. Elle le regarda en espérant qu’il allait se calmer un peu plus, elle déposa un baiser sur la joue de Perry. « Calmes toi, si elle s’est un peu énervé c’est parce qu’elle tient à toi, qu’elle veut te protéger, au moins tu as quelqu’un qui prends soin de toi. » Charlie était surement une des personnes les plus solitaires qu’il existe elle détestait qu’on prenne soin d’elle, enfin c’était ce qu’elle disait, mais la solitude la rendait malade par moment, ce qu’elle n’avouera jamais.

Je n’étais pas vraiment énervé. Déjà parce que je m’énerve pas souvent. Je suis du genre très cool, je me fous un peu de tout, donc il est rare que je sois en colère. Mais j’étais plus paniqué à vrai dire, j’avais peur que ma sœur me trucide sur place. J’en voulais aussi un peu à Charlie d’en avoir parlé à ma sœur. Mais elle m’expliqua ensuite qu’elle y avait été un peu obligé de lui dire. Tout de même, j’ai l’impression qu’elles ont fait une sorte d’alliance contre moi, pour qu’on divorce. En fait je pourrais les signer ses papiers, mais ça voudrait dire qu’elle a gagné. Et je ne veux pas qu’elle gagne, mais elle ne veut pas non plus que je gagne. Après je me dis, Poppy a toujours été sympa avec moi, même si elle me faisait la morale, elle n’était pas méchante et rarement énervé. Donc pourquoi est-ce que je m’en faisais temps ? Charlie est sympa avec moi. Je la pris dans mes bras, tout simplement. Là c’est plus une amie que ma femme, un bon coup. Je continuais de manger mes céréales. « franchement. Ca fait quoi qu’on soit marié ? Enfin je veux dire, tu peux limite taper dans mon fric comme tu veux, on est juste engagé par un bout de papier, on peut se faire qui on veut, franchement c’est la belle vie. »

Elle tenta de rassurer de Perry car il semblait paniqué. Poppy n’allait pas lui faire du mal, même si au début de leurs rencontres elle avait eu une mauvaise impression celle-là avait totalement disparu quelques secondes après, elles rigolèrent et mangèrent, les deux passions de Charlie à vrai dire. Elle se rendit compte qu’elle avait réussit à le rassurer quand il la prit dans ses bras, comme un ami. Et puis il lui demanda pourquoi est ce que c’était si important, elle soupira le regarda, et fit un sourire assez triste. « Le mariage ça veux dire ... avoir quelqu’un… Mais je ne veux pas de ça, quand t’es en couple quand t’es marié, tu te renfermes sur ton couple et à la limite d’oublier que tu as un enfant. » elle parlait biensur de ses parents, qui ne s’étaient jamais vraiment occupé d’elle, elle savait qu’elle avait été un poids pour eux quand elle était avec eux.  « Mes parents étaient et le sont surement des gros  imbéciles… Et j’ai eu une vision très négative du mariage et je ne veux pas ça, parce que je me dit que si je me mari je vais devenir comme eux, alors je préfère largement être seule, à continuer de faire ce que je veux, que d’être comme eux. Même si c’est un mariage bidon, non… Je sais c’est idiot mais c’est comme ça. » Depuis qu’elle était jeune elle savait une chose sur elle, elle ne voulait pas se marier, elle ne voulait pas devenir comme ses parents.

Pour elle, mariage égale couple. « wow ! On se calme tout de suite. C’est pas parce qu’on est marié qu’on va être en couple, fidèle et tout. C’est juste un papier, on va pas vivre ensemble ni rien. Je te rassure ! Sinon c’est clair que j’aurais signé direct les papiers. » dis-je en souriant. C’est vrai. Je suis déjà pas prêt à me mettre en couple, alors à me marier, même pas en rêve. C’est juste un mariage sur le papier on va dire, un truc qui compte pour du beurre. Bon après je suis d’accord avec elle, quand je vois aussi le mariage de mes parents, ça donne pas envie. Enfin, ils sont toujours ensemble, mais bon, j’ai pas l’impression qu’ils soient carrément amoureux. Mais je veux pas qu’ils divorcent. « donc attends. Si je pige bien, si on divorce, on pourra coucher ensemble autant que je veux ? Et sinon plus jamais ? » oui j’ai besoin qu’on me dise les choses plusieurs fois avant de comprendre. J’suis du genre long à la détente et un peu con.

Perry ajouta d’un coup qu’il n’était pas un couple, elle le savait bien, des fois elle se demandait si perry n’était pas un peu lent du cerveau parce que c’est exactement ce qu’elle venait de dire avant, elle ne voulait pas être marié, comme elle ne voulait pas être en couple c’était aussi simple, elle regarda Perry avec un regard amusé. « Je sais c’est ce que j’ai dit ! De toute façon on sait bien que ça ne marcherais pas tout les deux. » ajouta-elle en riant légèrement tout en lui tapotant l’épaule, comme pour le rassurer ou le faire rire, cela dépendait. Et puis ensuite quelques instants plus tard il lui demanda s’il ne signait pas les papiers pas de sexe, s’il le faisait il y en avait, elle hocha la tête. « Soit tu signes et on fait ce que tu veux, où tu veux quand tu veux, soit tu ne signes pas et on fait rien. » ajouta-elle en le regarda, elle s’approcha de lui avec un air sexy, en se mordillant la lèvre. « Alors tu choisis quoi ? » Elle espérait qu’il allait choisir la premier option déjà pour le divorce mais aussi parce que sinon le sexe avec perry allait lui manquer mais ça elle ne lui dira jamais

Oui bon je suis un peu con, c’est un secret pour personne de toute façon. Bon ok, alors je signe et y’a du sexe, je signe pas et y’en a plus. Difficile comme choix quand même. Bon, finalement, je me lève, me dirige vers la table où elle a posé les papiers tout à l’heure et les regardent. Je veux pas qu’elle gagne, mais bon. Au final, je les attrape, puis me tourne vers elle. Lorsqu’elle me regarde, je déchire les feuilles en deux. « pas de sexe alors. J’arriverais à m’en passer. » et puis en plus je connais d’autres rousses à Bowen, donc ça va pas poser de problèmes. Je ne suis pas accro aux gens, j’arrive à les remplacer, du moins au niveau du sexe. Nan parce que mes amis je les aime vraiment et si y’en a un qui se barre, j’arriverais pas à le remplacer. Genre Panda, si elle se casse, bah j’aurais plus jamais de meilleure amie. Tant pis, je suis en train de ruiner une occasion de coucher avec quelqu’un, mais c’est pas grave. Je vais quand même pas signer des papiers, après elle aura gagné, j’ai ma fierté, merde ! Et puis c’est pas comme-ci on s’était engagé devant le prêtre et tout.

Elle était carrément choqué que perry lui ait dit non, il pouvait s’en passer, c’était plus dire pour lui que pour elle c’était sure, elle n’avait pas que le sexe dans sa tête, son job lui en prenait une bonne partie du temps et puis ses voyages à Sydney, et puis ses vidéos youtubes, bref elle n’avait plus non plus autant de temps pour trainer avec des garçons qu’avant et ce n’était psa non plus une mauvaise chose puisqu’elle avait retrouvé un peu plus d’estime d’elle-même chose qu’elle avait perdue il y a bien longtemps. Elle le regarda haussa les épaules. « Tant pis pour toi. » elle retourna les talons et alla jusqu’à la porte de l’appartement. Elle ouvrit la porte, « Au revoir Peach. C’était cool d’avoir pu passer du temps avec toi. » C’était comme des adieux non parce qu’une fois qu’on ne veut plus coucher avec Charlie il ne fallait même pas essayer de rentrer en contact avec elle, surtout quand c’était relation sexuelle, cela pouvait la vexé. Lui dire non vaut en équivalent à dire qu’elle est mauvaise au lit, qu’elle n’est pas assez quelques choses donc oui elle l’avait mauvaise mais elle ne lui montrerait pas.