je demande le divorce ! (cherry)

Et voilà, mon épisode de Bob l’éponge est terminé. Faudrait peut être que je pense à me lever de ce canapé. Hey mais j’y pense, j’suis marié. Enfin pas vraiment, je crois, mais je suis pas sur, j’étais un peu bourré, elle aussi, le maire aussi, donc j’suis pas persuadé qu’on ait tout fait dans les règles mais bon. Je me lève, vais dans ma chambre. Attrape deux trois habits du style un t-shirt, un caleçon et un jean, puis je vais prendre une douche dans la salle de bain. Vingt minutes plus tard, je suis près, un petit coup de déo’ et hop c’est bon. Je prends le bus parce que j’ai jamais eu mon permis et que je veux pas me faire arrêter par un policier (à part s’il est sexy et assez ouvert). J’ai du chercher la boutique de Charlie pendant genre dix minutes avant de la trouver, le sens de l’orientation c’est pas trop pour moi. J’entre. Ok, elle est là, elle fait le service. Et merde c’est quoi ce bordel il y a du monde ici. J’pensais arriver et à peu près tout seul, mais non, à croire que tout Bowen est venu acheter sa bouffe en même temps. Enfin y’a quand même de la place. Fait chier, je vais devoir attendre. Oui parce que j’suis pas un malpoli qui double tout le monde moi.

Charlie comme chaque matin s’était levé tôt pour ouvrir sa boutique et faire des bonnes pâtisseries pour les travailleurs très tot, elle avait bien remarqué qu’il n’y avait pas grand monde tot, et puis elle géré la boutique seul lors qu’il était tot le temps de laisser à Jodie une bonne nuit. Donc elle été là, la matinée avait été bien remplie, des gens partout et c’était comme ça qu’elle voyait que sa boutique faisait plaisir aux gens elle commençait à avoir une clientèle d’habitués et à retenir les noms et commandes des gens. C’était agréable et par moment quand elle voyait que les gens ne venait plus trop elle avait le temps d’aller refaire deux trois gateaux et elle revenait. Et puis il y avait des espèces de pics de visites, et là boutique était blindé entre les gens qui étaient tranquillement en train de boire leurs cafés, ceux qui font la queue, elle ne savait plus ou donner de la tête, elle se mit à la caisse et les gens défilèrent jusqu’à ce qu’elle voit Perry. « Perry tient … tu viens acheter quelques choses ? Notre gâteau de mariage je suppose ! » Et elle lui offrit un beau sourire c’était bien évidement une blague.

On achète quoi ici ? Ah tiens des gens avec cafés. J’aime pas le café. Bon apparemment y’a des pâtisseries, ça a pas l’air mauvais, mais j’ai jamais mangé de trucs qui ressemblent à ça de ma vie. Mais bon y’a un début à tout. Notre gâteau de mariage ? Nan elle abuse là ! « la maison fait pas cadeau ? Tu comptes faire payer le gâteau de ton mariage à ton propre mari ? J’me demande pourquoi je t’ai épousé si c’est pas pour que tu m’file de la bouffe gratuite. » tout en finesse. Mais moi aussi je rigolais. De toute façon j’ai même pas demandé à être marié. J’veux pas me marier, c’est trop nul comme truc, trop mignon, trop saoulant, trop cul-cul. Djà si je me mettais ne couple la terre tournerait plus alors me marier c’est foutu, tout le monde meurt ! « mais dis-moi, on est pas vraiment marié, hein ?! » faites qu’elle dise non, faites qu’elle dise non. Bon ok, Charlie est cool, mais moi je voulais juste me la faire, pas être lié à elle jusqu’à ce que le divorce nous sépare.

Perry lui fit une blague comme quoi la maison n’offrait même pas leurs propres gateaux de mariage ! Pour ensuite dire que s’ils sont marries c’était parce qu’il voulait de la bouffe gratuite elle le regarda en souriant. « Aussi pour autre chose PEACH. Quelques choses qu’on aime beaucoup faire, n’importe où. » ajouta-elle en souriant et puis il lui demanda s’ils étaient vraiment mariés, elle grimaça « j’ai appelé la mairie le lendemain de la fête, et oui…. Donc va falloir divorcé parce que je suis pas le genre de fille à me marié tout ce que je voulais c’était m’amuser. Bizarrement ça a un peu tout cassé. » Oui c’était vrai elle avait eut envie de lui ce jour là mais l’annonce du mariage l’avait refroidit mais un peu d’alcool dans le sang et pour cette idée été partie. L’alcool peut faire des ravages même chez le plus sage des hommes, le maire avait bien déconné ce soir là mais eux bizarrement cela ne les faisait plus vraiment rire aujourd’hui !

Oui c’est sur on aime faire autre chose tous les deux. Une chose que j’aimerais bien faire tout de suite et maintenant parce que elle en pâtissière ça me donne des idées. Oui je sais j’peux passer pour un pervers des fois, mais faut pas croire, j’suis pas si obsédé que ça. Et merde on est vraiment mariés ! Je sais pas qui est ce foutu maire mais je l’aime pas. Elle a appelé ? J’y avais même pas pensé tiens. De toute façon je pense jamais à grand chose donc ça ne change pas de d’habitude. Ouai moi aussi je veux divorcer, ça c’est clair, bon même si je m’en fou d’être marié, si c’est juste sur un bout de papier et que tous les deux on s’en fout. « ouai moi aussi j’veux qu’on divorce. » dis-je en rigolant tellement c’était bizarre de sortir ça. « mais avant j’aimerais bien consommer notre mariage un petit peu. » ajoutais-je avant de me pencher vers le comptoir et de lui attraper le col pour la remmener vers moi et l’embrasser comme il se doit.

Elle savait déjà que Perry voulait divorcer il était comme elle, il n’était pas du genre à se caser avec quelqu’un c’était un mec qui couche à droite et à gauche sans vraiment se poser avec quelqu’un. Exactement comme Charlie bon elle est loin d’avoir la même réputation que perry, heureusement.
Bref ils étaient là et il y avait du monde tout autour d’eux à vrai dire, et Perry s’approcha d’elle pour lui dire qu’il aimerait consommer avant le divorce et elle sourit puis il l’embrassa et elle le repoussa ensuite. « perry ! depuis l’anniversaire je me tue à dire qu’on est pas ensemble qu’on est pas vraiment marié au gens et toi tu m’embrasses t’es chiant. Tu veux consommer tu viens chez moi mais pas ici. » elle était autoritaire c’était vrai, mais là c’était parce que son magasin, sa clientèle et son succès était en jeu et elle ne voulait en aucun cas gâcher son bébé !

Ouai bon j’avoue l’embrasser là, comme ça, un peu sans prévenir devant toutes ses vieilles, ça a du être choquant pour elle. Bah ouai mamie faut se décomplexé un peu on est pas à l’église. Mais Charlie qui m’engueule alors qu’elle aurait du adorer quoi ! Enfin bref, j’vais pas me laisser démonter, c’est pas mon genre. « t’es libre quand alors ? Ou c’est quand ta pause ? » je peux vraiment passer pour un pervers et un obsédé parfois. Mais disons qu’il y a certaines personnes qui m’attirent, et elle en fait partie (la veinarde, c’est pas donné à tout le monde). Faut dire qu’elle a tout de ma femme idéale, même si franchement ce serait plus ma pote qu’autre chose ! Enfin ma femme idéale pour coucher avec, nan parce que pour passer ma vie avec quelqu’un ce serait plus personne en fait. Enfin, elle est rousse, intelligente, assez ouverte et dragueuse, à partir de là je suis obligée d’aimer.

Perry n’était pas le genre de mec à se laisser abattre quand une fille lui gueulait dessus, elle lui dit qu’il aurait pu faire ça dans un autre moment, chez elle, ou autre. Et il lui demanda ensuite quand elle avait une pause, elle le regarda, puis regarda l’heure avant de lui dire « 30 minutes, tu peux attendre ? Si tu veux je te paye le café. Faut qu’on discute de notre « mariage » » elle fit bien les guillemets avec ses doigts pour le mariage, c’était un mariage non voulu, un peu forcé à vrai dire. Elle lui fait signe de prendre une table le temps qu’elle finisse d’encaisser la multitude de gens qui venaient d’arrivé et en 10 minutes ils étaient tous à l’heure place elle alla en cuisiner vérifié deux trois trucs et puis revint vers Perry en temps voulu. « Vient. » et elle l’emmena dans une petite pièce où il n’y avait qu’un bureau. Elle était assise. « Bon alors, je propose qu’on aille à la mairie dans la journée, ou demain au plus tard plus vite on en sera débarrassé mieux ce sera. »

30 minutes ? Elle se foutait de moi là ? Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire pendant trente minutes dans un café ! D’habitude je drague les gens, je discute, mais si je trouve quelqu’un d’intéressant et que je barre pour conclure ça va pas trop le faire je pense. Bon, ok. Je sors mon portable et je décide d’harceler par sms celui avec qui je discute quand je m’ennuie (et inversement, quand il s’ennuie) et même quand j’ai envie, parce qu’il est trop cool comme gars : Matty, mon meilleur ami. On parle de tout et de rien comme d’habitude. De filles, garçons, de gens, de films, de comics, enfin bref, un peu tout. Au final le temps passe assez vite. Quand Charlie vient de me « rechercher » je suis en pleine partie de fruits ninja, mais bon, j’arrête mon portable que je fous dans ma poche. Elle m’emmène dans un bureau, le sien j’suppose. Le faire avec la patronne, dans son bureau, ce serait un pied d’enfer ! J’devrais lui en parler un de ses jours, ou même maintenant d’ailleurs. « ouai ! De toute façon, t’sais j’suis libre à peu près tout le temps, à part tôt le matin ou le soir aussi. » j’suis pas le mec le plus contraignant de la terre, ça va. « dis-moi, ton bureau est confortable, j’aimerais bien tester deux trois trucs. » dis-je en lui lançant un regard limite pervers.

Ils étaient dans le bureau de charlie, il fallait qu’ils divorcent rapidement, elle détestait cela. Elle lui dit bien sur, et on va faire qu’il n’était pas difficile pour ce genre de chose, il n’avait pas d’emploi donc il glandait toute la journée. « demain plus, j’ai pas mal de clients cette après midi, dont un gateau d’anniversaire à faire. » ajouta-elle. Et puis il lui demanda si le bureau était confortable parce qu’il avait envie de tester deux ou trois trucs, elle le regarda en souriant s’approcha de lui, et prit son col de t-shirt pour l’embrasser longuement. « Je ne sais pas t’as qu’à essayer. On a … 20 minutes. », et sans perdre aucun temps elle commença à se déshabillé en enlevant son t-shirt, et puis elle enleva ses chaussures tout en sautillant vers la porte pour la fermé à clé, et revint vers Perry pour l’embrasser de nouveau.

Demain je vais divorcer ! Elle au moins elle bosse, bon moi aussi, je fais des vidéos, ouah super boulot. C’est pas très contraignant, même si maintenant les gens me demandent quand je fais la prochaine et tout. Mais bon faut que je trouve un sujet et tout. Cette fois c’est à elle de m’attraper par le col pour m’embrasser. Tout de suite quand on est pas en public elle se lâche ! Bon ça me déplait pas, j’adore même. Vingt minutes, on va faire ce qu’on peut, mais j’suis pas du genre à tirer mon coup en cinq minutes, ni même en vingt mais on va essayer. On voit qu’elle a l’air pressé puisqu’elle commence à se déshabiller avant d’aller fermer la porte à clef, ce qui n’est pas une mauvaise idée. Et on s’embrasse encore. Et là, je la fais basculer sur le bureau. (…) bon le bureau était pas hyper confortable, enfin j’ai connu pire quand même. Je me rhabille tout en lui disant « cherche pas vu la tête que tu tires tout le monde va piger que t’as pris ton pied ! »

Faudrait qu’elle me passe son planning de pause, je passerais à chaque fois, comme ça je pourrais la détendre…Attention ! Nan parce que je vous vois venir avec vos grandes chaussures (ou un truc du style), genre « oh il est amoureux », on se calme les bisounours ! De un, moi tomber amoureux c’est pas franchement possible, de deux, avec Charlie ce serait juste méga bizarre, surtout que peut être qu’on s’entendrait pas quoi. C’est vrai, on a un peu discuté, mais bon, les trois fois qu’on s’est vu, à peu près, on a couché ensemble. Elle se rapproche plus de la sex-friend que de la « petite amie ». J’ai jamais eu de sex-friend, j’en ai pas eu besoin en fait. Ouai la mairie demain, je devrais peut-être le noter quelque part, nan parce que oui, me connaissant je pourrais oublier mon divorce. Le faire dans le bureau du maire, pourquoi je n’y avais pas pensé ? « j’adorerais me venger ! » façon de dire : tu peux compter sur moi. Je lui glisse à l’oreille en commençant à lui caresser les seins « tu veux pas prendre une deuxième pause ? »

Charlie lui fit une proposition très alléchante, du sexe sur le bureau du maire comme pour se venger cela risquerait d’être encore plus existant et c’était ca qui était bon. Charlie n’était pas quelqu’un qui avait besoin de grand-chose pour avoir du plaisir un lit ou une table et biensur quelqu’un et c’était largement suffisant. Et bien sur Perry approuva l’idée dès qu’on parlait de sexe de toute façon il était partant. Il était en train de la ploter encore une fois et il lui demanda si elle ne pouvait pas prendre une seconde pause, elle rigola et l’embrassa sauvagement avant de dire « C’est tout ce que tu auras aujourd’hui. Je suis la patronne je ne peux pas faire n’importe quoi, j’ai besoin de surveillé mon bébé. » Elle le regarda en souriant, elle se mordilla la lèvre et fit semblant de réfléchir. « MAIS si jamais tu as envie d’avoir encore une partie de jambes en l’air, appelles moi. » Elle prit un stylo et y écrit son numéro de téléphone sur la main de Perry, comme ça elle était sure qu’il ne le perdrait pas et en plus elle était penché donc il pouvait profiter d’une vue sur la poitrine de charlie.

Ok, j’ai compris, y’aura rien de plus aujourd’hui. Je veux pas insister, sinon je passerais pour un pervers obsédé, et j’ai franchement pas envie qu’elle pense ça de moi. Bien sûr j’aime coucher avec les gens, mais je ne veux pas les forcer ou quoi que ce soit. Coucher c’est à deux qu’on le fait et si l’autre prend pas son pied, ça sert à rien. Et puis, j’suis pas nympho’ non plus, j’arrive à me retenir et à pas me faire quelqu’un toutes les cinq minutes. Encore heureux, nan parce que sinon à la fin de la journée je serais mort ! Elle attrape un stylo et commence d’écrire son numéro dans ma main, comme ça je l’oublierais pas, mais bon, faudrait que le mette dans mon répertoire au plus vite, sinon ça va partir avec l’eau et tout. En plus, comme elle se penche un peu, j’ai une vue très alléchante de l’intérieur de son soutient gorge, ou plutôt de ce qu’il y a à l’intérieur plutôt. J’en profite bien, disons que je la reluque sans retenu. Lorsqu’elle a finit, c’est à mon tour. J’lui prends le stylo des mains, soulève son t-shirt, et lui écrit mon numéro en gros sur le ventre. Je l’embrasse encore une fois, parce que je sais qu’elle est déjà accro à mes lèvres, puis je dis « je suis sur que j’vais bientôt recevoir un sms de ta part parce que tu pourras plus te passer de moi. »