Rêver, c’est le bonheur ; attendre, c’est la vie ( Alexzander)

Le compte en banque que ses parents lui ont créé à sa naissance et pas mal remplis, mais il s'obstine à faire tous un tas de petits boulots et de vendre ses dessins pour avoir de quoi survivre, pour lui c'est cela la vie, pas simplement dépenser l'argent que ses parents ont mis tant de temps à rassembler, dans des futilités. Il est jeune encore donc par moments ses jolis mots volent en éclats, un peu comme ce soir-là, la nuit est claire, il fait doux et il fort agréable de se promener dans les rues de la ville silencieuse. Il a besoin de liquidité pas beaucoup, mais un peu et cela urge alors par le choix direction la banque. Vu qu'il est capable de perdre sa carte bancaire en route il a vérifié dix fois et c'est lui qui c'est perdu, je vous jure c'est un boulet d'être lui par moments.Heureusement il ne met pas trop de temps à retrouver la rue et donc la banque il fait glisser sa carte pour entrer dans le sas, il n'est pas seul un homme qu'il voit de dos et devant l'une des machines il va vers l'autre et il regarde sa carte se faire avaler par la machine il tape son code **** (Lol) et en te tapotant la lèvre hésite sur la somme, il lève les yeux ,car il y  a une  baisse de tension, il hausse les épaules, ils ont prévues des orages aux infos, donc ce n'est pas étonnant. Récupérant sa carte et ses quelques billets toute lisse il les froisse dans sa poche un coup de tonnerre et la lumière vacille carrément il arque un sourcil en regardant la loupiote qui donne un semblant de lumière dans l'espace qu'ils occupent. Les mains dans les poches il rejoint les portes coulissantes et il se heurte dessus. Où il est le bouton pour ouvrir ses portes ?! Hé mec, s'il te plait, tu sais comment on sort de ce truc !

Il était là comme un idiot devant les portes vitrées et certainement blindées, à chercher l'oxygène de la ville, même si elle est loin d'être pure, il n'est pas claustro, mais qui apprécie d'être enfermé, bon pour une fois ce n'est pas un ascenseur, il a le chic pour qu'il tombe en panne, c'est pour cela qu'il monte toujours à pied, mais ici c'est une banque. Vu qu'il n'était pas seul dans le sas il demande au mec s'il sait comment sortir de là, il s'écarte quand il vient vers lui, il est grand ! Clyde et observateur, l'oeil du dessinateur qui détaille les moindres détaillent, déformation professionnelle certains disent. "Qu'est-ce qu'elle a cette porte ? Il suffit de passer devant !" Bah ça il a essayé et cela ne marche pas, l'orage a dû bousiller un truc à coup sûr, il cale ses pouces dans ses poches arrières en observant le mec tenter d'ouvrir les portes à mains nuent, hm il est baraqué, mais bon faut être Musclor pour les ouvrir, c'est les portes d'une banque après tout, impossible de les forcer. Clyde ne dit rien alors qu'il s'emporte, manque de sang-froid .! Il le regarde quand il s'adresse à lui. "Je crois bien qu'on est coincé mec!" Il cherche tout autour des deux portes vitrées un bouton, un truc de sécurité, c'est quoi cette banque qui enferme ses clients à l'intérieur, il ne trouve rien, pfff ils sont coincés pour de bon.
Merde ! Adieu soirée !
Il ne sort pas beaucoup, pour une fois qu'il veut, le destin s'en mêle. Il a tout de même un large sourire, il est la majeur partie du temps optimiste. "Tu as un portable sur toi ? " un portable ? heu oué attend il est ...
Il farfouille ses poches, il l'avait il en est sûr même il lève les yeux et colle presque son nez à la vitre et il pointe le sol Il est là !
En entrant dans la banque trop fière de ne pas avoir perdu sa carte bancaire il la sortie très vite, visiblement son portable en a fait les frais, il va se prendre l'orage, adieu portable.

"Sérieux ? T'as fait tomber ton portable juste avant d'entrer ?" Clyde suivi un quart d'une seconde sont rire avant de détourner les yeux, il ne faudrait pas qu'il pense qu'il se moque de lui, pas du tout, il est comme ça, il perd toujours tout, même s'il fait attention, il perd quand même quelques choses.
Je suis très doué dans mon domaine, le champion olympique. Hum bref je n'ai pas fait exprès. Il voit bien que le mec avec lui est nerveux et cela se voit énormément, il est claustro .! Clyde hausse les épaules, lui est zen tout le temps, c'est dans sa nature. Il le suit donc des yeux alors qu'il arpente le sas qui lui paraît bien petit d'un coup, pas de bouton rien est la caméra qui est fixée en haut n'a par l'air de fonctionner."hé hoo vous nous entendez? Il y a quelqu'un?" Clyde fou ses mains dans ses poches où il joue avec quelques pièces mêle à ses chewing-gums qu'il ne quitte jamais, oui il est accro. Alors que le mec, son compagnon d'enfermement se laisse glisser sur le sol avec un air pitoyable il l'imite en face de lui, il note dans sa voix des notes plus prononcées, il l'avait déjà remarqué, mais là saitcriant de vérité. "j'espère que tu avais prévu de passer la nuit dans le sas d'une banque, mec, parce que c'est qu'on va faire!" Il esquisse un sourire en remontant ses jambes posant c'est avant-bras sur ses genoux, le dos collé à la paroi derrière lui, il est souriant détendu.
A la vérité j'avais d'autres projets, mais il faut croire que le destin en a décidé autrement, nous voilà coincé pour la nuit.
Il bascule d'un coup vers l'avant tombant à genoux il tend sa main vers le jeune homme, il sourit toujours et souffle une seconde sur ses mèches qui lui tombent sur les yeux et bien sûr cela n'a aucun effet cela couvre à nouveau en partie son regard cristrallin.
Je suis Clyde, enchanté compagnon suedois.