| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| (#36) we are the children of the great empire. (pâris) | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: (#36) we are the children of the great empire. (pâris) Dim 25 Aoû 2013 - 19:05 | |
| « Tu m'en vois rassurée. » Un franc sourire avait désormais pris place sur mes lèvres. En fait, j'étais ravi. Parce-que même après cet éloignement si soudain, rien ne semblait avoir changé entre nous. Notre complicité mélangée à cette fascination désarmante était visiblement restée intacte. Et à vrai dire, je crois que je ne m'en serais jamais remis si ça avait tout gâché. Je lui avais alors parlé de cet ancien homme. Cet homme bien loin de ressembler à celui que j'étais maintenant. Un homme assuré, qui avait une totale confiance en lui et ses capacités. Peut-être qu'au fond je n'aurais jamais dû rencontrer cette fille. Elle avait réussi à tout détruire. « Hum... Non. » Mes yeux avaient suivi la silhouette de Pandore s'éloigner doucement. « Parce qu'alors, rien ne m'aurait peut-être retenu de tomber faiblement amoureuse de toi, et je crois pas que ça aurait été un cadeau pour toi. » Je fronçai les sourcils, alors qu'à mon tour je m'étais éloigné de la fenêtre pour reposer toute mon attention sur la jolie parisienne. « Tu n'devrais pas te sous-estimer comme ça, Pandore. » Je marquai un temps d'arrêt pendant lequel le silence s'imposa. « T'es géniale, vraiment. Et même si j'ai été un idiot d'avoir voulu m'éloigner de toi, je suis ravi que tu fasses partie de ma vie. » Finis-je par dire, un air empreint de sincérité sur le visage. « Et puis tu sais, je ne pense pas que j'aurais pu te séduire, j'étais loin d'être facile à vivre. » Et même aujourd'hui, c'était loin d'être une aubaine de me supporter au quotidien. Un rire amusé s'échappa de mes lèvres alors que je n'avais toujours pas quitté les yeux de Pandore. « Bon alors... on a le droit de se revoir ? J'te promets de plus rien faire qui pourrait te troubler ou te faire fuir, si tu veux. » Mon sourire n'était décidément pas prêt de quitter mon visage. « Evidemment qu'on va se revoir. Et moi, je te promets d'être moins.. "coincé". » Ou du moins, éviter de me faire des histoires quant à ma relation avec Pandore. « Et puis, n'oublie pas que tu dois m'emmener à Paris. » dis-je, amusé. Je l'avais emmené à Édimbourg, et elle m'avait promis de m'emmener dans la capitale française, c'était le"pacte" qu'on avait conclu en Ecosse. Mes yeux dévièrent vers la fenêtre avant de se reposer quelques instants plus tard sur Pandore. - Spoiler:
désolée pour l'attente et la qualité de la réponse.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#36) we are the children of the great empire. (pâris) Dim 25 Aoû 2013 - 23:47 | |
| « Tu n'devrais pas te sous-estimer comme ça, Pandore. » Elle fronce les sourcils. Elle ne se sous-estime pas, pourtant. Enfin, pour elle. Elle est persuadée d'être un fardeau pour tous ceux qu'elle côtoie. Une briseuse de vie. Elle déglutit légèrement, n'osant pas trop le regarder. « T'es géniale, vraiment. Et même si j'ai été un idiot d'avoir voulu m'éloigner de toi, je suis ravi que tu fasses partie de ma vie. » Cette fois, un sourire flatté effleure les lèvres de la Parisienne qui relève ses yeux bleutés vers lui. Elle passe la main dans ses cheveux. « Je.. Moi aussi. » répond-elle doucement en gardant son regard rivé au sien. Moi aussi, quoi ? Qu'elle est ravie de faire partie de sa vie ou ravie qu'il fasse parti de la sienne ? Difficile à savoir. « Et puis tu sais, je ne pense pas que j'aurais pu te séduire, j'étais loin d'être facile à vivre. » Elle lâche alors un rire cristallin qui se mêle à celui de Pâris. Elle a l'impression de recouvrer leur complicité et leur fascination mutuelle par la même occasion. « J'ai l'air facile à vivre, Pâris ? » murmure-t-elle avec un sourire narquois. Elle contemple son sourire, toujours là, ravie de le voir bien moins froid que quelques instants auparavant. « Évidemment qu'on va se revoir. Et moi, je te promets d'être moins.. "coincé". » Elle le dévisage lentement, avant de se mordiller légèrement la lèvre inférieure, baissant doucement son regard pour fixer autre chose dans le vide. « Et puis, n'oublie pas que tu dois m'emmener à Paris. » dit-il avant qu'elle n'ait répondu quoi que ce soit. Elle sourit, se tournant vers lui en croisant les bras, ayant posé avant ça son verre sur la table. « Déjà, tu n'es pas "coincé", Pâris. Disons que tu es... juste un mec bien ? Et que tu as peut-être quelqu'un d'autre en tête pour faire l'imbécile. » Elle murmure ça sans jalousie – bien qu'au fond.. – mais parce que quelque chose le lui dit. Elle le sent. Elle se mordille la lèvre, sincère, parce que oui c'est un type bien, le genre de type réellement en voix de disparition en ce moment, le genre de type qu'elle a réussi à perdre. « Et pour Paris ça.. te tente vraiment, alors ? » demande-t-elle un peu timidement à l'idée de s'en aller encore à l'autre bout du monde avec lui, compte tenu de ce qu'il s'est passé – ou qu'il a plutôt failli se passer – la dernière fois. Elle s'avance doucement vers lui, frissonnant légèrement au passage d'un vent frais par la fenêtre entrouverte. - Spoiler:
chut, c'est parfait, as always. (et ton avatar. )
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| | | Invité | Sujet: Re: (#36) we are the children of the great empire. (pâris) Lun 26 Aoû 2013 - 2:32 | |
| « Je.. Moi aussi. » Je lui adressai un fin sourire, comme pour la persuader qu'elle n'était en aucun cas un fardeau pour les autres. Bien au contraire. Ou du moins pour moi, elle ne l'était absolument pas. Lorsque je l'avais rencontré dans ce bar, je n'avais pas eu conscience de l'attachement que je lui porterai plus tard. Et aujourd'hui, ça résonnait dans ma tête presque comme une évidence : Pandore faisait partie intégrante de ma vie et elle y occupait une place importante. Bien que cette relation était bien différente de certaines que j'entretenais avec d'autres personnes, elle n'en était pas pour autant désagréable. Au contraire. Ça changeait de l'ordinaire, et j'avais appris à apprécier ce lien quand bien même étrange. « J'ai l'air facile à vivre, Pâris ? » Sortant brusquement de mes pensées, mes yeux se rivèrent de nouveau vers elle. Haussant les épaules avec cet air amusé et taquin sur les lèvres, je finis par lui répondre : « J'ai pas encore eu l'occasion de tester, je te le dirai dans quelques temps. » Il était vrai que l'ambiance s'était comme réchauffée, et à vrai dire, ce n'était pas pour me déplaire. « Déjà, tu n'es pas "coincé", Pâris. Disons que tu es... juste un mec bien ? Et que tu as peut-être quelqu'un d'autre en tête pour faire l'imbécile. » Mes joues devinrent peu à peu écarlates, bien que je tentais de masquer ma gêne du mieux que je le pouvais. A vrai dire, même moi j'étais perdu, dans ce fouilli d'émotions qui s'était emparé de ma raison. De moi. Les yeux alors baissés vers le sol, je les remontais doucement vers ceux de Pandore. « Quelqu'un en tête.. c'est un bien grand mot. Disons que c'est compliqué. » Et cette "complication" ne présageait rien de bon. Quel gars pouvait bien se sentir troublé par sa meilleure amie ? Le genre de gars complètement malade et perdu, incapable de gérer ses sentiments. Un fou à lier, je vous l'accorde. Pour l'instant, je préférais mettre de côté ces milliers de questionnements, et me re-concentrer sur la belle française. « Et pour Paris ça.. te tente vraiment, alors ? » Ce changement de sujet m'arrangeait bien. « Je n'y suis pas retourné depuis très longtemps. Alors.. oui, ça me tente vraiment. » Et puisque j'avais une confiance aveugle en elle, alors je me laisserai guider sans problèmes. « En espérant juste qu'on ait un meilleur temps qu'à Édimbourg. » finis-je par dire, un sourire amusé au bord des lèvres, me remémorant ce temps d'orage qui nous avait finalement rapproché l'un de l'autre. - Spoiler:
mee(...)eerci.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#36) we are the children of the great empire. (pâris) Mar 3 Sep 2013 - 13:09 | |
| En effet, l'ambiance semble s'être détendue en un temps record. Et ça rassure la petite française, qui a bien cru ne jamais retrouver le Pâris qu'elle connait. « J'ai pas encore eu l'occasion de tester, je te le dirai dans quelques temps. » Son air amusé lui laisse penser qu'il est partant pour la supporter et donc jauger de ce qu'il en est. Elle croise les bras, le regard plein de défi. « Tu verras bientôt par toi-même que j'ai raison. » fait-elle d'un ton assuré, avec un sourire à son tour sur ses lèvres fines. Alors qu'elle avance qu'il a peut-être quelqu'un en tête, elle le voit rougir et sent un drôle de sentiment monter en elle. Silencieuse, elle attend juste sa réponse. « Quelqu'un en tête.. c'est un bien grand mot. Disons que c'est compliqué. » Alors elle a visé juste. Elle baisse lentement les yeux, essayant de masquer au mieux une certaine... quoi ? Déception ? Jalousie ? Elle n'en sait trop rien. C'est illégitime pour elle de ressentir ça, mais c'est pourtant bel et bien réel. Elle qui a lancé ça "comme ça", elle en a maintenant la confirmation. En même temps, un type comme lui... ne peut qu'être amouraché d'une fille... bien mieux que toi, ma vieille ! Elle hoche doucement la tête, ne laissant rien paraître – du moins, en essayant. « C'est toujours compliqué. Si tu veux en parler, tu sais que je suis là, hein. » fait-elle doucement avec un sourire chaleureux sur les lèvres, sincère. Elle préfère ensuite enchaîner sur le sujet « Paris ». « Je n'y suis pas retourné depuis très longtemps. Alors.. oui, ça me tente vraiment. » Ravie que leur soudain éloignement n'ait rien changé à son envie d'y aller, et ça la réjouit. Elle ne garde qu'un bon souvenir de leur escapade en Écosse – si on oublie l'éloignement qui l'a suivi – et serait enchantée de repartir avec lui. En guise de réponse, elle lui offre un large sourire. « En espérant juste qu'on ait un meilleur temps qu'à Édimbourg. » Pandore lâche un léger éclat de rire, avant de passer une main dans ses cheveux. « Oh, tu es habitué à la "Pandore effrayée par l'orage" maintenant, non ? Promis, je me tiendrai à carreaux. » fait-elle, prenant ça sur le ton de la taquinerie, en référence à leur baiser qui avait suivi. Des deux fois où ils se sont embrassés, elle n'en a oublié aucune. Elle ne sait pas vraiment ce que ça signifie. Peut-être tous les deux avaient-ils juste besoin de sentir des lèvres susceptibles de ne pas les faire souffrir contre les leurs. Elle regarde la nuit tombée par la fenêtre. « Je ne voudrais pas te déranger trop longtemps, tu es sans doute fatigué, non ? »
- Spoiler:
désolée du retard, du coup...
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