Home Sweet Home (Emma)[hot]

Ce moment avec Emma dépassait largement ce à quoi je m'attendais, il faut dire qu'en l'espace d'un bref instant nous étions passé d'amis à amoureux. C'était du rapide, j'en conviens, mais elle semblait le désirer tout autant que moi alors je ne voyais pas pourquoi nous devrions nous en priver.

Ayant finalement passé au salon , suite à sa proposition, je finis par m'installer sur le sofa . D'entrée de jeu je me dois de l'admettre les coussins parfaitement rembourrés de mon sofa sont nettement plus confortables que mes rigides chaises en bois se trouvant dans ma cuisine. Mon regard rivé dans le sien je ne pouvais que ressentir de plus en plus cette folle attirance qui me poussait vers elle et cédant au désir je mis tout en œuvre afin de l'attirer contre moi. Ses bras autour de mon cou , et les miens autour de sa taille, je ne pouvais que plonger mon regard dans ses magnifiques yeux bleus et plus que jamais je ne pouvais que réaliser à quel point je pouvais avoir envie d'elle … son corps collé contre le mien n'y étant pas étranger après tout. Je lui souris lorsqu'elle me confirma qu'elle ne comptait pas me priver de ses baisers et de ses câlins. Je m'en réjouis déjà.

Subjugué par ce désir des plus intense qu'elle parvenait à éveiller en moi et envoûter par l'éclat de son charme il était évident que j'avais envie d'aller plus loin avec elle mais je me refusais de brûler les étapes j'aimais mieux y aller en douceur, tout en prenant mon temps, que de courir le risque de passer pour le mec voulant se montrer trop rapide en affaire et de la perdre à tout jamais car vu l'importance qu'elle occupe dans ma vie je ne saurais m'en remettre.

D'une certaine façon j'étais d'avis qu'il fallait que l'on apprenne à s'apprivoiser , puisque sur ce plan nous ne nous connaissions que bien peu, et puis il ne servait à rien de se montrer trop pressé après tout ce n'était pas comme s'il s'agissait de notre seule et unique occasion de se retrouver dans les bras de l'autre. Lui caressant la joue , tout en collant mon front contre le sien, je me mordillai la lèvre inférieur et puis d'un geste se voulant à la fois tendre et délicat je finis par m'emparer de ses lèvres afin de l'embrasser à nouveau caressant le bas de son dos du bout des doigts alors que doucement je venais de lui effleurer la peau par dessus du tissus de cette veste qu'elle portait.

Bien sur que je la désirais en fait j'étais dévoré du plus profond de mon être par cette folle envie de lui faire l'amour, même qu'elle m'obsédait, mais je craignais également de passer pour celui qui voulait brûler les étapes. Craignant de la perdre si je me laissais aller trop rapidement je préférais jouer la carte de la douceur … le tout me semblait plus sage, après tout Emma n'était pas n'importe qui elle était dans ma vie depuis toujours et je me refusais de la brusquer inutilement. Les sentiments amoureux n'ont jamais rien eu de simples et croyez-moi ils le sont encore moins lorsque la personne est une amie que vous estimez depuis toujours.

J'avais donc décidé de ne rien précipité puisque de toute façon j'étais persuadé que tout finissait par arriver à point pour qui quiconque sait  attendre et puis je dois bien l'avouer la tendresse du moment que nous partagions n'était pas sans me déplaire. La douceur de ses lèvres contre les miennes n'avait pus que m'inciter à en vouloir d'avantage et tout ceci n'était pas étranger au fait que mes caresses se voulaient de plus en plus incessante jouant de l'extrémité de mes doigts glissant contre la démarcation de son pantalon alors que je lui caressais le bas du dos … lentement je me trouvai donc à jouer sur les dos tableaux alors que je me montrais tendre et attentionné tout en me montrant tenté par quelque chose de plus coquin mais pour le moment je me gardais bien de passer ce cap.

Bien sur à force de se câliner avec tant de volupté , de se caresser avec autant de sensualité et de s'embrasser avec une telle passion nous ne pouvions que ressentir une chaleur des plus folle s'emparer de nous. Je n'osais pas trop l'évoquer mais je ne pus que lui sourire lorsqu'elle m'en fit la remarque. En effet et ce depuis déjà un moment. Je lui souris tendrement tout en la regardant descendre  tout en douceur le fermeture éclair de sa veste je finis par faire glisser ma chemise histoire de la retirer tout en douceur ne la quittant pas du regard … ce qu'elle pouvait être belle.

Évidemment je suis un homme tout ce qu'il peut y avoir de normalement constitué alors je ne vous mentirai pas en tentant de vous persuader que je n'avais pas apprécier regarder Emma retirer sa veste tout en douceur puisque je n'en n'avais pas manqué un seul détail. La regardant avec envie alors que mes yeux se perdaient dans les siens je ne sus résister à la tentation , tout aussi folle qu'insoutenable, de laisser mes mains glisser contre sa peau qui était d'une douceur déconcertante afin de l'aider à retirer sa veste … d'ailleurs au moment ou celle-ci tomba contre le sol je ne pus qu'afficher un sourire en coin à l'écho de ce léger bruit qui avait finit par retentir lorsque le fermeture éclair de sa veste heurta le sol.

Ses mains glissant contre mes bras et mon torse ne pouvaient que me procurer le plus doux des frissons, rarement n'avais je ressenti un tel niveau de désir pour qui que ce soit ce qui ne pouvait que rendre ce moment d'autant plus unique à mes yeux. Ce regard que je posais sur elle se voulait à la fois d'une grande intensité et d'une folle insistance … à vrai dire je la dévorais des yeux. Admirant ses formes que mettait en valeur sa camisole je laissai mes mains remonter le long de ses hanches et de ses cuisses tout en l'embrassant sur l'épaule pour ensuite venir nicher mon nez dans le creux de son cou et lui mordiller le lobe de son oreille lui murmurant d'une voix se voulant suave à souhait à quel point je pouvais la trouver irrésistible. Ce moment j'y avais souvent rêvé, même que j'avais passé plus d'un moment à me l'imaginer et l'anticiper, mais ce que nous vivions dépassait largement largement ce que j'avais bien pu m'imaginer.

Les formes plus qu'invitante de son corps n'était pas sans éveiller en moi un désir des plus ardent et il me devenait de plus en plus difficile de résister à leur appel tant la tentation se voulait de plus en plus forte. Le désir s'emparant de moi de plus en plus je n'avais pu que laisser mes mains parcourir les courbes , plus que sinueuses, du corps de la belle Emma et je finis par lui démontrer mon affection alors que mes lèvres glissèrent contre son épaule afin de se diriger vers le creux de son cou. Il était devenu plus qu'évident que mes mots doux lui avaient plu et bien qu'elle ne me l'avait pas confirmée verbalement ses gestes et son attitude se voulaient d'une éloquence incontestable.

Ses bras m'entourant je ne pouvais qu'apprécier cette douce et agréable étreinte, continuant de parcourir son cou de mes lèvres, tout en laissant mes doigts jouer dans ses cheveux et c'est alors que je finis par sentir ses lèvres d'une grande sensualité s'emparer de mon cou. Frissonnant je ne pus que fermer les yeux tout en caressant ses cheveux. Ses mains glissant divinement bien contre mon torse ne pouvait que me procurer le plus doux des frissons alors vous comprendrez aisément que le fait de sentir ses lèvres glisser contre mon épaule pour ensuite descendre le long de mon torse n'avait pu que me procurer une sensation sensuelle dont je ne pouvais qu'apprécier.

Me mordillant la lèvre tout en fermant les yeux je me laissai aller à lui caresser le bas du dos d'une mains alors que de l'autre je lui caressais les cheveux et lentement je la fis remonter déposant mes lèvres contre les siennes. Ce baiser je m'empressai de le rendre tout aussi tendre et sensuel qu'endiablé et passionné, laissant mes mains contre son corps j'entrepris de parcourir ses cuisses et ses hanches du bout des doigts.

Un peu comme Emma je ne voulais pas précipiter les choses j'étais donc d'accord afin d'y aller en douceur et que l'on apprenne à s'apprivoiser lentement optant pour un moment tendre ponctué de baisers et de câlins mais c'était sans compter sur la passion qui semblait n'avoir de cesse que de vouloir nous dévorer. Nous laissant guider par le désir et nos pulsions nous en vinrent à nous dévêtir pour ensuite voir nos corps se coller l'un contre l'autre afin de donner lieu à des baisers de plus en plus passionnés et des caresses qui se voulaient plus que sulfureuses. Nos intentions, fortes louables, venaient de se voir balayer du revers de la main puisqu'il devenait de plus en plus évident que nous désirions – tout deux – bien plus que des baisers et des câlins.

Sentant le désir , ainsi que la chaleur qui en découlait, nous consumer sur place je pris la belle dans mes bras tout en l'embrassant avec fougue et passion et nous nous rendîmes directement à ma chambre afin de s'offrir un moment que nous n'étions pas près d'oublier.

La tendresse, la passion, le désir, l'amour … tout cela semblait être au rendez-vous, et même plus, passant un long moment dans les bras l'un de l'autre nous finîmes par voir cette folle attirance qui nous poussait l'un vers l'autre connaître son paroxysme et son dénouement s'avéra la plus douce des apothéose. Si ce moment de douceurs que nous venions de partager se voulait un doux prélude à ce qui nous attendait je ne pouvais qu'en demander plus.

Totalement exténué par tant d'activité, le corps en sueur, et à bout de souffle je finis par m'écrouler près de celle qui, je n'en doutais plus, était la femme de ma vie … mon cœur qui battait la chamade à ses côtés ne pouvait pas mentir.