{HOT} (Alou) Take my heart, take my pain.

C'était cet instant. Un instant que vous attendiez tant tous les deux. Vous étiez là, à vouloir du corps l'un de l'autre, à vous dévouer l'un à l'autre. Alors, tu mourrais d'envie de te donner à elle. Elle t'imita lorsque tu enlevas son t-shirt, tu te perdais sur son corps, à l'embrasser, jusqu'à venir sur sa poitrine, et commencer à jouer avec ce qui t'amusais le plus. Une main dans ses cheveux, tu sentais le désir monter en elle, autant qu'il montait en toi. Tu attrapas la jeune femme, toujours entrain de l'embrasser et de titiller sa poitrine et tu l'assise sur la table du salon. Tu déboutonnas son pantalon et commenças à passer ta main au niveau de ses sous-vêtements. Tu étais prêt, tu étais là. Tu la voulais, tu la désirais de tout ton être.

Ok. Je ne m'étais pas envoyée en l'air depuis des mois. Il faut dire qu'avec CJ dans ma tête, plus le bordel de ma grossesse, plus Ciàran, je n'avais pas le temps. Mais c'est comme faire du vélo non ? Je colle mes lèvres contre les siennes pour raffermir la prise de notre baiser avant de retirer son tee-shirt. Du bout des doigts, je caresse son torse musclé. Wait. Musclé. " tu fais de la muscu mon amour* ? " J'avais demandé ça avant qu'il ne me soulève. Ses lèvres sur ma poitrine, je poussais quelques gémissements avant de passer ma main dans ses cheveux. Je me retrouve sur une table, sans mon pantalon avant de voir mon mâle fondre de nouveau sur moi. je défais à mon tour son pantalon avant de descendre mes lèvres le long de son cou. Me redressant, je passe mes jambes autour de ses hanches pour le ramener près de moi et le regarder un instant. Enfiévrés tous les deux et pourtant à jeun, je lui souris. " Je t'aime, susurrai-je avant de mordre sa lèvre inférieure. " mon autre main descend en dessous de ses sous-vêtements pour commencer à l'échauder un peu. Mes lèvres descendent doucement le long de sa mâchoire tandis que mes doigts continuent leur travail, leur avancé. " Sur la table ? D'accord ! "

Vous étiez dans l'appartement, tu l'avais jeté sur la table et tu commenças à déshabiller ton aimée. Elle avait reprit goût à la vie, elle était légèrement plus en chair qu'avant et elle te donnait terriblement envie. Alors pendant que tu l'embrassais, tu lui enlevais ses vpetement, de sortes à ce qu'elle soit en sous-vêtements. Elle était sur la table, tu avais ta tête penchée sur sa poitrine et tu ne pouvais t'empêcher de t'amuser avec. Une main dans sa culotte, tu commenças à jouer avec tes doigts. Alors pendant que tu l'embrassais, tu souris tes lèvres plaquées contre son corps. Elle commençait à ressentir quelque chose, tu le sentais, son corps t'appartenait comme le tien lui appartenait. Alors tu continuais, pendant qu'elle était entrain de te déshabiller elle aussi.

Lorsque j'entends son rire tout contre ma peau, je frémis. Désormais quasiment nue, je n'ai pas honte de mon corps. Je n'en ai plus honte ou j'essaie du moins. mes doigts se perdent dans ses cheveux, descendant tout contre son dos pour le caresser d'un geste puis je le fais se redresser avant de le regarder longuement dans les yeux. sans une parole, je me mets en position assise avant de venir à nouveau capturer ses lèvres dans un baiser des plus ardents. Mes mains continuent de s'affairer près de son intimité pour lui ôter le dernier sous-vêtement. Je voulais le sentir en moi. après de longs mois d'abstinence des suites de ma grossesse, j'avais encore les hormones chamboulés et j'étais beaucoup plus réceptive à chacune de ses caresses. Ses doigts tout contre ma peau m'arrachent un gémissement tandis que mes jambes viennent se refermer autour de sa taille, le forçant à s'approcher un peu plus, lui faisant comprendre que non seulement il avait mon cœur, la parcelle non abimée et récemment découverte de mon âme et maintenant mon corps. Je lui appartenais tout entière.

C'était un instant dont tu avais toujours rêvé. Être en symbiose avec elle, être en harmonie avec son corps. Qu'ils dansent à l'unisson. Alors, tu caressais la jeune femme du bout de tes doigts jusqu'à son intimité que tu pénétrais délicatement. Elle poussa un gémissement, puis d'autres. Et alors là, tu étais le plus heureux du monde. Tu voulais lui faire du bien, tu voulais qu'elle ressente tout l'amour que tu portes pour elle, ce que jamais tu ne pourrais lui dire. A présent, vous étiez tous les deux nus, prêt à partager cet instant dont vous rêviez. La demoiselle était là, entrain de se perdre dans tes bras. Tu la portas pour la poser délicatement sur ton canapé. A ce moment là, tu te perdais dans son cou, ses cheveux, son corps. Tu frissonnais à l'idée de partager ce moment avec elle. Tu murmurais à son oreille, dans un souffle, quelque chose qui ressemblait à des mots d'amour. « Je t'aime » dis-tu comme si ta vie en dépendait, dans sa langue natale à elle. Ton souffle s'accélérait et à ce moment là, tu ne pus t'empêcher d'unir vos corps, de les faire danser ensemble jusqu'à ce que vous n'en puissiez plus.

Etre avec Alek, ça avait quelque chose d'irréel. Je n'aurai jamais pensé être en couple avec lui, un jour. Sans doute car nous nous ressemblions trop. Mais les sentiments sont nés de manière très naturelle entre nous. Je ne me lasserai jamais de son corps, d'être auprès de lui tout simplement. Ainsi, c'était ça l'amour. Sentir ses doigts sur ma peau m'arrache un gémissement de plaisir. Mes mains imitèrent ses gestes avec une facilité déconcertante. Comme si nos deux êtres étaient censés se rencontrer. Comme s'il s'agissait de notre destinée. Ma main se posa sur son sexe et mon souffle se fit plus court, plus rauque. Alors qu'Alek me porte pour changer d'endroit, je noue mes jambes autour de sa taille. Le sentir contre moi a le don de me griser complètement et j'enfouis ma tête dans son cou pour alterner baisers et morsures. J'atterris sur le sofa et je me redresse, posant une main sur sa joue pour planter mon regard dans le sien. Je voulais qu'il voie le désir que j'avais pour lui. Puis, il lie nos corps et je ne peux m'empêcher de pousser un petit cri. Je t'aime, répondis-je d'une voix emplie de désir. Je scelle nos lèvres pour étouffer mes cris de plaisir, refermant mes jambes sur sa taille. Nos corps bougeant en parfaite harmonie. Un moment exaltant, un moment passionné. Sans doute dû à notre jeunesse et à notre fougue amoureuse.

C'était une sensation différente, quelque chose que tu n'avais pas ressenti depuis longtemps. Faire l'amour avec une femme pour qui tu éprouves des sentiments, sentir dans ses gestes, dans ses gémissements que c'était que du bonheur et de l'amour. Quelques baisers, quelques griffures, quelques morsures de plaisir. Vous étiez en symbiose tous les deux, vous étiez bien à partager ce moment. Elle te dit alors qu'elle t'aime, et toi aussi tu l'aimes mais à ce moment tu ne pouvais parler. Tu étais entrain de prendre ton pieds d'une force incroyable. C'était un moment de pur bonheur. Vous jetiez jeunes, vous étiez fougueux. C'était incroyable. Alors tu jouais de te vas et viens, balançant tes hanches en fonction de tes mouvements pour accentuer le plaisir. Vos lèvres se rencontrèrent, elles étaient en symbiose. « Je t'aime » répondis-tu à la jeune femme, collé à ses lèvres. Le désir grimpa de plus en plus en toi, tu étais aux anges, au septième ciel.

Nous étions clairement en symbiose lui et moi. Nous ne formions qu'un. Après tant d'années à se connaitre, il fut le premier à m'avoir accueillie ici et il sera le dernier visage que je verrai. Dans la pénombre, sur ce canapé, je m'abandonnai complètement à Alek. D'une manière intime qui ne m'était pas arrivée depuis des mois. de très longs mois mais je ne regrettai pas d'avoir attendue. Mes doigts se perdent dans ses cheveux, descendant le long de sa nuque alors que je commence par lui planter les griffes sur ses épaules. Mon souffle se fait plus court, mon rythme cardiaque rapide. Mes jambes remontent pour l'enfermer dans un étau, l'emprisonner, voulant le garder auprès de moi. Pour toujours. J'entends sa voix rauque comme un murmure alors que mes serres s'enfoncent un peu plus dans son dos, ne contrôlant pas le plaisir qui venait par vague. J'avais oublié. J'avais oublié ce que ça faisait. Et je n'avais jamais ressenti ça auparavant. Je pouvais encore sentir les mots flotter dans l'air, parcourir ma peau, s'enfoncer au plus profond de mes entrailles. Je me redresse alors pour venir plaquer mes lèvres sur les siennes avec passion. Nous bougions à l'unisson. Nous ne formions plus qu'un et il s'agissait ici de l'extase à l'état pur.