Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Mar 14 Mai 2019 - 20:08
Il n'est pas bien, ça se voit à son état, et toi, t'es pas médecin, t'es pas psy, tu ne sais pas quoi faire pour qu'il respire mieux. Ça ressemble à une crise d'anxiété, ou quelque chose dans le genre, mais comme t'as pas vraiment de connaissance là-dedans, tu ne préfères pas trop t'aventurer dans un diagnostique faussé. Il tremble, les yeux fermés, son corps est en état de choc et tu ne sais pas trop comment le calmer. Il avait dressé sa main devant toi, prêt à t'en foutre une, prêt à défigurer ton visage, et tu sais pertinemment qu'il n'hésiterait pas à le refaire si tu faisais, à nouveau, un faux pas, si tu n'obéissais pas à ses ordres. C'est tout de même plus fort que toi, tu sens que tu dois agir. Alors tu as posé tes mains sur ses bras, d'une douce caresse, une brise apaisante pour calmer l'animal apeuré qu'il te semble. Tu sens ses muscles qui se contractent, ils se définissent sur sa peau claire, ses bras dénudés qui se durcissent au contact de ta peau, chaude. Tu tentes de le faire revenir dans le même monde que toi, parce que pour la première fois, là, tu as peur. Tu as peur de le perdre entre ici et ailleurs, cet endroit que tu ne connais pas. Ça ressemble à une transe, tu n'en sais rien, tu veux simplement qu'il ouvre les yeux. Sacha t'écoute enfin et, doucement, sa respiration se calme, son corps se détend. Et c'est seulement quand tu poses tes mains sur son visage que tu l'emprisonnes pour qu'il ne voie que toi et non pas tout le bazar autour de vous, pas cette salle, pas cette scène, pas même les couteaux qui pourraient s'avérer dangereux, c'est à ce moment qu'il te demande d'arrêter cherchant à te fuir. Ce qu'il veut, là, tu t'en fiches un peu. Toi, ce que tu veux, c'est retrouver le semblant d'homme normal qui t'avait accueilli plus tôt, celui qui gribouillait dans son carnet à dessin et qui, malgré ses pointes de flèches lancées avec répartie, était d'agréable compagnie. À force de grogner, il s'épuisa. Fatigué de luter contre toi, contre ton caractère de merde qui, trop souvent, te faisait défaut, il se calme. Les mots suivants eurent l'effet d'un écho dans tout ton corps. Tes yeux, grands ouverts comme deux billes bleues, se sont posées sur lui avec, à la fois, douceur, envie et questionnement. La meilleure assistante, c'est ce qui s'approche le plus d'un compliment venant de lui et ça te fait du bien. C'est stupide, parce que les sentiments, les compliments, tu ne leur accordes pas vraiment d'importance. En temps normal, du moins. Tu les fuis comme la peste, dès que ça devient un peu trop rose et poudré à ton goût, tu disparais sans donner de nouvelles. Mais cette fois, tout est différent. Ça ne te déplait pas, au contraire, ces mots doux, dissimulés au travers d'une urgence de te voir rester, t'ont donné le courage de poser tes lèvres à nouveau sur les siennes et de combattre la peur. Le russe s'empare alors de ta peau avec poigne, pressant ses mains dans les rondeurs de tes fesses. Des mains baladeuses qui naviguent sur ton corps à la recherche de vêtements à retirer. Dans un mouvement agile, Sacha retire ton short, ton string en dentelle noir le suit de près. Debout, planté devant lui, la respiration haletante alors que tes lèvres et les siennes ne se sont toujours pas quittées, t'es livré à lui, ton intimité à découvert, fleur fragile de ton plaisir qui menace d'explose s'il ne s'en occupe pas assez vite. Urgence, besoin, nécessité, c'est ce que ton corps lui crie alors qu'il place, maintenant ses mains sous tes cuisses pour te soulever. Vous vous retrouvez un peu à l'écart, dans le fond de la scène, toujours à découvert des intimes, mais cette fois sans être sous les lumières des projecteurs qu'il vous fallait pour vous échauffer. Quand il te pose sur la table de bois, ton poids fait vibrer les couteaux maintenant rangés. On aurait cru entendre, avec attention, le claquement de leurs lames ensemble, lors que le brun les pousse au bout de ses bras, vous laissant tout l'espace nécessaire. Et, à présent, c'est de ton corps qu'il s'occupe, plus de ces couteaux qu'il chérit, mais plutôt de ta chair qui s'hérisse sous ses baisers qui commencent dans ton cou. Légère pression qui, tu le sais, y laissera une marque. Tu balances ta tête vers l'arrière alors que tu sens tes jambes se resserrer contre elles. Il ne te laisse pas faire, de sa force il écarte tes jambes pour lui laisser l'espace dont il nécessite. Et toi tu lui souris, le regard brûlant des envies qu'il évoque en toi, la lèvre inférieure que tu mordilles sans cesse. Tu as chaud, c'est ton corps, maintenant, qui est en transe alors que le sien semble avoir retrouvé la normale. D'un nouveau geste sec, il détache la braguette de son jean. Tu suis ses actions des yeux et, lorsqu'il s'arrête, tu croises son regard défiant. Il ne te laisse pas le temps de réagir, qu'il se rue à nouveau sur toi, caressant du bout de ses doigts tes hanches, cherchant la commissure de ton haut pour le redresser. Langue sur ton mamelon, doigts sur ta poitrine, main entre tes cuisses, un cocktail de sensation se créer dans tout ton être. À nouveau, tu envoies ta tête valser vers l'arrière, les yeux fermes, les lèvres pincées. Seul un soupire de désir s'y échappe avant que tu te décides à lui rendre la tâche plus facile. Tu retires ton haut et ton soutif, que tu envoies balader sur le sol, rejoindre le reste de tes vêtements. Complètement nue, tu cambres le dos pour lui offrir ta poitrine pulpeuse, lui laissant à présent tout le plaisir de l'observer à sa juste valeur, sans bout de tissus l'encombrant. Il la dépeint, découvrant chaque parcelle de ta peau qui frémit sous ses caresses, chaque tache de rousseur, chaque grain de beauté. Tes tétons se font durs, tes seins sont gonflés, ronds, repulpés pour son contentement. Tu envoies ta tignasse rousse derrière toi, elle se fait maintenant encombrante, parce que tu te risques à prendre les devants, agrippant l'encolure de son jean, le regard brillant. Tu te lèves donc de la table, le bois craque derrière toi, et ton geste force Sacha à reculer de deux pas. Tu joues avec la partie ouverte de son pantalon avant de lui murmurer, près de l'oreille : Tu veux toujours que j'arrête ? Tu embrasses à présent son lobe, descends dans son cou alors que tes mains, elles, entrent dans l'ouverture de son jean pour caresser l'interdit. Et seulement quand tu le sens prêt, tu diriges tes baisers plus bas. À la hauteur de son intimité, son pantalon toujours en place, tu lui jettes un regard en le débarrassant des vêtements qui sont à présent trop serrés pour cacher son désir.
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Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Dim 19 Mai 2019 - 17:42
+18 - hot:
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Doigts qui glissent sur sa peau tandis que leurs corps cèdent petit à petit à la tension des événements, Sacha est convaincu. Il oublie que quelques secondes auparavant il était en proie à une crise et qu'il pensait ne pas pouvoir passer outre. Désormais, la peau de Brooke le fait frissonner de ses doigts à ses pieds, traversant son corps avec tant de force que son cerveau en devient enivré. Déjà, ses sens oublient l'environnement qui les entoure pour se focaliser sur son assistante et uniquement sur elle. Il sent à chaque baiser et à chaque caresse son corps tressauter et le réclamer, des réflexes humains qui ont tendance à l'exciter toujours plus. Il a envie que ses mains glissent toujours plus le long des cuisses de la jeune femme pour que ses doigts aient un accès privilégié à son intimité, où il pourrait jouer avant d'y pénétrer moins doucement par la suite. Son corps le fait fantasmer, et les effets sont démultipliés lors que la rousse retire le reste de ses vêtements, s'offrant alors complètement à son cher collègue. Le russe reste quelques instants suspendu à la vue tandis que ses doigts s'enfoncent dans la chair de sa poitrine sous l'effet de l'excitation et de l'impatience. Souffle coupé, il lui laisse pile assez de temps pour qu'elle tente de prendre le dessus sur lui. Il peste quand il est forcé de reculer, incapable de supporter quelconque forme de domination. Il pourrait presque l'entendre hurler pour qu'il la prenne immédiatement, mais la jeune femme a décidément d'autres plans plus machiavéliques en tête. Son regard se fait plus sombre à mesure que son désir s'accentue et qu'il rêve de renverser la situation. Il pose ses mains sur les hanches nues de Brooke, fermant les yeux quand elle vient titiller le lobe de son oreille de sa langue, avant de s'attaquer à son cou d'une manière plus sensuelle qu'il ne l'aurait espéré. Il sent son corps tendu la réclamer, laisse les fantasmes affluer dans son esprit alors qu'un soupir de satisfaction franchit ses lèvres. « Non. » répond-t-il simplement en comprenant où elle venait en venir. Il la laisse glisser ses doigts contre son pantalon, et il ne cherche même pas à retenir le grognement qui échappe de ses lèvres en sentant ses doigts froids découvrir par le toucher son sexe endolori par les effets qu'elle a sur lui. Quelques secondes plus tard, il rouvre les yeux pour la regarder accroupie à ses pieds tandis qu'il vient caresser sa chevelure rousse d'une main, l'autre se posant sur sa joue avant de la laisser s'emparer de sa nuque pour rapprocher son visage de son corps. Il aurait voulu lui dire d'arrêter, parce que ce n'est ni le lieu ni le moment, parce qu'il sait que la pente qu'ils empruntent est trop dangereuse. Comme toutes les autres, elle finira par regretter de s'être ainsi jetée sur lui aujourd'hui. D'avoir réussi à le faire bander suffisamment pour qu'il en oublie qu'ils sont encore au cabaret et qu'ils ne sont censés être que des collègues, pas des amants. Et dans quelques mois, qui sait, elle pourrait même regretter de l'avoir fréquenté, lui, le lanceur de couteaux complètement fou qui ne pense qu'à la violence et au sexe, mêlant parfois les deux avec des compagnes différentes. Celui qui, au fur et à mesure que la relation se construit, ne rêve plus seulement de fellations et d'elle, menottée au lit. Il a soif d'aventures et n'a jamais peur du pire. Parfois, il a besoin que le sang coule à flot pour reprendre ses esprits, pour se souvenir que chaque coup supplémentaire le rapproche de son père. Un jour, il est certain que Brooke sera assez futée pour découvrir ses secrets. Comme Mathilda, ou pire encore, Brooke le poussera à bout, dans ses retranchements. Ce jour-là, il se voit déjà la rejeter pour la forcer à dégager. Pour pas s'attacher à elle, pour pas que l'histoire ne recommence. Il veut juste la baiser, et pas lui faire l'amour. Et si de leurs ébats naît à nouveau un monstre, il s'en voudra, il se tuera. Parce qu'il a déjà fait l'erreur deux fois et qu'aujourd'hui il s'en mord les doigts. Grognant, il tente alors de contrôler sa respiration pour ne pas y penser, pour que le désir finisse par envahir chaque parcelle de son âme jusqu'à le rendre, sourd et aveugle, mais certainement pas muet. « Montre-moi ce que tu vaux. » lance-t-il finalement pour la provoquer, ne souhaitant en aucun cas qu'elle ne retienne ses pulsions.
Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Dim 19 Mai 2019 - 20:43
Baisers enflammés sur ta peau qui n'en demandent pas moins, vous êtes tous les deux enivrés de vos envies qui vous envahissent, qui vous engourdissent le cerveau et la raison. Ce n'est ni l'endroit ni le moment pour ce genre de rapprochements, tu en es consciente, et pourtant, faut-il toujours préciser que tu aimes caresser le danger ? Impatiente, ta peau se hérisse, se réchauffe de ton imagination qui te créer des images alimentant tes pulsions. Tu le veux, là, maintenant, tout de suite. Sans attendre, sans te cacher. C'est plus fort que toi, t'arrives pas à compresser ton besoin de t'unir à lui. Tu sais que c'est mal, que ça ne présage rien de bon, mais le mal est déjà fait, tu l'as trop titillé. T'es nue, offerte à lui, et tu brises la dernière barrière entre vous en lançant ton haut violemment sur le sol, symbole de ton manque de patience. Tu le pousses, il fait deux pas vers l'arrière, le regard dans un mélange de résistance et de désir qui s'harmonise à la relation conflictuelle que vous êtes en train de bâtir, sans même le savoir. Parce qu'à présent, t'es foutu. Il t'a ensorcelé, envoûté de son charme sans effort. C'est ce qu'il dégage, ce qu'il est, la façon dont il pose les yeux sur toi qui t'ont transformé en la femme envieuse que tu es. Tu ne te laisses pas mener, tu lui montres que t'as du mordant, que t'es capable de suivre sa répartie, qu'on ne peut te tenir en laisse facilement. Du caractère, t'en es pleine, merci à tes anciennes relations de t'avoir endurcie encore plus que tu ne l'étais déjà. À présent, tu ne supportes pas qu'on te réduise à un simple objet de désir, tu es partie prenante des actions que tu poses, pas dominée, pas dominante. Et si t'avais réellement à choisir, tu dominerais. Sacha aussi. C'est ce qui fait des flammèches entre vous, c'est ce qui vous a effrité au départ, parce qu'il est du genre à contrôler, à prévoir tout ce qui va se passer, sans se laisser surprendre, comme toi. Par peur, surement, si tu te fis à tes démons à toi. Mais ces démons, ces peurs d'être utilisée, d'être abandonnée, d'être réduite en néant, tu les mets de côté, parce que pour l'instant tu ne veux plus y songer. T'as son corps qui se crispe contre le tien quand tu oses lécher sa peau et que tu diriges tes lèvres toujours plus bas. Il te donne le feu vert, que tu n'attendais pas vraiment, à vrai dire, puisque tes mains avaient déjà entrepris leur course sur son pantalon déjà déboutonné avant de l'en débarrasser complètement. Tes doigts fins s'enroulent autour de son sexe que tu caresses sans vraiment le lâcher des yeux alors qu'il caresse ta tête d'une main et t'approche de son corps de l'autre dans un geste que tu trouves terriblement vulgaire. On ne te dit pas comment faire, t'es pas débutante en la matière. Et même si ça t'insulte, même s'il fait ressortir la rage dans ton bas ventre, elle se canalise en envie encore plus pressante de goûter encore plus à sa peau. Tu le laisses faire, posant ta bouche contre son membre, laissant tes lèvres et ta langue faire le travail, une main qui s'agrippe à ses fesses, tu plantes tes ongles dans sa chair alors que tu augmentes la vitesse comprenant à ses grognements qu'il y prenait plaisir. Et comme si ce n'était pas assez, pressé d'en avoir plus, il te provoque. Alors tu te redresses, tu te mets maintenant à son niveau, difficilement concentrée sur autre chose que l'excitation qui prône dans ton bas ventre. Tu peux lire sur son visage l'amusement, la provocation, le défi, l'interdit, l'envie, et tu t'y laisses bercer en retrouvant ses lèvres pour qu'il te goute et qu'il goute au plaisir que tu lui viens de lui donner. Et quand vos langues se retrouvent pour s'entremêler à nouveau, tu continues de le pousser jusqu'à ce que vous soyez plaqué contre le mur arrière de la pièce, là où l'éclairage ne se rendait pas. C'était plus sombre, plus intime, sans pour autant être secret, mais à ce stade-ci, aucun de vous n'en faisait une importance capitale. C'était oublié, cette peur d'être découvert, elle avait vite été remplacer par ce besoin urgent de connaitre toutes les parcelles de vos corps. Tu presses ton corps contre le sien, tu sens son sexe sur ta cuisse, toujours aussi droit, fièrement bandé contre ta peau. Puis tu t'arrêtes, pour le regarder, pour planter tes yeux dans son regard. Tu mords sa lèvre, tu joues avec son cou alors que ses grandes mains s'emparent à nouveau de tes seins, la tentation de les avoir si près de lui étant trop forte pour y résister. Prends-moi, ordonnes-tu, sur un ton beaucoup plus commandant que tu ne l'aurais souhaité. Tu as envie qu'il plonge en toi, qu'il te fasse vibrer à ton tour, que tu sentes ton corps se contracter par sa faute. T'as envie de le sentir en toi, de manger sa peau, de gouter ses lèvres encore plus, sans attendre, sans te poser trop de questions. Parce que des questions, il y en aura, après coup. Comment se résultera la suite de votre relation professionnelle, allez-vous vous risquer à recommencer ? Tu as l'impression qu'une fois que tu auras goûté à ce fruit défendu, tu ne pourras plus t'en passer. Et même si ça te fou la trouille, tu le défis du regard de te prendre, maintenant. Baise-moi, grognes-tu à nouveau.
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Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Mar 21 Mai 2019 - 0:01
+18 - hot:
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La vulgarité de ses gestes lui échappent totalement. Il s'en fout, il a déjà fait pire. Et si ça plait pas à Brooke, alors il sait que ça servira à rien de poursuivre sur cette voie avec elle. Parce que derrière ce geste ne souhaitant que faire en sorte que ses lèvres rencontrent sa peau, il cache des fantasmes encore moins catholiques que celui-ci. La caresses de ses doigts ne sont pas celles qui l'intéressent actuellement, parce que s'il veut se branler, il peut très bien le faire tout seul. Ce sera probablement moins jouissif que si c'est une femme qui s'en charge à sa place, mais le boulot sera fait. Alors oui, il force un peu la donne, et la rousse ne se fait pas prier pour passer à l'action. Il cambre légèrement le bassin quand sa langue vient goûter pour la première fois à son sexe, qu'il veut sentir emplir chaque parcelle buccale pour démultiplier les plaisirs et les sensations. C'est qu'elle se débrouille bien, Brooke. Il la retient dans cette position alors qu'il grogne, qu'il souffle, qu'il gémit presque de plaisir. Il ressentait alors à quel point il était vivant, là-dedans, par son membre gonflé, comme si ses vaisseaux sanguins allaient exploser. Ses mains puissantes refusent de quitter la chevelure, pour s'assure qu'elle est bien réelle et que tout cela n'a rien d'un rêve. Il se passe une main dans ses propres cheveux, alors qu'une légère douleur s'éprend de ses jambes en sentant que le poids de son engin n'a fait qu'augmenter un minimum. Ça fait longtemps qu'une femme n'a pas provoqué autant de plaisir rien qu'en le suçant de la sorte. Il aurait pu jouir alors qu'elle était dans cette position, mais il ne souhaitait pas passer pour incompétent, alors son esprit faisait le nécessaire pour ne pas craquer immédiatement. Ce fut d'autant plus difficile lorsqu'elle lâcha sa prise et qu'il poussa un soupir de soulagement, mais également de déception à l'idée que ça s'arrête là. Mais ce qui vient ensuite est d'autant plus intrigant. En effet, la jeune assistante s'empare des lèvres de son collègue dont l'excitation n'était désormais plus trahie. Avec difficulté, il retire ses pieds de ses chaussures et de son pantalon pour laisser tout cela à terre alors que leurs langues jouent l'une avec l'autre, sauvagement. A tel point qu'il ne s'attendait pas à être soudainement plaqué au mur. Heureusement pour lui, il avait encore pleinement l'usage de ses mains et put s'emparer à nouveau de la poitrine de la jeune femme, sont les tétons pointus trahissaient son désir pour lui. Il n'était pas le seul à bander, visiblement. Il pousse un grognement bestial quand elle écrase presque son membre contre sa cuisse, et il se retient de la repousser subitement, parce qu'elle met tout de même fin à ce calvaire après en avoir profité pour le provoquer. Provocation qui se poursuivit à nouveau, tandis qu'elle semblait se délecter du contrôle qu'elle avait sur lui. Il la regarde, sensations d'excitation et de douleur se mélangeant subtilement. Il croit avoir d'abord mal entendu, mais elle répète ses paroles de façon à ce que son esprit s'enflamme soudainement. Il meurt d'envie de la prendre jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter, jusqu'à ce qu'elle explose dans une jouissance absolue. Un sourire carnassier étire alors les lèvres de Sacha, qui use de sa force pour retourner la situation. Il l'attrape par la taille, la retourne pour que son dos soit contre son torse et que la seule chose qu'elle puisse avoir en face d'elle soit le mur. Lentement, il se baisse, couvrant de baisers et de douces morsures son dos, jusqu'à prendre ses fesses à deux mains. Non, à une, puisque l'autre a déjà glissé sous sa cuisse, et n'hésite pas à faire sien son entre-jambes en y pénétrant alors qu'il couvre ses hanches de chauds baisers. Il s'amuse à ce petit jeu quelques temps, ses doigts agiles explorant premièrement l'intimité de la jeune femme pour se familiariser avec le lieu et pour l'entendre vraiment soupirer de la même manière que lui le faisait. Les allers-retours sont nombreux, jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus de retenir son sexe qui arriverait bientôt au bout de ses performances. Alors, il remonte, collant son corps tout entier contre le dos de Brooke, et sa main quitte l'intérieur de son antre pour que cette fois son sexe puisse y pénétrer. Il ne voit à cet instant plus du tout son assistante, celle-là même s'il attachait à la roue en lui faisant frôler la mort tous les soirs. Il voit en elle sa conquête, sa proie, sa destinée peut-être. Et l'idée que ce ne soit pas la seule fois qu'ils se donneraient tant de plaisir le pousse à multiplier les coups de bassins dans son dos, agrippant désormais fermement ses hanches alors qu'il la prend encore et toujours, dans l'espoir de lui arracher plus de cris de joie et d'extase. Il n'y a plus besoin de parler pour comprendre ce qu'il se passe, aussi bien dans son corps que dans son esprit. Elle lui a seulement demande à ce qu'il la prenne et la baise, et il s'exécute maintenant de la même manière qu'elle le souhaitant, souhaitant que chaque frottement lui procure des frissons de plaisir.
Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Mar 21 Mai 2019 - 6:35
T'es pas douée avec les relations. Tu ne l’as jamais été. Ton coeur, il est fermé à clé, plus personne ne peut y entrer. On t'avais émietté, on avait trahi ta confiance, on t'avais craché dessus, on t'avait fait mal et tu t'es juré, après cette dernière relation qui n'avait mené nulle part, qui n'avait fait ressortir que le pire de toi, que ça serait terminé. À quoi bon, de toute façon, tu échouais sans cesse quand il était question de sentiments. Tu t'attachais et tu faisais en sorte que tout plante, parce que tôt ou tard on te ferait du mal. Tu trompais, tu te transformais en monstre, seules les relations sexuelles t'épanouissaient. Et quand ce n'était pas toi qui jouais aux ordures, c'était lui. Il te trompait, te frappait, t'insultait, te manquait de respect, rien qui ne définissait une relation saine. Woody, c'était le dernier à être entré dans ta vie de cette façon. T'avais vingt ans, t'étais naïve de croire que tu pourrais changer un jour, que la peur de te faire abandonner, celle qui motivait tes réactions ridicules, finirait par partir quand tu rencontrerais le bon. Mais le problème, c'est que tu croyais toujours que c'était le bon. Et tu finissais par t'en rencontres compte, quand les disputes éclataient et qu'il faisait ressortir tes pires défauts, ceux que tu voulais maintenir cachés, secret. Après Woody, t'es parti autour du monde, faire tes vrilles et tes acrobaties dans les airs, tu t'es enchaîné des histoires d'un soir, des baises enflammées, mais aucune ne t'as fait chavirer comme ce soir. T'as le vertige tant c'est puissant. Sacha, il te fait vibrer. Ça te fait presque peur. Parce que tu pourrais t'attacher et, tu le sais que ça n'envisage rien de bon. Les mecs comme Sacha, tu les connais par coeur. Ils te manipulent, t'enjôlent pour te contrôler et finissent par te planter quand ils se sont finalement lassés. T'as peur qu'on ton fasse subir le même sort, encore, parce qu'au moment où tu plantes tes yeux dans les siens, juste avant de mettre son sexe dans ta bouche, tu sens quelque chose te traverser. Tu pourrais tomber pour lui, tu pourrais t'attacher, c'est dangereux, parce que c'est unique. Cette envie pressante, cette excitation, elle n'est pas comme les autres. Tu le suces, il gémit. Tu joues de ta langue, de tes lèvres, de tes dents sur la peau fragile de son organe masculin, tu le sens flancher, ses jambes qui deviennent molles, ses yeux qui veulent se lever au ciel et le laisser se sentir envahir de son plaisir, mais il résiste, il se retient, parce que ni lui ni toi avez envie que ça se termine comme ça. Tu te lèves donc, laissant son membre en haleine, pas encore rassasié. Il en veut plus, mais tu n'as pas terminé avec lui. Tu le domines, ça t'excite, tu le sens dans ta propre intimité. Et rapidement tu t'empares à nouveau de ses lèvres dans un baiser fougueux, presque animal, qui le plaque contre le mur de la scène. Et alors qu'il malaxe ta poitrine dans ses grandes mains qui te semblent faites pour l'accueillir, tu ondules ton corps contre le sien, frôlant son sexe par moment, le pressant contre ta cuisse. Il grogne, tu souris avant de lécher son cou, passant attentivement sur chaque tatouage. Tu lui ordonnes de te prendre et il s'exécute, empoignant tes hanches et les guidant dos à toi. Son sexe frôle tes fesses, mais tu ne peux apprécier la sensation alors qu'il glisse deux doigts en toi, martelant ton corps de baisers piquants. Il bouge ses doigts en toi et tu te vois forcer à fermer les yeux, un long gémissement de plaisir remplit la pièce silencieuse. Ses doigts guident ton plaisir, tes cris. C'est bon, t'aimes ça, tu ne veux pas que ça se termine. Il te fait sentir vivante, bonne, bien. Il te possède à présent, ton intimité s'enflamme, tu la sens à la puissance maximale de son désir, ses doigts sont mouillés par ton excitation. Puis, avec une urgence, il remplace ses doigts par sa verge fièrement bandée. Il te remplit et tes yeux se ferment, au même moment tu laisses un soupire d'exaltation s'échapper de ta bouche avant de venir pincer tes lèvres de tes dents, étouffant tes gémissements. Tu le sens en toi, il prend toute la place, ses mains passent de ton dos à tes hanches qu'il agrippe presque violemment, tu souris en tournant ta tête vers lui, le regardant te dévorer le corps de ses yeux. Il donne un coup de bassin plus fort, plus vif, qui t'arrache un nouveau gémissement de plaisir, tu relâches la tête vers l'arrière au même moment alors que tout ton corps est en alerte. Pour garder ton équilibre, l'envie qui te monte à la tête, tu appuies tes paumes contre le mur, les bras tendus, le corps légèrement penché vers l'avant alors qu'il te prend par-derrière et qu'il accélère ses mouvements. Tu gémis, plus fort, plus longtemps, tu t'en fou qu'on puisse t'entendre. Tu fais bouger tes hanches, refusant qu'il soit le sol à mener la danse, tu joins tes gestes aux siens, la chair de ton corps se hérisse et pourtant tu as chaud. Tu passes une main dans tes cheveux qui sont à présent encombrants, qui te collent au visage alors que tu respires sèchement. J'veux te voir, lâches-tu entre deux soupire. Tu attends qu'il te retourne aussi brutalement que la première fois, tes fesses et ton dos sont maintenant appuyés contre le mur de la scène. Il te soulève, tu passes tes bras autour de son cou et tes jambes autour de sa taille. À nouveau, il entre en toi, il t'habite, tu mords son cou qui est à présent à ta proximité, couvrant son torse de baisers entre tes soupires et quand il augmente la cadence très certainement pour te faire jouir, tu sens l'extase monter dans ton intimité. Tu serres tes jambes, le plus fort que tu peux, autour de sa taille, ta tête est maintenant appuyée contre le mur, et tu laisses ton corps atteindre le nirvana, tu cries, tu gémis, tu soupires son nom entre ta respiration qui se fait difficile. Oui! que tu cries, quand tu sens l'orgasme venir. Tu presses ta poitrine contre son torse, tes doigts qui pincent la peau de ton amant avant de gémir à nouveau.
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Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Mer 22 Mai 2019 - 23:51
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Finalement, ça valait le coup de l'avoir provoquée, d'avoir joué au con. En quelque sorte, il sait que ça les a rapprochés, que sans ces cris de rage et cette peur au ventre, l'excitation n'aurait jamais pu tracer son chemin jusqu'à eux. En même temps, il a l'impression que rien de tout cela n'est réel. Que c'est qu'un rêve, qu'il fait, parce qu'il se sen trop bien pour que ce soit vrai. Il aurait dû tenir plus longtemps, car là, c'est avec le feu qu'il joue. Son assistante, elle est censée être sa collègue. Les plus prudes faisant les règles avaient décidé que les collègues ne couchaient pas ensemble, parce que ça faisait pas correct auprès des autres. Encore heureux qu'il soit pas le patron, Sacha, sinon, Brooke serait passée pour une pute qui fait ça que pour l'argent. Lui, il sait que c'est pas vrai. Elle voulait son corps, sinon, ils en seraient pas arrivés là, et ça lui convient. Le lanceur de couteaux n'a qu'à regarder son visage se décomposer quand ses doigts la possèdent, viennent tâter le terrain tout en appréciant l'humidité et la largeur de son intimité, dans lequel il aura suffisamment la place de se glisser pour qu'elle n'oublie jamais cette sensation. Il se jure de l'habiter jusqu'à ce que les contours de son membre lui semblent familiers. Jusqu'à ce qu'elle ne connaisse assez pour savoir que ce sera bon à chaque fois qu'il la prendra. Et pour ça, quoi de mieux que d'y mettre tout son cœur et sa volonté. Que de la faire se plier en deux face à lui pour qu'enfin il puisse pénétrer après avoir admiré la courbe de ses fesses, qu'il veut faire siennes. Un petit sourire étire ses lèvres en sentant ses doigts se retirer alors qu'ils sont mouillés et qu'il vient les poser sur la chair chaude pour mieux la contrôler. Pour mieux la retenir alors qu'il va et qu'il vient dans ce plaisir partagé. Les soupirs de Brooke sont exaltants. Ils lui permettent de se détendre un peu plus, de se sentir maître de la situation alors qu'il voit à peine les contours de son visage tacheté dans la pénombre du fin fond du cabaret. Il sait que quand il regardera vers là, il se souviendra de ce jour où il a pu jouir en elle, alors que tout le monde dans son dos sera aveugle, n'imaginant pas une seule seconde ce qu'il a pu se passer ici, et c'est tant mieux. Il garde son rythme soutenu, tient la cadence. Il sait s'y faire, c'est indéniable, il le sait et il assume, quitte à passer pour le plus narcissique des connards. Mais on lui a appris d'être fier de ses qualités alors oui, il l'est. Faut être sacrément con pour pas voir à quel point il fait plaisir à la jeune femme. Plus il continue à la posséder, plus elle gémit et plus ça s'entend dans la salle. Il sent son corps vibrer contre son bassin, provoquant de délicieux frissons jusque dans sa nuque. Il a même laissé ses sens le porter, il a abandonné l'idée de garder les yeux ouverts. Soupir après soupir, gémissement après gémissement, il a pas envie que ça se termine comme ça. Et comme si elle avait lu dans ses pensées, Brooke lui envoie une phrase bien placée. Bien sûr que ça le fait chier, de devoir changer ses habitudes. Et même temps, y'a quelque chose d'excitant à pouvoir voir le plaisir sur son visage jusque dans les derniers instants. Alors, il obéit. Se retire, la retourne avant de revenir plonger en elle, le corps aimanté par le sien après avoir implanté ses doigts dans la masse de son fessier pour la soulever, afin de faciliter une nouvelle pénétration, tout aussi intense que la première. Il peste dans sa langue natale quand il sent cette morsure dans son cou, et qu'il accélère une dernière fois la cadence, ne cessant de se répéter que putain c'est bon, qu'il pourrait la baiser toute la nuit si elle le lui demandait. N'importe où, n'importe quand. Il plaque son corps contre sa poitrine généreuse, plus que d'ordinaire suite à la jouissance qu'il lui propose. Il l'écraserait presque contre ce mur à force de laisser ses pulsions le guider. Encore un coup ou deux, il y va, il se fait pas prier parce qu'il veut entendre son orgasme résonner tout autour d'eux. Il plaque une dernière fois ses lèvres contre les siennes, s'emparant de sa langue puis sauvagement de sa lèvre, alors qu'enfin il jouit et que sa semence se répand tout autour de son membre pour envahir les parois de la jeune femme. Ultime jouissance qui lui a fait trop de bien, même s'il ne l'avouera jamais. Et même si l'envie de rester au chaud au fond d'elle le tente, il doit la quitter. Juste un dernier frottement pour s'assurer qu'il a bien terminé le travail et qu'elle est rassasiée, et il se retire alors qu'il la repose au sol, son pénis revenant pendre entre ses jambes après cet effort qui a bousillé son reste d'énergie pour la journée. « Putain. » jure-t-il malgré lui, reculant d'un pas, tremblant, épuisé. Il passe une main dans ses cheveux déjà collants, la regarde à nouveau, plongeant son regard dans le sien alors qu'il tend la main pour venir caresser son menton, satisfait de cet échange. Oubliés les tracas du quotidien, il a l'impression d'être normal. Il a l'impression que c'est le meilleur moment de sa vie et il veut en profiter avant que toute la tension ne retombe. Subtilement, il revient poser ses lèvres contre les siennes, juste pour avoir le plaisir de lui mordre la lèvre comme récompense à cet ébat plus que satisfaisant.
Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Jeu 23 Mai 2019 - 6:35
Douce sensation de brûlure dans tout ton corps, il ne fait que te regarder et tu sens ton antre se contracter, menacer de te faire jouir rapidement alors que tu luttes contre l'agréable tentation de te laisser aller sous ses gestes agiles. Les doigts dans ton intimité, Sacha ne masque pas le plaisir qu'il prend à te sentir fondre sur lui. Tu gémis alors qu'il fait aller de mouvement précis se main contre tes lèvres du bas, le désir est palpable. Mais ce n'est pas suffisant. Tu veux plus, tu en veux toujours plus, il créer en toi un besoin qui te semble à présent insoutenable. Le lanceur de couteau quitte ton intimité, ses doigts humides se posent sur tes hanches et un instant tu sens une pressante envie qu'il revienne, qu'il ne te quitte plus. Il remplace sa main par son sexe qui te remplit dans un coup de bassin vigoureux, tu sens à présent la chaleur de son corps contre le tien, ses mains empoignantes dans ta chair, il guide tes hanches, tes fesses, pour palier à ses vas et viens qui te vol au passage un soupir de plaisir. C'est bon, ta lèvre bleutée à force de la mordre en est la preuve, tes bras tendus devant toi, les paumes appuyées contre le mur du fond, la tête entre ces dernières, tu laisses le plaisir t'envahir. T'as pas envie que ça se termine, pas maintenant, pas tout de suite, tu aurais voulu que le temps s'arrête, qu'il te baise toute ta vie. Cette sensation n'est pas la même, il te fait du bien, tu le sens ensorceler tout ton corps qui en demandera certainement plus. Plus de lui, plus de ses gestes, plus de ses baisers. Cet égarement qui semblait banal est votre arrêt de mort. Vous êtes foutus, complètement foutus, tu le sais. T'en voudras plus, toujours plus. Rassasiée, tu ne pourras résister à l'envie de le sentir à nouveau en toi trop longtemps. Il devient une drogue, chaque coup de bassin accentue ton manque et tu ne te sens pas prête pour le sevrage, pas de lui. Il caresse tes hanches, défaisant quelque peu son emprise, puis navigue vers tes fesses qu'il empoigne vivement juste avant que tu ne lui ordonnes de changer de position. Tu voulais le voir et sentir son dard en toi, prêt à libérer ses munitions. Tu voulais voir la jouissance sur son visage, exaltation qui lui procurait vos échanges, sa bouche entre-ouverte alors qu'il grognait de ses pulsions. Tu voulais voir celui qui te baisait pour plus jamais te l'enlever de la tête, pour te l'imaginer quand tu te retrouverais seule dans ta caravane avec l'envie de recommencer, pour qu'il hante tes rêves, même les plus érotiques, pour qu'il possède ton corps et ton âme, qu'il ait pour toujours cette emprise sur toi, celle de te faire revenir, inlassablement, vers lui même quand il sera le plus infecte au monde. Il te retourne, tu es plaquée contre le mur. Un sourire se dessine sur tes lèvres alors qu'il te soulève pour te pénétrer à nouveau et tu lâches un cri qui résonne dans la salle. Tu gémis son nom entre les soupires qu'il te provoque, jusqu'à ce qu'il agrippe tes lèvres à nouveau dans une fougue qui te propulse près de l'orgasme. Tu sens ses hanches s'emboiter dans les tiennes, ta poitrine écrasée contre son torse, à lui, qui n'est pas nu, toujours habillée de ce débardeur que tu n'as pas pris la peine de retirer dans ta hâte. T'aurais pu le déshabiller en entier, mais l'envie était trop pressante. La prochaine fois, tu feras mieux, tu contrôleras l'urgence. T'es déjà là à penser à la prochaine fois, alors qu'il n'en a pas terminé avec toi, mais t'y peux rien, il a créé un monstre à te prendre ainsi, un précédent qui mènerait sur des nuits encore plus torrides que tu ne peux t'empêcher d'imaginer. Fais-moi venir, susurres-tu à son oreille juste avant de lui mordre le cou, lui laissant fort certainement les marques de tes dents au passage, seules marques que tu peux laisser sur son corps pour qu'à son réveil, demain matin, il sache que cet après-midi n'avait rien d'un rêve, qu'elle était bien arrivée. Il ne te fait pas prier, augmente ses vas-et-vient, habitant toute ton intimité. Son membre te remplit, au même moment où tu atteins l'orgasme dans un gémissement puissant qui te fait fermer les yeux, qui t'arrache le coeur. Tu laisses les sensations te combler, profitant de chaque décharge de satiété de sa lance qui t'a heurté, réchauffée, vidée, et ton coeur se met à battre beaucoup trop fort dans ta cage thoracique alors que ta respiration, elle, est saccadée. Il se vide, puis te fait retrouver le sol. Tes jambes sont molles, tu souffles un coup alors qu'il jure. Sans savoir si c'est un compliment, ou pas, tu le fixes, un rictus satisfait au coin des lèvres. Il daigne te toucher, plus doucement qu'il la fait depuis le début, caressant la peau de son visage juste avant de retrouver tes lèvres, une dernière fois. T'as pas envie de le voir se séparer, mais il recule, il te laisse respirer, juste après avoir mordue la commissure de tes pulpeuses. Il recule et tu te laisses glisser contre le mur, les bras au-dessus de ta tête, les jambes beaucoup trop faibles pour tenter de marcher et récupérer tes vêtements. Tu fermes les yeux en reprenant ta respiration, ta tête tourne si rapidement. Mais qu'est-ce que vous avez fait ? Vous veniez de briser le rapport professionnel que vous auriez dû vous efforcer de maintenir et, maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière. Tu es déjà accro de lui, de son corps et de ses baisers. Cet endroit, c'est le vôtre à présent. Même si des dizaines de personnes y passent, avant, pendant, après le show. Cette parcelle de la scène, elle vous appartient, marquée de vos ébats, de vôtre désir qui est né d'une provocation et qui n'est pas prêt de faner, du moins, pas pour toi. Mais tu ne sais pas encore dans quoi tu t'embarques, dans quelle merde tu t'es fourrée. Patience, tu le découvriras bien assez rapidement. Pour le moment, tu profites des dernières minutes de calme avant de devoir te relever et te rhabiller. Les confessions sur l'oreiller, ce n’est pas ton genre, en tout cas, normalement, mais aujourd'hui, tu te sens à discuter. Ça va ? Lui demandes-tu, alors qu'il t'a interdit de le faire au début de vos échanges. Tu t'en fiches, il avait du mal à respirer, quelques minutes plus tôt. Puis, depuis quand tu écoutais lorsqu'on t'interdisait quelque chose ? Après quelques minutes à reprendre un souffle quasi normal, impossible puisque Sacha se trouvait encore dans la même pièce que toi, à présent sa simple présence était suffisante pour affoler ton système central, tu finis par te lever et récupérer tes vêtements, lui lançant son caleçon au passage afin qu'il cache son membre des yeux voyeurs qui pourraient passer par-là. Tu enfiles ton short et ton haut, et tu t'approches de lui, joueuse, pour y déposer ta culotte dans la poche arrière de son jean, juste avant de lui voler un dernier baiser. De cette façon, tu t'assures qu'il n'oublie pas votre union, jusqu'à la prochaine fois.
HJ : j'ai peut-être exagéré dans le nombre de mots, pardon du coup, en fonction de ta réponse, je pense qu'on pourra conclure ce sujet et en ouvrir un autre, si le coeur t'en dit ? parce que, je ne peux me passer de ce duo-là.
Invité
Sujet: Re: play with your life (hot) |ft brooke Dim 26 Mai 2019 - 1:44
+18 - hot:
play with your life
Le sexe est un doux poison pour tout le monde, un peu plus pour ce duo maléfique qui rêve de baiser plus que tout l'après-midi. Sacha a faim, il a envie de la sentir contre lui, de se sentir en elle encore et toujours. A chaque fois qu'il donne un nouveau coup de bassin, il se sent flancher. Il sait qu'il devrait pas, que c'est pas bon pour lui parce qu'il s'est déjà brûlé les ailes à ce petit jeu, et pas qu'une fois. Sauf qu'il veut pas penser à toutes ces autres fois, et de toute façon, il a pas le temps pour ça. Parce que Brooke, en face de lui, avec sa chevelure rousse est en train de laisser une marque indélébile dans son âme et dans son cœur sans même le savoir. Alors qu'il va et qu'il vient, excité par ses gémissements et ses soupirs incessants qu'il lui provoque, en réprimant lui aussi au passage, il sent que ça lui fait du bien, et pas que sur le plan charnel. Les coups s'enchaînent et ne se ressemblent pas. Elle est fascinante, cette femme, quand il y pense. Il lui a suffi d'un coup d'oeil pour avoir eu envie de se jeter sur elle. Pour que leurs corps ne fassent qu'un, comme aujourd'hui. Il savait que c'était une mauvaise idée, que de l'accepter comme assistante. Et en même temps, il s'était douté qu'elle refuserait pas ses avances, du moins, pas assez longtemps pour que ce soit politiquement correct. Il savait aussi qu'elle lui apporterait des problèmes. Ils n'étaient pas en train de se donner mutuellement du plaisir sexuel pour rien, au milieu d'un lieu public. Encore un détail grisant, qui ne faisait que l'aider à bander un peu plus, à faire gonfler son membre pour qu'il s'accorde parfaitement avec le vagin de la jeune femme. C'était comme s'ils étaient faits l'un pour l'autre, pour s'emboîter et ne plus jamais pouvoir se séparer. Sauf qu'il sait qu'il peut pas tenir plus longtemps. Maintenant qu'il l'a retournée, elle a de quoi le griffer, le mordre, lui sucer la peau alors qu'elle souffle son nom. Il se délecte de tout cela mélangé, et qui est mille fois plus agréable que l'alcool, la drogue ou les médicaments réunis. Si seulement elle savait. Et puis, elle passe son temps à lui soupirer à l'oreille. A se mouver sous lui comme un serpent, et sa peau est douce, humide aussi, et son odeur trop parfaite que ça déclenche chez lui le dernier travail. L'érection en conclusion de leur ébat houleux et imprévisible. Le premier d'une long série pendant lesquels ils pourront réaliser leurs plus grands fantasmes, sans qu'aucun tabou ne vienne se glisser entre eux. Parce que cet orgasme, il l'a fait jouir lui aussi, plus fort qu'il ne l'aurait espéré, bien que le cri de Brooke soit le seul à résonner encore quelques secondes dans la pièce. Là, il est satisfait, pleinement, d'avoir accompli un tel travail. La Bête est fière, calmée aussi de ses pulsions. Qu'est-ce que ça lui a fait du bien, de s'oublier un instant et de se déverser ainsi pendant de longues minutes qui lui ont semblé être des heures, et pourtant trop courtes. « Ouais, ça va. » qu'il répond, sans daigner retourner la question. Il la regarde, se demandant si elle va bouger ou rester écroulée sur ce mur, à la vue de tous. C'est pas son problème, dirait-il, mais quand même. Il vient se laisser choir à côté, juste le temps de lui aussi retrouver sa respiration et de se remettre de ses émotions. De comprendre qu'ils étaient censés être collègues, qu'il allait devoir la mater tous les soirs sur cette roue, menaçant de la tuer, menaçant de laisser le désir affluer en la regardant ainsi soumise à ses lames. Se rendant compte qu'il aura toujours besoin de plus, son corps jamais à l'abri du désir insatiable. Il ferme les yeux, ça va beaucoup mieux. Après ce genre de moments, ça va toujours mieux, de toute façon, parce qu'il a plus la force de crier sur qui que ce soit, ni celle de de frapper. Mais y'a toujours un moment où il doit se relever, quand il voit que Brooke le fait. Il attrape son jean, le caleçon qu'elle lui lance et enfile tout ça, galérant bien à cause de son corps collant de sueur. Même son débardeur était bon à foutre à laver. Il avait presque oublié que ce dernier cachait ses tatouages. Tant pis, lui faut plus qu'un débardeur pour l'empêcher de faire l'amour à qui que ce soit. Il sourit quand la jeune femme revient pour, cette fois déposer sa culotte dans sa poche, puis un baiser sur ses lèvres. C'est doux, mais il dit rien. Il la regarde juste, sourcil relevé alors qu'un sourire éclaire son visage. Cette culotte, c'est le signe qu'ils vont recommencer. Il lui met une petite claque sur les fesses et attrape fermement sa mallette à couteaux. « On se voit demain. J'espère que tu seras en forme. Et, oh, ne t'attends pas à récupérer ta culotte. Elle est à moi, maintenant. » petit clin d'oeil charmeur et il quitte la scène, avec le même pas d'artiste qui le définit tant, le dos droit, fier d'être lui-même.