love me like you do • beth

C'est impossible que je me lasse de toi. Comment pouvait-il affirmer avec certitude ne jamais pouvoir se lasser d'elle. Beth était sans doute la femme la plus ordinaire qu'il avait rencontrée. Elle n'avait rien de ces autres conquêtes qu'il avait pu avoir dans ses bras. Et elle l'affirmait sans même avoir eu à les rencontrer. C'est qu'elle se connaissait, elle savait où étaient ses faiblesses, à commencer par les moments intimes qui l'angoissait. Elle n'avait jamais été la plus douée dans les relations intimes, même avant Ivy. Mais à présent, la belle Anglaise était d'autant plus inquiète quant à non seulement son corps, mais aussi ses compétences. Zak avait eu plusieurs compagnes dans la dernière année, il lui avait même confié ne pas avoir eu de relation de longue durée dans sa vie, alors que Beth, elle, pouvait compter ses partenaires sur les doigts d'une main, d'un doigt, même. Elle craignait de ne pas être à la hauteur de ses attentes, lui qui semblait la mettre sur un piédestal depuis leur rencontre, qu'adviendrait-il si elle le décevait ? Quand il lui confia qu'elle était la femme la plus sensuelle qu'il avait eue dans ses bras, Beth esquissa un sourire à la fois gêné, mais aussi très peu confiant. « Ne dis pas n'importe quoi.... », murmura-t-elle. Le pire qu'il pouvait faire, c'était de lui dire ce qu'elle voulait entendre que pour apaiser ses peurs. Heureusement, Zak n'était pas de ce genre. Et au fond d'elle, la traductrice savait bien que s'il lui avait confié cet aveu, c'était qu'il le pensait avec certitude. C'est peut-être ce qui motiva la brune à se laisser enfin aller, à le surplomber de sa toute petite stature, le chevauchant pour retrouver les lèvres du cuisinier dont la barbe venait chatouiller son visage, douce sensation qui attisait le désir qu'elle éprouvait pour lui, grandissant dans son bas ventre à chaque fois que leurs langues venaient à se rencontrer. Désir qui contrôla le reste de ses actions, la main de Beth qui glissait dans le short de bain de son partenaire pour venir caresser du bout des doigts, montrant toute sa timidité, le membre déjà érigé de l'homme. Et comme si cette caresse lui avait procuré des électrochocs, Zak s'était aussitôt redressé, retrouvant à nouveau les lèvres délaissées de sa douce, entre ses soupirs de soulagement. Elle se montrait maladroite, caressait son membre d'une manière dont il ne s’était sans doute pas fait caresser depuis longtemps, des années, voir, témoignant de l'inexpérience de Beth. Mais elle tentait, du mieux qu'elle pouvait, de lui faire autant de bien, voire même plus, que ces autres femmes. Elle avait refermé sa paume autour du pénis de Zak, augmentant ses caresses. Mais elle y arrivait difficilement maintenant qu'il avait pris d'assaut sa poitrine, la libérant du haut de sa tenue de bain mouillée. Il caressait ses seins qui durcissaient pour lui et dont les mamelons pointaient fièrement vers le ciel étoilé de fin de soirée. Beth aussi laissait s'échapper un gémissement de désir. Mais quand elle sentit qu'il était prêt à aller plus loin, elle stoppa ses caresses, croisant le regard du brun avec une détresse évidente. « Pas ici, s'il te plait », murmura la jeune femme entre deux soupire. Ça lui rappelait cette photo de la belle brune sensuelle qu'il avait mise sur ses réseaux sociaux, celle qui la montrait à moitié habillée sur la terrasse de sa maison. Et ce dont Beth voulait, c'était de se sentir spéciale, unique, aux yeux de Zak. Et ça ne pouvait se faire sur les dalles près de sa piscine ou sur cette terrasse dont la photo de Gisella hantait l'Anglaise. Elle se laissa guider par l'homme vers l'intérieur de la maison où, déjà, elle se sentait mieux. Non pas qu'elle ne se doutait pas qu'il y avait amené des filles au courant des derniers mois. Mais au moins, celles-là n'avaient pas fait office de photos sur le web sur lesquelles elle avait pu tomber. Dans le séjour, devant le canapé, Beth se leva sur la pointe des pieds pour retrouver les lèvres de Zak, perdues depuis trop longtemps, qu'elle dévora, cherchant à tâtons les cordes du short de bain de l'homme qu'elle fit tomber contre ses jambes. « Est-ce que tu aimerais que... », demanda-t-elle dans un chuchotement, presque comme l'interdit. « Est-ce que tu voudrais une fellation ? » Elle était à nouveau maladroite. La plupart des femmes ne demandaient pas, elles se contentaient d'offrir. Mais Beth, elle avait si peur de faire de travers, de ne pas savoir interpréter les signaux, qu'elle avait demandé d'une voix tremblante la permission de laisser ses baisers parcours le torse de l'homme pour se terminer contre sa verge dont elle prendrait possession.

Beth était loin d’être la femme la plus ordinaire que j’avais rencontré et j’étais bien décidé à le lui faire comprendre, par n’importe quel moyen.
— Je ne dis pas n’importe quoi, lui assurai-je avec un sourire sincère.
Beth avait du mal à croire ce que je lui disais, et c’était normal. Son manque de confiance en elle, l’insécurité qu’avait laissé son ancienne relation, sa grossesse qu’elle avait subi dans un premier temps, tout ça l’avait fragilisé et Rome ne s’était pas fait en un jour, sans doute lui faudrait-il du temps avant qu’elle ne me prenne au sérieux car je lui disais qu’elle était belle, qu’elle était sensuelle. Mais un jour viendrait où elle ne douterait plus de mes paroles, j’en étais certain. Un jour viendrait où elle aurait renouer avec son corps, avec sa féminité, avec ou sans moi d’ailleurs, c’était tout ce que je souhaitais. Certes, j’avais eu des femmes magnifique dans mes bras, Gisella étant la dernière en date, mais je pensais vraiment ce que je venais de dire à Beth. Elle était d’une sensualité à couper le souffle, et son petit côté ingénue d’ailleurs, n’y était pas pour rien. Je craquais littéralement pour elle. Cette attirance, nous la partagions visiblement, et Beth se fit tout à coup plus entreprenante, à mon plus grand plaisir. Je répondis à sa fougue avec tout le désir qui m’animait, puis ses lèvres que j’étais jusqu’alors occupé à dévorer formulaire une requête. Pas ici, s’il te plait. Bien sûr…j’aurais du deviner que l’idée de faire l’amour au vu et au su de mes voisins, même s’ils étaient lointain et n’avait aucun vis à vis avec mon jardin, pouvait la mettre mal à l’aise.
— On rentre, la rassurai-je avec tendresse, tout en passant une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
La séparation de nos deux corps fut courte mais je la vécus comme une torture, un manque que Beth vint combler aussitôt que nous furent rendu dans le séjour néanmoins. La belle anglaise m’embrassa et je lui rendis ce baiser avec encore plus d’envie lorsque je sentis ses doigts jouer avec les lacets de mon short de bain, juste avant que celui-ci ne tombe au sol, donner à Beth un accès libre sur mon érection. La température de mon corps grimpa encore davantage quand Beth proposa, avec une timidité que je lui connaissais bien, de m’offrir une fellation.
— L’idée est très tentante, admis-je, coulant sur elle un regard suave.
Et c’était peu de le dire. L’image qu’elle avait induit dans mon esprit était délicieuse et menaçait de laisser s’envoler tout le self-control que je tâchais malgré tout de garder.
— Mais…en fait, j’ai encore plus envie de toi
Sans lui laisser le temps de répliquer, je la rapprochai de moi, la tenant fermement par la taille et collai mes lèvres aux siennes dans un baiser passionné. Passant un main sous sa cuisse nue, je la soulevai de terre pour la tenir dans mes bras et la conduire jusqu’à ma chambre, sans quitter sa bouche un seul instant. Je la déposai sur le lit, non sans éprouver une certaine satisfaction de la tenir là, et laissai mes mains parcourir son corps, lui retirai ce maillot rouge qui m’avait rendu fou. J'observai ses courbes féminine, son corps hypnotisant qui s'offrait à moi.
— T'es magnifique, Beth déclarai-je dans en souffle, juste avant d'embrasser sa bouche à nouveau.
Mes baisers migrèrent dans sa nuque, puis sur ses seins magnifiques que je vins taquiner de ma langue. Mes doigts, quand à eux, se frayèrent un chemin entre ses cuisses où j’entrepris de langoureuses caresses, impatient de la sentir réagir contre moi.

Chaque fois qu'il tentait de la rassurer, Beth, elle, se rabaissait, remettait en question les aveux de Zak. Parce qu'elle avait été bernée, par le passé, et que cette histoire avait fini par la marquer bien plus qu'elle ne l'aurait cru. D'abord, on lui avait fait croire qu'elle valait bien plus qu'elle représentait, mais aussi, elle les avait toutes entendues, ces feel good phrases. Rafael avait été le premier à le lui dire, qu'il ne pourrait pas se passer d'elle, que la différence d'âge n'était pas un problème, qu'il ne viendrait jamais à se dire qu'il aurait envie d'autres choses dans sa vie. Et malgré toutes ces belles paroles, elle s'était retrouvée seule pour affronter sa grossesse. Partiellement par sa faute, oui, à force de lui avoir caché la vérité elle l'avait perdu, mais pas que. Beth n'avait pas forcé Rafael à lui dire ce genre de choses, elle avait tenté de se protéger de lui, de son coeur qui pourrait se briser s'il venait à la quitter, en le repoussant. Et, finalement, elle avait eu raison de douter. Alors, de lui demande de croire Zak du premier coup, c'était aussi de ne pas comprendre par où elle était passé avant lui. Et quand bien même qu'il était sincère, Beth aurait besoin de temps. Seulement, quand il lui assura d'un ton non pas autoritaire, mais ferme, qu'il ne lui disait pas n'importe quoi, elle avait envie d'y croire, elle avait envie de se laisser bercer par cette feel good phrase. C'était sans doute dangereux, c'était de mettre son coeur à risque. Et son coeur, il battait la chamade, il voulait exploser dans sa poitrine, il criait, il hurlait. Ses joues, quant à elles, étaient redevenues aussi rouges qu'à son arrivée. Elle aurait voulu lui répondre, mais les mots lui manquaient. Et l'expression sur son visage était suffisante pour lui faire comprendre qu'elle acceptait de se laisser aller. Quant à son corps, elle le lui offrait, sans résister, sans se cacher, elle le laissait s'occuper de sa poitrine alors qu'elle lui offrait de douces caresses jusqu'à ne plus supporter cette pression dans son bas ventre, l'envie qui grondait mais qui était paralysée par l'idée de faire l'amour sur le bord de la piscine. Il l'aida à se relever du sol et la guida jusqu'au séjour où enfin ils retrouvèrent la proximité perdue. Entreprenante, leurs lèvres se retrouvèrent dans un baiser initié par la traductrice qui plus est libéra l'homme de l'emprise de son short de bain. Sans même oser jeter un oeil à son membre maintenant dépouillé de vêtements et clairement brandi contre sa cuisse, elle se lança dans une demande qui ne lui ressemblait pas, ces mots qui ne faisaient pas partie de son vocabulaire. Et, pourtant, elle le lui offrait, voulant lui faire du bien, voulant lui procurer du plaisir, volontaire pour lui faire perdre la tête comme il la lui faisait perdre. Peut-être aurait-elle dû éviter de demander, laisser son short tomber aux pieds du cuisiner, descendre langoureusement à la hauteur de sa verge et lui offrir ce qu'elle lui proposait, enrober son membre de ses lèvres, du mieux qu'elle le pouvait, comme toutes les autres femmes le faisaient, sans timidité, sans permission. Parce qu'il lui refusa un tel accès et, dans son manque de confiance, déjà, elle s'imaginait que son manque d'expérience avec les hommes et son inactivité sexuelle des derniers mois avaient dissuadé Zak de lui laisser lui faire du plaisir. Elle n'eut pas le temps de répondre, il l'avait déjà pris d'assaut dans ses bras, ses lèvres qui venaient plaquer des baisers plus chauds contre les siennes, pour la guider vers sa chambre, expérimenté. Ça paraissait qu'il l'avait fait avant, prendre une fille dans ses bras comme ça, la guider pour l'étendre sur son lit. C'était plus fort qu'elle, Beth ne pensait qu'à ça, se disant qu'elle serait sans doute moins douée que la dernière à qui il avait réservé ce traitement. Mais elle choisissait de ne rien dire, parce qu'elle ne voulait pas gâcher le moment, parce qu'elle avait envie de lui, parce qu'elle se faisait du mauvais sang pour rien. Dans la chambre, lumières presque éteintes, il équilibra leur nudité, retirant le maillot de bain de Beth pour ainsi s'aventurer sur son corps. D'abord, il retrouva à nouveau ses lèvres pour ensuite faire une avalanche de baisers sur sa peau qui se hérissait alors qu'il lui murmurait des douceurs. Elle aurait voulu lui dire qu'elle l'aimait, mais c'était trop tôt. Mais elle ne répondit que simplement : « Tu es tellement beau », sur le même ton qu'il avait emprunté, laissant les douces sensations de ses baisers l'envahir. Et bien vite, sa respiration se fit plus insistante, plus saccadée, plus rapprochée. Il s'attaquait à son intimité, cette entre qui n'avait pas beaucoup été touchée. Le dos de Beth se cambrait déjà et à peine il l'eut embrassé que la belle gémissait. Et plus il l'embrassait, plus les gémissements grandissaient. Beth se tortillait, poussant son intimité contre la bouche de Zak, en redemandant presque plus encore. « C'est bon... », murmurait-elle entre ses soupires. « Mais.. mais moi aussi je veux te faire du bien », réussit-elle à articuler, « c'est injuste... » Mais c'était trop tard, elle ne voulait plus qu'il arrête, il était sur le point de la faire atteindre le septième ciel. Ses gémissements se transformaient en cris timides, entre ces derniers elle réussit à lui demander : « n'arrête pas... »

Bien sûr, il y avait eu d’autres femmes. Certaines d’entre elles avaient compté, d’autres moins. Il y en avait même que ma mémoire avait balayé. Je n’étais pas fier de l’admettre mais c’était vrai. En fait, je pouvais même compter sur les doigts de la main, celles qui avaient vraiment eu de l’importance, car si j’essayais de faire en sorte que chacune de mes partenaires se sente bien avec moi, si je leur accordais toute l’attention qu’elles méritaient, pendant l’acte, cela ne se prolongeait pas systématique après le retour à la réalité. C’était comme ça. Les âmes étaient parfois faites simplement pour se croiser, pour passer un moment bref ensemble, quand d’autres étaient vouées à des relations plus longues. On ne pouvait jamais prévoir au fond. Mais avec Beth, je sentais que c’était différent. Je ne savais pas tout à fait l’expliquer, peut-être même que les mots n’existaient pas encore pour décrire ce que je ressentais en regardant la belle anglaise, en étant prêt d’elle, en la tenant dans mes bras. Je pouvais toutefois identifier très clairement le bonheur, la joie intense qui m’emplissait dès que mes yeux se posait sur sa silhouette que je trouvais, moi, parfaite. Ce corps que je pris le temps de regarder, de m’approprier, avant même d’y apposer mes caresses. J’aimais tout, les courbes, les creux, l’harmonie parfaite. Je parcourais sa peau de mes mains, lentement, prenant le temps d’appréhender la texture du derme, sa douceur et ses recoins. Les réactions de Beth furent quasiment instantanés dès lors que mes doigts trouvèrent le chemin de ses chairs intimes que je caressais lentement, insistant sur ses points sensibles que je m’appliquai à stimuler. Ma langue, très vite, prit le même chemin, arrachant à la jolie brune quelques gémissements qui me grisèrent. J’aimais le son qu’elle faisait lorsqu’elle exhalait son plaisir, presqu’un couinement de souris que je trouvais charmant et qui m’envoûtèrent aussitôt. Et quand elle me supplia de ne pas m’arrêter, je ne pus faire autrement que de répondre à sa requête. J’appuyai davantage mes caresses, embrassant ses lèvres intimes, titillant de la langue son clitoris, alternant le rythme, tantôt urgent, tantôt beaucoup plus lent.

Et chaque fois qu'elle se mettait à penser à ces autres femmes, tout le corps de l'Anglaise se crispait, s'arrêtait de prendre goût au plaisir qu'il lui apportait, presque paralysée. Il pourrait si facilement la comparer, se remémorer que dans ses draps il y avait eu plus belles, meilleure, plus sensuelles, plus à l'aise avec son corps, plus excitantes que la jeune femme. Et Beth, elle, elle n'avait rien d'équivalant. Pas d'autres conquêtes avec qui comparer et pas non plus envie de le faire. Ce moment avec Zak était précieux, c'était sa façon de lui faire comprendre qu'elle avait assez confiance en lui pour que leur histoire avance, sa façon de lui offrir son coeur sans avoir à prononcer les mots qui la rendrait peut-être trop officielle. Quand le cuisinier posait les yeux sur Beth, elle voulait croire que toute cette histoire était différente des autres qu'il avait pu connaître, que les femmes qui avaient pu passer dans son lit ou dans sa vie n'avaient plus d'importance à présent et que toute cette place lui était destinée. Elle avait envie, pour une fois, qu'une seule fois, d'être la première dans le coeur et dans la tête d'un homme, celle qui comptait plus que tout, celle pour qui on ferait tout, même les plus idiotes folies, celle qui faisait tourner la tête, qui donnait chaud rien qu'à la déshabiller du regard. Et quand Zak posait ses mains sur elle, Beth en avait l'impression. Quand il posait ses lèvres contre son intimité, jouant de sa langue pour faire frémir son corps tout entier, elle oubliait ces autres, ses doutes et ses tracas. Les gémissements de Beth étaient plus constants, plus saccadés, plus rapprochés. Ses mains étaient d'abord venues se poser au-dessus de sa tête, agrippant la tête de lit fermement, lèvres mordillées au passage, avant de se glisser, alors que tout son corps était en transe, vers les cheveux de Zak qu'elle décoiffait alors qu'il continuait à faire monter son désir. « Oui... », soufflait-elle alors que son orgasme était au bord de ses lèvres intimes. Ses jambes se resserrèrent contre les joues du Canadien, son dos s’arquait sous les gémissements de plaisir de la brune dont l'intimité s'appuyait fermement contre la bouche de Zak pour mieux profiter des sensations qui déclenchaient en elle des tremblements. Alors qu'il remontait sur le corps de Beth, elle caressait son torse dont les abdominaux définis étaient plus crispés par l'effort de la surplomber, avant de venir embrasser ses lèvres pour goûter à son plaisir incrusté sur le sourire de son amant.