KALIOPE&BALTHASAR + la famille c'est pas si important !

Balthasar lâcha un petit rire méchant et sournois à la réponse de sa cousine, il la trouvait vraiment...conne en fait oui c'était le mot. Il la regarda, haussa des épaules. Son verre arriva, il le sirota doucement et dit « Je comprendrais jamais rien moi. Je sais pas mais regarde, quel plaisir tu as a te frotter contre quelque chose que tu possèdes déjà ? Autant te faire du plaisir toi même, comme moi je fais quand je n'ai pas mon compta de sexe de la journée » Il préféra boire à nouveau une gorgée, surtout pour se dire de se taire qu'autre chose.

Tiens d'un seul coup il s'interresse à moi. Je le regarde et je fais les yeux étonné. Je lui réponds alors Excusez de préféré me frotter contre un intimité féminin que d'avoir un pénis dans mon vagin. J'ai aps d'expliquation à te donner Maccoghlan ! Je lui lance et je me lève. J'vais y aller si tu préfères .!

Balthasar la regarda de son regard noir, et il se retint de la frapper pour son insolence et ses airs supérieurs de Sainte Nitouche avec lui. Il finit d'un trait son verre, se leva et lui lança « Nan c'est moi qui part, tu commences à m'énerver Stendort en plus t'es moche donc ça n'arrange pas les choses » Puis il posa un billet sur le comptoir, et fit quelques pas vers la sortie et une fois sur le pallier de la porte lui dit « Adieu lècheminou » Il espérait qu'elle se fasse tuer dans la nuit, donc c'était pour cette raison qu'il lui faisait ses adieux.

Sa y est, il m'a cherchait. Je le vois partir dehors et je cours vers lui allent passer mes bras autour de son cou saans trop rien faire. Va te faire foutre. Tu sais quoi ? Je suis lesbienne et je suis fière de l'être, j'en ai pus que marre que tu te fotues de ma gueule. Je serre un peu mes mains en lui donnent un coup de peid entre les jambes

Balthasar la repoussa avec force, mais qu'est-ce qu'elle pouvait être chiante comme fille sérieux ! Il l'écoutait à peine voire même pas du tout mais le fait qu'elle lui donne un coup entre les jambes n'allait pas passer. De colère, il lui tira les cheveux et lui donna une grosse baffe de façon à ce qu'elle dise bonjour au sol. « T'es qu'une trainée Stendort, tu oses me frapper alors que je dis tout ça pour toi tu sais. Tu fais honte à notre famille, tu n'es même plus de ma famille même tes parents renient ce que tu es vraiment, ce que franchement tu mérites pas de vivre et tu mérites encore moins que je t'adresse la parole. Vaut mieux que tu crèves ! » Il lui donna un coup de pied dans le dos et lui cracha au visage, puis il monta sur sa moto, se dirigeant chez lui pour passer une merveilleuse nuit de sommeil.

Se dernier me pousse puis me donne une belle biffle au visage. Puis les cheveux tiré je me ramasse au sol lachent un grand cri de désespoire. Je ne lui réponds pas sentent les larmes me coulaient. Son coup de pied au dos me fait très mal pendant que je le regarde sans allait. Je prend mon numéro, appellent les flics...(a)