Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Ven 16 Juin 2023 - 15:38
Arielle & Orso
Ce p'tit truc avec Orso, ça avait fait son temps. Trois ans de torture. Bon, j'exagérais quand même, mais je luttais contre mes sentiments et mon attirance pour lui depuis un long moment quand même. Évidemment, c'était pas que négatif, on avait réussi à se bâtir une belle amitié solide à travers tout ça. J'avais juste l'impression parfois de pas pouvoir en profiter pleinement parce que bon, j'me retenais un peu. Et pourtant, c'était con. J'avais toujours eu un brin d'espoir même en sachant qu'Orso, il voulait pas de relation sérieuse avec quiconque. J'avais donc toujours fait point d'honneur de lui résister, surtout qu'il venait de confirmer que c'était un jeu. En voyant ma réaction, Orso il était clairement confus. Et bien franchement, moi aussi j'étais confuse parce que jamais en trois ans j'avais été aussi près de l'embrasser que là. J'trouvais quand même encore le moyen de résister, entrainant une bataille avec moi-même dans ma tête, et un peu à l'extérieur aussi pour être bien honnête. J'l'avais déjà vu de près Orso, j'avais déjà eu des contacts physiques avec lui. Une main sur ma cuisse, nos épaules ou nos jambes qui se touchent. Ce genre de p'tits trucs. Mais là, d'être AUSSI près, d'avoir ses mains sur mes hanches.. Ça m'troublait ouais. J'savais plus comment agir on dirait, comme si Arielle n'était plus présente dans ce corps. D'ailleurs, avec l'alcool consommé c'était un peu ça en fait. J'me concentrais surtout sur ne pas poser mes lèvres sur les siennes. Mais c'était dur. Et si j'avais résisté aussi longtemps, ben là j'en avais plus la force. Alors après quelques hésitations, c'est d'un pas bien déterminé que j'allai à sa rencontre pour attraper sa nuque et enfin, l'embrasser. C'était bien overdue ce baiser et ça se transmettait dans l'ambiance et dans la durée aussi. J'arrivais plus à me détacher de lui alors que ses mains avaient glissé dans mon dos pour m'attirer contre lui. C'était presque comme un soulagement d'enfin se laisser aller à ça. En me rendant compte du bien que ça faisait, j'aurais peut-être pu me laisser aller avant. Cette pensée là, c'était surtout parce que l'alcool floutait ce qui viendrait après : m'attacher un peu plus et éventuellement m'faire briser le coeur probablement. Mais c'était un problème pour plus tard ça. Pour l'instant, j'me concentrai sur Orso qui se détachait lentement de moi et qui appuya son front contre le mien. J'repris doucement mon souffle et fit un petit sourire. '' C'était horrible. Plus jamais. '' déclarai-je avant de me mettre à rire. J'allai capturer ses lèvres une nouvelle fois, pour un baiser un peu plus court cette fois, mais tout aussi intense. J'me décalai à nouvau pour bien le regarder et je plissai des yeux. '' J'voulais juste vérifier si ça allait être mieux la deuxième fois. '' commentai-je avec un sourire amusé. J'haussai les épaules et détournai le regard. '' Bof, pas vraiment. '' finis-je par dire. J'voulais juste le chercher un peu parce que la vérité c'était que... C'était un sacré bon baiser.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Mar 20 Juin 2023 - 20:42
Si j'étais tout seul à jouer , j'crois que Arielle, elle était toute seule à se battre contre elle-même. Moi j'comprenais pas pourquoi c'était aussi terrible de finir par m'embrasser. J'me rendais pas compte de toutes les barrières qu'elle s'apprêtait à laisser tomber. Moi, j'voyais juste l'instant. J'voyais juste cette soirée, avec sa bonne ambiance, la musique, l'alcool, et nous deux. C'était ça qui comptait à ce moment là. C'était pas si souvent qu'on faisait la fête ensemble avec Arielle. On savait chacun que le passé de l'autre était un peu glissant concernant certaines dérives. Mais là, c'était plutôt safe. Il n'y avait que de l'alcool et aucune drogue susceptibles de nous faire plonger. On était bien, tous les deux, et à mesure que les minutes avaient avancées, on avait formé une bulle autour de nous. On s'était rapproché, Arielle avait fuit, et puis on avait fait le point. Ce jeu que j'croyais commun, il était juste à sens unique. Et puis, à force de se dévorer du regard, nos lèvres avaient finis par entrer en contact. Ce baiser, il était pas du tout timide, il était plutôt intense, comme si ça faisait trois ans qu'on attendait ça. Nos lèvres se séparèrent et j'lui posais une question, le sourire aux lèvres. J'savais bien que j'étais en train de tendre une nouvelle perche à Arielle pour être désagréable, mais ça m'amusait bien. Sa réponse, elle m'arracha un sourire et j'le sentais bien que c'était pas tout à fait la vérité. Arielle prit une nouvelle fois possession de mes lèvres, quelques secondes, tout aussi intenses avant de se reculer une seconde fois. J'rentrais dans son jeu, parce que j'voyais pas du tout l'intérêt de faire le mec offusqué. J'faisais mine de réfléchir et je finissais moi aussi par hausser les épaules. "Ouais t'as raison, c'était vraiment pas ouf. J'm'attendais à mieux." J'la regardais, avec un p'tit air amusé au fond des yeux, mais j'tentais de rester tout à fait sérieux. En vrai de vrai, j'en aurais bien repris encore un peu, parce que la sensation des lèvres d'Arielle sur les miennes, elle est vraiment agréable. J'me décalais un peu, histoire de reprendre une petite gorgée de Chianti. Puis j'plantais mon regard dans celui d'Arielle, la défiant du regard. "Ca te dis, on va danser? Mais plus de baiser entre nous, c'est bien clair?" En vrai, j'espérais bien regoûter à ses lèvres assez rapidement, mais j'trouvais ça juste amusant d'faire monter encore un peu plus la tension entre nous. J'lui faisais un petit signe de tête et posait ma main sur sa hanche pour l'amener vers le salon, où une bonne partie des invités dansaient déjà.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Jeu 22 Juin 2023 - 22:47
Arielle & Orso
J'savais pas ce que ça signifiait d'avoir enfin craqué. Clairement, pour lui, rien. Enfin, il avait gagné son p'tit jeu. Mais pour moi? Est-ce que j'allais enfin passer à autre chose ? Est-ce que cette attirance elle ne ferait que s'intensifier? Est-ce que j'pourrais plus me passer de ses baisers? J'en savais rien, mais une option me plaisait bien plus que les deux autres, c'était certain. Orso, il n'était pas prêt pour une relation amoureuse, c'était encore un gamin. Il voulait s'amuser, avoir le plus de conquêtes possibles et faire le con. C'était une mauvaise idée de m'attacher à lui, mais ça s'était fait bien malgré moi. Comme ce baiser ce soir. Ça avait été plus fort que moi et disons qu'avec l'alcool ingéré, j'avais pas été bien forte. J'avais l'impression d'avoir dévoilé toutes mes cartes, que c'que je ressentais était une évidence, mais on parlait d'Orso là. Clairement, il pensait juste que j'voulais pas le laisser m'avoir si facilement et que là, le challenge était surmonté. Même pas certaine qu'il m'accorderait un regard maintenant que c'était fait. Ou peut-être que le but de son jeu, c'était que je finisse dans son lit avant d'arrêter toute tentative de drague. Difficile à savoir, mais j'imagine que j'aurais ma réponse éventuellement. En attendant, j'avais craqué et j'devais vivre avec ça. Surtout que ce baiser, il avait été vraiment bon. Enfin ce, j'devrais dire ces. Bah oui j'avais pas été capable de m'en tenir qu'à un et au final, Orso et moi on était plutôt d'accord. C'était pas ouf et on recommencerait pas. « J'sais vraiment pas ce qu'elles te trouvent toutes ces filles. » lui dis-je en lui tirant la langue. C'était comme le jeu des contraires nos paroles là. Orso il reprit une gorgée de son verre, moi j'repris une gorgée de la bouteille. C'était la même chose. Il m'offrit d'aller danser et moi, j'sentais que j'pourrais plus rien lui refuser de la soirée alors ma tête, elle s'hocha toute seule. « Oh c'est clair, on m'y reprendra plus t'inquiètes pas. » lui dis-je avec un petit air faussement dégoûté. Sauf que la vérité, c'était que j'demandais juste ça, recommencer. Fallait que je me gère. C'est avec sa main sur ma hanche qu'on retourna là où tout le monde dansait. La fête était bien levée et j'lui pris la main pour qu'on se faufile dans la foule. On était à l'étroit et bien vite, j'me retrouvai très près d'Orso pour éviter un peu toutes les mains baladeuses qu'il y avait autour. C'était comme si tout était permis quand on savait plus qui on touchait et ça m'plaisait un peu moins. De toute façon, j'voyais pas vraiment personne d'autre que lui alors j'voulais pas aucunes autres mains sur moi. On dansait au rythme de la musique et ce serait mentir de dire qu'on avait pas l'air de deux personnes qui s'appréciaient beaucoup. J'sentais tout de même une main sur mes hanches qui me tirait un peu vers l'arrière et ça m'énervait. Je passai mon bras autour de la nuque d'Orso pour qu'il baisse sa tête vers moi. Je m'approchai de son oreille pour qu'il m'entende un peu mieux. « Orso, y'a un mec derrière là qui me tire. Tu peux le faire dégager s'il te plait? » lui demandai-je. J'en ressentais pas trop la force vu l'alcool dans mon corps, j'préférais qu'il s'en charge, le message serait sûrement plus clair vu comment il avait décidé d'ignorer mon consentement pour me faire toucher de toute façon.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Sam 24 Juin 2023 - 2:04
J'sais pas tellement ce que j'voulais avec Arielle. Ca faisait si longtemps qu'elle refoulait mes avances, qu'elle me balayait d'un revers de la main, que j'en avais un peu oublié ce que j'espérais. A vrai dire, là, elle m'avait bien surprise en venant plaquer ses lèvres aux miennes. Mais c'était pas pour me déplaire au contraire. L'embrasser, c'était fortement apprécié, pour être honnête. J'l'aimais bien cette Arielle un peu cocktail, un peu plus entreprenante, qui lâchait prise. Ca faisait maintenant trois ans que j'lui courrais après, pensant que tout ça n'était qu'un jeu. Mais c'qui se passait en elle, c'était un vrai combat, que j'ignorais complètement. Pas pas méchanceté, par idiotie plutôt. Et là, de l'avoir à mes lèvres, j'me surprenais à trouver ça super agréable. Elle était assez magnétique Arielle, avec son regard perçant, son p'tit sourire et son air souvent boudeur. Elle m'attirait. Mais une fois qu'on avait quitté ce baiser interdit, on avait été tout à fait d'accord pour verbaliser à l'oral que c'était vraiment pas incroyable. Nos regards, même nos gestes, ils démentaient largement ce qu'on avançait. Est-ce que ça faisait parti d'un jeu ça aussi? Est-ce que j'avais tendance à voir des jeux un peu partout? Sûrement oui. Toujours est-il qu'Arielle me lâcha une p'tite pique dont elle avait le secret. J'me contentais de lui rendre un air faussement boudeur, fronçant les sourcils et le nez, juste pour lui montrer que j'avais bien entendu c'qu'elle avait sortie. On s'promettait de plus s'embrasser, et j'l'invitais à aller danser, histoire de sortir de cette bulle qu'on s'était fait là, et dans laquelle on risquait de s'embrasser encore. Alors qu'en vrai, c'était pas terrible hein. (Cette phrase en italique est totalement fausse. Mais c'est c'qu'on essaye de se persuader.) J'riais un peu à ses mots. "T'en fais pas va, j'vais certainement pas te sauter dessus." que j'lui disais moi aussi avec un faux air de dégout sur le visage. Ma main passait passait derrière son dos pour se poser sur sa hanche, l'invitant à me suivre vers le salon, où la fête battait son plein. Il y avait beaucoup, beaucoup plus de monde que tout à l'heure. J'crois que la soirée échappait un peu à l'hôte des lieux mais c'était clairement pas notre problème. Nous on se gérait dans notre coin. On s'fraya une p'tite place au coeur de la piste de danse et on s'mit à danser, l'un contre l'autre. C'était assez smooth, on s'dévorait pas mal du regard, faut pas s'mentir, mais nos gestes restaient pour l'instant assez maitrisés. Même si mes yeux descendaient assez régulièrement vers ses lèvres que j'aurais bien re-goûté une seconde fois. Mais au bout d'un moment, j'voyais bien dans le regard d'Arielle que quelque chose la dérangeait. J'eu assez rapidement la réponse, lorsqu'elle posa sa main sur ma nuque pour m'inciter à baisser la tête pour l'entendre. J'posais ma main dans son dos, comme pour essayer d'être bien attentif à ce qu'elle me disait. Ces mots me parvinrent et j'reculais, plantant mon regard dans le sien. "Sérieux? Putain, attends." Je jetais un coup d'oeil derrière Arielle, repérant le mec. Déjà, les gros pervers qui tripotaient les nanas sans leur consentement, ça me foutait les nerfs mais alors que ça soit directement dirigé vers Arielle, ça passait encore moins. J'sentais un peu la colère monter en moi, même beaucoup. J'allais pas être très tendre, mais j'en avais un peu rien à foutre à ce moment d'la soirée. J'décalais Arielle, prenant garde de la laisser derrière moi. J'regardais le type, droit dans les yeux et j'le choppais par le col de sa chemise. J'me rapprochais de lui, la rage dans le ventre. "J'te laisse trois secondes pour te casser d'ici. Plus jamais tu touches une nana sans qu'elle t'ait invité à le faire. Putanna bastardo." J'le repoussais violemment, le faisant reculer de plusieurs pas. J'le regardais, d'un air de défi. J'étais pas un pro de la bagarre, loin de là, j'avais essuyé quelques mauvaises expériences en Italie, j'étais jamais hyper chaud pour me castagner avec un autre type, mais là, il avait touché à Arielle, et c'était pas ok du tout. Le mec, il me défia lui aussi du regard mais finalement, un d'ses potes le prit par l'épaule et l'incita à reculer et à sortir de la foule. J'crois que c'était l'alcool qui m'avait fait pété un câble comme ça. Mais j'supportais pas l'idée que quelqu'un mette Arielle dans l'inconfort comme ça. J'me retournais vers elle, plongeant mon regard dans le sien. J'me radoucis à son contact. "Ca va?" que j'lui demandais, un peu inquiet. "Tu veux qu'on bouge?" J'étais toujours un peu obligé de d'me pencher vers son oreille pour que ma voix puisse surpasser le volume de la musique. Je marquais une pause et rajoutais "J'peux aller lui casser la gueule si tu veux." J'étais assez sérieux dans c'que j'disais. Un mot d'Arielle et j'y fonçais, tête baissée.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Jeu 29 Juin 2023 - 3:54
Arielle & Orso
J'pense que c'était plutôt évident à ce stade que l'attirance entre Orso et moi, elle était forte. Probablement plus forte de mon côté, mais c'était surtout parce qu'elle avait eu le temps de build up en trois ans. Aussi parce qu'il y avait des petits sentiments derrière alors ça n'aidait pas. J'avais beau joué à le repousser depuis tout ce temps, c'était comme trois ans de perdu maintenant que j'avais enfin craquer. Orso, c'est de ça qu'il se rappellerait. Que j'avais pas su lui résister. Mais c'était vraiment le dernier de mes soucis pour l'instant alors qu'il m'invitait à danser avec lui et donc, à rejoindre le monde réel. On avait été coincé dans cette petite bulle de la cuisine un peu trop longtemps et ça nous avait fait déborder. P'tête que de retourner bien entouré de gens, ça aiderait à gérer toutes ces pulsions. Comme de fait, ça aidait ouais. Nos yeux, ils étaient parlant pas mal. Son regard quittait pas le mien et le mien lui indiquait presque qu'il était jamais assez près. C'était une autre sorte de bulle qui se formait là alors que nos corps dansaient l'un contre l'autre. J'étais bien, concentrée sur ses gestes, sur les miens, mais bien vite quelqu'un m'interrompit en me touchant les hanches, puis en me tirant vers l'arrière. Ça me plaisait pas trop, moi je dansais avec Orso et j'avais pas envie de ça avec personne d'autre. J'sentais l'alcool qui me faisait un peu tourner la tête alors je demandai l'aide à Orso pour le faire dégager. Je ne m'attendais pas à une réaction aussi vive de sa part. Tout de suite, Orso me décala derrière lui et empoigna le col du mec en haussant le ton. « Orso...» dis-je doucement comme si ça allait l'empêcher de faire quoi que ce soit. J'voulais pas qu'il se batte non plus. Je ne compris pas tout ce qui se passait parce que bon, le bruit et l'alcool, mais même si j'étais pas fan de violence, j'pouvais pas m'empêcher de trouver Orso bien sexy en ce moment. J'fis un petit sourire satisfait alors que l'autre mec dégagea bien rapidement, incité par ses potes. Ouaip, moi non plus j'voudrais pas me mesurer à Orso. Celui-ci se retourna vers moi pour voir comment j'allais. J'hochai de la tête rapidement, assimilant toujours ce qui venait de se passer. « Ouais on peut bouger. » que j'lui dis doucement, le regard un peu dans les vapes, fixant son visage. Orso il avait allumé une p'tite flamme en moi avec cet air et sa façon d'me défendre. Il proposa même d'aller lui casser la gueule, mais c'était pas nécessaire, il était déjà bien loin dans mon esprit. « J'veux pas que tu casses la gueule de personne pour moi. » dis-je en secouant la tête avec un petit sourire niais. J'lui tirai la main pour sortir de ce tas de gens et aller dehors pour prendre l'air. J'appuyai mon dos contre la porte en la refermant derrière moi et regardai Orso avec un petit air espiègle. « T'es sexy quand tu t'énerves comme ça. » lui dis-je en souriant. Et c'est comme ça qu'on savait qu'Arielle était saoule mesdames et messieurs. Clairement pas le genre de chose que je disais sobre. Je l'attirai vers moi, m'arrêtant alors que mon visage était à quelques centimètres du sien. « Ça m'donne envie de faire ce qu'on a dit qu'on ferait plus. » dis-je en chuchotant et en laissant trainer mes doigts sur sa mâchoire. L'idée du siècle quoi.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Jeu 29 Juin 2023 - 23:57
J'lui plaisais p'tete assez finalement à Arielle, à voir les regards qu'elle me lançait depuis qu'on s'était embrassé dans la cuisine. Bien joué Sherlock, t'es un putain de détective. En vrai, j'étais déjà bien saoul de toutes les bières et le vin qu'on avait bu, alors j'me laissais juste porter par la soirée. J'me posais pas tellement de questions (comme souvent d'ailleurs) et j'profitais juste d'avoir Arielle près de moi. La bulle qu'on avait quitté dans la cuisine, on tardait pas à la reformer en dansant, nos yeux bien connectés, nos bras qui se touchaient parfois, et nos p'tits sourires qu'on s'envoyaient. En vrai, on voyait bien qu'il y avait une belle alchimie entre nous et dans le brouhaha de la piste de danse, c'était un peu plus facile de lutter contre l'envie de l'embrasser. Même si mon regard se posait souvent sur ses lèvres, mais j'résistais bien. Parce qu'on l'avait dit, on s'l'était bien souligné avant de quitter la cuisine. On l'ferait plus et c'est tout. Alors que tout se passait bien, il y eu comme un grain de sable dans les rouages plutôt parfait du moment qu'on vivait. Un type venait de tripoter Arielle et j'avais vrillé. J'avais pas réfléchis une seule seconde et je l'avais choppé par le col de sa chemise pour le faire reculer de plusieurs pas. J'avais à peine entendu Arielle prononcer mon prénom. J'étais resté bien menaçant, quelques secondes, juste pour bien lui montrer au mec, que j'pouvais très bien passer à la vitesse supérieure. J'aimais pas me bagarrer mais je savais que j'avais une carrure suffisamment impressionnante pour faire se raviser la plupart des mecs. Ca avait pas loupé et j'crois que c'est surtout ses potes à lui, qui avait temporisé. Il avait disparu dans la foule et j'avais pu reporter mon attention sur Arielle. J'm'étais un peu radoucis même si j'gardais encore un peu de colère en moi. Elle voulait bouger, comme j'lui avais proposé. J'crois qu'il valait mieux. Elle refusa que j'aille lui casser la gueule. Au fond, j'étais bien content parce que j'avais pas tellement envie d'me battre, mais par principe j'rajoutais "Ouais mais ce mec là, il mériterait bien une correction, pourtant." Puis, Arielle me tira par la main, pour quitter les gens, qui étaient devenus beaucoup trop envahissants pour nous, tout d'un coup. On se retrouvait dehors, on était passé par une porte de derrière, menant vers un p'tit coin isolé. J'saurais pas trop me situer à cet instant, mais tout ce que je sais, c'est qu'Arielle fermait la porte, s'appuyant dessus et m'adressait un p'tit sourire malicieux. C'qu'elle dit après, ça m'étonne. Ca me fait sourire, un peu. Et du coup, ça me détend entièrement, l'épisode de pervers étant déjà oublié. "Wo, mais qui êtes vous? Qu'avez vous fait d'ma coloc qui rechigne habituellement à m'faire un compliment?" Mais en vrai, ça m'plaisait bien l'idée qu'elle me trouve sexy. Alors qu'elle m'attirait vers elle, je posais une de mes mains contre la porte, au niveau de sa tête, comme pour bien planter mon regard dans le sien et pour me stabiliser aussi - accessoirement. Arielle, elle était vraiment extrêmement attirante là, avec ses p'tites phrases, ses yeux espiègles, et son air lascif. Ouais à ce moment là, elle me rendait bien dingue. J'sentais ses doigts qui parcouraient ma mâchoire. Nos regards bien connectés, j'm'approchais de ses lèvres, dangereusement. "J'vois pas du tout de quoi tu parles." que j'lui disais avec un p'tit sourire. Autant ignorer les promesses qu'on s'était fait dans la cuisine, parce que la j'avais vraiment très envie de l'embrasser moi aussi. Alors je réduisais les quelques centimètres qui me séparaient de ses lèvres et je l'embrassais langoureusement, ma main de libre glissa le long de ses côtes pour venir attraper sa hanche et la rapprocher de moi. Ouais, j'crois que là, c'était plus un secret ni pour elle ni pour moi. Ces baisers là, ils étaient juste délicieux et libérateurs. J'sentais une vague d'excitation m'envahir, à mesure que le baiser devenait de plus en plus fougueux. Elle me rendait fou cette nana. Il n'y a pas dire.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Sam 1 Juil 2023 - 23:45
Arielle & Orso
J'étais pas certaine qu'en trois ans, j'avais déjà vu Orso se bagarrer. On avait jamais été dans un contexte qui permettait ça, qui l'incitait à se mettre en colère et donc, j'restai assez surprise de sa réaction face à l'autre mec. J'croyais pas qu'il avait ça en lui en fait de switch son humeur en deux secondes. Parce qu'on était passé de biens, souriants et flirty à un mood bien plus alerte en quelques secondes. Du moins Orso. Si je m'inquiétais qu'il veule se battre, je vis plutôt rapidement que les potes de l'autre, ça les intéressaient pas. Alors Orso, il se ravisa et on put faire descendre la tension à nouveau. J'me sentais rassurée puis.. Charmée aussi. Ce petit coup d'énervement, ça rendait Orso bien sexy. Surtout sans se battre, ça, ça aurait cassé l'ambiance. Là, c'était juste attirant. Ou c'était l'alcool qui m'faisait ça, qui m'donnait ce petit coup de chaleur là. « Quelqu'un d'autre s'en chargera un jour, pas toi ce soir. » répliquai-je avec un sourire un peu bête. J'avais pas envie de devoir jouer l'infirmière avec son joli visage pour le coup. Il me proposa de bouger et je ne pouvais qu'accepter, mourant d'envie d'être à nouveau seule avec lui. God, c'était pour ça que je ne buvais pas trop habituellement. J'sentais que j'avais plus aucun contrôle et que j'me pâmais devant l'Italien. J'avais plus d'égo que ça habituellement, j'avais l'impression de foutre en l'air les trois ans passées à le repousser. Et pourtant j'en avais rien à battre. Ça venait de foutre le camp à l'instant où j'refermai la porte d'extérieur derrière moi et que j'laissai glisser ce petit compliment. « Ha-ha. Très drôle. J'peux retourner à mon mood habituel si tu veux. » dis-je avec un clin d'oeil. Mais vu mon taux d'alcool dans le sang, c'était bien trop tard pour ça. Je l'attirai doucement vers moi, m'assurant de garder une certaine distance quand même. Le regard d'Orso se planta dans le mien et bordel qu'il faisait chaud à cet instant. J'avais l'impression de bouillir de l'intérieur, mais c'était vraiment juste l'effet Luciano sur moi. Mon regard, il était probablement très parlant. J'avais envie de l'avoir près de moi, de l'embrasser à l'infini et de toucher absolument tout ce que je pouvais toucher sur ce corps si attirant. En commençant par sa mâchoire bien définie. Tout ce qui me passait par la tête à cet instant, c'était de sentir la douceur de ses lèvres contre les miennes. Et c'est quelque chose du genre qui sortit de ma bouche tandis que j'le dévorais du regard. La réponse d'Orso me fit sourire, mais j'avais déjà abandonné l'idée de lutter contre cette attirance alors quand je le sentis se presser contre moi et m'agripper la hanche, j'étais en paix avec ça. J'laissais simplement mon désir me guider, pensant que très peu -pour ne pas dire pas du tout- aux conséquences que ça pouvait engendrer et au lendemain matin. Ce soir, c'était simplement cette envie refoulée qui parlait. Ma main se glissa sur sa nuque, l'agrippant peut-être un peu plus agressivement que prévu tandis que sa langue se mélangeait fiévreusement à la mienne. L'endroit était zéro approprié pour la vague de désir qui montait en moi -et probablement en Orso aussi. Well, je dis probablement, mais j'dirais que c'était plutôt une évidence. On avait tous les deux envie de bien plus. Est-ce que c'était raisonnable? Pas sûr. Et pourtant, j'étais là, contre la porte à l'embrasser langoureusement comme si nos vies en dépendaient. « Est-ce que tu veux... » commençai-je entre deux baisers. Ma tête se penchait un peu vers l'arrière tandis qu'Orso prenait possession de mon cou. C'était pas évident de me concentrer avec ces sensations là. « Tu veux retourner à l'appart? » demandai-je en trouvant difficilement mon souffle. Même pas certaine de pouvoir tenir tout ce temps, mais en ce moment j'voyais pas d'endroit plus approprié. Les buissons l'étaient pas et la porte extérieure de la maison de quelqu'un non plus. Puis j'avais pas trop envie d'aller à l'étage dans une chambre random avec plein de monde, c'était pas mon genre.
I'll say whatever you want, but I've become such a liar, I used to follow my gut, but now I'm just gettin' higher. It's been a couple of months since I turned to something violent, I should be happier now, so why do I feel this quiet
STATUT : garde le sourire, plus rien est grave tant qu'il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne. nos deux corps pourraient mourir, j'ai déjà fait le deuil. maintenant, pars loin de moi une larme cachée dans l'œil. (maxso)
Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Mar 4 Juil 2023 - 1:08
J'avais pas du tout contrôler ma colère face à ce type. Il m'avait foutu les nerfs en moins de trois secondes. Et puis, l'alcool qu'on avait bu avec Arielle, ça m'aidait pas à faire dans la délicatesse. J'avais juste eu envie d'lui exploser sa tête, d'lui faire bien peur et il avait fini par reculer. Arielle, elle m'avait jamais vu comme ça. Généralement, j'arrivais bien mieux à contenir mes émotions, et surtout je faisais en sorte de pas me mettre dans ce genre de situation. Mais là, ça avait été incontrôlable. Cela dit, à voir les yeux charmés que me lançait Arielle juste après, j'avais bien l'impression que ce petit coup de sang bien vite descendu avait eu pour effet de faire flancher Arielle. Puisque très vite après, on se retrouvait à l'air libre, derrière la maison, dans un p'tit coin sombre. L'air d'Arielle, il avait changé un peu, devenant encore un peu plus charmeur, plus espiègle. Et bordel, qu'est ce que ça me plaisait. Ses mots m'arrachèrent un sourire. "Non non, j'aime beaucoup cette Arielle là, tu vois." que j'lui avais dis juste avant qu'elle ne caresse ma mâchoire du bout des doigts, plantant son regard malicieux dans le mien. Il n'avait pas fallu plus que quelques mots pour que nos lèvres se retrouvent, encore plus fougueusement que dans le cuisine. Là, on était vraiment seul, personne pour nous déranger et j'crois qu'on laissait éclater toute l'attirance qu'on avait l'un pour l'autre. J'l'avais rapproché de moi, la prenant par la hanche, et ma main avait fini par glisser le long de sa fesse. Mon autre main quitta le mur pour venir se glisser en dessous de son haut dans son dos, à la recherche de contact. Tandis que mes lèvres quittaient les siennes pour venir se loger au creux de son cou, les quelques mots d'Arielle, qu'elle peinait à prononcer continuèrent de faire grimper l'excitation encore un cran au dessus. J'continuais à dévorer son cou de baisers. "Ouais, ça me paraît être une très bonne idée." que j'lui disais alors que mes lèvres remontaient vers les siennes. De toute évidence, là, nos envies, elles avaient passé un step. Il n'était plus question de juste s'embrasser. C'était comme si, là, on ressentait une espèce d'urgence et qu'il fallait tout consumer tout de suite. On s'trouvait à quelques minutes à pied de notre appartement. Il allait falloir tenir jusque là. De toute façon, il était pas question d'faire quoi que ce soit au pleine rue. On est pas sauvage non plus. Quoi que, l'envie et l'excitation étaient bien montées. A contre coeur, je quittais ses lèvres et mes mains quittèrent son corps. Juste le temps de rouvrir la porte. Il fallait qu'on récupère nos affaires avant de s'éclipser de la soirée. Arielle passa la première et j'posais ma main sur ses côtes, pour ne pas la laisser s'échapper. Alors qu'on traversait la maison, et qu'on arrivait près d'nos sacs, j'me tenais derrière elle. J'me collais un peu contre son corps, ma main glissa de ses côtes jusqu'à son ventre. Et j'en profitais pour retrouver son cou, déposant des baisers sur sa peau. "J'sais pas si j'vais tenir jusqu'à chez nous." que j'lui soufflais le sourire aux lèvres. Mais on avait pas tellement le choix, alors j'quittais à nouveau son contact, on reprenait nos affaires et on quittait la maison. J'attendais définitivement rien de cette soirée, au début, mais j'dois dire que j'étais bien satisfait de la tournure qu'elle prenait.
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☽☽ tu vois l'genre de cercle vicieux? le genre de trucs qui donne envie d'tout faire sauf de mourir vieux. tu peux courir à l'infini à la poursuite du bonheur. la Terre est ronde, autant l'attendre ici.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Mer 5 Juil 2023 - 16:50
Arielle & Orso
Je l'avais souvent dit que j'aimais pas boire et faire la fête parce que j'perdais souvent le contrôle. C'était comme si mon démon intérieur ne demandait qu'à sortir une fois passé ma limite. Et ce démon là, je l'aimais pas trop. J'étais pas fan de ne pas être en contrôle en fait, j'aimais pas ne pas me souvenir de ce que j'avais fait le lendemain et j'aimais pas qu'on me voit dans cet état, comme si ça m'rendait plus vulnérable parce que mes barrières tombaient. Et c'était exactement ce qui était en train de se produire ce soir. Mes barrières fichaient le camp, une à une alors que j'me trouvais en présence d'Orso. Et Orso, il était un peu mon point faible. J'avais accumulé beaucoup de sentiments pour lui au fil des années de colocation, mais j'avais jamais rien fait avec ça. J'trouvais ça plus simple de rien dire, de tout refouler et de feindre l'indifférence. Mais là, avec ce que j'avais consommé, c'était plus possible de feindre ça, plus possible de résister et de faire comme s'il m'attirait pas. J'avais trop accumulé et ça devait sortir, ça devait aboutir à quelque chose de concret. Et c'est ce qui s'était passé quand mes lèvres avaient trouvé les siennes pour la première fois, mais c'était toujours pas suffisant. D'le voir si près en dansant, de le voir s'énerver pour moi, parce qu'il s'assurait que j'étais ok et qu'on me touche pas, ça déclencha un feu brûlant au bas de mon estomac. Orso, il m'faisait de l'effet comme jamais et j'avais absolument pas la force de regarder de l'autre côté. Alors mon p'tit démon, il s'était transformé en pro de la séduction et du flirt et il avait amené l'Italien à l'extérieur pour une séance de baisers bien langoureux. Parce que non, c'était plus Arielle qui était en contrôle là, mais ça, c'était ce qui semblait le plus plaire à Orso. « Profites en bien alors. » lui avais-je murmuré avant que nos visages se rapprochent. À peine commencé, on pouvait déjà sentir la tension monter alors que les mains d'Orso prenaient possession de mon corps, tentant de nous rapprocher le plus possible. On en pouvait déjà plus, mais on était pas encore dans un endroit approprié pour se laisser aller à tout ça. J'lui proposai de retourner à l'appart, chose qui nous prendrait quelques minutes à pieds, mais vu cet empressement qui avait pris possession de nos corps là, ça allait être du sport de tenir tout ce temps. « Mmh mmh, ok. » dis-je en hochant la tête. On s'retrouva quelques secondes pour quelques baisers avant de finalement se séparer, juste le temps de rentrer à l'intérieur. Les mains d'Orso ne tardèrent pas à retrouver mon corps, me guidant à travers la foule jusqu'à nos sacs. On prit le tout et je sentis l'impatience d'Orso dans sa voix, mais aussi dans sa façon plus explicite de me toucher. Mes yeux se fermèrent doucement sous le contact chaud de ses lèvres dans mon cou alors que ma main glissait vers sa nuque, mon dos bien appuyé contre son torse. « Si tu continues à faire ça, on s'en sortira pas non. » lui dis-je avec le sourire aux lèvres. J'veux dire, Orso il m'avait séduite avec un sourire alors on imagine bien comment j'me sentais avec ses lèvres sur ma peau et ses mains sur mon corps. C'était pas facile de retenir tout ça. On prit nos trucs et bien rapidement, on fit le chemin qui nous sépara de notre loft. Le chemin prit probablement un peu plus de temps que prévu parce qu'on s'arrêtait parfois pour s'échanger des baisers bien parlants de notre envie. C'était presque insoutenable et j'espérais très fort que Detlev ne soit pas présent ce soir. Une fois finalement dans notre couloir, je plaquai Orso contre notre porte d'entrée et plongea ma tête dans son cou pour y déposer quelques baisers. Mes mains se glissaient déjà sous son tee-shirt, bien impatiente de toucher à sa peau. Je me reculai d'à peine quelques centimètres pour essayer la poignée. Elle était bien verrouillée, signe que Detlev devait être sorti. J'fis un petit sourire malicieux à Orso et la déverrouillai rapidement. Mes lèvres ne tardèrent pas à retrouver les siennes pour la énième fois, clairement incapable de m'en passer. « Ta chambre ou la mienne ? » demandai-je entre deux baisers alors que j'poussai la porte pour qu'on entre. On allait quand même pas faire ça sur le comptoir, le pauvre Detlev il mangeait là tous les matins.
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Ven 7 Juil 2023 - 3:19
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Ven 28 Juil 2023 - 21:02
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle Sam 5 Aoû 2023 - 0:51
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Sujet: Re: laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle
laisse-moi t'dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une - arielle