Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Dim 20 Aoû 2023 - 22:13
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underworld •• this is what happens when you listen to the voices of the underworld. they crawl into your soul and rot you from the inside.
Levi Wheeler
MESSAGE : 25010 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Dim 20 Aoû 2023 - 23:25
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Lun 21 Aoû 2023 - 12:46
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Dernière édition par Sahar Essaïdi le Lun 21 Aoû 2023 - 20:39, édité 1 fois
Levi Wheeler
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Lun 21 Aoû 2023 - 18:22
Il le savait Levi, qu’il n’effacerait pas une année entière de relation en quelques étreintes volées à l’univers. Il était conscient que cette histoire sentimentale resterait gravée en elle, son cœur portant l’empreinte des sentiments qu’elle avait éprouvé et qu’elle éprouvait probablement encore aujourd’hui. Il ne prétendait d’ailleurs pas être celui qui lui fera oublier son passé, puisque ce n’était absolument pas le but, acceptant absolument chaque recoin de son cœur, et chaque chapitre de son histoire qui faisait d’elle ce qu’elle était aujourd’hui. Il espérait seulement apaiser son âme, comme elle le faisait avec la sienne, qu’elle puisse se sentir aussi complète que lui lorsque leurs lèvres s’effleuraient et que leurs bras s’enlaçaient. Levi, il voulait être celui sur qui elle se reposerait quand son corps en aurait besoin, celui à qui elle se confierait quand les tourments prendraient possession de son âme. Dans l’étreinte sulfureuse qu’ils partageaient, il espérait lui faire comprendre qu’elle n’était pas que ça, qu’une chair à laquelle la sienne succombait, qu’elle représentait à ses yeux, l’être pour lequel il était prêt à se damner, l’âme qui faisait vriller la sienne. Et la manière dont leurs corps se liaient ne pouvait que prouver ce fait, comme si leurs peaux s’appréhendaient déjà depuis des années alors que ça n’était que la deuxième fois qu’ils se retrouvaient aussi intimement. Ses mains arpentaient ses courbes, désirant en connaître tous ses secrets, toutes ses particularités, y imprimant dans son esprit le grain de sa peau pour ne jamais l’oublier. Levi, il se savait déjà marqué au fer rouge par Sahar, conscient qu’il n’avait pas lutté contre cette évidence, se laissant guider par ces envies trop longtemps refoulées. Il haletait alors que le corps de sa favorite se déhancha contre son bassin, l’amenant lentement mais sûrement vers l’extase qui les percuta à la seconde suivante, poussant un dernier gémissement faisant écho au plaisir qui s’insinuait dans chaque cellule de son organisme. Levi, il ne put résister aux lèvres de Sahar, lui volant un énième baiser, évocateur de toutes les sensations qui le percutaient à cet instant précis, resserrant son étreinte autour d’elle, comme dans l’espoir de ne jamais voir leurs corps se délier. A bout de souffle, la peau frémissant encore de bonheur, il accueillit Sahar dans le creux de ses bras, appréciant plus que de raison ces quelques secondes où l’accalmie reprenait son droit, éteignant peu à peu l’incendie qui les avait ravagé quelques instants plus tôt. « T’auras jamais de concurrence. » Rétorqua-t-il, sans même une once d’hésitation perceptible dans le ton de sa voix, Sahar n’ayant sans doute pas encore idée du tumulte unique qu’elle pouvait provoquer en lui. Ses doigts allaient et venaient le long de son échine, profitant de leurs positions pour amener une certaine tendresse dans leur contact alors que leurs paroles semblaient les mener vers les confidences. Il laissa la brune expier ses vérités, comprenant qu’elle s’aventurait sur un sujet probablement encore douloureux, et qu’elle le faisait sans doute pour le rassurer lui. Sahar n’avait certainement pas idée d’à quel point il aurait pu fondre sur place à ses mots suivants, son cœur tambourinant contre sa cage thoracique, au point où il craignait même qu’elle ne puisse l’entendre. « T’auras pas à le faire. J’te fais confiance. » Murmura-t-il, resserrant son étreinte au même instant, ses lèvres se déposant contre son front, d’un geste tendre et reconnaissant, osant une autre question bien plus personnelle concernant son ressenti sur la situation. « Un peu aussi. C’est déconcertant tout ça mais j’crois que j’ai jamais été aussi sûr de ce que je voulais. » Lui confia-t-il, se délectant de la douceur de ses attentions délicatement déposées sur sa peau éternellement en demande de la sienne. Finalement, il bascula légèrement sur le côté, entraînant avec lui la silhouette de sa partenaire, tous les deux allongés sur leurs flancs, leurs visages à quelques centimètres l’un de l’autre, sa nuque se tendant naturellement vers elle pour presser ses lèvres contre les siennes dans un échange d'une tendresse indéniable. « Ça fait un moment que t’es devenue ma priorité. » Souffla-t-il, ses yeux captant les siens, ses mots faisant écho à tout ce qu’ils avaient déjà vécu ensemble, aux tempêtes qui avaient ravagé leur quotidien, leur faisant frôler le pire, jusqu’à finalement les réunir pour leur exposer cette évidence qu’ils ne pouvaient désormais plus nier.
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Lun 21 Aoû 2023 - 22:09
et les langues semblaient peu à peu se délier, chacun se risquant lentement aux confidences. le constat restait d'ailleurs plutôt mitigé. entre euphorie naissante et amertume non dissimulée. fallait aussi dire que les circonstances à l'heure actuelle, n'avaient malgré les apparences, rien de spécialement idylliques, au contraire. t'avais pas l'choix que de jongler entre une multitude de sentiments tout aussi contradictoires les uns que les autres. entre culpabilité, et euphorie tout juste maîtrisée. t'as jamais voulu que les choses prennent fin de cette manière, que tout s'casse la gueule comme ce fut le cas, sans que tu n'aies vraiment le temps d'appréhender, ce que tu avais toi-même engendré. la réalité, c'est que t'avais en réalité, aucune putain d'idée, de c'que tu faisais. sous couvert que tu avais effectivement conscience de ce à quoi tu avais du renoncer, mais non pas de ce qui t'attendait. tout ce dont tu savais, c'est ô combien, levi s'était dernièrement octroyé une place considérable par-delà ton existence, et non pas seulement, parce que vous demeuriez contraints de vous fréquenter. quelque part ça t'faisait mal de l'admettre, puisqu'aucune de tes pensées à son égard, ne te paraissaient vraiment légitimes. pourtant, il restait évident que tu ne pouvais aller à leur encontre, adhérant simplement à cette perspective, pour que les choses soient telles qu'elles devaient être. levi, tu le voulais, et pas seulement au détour d'un échange profondément charnel, lorsque l'envie te prenait. c'était beaucoup plus que ça, davantage spirituel qu'il n'était seulement possible de l'imaginer. c'était l'évidence que tu t'étais plus d'une fois efforcée de réfuter, avant qu'elle ne revienne d'elle-même te hanter. vos âmes, indéniablement complémentaires semblaient ne faire plus qu'une, vos palpitants battant également à l'unisson, sans que vous ne puissiez forcément vous en détourner. et la symbiose quasi-parfaite entre vos deux corps, n'était rien de plus que la représentation physique de tout ce dont tu avançais. évidemment, tu n'étais pas à l'abri de ses intentions, t'ignorais d'ce qu'il en était de ses plans, te concernant? et pourtant, tu avais la sensation de ne pas te leurrer, en affirmant qu'elles n'avaient possiblement rien de malfaisantes. « tu peux le jurer ça? » questionnas-tu, relevant le regard dans sa direction. effectivement, tu n'étais pas du genre à faire dans la concurrence. tu préférais de loin disparaitre à tenter bêtement de t'imposer auprès d'autrui, en espérant devenir une potentielle favorite. non, toi, tu n'aspirais qu'à une chose, l'exclusivité, et sans attendre. une bonne partie de ton faciès désormais dissimulé contre la peau immaculée de son torse, tu lui insinuas au passage quelques confidences. pour sûr, que tu n'avais de toute évidence, plus vraiment le choix. si votre relation s'apprêtait à évoluer, tu y devais forcément quelques explications, même les plus délicates. « quoi, tu penses pouvoir me faire confiance, même après ce que j'ai fait? » sous-entendu, que découlait de tes agissements, la trahison. l'anglais étant de loin le mieux placé pour savoir de quoi tu étais capable, même si, soyons honnêtes, tu n'aspirais certainement pas à réitérer, et encore moins avec lui. et par-delà l'accalmie, tu profitas de l'étreinte prodiguée, notamment de ce baiser à hauteur de ton front, dont la signification te parut plus que jamais éternelle. alors, naturellement, tu resserras la tienne au niveau de son flanc, tes doigts y administrant une pression toute particulière. « de c'que tu veux? et c'est quoi exactement.. c'que tu veux? » tu choisis finalement de renchérir, parée d'une légèreté pour le moins avérée. parce que tu n'étais pas forcément désireuse de voir votre échange s'envenimer, même si tu avais parfaitement conscience, de ne pas toujours demeurer dans la capacité de te défiler. et dans la foulée, levi t'fit également basculer sur le côté, vous assurant cependant, de ne jamais vraiment vous détacher à outrance l'un de l'autre. à commencer par vos lèvres qui ne perdirent pas de temps pour se sceller, en faveur de baiser d'une tendresse inouïe, et que tu cherchas inévitablement à prolonger. une main positionnée contre son visage, t'aurais pu jurer avoir rapproché ton corps du sien, dans la mesure du possible. « en vrai, j't'intéresse depuis combien de temps? » fallait l'avouer, tu passais rarement par quatre chemins sahar. toutefois, tu mentirais si tu affirmais ne pas être curieuse de savoir, depuis combien de temps, il lorgnait sur toi, lui qui sans mal, pourrait se délecter de tellement mieux que toi.
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Levi Wheeler
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Lun 21 Aoû 2023 - 23:25
Il avait su qu’ils n’y échapperaient pas, que de toute évidence, il était normal que leurs moments d’intimité ne les poussent à s’ouvrir davantage l’un à l’autre, pour éclairer les zones d’ombre qui continuaient de régner dans leur quotidien. Levi avait immédiatement compris ce que Sahar avait tenté de lui avouer, en lui révélant que sa relation avec Oskàr appartenait dorénavant au passé. Et sans doute que de son côté, il avait essuyé un soupçon de soulagement, à cette révélation qui avait son importance à ses yeux, lui qui n’avait cessé de craindre qu’il resterait l’homme en second plan dans la vie de la brune. C’était probablement égoïste de sa part, de se complaire dans cette idée qu’il était désormais l’unique âme qui accédait à la sienne, que son corps avait des accès privilégiés au sien et que sa simple présence semblait lui suffire. Levi, c’était tout ce à quoi il aspirait, devenir son favori, celui pour qui elle brûlait, celui qui hantait ses pensées nuit et jour dans l’espoir de ne jamais s’en échapper. Il peinait lui-même à expliquer l’harmonie quasi-parfaite qui se jouait entre eux à chaque fois qu’ils se retrouvaient, que leurs corps ne faisaient plus qu’un, l’un épousant la courbure de l’autre comme s’il s’agissait d’une évidence déjà écrite, déjà scellée. Levi, il commençait à le comprendre, Sahar était son évidence. L’accalmie revenue, apaisant les brûlures de leur désir, Levi n’avait pas attendu une seule seconde pour l’accueillir contre lui, là où était sa place, ses doigts retrouvant sa peau dans de lentes caresses. « Tu crois que j’amène ici une nana différente tous les week-ends ? » La questionna-t-il, retrouvant la profondeur de son regard, le sien se chargeant de cette lueur authentique et honnête. « T’es la seule. » Souffla-t-il, conscient que c’était la réponse qu’elle voulait entendre, qu’elle attendait une certaine franchise de sa part, sans qu’ils n’aient besoin de tergiverser. Et Levi, il n’avait d’ailleurs plus rien à lui cacher, prêt à lui montrer qu’il lui donnait son entière confiance, quand bien même la situation paraissait on ne peut plus délicate. « Bien sûr, pourquoi je le ferai pas ? Y’a des choses qui se contrôlent pas, et j’suis le premier à le savoir. » La rassura-t-il, faisant évidemment référence à la façon dont leur relation avait évolué, de leurs débuts désastreux à cette alchimie maintenant indéniable. Il était convaincu qu’à leur allure, ils n’avaient fait que reculer pour mieux sauter, et la chute avait été inévitablement brutale, pour elle, comme pour lui. Levi s’était approché de son visage pour déposer ses lèvres sur son front, conscient de la portée de ce geste et de sa signification, lui qui n’aspirait qu’à la protéger du monde entier, comme s’il désirait dissimuler ce trésor qui n’appartenait qu’à lui. « Toi. » Lâcha-t-il, d’une légèreté sans pareille, sans même réfléchir, tant la réponse lui avait paru évidente. « J’te veux toi. » Répéta-t-il, pour ancrer ces mots à leur réalité, pour que Sahar ne puisse en aucun cas douter de ce qu’il pouvait ressentir. Et il renversa d’ailleurs leurs deux corps pour qu’ils puissent de nouveau se faire face, leurs deux silhouettes allongées l’une contre l’autre, leurs visages suffisamment proches pour que Levi ne vienne sceller ses lèvres contre celles de Sahar. Et il aurait pu jurer que ce baiser avait une saveur toute autre que tous ceux qu’ils avaient pu échanger, portant leurs promesses, celles de cet attachement qu’ils ne voulaient en aucun cas ruiner. « Depuis que j’ai compris que t’étais comme moi. » Répondit-il, se souvenant aisément de leur première nuit à vagabonder dans les rues de Bowen, où leurs âmes torturées s’étaient alliées au travers de leurs démons les plus vils. Et il se rendait compte Levi, combien Sahar avait été une évidence, dans le meilleur comme dans le pire. « Tu le voyais pas mais j’te matais derrière le comptoir. » S’amusa-t-il, s’affairant à alléger leurs confidences, pour ne pas les rendre trop lourdes pour leurs cœurs encore désarçonnés par les changements qui s’opéraient. « Encore fallait-il que tu me vois. » Souffla-t-il, un sourcil malicieux arqué, alors qu’il effleura une nouvelle fois ses lèvres, sans pouvoir s’en empêcher, sa main vagabondant contre le bas de son dos.
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mar 22 Aoû 2023 - 13:15
en fin de compte, y avait tout à revoir sahar. tu le savais, les choses ne pourraient pas rester éternellement telles qu'elles étaient actuellement. effectivement, tu t'voyais mal rester au wojna's après ça, toi qui, de toute évidence, n'aspirait qu'à une chose, le quitter. fallait avouer que depuis quelques temps, tu t'y pointais surtout par intermittence, voire, quasiment plus du tout. le fait était que, tu n'y avais plus vraiment ta place, et pour des raisons indéniablement flagrantes. et un an après, ta vie semblait également sur le point de s'octroyer un nouveau tournant, et non pas des moindres. et même si les changements qui s'opéraient aujourd'hui semblaient plutôt déconcertants, tu t'surprenais à espérer que c'était pour le mieux. logiquement, le doute avait fini par s'insinuer, sous couvert que si tu savais exactement à quoi tu devais renoncer, tu ignorais néanmoins, ce que tu y gagnais vraiment, en retour. sous-entendu que tu ne connaissais pas suffisamment levi, pour t'assurer avec certitude, de sa bonne foi. cependant, tu ne pensais pas te tromper, en affirmant que ses intentions ne te paraissaient pas particulièrement malveillantes, bien au contraire. certes, tu n'étais pas à l'abri, qu'il ait déjà usé de stratagèmes similaires avec d'autres avant toi, toutefois, tu trouvais cette hypothèse, plutôt tirée par les cheveux. demeurais-tu vraiment objective dans tous les cas? toi, dont l'opinion semblait de toute manière, faussée par ce que tu ressentais à son égard. tu le voulais levi, contre vents et marées, même si tu devais en laisser le peu de dignité qu'il te restait, et en outrepasser totalement le politiquement correct. après tout, tu n'étais plus à ça près, sous prétexte naturellement, que tu en avais déjà égaré l'essentiel. tu pourrais bien aller jusqu'à te damner pour un simple regard de sa part, consciente qu'il ne te faudrait pas rechigner face aux concessions nécessaires pour le garder. tu n'aspirais qu'à une chose, qu'il t'appartienne, entièrement, qu'il soit tien, sans possibilité jamais, d'échapper à ton emprise. et tu mentirais, si tu affirmais ne pas craindre le chaos qu'une telle exclusivité risquait d'engendrer. puisqu'il restait évident que ta jalousie, connaitrait un regain pour le moins intense à chacune de ses interactions. « pas qu'ici. j'suis sûre que tu connais des coins superbes dans les environs. » renchéris-tu, le ton empreint d'un sarcasme à peine voilé, tandis que tu préféras sans surprise t'attarder sur les mots qui suivirent. d'après-lui, tu étais la seule. intimement tu l'espérais, même si admettons-le, il n'aurait pas été tout à fait anormal que l'anglais papillonne de son côté, alors que vous n'étiez pas ensemble. t'allais pas lui courir après comme une cinglée, suite à une nuit passée dans le même lit. cependant ce n'était pas nécessairement à vos ébats, aussi torrides soient-ils que tu te référais, mais bien à l'aspect spirituel, qui paraissait clairement indéniable, entre vous deux. puis tu le questionnas dans la foulée, quant à cette éventualité pour que ce dernier te fasse encore confiance, au vu de ton geste impardonnable. plus que jamais, tu avais merdé concernant oskàr, et même si ce genre d'écart n'était pas forcément propre à ta personnalité, les faits étaient pourtant bien réels. alors peut-être, qu'au fond, tu faisais bien de le questionner. « j'sais pas. peut-être que tu pourrais toi aussi avoir une sale image de moi. » et ça te peinait d'imaginer, que ça pourrait potentiellement être le cas. après tout, il fut à lui seul, le témoin direct de ce dont tu étais capable, raison pour laquelle, il détenait entre ses mains, tous les prétextes imaginables pour ne pas avoir à t'faire confiance. toutefois, tu préféras chasser une partie de tes pensées inopportunes, cherchant exclusivement te recentrer sur l'attention de levi, au niveau de ton front. sûrement ignorait-il ô combien tu accordais à ce geste, une signification toute particulière, en témoigne la manière dont ton étreinte, s'était aussitôt resserrée contre son flanc. lèvre pincée, tu affichas là-aussi une moue plus que satisfaite, lorsque ce dernier s'empressa d'acquiescer à tes interrogations de la meilleure des façons. tu aurais pu jurer avoir senti ton palpitant s'emballer comme jamais, manquant au passage, de rater plus d'un battement. « ok. tu me veux, j'te veux.. on fait quoi? » demandas-tu, la mine un brin facétieuse, consciente que de cette situation, naissait un revirement étonnamment rapide. néanmoins, tu avais le sentiment qu'attendre, ne mènerait pas forcément à grand-chose non plus. tu le savais, il existait un aspect plutôt dérangeant dans ta manière de vouloir soudain accélérer les choses, et de l'autre, vous sembliez à chacun, plus que jamais convaincus quant à ce que vous désiriez vraiment, au point, qu'il n'était pas indispensable de patienter inutilement. « sous-entendu, qu'on est deux camés, qui se sont bien trouvés? » tu poursuis, manquant d'éclater de rire, tout juste après avoir résumé les circonstances de votre rencontre, d'une manière bien moins romancée. positionnée dorénavant face à ton amant, tu ne perdis pas de temps, pour tenter de t'en rapprocher davantage, une main, positionnée délicatement contre son visage. « comment j'aurais pu te louper? j'tai gratté mes meilleurs verres. » c'était une réalité, même lorsque vous en étiez réduis à vous adresser quelques mots seulement dans la foulée, levi, il continuait à t'glisser discrètement des verres le long du comptoir afin que tu puisses t'en délecter durant ton laborieux service. forcée de constater, que tous, n'avait pas été comme lui. et soudain, ton épiderme se mis à frissonner au contact de sa main à hauteur de tes reins, ses pulpeuses jouant des siennes, jusqu'à ce que tu ne viennes de toi-même, les sceller pour de bon, l'instant d'après. « j'veux plus jamais sortir d'ici. » lâchais-tu, au travers d'un souffle à peine audible, ton regard plongé dans le sien, tandis que ta mine révéla sans attendre, tes penchants les plus espiègles. probablement, y avait-il toute une immensité à découvrir autour, mais dieu savait, que tu en avais pas grand-chose à secouer, dans l'immédiat.
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Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mar 22 Aoû 2023 - 18:58
Il était évident qu’il y aurait des changements à venir, que le Wojna’s n’était plus une option pour elle comme pour lui, eux qui deviendraient probablement des indésirables après les histoires et les absences cumulées. La vie semblait prendre un tout autre tournant qu’il n’avait visiblement pas vu venir, à commencer par la présence de Sahar qui était devenue centrale dans ce renouveau. Levi, il désirait plus que jamais qu’elle prenne ce rôle primordial dans son quotidien, prêt à tout pour qu’ils ne puissent plus se quitter, pour les voir plonger dans les abysses d’une relation sentimentale dont ils seraient les deux acteurs principaux. Et il n’avait que faire des convenances et du fait qu’ils sautaient sûrement des étapes, lui qui n’était de toute façon pas un adepte du raisonnable. Sahar, il la voulait, comme jamais, désirant se l’accaparer dans son entièreté, pour que jamais leur lien ne puisse se réduire à néant. Il fit mine de rouler des yeux à ses propos suivants, qui dressaient un portrait de lui plutôt peu flatteur, d’un coureur de jupons qui s’amusait à papillonner d’âme en âme. « C’est vrai. Mais j’ai eu besoin de personne pour découvrir la région. » Répondit-il, préférant passer à autre chose, pour lui prouver sa bonne foi, comme s’il redoutait finalement ce que Sahar pouvait penser de lui. Sûrement n’avait-elle pas idée d’à quel point elle était la seule qu’il désirait, la seule qu’il voulait s’accaparer, et qu’il était prêt à lui donner sa vie pour épargner la sienne. Les confidences s’accumulant, Levi avait capté cette lueur de culpabilité traverser ses iris au moment où elle évoqua sa rupture avec Oskàr, se doutant au vu de la situation que les blessures étaient encore fraîchement douloureuses. Et pourtant, aux yeux de Levi, cet écart de conduite ne remettait absolument rien au cause, probablement parce-qu’il était la personne directement impliquée dans ces évènements qui les avaient conduit là où ils en étaient aujourd’hui. « J’ai aucune raison de craindre quoi que ce soit, non ? » La questionna-t-il, cherchant probablement à lui faire admettre qu’elle n’avait aucune intention de réitérer cet égarement s’il s’agissait de lui. Il voulait croire Levi, que leur histoire tout juste amorcée avait une importance considérable, et que c’était la raison qui les avait mené à prendre le risque d’y succomber. Ses lèvres tout juste pressées sur son front, l’anglais lui accorda un regard d’une bienveillance inégalable, juste avant de lui faire savoir qu’elle représentait à elle-seule tout ce qu’il désirait, ses mots à peine expiés provoquant un tumulte sans égal dans ses entrailles. « On commence les préparatifs pour le mariage ? » S’amusa-t-il, imposant volontairement quelques remarques légères entre eux, bien que son regard n’avait toujours pas daigné quitter le sien. « Appartiens-moi. » Souffla-t-il finalement, comprenant qu’il venait de franchir les dernières limites, sans même ressentir une once de regret, désormais incapable de refouler cette envie de la faire sienne. Et sans même s’en rendre compte, ses yeux étaient restés suspendus à ses lèvres, appréhendant d’une certaine manière la réaction de sa partenaire face à ce besoin imminent de concrétiser les choses. « J’aurais pas dit mieux. » Lâcha-t-il, laissant échapper un léger rire aux paroles de Sahar, qui décrivait à sa manière l’évidence de leur rencontre. Levi avait profité de leurs nouvelles positions pour lui délivrer de l’attention, appréciant cette proximité entre eux dont il était sûr de ne jamais pouvoir se passer. « C’est bien ça le problème, tu t’intéressais trop à mes verres, et pas assez à moi. » Fit-il mine de se plaindre, lui qui en était réduit à jalouser son attention lorsqu’elle ne lui était pas destinée, conscient qu’il n’avait pas ménagé ses efforts pour satisfaire la volonté de son acolyte. Sa main se baladant dans le creux de ses reins, il amorça un nouveau rapprochement, assoiffé de la moindre attention, ses lèvres tentant les siennes pour mieux les attirer la seconde d’après, satisfait de voir Sahar céder la première. « On peut prétendre qu’on aura jamais à le faire. » Lui souffla-t-il à son tour, ses lèvres parsemant les siennes d’attentions délicates, vrillant avec lenteur dans son cou alors que sa paume recouvrait toujours son épiderme. « T’as pas faim ? J’peux me lancer dans la deuxième tentative pour les lasagnes si tu veux. » Lança-t-il, le regard espiègle, tous les deux conscients que la première avait été bien rapidement avortée.
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mar 22 Aoû 2023 - 22:10
effectivement, tout s'était enchaîné très rapidement pour vous deux. votre soirée passée à la plage, semble-t-il eut été pour une raison que tu ignores, l'élément déclencheur de cette cacophonie sans nom. depuis, les choses s'étaient accélérées sans forcément que tu ne comprennes pourquoi exactement. de quelle manière, de collègues qui s'adressent tout juste la parole, vous en étiez rendus à la situation que vous connaissiez aujourd'hui. autant l'admettre, vous paraissiez vous affranchir de quelques étapes, toi plus que lui, puisque tu faisais le choix de ne te laisser aucun répit. d'une relation, tu t'apprêtais manifestement à passer à la suivante. pourtant, tu mentirais si tu disais que ton histoire avait oskàr n'avait pas compté. que tu le veuilles ou non, il demeurait une part intégrante de ton histoire, et tu ne chercherais pas à l'éradiquer. si ton palpitant manquait littéralement de rater un battement au contact de l'anglais, il continuerait également de battre pour celui que tu avais délaissé de la pire des manières. seulement, les circonstances s'avéraient bien différentes aujourd'hui. possiblement avais-tu nié l'évidence depuis trop longtemps, et le mexicain s'était malgré lui imposé, comme une victime collatérale. cependant, tu ne pouvais éternellement aller à l'encontre de ce que tu ressentais, même si la plupart de tes sentiments restaient dernièrement, plutôt illégitimes. c'était un fait, tu cherchais éventuellement à te donner bonne conscience en y admettant que si la situation était ainsi aujourd'hui, c'était très certainement qu'il ne devait pas en être autrement. et la culpabilité pourtant, ne suffirait pas à te détourner des plans qui vivement s'amorçaient entre levi, et toi. au grand dam du politiquement correct, et de l'opinion relativement dédaigneuse de ceux qui n'avaient généralement même pas leur mot à dire, tu ferais du motard, ton unique priorité. t'irais même jusqu'à lui consacrer ta vie entière, tes choix à venir, ne dépendant potentiellement que des siens, sans que tu perçoives, jamais, l'aspect toxique de ton attitude. après tout, tu doutais d'être plus malheureuse en te dévouant intégralement à levi, que tu ne l'avais été au cours des mois précédents. de plus, tu ne cesserais jamais de daigner nombre d'efforts, dans l'espoir de lui prouver de ta bonne foi. pour qu'il n'ait pas à craindre, aujourd'hui ou demain, cette éventualité pour que tu lui réserves un sort similaire à celui d'oskàr. revenue à votre discussion, tu ne répondis rien toutefois, lorsque ce dernier déclarait n'avoir besoin de personne pour découvrir la région. pas sûr que commencer à l'acculer de suspicions en tout genre dans l'immédiat, ne soit une solution. « évidemment, et j'te le prouverai. » clamas-tu, le plus naturellement du monde. t'avais certainement pas l'intention de réitérer sahar. tu avais commis l'irréparable une fois, une seule, et tu en subissais encore les conséquences. de plus, tu en avais pleinement conscience, la situation entre levi et toi, n'avait rien de comparable à la précédente. peut-être s'avérait-elle même la bonne? bien qu'il restait naturellement trop tôt pour te prononcer. mais une chose était sûre, il n'était plus question pour toi de le laisser filer. tu daignerais le nécessaire pour que jamais, il n'ait à s'échapper de ton emprise. pressant ses lèvres à hauteur de ton front, tu fermas les yeux l'espace d'une seconde, le temps notamment de profiter pleinement de toute l'attention qu'il voulait bien t'accorder. « j'ai une seule exigence. j'veux me marier à las vegas, entre elvis, et marilyn. » venais-tu aussitôt de renchérir, la mine profondément espiègle. les mariages, tout ça, c'était pas vraiment ton délire sahar, selon toi, ça avait quelque chose de trop, définitif. admettons seulement, que tu n'irais certainement pas jusqu'à te morfondre, si ça ne venait jamais à toi. ceci-dit, si tel devait survenir un jour, tu voulais que ce soit loin de bowen, et plus que jamais à ton image, autrement dit, non conventionnel. « je suppose que ça signifie, que tu m'appartiens aussi, dans ce cas? » glissas-tu, faussement candide, tandis que cette fois, tu lui faisais directement face, étendue de toute ta longueur. dans la foulée, tu viendras également t'en rapprocher, ses lèvres se jouant dangereusement des tiennes, jusqu'à ce que tu sois finalement la première de vous deux à céder. t'étais pas capable de lui résister à levi, et ton dérapage, en étant la preuve même. la vérité, c'est qu'il te fallait accepter l'hypothèse pour que tu ne sois pas toujours en mesure de le contredire. et votre conversation se poursuit, abordant à tour de rôle les circonstances de votre rencontre, et son évolution dans l'enceinte même du wojna's. autant dire, que les circonstances s'étaient avérées pas mal chaotiques entre vous, et votre relation, ponctuées de pas mal de déconvenus. outre le fait, que vous étiez effectivement, deux camés aux âmes tourmentées, et que pour cette raison, vous vous étiez plutôt bien trouvés. « et qu'est-ce qui te dit exactement, que j't'avais pas non plus à l'oeil? et non pas seulement tes verres. » admis-tu. puisqu'il fallait bien l'avouer, tu t'étais plus d'une fois surpris à lui adresser de vagues attentions, sans forcément te l'avouer, du moins quand tu n'étais pas en train de fricoter avec ton ex-partenaire, à l'abri des regards. et un sourire clairement aguicheur s'empara de tes pulpeuses, frissonnant au même instant, sous le coup de ses doigts pressant au bas de ton dos. ce besoin presque viscéral de creuser à cette promiscuité déjà ambiante, en devenait littéralement frustrante. tu aurais voulu ne jamais avoir à quitter ce lit sahar, l'anglais tout juste à ta portée, mais malheureusement, il vous faudrait vaquer à vos occupations, que vous en soyez contraints ou non. et alors que ce dernier mentionna l'éventualité de s'atteler à faire la cuisine, possiblement pour de bon cette fois, il t'accula paradoxalement d'attentions habiles, et susceptible de te faire une nouvelle fois vriller. « c'est donc de cette manière, que tu envisages la seconde tentative? » plus une rhétorique, qu'il en était en soi, d'une véritable interrogation. puis tu fis basculer ta tête en arrière, notamment pour mieux en ressentir l'effet de ses lèvres dans le creux de ton cou, cherchant également dans la foulée à te défaire de l'emprise exercée, afin de te redresser sur le matelas. « je pense que j'ai vraiment besoin d'une douche de mon côté. » pour des raisons évidentes déjà, puis en témoigne là aussi ta peau encore ruisselante de vos ébats passés. tu ne faisais strictement preuve d'aucune motivation, plus enclin assurément à te laisser retomber sur le lit, jusqu'à ce que tu ne trouves la force d'en sortir, plutôt qu'à te diriger jusqu'à la salle de bain, située à seulement quelques pas.
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Levi Wheeler
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STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mar 22 Aoû 2023 - 23:27
Si la situation paraissait délicate pour lui, il entendait qu’elle ne pouvait l’être que davantage pour Sahar, qui sortait tout juste d’une relation amoureuse dont la fin avait été abrupte, sans doute non-préméditée, faisant suite à ce rapprochement qui avait eu lieu entre eux. Levi, il savait parfaitement que la transition serait turbulente pour sa partenaire, surtout lorsqu’on savait que leurs envies semblaient se rejoindre, que leur désir de ne plus attendre se faisait plus urgent. Il n’y avait pas à tergiverser, à chercher un chemin qui les mènerait au même endroit, Levi prenant conscience qu’il la désirait en tant que partenaire de vie, prêt à lui dévouer la moindre pensée, la moindre attention, qu’elle ne devienne même le centre de son monde. Sans doute que les derniers instants passés avec Sahar lui avaient fait réaliser combien il ne souhaitait rien d’autre que ces moments avec elle, isolés de l’univers, où plus rien n’avait d’importance. Et ce n’était pas cet écart de fidélité qui détournerait son attention, Levi se nourrissant de chaque regard que Sahar lui accordait pour comprendre que rien n’avait été prémédité, et il était parfaitement placé pour savoir que leur rapprochement aurait été inévitable. Il se contenta d’un hochement de tête en guise de réponse, incapable de remettre en doute les mots et l’attitude de la brune à qui il semblait déjà vouer une confiance aveugle. Sans trop savoir pourquoi, Levi ne craignait rien de Sahar, convaincu que leur lien était capable d’outrepasser les pires tempêtes et les ouragans les plus déchaînés, que leur dévotion resterait intacte contre vents et marées. C’était cet instinct, profondément ancré en lui, auquel il voulait croire de toutes ses forces, quand bien même ils ne se trouvaient qu’aux prémices d’une relation nouvellement acceptée. « Tout ce que tu voudras, tant que tu me dis oui. » Enchaîna-t-il, son air espiègle répondant parfaitement au sien, son regard se chargeant d’une lueur volontairement charmeuse, qui ne cherchait qu’à convaincre Sahar de leur potentiel. Un baiser déposé à hauteur de son front, Levi laissa ses yeux retrouver la profondeur abyssale des prunelles de la brune, se forçant au calme alors qu’ils s’échangeaient des mots bien plus intimes, faisant écho à leur volonté de se lier, de mettre un nom sur cette complicité qui était la leur. « J’suis qu’à toi. » Souffla-t-il, mettant l’emphase sur ce détail qui lui prouvait son appartenance, prenant conscience que ces paroles échangées marqueraient un énième tournant et une avancée considérable pour eux deux. Et probablement que le commun des mortels les jugerait inconscients de ne pas suivre le chemin conventionnel d’une relation grandissante, qu’ils n’étaient de toute façon pas en mesure de respecter. Levi le savait, son instinct le lui affirmait, que son âme n’en réclamait qu’une seule et unique depuis un moment. Personne n’aurait jamais misé sur eux, eux les premiers, lorsqu’on savait à quel point leur équilibre avait été bancal, dés les prémices de leur rencontre. Ils avaient traversé les enfers ensemble, confronté la mort de près, jusqu’à comprendre ce qu’ils s’étaient évertués à refouler. « Probablement à cause de toutes ces fois où tu m’as envoyé balader. » Répondit-il, ayant fait mine de réfléchir aux paroles de sa partenaire, la légèreté surplombant leur échange alors que Levi continuait de lui délivrer de l’attention en masse. L’anglais savait que Sahar avait cherché à tenir ses engagements auprès d’Oskàr, l’incitant alors à se détourner de lui, pour ne pas envenimer davantage ses soupçons. Avec le recul, Levi comprenait qu’ils n’avaient pas été fondés sur du vent, que cette attirance avait été présente depuis le départ, sans même qu’il ne se l’avoue. Il aurait pu rester l’éternité entière à l’étreindre, à caresser sa peau du bout des doigts et à laisser ses lèvres goûter aux siennes, sans modération. Il en venait à regretter de savoir que le monde continuait de tourner, et qu’il leur faudrait s’échapper des draps à un moment ou à un autre. « C’est pour me donner un peu de courage… » Se justifia-t-il, le visage enfoui dans le creux de son cou qu’il parsema de douces pressions, laissant échapper un soupir lorsque Sahar s’écarta de son étreinte pour se redresser dans la foulée. Il ne put qu’apprécier la vue privilégiée sur ses courbes lorsqu’elle se dirigea vers la salle de bain, en profitant jusqu’à la voir disparaître de son champ de vision. Levi, il trouva tant bien que mal le courage de se redresser à son tour, enfilant son sous-vêtement jonchant le sol pour s’aventurer de nouveau vers la cuisine. Et il ne fut pas tant surpris que ça de ressentir déjà le manque de Sahar lui brûler la peau, les pensées à son égard tournant en boucle dans son esprit, alors qu’il s’affaira à débuter la recette qu’il lui avait promis.
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mer 23 Aoû 2023 - 13:09
pourtant, tu le savais sahar, tout ne serait pas toujours aussi idyllique qu'il semblait l'être actuellement. tout n'irait pas non plus systématiquement dans votre sens. à un détail près, que vous en aviez dorénavant l'habitude. faut dire que voguiez déjà depuis des plombes contre vents et marées, et que le résultat en fut pour le moins, surprenant. tu avais conscience de tes propres démons, et d'ô combien ils n'attendraient pas pour t'ramener à la réalité. tu ne faisais pas spécialement référence à tes addictions, mais davantage à cette jalousie qui finirait logiquement par s'octroyer le dessus. et dieu savait que dans ton genre, tu en deviendrais rapidement ingérable. l'appartenance à ce point marquée, ne demeurerait pas sans conséquences. tu avais ce tort d'imaginer qu'autrui était à toi, que chacun irait jusqu'à mettre sa vie en parenthèse seulement pour te faire plaisir, et souvent tu déchantais, quand tu réalisais que ce n'était pas forcément le cas. et une chose était sûre, c'était que les choses n'iraient certainement pas en s'améliorant. autant admettre de suite, que tu n'en finirais pas de mépriser toutes celles qui auraient l'audace que de s'approcher de trop près, de ce qui t'appartenait. de plus, tes propres écarts de conduite, te pousseraient forcément à être plus vigilante, à t'accrocher au détail le plus minime. mais est-ce que levi, s'avérerait lui aussi en mesure de te faire confiance à l'avenir? faut dire qu'il fut le témoin privilégié de tes penchants les plus destructeurs, et de tes actes les plus odieux. de ce fait, il aurait toutes les raisons du monde de ne pas t'accorder si ce n'est le quart, de ses espérances. et pourtant, ton dévouement lui serait sans pareil, à présent sur le point de lui consacrer ta vie entière. quoi que tu ne viennes à daigner, tu voulais que l'anglais fasse parti intégrante de tes plans, et autant dire que tu ne te ménagerais pas pour y parvenir. et toi sahar, pourtant connue pour être réticente à toute forme d'engagement, tu parues soudain, comme apaisée par cette éventualité pour que le motard t'appartienne de manière, bien plus définitive. c'était paradoxal à tes craintes les plus durables, néanmoins, tu compris à sa réponse, que vos divagations, ne s'avéraient pas forcément incompatibles. « ça serait con d'faire tout ce trajet pour dire non. » pouffas-tu, un éclat pour le moins facétieux traversant aussitôt tes iris, relevées en direction de ce dernier. votre échange, même essentiellement teinté d'une légèreté considérable au premier abord, restait pourtant, l'approche la plus décisive que vous ayez entamé, depuis que la situation, s'était octroyée un tournant lourd de conséquences. puis levi, affirma t'appartenir, ce à quoi tu te contenteras en guise de réponse, d'un sourire profondément satisfait. c'était effectivement ce que tu espérais entendre, qu'importe si vos propos, n'avaient au fond, rien de spécialement anodins. cette volonté que de le faire tien au point de le couper du monde entier, n'avait en effet, rien de banale. puis votre conversation dévia cette fois en faveur du wojna's, ici même, où vous vous êtes, en terme d'échanges, plusieurs fois limités au strict minimum. nombre de verres glissée le long du comptoir, sans que tu n'aies forcément besoin de lui adresser la moindre attention, en retour. dans ce cas, il fallait reconnaitre, que tu n'avais pas été la plus démonstrative à l'égard du barmaid, mais les circonstances, étaient encore très différentes à cette période. « j'avais pas le choix, levi. » admis-tu, presque comme si tu implorais son pardon. de plus, rien ne certifiait que si les conjonctures s'étaient autrement révélées, vous en seriez là aujourd'hui. et dans la foulée tu absorbas chacune des délicatesses t'étant directement octroyées, allant même jusqu'à relevée la tête, pour mieux en ressentir les effets procurés. t'avais strictement aucune envie de quitter ce lit, t'aurais sans difficulté pu y passer le restant de la journée, jusqu'au lever du jour, sans que ça te pose le moindre problème. tu le savais sahar, si tu ne tentais rien pour te redresser tout de suite, tu ne le ferais jamais. raison pour laquelle tu mis laborieusement un terme à votre intimité, t'apprêtant dorénavant à rejoindre la salle de bain, tu adressas au passage un clin d'oeil complice à ton partenaire. tu en étais finalement ressortie, une quinzaine de minutes plus tard, vêtue essentiellement d'un t-shirt trop grand pour toi, et la crinière détrempée. et autant dire que tu fus plutôt rassasiée à la vision d'un levi, s'affairant manifestement aux fourneaux. et si tu ne manquerais certainement pas l'occasion de le rejoindre les secondes à venir, tu fis toutefois, un détour jusqu'à ton sac, duquel tu extirpas sans attendre une bouteille de vodka, et ton paquet de clopes. après tout, tes addictions n'allaient assurément pas disparaitre comme par magie. et à peine venais-tu de récupérer tes indispensables que tu recouvras à cette faible distance entre lui et toi, en t'appuyant contre le plan de travail, un bâtonnet, tout juste amorcé, glissé nonchalamment entre tes pulpeuses, la récipient contenant ton précieux liquide, à porté de main. « tu penses vraiment qu'on devrait retourner à bowen? » demandas-tu, presque trop sérieusement, expiant déjà les premières bouffées blanchâtres. « cette ville est du genre à tout compliquer, et j'ai pas envie de revenir au wojna's. » admis-tu, tout en épiant chacun de ses faits et gestes, avant que ton regard ne vienne finalement à dévier sur la bouteille située à côté de toi, que tu pointas d'abord, d'un hochement de la tête. « t'en veux? »
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Levi Wheeler
MESSAGE : 25010 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mer 23 Aoû 2023 - 18:57
C’était sans doute là où ils avaient une longueur d’avance, dans le fait qu’ils avaient déjà traversé les enfers, seuls ou ensemble, et que même dans l’adversité, leur lien n’avait cessé de se renforcer. Paradoxalement, Levi ne craignait aucunement cet engagement tacite entre eux, comme s’il savait d’ores-et-déjà qu’il ne pouvait pas se tromper, qu’il ne s’agissait là que de la suite logique des choses. Sahar, il la désirait comme jamais, et qu’importe le temps qui s’écoulerait, ce fait resterait avéré quoiqu’il ne puisse arriver. A ses yeux, il n’y avait aucune raison de patienter davantage, si ce n’était d’admettre davantage de frustration entre eux, vis-à-vis de ce besoin viscéral de s’appartenir. Et le fait de comprendre à présent que sa relation précédente s’était terminée au moment où la leur s’était révélée, ne changeait absolument rien à sa vision des choses, Levi étant le premier à comprendre que le contrôle pouvait parfois leur échapper. « J’trouve aussi. » Rétorqua-t-il, l’air espiègle au possible alors que la légèreté était de mise entre eux, bien que leurs paroles échangées soient chargées d’une véritable volonté de se lier un peu plus officiellement l’un à l’autre. Ce fut d’ailleurs la première fois que Levi lui confirma à travers des mots sans équivoque, que son âme était sienne, le palpitant emballé par cet échange complice et authentique qui scellait cette promesse d’appartenance. Et ce fut le moment opportun pour eux de revenir sur leurs débuts chaotiques, sur cette relation basée sur un échange de bons compromis jusqu’à ce que leurs destins ne finissent par basculer. S’il avait l’air de lui reprocher la distance qu’elle lui avait imposée, il n’en était rien, Levi le lui faisant comprendre en faisant lentement glisser sa main jusqu’à son visage, d’un geste infiniment tendre. « Je le sais, je t’en ai jamais voulu. » Souffla-t-il, ses mirettes plongées dans les siennes, éclairées d’une lueur qui se voulait rassurante. Parce-qu’il n’était absolument pas question de lui reprocher sa fidélité, lui qui comprenait parfaitement sa volonté de protéger son couple à cette époque. Et probablement que ses sentiments à l’égard d’Oskàr continueraient d’exister quelque part en elle, après cette année entière à l’avoir visualisé comme son partenaire de vie. Levi était conscient qu’il ne pourrait jamais l’effacer, que le plongeur faisait partie de son histoire, et que rien ne lui permettait de faire disparaître l’empreinte qu’il avait laissé sur Sahar. Décidé de ne pas laisser les nuages couvrir leur ciel, Levi s’affaira à s’approprier la peau de sa favorite, juste après avoir émis l’idée de reprendre la recette de leur plat là où il l’avait laissé. Il était conscient qu’il se rendait la tâche difficile en succombant à son besoin de la toucher, comme s’il était incapable de se raisonner lorsqu’il s’agissait d’elle, trop faible pour résister. Heureusement pour eux, ce fut Sahar qui trouva en première le courage de s’écarter de lui, pour rejoindre la cabine de douche, l’incitant à son tour à se redresser pour retrouver les fourneaux. Il profita de l’absence de la brune pour avancer au maximum la préparation de leur plat, un léger sourire étirant inévitablement ses lèvres au moment où Sahar refit son apparition dans son champ de vision, les mains visiblement chargées. Il observa du coin de l’œil la bouteille disposée sur le plan de travail, avant de capter de nouveau son attention. « Pour le Wojna’s, j’pense qu’il faut qu’on trouve vite une solution. Pour Bowen, j’crois qu’on n’a pas trop le choix pour le moment. » Répondit-il, de nouveau concentré sur ses gestes pour ne pas foutre en l’air tout le plat, lui dont l’attention pouvait vite être perturbée par la présence de la brune à côté de lui. « Puis on pourrait pas s’enfuir sans Luke. » Ajouta-t-il, conscient que ce détail faisait entièrement basculer la balance. « C’est quoi le plan, me rendre ivre pour mieux me menotter au lit ? » Souffla-t-il, arquant un sourcil joueur alors que son regard dévia sur le récipient, Levi tendant finalement la main pour s’en saisir et en boire une gorgée, directement au goulot, grimaçant légèrement à la brûlure de la liqueur alcoolisée le long de sa gorge. Il redéposa la bouteille, reportant un instant son attention sur le plat qu’il enfourna dans la foulée. « Ça devrait être prêt dans une trentaine de minutes. » Expia-t-il, revenant vers Sahar, lui dérobant malicieusement sa cigarette pour la coincer entre ses lèvres, le temps d’une bouffée de nicotine, avant de la lui rendre. « On partage tout maintenant, non ? »
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mer 23 Aoû 2023 - 22:21
l'heure semblait visiblement propice aux confidences. vous risquant à tour de rôle à quelques mots, davantage intimes que les précédents. effectivement, c'était la première fois que vous abordiez ouvertement le sujet de votre relation, de vos envies d'aujourd'hui, et du chaos d'autrefois. tu mentirais si tu affirmais qu'en soi, ça n'avait pas quelque chose de symbolique à tes yeux, bien que malgré la légèreté environnante, la discussion, ne te réjouissait pas des masses. les circonstances s'enchaînant quant à elles à vive allure, tu n'avais pas nécessairement eu le temps de les appréhender comme il se devrait. en dépit du politiquement correct, t'avais simplement fait le choix de foncer tête baissée, au risque de t'y casser les dents. après tout, qu'elle serait l'utilité te concernant de patienter encore? si ce n'était pour potentiellement te donner bonne conscience? et puis, soyons honnêtes, à l'exception de celle d'oskàr, qu'en avais-tu simplement à secouer de l'opinion d'autrui? peut-être était-ce là tout le problème, victime d'une frustration particulièrement fulgurante, depuis trop longtemps. alors, même si tes intentions semblaient profondément illégitimes au regard du monde entier, tergiverser ne soulagerait pas à ton manque cruel de scrupules au vu de tes actes les moins élogieux. tu voulais levi, tu mourrais d'envie de le faire tien comme jamais. tu n'aspirais qu'à une chose lui consacrer ta vie, l'inclure par-delà chacun de tes plans, même les plus sordides. tu voulais que votre relation s'affranchisse de toutes les limites, et autant dire que vous en aviez déjà outrepassé quelques-unes. de ce fait, votre échange parut tout d'abord couler de source, comme si rien n'était en mesure d'absoudre à votre si étonnante complicité. d'ailleurs, tu n'eus rien répondu aux ripostes de ce dernier, t'contentant essentiellement d'un sourire satisfait, ou au mieux, compatissant. pour l'heure, tu pris de toi-même cette initiative pour le moins laborieuse de te redresser, afin de te diriger vers la salle de bain, le laissant au passage, vaquer à ses occupations. et le plus naturellement du monde, t'avais refais ton apparition, vêtue du strict minimum, la chevelure encore imbibée, récupérant dans la foulée quelques-uns de tes indispensables. et t'avais pas perdu de temps pour te poster à hauteur de l'anglais contre le plan de travail, lui adressant également et sans la moindre discrétion, nombre de coups d'oeil, relativement appuyés. et pendant que lui s'affairait aux fourneaux de son côté, toi, tu ne lui étais tout simplement d'aucune praticité. un bâtonnet lové nonchalamment entre tes pulpeuses, que tu t'empressais déjà d'en expier les premières bouffées, tout en exprimant cette volonté non dissimulée que de disparaitre définitivement de bowen, et de ne jamais plus revenir à la rhumerie, où tu le savais, pour des raisons tout à fait logiques, vous n'aviez plus votre place. tu fus pas tellement surprise par la riposte de ton amant, effectivement, quitter la ville ne serait pas une mince affaire, plus encore, avec ton canidé. d'abord frustrée, tu tentas spontanément ne de rien lui communiquer, sous couvert, que tu t'éternisais rarement au même endroit, lorsque la situation ne s'avérait pas en ta faveur. cependant, tu t'assurais toujours de faire garder ton animal, lorsque dans les cas les plus extrêmes, tu n'étais pas en mesure de l'emmener avec toi, parmi tes périples. « j'compte pas retourner au wojna's. j'suis prête à faire n'importe quoi, mais j'peux pas revenir là-bas. » pour des raisons plus ou moins évidentes. néanmoins, il te faudrait, plus que jamais trouver une solution de repli. frottant nerveusement un coin de ta tête de la paume de la main, tu fis spontanément en sorte de plonger ton regard dans le sien, l'air faussement concerné. fallait admettre, que tu ne roulais pas suffisamment sur l'or pour t'permettre de jouer éternellement les indécises. « tu m'crois vraiment capable de foutre le camp sans prendre mon chien? » vins-tu le questionner, mimant d'avoir été offensée, bien qu'il n'en fut rien. levi étant dorénavant le mieux placée pour savoir que tu ne t'en irais pas, sans emporter l'essentiel avec toi. « m.rde, tu viens de deviner mes plans. j'comptais effectivement te menotter au lit. j'ai d'quoi faire sur moi. tu y vois aucun inconvénient, j'imagine? » pouffas-tu sur un ton similaire à levi, lèvre pincée. et autant dire, que l'éclat pour le moins soudain qui traversa en totalité tes mirettes, attestait déjà de tes intentions profondément impures. tu épias chacun de ses faits et gestes, le suivant inlassablement du regard. et tandis qu'il se délecta une première fois du contenu de la bouteille, s'échappa d'entre tes pulpeuses, un voile visiblement opaque, derrière lequel se dissimulait toute une partie de ton visage. « une trentaine de minutes, ça laisse le temps d'en faire des choses, non? » poursuis-tu, la mine terriblement enjôleuse. tu cherchais avant tout à le provoquer, probablement à entretenir la tension déjà palpable, comme pour t'assurer de le rendre entièrement accroc. mais à peine prononças-tu ces quelques mots, que l'anglais se saisit de ton mégot afin de se délecter à son tour du poison en qui en découlait, avant de te le rendre presque aussitôt. « tout ce que tu veux. » avais-tu glissée au travers d'un murmure à peine audible, avant d'attirer ce dernier contre toi, tes bras se nouant immédiatement autour de son cou. ta bouche s'accaparant la sienne, sans répit, tu n'aspirais qu'à recouvrer à cette aura profondément réconfortante qui émanait distinctement de lui. ce contact, aussi anodin soit-il qui pourtant, semblait comme, démesurément te rassurer.
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underworld •• this is what happens when you listen to the voices of the underworld. they crawl into your soul and rot you from the inside.
Levi Wheeler
MESSAGE : 25010 ICI DEPUIS : 18/06/2018 CRÉDITS : endless love (av), awona (sign), strangehell (icons)
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Mer 23 Aoû 2023 - 23:59
Levi était satisfait de constater qu’ils semblaient sur la même longueur d’onde, se refusant d’attendre inutilement pour concrétiser cette relation sur laquelle ils fondaient leurs espoirs. L’anglais savait pertinemment ce qu’il voulait, où est-ce qu’il voulait aller, quand bien même il n’avait jamais été un adepte des plans déjà fondés. Pour la première fois, il semblait parfaitement connaître la direction à emprunter, convaincu qu’il avait plus à y gagner qu’à y perdre. Sahar, il la désirait de tout son être, sans limites, n’aspirant qu’à se l’accaparer sans retenue, jusqu’à montrer au monde entier qu’elle était entièrement sienne. Sans doute était-ce une volonté, certes égoïste et illégitime, de vouloir participer à ce renouveau que Sahar accordait à sa vie, d’en être même l’élément principal, central, d’être au cœur de ses nouvelles fondations. Et il était prêt Levi, à lui prouver combien elle pouvait compter sur lui, que ses épaules étaient capables de supporter leurs deux poids si elle désirait se reposer. Il se savait capable du meilleur, comme du pire pour elle, pour la protéger du monde entier, conscient qu’il serait davantage sur ses gardes avec le déploiement de leur relation. Levi, il avait laissé Sahar s’échapper de leur étreinte, ahuri par la beauté qu’elle dégageait, par ce charme dont il était sans doute la première victime, ses yeux se délectant de ses courbes alors qu’elle se dirigeait vers la pièce jouxtant la chambre. Il s’était efforcé à se redresser à son tour, s’affairant à la préparation de leur repas, l’esprit encore embrumé par les souvenirs enivrants de leurs moments de chaleur. Levi, il savait qu’il n’était pas près de s’en défaire, songeant déjà à retrouver ses bras, à s’enivrer de son parfum et l’enserrer contre lui. Il se savait atteint en profondeur, lui qui avait déjà Sahar dans la peau, sans même en comprendre réellement le sens, acceptant cette addiction qui semblait se répandre en lui comme une traînée de poudre. Il avait d’ailleurs senti ses sens s’éveiller davantage suite à l’apparition de la brune dans la cuisine, se forçant à rester concentré sur la recette qu’il exécutait, au moins jusqu’à la cuisson. « Tu veux trouver un autre bar ? » La questionna-t-il, sans réellement savoir ce qu’elle envisageait pour la suite, imaginant sans mal les raisons qui la poussaient à s’éloigner du Wojna’s, puisqu’il les partageait intégralement. Il était conscient qu’il s’agissait là d’un sujet plus que sensible, eux qui se trouvaient dans l’urgence de trouver un autre moyen de subvenir à leurs besoins. « Evidemment que non. Luke avant tout. » Répondit-il, rentrant volontairement dans son jeu, un air malicieux s’emparant de ses traits, lui qui avait pu comprendre le lien fort qui unissait Sahar à son fidèle compagnon. « C’est que je commence vraiment à te cerner. Mais ouais, j’te l’ai déjà dit, t’as le droit de faire ce que tu veux de moi. » Poursuivit-il, usant volontairement de mots qui n’avaient que pour but de la tenter davantage, amusé par leur échange et leur manière plus ou moins subtile de vouloir s’accaparer. Et Dieu sait qu’il aurait pu tout lâcher maintenant pour laisser sa partenaire le menotter à elle, luttant avec force contre l’envie de tout envoyer valser et lui appartenir jusqu’à leur dernier souffle. Il fallait avouer que les regards que lui lançait la brune ne l’aidaient en rien à se concentrer, lui qui fut d’ailleurs soulagé de constater que sa préparation s’achevait enfin, lui permettant de recentrer toute son attention sur son amante. « Dis-moi à quoi tu penses. » Souffla-t-il, le regard aussi enjôleur que le sien, le corps déjà réchauffé par les avances dissimulées de la brune, Levi profitant de leur rapprochement pour s’emparer de son mégot, avant de lui rendre dans la foulée. Et il ne put que sombrer à ses mots murmurés, se pinçant discrètement la lèvre avant de défaillir à l’impact de ses lèvres contre les siennes, ses mains glissant le long de ses côtes, jusqu’à ses hanches pour finalement se retrouver dans son dos, l’enlaçant au plus près de lui. « Tu sais que j’commence presque à flipper. A me demander comment j’vais faire quand on rentrera à Bowen. » Ajouta-t-il, dans un souffle à peine audible, son front venant se caler contre le sien, sous-entendu qu’il avait peur de ne pas savoir gérer son absence, lui qui se complaisait bien trop dans cette vie à deux, coupée du monde entier.
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi) Jeu 24 Aoû 2023 - 12:29
et soudain, survenait une interrogation à laquelle tu ne su pas vraiment répondre. pourtant, si elle fut en apparence la plus compliquée, n'en restait pas moins la plus essentielle. qu'allais-tu faire dorénavant, maintenant que quitter la rhumerie, ne semblait plus seulement une hypothèse? un mal pour un bien, dans les faits, puisqu'on ne comptait plus le nombre de fois, où tu avais ouvertement évoqué ton désir de la quitter. mais un problème semblait néanmoins persister, que comptais-tu faire en échange? toi qui ne cherchais même plus à dissimuler ta lassitude, lorsqu'il s'agissait d'être au service de parfaits inconnus, dont l'attitude manquait rarement une occasion de te rebuter. à la base, ton calvaire ne devait être que temporaire, aussitôt tu finissais systématiquement par disparaitre parmi des contrées plus ou moins lointaines, sans jamais te fixer une date de retour, puisqu'on ignorait tout simplement, si tu reviendrais un jour. cependant, tes élans vagabonds furent avec le temps, tout bonnement contrariés, et la situation telle que tu la connaissais aujourd'hui s'était malheureusement éternisée. tu ne t'épanouissais pas au wojna's, en fin de compte, ça n'avait même jamais été le cas. ce fut pas tant l'endroit en lui-même, que ce job de serveuse, qui était loin de te correspondre. et autant dire, que tu ne doutais pas de la qualité médiocre, non pas de ton service qui n'était plus à prouver, mais de ta réputation dans l'enceinte de l'établissement. t'aspirais à davantage sahar, le souci, c'était que tu ignorais encore à quoi. et si ta vie sentimentale semblait s'octroyer un tournant pour le moins conséquent, l'aspect professionnel quant à lui, stagnait à son plus bas niveau. « j'ai envie d'autre chose. juste que je ne sais pas de quoi. » admis-tu, l'air très certainement désabusée. de plus, ce changement ne te concernait pas toi, uniquement, de manière logique, il finirait également par affecter l'anglais, selon notamment la vitesse à laquelle, continuait d'évoluer votre relation. tout ce dont il s'avérait incontestable pour l'instant, c'était ton souhait vivement formulé de ne pas retourner à la rhumerie, concernant le reste, ça semblait déjà une autre histoire. mais le sujet dévia dans la foulée, en faveur de ton canidé, sous couvert, que quoi que tu envisages à l'avenir, il n'était pas question de t'en détourner. et aux mots prononcés par ce dernier, tu ne répondis rien, te contentant essentiellement de lui adresser un plissement un brin espiègle, en plus des nombreux regards pour le moins appuyés que déjà, tu lui lançais. et figé moment dans son élan, levi poursuit, affirmant au passage, te laisser faire de lui, ce dont tu souhaitais. autant l'admettre, ce genre même de confidence, n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde. il n'avait pas fallu de grand-chose pour que ton corps réagisse, envieux à en crever. vos ébats se terminaient à peine, que tu rêvais à nouveau de totalement le posséder. c'était flippant sahar, à croire que tu développais un trouble supplémentaire, une addiction de plus, que tu ne parvenais absolument pas à réfréner. et manifestement, le barmaid n'aspirait pas à beaucoup t'aider, puisqu'au contraire, il paraissait plutôt enclin à alimenter ce besoin presque devenu vital, de le faire tien. « dis pas des trucs comme ça, levi. tu sais aussi bien que moi, que j'suis pas sûre de pouvoir me contrôler, après. » sous-entendu, que tu pourrais immédiatement lui sauter dessus, au grand dam des lasagnes relayées plus d'une fois au second plan. tu voulais te l'accaparer, le marquer au fer rouge. tu pourrais te damner pour l'attention la plus minime qu'il puisse t'accorder. t'en avais rien à secouer du peu de dignité qu'il te restait, tant que tu étais assurée d'entièrement te l'accaparer. expiant plus d'une fois d'entre tes pulpeuses, une voile blanchâtre relativement opaque, tu avais dans la foulée, et un peu par hasard mentionné l'hypothèse qu'une demi-heure en suspend, ça vous laisse le temps nécessaire pour peut-être vaquer à vos occupations. « j'sais pas trop. au pire, j'te menotte et on voit. » renchéris-tu aguicheuse au possible, ton regard se noyant sans attendre, dans le bleu azuré du sien. effectivement, il s'agissait-là d'avances à peine dissimulées, et levi, l'eut apparemment, bien compris. et si vous cherchiez un moyen de ne plus sortir de votre bicoque pour le week-end, autant le dire tout de suite, vous étiez plutôt bien partis. ce dernier s'empara au passage de ton mégot, avant de te le rendre la seconde suivante, tandis que toi, de ton côté, tu avais déjà amorcé un rapprochement en sa faveur. tes bras venaient-ils déjà se nouer autour de son cou, alors que tes lèvres se scellèrent aux siennes, sans plus attendre. mais toi, il t'aurait pas fallu de beaucoup plus pour défaillir, lorsque ses mains, vinrent à chacune glisser jusqu'à tes hanches, avant de terminer leur course, au niveau de ton dos. le moindre contact, même le plus anodin, semblait à chaque fois, s'octroyer une ampleur considérable. « j'peux te séquestrer à l'appart', si c'est que ça. » soufflas-tu, toi aussi dans un murmure, qu'il resterait à jamais le seul à pouvoir distinguer. ton front plaqué contre le sien, une mains longea une partie de son abdomen, l'autre, pressant fermement contre son dos, comme si tu tentais de lui signifier qu'il t'appartenait. cependant, tu devais bien admettre, qu'il n'était pas le seul à redouter la séparation, qu'importe si elle s'avérait de courte durée. et possiblement, vous faudrait-il trouver la solution la plus adéquate, même si elle paraitrait très certainement, prématurée.
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Sujet: Re: if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi)
if i lay here, would you lie with me and just forget the world? (levi)