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Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 la mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie (nolàn)

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Anonymous
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MessageSujet: la mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie (nolàn)   la mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie (nolàn) EmptySam 20 Avr 2013 - 9:41

la mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie (nolàn) Tumblrmk3hny4aw31s55843
Ce soir, je me sentais d'humeur cruelle. J'ai parfois ce flot malsain qui traverse tout mon corps, tout mon être, en me chuchotant à l'oreille de faire souffrir autrui. Je ne suis pas malade, non. Je n'aime juste pas les choses qui se construisent et se stabilisent, les grandes histoires, les envolées, les gouvernements... Je haïssais tout cela car leur raison d'être était de répandre la joie, l'eau fraîche, la bonne humeur. Mais que serait notre monde sans la cruauté, la tromperie ? On ne peut profiter du bonheur si l'on ne goûte pas très fortement à la peine et les années me l'ont très rapidement inculqué. J'avais rencontré ce garçon, Nolàn, assez par hasard. La première chose que j'avais vu chez lui était son amour débordant pour quelque pucelle inconnue au bataillon. Cela m'a tout de suite frustrée. Non que j'ai quelque attirance pour lui, mais son attirance semblait tellement pure, belle, adolescente, que la vision de ce bonheur idiot a tout de suite éveillé la rage destructrice qui sommeillait en moi. Lorsque l'on détruit quelque chose, il faut le faire avec style et subtilité. C'est pourquoi je me suis doucement approchée de lui, avec la démarche d'un fauve face à sa proie. En silence, les yeux rivés sur ma proie. Il m'avait fait comprendre que jamais il ne se détacherait de cette jeune femme, mais je pense qu'il faut lui faire un peu oublier. Après tout, j'ai cru comprendre que son amour était à sens unique, que jamais sa belle ne lui avait donné satisfaction. Je m'en frottais les mains. Je l'avais invité au bar ce soir, pour arroser un peu ses amours déçues. Je voulais que cette soirée soit mémorable. Même à cette heure avancée, la chaleur était étouffante. J'enfilais ainsi un débardeur blanc et un short kaki avec des petites bottines. J'étais assez affriolante attifée ainsi, j'espère qu'il le remarquera. Il fallait bien le mettre en jambes pour ce qui allait suivre. Arrivée au bar, grouillant de monde, je pris place au comptoir. Il n'était pas encore arrivé. Je commandais un shot de tequila, que je m'enfilais naturellement. J'en pris aussitôt un autre. Il fallait que je me prépare moi aussi. La soirée allait être longue.
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MessageSujet: Re: la mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie (nolàn)   la mère de la débauche n'est pas la joie mais l'absence de joie (nolàn) EmptyJeu 25 Avr 2013 - 6:40

Fumer. J'étais tranquillement allongé dans ma piaule, clope au bec. Remplissant doucement mes poumons avant de m'amuser à recracher cette douce fumée. Ça avait le don de me détendre, j'étais bien quand je fumais, j'oubliais totalement mes galères, dont Dana qui ne m'a toujours pas montrer quelques intentions plus singulières. J'étais son ami et fallait que je m'y fasse. D'ailleurs ce soir, je sortais, avec Joséphine. Elle, elle était pas comme les autres filles, cela se sent. Elle était plus volcanique que Dan' et par moment avoir une p'tite garce qui vous secoue ça vous fait du bien. Attention ! Le « petite garce » est bien entendu affectif. Regardant l'heure, je me levais d'un bond,écrasant ma cigarette dans le cendrier. « Merde, suis en retard, elle va me tué. » Enfilant un simple jean accompagné d'une chemise, je m'évadais, fermant mes boutons dans la rue. On avait rendez vous au bar, ce qui allait dire qu'on allait boire, tant mieux je tiens plutôt bien l'alcool. Poussant la porte de se bistro dans piteux état, balayant l'assemblée du regard. Ah ! Elle était au comptoir et sa tenue était vraiment légère, qu'est ce qu'elle pouvait bien avoir en tête encore ? Je m'approchais doucement, ma démarche assuré comme à mon habitude avant de me laisser tomber sur un des tabourets. Lâchant d'un ton désinvolte « Très en beauté ce soir. » Je me penchais pour embrasser ça joue, commandant par la suite une simple vodka. Il était encore tôt, on va y allait progressivement.
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