Sometimes, just shuting up your mouth would be better. → ft. Osanna (terminé)

Tu t'approches de lui, un peu plus que nécessaire. ❝ Vraiment, oui. Un faiblard plutôt mignon, et blessé, je pourrais m'occuper de toi, tout ça. Comme l'infirmière sexy dans les séries. ❞ souffles-tu en riant un peu. Tu écoutes sa réponse, en levant les yeux au ciel. ❝ Un bisou magique et c'est fini en gros? ❞ proposes-tu, en souriant un peu.

❝ Vraiment, oui. Un faiblard plutôt mignon, et blessé, je pourrais m'occuper de toi, tout ça. Comme l'infirmière sexy dans les séries. ❞ Hadès ne put s'empêcher d'éclater de rire. « Avec la tenue carrément ? » Puisqu'on en était là, pourquoi pas dépasser un peu plus les bornes ? Surtout à la distance à laquelle était Osanna du professeur de sciences. « J'en ai jamais eu, mais tu peux essayer, voir si ça fonctionne ! » En fait, Hadès ne sentait strictement plus rien, mais ça le faisait rire d'aggraver verbalement quelque chose d'aussi bénin.

« Avec la tenue carrément ? » Tu souris à sa proposition. « Evidement, saches que je ne fais jamais les choses à moitié moi. » Tu cesses de caresser sa peau, et tu enroules tes bras autour de sa nuque, le regardant dans le blanc des yeux. « J'en ai jamais eu, mais tu peux essayer, voir si ça fonctionne ! » Toi non plus, jamais tu n'en as eu, jamais tu n'as eu une quelconque preuve d'amour. « Testons alors. » dis-tu pleine d'entrain, en approchant doucement tes lèvres de... sa joue.

« Evidement, saches que je ne fais jamais les choses à moitié moi. » « Intéressant, je tâcherai dans m'en souvenir ! » Un nouveau rire émana de la bouche de Hadès qui appréciait définitivement de s'être fait tabasser par ces brutes sans nom. « Testons alors. » Osanna avait placé ses bras autour de la nuque du professeur de sciences, pas farouchement opposé à l'idée. « Je crois que la douleur commence à diminuer, mais tu devrais persévérer, je suis difficilement soignable. »

« Intéressant, je tâcherai dans m'en souvenir ! » Tu lui souris.« C'est une bonne idée. Enfin pour ça, il faut que tu te souviennes de cette soirée. » Tu lui proposes un bisou magique, qu'il accepte, et tu poses délicatement tes lèvres sur sa joue. « Je crois que la douleur commence à diminuer, mais tu devrais persévérer, je suis difficilement soignable. » D'un hochement de tête, tu lui réponds, et tu approches tes lèvres des siennes, l'embrassant d'abord furtivement.

« C'est une bonne idée. Enfin pour ça, il faut que tu te souviennes de cette soirée. » Ca n'était sûrement pas le peu d'alcool qu'il avait bu tout à l'heure qui l'aurait empêché de se souvenir de tout ça. « Pourquoi, tu comptes me faire quelque chose que je ne soupçonne pas ? » Un léger sourire apparut lorsqu'elle posa ses lèvres sur sa joue. Assez dominé dans la partie, Hadès se laissait faire de bout en bout, pourquoi ne pas en profiter ? Surtout quand l'intéressée n'avait pas froid aux yeux, et qu'elle approchait ses lèvres de celles du professeur. Amusé, il se laissa faire, encore, attendant de voir jusqu'où irait Osanna.

« Pourquoi, tu comptes me faire quelque chose que je ne soupçonne pas ? » Tu prends un air tout ce qu'il n'y a pas d’innocent. « Tout à fait, tu as tout compris mon beau. » susurres-tu. Tu poses tes lèvres sur sa joue, ensuite sur ses lèvres, en un rapide baiser, avant de les coller avec envie. Froid aux yeux, tu n'as jamais eu, carpe diem bon sang! Tes mains passent dans ses cheveux, et tu te presses un peu contre lui.

« Tout à fait, tu as tout compris mon beau. » Intrigué, Hadès ne put s'empêcher de lui répondre. « Tu m'en dis un peu plus ou je vais devoir attendre de voir ce que tu me réserves ? » Empli d'envie par le furtif baiser de la belle, il lui sourit un peu plus lorsqu'elle passe ses mains dans ses cheveux. Elle se rapprochait encore un peu plus de lui, et c'est là qu'il décida de poser à nouveau ses lèvres sur celles d'Osanna, sans, cette fois, cette timidité qu'il y avait eu la première fois.

« Suspens chéri, suspens. » souris-tu en le regardant dans les yeux avec un grand sourire. Tu caresses ses cheveux, puis sa nuque, et emprisonnes enfin ses joues entre tes mains, et introduis avec envie ta langue dans sa bouche, en t'asseyant sur lui, et passant une jambe de par et d'autres de sa taille.

« Suspens chéri, suspens. » Hadès n'eut pas tellement le temps de répondre, puisqu'elle ne tarda pas à l'embrasser avec beaucoup plus de fougue qu'il y a quelques minutes. Elle s'assit sur ses jambes, et le professeur posa ses mains sur les hanches de la jeune femme, sans arrêter de faire fonctionner sa langue. Reprenant tout de même son souffle au bout d'un petit moment, Hadès enchaîna « Je crois que c'est presque guéri, mais on va faire une piqûre de rappel. » Il reprit donc un baiser arrêté jusque là.

Assise sur lui, tu presses ton corps au sien, allant jusqu'à coller ta poitrine contre son torse. Au final, à bout de souffle, vous rompez à nouveau le baiser, et tu poses ta tête contre son front. « Je crois que c'est presque guéri, mais on va faire une piqûre de rappel. » Tu éclates de rire, avant d'être couper par ses lèvres, mais bien vite, tu romps le baiser. « T'habites loin ou pas? » susurres-tu.

La poitrine d'Osanna collée contre son torse, Hadès se sentait étrangement bien. Osanna rit à sa remarque, et rompit rapidement le nouveau baiser qu'il lui offrait. « T'habites loin ou pas ? » Le professeur eut quelques secondes d'égarement. « Mmh... c'est un lieu d'habitation, l'hôtel ? » Un rien gêné, Hadès appréhendait la réponse de la jeune femme. C'est vrai quoi, vivre dans un hôtel, c'est loin d'être grandiose.

❝ Un hôtel, c'est classe. ❞ souffles-tu, un peu impressionnée, il faut le dire. Toi tu vis dans un petit appartement, avec ton chien et ton coloc'. Tu te lèves, et lui attrapes la main, l'attirant à toi. ❝ Ca te dit de me faire visiter là où tu vis, dis-moi? ❞

❝ Un hôtel, c'est classe. ❞ Ouais, pour les coups d'un soir. La classe, il y a des jours où Hadès s'en passerait bien. La solitude avec les bouteilles d'alcool plein le frigidaire, ça commence à peser. Osanna se leva et l'attira vers lui, il décolla de l'endroit où il était assis et se retrouva contre elle, un peu plus dominateur à cause de sa taille supérieure à celle de la jeune femme, cette fois. ❝ Ca te dit de me faire visiter là où tu vis, dis-moi? ❞ D'un sourire approbateur, il lui fit comprendre que la réponse était positive.

Tu t'émerveilles un peu sur son lieux de vie, bien mieux que le tien, et tu le tires vers toi, après t'être levée. Tu dois lever la tête pour pouvoir poser tes yeux dans les siens, et soudain, tu te sens petite et fragile face à lui. Sur la pointe des pieds, tu poses doucement tes lèvres sur les siennes. ❝ Bisous magique pour pas que tu tombes dans les pommes. ❞ chuchotes-tu en lui prenant la main pour vous faire sortir du dédale de pièces afin d'arriver à l'air libre de la nuit.