{HOT} (Jeramelia) Can we rewrite the stars ?

Nothing can keep us apart. You're the one I was meant to find.

« Tout le monde a l’étoffe d’un prince charmant, il faut juste savoir trouver la lumière au fond des ténèbres. » Me dit-elle, pourtant incertaine. Je la regarde, attendri de voir que même après tout ce qu’elle avait vécue, elle arrivait encore à voir le meilleur en premier. Je viens déposer mes lèvre sur son front. « J’espère que tu as raison. J’aimerais je crois être ton prince charmant … Un prince charmant un peu bizarre par contre. » Lui dis-je en riant. Puis nos corps prennent le contrôle et nous nous retrouvons soudés dans l’amour physique, purement et simplement. Quand on reprend nos esprits, j’avoue n’avoir qu’une envie recommencer. Je crois n’avoir jamais vécu quelque chose de pareil. Tout est différent quand des sentiments se mêle à l’acte physique, rendant les choses encore plus passionné si possible. On se rend de nouveau présentable un minimum et je ne perd aucune miette de la silhouette d’Amélia. J’aime ce corps. Chaque parcelle de ce foutue corps. Même avec ses rondeurs et autre signe de sa grossesse. Elle est parfaite. Elle est à moi. « Ah je dois ressembler à une sorcière. » Dit-elle avant de se retourner vers moi et d’éclater de rire. Je secoue la tête. « Une sorcière foutrement bandante et sexy alors. » Avouais-je, sans aucune honte, aucune gène. Si je la regarde, elle aussi m’observe. Ses yeux se pose alors sur ma chemise, au sol, déchirée, avant de revenir vers moi. Je crois que je l’aime. Je serais bien con de ne pas m’en rendre compte et quand elle me supplie de ne plus jamais la laisser partir, je lui avoue que je n’avais jamais été loin, que je ne l’avais pas vraiment laisser partir, je lui avais juste donner le temps dont elle avait besoin. « Je vais être crue mais là, maman ours a juste la dalle : j’ai pas de raisons d’aller quelque part. même si elle… enfin, elle est toujours là. et que j’ai l’impression de vivre dans un monde irréel. J’vais te coller aux basques pendant un moment. Déjà pour ton pénis et ensuite parce que tu m’as mise enceinte. » Je la regarde et je souris. Je souris simplement, sans arrière pensée. Juste par ce que je suis heureux. Grâce à elle. Je glisse une main dans mes cheveux, signe que l’émotion me gagne même si je fais comme si de rien été. « Mon pénis et moi en somme très heureux alors. » Dis-je en affichant maintenant mon éternelle mine de canaille.

Il est ensuite temps pour nous de nous rendre chez le médecin pour une échographie. En arrivant je ne peux que taquiner Amélia sur ce qu’il y aurait pu se passer si elle n’avait pas réparer ma chemise dans la voiture en un temps record. La salle étant remplis de femme enceinte avec à mon avis les mêmes envies qu’elle, je ne donnais pas cher de ma peau si j’étais arrivé torse nu. « Tu te serais fait agresser sexuellement comme le cheval dans The Walking Dead et j’aurai du te défendre à coups de batte. » J’éclate un peu trop bruyamment de rire. « Ma sauveuse. » Soufflais-je alors qu’elle vient m’embrasser, avidement. « Et t’es à moi. je partage pas. mon pénis, mon mâle. » Je plonge dans son regard et la serre contre moi quand elle se colle à moi. Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’on nous appelle. Je dois quand même avouer que je suis légèrement en flippe. « Alors papa, prêt à voir ton fils pour la première fois ? » Me demande Amélia. Je tourne le regard vers elle et niaisement, mon anxiété disparaît. J’embrasse sa tempe et hoche la tête. « Plus que jamais. » On nous dirige jusqu’à la salle d’examen. L’assistante demande à Amélia de ce mettre en place et nous prévient que le médecin n’allait pas tarder à arriver. Puis elle ressort de la pièce. Je regarde alors Amélia qui se dévêtit pour l’examen. « Jolie vue. » Lâchais-je en souriant. Elle monte ensuite sur la table et je m’approche d’elle pour poser ma main sur son ventre.  « Mon petit gars … » Soufflais-je avant de revenir à Amélia. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre et le médecin entre. Il s’approche de moi et me tend sa main. « Le papa ? » Je hoche la tête. « C’est ça. » Répondis-je en serrant sa main, souriant. Puis il se tourne vers Amélia et je deviens spectateur.