Not so easy proposal → Kara Robbins

« Je sais my love... C'est de ma faute, j'osais pas et ça a trainer toute la semaine. » Il y avait plusieurs raisons à mon manque de courage : elle avait déjà connu ça avec Myles et il avait fait une très belle demande, puis j'avais eu peur qu'elle me dise non car nous n'avions jamais trop parlé de mariage.

Kara était diabolique, elle me montrait de la lingerie, elle me provoquait et tout ça avec un petit sourire coquin sur le visage. J'avais du mal à ne pas lui sauter dessus pour la prendre tout de suite. Seule la présence de notre fille dans la pièce à côté me permettait de résister. « Me tente pas trop, parce que je t'ai acheté un nouveau jouet... »
C'est le moment que choisit Cali pour débarquer, une parfaite excuse pour quitter la pièce où ma future femme me torturait. Je suivis la petite au salon où nous nous installions pour faire la navette spatiale en Lego. Elle était attentive et m'écoutait, c'était toujours très agréable de construire avec elle. J'étais moi aussi très concentré et il me fallut une seconde pour remarquer la tenue que portait Kara qui venait de nous rejoindre. « Kara. » Dis-je une première fois pour attirer son attention, mais en réponse celle ci se pencha pour ramasser une pièce et j'eus une vue dégagée sur sa poitrine. « Kara ! S'il te plait. » Dis-je en lançant un regard entre elle et sa fille. Je ne pouvais pas gérer les deux situations en même temps. D'ailleurs Cali commençait déjà à s'agacer de mon non intérêt pour son travail. J'étais mal à l'aise d'avoir autant envie de Kara en présence de notre fille, je me sentais pris au piège, pas à ma place. Je finis par baisser les yeux, jouant nerveusement avec mes mains. « Désolé Cali, continue avec maman. Je dois aller faire autre chose. » Je lui mentais, c'était juste que je ne pouvais pas rester là. La situation n'était pas amusante, ni coquine, juste malaisante.

« Ohhh » que tu soufflais un peu triste d’avoir ruiné toutes ses chances à maintes reprises. « Mais je pensais pas que tu voulais te marier… encore moins avec moi. » Tu souris doucement et tu calais ta tête contre lui. « Un nouveau jouet? » Que tu demandes, curieuse alors que la gamine revenait vers vous deux.

Tu attirais l’attention d’Asher, mais surtout son mécontentement. Tu avais un fin sourire aux lèvres alors que tu l’embêtais en jouant toujours avec ta fille. L’homme tentait de s’échapper et toi, tu fronçais les sourcils. T’avais l’impression de l’avoir froissé sans comprendre pourquoi. Tu demandais quelques instants à Cali pour gérer la frustration d’Asher... Tu le rejoignais dans la chambre. « Hey, je voulais pas te vexer… » que tu lui glisses doucement en mettant ta main sur son bras. « Si tu veux, on trouve une baby-sitter pour aujourd’hui et on célèbre nos fiançailles en duo? » Que tu lui offrais gentiment. Tu lui caressais le bras avec un sourire. « J’t’en prie, ne sois pas en colère. » Tu l’enlaçais tendrement, tu ne voulais pas qu’il t’en veule. T’étais pas douée avec la colère.

« Encore moins avec toi ? Tu pensais que je voulais épouser qui ? » Parfois Kara me faisait bien rire. A nous deux nous faisions un beau mélange de naïveté.

Kara avait essayé de me titiller alors que Cali et moi étions en train de faire des Lego et ça m'avait mis mal à l'aise. J'avais donc quitté le salon pour essayer de me retrouver. Je m'en voulais tellement d'être aussi sensible à ses  charmes, incapable de m'occuper de ma fille quand elle essayait de me chauffer. Mais au moins mon malaise l'avait fait réagir parce que Kara m'avait suivi dans la chambre. « Tu ne peux pas faire ça devant Cali. Quand elle était petite ça allait encore, elle ne comprenait pas, mais là... Là elle comprend absolument tout. Je ne suis pas prêt à avoir la conversation sur les fleurs et les abeilles. » Elle proposa une babysitter en réponse à cela et c'était une bonne idée. J'étais parti au quart de tour pour pas grand chose. « Je veux qu'elle reste innocente aussi longtemps que possible. » Murmurais-je en lui rendant son étreinte. Cali était encore un grand bébé, elle ne nous avait jamais vu faire plus qu'un bisou ou un câlin. Je voulais que ça en reste là, je refusais qu'elle me voit pleins de désir, luttant contre mes pulsions les plus primaires. « C'est pas de la colère. Je me suis juste senti mal à l'aise. Je devrais pas avoir envie de te plaquer sur la table du salon pour te prendre alors qu'elle se trouve à deux mètres de moi. C'est pas normal. »

Tu haussais les épaules. « J’sais pas moi. Une autre femme dans ta vie. T’sais… Je sais qu’il y en a eu d’autres que moi, mais moi… » que tu lui disais doucement. L’homme s’indignait. Pas devant Cali? Tu fronçais les sourcils. Cali avait déjà été présente lors des sous-entendus entre eux deux. Elle comprend tout? Tu fronçais encore plus les sourcils. « Ash. Elle a 3 ans. Pour elle, c’est juste papa et maman qui s’aiment et qui ont une complicité. » Pour les fleurs et les abeilles, tu levais les yeux au ciel. « Arrête, on sait tous les deux que c’est moi qui va avoir cette conversation avec elle, pas le contraire. Respire. » Que tu lui dis. Tu soupires doucement alors qu’il demande qu’elle reste aussi innocente à mesure que le temps passait. « On pourra pas la garder bébé pour l’éternité, tu le sais autant que moi. Autant en profiter un peu. » Tu l’écoutais et tu secouais la tête. « Elle est trop petite pour comprendre ces subtilités, moi pas. T’as encore le droit de me regarder avec cette envie-là. C’est ça que je voulais, que tu me désires, aussi longtemps que possible avant qu’on se saute dessus. Si tu me prenais pendant qu’elle est à côté, ça, ce serait pas normal. Mais là, c’est juste l’envie, c’est juste le désir… » Que tu lui expliques naïvement.

« En général, on a tendance à marier les personnes que l'on aime Kara... Et c'est toi que j'aime. »

La situation avait dérapé, en grande partie par ma faute, parce que mon désir était incontrôlable quand il s'agissait de la femme face à moi. J'aurais pu passer au dessus et continuer à jouer avec la petite, mais non, il avait fallut que je m'éloigne parce que je n'étais plus capable de gérer les deux fronts. Kara avait beau me dire que j'avais le droit de la désirer, que notre petite avait encore cette innocence aujourd'hui, mais qu'elle la perdrait bien assez vite... « Je te désire. Tout le temps. C'est juste que je ne peux pas me concentrer sur autre chose que toi quand tu essayes de me séduire comme tu le faisais. Tu as vu le regard qu'elle m'a lancé quand j'ai pas été foutu de l'aider pour les Lego ? Je suis un homme monotâche quand il s'agit de ton corps. »  Je réalisais en disant ça que ce n'était pas vrai du tout. Je n'étais pas monotâche, qu'il s'agisse d'elle ou non d'ailleurs. Tous les matins ou on se faisait pleins de câlins devant Cali, les bisous brulants que l'on partageait un peu partout même en présence de la petite... Non, c'était aujourd'hui. Je m'étais enflammé pour une raison que je n'arrivais pas à déterminer. « Ou c'est peut être parce ce que j'en ai tellement envie que je ne suis pas sur de te résister. » Finis-je par dire à moitié honteux. Elle était toujours dans mes bras et je l'y gardais pour qu'elle ne voit pas mon visage plein de doute. Comment j'avais pu laisser la situation prendre un tournant pareil ?
Son bassin frottait contre le mien, elle devait bien sentir que j'étais "tendu". C'était presque un appel à l'aide, j'avais besoin d'elle pour redescendre. « Met ton body vert s'il te plait. » Grognais-je. Elle avait raison, le désir allait rendre notre soirée bien plus explosive, j'allais juste devoir aller à l'encontre de mes envies jusque là.

C’était si bon de se savoir aimée, d’être aimée. Par la personne que tu aimes, qui plus est. T’étais si bien avec ton homme. Lorsque vous étiez éloignés, il t’expliquait qu’il te désirait. Tout le temps. Tu esquissais un petit sourire, flattée. « Pourtant, quand on se câline les matins, t’es capable de fonctionner. Tu lui sers son petit déjeuner. Tu la prépares pour la garderie… T’es pas monotâche. » Tu lui adressais un clin d’œil. Il n’était pas monotâche une seule seconde. Tu riais doucement et tu l’embrassais. « Tu sais quoi? Cette raison me va parfaitement. » Tu te sentais comme une déesse intouchable dans ce genre de situation et ça te faisait du bien. Tu n’étais pas vaniteuse, Kara. T’aimais simplement avoir l’attention de l’homme que tu aimais. Tu sentais sa verge se raidir contre toi et t’esquissais un nouveau sourire. « Bah dis donc… Avec cet argument-la, tu me demandes ce que tu veux. » Tu retirais le babydoll et tu te retrouvais nue devant lui. Tu te la jouais presque timide en mettant le body vert. Tu tournais sur toi-même pour lui défiler le tout. « Satisfait? » que tu lui demandes avec un fin sourire.

Ma confusion face à ses charmes se terminait plutôt bien finalement. J'étais pleins d'émotions aujourd'hui et les gérer était un peu trop complexe pour moi. Elle m'accordait un peu de répit et j'en profitais en lui ordonnant d'enfiler le body vert que j'avais repéré un peu plus tôt. Timide, elle commença par se mettre nue devant moi, avant d'enfiler très lentement le bout de dentelle. Ça lui allait parfaitement. Elle était très belle, a tel point que ma main était venue serrer mon membre, titillant légèrement sa sensibilité. « Oui satisfait. » Grognais-je en me rapprochant d'elle. Son petit jeu de provocation allait se retourner contre elle, car en me faisant réaliser qu'elle était mon point faible, elle m'avait également rappelé que je pouvais être le sien. Et pour conclure sur mon point, je retirais mon tee shirt, gardant juste un short de bain porté très bas et qui laissait apparaitre beaucoup de choses. « Va enfiler une de mes chemise. C'est tout ce que tu auras le droit de porter ce soir. »

Tu le regardais toucher son membre et t’étais jalouse de ne pas pouvoir le faire toi-même. Ta main s’approchait de celui-ci qu’il la décollait. Tu déglutissais avec difficulté en retrouvant son V. Qu’est-ce que ça t’allumait tout ça! « Bordel… » Que tu lui dis le souffle court. Tu retournes vers la penderie pour voler une chemise d’Ash. Ça te plaisait ce petit jeu d’obéissance. Tu la mettais à ton goût, en déboutonnant certains boutons, en replaçant le col et en nouant le bas de celle-ci. T’étais tout de même un peu une fashion victim, il ne fallait pas l’oublier. Tu t’approches de lui et tu poses un baiser sur ses lèvres. « J’ai tellement hâte d’avoir ton membre dans ma bouche. » que tu lui dis, salace.

Kara portait bien mieux que moi mes chemises, je lui accordais ça, mais je voyais bien que mon peu de vêtement lui faisait de l'effet. En fait, si elle n'était pas venu m'embrasser et me chuchoter qu'elle avait très envie de me faire une fellation, j'aurais pu dire que j'avais gagné la bataille. Avec ça, elle l'avait largement remporté. J'étais tout chose. « Humm... » Elle savait que c'était mon petit péché mignon que de la voir s'occuper de moi, que se soit debout, allongé, assis, elle réussissait toujours à me faire chavirer. Mais là, il fallait botter en touche et reprendre nos activités. J'avais un barbecue à faire, une petite fille qui m'attendait pour finir une navette spatiale... Bref, du boulot et il ne fallait pas que je sois perturbé par ma fiancée.  

Cali n'avait pas voulu finir les Legos, mais elle était venue m'aider avec le repas. Elle préparait tout ce qu'il fallait sur la grande table sur la terrasse pendant que j'allumais le feu. C'était très sympa d'avoir un petit commis, elle me demandait tellement d'attention que je n'avais pas une seconde pour regarder en direction de Kara et de se sexy attitude. Et quand celle ci finit par nous rejoindre, j'avais eu le temps de faire redescendre tous mes désirs inavouables. « A parfait, tu arrives à temps. Tu peux aller voir dans le tiroir de ma table de nuit, il y a un paquet pour toi. » Ce n'était pas simplement une consigne, c'était un ordre. Elle allait pouvoir découvrir son cadeau, et espérons le, me laisser l'utiliser ce soir.

Tu savais comment le rendre chose, il savait comment te rendre la pareille. Les deux vous connaissiez vos points faibles et ça faisait partie intégrante de votre complicité habituelle. Il s’était échappé en ayant filé à ton grappin en allant s’occuper de votre fille. Les deux avaient décidé de se mettre ensemble pour mettre la table et préparer le souper. Tu voyais bien qu’il te fuyait et t’avais décidé de faire un peu de ménage. Autant en profiter pour rendre l’utile à … ouais l’utile parce que du ménage c’était tout sauf plaisant. Je les retrouvais un peu plus tard et l’homme te disait d’aller voir dans le tiroir de sa table de nuit. Tu t’y dirigeais avec un sourire aux lèvres et tu découvrais un vibrateur miniature à insérer dans la culotte. Amusée, tu l’insérais dans ta culotte, prête à découvrir de ce qu’il en retournait. Tu retournes dans la cuisine et tu passes tes mains autour de son corps pour l’enlacer et lui susurrer à l’oreille. « C’est fait, je l’ai mis. Je t’aime, merci pour le cadeau. On s’en sert plus tard ce soir? » Que tu lui demandes en te disant qu’il allait surement s’en servir très tard le soir vu la discussion que vous aviez eu…

Ça faisait des mois que je voulais commander ce vibro miniature que l'on pouvait commander à distance. Je m'étais décidé que très récemment à l'acquérir, car j'avais eu peu que se soit un peu trop pour nous, mais non. Ce soir semblait être le moment parfait pour commencer à découvrir tout ce que je pouvais faire avec. Nous étions d'humeur coquine...
Kara avait été mettre son nouveau jouet dans sa culotte et elle était revenue se coller à moi pour m'en informer. J'étais tout sourire, coquin, et plein de connerie. A peine avait elle fini sa phrase que je pressais un bouton sur mon téléphone pour faire vibrer le jouet. « Qui a parlé d'attendre ce soir ? » J'avais appuyé très brièvement et j'avais vu sa réponde en live. Il y avait bien plus de mode avec lesquels j'allais pouvoir m'éclater. « Je vais l'adorer ce nouveau jouet. Dis-je en m'éloignant d'elle pour aller commencer à faire cuire ce que j'avais préparer avec Cali. Il y avait assez pour nourrir une petite armée, mais c'était toujours le cas et ça nous ferait des restes. « Bébé, j'ai oublié mon téléphone, tu peux me le ramener s'il te plait. La faire me ramener l'objet qui contrôlait son plaisir était en soit une douce torture à laquelle elle s'était soumise sans trop de résistance.

Tous les deux amusés, tu te prenais au jeu en ayant un malin plaisir. L’homme faisait vibrer le jouet et tu réprimais un petit cris de surprise, plus que de plaisir. Tu lui lançais une paire de grands yeux ronds alors qu’il ne comptait pas attendre le soir… Bordel, tu allais venir plus qu’une fois sous les yeux de ta fille. T’allais trembler de tous tes membres. « Mais, c’est pas fair. Cali? » Que tu demandes les yeux ronds. Il disait qu’il allait adorer le nouveau jouet, toi t’en étais pas aussi certaine soudainement… L’homme te clamait avoir oublié ton téléphone et tu levais les yeux en l’air lorsqu’il te demandait de le lui rapporter. Tu t’exécutais sagement. « J’espère que ça me donnera une période de grâce. » Tu lui adressais un clin d’œil. Tu retournais dans la maison pour poursuivre le ménage, en te disant qu’il y avait des chances pour que tu te retrouves avec une flaque à ramasser éventuellement.

« Il faudra être discrète. » Lui conseillais-je avant de sortir pour aller faire cuire le repas. Je m'occupais d'allumer le feu et pendant un moment je ne fis même pas attention au fait que je n'avais pas mon téléphone, c'était pourtant lui qui contrôlait tout. Alors je demandais à ma brunette de me le ramener pour pouvoir commencer à la titiller. « Tu n'as qu'un mot à dire et j'arrête tout. » Lui murmurais-je à l'oreille avant de la laisser retourner à l'intérieur. Elle faisait le ménage et de temps à autre je lui envoyais une petite vibration. Je testais les différents modes et je savourais ses réactions à travers la baie vitrée. « On va pouvoir passer à table, tu vas chercher maman. » Dis-je à Calista qui fonça pour chercher sa mère à l'intérieur. J'allais lui laisser un moment de répit pendant le repas, car je ne me voyais pas jouer de cette manière là en présence de la petite. « C'est bon my love ? » Demandais-je à Kara lorsqu'elle fut à porter de baiser. « Tu aimes ? »

Il faisait appel à ta discrétion et tu acceptais le défi. Tu hochais simplement la tête avec un sourire en coin. Alors que tu lui rapportais son téléphone, il te rappelait que si tu avais des limites, tu pouvais les mettre. Mais non, d’un côté ça t’amusait aussi. Tu te raidissais par moment où il découvrait son nouveau jouet, mais dans certains modes, tu te surprenais à laisser agir et apprécier le moment. Il te demandait si c’était bon et tu lui répondais par un regard complice et un sourire en coin. « On peut dire ça comme ça. » que tu dis en prenant la salade pour la mettre dans ton assiette. Tu te rapprochais de son oreille : « C’est meilleur quand c’est toi qui le fait. » Mais tu haussais les épaules, tu n’allais pas te plaindre du tout. « Bon appétit! » déclarais-tu aux deux personnes avec qui tu étais. Cali avait déjà la bouche pleine. « Doucement, chérie. Il ne faut pas que tu t’étouffes. » Que tu lui rappelles. Elle était aussi gloutonne que son père.

Le nouveau jouet était adopté et Kara semblait l'apprécier. Je jouais gentiment avec elle, elle était plus ou moins sensible aux vibrations et ça me faisait sourire. « Je me doute, mais je ne suis pas toujours là pour ça. » Dis-je en posant mon téléphone pour passer à table. J'allais lui laisser un moment de répit, car c'était une de nos règles : pas de téléphone lors des repas. De toute façon, j'avais les mains prises, je mangeais comme un glouton et je n'étais pas le seul... Calista était comme moi sur ce point là. Ce n'était que la salade, mais je savais qu'elle allait dévorer les saucisses de la même manière. Depuis que je vivais avec Kara et Cali, j'avais vu la petite se détendre autour de la nourriture et devenir une vraie gloutonne. Elle mangeait presque de tout, dans des quantités qui m'étonnait toujours.
Je n'avais pas vu faux, Cali s'était enfilée 3 saucisses et avait encore eu de la place pour le dessert. Elle avait ensuite pris une douche rapide, s'était brossée les dents, Kara lui avait lu une histoire et je l'avais couché. Il était tard pour elle, mais encore tôt pour nous. J'avais rejoins ma belle sur la terrasse alors qu'elle se préparait un s'more au dessus des dernières braises. Ca faisait longtemps que je n'avais plus utilisé son jouet, je l'avais un peu oublié et maintenant que nous étions seulement nous, je pouvais être celui qui lui faisait du bien. « Encore une belle journée. » Lui murmurais-je à l'oreille en la prenant dans mes bras. J'avais besoin d'un moment doux avec ma moitié, car ça avait été un roller coaster pour les émotions aujourd'hui. « J'aimerais bien qu'on se fasse une soirée tranquille ce soir. » Sans pression, sans prise de tête, juste une soirée où je pourrais la câliner avant de l'emmener au lit pour lui faire l'amour. C'était le côté Mellow en moi qui ressortait.