i need you 'til the morning, i hear my body calling (april) - hot

C’était tellement incroyable que tu voulais que le temps s’arrête. Chacune des caresses de la blonde te faisaient du bien, tu te sentais en symbiose avec elle. A tout moment, tu pouvais exploser, même si c’était si délicat parce que c’était aussi sauvage. La tendresse de ses caresses, ses lèvres sur tes seins nus, rien ne pouvait stopper cet instant. Les yeux dans les siens quand tu te dévoilais entièrement nue, tu voyais qu’elle avait envie de toi dans ses prunelles. « Je suis toute à toi » soufflas-tu avant qu’elle repose ses lèvres sur ta poitrine pour continuer à te titiller. Tu gémissais légèrement, tu prenais un plaisir énorme. Puis, Alma t’aidait à t’allonger sur le canapé, pour qu’elle puisse à son tour se dévoiler sans sous-vêtement. Une silhouette magnifique, un corps parfait, que demander de plus ? « Ton corps est… t’es magnifique bordel » dis-tu abasourdie par sa beauté. Tu attrapais ses bras pour qu’elle se laisse tomber sur toi, qu’elle s’allonge sur ton corps. Tes mains se baladaient sur son corps, notamment ses hanches et ses fesses. Tes lèvres s’emprisonnèrent sur les siennes, parce que tu en demandais encore et toujours. Puis, tu agrippais ses fesses de plus en plus intensément, ta deuxième main passait dans le creux de ses reins pour la rapprocher encore plus de toi. Tu voulais qu’elle te fasse l’amour comme jamais, tu voulais qu’elle soit en symbiose avec ton corps, qu’ils ne se séparent plus.

Entendre qu'April est tout à toi, l'espace de ces quelques heures ensemble, de ce moment hors du temps, provoque un large frisson dans tout ton corps. C'est grisant, de voir à quel point vos corps réagissent l'un à l'autre. De voir que ton propre désir est le reflet du sien. Et de voir dans ses yeux à quel point elle apprécie ce qu'elle voit, ce qu'elle touche. Après l'avoir aidée à se coucher sur le canapé, tu retires ce qu'il reste de ta robe, dévoilant ton corps nu. La réaction de la blonde est sans appel et t'arrache un large sourire. Tu aimes lui plaire et provoquer chez elle de telles réactions. Attirée par la jeune femme, tu t'allonges sur elle, ta peau nue pressant la sienne. Tu soupires de contentement en sentant ses mains explorer ton corps alors que vos lèvres se retrouvent à nouveau dans une danse sensuelle. C'est bon, c'est simple, c'est vrai et doux. Tout ce que tu aimes. Après quelques minutes à vous toucher, à vous découvrir, tu te relèves légèrement pour que tes lèvres puissent descendre le long de son cou puis jusqu'à sa poitrine où tu t'attardes un peu plus longtemps. Tu laisses ta langue courir le long de son ventre puis déposes quelques baisers sur le haut de son sexe. Enfin, impatiente de la découvrir plus en profondeur, de la goûter, tes lèvres se posent sur son clitoris, rejointes par ta langue. Celle-ci vient titiller son sexe tantôt doucement tantôt de façon un peu plus marquée dans l'espoir de provoquer chez April des réactions de plaisir ultime.

Il faut croire que cet instant allait arriver alors qu’au début, tu n’y croyais pas du tout. Tu savais qu’Alma était une célébrité, qu’elle tournait un film en ville et qu’elle avait quand même pas mal de gens autour d’elle. C’est pour ça que tu t’étais dis que tu n’avais pas de chance. Mais au final, tu étais sur le canapé de ton bureau, totalement nue avec la blonde en face de toi qui était dans la même tenue d’Eve. Tes mains contre son corps, tes lèvres dansant avec les siennes, c’était si chaud que tu commençais à transpirer légèrement. Ton rythme cardiaque augmentait au fur et à mesure et tu ne pouvais pas la lâcher. Délicatement, c’est elle qui rompait la distance entre vos lèvres. Elle venait à descendre le long de ton corps, d’abord s’attardant sur ta poitrine et tu gémissais de plaisir. Tes mains se baladaient sur ses bras, sur sa nuque avant qu’elle ne descende encore plus vers ton sexe. Ses lèvres déposèrent au dessus de ton sexe et ça marquait une chaleur incroyable dans ton bas-ventre. Puis elles venaient se déposer encore plus bas, dans l’intégralité de ton intimité. Sentir sa langue sur ton clitoris, ses mains agripper ton corps, c’était incroyable. « Oh mon dieu… » soufflas-tu dans un râle de plaisir. Tu te tordais dans tous les sens en gémissant, tellement tu appréciais ce moment. Tu t’agrippais au canapé comme tu pouvais et tu plantais ton regard dans le sien, pour lui montrer à quel point tu aimais cet instant.

La célébrité a un coût, malheureusement. Certes, tu es entourée de beaucoup de monde et il n'est pas rare que tu te fasses draguer dans l'espoir que ça finisse au lit. Malgré tout, il n'y a pas beaucoup de personnes sincères dans ce milieu et surtout, l'instabilité de ton travail ne te permet pas d'avoir réellement une vie amoureuse. Mais ce n'est pas grave car tu as fait le choix de mettre ta carrière au premier plan et de garder cette forme de liberté. Sans ça, tu n'aurais pas rencontré April qui plus est. Alors que vous êtes toutes les deux nues sur ce canapé, tu te faufiles jusqu'à son entrejambe où ta langue trouve son clitoris. Elle le titille, l'embrasse, le suce, au fur et à mesure des réactions de la blonde. « T'es tellement délicieuse. » Murmures-tu entre deux baisers, entre deux coups de langue. Doucement, tu glisses un doigt à l'intérieur de la jeune femme, accompagnant ta bouche qui profite de la douceur de son sexe. Tout ce que tu désires c'est qu'elle jouisse en pensant à toi, en voyant à quel point tu as à coeur de lui faire plaisir. Son plaisir est au centre de tes préoccupations. De ta main libre, tu viens caresser sa poitrine sans détacher tes yeux des siens. Tu vois à quel point ce que tu lui fais lui procure un plaisir intense. Mais t'en veux plus encore. Beaucoup plus. « Guide-moi si besoin... » Souffles-tu pour qu'elle t'oriente et qu'elle exprime ses désirs, ses préférences.

Ses caresses te faisaient tellement du bien, tu lui faisais comprendre en gémissant à chaque coup de langue qu’elle passait sur ton intimité. Tu t’accrochais au canapé, enfin tu t’agrippais plutôt pour ne pas trop bouger et profiter de ce que la blonde te faisait. Quand elle te disait que tu étais délicieuse, tu souriais, te mordant la lèvre inférieure. Puis elle insérait un doigt dans ton sexe et là, c’était l’apothéose. Elle te faisait décoller. « Alma c’est tellement bon » soufflas-tu entre deux gémissements. En plus, de sa main de libre, elle venait tâter ton sein et bon dieu que ça te faisait du bien, tu n’allais pas tarder à jouir. Elle te demanda si tu pouvais la guider en même temps. Tu prenais sa main et tu mettais deux doigts dans ton sexe et tu faisais des allés et venus avec ces derniers. « C'est encore mieux » dis-tu en gémissant. « Mais plus vite » dis-tu en la regardant dans les yeux. Et là ses doigts accéléraient la cadence et tu commençais à pousser des gémissements de plus en plus fort. « Bordel » dis-tu simplement, les yeux fermés entrain de profiter de l’instant. Puis, sans plus attendre, tu sentais dans ton bas-ventre que ça allait se terminer. Les papillons se centraient, tu sentais que tu perdais totalement le contrôle de ton corps jusque’à arriver à l’orgasme. Tu éclatais de bonheur à ce moment là. C’était tellement bon et tellement intense.

Ton désir grimpe encore d'un cran en entendant à quel point April aime ce que tu lui fais. Elle te le dit mais surtout, tu le vois à travers ses gestes, ses gémissements, ses réactions. Tu lui proposes de te guider, si nécessaire, pour lui faire atteindre le septième ciel, l'apogée. Autant tu aimes lorsque ton ou ta partenaire s'attarde sur ton désir, autant tu adores en procurer aux autres. Tu aimes autant l'un que l'autre car ça a le don de t'exciter davantage de voir à quel point les autres sont réceptifs à tes caresses, à tes baisers. Deux doigts se glissent en elle lorsqu'April le demande et tu en profites pour accélérer la cadence en même temps. Là, tu sens qu'elle y vient. Tu sens son corps qui est au bord du précipice. Puis, d'un coup, tu ressens une explosion dans son bas ventre et contre son intimité. La blonde est prise de spasmes alors que tu continues tes coups de langue pour qu'elle profite au maximum de son orgasme. « T'es somptueuse. » Dis-tu en la regardant avec les yeux remplis de désir. Elle est incroyable et assister à sa jouissance est comme un cadeau pour toi. Lorsque son corps semble s'être calmé, tu remontes doucement vers elle pour retrouver ses lèvres, tes baisers se faisant moins pressés et plus doux. « J'aurais pu jouir rien qu'en te regardant atteindre l'orgasme. » Souffles-tu en riant.

C’était un moment hors du temps, tellement agréable. Tu étais rapidement montée en extase, tu avais atteint l’orgasme tellement vite mais c’était tellement bon. Les émotions s’étaient entremêlées, tu ressentais de la joie, du bonheur mais aussi du plaisir pur. La blonde savait quoi faire, elle savait comment te faire grimper aux rideaux et appuyer là où il fallait. Alors que tu te tortillais dans tous les sens, que tu sortais des sons de ta bouche tellement tu prenais ton pieds, elle continuait à te faire du bien et c’était tellement extraordinaire. « Oh, Alma ! » dis-tu dans un gémissement. Alors que tu finissais, tu reprenais ton souffle et ton coeur battait à la chamade. Elle revenait doucement à tes lèvres et toi, tu attrapais ton visage de tes mains. « Ça va être à ton tour d’atteindre l’orgasme de toute façon » dis-tu avec un sourire en coin avant de reprendre possession de ses lèvres. Des baisers un peu plus sauvage, des caresses plus intenses. « T’es incroyable, c’était parfait, tu es parfaite » dis-tu avec un sourire en coin alors que tes lèvres commencent à prendre un chemin vers son cou, tes mains se baladant sur son corps nu au dessus du tien.

Au-delà de cet échange charnel, tu ressens au plus profond de ton être, qu'il se passe plus. Bien plus. Ce que vous partagez, ici, dans ce bureau du Adam & Yves, représente tellement plus qu'un coup rapide, un coup d'un soir. Tu ne peux pas nier que lorsque le sourire d'April s'affiche, il est le reflet exact du tien. Tu ne peux pas nier que voir ses yeux briller te procure une extrême satisfaction. Tu ne peux pas nier que la jeune femme ne te laisse pas de marbre. Cela fait un moment que tu n'as pas ressenti ces petits papillons dans le ventre, ces petites vibrations alors que ses lèvres entre en contact avec les tiennes, que ses mains parcourent ton corps. Elle est somptueuse et tu le lui dis et lui fais comprendre. April c'est le plaisir à l'état pur, brut, intense. « Mon tour, tu dis ? » Demandes-tu avec une envie irrépressible dans le regard. Ces quelques mots ravivent ton désir, impatiente de découvrir jusqu'où la tenancière du club peut aller. Jusqu'où elle peut te faire jouir. « Je suis loin de l'être. Mais te faire plaisir fait partie de mes passe-temps favoris. » Réponds-tu avec un large sourire avant de sentir ses lèvres fondre sur ton cou. Tu soupires en sentant ses baisers, laissant les mains d'April prendre le chemin de ton corps nu. C'est tellement agréable que tu ne tentes même pas de retenir les gémissements qui s'échappent de tes lèvres. Tu veux qu'elle entende, ressente et voie à quel point ce qu'elle te fait a un impact sur toi. Tu veux qu'elle voit son impact sur toi.

Cette échange avec Alma, c’est exactement ce dont tu avais besoin et aussi exactement ce que tu attendais d’elle, c’était même mieux que ça. Cette passion, ce côté sauvage et cette folle envie de ne faire qu’une avec elle, tout était là. L’actrice était vraiment douée, et tu avais tellement pris ton pieds que tu reprenais tes esprits lentement. C’était à ton tour de lui faire atteindre le nirvana. Alors, tu prenais l’ascendant sur elle, te mettant au dessus de son corps nu. Tes lèvres prenaient possession de son corps, descendant lentement jusqu’à son bas ventre. Tes mains s’agrippaient à son corps, comme si toi aussi tu ressentais tout ce plaisir. « Ça tombe bien, le plaisir est partagé dans l’autre sens » soufflas-tu entre plusieurs baisers sur son ventre. Puis, tes lèvres descendaient vers son intimité pour que tu puisses à ton tour, lui donner un maximum de plaisir. Ta langue s’immisçait dans sa fleur, doucement, lentement, mais avec une certaine intensité pour lui donner du plaisir. Tu étais agrippée à ses hanches, le regard vers son visage, pour que tu puisses voir si elle prenait autant de plaisir qu’elle t’avait donc quelques minutes plus tôt.