| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| chaque jour de liberté est un acte de foi. (pâris+léandro) | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: chaque jour de liberté est un acte de foi. (pâris+léandro) Dim 4 Aoû 2013 - 11:07 | |
| « Et moi, je suis content de l'avoir finalement suivi. » Est-ce que cela signifie qu'il est heureux de passer ce moment avec elle ? Elle a l'impression qu'à chaque fois qu'ils se voient, c'est pour un moment différent. Le piano, le dîner chez elle, l’Écosse,... et maintenant ici. Elle sourit tendrement et alors qu'il se prépare à lui répondre ce qu'il pense, elle n'entend pas Leandroi revenir vers eux. « Bon c'est pas tout le petit couple mais j'aimerai vous présenter... » Sa voix chaude et séductrice la fait sourire. Le petit couple ? Elle n'a pas le temps d'essayer de comprendre que la jolie brésilienne – qu'on se le dise, une poupée – bredouille son nom. Mariella. Pandore l'observe. Elle est tout son opposé. Des yeux sombres et chocolats alors que les siens sont clairs, des cheveux soyeux et d'ébène alors que les siens sont comme les blés, et une poitrine avantageuse alors que la sienne est... « Pâris, t'es bien mignon mais faudrait peut être penser à me la prêter. Et cette fois ci on te laissera pas seul. Il y a Mariella. » Elle n'a pas le temps de finir ses déductions que Leandro veut déjà la reprendre. Quelque part, ça la fait sourire, même si cette fois, Pâris sera accompagné lui aussi et qu'égoïstement, elle préfère le voir seul. « Tu verras elle est facilement accessible. Éclate toi. » Pandore serre les dents. Elle se sent soudain envahie d'un sentiment plutôt désagréable, mais ne dit rien, ses yeux allant de la brésilienne à Pâris. « Pas de problème. De toute façon, la musique était finie. » Elle aurait presque préféré qu'il refuse. Alors, quand Leandro lui tend la main avec un sourire de tombeur, elle ne se gêne pas pour le lui rendre de bon gré, l'attrapant sans hésitations. « Défi remporté haut la main. Ma récompense est de choisir une cavalière avec qui danser, et j'ai jeté mon dévolu sur toi... » Un sourire amusé se peint sur son visage. « Tu as fait un bon choix, je dirais. » Et si c'était là un jeu pour la rendre jalouse ? Et si Pâris voulait la tester, voulant savoir si elle pouvait se montrer jalouse des filles qu'il côtoyait, et qu'il se servait de Leandro pour faire l'intermède ? Imaginant mille et unes choses, elle ne se gêne pas alors pour prendre l'initiative d'emmener le brésilien plus au milieu de la piste, commençant à se déhancher au rythme d'une musique bien plus entrainante que la précédente. Soudain alors, elle se rapproche de lui, crochetant sa nuque avec fermeté, de telle façon que l'on pourrait croire qu'elle va l'embrasser. Mais ses lèvres s'avancent plutôt vers son oreille, où elle murmure d'un ton amusé : « Je te préviens Leandro, si ta chère petite latino pose ses lèvres pulpeuses sur celles de ton meilleur ami, je lui coupe la langue. » Elle se recule, lui lançant alors un regard tout innocent, comme pour montrer qu'elle plaisante. Ou pas d'ailleurs, car peu de monde connait son tempérament quelque peu violent par moments. Se laissant porter par la musique, elle enchaîne les moments plus ou moins proches de son cavalier. De temps à autre, elle jette un coup d'oeil à Pâris, qui semble les observer aussi. Elle se demande à quoi il pense. À quoi est-ce qu'il pensait déjà tout à l'heure. À la fin de la musique, elle essuie une fine couche de sueur sur son front et se tourne vers Leandro pour lui coller un baiser sur la joue. « Je comprends pourquoi est-ce qu'on s'était si bien trouvés, à l'époque. Tu m'as épuisée. Tu m'offres un verre ? » demande-t-elle avec un sourire rayonnant sur le visage. C'est aussi une sorte d'excuse pour rejoindre les deux autres au bar, bien qu'elle doit reconnaître qu'elle se sent bien avec Leandro. Qu'elle aimerait bien l'avoir comme un ami, un vrai. |
| | | Invité | Sujet: Re: chaque jour de liberté est un acte de foi. (pâris+léandro) Dim 4 Aoû 2013 - 23:52 | |
| « Tu as fait un bon choix, je dirais. » Je souris à cette réponse assez hilarante pleines d'arrières pensées envers la belle Mariella. Il faut avouer que c'était un défi gagné d'avance. « Tu n'as pas mentionné de nom donc j'ai assuré mes arrières en prenant la fille qui me paraissait accessible. C'est sur que ça aurait été autre chose avec toi... Quoi que je t'ai déjà eu une fois je sais comment te faire céder. » Dis-je d'un ton charmeur. J'avais l'impression d'être une marionnette. Comme si ils se servaient de moi dans le but de se tester mutuellement. Cependant, je passais une bonne soirée et ne voulais pas la saboter. Je pris la décision de parler à Pâris un autre jour afin de lui exprimer ma façon de penser. Je m'opposerai pas au fait que Pâris tente de séduire Pandore et inversement, mais qu'ils le fassent dans leurs coin. Je ne suis pas un objet que l'on peut utiliser à sa guise. Certes, je peux faire ça pour lui. Mais j'aimerais qu'il m'en informe avant de passer à l'acte et de me rendre ridicule. Se laissant entraîner au milieu de la danse, voyant Pandore se lâcher au rythme de la musique en se déhanchant plus que d'habitude. J'ai enfin la preuve que Pandore m'utilise dans un but égoïste. Rendre jaloux Pâris. Quand soudain, je senti sa main m'attraper fermement la nuque. Pensant qu'elle allait m'embrasser, je me disais qu'elle exagérait. Et quand soudain, elle me murmura à l'oreille avec amusement: « Je te préviens Leandro, si ta chère petite latino pose ses lèvres pulpeuses sur celles de ton meilleur ami, je lui coupe la langue. » Et voilà, deuxième preuve qui me prouves des intentions de Pandore. Pourquoi tant de haine ? Ils n'étaient pourtant pas en couple. Des soit disant amis n'éprouve pas de la jalousie en les voyants se rapprocher d'une autre personne. Passons à autre chose. Je continuai à danser laissant cette histoire ambiguë de côté. A vrai dire je n'ai jamais vraiment compris Pâris. Pandore n'avait pas fini de me surprendre. Elle me vola un baiser sur la joue avant de me dire : « Je comprends pourquoi est-ce qu'on s'était si bien trouvés, à l'époque. Tu m'as épuisée. Tu m'offres un verre ? » je ria légèrement à cette affirmation. Je l'avais marqué à ce que je vois. Elle tenait plus le coup avant. Est-ce une excuse pour rejoindre Pâris ? « Et oui. J'ai pas changé. Dis moi Pandore ! Serait-ce une excuse pour aller rejoindre Pâris ou tu as seulement soif ? » Ce sourire rayonnant la trahissais. J'aimais réellement passer du temps avec elle. Mais bizarrement et pour la première fois ce n’étais juste amicale. Je décidai donc pour rendre service à Pandore de l'entraîner direction Pâris. Il n'avait pas bougé, toujours positionné au bar regardant les personnes danser. Enfin surtout Pandore. Je décidai d'offrir un verre à Pandore la voyant toute en sueur. |
| | | Invité | Sujet: Re: chaque jour de liberté est un acte de foi. (pâris+léandro) Lun 5 Aoû 2013 - 0:42 | |
| Assis sur ce haut tabouret, accompagné d'une charmante brésilienne, je me demandais réellement ce que je foutais là. Cette ambiance de fête, d'amusements et de détente, c'était loin de m'être familier. J'avais l'impression que tout autour de moi semblait différent de mes habitudes. Leandro quant à lui, était un habitué de ce genre de soirée, je le savais. Il était un véritable chasseur à l’œil aiguisé pour remarquer les proies d'une soirée, ramenant toujours une nouvelle fille dans son lit chaque soir. D'ailleurs, il m'était déjà arrivé de venir chez lui à l'improviste et de le trouver dans le lit avec une demoiselle dont il ne se rappelait déjà plus le nom. Ça, c'était sa routine à lui. Pas la mienne. Nous étions si différents au fond.. et pourtant, ce passé semblait nous lier à jamais. Malgré nos différences de comportement, je le considérais vraiment comme le frère que je n'avais jamais eu. Il incarnait l'assurance que je n'avais pas, le pilier sur lequel je pouvais compter. Je restai poliment au bar de la plage bondée de monde, attendant presque impatiemment le retour de mes deux amis. Prenant une nouvelle gorgée de mon cocktail, je me décidai alors à rompre le blanc installé entre nous, demandant à Mariella d'où elle venait, ce qu'elle faisait dans la vie, tout le blabla habituel d'une nouvelle rencontre. Cette fille était charmante, et visiblement très charmée par le brésilien avec lequel elle s'était déhanché de marnière torride quelques minutes plus tôt. Bien qu'elle semblait vouloir me connaître un peu plus, je gardai une certaine distance avec cette inconnue. Restant de nature plutôt très méfiante, je préférais m'habiller de ce masque derrière lequel je pouvais aisément me cacher. Et puis pour tout avouer, son côté d'aguicheuse était loin de me plaire. Elle semblait vouloir réduire la distance qui me séparait d'elle, posant une de ses mains sur ma cuisse. Si elle savait le mur qui se dressait devant elle... Ses avances n'avaient strictement aucun effet sur moi, loin de là. Inconsciemment, je ne réagis pas, mes yeux se baladaient de temps à autre sur la piste de danse, les cherchant du regard. De là où j'étais, je pouvais à peine discerner les silhouettes de Pandore et Leandro. Pour autant, j'avais tout de même réussi à remarquer une certaine proximité entre eux. La musique se termina. Et une autre repartit de plus belle. La soirée était visiblement loin d'être terminée. « Vous voilà déjà, le temps passe vite lorsqu'on a de la compagnie. » Dis-je, un fin sourire sur les lèvres en revoyant Pandore revenir avec Leandro. |
| | | Invité | Sujet: Re: chaque jour de liberté est un acte de foi. (pâris+léandro) Lun 5 Aoû 2013 - 1:33 | |
| « Tu n'as pas mentionné de nom donc j'ai assuré mes arrières en prenant la fille qui me paraissait accessible. C'est sur que ça aurait été autre chose avec toi... Quoi que je t'ai déjà eu une fois je sais comment te faire céder. » Gênée que Pâris ait à entendre ça, Pandore joue à l'indifférente, ne lui répondant pas. Elle part alors avec le beau brésilien sur la piste de danse, ne sachant pas trop quel comportement adopter. Elle décide de laisser ses pensées bien loin. Après-tout, elle est venue ici pour cesser de réfléchir, pour se changer les idées, et pas pour se poser encore plus de questions, non ? Au bout d'un moment, elle lui demande alors de rejoindre le bar. Il se met à rire et elle ne comprend pas bien pourquoi. « Et oui. J'ai pas changé. Dis moi Pandore ! Serait-ce une excuse pour aller rejoindre Pâris ou tu as seulement soif ? » Pandore plonge son regard dans le sien, comme pour essayer de voir à quoi il pense. Est-ce juste pour la tester ? Pour voir si son coeur balance pour son meilleur ami ou bien si elle est toujours d'attaque pour remettre le couvert avec lui ? Plus les minutes défilent, et plus Pandore trouve sa place dans la soirée fort désagréable. Et dérangeante. Elle ne répond pas, choisissant d'hausser les épaules simplement, sans se départir de son sourire. « Vous voilà déjà, le temps passe vite lorsqu'on a de la compagnie. » Il a l'air tellement sincère en disant ça que cette fois, oui, la parisienne ressent bien une espèce de jalousie se débattre au fond de ses entrailles. Elle adresse un seul regard à la jolie métisse, avant de le poser sur Pâris, puis de revenir sur Leandro. « Merci, c'est gentil Leandro. » murmure-t-elle, quant au fait qu'il lui offre à boire, comme prévu. Elle attrape son verre, trempant doucement ses lèvres dedans. Ne sachant pas trop comment se comporter avec l'un et l'autre, qui connaissent tous deux une facette différente de sa personnalité, prise à des moments différents de sa vie, elle reste silencieuse plusieurs longues secondes, faisant mine d'être absorbée par le contenu de son verre. « Je suis contente de vous voir tous les deux, en tout cas. » tient-elle à dire doucement, avec sincérité et un joli sourire, sans inclure la brésilienne car au fond, elle n'en a pas grand chose à faire, de cette fille qui s'est jetée sur les lèvres de Leandro pour ensuite se rapprocher de Pâris. Parce que cette fille ressemble à celle qu'elle a été, et vu de quelle haine Pandore se déteste... il en faudrait beaucoup pour dire qu'elle l'apprécie. Pourtant, elle n'en montre rien, toujours très habile dans un jeu de comédie. |
| | | Invité | Sujet: Re: chaque jour de liberté est un acte de foi. (pâris+léandro) Jeu 8 Aoû 2013 - 15:02 | |
| « Vous voilà déjà, le temps passe vite lorsqu'on a de la compagnie. » J'esquisse un sourire à cette réponse provocante. A quoi joue-t'il ? Je pense savoir. Mon meilleur ami est épris d'amour de la jolie pandore. J'avais l'impression que ce sentiment etait réciproque. Pandore tenait à Pâris et inversement. Le fait qu'ils soit tout les deux jaloux prouve qu'il ce passe quelque chose d'ambigüe dans cette relation. Amitié ? Amour ? Je ne sais pas ! Et sincèrement, les voir tout les deux réunnis me rendais nostalgique. Le sourire s'en allait petit à petit. Il y a des jours où, faire semblant devient impossible. Le masque tombé peu à peu devant Pandore. Comme une envie de me confier sur elle, May-Line. J'étais sencé la haïr et pourtant... Il savère être dur d'oublier une personne lorsque l'on ne se sent pas apte à l'oublier. « Merci, c'est gentil Leandro. » Je posais mes yeux sur Pandore. « Mais je t'en prie. Je me devais de t'offrir un verre après t'avoir fait autant danser. » Je trempais également mes lèvres dans mon verre. « Je suis contente de vous voir tous les deux, en tout cas. » J'esquissais un sourire à la belle Pandore. « C'est réciproque. » La soirée semblait se finir. La fatigue se faisait lire sur les visages. |
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