| | Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l' Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite. |
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| (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) | |
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Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Jeu 4 Juil 2013 - 17:35 | |
| Ernesto venait de lancer le verre en plein dans la figure de Charlie, cette dernière se réveilla dans un sursaut en lui disant qu'il faisait chier, il souria bêtement puis lui dit « Je sais ! » La belle rousse se leva en direction de la salle de bain et Ernesto put pleinement s'installer sur le canapé, sa colocataire passa derrière lui en sous-vêtements, il se lécha les lèvres et fit un petit sourire. Elle resta cinq minutes dans sa chambre et le jeune homme était certain qu'elle pleurait, elle revint en mode sportive, elle voulait donc courir. Ernesto passa sa tête hors du canapé hurlant « Salut ma chérie, perds toi en chemin ça me fera des vacances ! Reviens jamais, vas retrouver tes amies carottes ! » Il continua ainsi jusqu'à ce qu'elle claque la porte, bien entendu il avait parlé dans le vent, elle ne lui avait jamais répondu ni même adressé un regard, elle avait déjà perdu. Une heure plus tard, alors qu'il jouait aux jeux vidéos il entendit Charlie rentrer, Ernesto éteignit sa télévision puis se dirigea vers la salle de bain où elle prenait sa douche, il ouvrit la porte et la trouva sous la douche. « Charliiiiiie tu veux que je te savoooonnnes ? » Oui bon il n'aimait pas trop quand ils se disputaient et puis il fallait voir le côté positif ils finissaient par faire la paix comme il se devait.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Jeu 4 Juil 2013 - 18:00 | |
| Ernesto lui avait jeter un verre d’eau en pleine figure, elle s’était réveillé en sursaut en lui disant qu’il faisait chier, et il répondit qu’il savait elle partit se changer lui laissant aussi le temps de voir son corps de déesse grec en sous vêtements, et puis décida de partir faire un jogging peut être que ca la détendra plus car à cet instant elle était en colère et encore plus quand elle entendit les paroles d’Ernesto, elle savait bien que c’était un mensonge par rapport à ce qu’ils s’étaient dit avant mais tout de même ce n’était pas cool, et puis la remarque sur sa couleur de cheveux c’était petit très petit, mais cela avait marché pour l’énervé encore plus. Donc pendant une heure avec ses écouteurs et sa musique elle se mit dans sa bulle. Une fois rentré elle alla directement dans la salle de bain, et pendant qu’elle prenait sa douche elle entendit Ernesto qui rentra et qui lui demanda si elle avait besoin qu’on lui gratte le dos, la première chose qu’elle fit, elle prit le savon et lui jetta dessus. « Non. » ajouta-elle d’un ton froid, puis elle sortit et donc il pouvait tout voir de son anatomie pour ensuite prendre une serviette et aller dans sa chambre, pour se changer une nouvelle fois, elle se mit sur son lit et pris son ordinateur pour ainsi voir ce qui se passe sur la toile, en espérant une nouvelle fois ne pas être déranger. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Ven 5 Juil 2013 - 14:49 | |
| Pour une fois qu'Ernesto voulait se faire pardonner, oui d'habitude c'était toujours Charlie qui craquait, elle l'aime trop son colocataire même si oui il lui avait dit des horreurs sur sa couleur de cheveux, mais c'était affectueux, il ne fallait pas tout prendre pour de vrai. Mais c'est bien dit les femmes n'ont pas d'humour, boudent tout le temps et en plus ne savent pas être gentilles. Et là au contraire lui se montra trèè[...]èès gentil en lui demandant si elle voulait de l'aide pour qu'il la savonne, mais là elle se montra trèè[...]èès vilaine avec lui, en lui lançant le savon « Aïe ! Mais euh ! » Il se frotta le bras à l'endroit où elle lui avait jeté le savon, mais ne partit tout de même pas de la salle de bain bien décidé à se faire pardonner, même si ce n'était pas à lui de le faire.. La jeune femme éteignit l'eau puis sortit de la douche, ne se gêna pas pour rester nue devant lui, namého ! Et le truc de fifou qui se passa, elle mit sa serviette autour d'elle et passa genre incognito devant lui pour se diriger dans sa chambre. « Non mais je rêve ! » dit-il avec un air triste. Mais rien, elle l'ignorait et de façon royale ! Mais lui il ne baissait pas les bras, rien n'arrête jamais Ernesto Benjamin Dolce ! Ce dernier se dirigea alors vers la chambre de Charlie et l'ouvrit, elle était sur son ordinateur, il resta sur le pallier de la porte et lui dit « Charliiiiie ! Oooh Charliiiiie, tu es la plus joliiiie. Charliiiiie ! Ooooh Charliiié » Bon en fait il chantonnait une chanson qui ne ressemblait à rien.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Sam 6 Juil 2013 - 8:43 | |
| Malgré que charlie lui ait lancé un savon, Ernesto ne recula pas il resta dans la salle de bain, et eut la chance de pouvoir profiter d’une vision d’ensemble du corps de Charlie, qui a bien dû se rincer l’œil la jeune femme fit comme s’il n’était pas là à vrai dire elle prit sa serviette l’enroula autour d’elle et partit, comme si de rien n’était. Et puis elle partit dans sa chambre où elle se changea une énième fois pour la journée, la première tenue s’est retrouvé couverte d’eau et la seconde de sueur. Bref une fois dans sa chambre, et changé, elle s’installa sur son lit, avec son ordi et puis quelques temps après Ernesto ouvra la porte pour se mettre à chanter une chanson qui disait que Charlie était jolie bref, une chanson qui venait surement de son imagination, charlie le regarda un peu blasé. « Tu as changé d’avis tu veux plus me voir partir ? » ajouta-elle en le regardant. Elle n’avait pas vraiment oublié ce passage-là. Elle n’était pas quelqu’un de spécialement rancunière mais là elle n’avait pas trouvé cela très gentil. « Oh et puis je sais que tu aimes ma couleur de cheveux. »ajouta-elle avec un petit sourire, tout le monde aimait sa couleur de cheveux parce que c'était différent et parce que cela lui allait parfaitement |
| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Lun 8 Juil 2013 - 12:01 | |
| Certes ils avaient parfois tous les deux un assez mauvais caractère, mais d'un autre côté sans ce caractère bien trempé, ils ne seraient certainement pas amis, et leur vie en colocation serait nulle et sans goût, tandis que là mettre du piment en se disputant c'était un truc génial, bon même si ça ne leur faisait pas franchement plaisir. Et Ernesto comptait bien la récupérer hein, par tous les moyens possibles et en l'occurrence, rien de mieux que de jouer avec les sentiments, faire sa tête trop mignonne ça allait marcher, et le fait qu'il se fasse carrément envoyer sur les roses dans la salle de bain l'avait remonté à bloc ! Sur le pallier de la porte, regard de chien battu, il lui répondit « Nooon pars pas. » Il avança vers elle, toujours avec son petit regard et au moment où il voulut poser ses fesses sur le lit, elle lui parla de sa couleur de cheveux que le Dolce s'était permis de critiquer. Oui bon d'un autre côté il ne le pensait pas vraiment, et n'avait rien contre les roux bien au contraire. Il se posa alors juste à côté d'elle, même s'il savait très bien que ça n'allait pas lui plaire et lui répondit « J'aime tout, ta couleur de cheveux, ton nez, tes yeux, tes pieds, ton corps et ta bouche. » Pendant son énumération il avait touché les parties citées en même et avait terminé par l'embrasser langoureusement, oui il savait y faire.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Lun 8 Juil 2013 - 17:51 | |
| Ernesto essayait de tout faire pour que Charlie ne fasse plus la tête, il essaya de l’attendrir avec sa tête de chien battu, chose qui ne marchait pas avec elle à vrai dire. Elle ne faisait pas vraiment la tête, elle en avait juste de marre qu’ils se disputent autant même si cela mettait de l’action entre eux, elle déteste les disputes. En un rien de temps il s’installa à côté d’elle dans le lit, elle lui dit qu’elle savait qu’il aimait ses cheveux, de toute façon tout le monde les aimait, ce n’est pas comme si en Australie il y avait beaucoup de rousses à vrai dire. Il essayait de l’appâter à vrai dire c’était assez drôle, il lui dit qu’il aimait tout, ses cheveux, son nez ses yeux, son corps ses lèvres, et il toucha toutes les parties qu’ils venaient d’énoncer en terminant par un long baiser, charlie posa sa main sur la joue de colocataire, et puis à la fin du baiser elle sourit. « T’es faible… Tu vois une fille énerver tu vas l’embrasser… Surtout que je ne suis pas énervé contre toi, c’est juste … j’en ai marre des disputes.» Ajouta-elle en le regardant dans les yeux, et puis elle s’approcha de lui pour à son tour l’embrasser longuement. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mar 9 Juil 2013 - 11:20 | |
| Ernesto ne s'était jamais demandé si un jour Charlie et lui pourraient être plus que de simples colocataires, c'est vrai quoi ils vivaient sous le même toit, se disputaient comme chien et chat, couchaient ensembles aussi donc à première vue oui un couple, mais d'un autre côté Ernesto aimait trop son statut de coureur de jupons pour pouvoir se poser avec une femme, mais après tout personne n'est à l'abri des surprises. Dans tous les cas, il avait joué de son charme d'abord en entrant dans la chambre avec un regard de chien battu -chose qui ne marchait pas- et après il lui dit qu'il aimait tout chez elle, et finit par l'embrasser langoureusement. Et puis la belle jeune femme lui dit quelque chose qui ne lui plut pas du tout mais il n'eut pas le temps de répondre qu'elle l'embrassa longuement, il mit fin au baiser et lui répondit « Si je suis aussi faible que ça pourquoi tu m'embrasses à ton tour ? Des disputes, c'est pas vraiment des disputes tu sais et sans ça notre vie en colocation ne serait pas superbe et plutôt morte en fait. » Il alla se poser dans le fond du lit, se posant sur le mur. Il reprit « T'attends quoi de moi au juste ? »
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mar 9 Juil 2013 - 11:44 | |
| Ils étaient dans la chambre encore une fois, Ernesto était venue la voir, il avait envie que la ‘dispute’ se termine, charlie pensait aussi ça. Il été venue jusqu’à elle, en essayant de l'appâté avec ses beaux yeux, elle lui a fait une remarqué qu’il avait fait une remarque à propos de ses cheveux, et puis il lui dit tout ce qu’il aimait, et elle lui dit qu’il était faible, il n’aimait pas ce qu’elle avait dit elle l’avait bien vu, il lui demanda pourquoi est-ce qu’elle l’avait embrassé, elle haussa les épaules. « Je suis faible, en plus c’est bizarre j’ai trouvé ça mignon. » ajouta-elle en souriant légèrement. Et dire qu’elle détestait le mot mignon, elle n’était pas fan des déclarations et tout ça, mais là elle avait trouvé cela adorable, elle ne s’attendait pas à ça. Les disputes rajoutaient du piment dans leurs relations, sinon tout cela serait trop calme et paisible, ce n’était pas faux d’un côté, mais elle n’aimait pas les disputes, cela lui rappeler son enfance. Elle le regarda s’installer dans le lit, et il lui demanda ce qu’elle attendait de lui. Elle haussa les épaules. Doucement elle s’installa à ses côtés, elle posa sa main sur le torse d’Ernesto. « J’en sais rien… T’attends quoi de moi toi ? » Elle déposa un baiser sur la joue d’Ernesto. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mer 17 Juil 2013 - 7:34 | |
| Mais d'un autre côté Ernesto avait un caractère bien trempé, sûrement trop étant donné que fréquemment il se disputait avec sa belle colocataire, la pauvre elle s'en prenait plein la tête, surtout que le jeune homme aimait bien plaisanter avec la couleur de cheveux de Charlie ce qui l'agaçait bien entendu, au fond il aimait bien cette couleur, ça donnait ce côté sexy et puis les roux ne couraient pas les rues ce qui faisait des êtres très uniques dans leur genre ! Bref il était assis, près d'elle ou c'était plutôt elle qui venait le coller, elle l'aimait trop en fait au final. « Bah merci, je le prends pour un compliment, moi au moins qu'on me dise que je suis mignon. Pas comme certaine... » Il mit les yeux vers le ciel afin de faire comprendre qu'il parlait bien d'elle, puisqu'il y a deux heures alors qu'ils étaient tous les deux assis sur le fauteuil, il lui avait dit qu'elle était mignonne mais elle s'était genre énervée et hop hop la dispute avait éclaté. Il la fixa, elle avait peur de la réponse, et lui aussi d'un autre côté. « Que tu me dises la vérité c'est tout. » Réponse débile, puisqu'il n'y avait aucune vérité à dire, il avait oublié certainement un bout de la phrase, il voulait dire la vérité sur ses sentiments.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mer 17 Juil 2013 - 9:24 | |
| Elle lui avait qu’il était mignon, et il lui lança un pique en disant qu’au moins lui il accepter cela, elle le tapa légèrement sur le bras. Il se moquait d’elle, comme d’habitude elle sourit tout de même, elle ne le prit pas mal. « Désolé. » ajouta-elle embarrassé, elle s’excusa pour le fait d’être partie au quart de tour, et aussi de l’avoir frappé. Ensuite il lui posa la question, la vérité, mais la vérité sur quoi, sur ses sentiments, sur elle peut être même les deux, il était peut-être temps de mettre les choses aux claires entre eux deux. « Je suppose que tu veux la vérité sur mes sentiments, le truc c’est que je ne sais même pas si je suis capable d’en avoir, c’est vrai j’ai 25 ans et j’ai jamais été en couple. Même si j’aime beaucoup passer du temps avec toi, quand on ne couche pas ensemble, je ne sais pas si … ça marcherais tu vois, surtout de mon côté parce que … je suis une chieuse tu l’as bien vu, et j’ai été habitué à être seule, tout le temps donc…. » Elle le regarda dans les yeux, elle grimaça elle s’éloigna de lui, et puis elle regarda ses propres « et puis tu ne me connais pas si bien que ça. Personne ne me connait vraiment… Je… Charlotte flynn c'est techniquement mon vraie prénom… » Ajouta-elle totalement embarrassé, elle révélé une partie de sa vie que personne ne connaissait vraiment. C'était une des premières fois qu'elle disait cela à quelqu'un elle détestait parlé de son passé parce que tout cela ne ressemblait pas à ce qu'elle est aujourd'hui.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mer 17 Juil 2013 - 10:09 | |
| Charlie s'excusa, et il lui sourit de façon assez froide et distante mais déjà il souriait c'est un point positif à ne pas négliger. Et il lui demanda la vérité, le début des aveux de la jeune femme se passèrent normalement, elle lui avoua les sentiments qu'elle pouvait éprouver pour lui et le jeune homme ressentait la même chose, enfin même s'il n'était pas vraiment certain, il ne savait jamais vraiment ce qu'il pouvait ressentir, surtout que des années en prison changées les gens et habituellement il avait toujours était le genre à tout dire, tout avouer et passer directement aux révélations que de plutôt tourner autour du pot, mais les coups qu'il avait pris lors de son emprisonnement, les insultes et tout l'avaient changé, il se taisait, ne disait plus rien. Alors qu'au contraire, Charlie lui avouait tout, même un peu trop de choses et là il ouvrit la bouche, et la referma. Il était énervé, très énervé, qu'elle lui ait menti. Il se leva du lit poussant un peu la jeune femme et lui dit debout face à elle, les mains cachant son visage. « Putain je rêve. » Il ôta ses mains et reprit « Tu te fous de moi ? T'es sérieuse là ? Au fond je me fou pas mal de ce que tu peux ressentir pour moi, tu devrais même pas avoir de coeur vu que tu me caches ta véritable identité ! Nan mais tu joues à quoi ? T'es recherchée par la police ? Ah non en fait t'es un Minimoys mais tu te caches sur terre pour échapper à M le Maudit, c'est ça ? Dis moi je comprends rien. T'es pas ce que je croyais que t'étais au fond tu méritais pas que je t'héberge. Et tiens pour l'info, je sais que tu es ou étais marié avec Perry sans me le dire, t'as vraiment un problème psychologique meuf je te promets. » Il ne lui laissa pas le temps de répondre, qu'il sortit de la chambre claqua la porte et se dirigea vers la sienne, la ferma à double tour et s'affala sur son lit, broyant du noir. En fait il voulait la vérité et il l'avait eu..
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mer 17 Juil 2013 - 10:28 | |
| Charlie était loin de s’attendre à cette réaction d’Ernesto, il se leva brusquement, et lui dit un tas d’atroces choses. Elle lui avait dit la vérité, son vrai prénom, et il lui dit qu’elle n’a pas de cœur, qu’il n’aurait pas dû l’héberger, et qu’il savait qu’elle était marié, était puisque ce n’était plus le cas. Elle le regarda partir, elle le suivit mais se retrouva devant une porte. « Si j’ai voyageait autant dans le monde ce n’était pas pour du tourisme c’est parce que mes parents VOLAIENT, ils VOLAIENT NOS AMIS et partaient ensuite, une fois ils ont carrément simulés notre mort, ma mort… et… un jour j’avais 17 ans, je suis rentré dans une maison pour rendre ce que mes parents avaient volés, et je me suis fait prise, on m’a embarqué j’ai passé 5 mois en prison pour quelques choses que mes parents avaient fait. Des parents aimant aurait tout fait pour libéré leurs enfants, mais ils m’ont laissé croupir en taule, parce que je n’étais qu’un putain de poids pour eux. Si jamais eut le choix j’aurais préféré qu’on m’abandonne dans une station-service que de vivre cette vie de merde ! » Elle renifla charlie ne pleurait pas souvent, mais quand elle parlait de son passé ce qui était rare ; elle pleurait parce qu’elle avait souffert. « Et pour ton information, j’étais marié, je l’ai fait divorcé, parce que le maire nous avait marié sous l’emprise de l’alcool. Et oui je n’ai pas de cœur… » Elle renifla elle regarda l’appartement avant de dire. « Je pars ce soir, tu ne me verra plus. » Elle retourna dans sa chambre, pris ses valises d’un placard et commença à ranger ses affaires tout en continuant de pleurer. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mer 17 Juil 2013 - 10:47 | |
| Ernesto était sur son lit, il entendit la jeune femme le suivre mais fit comme si de rien, mais il entendit la vérité, la vrai vérité. Ayant lui-même été en prison il savait ce que c'était, et il savait aussi que c'était un calvaire sûrement plus pour une femme. Il comprit qu''elle pleurait, et tout ça de sa faute ! Après l'énervement les regrets.. Mais il avait tellement de fierté qu'il ne bougea pas, il resta sur son lit et lui même sentit une larme ruisselait sur sa joue, il l'essuya d'un revers de la main, se tentant de ne pas renifler à son tour, et l'entendit dire qu'elle partait, il aurait aimé hurler la retenir mais il ne bougea pas d'un poils, se contenta de se tourner sur le côté dos à la porte. Ferma les yeux et se rendit compte que sans Charlie ça ne sera plus pareil. Cela faisait une vingtaine de minutes qu'ils s'étaient disputés et ils n'étaient pas revenus l'un vers l'autre, c'était donc à lui d'y aller, de s'excuser. Il frappa à la porte de Charlie, gêné, et mal à l'aise, il entra et lui dit « Charlie je suis désolé vraiment. Je ne pensais pas que tu avais autant souffert, je sais ce que c'est la prison j'en ai fait pendant longtemps et donc je ne peux que comprendre le rejet de nos parents. Mon père c'était pareil jamais il ne m'a aimé, sauf quand j'étais en prison là il a trouvé de l'intérêt soudain pour moi mais bon je ne lui adresse plus la parole et ça n'a rien à voir avec ta douleur. » Il s'approcha d'elle, la prit dans ses bras, même si elle le repoussait un peu, et tenta d'apaiser ses sanglots. « Charlie j'suis qu'un con, m'en veux pas et reste s'il te plait. Je t'aime trop pour imaginer l'appart sans toi. Oublions ça, désolé, et pleurs pas. » Bon il lui avait dit qu'il l'aimait mais certainement de manière amicale et s'était excusé et il avait été sincère sachant parfaitement que c'était lui le fautif dans l'histoire.
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| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Mer 17 Juil 2013 - 11:10 | |
| Elle remballer ses vêtements les larmes coulaient encore et elle repensait à tout ce qu’elle venait de dire à Ernesto. Elle avait été honnête avec lui, elle lui avait dit toute la vérité, lui qui la voulait, il avait tout eut. Elle se sentait mal, elle ne voulait pas partir d’ici mais après ça c’était peut-être mieux pour eux deux il n’y aurait pas d’incident au moins, plus de disputes, plus rien. Et puis quelques temps après elle entendit Ernesto taper à la porte et puis entrer elle se leva et baissa la tête et ne fit qu’écouter ses paroles, il s’excusa, il savait ce que c’était que d’avoir fait de la prison et aussi le fait d’avoir des parents qui s’en fichent de leurs propres enfants. Il s’approcha d’elle la prit dans ses bras, elle essaya de s’éloigner mais n’en avait pas la force, il continua en disant que cela serait bizarre l’appartement sans elle, il voulait oublier ça, et qu’elle arrête de pleurer, elle renifla une fois avant de le serrer un peu dans ses bras. « Je suis une idiote aussi…. » Elle s’asseya sur son lit et se frotta doucement les yeux, elle soupira. « Je ne veux pas partir, pas encore une fois… Je suis conne par moment et tu l’es aussi c’est pour ça qu’on s’entend bien, en plus d’avoir tous les deux des sales caractères. » Elle ajouta un tout petit sourire, et puis elle se laissa tomber sur le lit. |
| | | Invité | Sujet: Re: (#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto) Jeu 18 Juil 2013 - 9:36 | |
| Au fond tout finissait bien après leur dispute qui n'avait jamais était aussi grosse et Ernesto ne s'était jamais autant énervé sur quelqu'un, dans un sens ça le fichait vraiment mal, surtout qu'au fond il l'aimait bien Charlie même beaucoup, c'était sa colocataire, la meilleure qu'il soit et jamais il n'oublierait tout ce qu'elle avait pu faire pour lui, et c'était comme un devoir de s'excuser et de lui dire de ne pas pas partir, puisque sans elle, rien ne serait pareil et il avait raison, maintenant qu'il le veuille ou non la petite Chapman faisait son quotidien. Il ne retint pas son petit sourire quand elle lui dit qu'elle était une idiote aussi, il souria suite au " aussi " effectivement cela signifiait donc qu'elle jugeait le Dolce d'idiot, mais il le savait et pour cela il lui avait présenté ses excuses. Il la regarda s'asseoir sur le lit et vint la rejoindre. « Non pars pas, de toute façon je te séquestrerais jusqu'à ce que je meurs donc t'as pas intérêt à partir. Oui mais perso' nos caractères font tout notre charme » lui répondit-il en faisait sa bouille d'ange à l'annonce de ses derniers mots. Il se laissa tomber juste à côté d'elle, leurs épaules se frôlaient. Il mit les mains sur son torse et regarda le plafond, regard dans le vide. Après quelques secondes de silence qui lui parurent une éternité il lui lança sur un ton hilare « On devrait peut-être penser à voir un conseiller conjugal ! »
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