(#128) - une collocation mouvementé. (Ernesto)

Tout c’était calmé entre Ernesto et Charlie, ils étaient beaucoup plus calme, d’habitude ils ne se disputaient pas comme ça, pas aussi fort et aussi méchamment. Il s’était excusé elle de même, donc tout était plus calme, il ne voulait pas qu’elle parte, et elle ne voulait pas partir non plus, elle aimait trop cette appartement, cette ville, et elle appréciait beaucoup Ernesto qui lui répondit qu’il la séquestrerait jusqu’à ce qu’elle meure, et cela la fit sourire, il continua en disant que leurs forts caractères faisaient leurs charmes elle hocha la tête, elle n’était pas vraiment convainque de cela mais bon elle ne dit rien d’autre. Elle s’était allongée sur le lit, et il avait fait la même chose, ils regardaient tous les deux le plafond et Ernesto fut le premier à briser le silence en disant qu’ils devraient aller voir un conseiller conjugal et là la jeune femme se mit à rire avant de se tourner vers ernesto pour déposer un doux baiser sur la joue. « Plus de disputes pour aujourd’hui déjà ! On verra plus tard pour le conseiller conjugal. Parce que je suis sure que ce que ce charlatan pourrait nous dire c’est qu’on est attiré l’un par l’autre.  Ce qui n’est pas une nouvelle.» ajouta-elle en souriant légèrement, elle se rapprocha d’Ernesto de façon à poser une main sur son torse.

Si pour lui leurs caractères faisaient leur charme, aussi fous puissent-ils être. Puisque oui Ernesto était habituellement un vrai bisounours, genre tout le temps à le recherche de câlins, tout le temps à vouloir faire des bisous et des galipettes bien entendu mais avec Charlie son mauvais tempérament prenait souvent le dessus et il se montrait parfois trop dur et méchant avec elle, mais le fait était qu'il regrettait, et qu'il avouait ses tords, donc comme dit le diction faute avouée à moitié pardonnée. Mais des fois entre eux la bonne humer planait et il préférait de loin ces rares fois. Ils étaient affalés sur le lit, pour sa part Ernesto pendant un quart de seconde inspectait le plafond, il était blanc et par endroit il y avait des trous il faudrait donc très rapidement les reboucher et mettre un petit coup de peinture, il le ferait avec Charlie. Il mit de côté ses réflexions concernant le plafond se promettant d'en faire part à Charlie puis lui répondit « Oui oui t'inquiètes pas. Non mais je plaisantais chouchou, t'as cru toi que j'allais voir un type qui nous fait payer hors de prix pour me dire des trucs que je sais déjà ? Comme par exemple que cette nuit on va dormir ensembles pour tout oublier. » Il lui fit un petit sourire tout mignon, puis l'attrapa et se ne fut pas la simple main de Charlie sur son torse mais Charlie toute entière, il la serra comme une peluche, ils étaient trop choux de cette façon.

Après les disputes Charlie avait d’attention et heureusement qu’Ernesto était là, lui et son caractère de bisounours, elle savait qu’il aimait les petites attentions, alors elle s’était rapproché de lui, avant elle avait parlé du fait de voir quelqu’un qui nous dirait déjà tout ce qu’on savait, elle savait bien que cela avait été une blague, et Ernesto ajouta que de toute façon ils savaient qu’ils allaient passé la nuit ensuite et en un rien de temps, comme par magie, elle se retrouva sur lui, il la serra dans ses bras et elle fit de même, et puis elle commença a caresser Ernesto et elle déposa un baiser dans son cou. « On verra si on va vraiment dormir. » ajouta-elle avec un sourire en coin et puis d’un coup, elle s’esseya sur Ernesto au niveau de ses hanches et puis elle se pencha au niveau de son visage pour l’embrasser un peu partout, sur le front, les joues, le nez, et elle finit par placé ses mains sur son visage pour l’embrasser doucement. « J’aime le fait que tu sois un bisounours, que tu ais besoin de bisous, et de câlins et de caresses.» Ajouta-elle en souriant en bougeant ses mains vers le torse d’Ernesto.

Ernesto était une personne très attachante, vraiment et même si parfois son caractère laissait à désirer, il n'en restait pas moins qu'on l'aimait pour ce qu'il était et non pas pour ce qu'il devrait être. Et le fait que la rouquine et lui se disputent il n'appréciait pas tant que ça, malgré ce qu'il pouvait dire, cependant voilà il aimait leurs retrouvailles, il adorait même. Il plaisanta avec elle, avant de la prendre doucement contre son torse, pour lui prouver que oui il avait besoin d'elle, après tout ce n'était pas comme si depuis ces derniers mois ils se voyaient tous les jours, couchaient ensembles au moins une fois par semaine, et se racontaient tout et n'importe quoi donc il avait besoin d'elle, dans les meilleurs moments comme dans les pires. Et la remarque de Charlie le fit sourire avec amusement, il eut juste le temps de lui répondre « On verra oui. » que déjà elle monta sur lui enfin en tout bien tout honneur, et fit le numéro qu'il lui avait fait auparavant, elle était trop chou dans ces moments là, il prolongea doucement le baiser et lui fit un sourire suite à ses paroles. Tandis qu'elle mettait les mains sur son torse, Enresto avait les siennes sur les cuisses de la belle qu'il caressait avec tendresse. Et il lui dit sur un ton très plaisantin « Dans ce cas je serais le bisounours attitré de mademoiselle Charlie Chapman qui fera de moi tout ce qu'elle voudra, enfin dans la limite du raisonnable. Donc moi Ernesto Benjamin Dolce, je m'engage auprès de vous. » Puis il ôta une main de la cuisse de la jeune femme et vint la poser dans sa nuque pour l’amener à lui pour l'embrasser.

Quand ils ne se disputent pas, ils s’embrassent, c’était le cas-là, ils avaient besoin de réconfort, de douceur et de chaleur. Elle l’embrassait et il prolongea le baiser, elle sourit, elle lui avoua qu’elle aimait que ce soit un bisounours, et ce dernier déclara alors qu’il était son bisounours attitré, qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de lui, un grand sourire apparut sur son visage. Et il l’embrassa elle prolongea le baiser en se collant à lui, une fois le baiser terminé elle le regarda « Bah, moi, Charlie chapman je m’engage à aussi être votre bisounours si vous le voulez, bon dans la mesure du raisonnable bien sûr. » ajouta-elle en souriant, elle l’embrassa de nouveau et plus longuement encore que le précèdent, elle avait commencé à faire balader ses mains un peu partout sur le corps d’Ernesto. « Premier action pour bisounours, n’arrêtes jamais de m’embrasser. JAMAIS. » ajouta-elle avec un grand sourire. Elle aimait ses baisers, elle aimait qu’on l’embrasse en général, surtout quand c’était doux, et Ernesto était plutôt doué pour cela.

Ernesto aimait bien quand Charlie prenait les devants enfin après lui aussi aimait bien tout contrôler lors de leurs exploits, sûrement pour cette raison que lorsqu'ils passaient à l'acte c'était une vraie partie de plaisir et peut-être que cette fois ci ils oublieraient vraiment toutes les disputes qu'ils avaient pu avoir dans le passé et même pas dix minutes auparavant, Ernesto regrettait et il comptait bien se faire pardonner de la meilleure façon qu'il soit. Un sourire s'afficha sur le visage du bel italien quand elle s'engagea à son tour et il scella ces mots pour un tendre baiser, prêt à respecter l'engagement coûte que coûte. « C'est parfait dans ce cas ! » lui répondit-il entre deux chauds baisers. Là ils étaient plus complices que jamais, à croire qu'au final leur dernière dispute et le fait qu'ils avaient été à la limite de se séparer et de ne plus jamais se revoir les avait plus rapprochés que n'importe quoi d'autre. Ernesto lui caressait la cuisse d'une main et son autre main se baladait tantôt dans son dos, tantôt dans sa nuque sans jamais cesser de l'embrasser. Et Charlie lui donna une première action, il sourit et lui répondit en lui donnant à son tour un petit ordre « J'en prends compte ! Et bisounours girl à son tour ne dois jamais arrêter de me caresser. »

Charlie et ernesto lorsqu’ils ne se disputent pas ils s’embrassent, ils aiment passer des moments ensembles, ils ont besoins de l’autre au final sans non plus avoir besoin de le dire à l’autre. Le bisounours de l’autre, voilà ce qu’ils étaient devenus, entre autres termes ils étaient là pour combler les manques d’attentions de l’autre, mais plus fréquemment que s’ils ne vivaient pas ensemble, c’était plus pratique plus rapide. Tout était parfait ils étaient en accord ce qui est une des rares fois où ils le sont à vrai dire. Elle lui demanda de ne jamais arrêter de l’embrasser et il lui demanda de ne jamais arrêter de le caresser, alors elle sourit et l’embrasse de nouveau longuement, et puis glisse ses mains sur son torse pour le caresser doucement. « Je n’arrêterais pas, en plus ton corps… il est bien. » ajouta-elle en souriant et d’un coup elle se remit à l’embrasser partout sur le visage, le cou et le torse.

Il valait mieux pour eux qu'ils ne se disputent pas, au moins de cette manière les voisins n'allaient pas râler et venir sonner chez eux. Quoique si leurs futurs ébats devenaient parfaits -comme toujours- et que des cris de plaisir s'élevaient là il y aurait les voisins mais il valait mieux qu'ils sonnent pour cette raison plutôt que pour une autre. Ernesto voulait prendre son temps cette fois, enfin dans tous les cas plus que d'habitude. Leur délire : être des bisounours et ça lui plaisait, il pouvait demander à Charlie tout ce qu'il voulait et inversement même si c'était d'autant plus plaisant lorsque c'était lui qui donnait les ordres. Un sourire s'afficha sur les lèvres du blondinet et il lui répondit « Merci et le tiens également même si pour le moment on ne voit pas grand chose. » Il avait bien dit " pour le moment " ce qui signifiait bien entendu que dans un avenir proche elle serait nue. Bref Ernesto l'embrassa une dernière fois sur les lèvres et déposa une multitude de baisers dans le cou de la belle rousse, afin de finir dans son décolleté et entre ses seins abaissant un peu son T-Shirt sans pour autant le lui ôter, chaque chose en son temps après tout.

Charlie se sentait bien à ce moment-là, Ernesto l’embrassait doucement, et tendrement, elle le caressait, faisant tout ce que l’homme souhaiter et aussi inversement c’était plaisant personne ne pouvait dire le contraire, c’était doux mais passionner, tendre mais sauvage par moment. Elle ne put s’empêcher de compliment le corps d’Ernesto il lui rendit le compliment même si pour l’instant on ne pouvait pas voir grand-chose, elle avait aimé le pour le moment. Il l’embrasser partout sur son corps et chaque baiser la faisait sourire, elle fit un petit bruit bizarre de plaisir ce qui la fit elle-même rire après, elle cacha cela en mettant sa main devant sa bouche. Et puis en un mouvement rapide elle se mit sur Ernesto, l’embrassant déjà longuement, tendrement mais aussi en jouant avec sa langue, ensuite elle continua ses baisers tout le long du torse d’Ernesto jusqu’à la ceinture, et puis remonta à ses lèvres. Et puis elle s’asseye au niveau du bassin de Ernesto et enleva d’un coup son t-shirt, elle était donc en jean, et soutient gorge sur lui, et puis elle retourna l’embrasser. « Tu peux faire ce que tu veux de moi Ernesto. », elle venait de prononcer ses mots en français elle savait qu’il parlait français, c’était comme si elle lui disait qu’elle le connaissait bien au final.

Des moments comme ceux qu'ils étaient en train de vivre étaient rares et c'était pour cette raison qu'il fallait qu'ils en profitent au maximum avant que leur mauvais tempéraments reprennent le dessus même si à l'heure actuelle ce n'était pas au goût du jour. Pendant qu'ils continuaient de s'embrasser, Ernesto se demandait ce qu'il adviendrait de leur relation si jamais ils étaient en couple, puisque effectivement à première vu ils avaient tout l'air d'en être, ils vivaient ensembles, se disputaient souvent et couchaient même ensembles mais le seul problème était leurs sentiments respectifs. Ni Ernesto, ni Charlie était en mesure de dire si oui ou non il y avait une nuance d'amour dans leur relation, mais du côté du jeune homme cette perspective lui faisait peur, pour une raison inconnue. Charlie se mit au dessus de lui, ce dernier laissa alors balader ses mains le long du dos de la jeune femme qui l'embrassait un peu partout et il apprécia davantage lorsque c'était son torse. Et la belle rousse ôta son T-Shirt, Ernesto se mordit la lèvre en voyant une partie de son corps et lui fit un sourire amusé. Il aurait aimé enlevé lui même son T-Shirt mais la jeune femme avait pris les devants et ce n'était pas pour lui déplaire non plus, Le T-Shirt d'Ernesto s'écrasa par terre lorsque le blondinet le lança, il la regarda amusé, de son côté il ne lui restait que le boxer, mais chez Charlie presque tout, ce qui était très tentant.. « Vraiment tout ? »

Spoiler:

Elle lui avait dit qu’il pouvait faire tout ce qu’il voulait d’elle, il lui demanda vraiment tout et sa seule réponse fut de hocher la tête tout en souriant, plus le temps passait et plus ils leurs corps se dévêtissent, un peu normal en passant. Charlie continuer de l’embrassait et lui de la caresser. Elle aimait sentir le contact du corps d’Ernesto contre le sien. En un rien de temps elle enleva son pantalon, pour être uniquement en sous-vêtements, elle continua de l’embrassaient et de se serrer contre lui. Et puis Charlie commençaient à en avoir marre de tout cela, donc elle décida de passer à l’acte peut être plus rapidement que prévu, elle se leva de sur Ernesto et elle dégrafa son soutien-gorge, et enleva sa culotte. Et elle lui sauta limite dessus.
Une fois le bon temps passait, Charlie resta dans les bras D’Ernesto, collé contre lui à caresser doucement sa poitrine. « Je préfère ça. » ajouta-elle avec un petit sourire.

Ils avaient pris leur temps, sans vraiment le prendre non plus mais une chose était sûre c'est qu'ils avaient échangé un très bon moment, sûrement les meilleurs ébats qu'ils n'aient jamais eus à deux. Peut-être était-ce l'alliance et les retrouvailles après tant de querelles ou bien le fruit d'un amour naissant. Y penser faisait peur à Ernesto alors il se contenta de lui caresser le dos, alors qu'ils étaient toujours nus. « Moi aussi je préfère ça. » Il passa un bras derrière sa tête afin de pouvoir être mieux placé, il regardait le plafond, une fois de plus songeant à leur moment intime passé. Il lâcha un soupire de plaisir et brisa le silence « Tu sais des fois je me demande ce que serait la vie si nous n'avions pas fait tout ses choix. Par exemple moi, lorsque je suis arrivé à Paris si je n'avais pas eu de mauvaises fréquentations, si je n'étais pas allé en prison je ne serais certainement pas là avec toi. Et franchement moi qui pensais regretter mes erreurs, pas du tout. » En gros il tentait de lui dire qu'il l'appréciait mais de manière subtilement philosophique.

Ils avaient fait l’amour et ils étaient bien content de cela, aujourd’hui cela avait été mémorable. Ils restaient collés l’un à l’autre, Charlie sentait la main d’Ernesto entrain de caresser son dos, ce qui la fit sourire, et ils profitaient juste du moment passé et puis Ernesto brisa le silence, elle l’écouta très attentivement, et sourit légèrement, il pensait à la même chose qu’elle. « Premièrement je pense pareil… Ma vie aurait été différente si, je ne m’étais pas enfuie de chez mes parents… ou si j’étais resté à Londres… mais j’aime ma vie là… Elle est cool. Je vais ce que je veux et j’adore ça… » Elle n’aime pas les règles, même si elle s’en met elle-même pour ne pas perdre le contrôle de sa vie, elle est son propre boss, elle fait ce qu’elle veut et ce qu’elle aime, même elle a dut faire des choix plutôt risqués comme devoir de nouveau changer de villes.  Elle le regarda en souriant, et puis elle se déplaça de façon à se coller contre le torse de l’homme, elle tapota sur son torse… « Et puis moi aussi j’taime bien. Dolce. Même si on a deux caractères bien … trempés… on s’entend plutôt bien. Et comme dit avant, je ne sais pas où je serais sans toi. » Elle le regarda en souriant avant de l’embrasser doucement.  

Effectivement Ernesto était tout à fait content d'avoir fait l'amour avec Charlie, il fallait être difficile car la jeune femme le faisait très bien. Et le jeune homme sortit une réflexion digne des plus grands, et Charlie pensait pareil. Un sourire s'échappa sur les lèvres d'Ernesto qui se rendit compte qu'entre eux il n'y avait plus tellement de secrets, il savait la vie de la rouquine, et cette dernière savait la sienne. « Avec des " si " le monde serait refait crois moi. Et moi aussi je fais ce que je veux de ma vie, peut-être un peu trop ce que je veux d'ailleurs. » Il ria doucement, assez gêné d'avouer qu'il devait songer à arrêter ses bêtises de parfait coureur de jupons et se poser enfin avec quelqu'un -Charlie par exemple -, mais d'un autre côté il n'avait que vingt-trois ans et toute la vie devant lui. La jeune femme se colla plus à lui et il la serra donc davantage, il l'écouta avec attention, hocha de la tête et lui répondit amusé « T'avais compris le sens de ma déclaration on dirait. Ouais c'est vrai qu'on a des caractères particulièrement trempés et explosifs. Arrête de dire ça, tu me gênes et moi sans toi je serais un pauvre naze. » Il lui fit un petit clin d'oeil.

La conversation devenait limite philosophique, ils parlaient du fait qu’un choix aurait pu totalement changer leurs vies et ne pas être là à ce moment précis. Charlie pensait à ça très souvent à vrai dire, c’était en fait un moyen pour elle de se réconforter dans les choix qu’elle a fait. Il raconta que lui aussi été libre, peut-être un peu trop, il sourit légèrement et elle fit de même, elle le regarda. « Tu sais… j’avais pensé que je devrais arrêter de coucher avec n’importe qui… Mais avec toi ça risque d’être dure d’arrêter. » ajouta-elle avec un grand sourire, avant de déposer un baiser sur sa joue, oui elle se sentait bien avec lui, oui elle l’apprécié et le trouvait très sexy, et puis ils étaient tous les deux attirés l’un par l’autre et puisqu’ils vivaient ensemble c’était sure que cela risquerait d’être dure de ne pas coucher ensemble, surtout que charlie avait pas forcément envie d’arrêter avec lui.
Elle avait compris son sous-entendu, elle était la reine des sous-entendu, des allusions et plus particulièrement lorsqu’ils sont pervers. Pour avoir des caractères explosifs ils l’ont mais c’est ça qui est bien au final. Il rajouta que sans elle il serait un pauvre naze, elle le regarda dans les yeux… « Non regardes, tu l’es très bien aussi avec moi. » ajouta-elle encore une fois en riant légèrement, elle le taquinait c’était sa façon à elle de dire qu’elle l’aime bien, mais elle s’approche de son visage avec un grand sourire avant de l’embrasser doucement. « Tu sais que j'adore taquiner. »