Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
Sujet: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mar 23 Juin 2015 - 19:59
J'étais pleinement...épanouie. Pour la première fois de ma vie j'étais réellement épanouie. J'étais tellement heureuse avec Riley dans ma vie. Il était parfait avec moi. Il était toujours aussi doux et gentil qu'avant, mais il y'avait quelque chose en plus. Nous nous découvrions vraiment en vivant ensemble au quotidien. Nous avions une grande complicité lui et moi. On se comprenait d'un simple regard, on riait des mêmes choses, ont finissait les phrases l'un de l'autre. Et ça après uniquement trois semaines à vivre sous le même toit, j'avais l'impression de le connaître depuis toujours. Certes nous avions des ponts de désaccord et il était arrivé une ou deux fois que l'un boude l'autre, mais ça restait minime et nous nous réconcilions rapidement. Et il y'avait beaucoup de sexe. Vraiment vraiment beaucoup de sexe. Encore plus qu'avant. Je l'aimai à en crever. Je l'aimai plus que tout au monde. Il était devenu toute ma vie. Je ne pouvais plus me passer de lui.
Ce qui était cependant difficile c'est que je devais l'ignorer à la fac. Nous disons pour vivre heureux vivons cachés. C'était bien vrai. Riley et moi pour gardions notre relation secrète pour le moment. Nous nous ignorions à la fac. Parce que si notre histoire venait à se savoir, tout le monde allait s'appliquer à nous pourrir la vie. C'était déjà assez compliqué comme ça avant notre différence sociale, notre différence d'âge, la façon dont notre relation avait commencer. Il ne manquerait plus que d'avoir toute la fac sur le dos. Nous étions si bien tout les deux dans notre petite bulle. Nous faisions avec nos différences, et franchement nous les surmontions parce que notre amour était bien plus grand que tout ça. À deux nous arrivons à faire face, mais si tout le monde commençait à s'en mêler ça allait être plus compliqué.
Et ce matin encore c'était difficile de me séparer de lui. Après un rapide petit dej je filais après lui avoir voler quelques baisers. Je partais un peu avant. Parfois c'était lui. Afin de ne pas éveiller les soupçons. Et quand je le croisait dans les couloirs je l'ignorai royalement. Mais ça c'était aussi pour que les autres le laisse tranquille. Évidement ça ne dura qu'un temps. Et ce matin, à l'intercours, une fille de la bande se sentit obligée de le bousculer et de se moquer de lui. J'avais envie de la massacrer. Je vais la... Je n'arrivai pas à me contenir. Je m'interposai entre eux, dos à Riley et je la fusillai du regard l'air de dire "si tu l'emmerde encore je te massacre". Elle se décomposa avant de filer. Puis quand tout le monde reprit son chemin je me tournais à demi vers Riley mais sans le regarder.
Je suis désolée... Je te jure qu'elle va le regretter!
Je continuais mon chemin sans rien ajouter. Cette situation avait ses failles. Ça commençait à être difficile. Et je me demande si nous ne ferions pas mieux de finalement afficher notre relation.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mar 23 Juin 2015 - 21:34
We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.
J'ignorais vraiment qu'on pouvait nouer une relation aussi fusionnelle que l'était la notre, en aussi peu de temps. Mais c'était bien le cas. Notre lien était de plus en plus fort. C'était comme si on se connaissait depuis des années. C'était affreusement difficile de se détacher l'un de l'autre, même pour quelques heures. Ce qui rendait les journées à la fac, vraiment difficiles et à la limite du supportable. Elle me manquait tant que je ne l'avais pas tout prêt de moi. C'était horrible. Mais au moins, c'était le pied total quand on se retrouvait le soir chez nous. On passait notre temps à s'embrasser, se câliner, à baiser et à faire l'amour. Oui, je mettais maintenant "baiser" et "faire l'amour" dans deux catégories différentes. Bien que parfois, on parvienne à mêler les deux. C'était ainsi que fonctionnait notre relation. Et je savais qu'elle était faite pour durer. Même pas sûr qu'elle ait une fin en fait ! En tout cas, oui, je me sentais de plus en plus amoureux d'elle. Mes sentiments pour elle étaient presque insensés tant ils étaient forts. Et c'était un peu notre petit jardin secret. Notre grand secret en fait. Nous n'avions pas prit la peine de voir ensemble si on devait ou non officialiser notre relation à la fac. Je partais du principe que ça ne les regardait pas. Même sur ce plan là, donc, les choses s'étaient faites de façon tout à fait naturelle !
Jusque là nous avions quand même eut pas mal de chance puisque personne n'avait cherché à m'emmerder, depuis qu'elle m'ignorait pour de bon à la fac. Enfin, ça, c'était le cas la veille encore. Mais ce jour là, une nénette décida qu'il était temps de me remettre à ma place, quand bien même je n'avais strictement rien fait pour mériter ça. Mais elle n'avait pas besoin d'une bonne raison pour faire de ma vie un cauchemar et je le savais bien. Pourtant, cette fois ci, Kat tenta un petit quelque chose pour prendre ma défense. Ok, c'était vraiment un "petit" quelque chose. Mais c'était sans doute déjà trop aux yeux des autres. Ce dont elle semblait se ficher royalement. Laisse tomber. C'est pas grave. Lui répondis-je en un faible chuchotement, moi aussi sans la regarder. Et sans attendre, je traçai ma route pour m'éloigner. Ce soir là, nous n'en parlâmes pas du tout, préférant faire comme si de rien n'était. Mais le lendemain, ça reprit. La même nénette et deux de ses copines. Cette fois ci, sans Kat dans les parages. Je ne pris pas la peine de me défendre. Je me contentai de les contourner en les ignorant et de filer. Mais c'était sans compter sur le reste de la bande qui se trouvait non loin de là. Je pilai net quand ils me bloquèrent le chemin. Et cette fois, Kat était là. Sans déconner, ils prenaient plaisir à ce petit manège ? Je grinçai des dents et fis un pas sur le côté pour les contourner. Mais l'un des types se plaça devant moi. Je n'écoutais pas ce qu'il disait. J'étais habitué. Je les entendais rire. C'était bien assez. J'évitais de les regarder. Mais le type devant moi me poussa une première fois. Je serrai les poings et les mâchoires et voulu une nouvelle fois le contourner. Mais ça ne semblait que plus l'amuser encore. Surtout de voir que la colère me gagnait. Il me provoqua se moqua d'autant plus. Putain. Ce qui me foutait le plus les boules dans tout ça, c'était de me faire ainsi piétiner sous les yeux de Kat qui, je le voyais bien, fulminait et voulait intervenir. Mais je ne pouvais pas la laisser faire ça. Je ne voulais pas qu'elle mette en péril son costume de grande méchante, parce que j'étais juste un faible. Dégage. Lâchai-je froidement, à ma grande surprise. Mais ça ne fut que redoubler l'hilarité de tout ce beau monde. Encore une vanne pourrie. Et mon poing atterrit dans la gueule de ce pauvre type. Ca me fit mal aux phalanges. Mais aucun doute que son nez en souffrait davantage. Il y porta d'ailleurs ses mains pour tenter d'endiguer le flot de sang. Je profitai de la stupeur général pour m'éclipser et quitter la fac.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mar 23 Juin 2015 - 23:05
Cette petasse allait vraiment me le payer de s'en être pris à mon mec et d'ailleurs je commençai déjà à préparer ma vengeance. Et cette garce n'allait pas faire long feu ici, ça je vous le garantie. Je m'excusais discrètement auprès de lui avant de lui promettre de me venger. Il me demanda simplement de laisser tomber. Puis chacun traça sa route. Laisser tomber? Non! Hors de question. Comment pouvait il dire que ce n'était pas grave? Moi j'y avait penser toute la journée. Cependant en rentrant à la maison nous n'en parlions pas. Je voyais que Riley n'avait pas l'air de vouloir revenir dessus alors je ne me lançai pas non plus. Et puis finalement ce fut bien mieux vu que nous passion une bonne soirée ensemble.
Mais le lendemain, tout dégénéra une nouvelle fois. Avec la bande nous tombions nez à nez avec Riley. Et un garçon commença à l'emmerder. Pourtant il s'était fait discret et essayait de nous contourner. Mais ce connard Matt se plaça juste devant lui et commença à l'insulter. Et moi je commençait à bouillonner. Je serrai les poings, et Riley aussi. J'étais hors de moi. Riley essaya encore de l'éviter mais ce petit con le provoquai encore, et mon petit ami fini par lui dire de dégager. Et tout le monde se marra. Sauf moi. J'avais envie de tous les tuer. Et ce petit fils à papa de Matt continua encore. Ce à quoi je ne m'attendais pas du tout, c'est quand Riley lui flanqua son poing dans le nez. Et quel poing? Il n'y a pas été de main morte. Il lui a carrément exploser le nez. Et nous ne sommes qu'en début d'après midi, alors je m'inquiète en voyant Riley se diriger vers la sortie. Ils étaient tous bien trop sur le cul et entrain de réconforter l'autre connard pour se soucier de l'homme que j'aimais. Je me lançai derrière lui. Je me lançai derrière lui.
Riley? Riley attend moi.
J'allais le plus vite possible mais j'avais du mal à le rattraper. Je ne savais pas si il ne m'entendais pas ou si il était en colère et ne voulait pas me parler. Je courrais encore plus vite. Je ne le rattrapait que lorsqu'il s'arrêta devant sa voiture. J'étais essoufflée. Je pris son visage entre mes mains. Heureusement il n'avait pas l'air en colère contre moi. De mes pouces je caressai lentement ses joues.
Hey Riley.... Mon bébé.. Ça va?
Je tentai de l'apaiser comme je le pouvais. Je le serrai contre moi et je me fichai royalement que l'on nous surprenne ensemble.
T'as bien fait. Ils ne t'emmerderons plus. Et je veillerai à ce que tout le monde te foute la paix. Je suis désolée mon cœur.
Je caressais encore sa joue et passait les doigts dans ses cheveux. J'embrassai son front plusieurs fois. Il était encore tout tendu.
Fais voir ta main.
Il me la tendis et je l'examinai.
Outch! Tu t'es bien abimer les phalanges. Mais sûrement pas autant que le nez de l'autre connard. Aller viens on rentre chez nous, je vais m'occuper de toi.
Je m'installai au volant de sa voiture et lui demandai de monter côté passager. Je ne voulais pas le laisser conduire avec une main dans cet état.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mer 24 Juin 2015 - 16:03
We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.
J'avais beau être habitué, depuis le temps, à ce qu'on me mène la vie dure comme ça, ça m'emmerdait toujours autant. Voir, aujourd'hui, ça me faisait encore plus chier que d'habitude. Tout simplement parce que je ne supportais plus que Kat me voit me faire ainsi rabaisser. Elle faisait tout, désormais, pour que je me sente sur un pied d'égalité avec elle et pour que je devienne plus confiant en moi même. Mais il suffisait que je croise cette bande de crétin, pour que tout ça retombe comme un soufflet hors du four. Je commençais à voir naître une certaine fierté en moi. Et elle était mis à mal par ces cons. Ce n'était tout simplement pas acceptable. Alors ce jour là, je partis littéralement en sucette puisque je cognais ce petit fils à papa qui continuait de se foutre de ma gueule. C'était surtout par rapport à ma petite amie que je réagissais finalement. Parce que je savais que ça lui faisait du mal à elle aussi, de me voir dans une telle situation. Et j'étais certain qu'elle aurait fini par faire quelque chose, si je ne m'étais pas chargé moi même de "calmer le jeu". Bref, ce coup de poing avait au moins eut le mérite de les faire cesser. Je décidai quand même de quitter la fac pour la journée, histoire de ne pas envenimer les choses déjà dans un bien sale état. Je n'entendais pas Kat qui me suivait et m'appelait, tant j'étais encore sous le coup de la colère. Mais quand elle m'arrêta et se posta devant moi, je me détendis un peu déjà. C'était l'effet apaisant qu'elle avait sur moi. Elle posa doucement ses mains sur mes joues d'une façon très apaisante et me demanda si ça allait. Je ne parvins à me forcer à sourire. Mais je pu au moins hocher positivement la tête, pour tenter de la rassurer un tant soit peu.
Quand elle me serra contre elle, même si je fus un peu surpris par son geste, je ne me fis pas prier pour enrouler mes bras autour d'elle et loger ma joue contre son crâne. L'avoir à mes côtés suffisait à me procurer une intense sensation de bien être et d'apaisement. J'adorais qu'elle ait autant de pouvoir sur moi ! T'excuse pas. C'est pas de ta faute ma puce. Enfin plus maintenant tout du moins. Parce qu'il était certain qu'au départ, c'était elle qui avait lancé les hostilités, si mes souvenirs étaient bons. En tout cas, elle avait au moins envenimé les choses pendant de nombreux mois. Mais ce n'était plus du tout important pour moi. La seule chose qui comptait, c'était notre relation. Notre lien était devenu incroyablement fort et rien ni personne ne saurait le gâcher, je le savais. J'eus un petit frisson quand elle déposa plusieurs tendres baisers sur mon front et parvins même, cette fois ci, à esquisser un léger sourire. Avant de me reculer un peu pour lui présenter ma main, quand elle m'en fit la demande. Vu l'état de celle ci, j'avais vraiment du cogner fort. Mais sur le coup, avec la colère et l'emportement, je n'avais pas vraiment réalisé. En tout cas, je n'éprouvais pas le moindre regret. Ca faisait trop longtemps que je crevais d'envie de le faire ! Tant que je lui ai défoncé le nez au passage, ça va. Répondis-je tout bas, en continuant d'afficher un léger sourire. Sans me faire prier, je la suivis dans la voiture. Mais fronçai bien vite les sourcils. Je pouvais conduire tu sais. Demain on viendra ensemble ? Ou tu veux qu'on repasse plus tard pour récupérer ta voiture ? Lui demandai-je en dardant un regard inquisiteur sur elle. Si elle se fichait qu'on nous voit ensemble, alors je suivais. Je m'en fichais pas mal. Mais ce n'était pas moi qui avais une image à conserver intact après tout. Mais bien elle ! Je posai ma main qui était encore en bon état, sur sa cuisse, en un simple geste de tendresse, durant tout le temps que dura le trajet jusque chez nous. Chez nous. Ce terme là me venait de plus en plus naturellement. Cette constatation me fit sourire. Et avant de descendre de voiture, je vins même voler un bref baiser à ma petite amie.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mer 24 Juin 2015 - 17:52
Riley était vraiment ce que j'avais de plus cher au monde. C'était la prunelle de mes yeux. Et de le voir se faire ainsi maltraiter ça me mettais littéralement hors de moi. Et quand ce petit con l'emmerda encore, alors que je m'apprêtais à intervenir, Riley se chargea lui même de se défendre. Ce geste eut au moins le dont de me soulager. C'était comme si je l'avais frapper moi même. Et ça faisait un bien fou. Mais après ça Riley s'éclipsa discrètement et je lui couru après. Je me fichai que l'on me voit. Je ne rattrapais Riley que quand nous fumes devant la voiture. Il répondit à ma question d'un hochement positif de la tête quand je lui demandait si ça allait. Mais il avait quand même l'air un peu sonné par ce qui venait de se passer. Et je ne pouvais que comprendre. Quand je le serrai dans les bras cela eut le dont de nous détendre l'un comme l'autre. Je sentait les muscles de Riley se relâcher sous mes gestes. C'était très agréable d'avoir cet effet sur lui. Il posa sa joue sur mon crâne. J'adorai quand il faisait ça. Et mon cœur s'accélérait toujours quand il m'appelait ma puce. Il assura que ce n'était pas ma faute mais mais je n'en était pas aussi sur.
C'est quand même à cause de moi que tout ça à commencé...
J'étais entrain de me dire que dans le fond, si j'avais commencer à m'en prendre à lui c'est parce qu'il me plaisait depuis le début. Je n'essayai pas de me justifier, mon comportement n'avait aucune excuse. Mais c'est vrai que lorsqu'on se croisait dans les couloirs je voulais qu'il me remarque. Lui particulièrement. Je ne m'en était peu être pas rendu compte sur le coup mais c'était en quelques sorte pour moi une façon d'attirer son attention. Enfin ceci n'excuse pas cela évidement. Il sourit enfin quand je l'embrassait sur le front. Et je souris également à sa réponse quand je lui parlait de sa main abimé. Je poussais un soupir de soulagement.
Si tu savais le bien que ça m'a fait aussi. Je l'aurai fait moi même si tu n'étais pas intervenu. Ça m'a fait plaisir de te voir lui casser la gueule.
Cependant quand nous montions en voiture quelques secondes plus tard. Riley semblait un peu inquiet. Il m'expliqua rapidement les raisons de cet adorable froncement de sourcils.
Je préfère ne pas prendre de risque. Quant à demain et bien... Si ça ne te déranges pas on viendra ensemble oui. Et puis merde quoi. Je suis Kataryna Van Der Statten, personne ne me dis ce que j'ai le droit de faire ou non. Je t'aime, et je compte bien l'assumer devant tout le monde. T'es d'accord camarade?
Je riais et lui tendais mon poing fermé pour qu'il tape dessus comme des "potes". J'adore toute cette complicité entre nous. Puis il pose sa main sur ma cuisse durant tout le trajet. Et ma jambe tremble durant tout ce temps aussi. Il ne se rend vraiment pas compte de l'effet qu'il a sur moi. Il me vola un bref baiser en descendant de voiture.
Une fois à la maison, j'avais tout de suite remplit un bol de glace pour qu'il y trempe sa main. Après quelques minute je la sortait et la séchais avec une serviette chaude. Puis j'appliquais un baume en lui faisant un petit massage avant de mettre un bandage.
Voilà. Comme ça ta main ne gonflera pas et ça atténuera la douleur.
Je pris son visage entre mes bains et déposai un long baiser sur ses lèvres avant de me relever et d'aller ranger tout ça. Puis je revint auprès de Riley et me blotti dans ses bras. Il pleuvait averse dehors et il y'avait de l'orage. Je souris quand nous entendions un le tonerre gronder.
Je ne sais pas pourquoi mais je trouve ça romantique les orages...
Je l'embrassai tendrement dans le coup avant de me relever et lui tendre la main.
J'ai envie d'aller prendre un bain. Tu viens?
Je gardait sa main dans la mienne quand je montai les escaliers juste devant lui. Et quand nous entrions dans la salle de bain de notre chambre. Je bouchai la baignoire avant d'ouvrir l'eau et de verser le produit moussant, puis des sels de bains et des bulles. Le résultat était plutôt pas mal. Très moussant et très parfumé, ça donnait presque envie de manger la mousse. Je me déshabillais et entrais la première. Je m'avançais vers l'avant de la baignoire en repliant mes genoux pour laisser Riley se mettre derrière moi. Et quand il fut en place je reculai en tendant les jambe et venais appuyé mon dos sur son torse.
Tu sais que c'est une première pour moi ça. Je n'ai jamais pris mon bain avec personne. Mais ça c'est parce que je n'ai jamais été amoureuse avant.
Je prenait la main bandée de Riley et la posai sur le rebord.
Laisse bien ta main hors de l'eau. Quoi que finalement je pourrais le refaire après. Son état n'est pas aussi grave que je le pensai. Tu es tellement...fort! Tu m'a impressionner tout à l'heure.
C'était certain qu'ils allaient tous le craindre maintenant. Et d'autant plus quand ils sauront que c'est mon petit ami. Je reposai la tête sur l'épaule de Riley.
Hey mon cœur? Tu te souviens la fois ou je t'ai raconter que j'avais eu une relation avec...un homme marié? Je t'ai dis que je pensai l'aimer à l'époque, mais que quelque chose m'a fait le rendre compte que non. Je parlais de toi. C'est parce que j'étais amoureuse de toi. Et je me rendais bien compte de la différence.
Je sortis une jambe de l'eau pour la laisser reposer sur le rebord de la baignoire. Puis je pris le bras de Riley et l'entourait autour de ma gorge. Je viens alors mordiller l'intérieur de son coude. Je faisais vraiment des trucs bizarres parfois non?
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mer 24 Juin 2015 - 18:49
We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.
C'était bien à cause d'elle que tout ça avait commencé au départ, je ne pouvais pas dire le contraire même pour lui faire plaisir. Je ne voulais pas minimiser les choses non plus. Mais ce qui était fait, était fait. On ne pouvait revenir en arrière et de toute façon, ça ne changerait rien. Les choses étaient ce qu'elles étaient. Et le plus important, c'est qu'aujourd'hui nous étions heureux ensemble, tous les deux. Le reste n'avait pas d'importance. Ou vraiment très peu ! Peut-être ... Mais ça n'a plus d'importance aujourd'hui. Lui fis-je remarquer avec une certaine douceur et un sourire aux lèvres. Je ne voulais pas la voir se morfondre à cause de tout ça. C'était derrière nous maintenant et ça ne servait à rien d'y penser encore et encore. Juste à se faire du mal. Or, j'avais horreur de la voir se faire du mal d'une quelconque façon que ce soit ! Je lui souris quand elle se recula un peu pour voir l'état de ma main, après quelques baisers sur mon front. Je ne pouvais m'empêcher d'afficher une légère fierté, en mentionnant l'état du nez de ce crétin qui s'en était, une fois de trop, prit à moi. J'ai l'impression que t'aimes bien me voir casser la gueule des crétins quand même ... Constatai-je avec un amusement évident. Décidément, passer de la colère à l'amusement ... Il n'y avait qu'elle pour me faire cet effet là ! Et ce n'était pas moi qui allais m'en plaindre !
Une fois en voiture, j'eus en quelque sorte une illumination. Ou plutôt, un petit doute. Duquel je lui fis part sans aucune hésitation. Sa réponse fit battre mon coeur beaucoup plus vite. J'avais presque du mal à y croire. Genre, trop beau pour être vrai ! "Si ça te dérange pas" ? Sérieusement ? Elle pensait vraiment que ça pourrait me déranger ? Moi !? Attend ... J'ai genre pêcho la nana la plus convoitée de la fac. Comment ne pas être d'accord pour assumer !? Et je tapai son poing du mien -intact-. Evidemment que je plaisantais. Enfin à moitié. J'étais fier de pouvoir montrer que cette nana incroyable et parfaite, était en quelque sorte mienne. Mais je me fichais royalement de son rang et tout ça. Ce n'était pas du tout ce qui me faisait m'aimer. Mais elle le savait. Elle me connaissait maintenant assez pour ça. C'était possible d'être encore plus heureux que la veille ? Parce que c'était le cas. Et j'étais certain que j'étais moins heureux que le jour à venir. Bref, c'était de mieux en mieux ! Main sur sa cuisse, je gardai le silence durant le reste du trajet. Et une fois chez nous, elle ne perdit pas de temps avant de s'occuper de ma main légèrement blessée. Elle s'en faisait beaucoup plus que moi. Ou elle avait juste envie de s'occuper de moi. C'était fort probable ça, puisqu'elle aimait autant prendre soin de moi, que moi j'aimais le faire avec elle ! Je grimaçai quand même un peu de douleur quand elle me massa doucement la main. Mais ne pipai mot.
Elle prit ensuite mon visage entre ses mains pour un long baiser, qui eut le don de me faire frissonner et fondre à la fois. C'était quand même dingue qu'elle continue à avoir autant d'effet sur moi ! Merci ma puce. Lui soufflai-je ensuite, avec un petit sourire. Elle s'éclipsa le temps de ranger tout ça, avant de revenir pour se blottir dans mes bras. Je la serrai contre moi et déposai un baiser sur ses cheveux. Ca a un petit quelque chose de romantique, c'est vrai. Un petit effet de : c'est la fin du monde et on reste ensemble jusqu'au bout. Je souris un peu d'amusement. Mais dans le fond, j'étais sérieux. Je trouvais ça pas mal du tout. Et puis quand il y avait de l'orage, on aimait à rester blotti chez soit. Et quand on était en compagnie de l'être aimé ... Eh bien que demander de plus !? Sans me faire prier, j'acceptai sa proposition de prendre un bain en sa compagnie. Et bientôt, je me retrouvai donc dans la baignoire en sa compagnie, son dos contre mon torse. De l'orage, un bain, un couple d'amoureux. C'est la situation parfaite. J'enroulai un bras autour d'elle pour la serrer contre moi. Oui, c'était parfait. Tout était parfait ! Elle me fit rire quand elle remarqua que j'étais fort. Vraiment ? Je ne m'étais jamais vu comme un type "fort". Soit, je savais me défendre, parce que fut un temps où j'avais plutôt intérêt de savoir faire ça. Mais aujourd'hui, c'était ... Je me sentais capable de tout pour elle. Je crois que j'aime ça ... T'impressionner je veux dire. J'ai envie que tu te sentes en sécurité avec moi. Est-ce que c'est le cas ?
Si le silence retomba au bout de quelques secondes, elle eut tôt fait de le rompre de nouveau, pour remettre un sujet épineux sur le tapis. Mais le côté "épineux" fut rapidement mit de côté. Non, je n'aimais pas me rappeler cette relation qu'elle avait eut avec un homme marié, qu'elle avait cru aimer. Mais oui, j'adorais l'entendre me dire que c'était son amour pour moi, qui lui avait fait réaliser qu'elle n'était pas amoureuse de cet autre type. Mon coeur s'emballa quand je réalisai tout à fait ses propos. Être aimé comme ça ... C'est la chose la plus dingue qui me soit jamais arrivé ... Laissai-je doucement échapper. Avant de pencher la tête pour enfouir mon visage dans son cou et prendre une grande bouffée de son odeur qui m'était tellement familière maintenant. Je t'aime tellement tu sais ... Ajoutai-je très sérieusement. Presque trop compte tenu de son geste étrange et attendrissant à la fois. Même tes gestes tendres très étranges, je les aime. Je ricanai doucement et redressai le visage pour déposer plusieurs baisers sur sa joue et sa tempe. J'aime bien quand tu me grignotes.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mer 24 Juin 2015 - 20:57
Je haussais les épaules face à la réponse de Riley. Il était vraiment adorable de dire que ça n'avait plus d'importance aujourd'hui mais je n'en étais pas aussi certaine que lui. Je n'étais pas non plus entrain de me mortifier à cause de ça. C'était du passé c'est vrai, mais il y'avait quand même des répercutions encore aujourd'hui.
C'est adorable. Et je sais que l'important c'est aujourd'hui. Mais tu paie mes conneries encore maintenant et ça je ne le tolère pas.
Enfin je n'allais pas passer mon temps à m'apitoyer la dessus non plus. Mais c'est vrai que ça me faisait quand même chier.
Et tu sais t'as pas à t'inquiéter pour la fac ou... Si jamais Matt de plaint à la direction, lui ou ses parents, je m'en mêlerai. J'ai bien plus de pouvoir que tout ces crétins réunis.
Je tentai de le réconforter comme je le pouvais. Puis je vérifiais un peu l'état de sa main. J'allais devoir m'en occuper sérieusement en rentrant à la maison. Et il me faisait encore sourire avec sa remarque suivante quand il parlait de casser la gueule à ses crétins.
Ouais je trouve ça plutôt sexy...
Même carrément sexy et viril et... Je n'étais pas spécialement pour la violence. Pas du tout même. Surtout pas pour la violence gratuite. Mais quand il s'agissait de se défendre, ou de défendre les gens qu'on aime, c'était parfois utile. Puis nous montions dans la voiture et je lui annonçait mon attention d'officialiser notre relation. Et je riais à la réponse de mon amour. Il était vraiment trop drôle. J'éclatais de rire même.
La nana la plus convoitée? Tu crois ça? Et puis depuis quand tu dis pecho toi?
Je ne m'offusquais absolument pas de ses paroles. Au contraire j'adorai quand il me taquinai de la sorte. C'était vraiment agréable que l'ont puisse vraiment rire de tout ensemble. Puis nous rentrions enfin à la maison et je soignais sa main. Il me remercia en ajoutant ce petit surnom que j'adorai tant.
De rien.
J'allais rapidement ranger le bol de glace et la pommade puis je le rejoignait pour me blottir un peu contre lui. J'étais contente qu'il trouve l'orage romantique aussi et qu'il je me trouve pas étrange.
Si c'était la fin du monde je resterai avec toi jusqu'au bout.
Et je lui dirai à quel point je l'aimai, et nous ferions l'amour certainement et... Putain pourquoi est ce que je pensai à ce que nous ferions si c'était la fin du monde. C'était carrément bizarre et glauque quand même. J'étais une fille bizarre et glauque. Enfin bref, nous finissions pas monter prendre un bain tout les deux et c'était vraiment très agréable. Riley fit d'ailleurs remarquer que la situation était parfaite.
C'est toi qui est parfait.
C'est vrai je le trouvais vraiment parfait. Et même si il ne l'étais pas. Même si il ne l'étais pas je l'aimerai toujours autant. Aucun de ses défauts ne pourrait me rebuter. Rien ne pouvait faire que je ne l'aime plus. Il me demanda alors si je me sentais en sécurité avec lui.
Tu m'impressionne toujours tu sais. Enfin très souvent. Et... Évidement que je me sens en sécurité avec toi.
Je me retournais un peu pour relever la tête vers lui.
Tu ne te souviens pas quand tu m'as sauvé quand Jason a faillit me... Je me sens très en sécurité avec toi. Plus que je ne l'ai jamais été de ma vie.
Je repris ma position initiale. C'était un amour inconditionnel que j'avais pour lui. Et je ne le gênais pas pour le lui dire en faisant référence à la fois ou je lui avais raconter pour Andy. Enfin Andrew. Je n'étais plus intime avec lui pour l'appeler Andy. Il avait mît un terme à notre relation. Et c'était beaucoup mieux ainsi. Et si il revenait, je ne lui retomberait pas dans les bras cette fois. Parce que j'étais folle de Riley. Je l'aimai plus que tout. Et ce que j'avais pu ressentir pour Andrew n'étais rien par rapport aux sentiments que j'avais pour Riley. Il semblait un peu surpris de la force de mes sentiments pour lui. Et je l'écoutais me dire qu'il m'aimait. Je fermais les yeux c'était agréable à entendre.
C'est quand même complètement dingue d'aimer comme je t'aime, et que tu n'aime à ce point en retour. Et pourtant il n'y avait rien pour nous réunir au début. Il faut croire que l'amour est plus fort que les classes sociale, ou que ma méchanceté. D'ailleurs j'espère que tu me pardonnes tout ce que j'ai pu te faire.
Et après que nous nous soyons avouer a quel point nous nous aimions tout les deux, je prenais son bras pour l'enrouler autour de moi et mordiller son coude.
J'adore ton goût. Le goût de ta peau. Tu te souviens le jour ou je t'ai mordu les fesses? C'était délicieux...
Je prenais ses mains et les posai sur mes seins. C'était plutôt joli à voir je trouve.
Tes mains feraient un parfait soutien-gorge tu sais. Parfaitement adapté à mes petits seins. Ils semblent faits pour tes paumes. J'aime beaucoup tes mains tu sais.
Je m'éloignai ensuite de lui pour me retourner face à lui dans la baignoire.
Bataille d'eau?
Je lui envoyais une grande giclée dessus et ça partait en cacahuète...
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mer 24 Juin 2015 - 22:01
We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.
Je n'aimais pas la voir culpabiliser encore autant. Mais en même temps, je ne pouvais pas faire grand chose contre ça. A part mentir en lui assurant que rien n'était de sa faute et tout ça. Mais je ne voulais pas mentir. Jamais et certainement pas à elle. Et puis elle n'était pas bête. Elle savait bien que c'était elle qui avait lancer le truc et laissé les choses empirer jusqu'à récemment. En tout cas, le fait est que je ne lui en voulais plus du tout. Pour moi, c'était vraiment du passé ! Je souris un peu quand elle assura qu'il ne m'arriverait rien. Que je n'avais rien à craindre parce que, clairement, c'était elle la plus puissante de tous. Eh bien ... qui aurait pu imaginer que ce "pouvoir" jouerait un jour en ma faveur ? Lâchai-je sur un ton amusé. Mais j'étais touché, évidemment, qu'elle soit apparemment prête à tout pour prendre ma défense et m'éviter de me faire virer de la fac. Pire, d'avoir des ennuis avec la justice. Je ne pu que rire quand elle assura qu'elle trouvait ça sexy, que je puisse casser la gueule des crétins. Soit, quand c'était vraiment mérité. je n'étais pas naturellement violent et sans raison apparente. Mais ça, elle devait quand même bien s'en douter. Par contre moi, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit prête à officialiser notre relation aux yeux de tout le monde. Je pensais qu'elle voudrait plutôt continuer de sauver les apparences. Mais soit, je n'allais pas m'en plaindre ! J'étais plutôt très heureux de ce soudain retournement de situation ! Evidemment que t'es la nana la plus convoitée ! Ils n'ont tous que ton prénom à la bouche ! Assurai-je avec un petit sourire. En même temps, c'était vrai. Ouais pêcho. Ca te choque ?
Une fois à la maison, elle prit grand soin de ma main légèrement blessée. Je savais que je n'avais rien de cassé, alors je ne m'en inquiétais pas plus que ça. En tout cas, pas autant que ma petite amie qui tenait vraiment à s'en occuper. Je ne m'en plaignais bien sûr pas du tout. En même temps, j'adorais quand elle s'occupait ainsi de moi alors pourquoi m'en plaindre ? Je ne me plaignais pas non plus quand elle me confirma qu'elle resterait avec moi, en cas de fin du monde. C'était sans doute étrange comme sujet de conversation. Mais elle était étrange, j'étais étrange, notre relation était étrange et même notre lien était étrange ! Tout le reste nous semblait bien insipide à côté ! C'était vraiment intense. A tel point, que je pourrais réellement tuer pour elle. D'ailleurs, dans notre bain commun, nous parlions de ça. J'étais rassuré de savoir qu'elle se sentait parfaitement en sécurité avec moi. Il est vrai que j'étais venu une fois à son secours. Et non, je ne risquais pas de l'oublier. Ce rappel me fit d'ailleurs grimacer. Mais j'oubliai ça, dès qu'elle m'assura qu'elle ne s'était, clairement, jamais sentie aussi en sécurité de toute sa vie. Ce n'était sans doute pas juste physiquement. C'était un tout. Notre relation était sacrément solide, aussi. J'aime savoir ça. Et j'aimais savoir qu'elle m'aimait aussi fort que moi je l'aimais. Parce que c'était un truc de fou, cet amour que nous avions l'un pour l'autre. C'est pas exactement le genre de relation que tu voulais ? De la passion à l'état pur, un amour inconditionnel et tout ça ? Et c'était, à l'époque, tout ce que je pensais être à l'opposé exact de ce que moi je pouvais offrir. Je pensais être être ennuyeux et juste bon à avoir une relation amoureuse basique, simple, posée, tranquille.
Tu es pardonnée évidemment. Enfin ... Je te dois quelques verres sur la tronche quand même ... Plaisantai-je avec naturel. Parce que c'était là ce qui m'avait le plus marqué. Les verres que je m'étais pris parce que mademoiselle me faisait des caprices. Et un rhume ! J'ai chopé un rhume après ta petite soirée, à cause de ton verre de vodka tu sais ! Je vins lui mordre assez soudainement la joue, comme pour la punir de ça. Mais franchement, je m'en foutais. C'était pas si grave. Enfin si, ça l'était quand même. Mais nous avions parcourut tellement de chemin depuis, que j'avais la sensation que tout ça datait d'une autre vie ! Tout à fait naturellement ensuite, elle entreprit de me mordiller. Ce que je trouvais drôle, étrange et adorable à la fois ! C'est bien pour ça qu'on passe notre temps à se mordre et se mordiller ... Et oui, je me rappelais sa morsure sur l'une de mes fesses. Chose que je m'étais empressé de lui rendre quelques temps plus tard, par surprise, quand notre position purement sexuelle, s'y prêtait. D'ordinaire, c'était surtout sa poitrine que je dévorais. Puisqu'elle était plus facile d'accès en règle générale.
Elle me flanqua d'ailleurs les mains directement sur ses seins. Je restai ainsi sans bronché pendant un moment, mes paumes reposant parfaitement autour de sa poitrine. Finalement, je les empoignai doucement avant de les malaxer avec douceur. Je vois rien moi. Faut vraiment qu'on investisse dans des miroirs tu sais. Tout autour de la baignoire et sur les murs et le plafond de la chambre ! Ok, c'était ma nouvelle lubie. Des miroirs de partout, pour pouvoir nous voir en plein acte. Un peu voyeur, certes. Mais juste sur nous. C'était pas si mal que ça, si ? Ce sont tes seins qui sont faits pour mes mains, je te signale ! Rétorquai-je d'une voix chaude, soufflée au creux de son oreille. Je les empoignai un peu plus fort, avant qu'elle ne s'échappe pour me faire face dans la baignoire. Je fis mine de lui lancer un regard sévère. Elle me prit quand même de court en m'envoyant une giclée d'eau. Bon sang ! Tu passes de la femme fatale et carrément hot, à la gamine, en un tour de main !Ricanai-je en lui rendant la pareille. On était en train d'en foutre de partout. Mais comme pour tout, on s'en fichait pas mal ! Et à force de batailler comme ça, nous ne pûmes nous empêcher de nous sauter littéralement dessus, pour jouer à un tout autre genre de jeux. Suite logique des choses compte tenu du fait que nous étions tous les deux nus, dans une baignoire ! Celle ci se vida carrément de son eau avec tout ça. Et quand nous cessâmes de bouger, essoufflés l'un comme l'autre, je me redressai pour regarder par terre et éclatai de rire. Tu sais qu'il y en a maintenant plus par terre que dans la baignoire ? Je riais mais fini par quitter la baignoire en l'entraînant avec moi, pour récupérer des serviettes. Autant pour nous que pour le sol. Parce qu'on ne pouvait décemment pas laisser les choses dans cet état.
realised by morphine.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Mer 24 Juin 2015 - 23:21
La reine à choisit son roi. Tu as accès au pouvoir aussi maintenant. Tout ce qui est à moi est à toi Riley. Enfin... Sauf mes chaussures. Ça je les garde!
Nous rions finalement de la situation et je lui assurait qu'il n'avait pas à s'en faire et que ce n'est pas ce petit arriviste de Matt qui allait oui causer des ennuis. Sa famille était à peine au dessus de la classe moyenne et il je devrait pas trop la ramener à mon avis. Et quand Riley affirma qu'ils n'avaient tous que mon prénom à la bouche je ris encore parce que mon esprit pervers pensa à bien d'autre chose.
Les autres on mon prénom dans ma bouche mais toi c'est un autre truc à moi que j'aime mettre dans ta bouche. Et moi tu sais ce que j'aime avoir dans la bouche? Indice : c'est un truc à toi aussi.
Je riais de plus en plus. J'étais vraiment une grosse perverse. Et lui aussi n'était pas trop mal de ce côté la non plus.
Non ça me choque pas du tout. Ça m'amuse beaucoup.
Nous rentrions a la maison et je m'occupais soigneusement de sa main pour éviter qu'elle gonfle et éviter qu'il ait mal. Puis rapidement nous finissions au bain tout les deux. Et chacun se livra un peu sur ses sentiments. C'était dingue de constater à quel point nous nous aimions fort. Il aimait savoir que je me sentais très en sécurité avec lui. Je trouvais ça adorable. Et je lui assurait que c'était la vérité. Et après ça il me rappela quelque chose que j'avais dis sur le genre de relation que j'aimerai avoir. J'étais émerveillée comme une petite fille.
Tu t'en rappel? Oh mon amour... Et tu te souviens toi tu as dis que tu n'étais pas fait pour ça, pour la passion et tout ça. Je suis contente d'avoir prouver le contraire. Notre histoire est vraiment tout ce dont je rêvais.
Je j'arrivai pas à croire qu'il se souvenait vraiment de toute cette histoire. Et pourtant... Il était tellement attentif à moi. Et depuis un bon moment apparement. En revanche la suite de ses paroles était beaucoup moins plaisante. Mais nous devions bien en parler. J'aimai que tout soit tiré au clair. Mon cœur de broyai quand j'apprenais qu'il était tombé malade à cause de moi.
Je suis tellement désolée Riley. Tellement si tu savais. Tu peux me faire des vacheries pour te venger tu sais? Enfin... Si ça peut t'aider à oublier de me balancer des trucs à la tronche tu peux, je laisserai faire.
Ouais j'étais très sérieuse en disant cela. Ce n'étais pas être masochiste, c'est juste que ça ça était quand même un juste retour des choses. Surtout que lui n'a pas mérité le mal que je lui ai fait alors que moi... J'étais vraiment prête à tout pour que l'on tire un trait définitif sur tout ça. Quitté à me prendre des verres de vodka dans la tronche. Il me mordit la joue et je riais. Mais je n'arrivai pas à enlever ses images de ma tête. J'étais vraiment une fille monstrueuse. Mais j'essayai de ne plus y penser pour l'instant et de me concentrer sur le bon moment que nous passions,
De vrais vampires. On va faire un remake de Twilight avec toutes ces morsures.
Je m'amusai vraiment avec lui et j'étais assez à l'aise pour sortir toutes les conneries que nous nous visions. Et c'est ensuite de ses mains et de ma poitrine que nous parlions. J'étais dingue de son corps et il était fou du mien. Sur ce plan la aussi nous nous entendions à merveille. Et il fit d'ailleurs remarquer que ce n'étais pas ses mains qui étaient faire pour mes seins mais l'inverse.
Je crois qu'on est tout simplement fait l'un pour l'autre. Et c'est quoi cette nouvelle obsession des miroirs? Si tu veux nous voir en pleine action on a qu'à tourner une sextape.
Je pouffais carrément la. Franchement c'était pas du tout notre truc ça. Mais il l'a bien chercher avec son histoire de miroir aussi. Non mais celui alors je vous jure... Après ça je m'éloignai un peu pour lui faire face et lançai des hostilités.
En réalité je suis une gamine carrément hot. Non? Et au faite? T'en a parler à tes amis pour nous deux toi? Ils doivent justement penser que je suis une gamine non?
Il me rendit la monnaie de ma pièce et une bataille d'eau endiablée commença. Et nous y allions franco. Comme si nous étions à la piscine, et nous mettions de l'eau partout. Mais on s'en fichai un peu. Et évidement, ce qui devait arriver quand Riley et Kataryna sont nus dans la même pièce arriva... évidemment. C'était juste la suite logique des choses entre nous. Nous étions encore essoufflé mais Riley se pencha pour regarder le sol et il éclata de rire en affirmant qu'il y'en avait plus par terre que dans la baignoire.
Ouais je crois que je vais virer la baignoire et nous installer une pataugeoire.
Et après un nouvel éclat de rire il m'entraina hors de la baignoire en apportant des serviettes pour nous et pour éponger le sol.
Je n'ai jamais autant ris que depuis que je suis avec toi.
Je lui volais un baiser avant d'aller dans la chambre pour commencer à m'habiller. Enfin j'enfilai juste des sous vêtements, une nuisette et mon petit peignoir à rayure rose en soie. Ça restait confortable et très joli quand même. Je me voyais mal me foutre en jogging et teeshirt large devant Riley. J'avais envie qu'il me trouve toujours belle et je voulais toujours être un peu soignée pour lui. Même si évidement à la maison je ne portais jamais de maquillage, je prenais au moins soin de ma tenue et de mes cheveux. Bien que ces dernières étaient souvent dans tout les sens après nos ébats passionnés. Et en voulant ranger mes bagues dans ma boite à bijou je tombais sur un écrin. Une chose très précieuse à les yeux de trouvait à l'intérieur. Je pris l'écrin et refermais la boite.
Riley? Tu peux venir s'il te plais?
Je m'asseyais sur notre lit et il me rejoint quelques secondes plus tard. J'ouvrais alors l'écrin et en sortait alors une petite chaîne en or pour homme. Elle portait à mon extermine un petit pendentif en forme de "k". Je la montrait à Riley.
C'était à mon frère. Il la portait toujours. Il disait que c'était mon m'avoir toujours près de lui... Il me l'a donner quelques jours avant sa mort. Il m'a dis de la donner à l'homme avec qui j'étais certaine de finir ma vie, parce qu'à ce moment là ça serait à cet homme de porter ce bijou.
Je me redressai sur le lit pour passer la chaîne fine autour du cou de Riley et la refermer sur sa nuque.
J'aimerai que tu la porte. Je sais que... t'aimes pas trop porter ce genre de truc. Enfin je ne t'ai jamais vu porter de bijou. Mais j'y tiens vraiment. Tu peux la laisser sous ton teeshirt pour que ça soit plus discret...
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Jeu 25 Juin 2015 - 16:38
We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.
Le simple fait qu'elle me précise que ses chaussures ne m'appartenaient pas du tout contrairement à tout le reste, suffit à me faire vraiment exploser de rire. Ce qu'il ne fallait pas entendre quand même. Comme si je craignais de m'imaginer que ses godasses étaient aussi à moi ! Je suis pas encore fétichiste des chaussures féminines, je te rassure ! Répondis-je, toujours à moitié hilare. Nous passions avec une facilité déconcertante, d'une connerie hilarante à un sujet tout à fait sérieux, et inversement. Ainsi parvint-elle à me faire de nouveau rire, cette fois à côté de son côté super pervers. Fut un temps où j'aurais été outré d'entendre de telles choses, surtout de la bouche d'une nana ! Mais là, je ne pouvais que rire. Un truc à moi que tu aimes avoir dans la bouche ? Hm ... Je vois vraiment pas ! Dis-m'en plus pour voir ! Parvins-je à lui demander sur un ton aussi sérieux que possible. Ce qui n'était pourtant pas si simple que ça, parce que j'avais juste envie de rire aux éclats, encore. Un bon moment plus tard, alors que nous étions installés dans notre baignoire pour un bain des plus apaisants, je mentionnai ce qu'elle m'avait dit désirer comme relation amoureuse. Pour sûr que je m'en souvenais, même si ça avait l'air de la surprendre. J'étais toujours attentif et à l'écoute avec elle alors forcément, je m'en rappelais. Bien sûr que je m'en souviens. Je me rappelle de tout ce que tu as pu me dire jusqu'à présent. Assurai-je avec un petit sourire. Tu étais persuadée que je ne m'intéressais qu'à ton corps et pourtant ...Lui rappelai-je avec douceur. Et en te disant que je n'étais pas comme ça, j'ai pensé que j'aurais adoré être ce genre de type, pour avoir une chance avec toi. Avouai-je finalement, en rougissant -encore-. Est-ce qu'un jour j'allais cesser de rougir pour un oui ou pour un non, même avec juste ma petite amie ? Non, apparemment, non. Enfin pas pour l'instant en tout cas !
La suite de notre conversation ne fut pas aussi plaisante. Mais je n'éprouvais plus du tout de rancoeur à son encontre alors je pouvais en parler sans mal. Contrairement à elle qui était toujours aussi désolée, comme je pouvais le voir et l'entendre alors qu'elle me répondait. Je suis pas quelqu'un qui éprouve le besoin de se venger. Lui rappelai-je sans hésitation. Et puis c'était pas vraiment toi et je le sais maintenant; J'ai découvert la vrai toi, chez tes parents. Et j'ignorais si j'aurais un jour de nouveau à faire à cette facette là de sa personnalité. J'en doutais. Même à la fac, je ne la voyais plus du tout comme telle. Et je devais bien admettre que j'en étais infiniment soulagé. L'idée qu'on se dispute ne me dérangeait pas, c'était normal. Mais faire face à la garce en elle, ça ne me tentait pas du tout. Je tentais de lui faire oublier tout ça en la mordant et en parlant encore et encore des morsures justement. Jusqu'au moment où, mains sur ses seins, je remis le sujet des miroirs sur le tapis. Vraiment, je faisais une fixette là dessus. C'était plus fort que moi ! Et la voilà qui se moquait d'ailleurs ouvertement de moi et ma nouvelle obsession. Je grimaçai quand elle parla de sex tape. Mais noooon ! On va pas virer porno non plus ! C'est juste .. Je trouve ça super érotique comme idée. T'imagines, un miroir sur le plafond de la chambre, tu peux me voir en action sur toi. Et quand t'es dos à moi, si y'a des miroirs devant toi, je peux voir ton visage pendant l'acte !Bon d'accord, c'était super pervers. Mais j'y pouvais rien si elle me rendait pervers comme ça. Tant que ça ne concernait que notre couple de toute façon, où était le problème ?
Non pas de "gamine" et "hot" dans la même phrase. C'est trop bizarre !Grimaçai-je très sérieusement. Tu penses vraiment que je suis le genre de personne à raconter ma vie à mes "potes" ? Non, je n'avais pas parlé de notre relation à qui que ce soit. Non pas parce que j'en avais honte -tout au contraire !-, mais parce que je ne parlais jamais de moi. Sauf si ça venait dans un sujet de conversation, bien sûr. Mais de moi même, non. Je ne me voyais pas, au cours d'une soirée entre ami, lâcher un "au fait, Kat et moi on est ensemble". Non vraiment, ce n'était pas du tout moi ça ! En même temps, me détendre et faire le gamin comme j'étais en train de le faire avec elle dans la baignoire, ce n'était pas moi non plus. Elle me changeait tout à fait et ça faisait un bien fou d'être ainsi. Evidemment, notre petit jeu parti en sucette puisque les choses devinrent rapidement plus torrides. Je ne pu que sourire quand un gamin quand, alors qu'on épongeait le sol, elle me fit remarquer qu'elle n'avait jamais autant rit que depuis qu'elle était avec moi. J'étais tellement, tellement, heureux d'entendre ce genre de chose, que je ne bronchai même pas quand elle vint déposer un baiser sur ma joue avant de filer dans la chambre. Je souriais toujours en me séchant, enfilant un simple pantalon de toile pour dormir, puis me lavant les dents. Je terminai d'éponger un peu la salle de bains avant qu'elle ne m'appelle. Je la rejoignis tout de suite et fronçai un peu les sourcils devant son air grave. Je l'écoutais me raconter l'histoire du collier, pendant qu'elle me le passait autour du cou. Je l'acceptais pour sa valeur sentimentale, bien sûr. Je me retournai pour faire face à ma petite amie, main sur le pendentif. Je vais plus le lâcher. Tu verras, dans quelques années il se sera incrusté dans ma peau et tout ! Bon soit, avec mon tatouage représentant un collier épais, il était pas mal discret dessus. Mais l'essentiel pour moi maintenant, c'était de l'avoir autour du cou ! Allez viens, on va préparer le goûter. J'ai faim ! Je l'attrapai par la taille pour l'entraîner avec moi avant de la placer devant moi pour qu'elle ouvre la marche. Ok, en cours de route je lui flanquai une petite fessée, tout à fait naturellement et innocemment ! Une fois dans la cuisine, je la laissai s'occuper du goûter pendant que je farfouillais dans les placards d'un air songeur. Ca te dis que je nous prépare une salade à base d'ananas pour ce soir ? Je la prépare maintenant pour que ça s'imprègne bien du jus. Non, ce n'était pas avec moi qu'elle allait s'ennuyer niveau bouffe. J'adorais les mélanges improbables - comme elle avait déjà pu le remarquer avec ce que je faisais du chocolat-. Même si pour le coup, c'était bien un truc qui existait.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Jeu 25 Juin 2015 - 20:32
Nous étions maintenant entrain de déconner sur mes chaussures. Mes chaussures!!! Il nous en fallait vraiment peu. Nous étions vraiment deux gamins parfois. J'étais tellement hilare que je ne parvint même pas à lui répondre. Et un nouveau fou rire éclata quand je mis sur le tapis mes idées perverses. Et lui qui faisait mine de ne pas comprendre. J'adore quand nous jouions à ce petit jeu la...
Tu ne vois pas hein? Hé bien c'est long...très très long. C'est d'une longueur impressionnante... Et c'est très souvent en moi... Toujours pas?
Nous étions quand même deux pervers. Ou non, pour faire plus mignon, disons que nous étions deux coquins. Mais finalement ça revient presque au même. J'assumais totalement ma sexualité débridée et décomplexée. Et puis une fois à la maison nous nous retrouvions rapidement dans le bain. Mon cœur battait plus fort quand il assurait qu'il se souvenait de tout ce que j'avais pu lui dire.
Riley t'es vraiment incroyable tu sais... Personne n'a fait autant attention à moi depuis bien longtemps.
Je l'écoutais ensuite me parler de ce qu'il ressentait déjà pour moi à l'époque ou nous ne couchions même pas encore ensemble. C'était ce soir ou j'avais dormi dans ses bras alors que nous étions chez mes parents. C'est d'ailleurs à ce moment la que je commençais à craquer pour lui. Même si je me voulais la face et que je ne l'assumai pas du tout. Mais j'étais déjà accroc à ses bras, je ne le quittait plus pour dormir, si ce n'est pas être amoureuse ça. Riley rougissait en me racontant ça. Il rougissait souvent. C'était tellement craquant. Il ne se rend pas compte qu'il a vraiment l'air d'un petit garçon parfois. Ça me donne envie de le protéger, de prendre soin de lui, de lui donner de l'amour jusqu'à en crever.
C'est parce que tout les mecs que j'ai connu ne s'intéressaient à moi que pour ça. Aucun n'a jamais essayer de me connaître réellement. Et toi t'es arrivé... Et tu m'a regarder de cette manière... dont je me souviendrai toujours. T'as déboulé dans ma vie et tu as tout chamboulé. Et j'en suis ravie. Tu n'avais pas besoin de changer ou de jouer un rôle pour me plaire et avoir ta chance avec moi comme tu dis. Même si j'estime que c'est moi qui ai de la chance d'être avec toi et pas l'inverse.
Et puis arriva sur le tapis un sujet qui le plaisait un peu moins. À savoir le comportement que j'avais eu à son égard avant qu'on ne commence à coucher ensemble. J'avais été une véritable peste. Et il était même tomber malade à cause de moi. Je m'en voulais énormément pour tout ça et je culpabilisai encore aujourd'hui. Et d'ailleurs je lui proposai même de se venger de moi mais évidement il déclina. J'aurai du me douter qu'il n'était pas comme ça. Il n'est pas rancunier. C'est à croire qu'il n'y a pas une once de méchanceté en lui. C'est fascinant. Je l'embrassai sur la joue en guise de réponse. Et ce qu'il dit ensuite me fis sourire.
Tu sais... J'ai été contente quand le prof nous a mis ensemble pour ce projet, même si j'ai prétendu le contraire. J'avais envie que tu vois ma vraie personnalité. Toi et personne d'autre. J'étais déjà dingue de toi à cette période. Du moins je suis entrain de m'en rendre compte. Et quand on était la bas c'était... magique. D'ailleurs ça te dirais qu'on y retourne pendant les vacances d'été? On pourra passer le mois de juillet avec mes parents. En août ils partent en Europe donc on pourra rester rien que tout les deux la bas. Qu'est ce que tu en dis?
Après ça nous déconnions encore et cette fois c'est de nos ébats qu'il fut question. D'ailleurs si nous passions un mois avec mes parents il faudrait qu'on trouve une solution pour être discret. Je ne pense pas qu'ils apprécient l'entendre leur fille se faire baiser et extérioriser son plaisir sans retenue. C'était carrément indécent. Je refuse que mes parents m'entendent en plein acte sexuel. Mais il est exclus que l'on pratique l'abstinence pendant tout un mois. On ne tenait même pas quelques heures. Enfin bref, Riley me parla donc de sa nouvelle obsession, des miroirs partout dans la maison pour nous observer en pleine action. Il refusa catégoriquement mon idée d'une sextape, même si évidement je plaisantais. Ok j'étais décomplexée et tout ça, mais je n'étais pas une actrice porno non plus.
Je déconne! Mais l'idée des miroirs ouais pourquoi pas? T'as réussi à m'exciter avec tes conneries. C'est super excitant quand tu dis que je pourrais te voir en pleine action sur moi...
Ça y'est. Il ne m'en fallait pas plus pour être bouillante comme la braise de désir pour lui. Il savait vraiment le mettre dans tout mes etats. Je me demande si c'est calculé ou pas.
Ouais c'est vrai que c'est chelou. Disons alors que je suis une nana super hot, avec un côté femme-enfant. C'est mieux?
Je riais puis il me fis comprendre qu'il n'était pas le genre de mec à raconter sa vie à ses potes. Ouais j'aurai du m'en douter. Mais bon les mecs quand ils sont entre mecs, on sait bien de quoi ils parlent n'est ce pas?
Non mais bon j'sais pas. Ça peut venir dans la discussion entre mecs. On sait que nous adorez vous venter de vos conquêtes et de vos exploits sexuels. Aller au moins une fois de temps en temps avoues-le. Ça serait pas jouissif de balancer à ta bande de pote " Ah Kataryna Van Der Statten? Si vous saviez tout ce que je lui ai mis la nuit dernière, elle a hurler mon prénom et elle pouvait plus marcher après ce que je lui ai fait".
J'éclatais de rire à mes conneries. J'étais plutôt douée en conversation de mecs non? Oh je savais bien que Riley n'oserait pas balancer des trucs comme ça. Mais si ça pouvait lui faire plaisir de se venter au moins un petit peu, je n'allais pas m'en offusquer.
Oh tu sais ça ne me dérange pas si tu te ventes un peu auprès de tes potes.
Puis après une bataille d'eau et bonne partie de jambe en l'air nous sortions du main et épongions tout notre bordel. Puis j'allais me sécher et enfiler un truc confortable. Et j'appelais Riley pour qu'il vienne me rejoindre quand je repensais à quelque chose. Je lui offrais donc la chaîne et le pendentif de mon frère, un pendentif avec mon initiale pour m'avoir toujours auprès de lui. Riley accepta de le porter et semblait même ravi. Un grand soirée étira mon visage. Il parlait déjà de "dans quelques années". J'étais tellement heureuse c'est fou.
Ouais dans quelques années. Et un jour tu l'offrira à notre fils...
Mon cœur s'emballa carrément quand je prononçait ces paroles. J'étais entrain de me rendre compte que je voulais des enfants. Je voulais des enfants avec Riley. Oh pas tout de suite bien évidement, mais quand quelques années, je voulais fonder une famille avec lui et qu'il devienne le père de mes enfants. Cependant je ne sais pas ce qu'il en pensait lui. Je ne savais même pas si il voulait ou non avoir des enfant un jour. J'espère que je ne l'ai pas fait flipper.
Enfin après ça nous descendons préparer le goûter comme le proposa Riley. Il me donna une tape sur les fesses durant le trajet et je me retournais en ouvrant la bouche et prenant un air faussement outrée. Il allait le me payer un peu plus t'as celui la. Je sortait les ingrédients de la pâte à gaufres. Ah les gaufres! J'en raffolais vraiment. Et Riley proposa de nous faire le dîner de ce soir. Il farfouillait dans les placard et parlait qu'une salade à l'ananas. Je fis une grimace de dégoût sans qu'il ne me voit.
Euh ouais pourquoi pas. Faisons ça.
J'aimai bien les mélanges improbables. Mais de la salade avec de l'ananas, je savais que j'allais détester. J'aimai bien l'ananas et j'aimai bien la salade mais la... Enfin nous mangions les gaufres avec du chocolat. Je pris comme lui. Il me rendait accroc au chocolat. Puis nous passions du temps à discuter et nous faire des câlins puis quelques heures plus tard il nous servit sa fameuse salade. J'enfournais une bouchée. Je trouvais ça vraiment dégueulasse. Riley me regardait. Alors je tentai de mastiquer, encore et encore, en tentant de ne pas grimacer. Mais je n'arrivai pas à avaler et fini par recracher.
Putain Riley c'est immonde. Je suis désolée... Mais j'aime vraiment pas du tout.
Je bu une grande gorgée d'eau pour faire passer le goût. Heureusement mon incroyable petit ami avait prévu le coup et avait préparer quelque chose d'autre. C'était vraiment le mec parfait.
Invité
Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Jeu 25 Juin 2015 - 21:58
We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.
Ok, je l'avais sacrément cherché quand même, en ce qui concernait cette fameuse chose à moi, qu'elle aimait avoir en bouche. Mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle décrive ça ... De cette façon. J'en rougis et eus soudainement l'air bien gêné. Pourtant, on parlait de cul comme on parlait de la météo elle et moi. Sans aucune limite et sans gêne apparente. Enfin si parfois, j'étais un peu gêné. Même si je prenais sur moi pour poursuivre la conversation. Il n'en demeurait pas moins que ce n'était tellement pas dans mes habitudes, que par moment je ne savais vraiment pas que faire et que répondre. Moi aussi j'aime bien quand c'est dans ta bouche ... Avouai-je d'une toute petite voix, comme un gamin, en rougissant de plus bel. Il faut dire que j'étais encore un novice en la matière. Soit, elle m'avait permit d'apprécier la chose à plusieurs reprises depuis que nous étions ensemble. Mais ça restait une découverte, vu que je n'avais pas eus droit à ça pendant presque vingt huit ans. Pour parler un peu moins de sexe, nous parlâmes de notre relation. Et du fait que j'étais toujours si attentif et si prévenant avec elle. Je savais qu'elle adorait ça et qu'elle n'avait pas trop l'habitude de ça. Pourtant tu mérites qu'on prête vraiment attention à toi. Pas uniquement pour ton physique de rêve. Mais aussi et surtout pour ta personnalité attachante et drôle ! Assurai-je avec sérieux. En même temps, j'étais quelqu'un qui s'intéressait, de nature.
Elle m'assura que c'était elle la chanceuse de l'histoire. Que j'avais eus cette façon particulière de la regarder et tout ce qui s'ensuit. Je souris et vins poser mon front sur sa tempe en la serrant plus fort encore contre moi. Je suis quand même pas vraiment le genre de gars que t'attendais. C'est vrai, je suis attentif, attentionné, j'adore prendre soin de toi et peut-être que je suis drôle aussi. Mais je suis casanier, je suis pas tenté par l'idée de vivre de folles aventures, je sors rarement de ma petite zone de confort ... Tu sais je t'aurais vraiment imaginé avec un gars qui n'a peur de rien et qui, du jour au lendemain, pour t'embarquer pour aller vivre des aventures totalement dingues à l'étranger. Bref, un peu comme son mec marié qui l'avait faite voyager, pour donner un exemple. Je lui rappelai enfin que la vraie elle, je ne l'avais tout à fait rencontré que quand on s'était rendu ensemble chez ses parents. Elle rebondit là dessus et ses paroles me firent chaud au coeur. J'étais heureux et soulagé à la fois d'apprendre qu'elle avait déjà un petit quelque chose pour moi à l'époque. C'était un peu rassurant en clair.Eh bien j'ai été ravi que tu me fasses rencontrer la vraie toi. Parce qu'elle m'a rendu totalement dingue et m'a fait tourner la tête ! Surtout quand elle se l'était jouée sirène. Ou pire, ce soir là dans son lit quand je m'étais rendu compte que je la désirais comme jamais je n'avais désiré une femme avant elle.
Deux mois entiers ? Répétai-je doucement. Je fronçai les sourcils en une moue de réflexion. Ca fait beaucoup deux mois. Je peux pas avec le boulot, partir aussi longtemps ... Lui fis-je doucement remarquer, un peu déçu et gêné pour le coup. J'avais peur de la décevoir. Et je ne voulais pas la priver de longues vacances si c'était ce qu'elle désirait. Dans le fond, on pouvait bien rester séparés quelques petites semaines non ? Deux ou trois tout au plus ... Bon ok, l'idée était affreuse et me filait la nausée rien que d'y penser là tout de suite. Mais il allait bien falloir qu'on se fasse à l'idée ... Est-ce que ... Tu vas le dire à tes parents ? A propos de nous ... ? Lui demandai-je sur une impulsion. J'ignorais si elle était prête à assumer notre relation, même devant eux. Quand bien même ils étaient adorables et vraiment géniaux. J'étais certain qu'ils ne jugeraient pas. Et puis elle m'avait raconté qu'eux aussi ne venaient pas du même monde au départ. Et que son frère lui même avait fréquenté une fille d'un rang inférieur au sien. Bref, ils semblaient très ouvert. Contrairement à la Kataryna garce que j'avais connu à la fac.
Aussi étonnant que ça puisse sembler, après ce sujet très sérieux, nous passâmes de nouveau à un sujet carrément hot. C'était tout nous ça. A croire qu'on ne pouvait s'empêcher de parler de cul, bien longtemps ! Elle semblait maintenant intéressée par l'idée des miroirs, ce qui me faisait grandement sourire. J'en étais sûr que l'idée de me voir en pleine action allait te faire cet effet ! Ricanai-je franchement. Elle passait son temps à me mater et moi j'en faisais de même avec elle. Bref, tout ça coulait de source, non ? C'est vrai que t'es excitée là ? Excitée à quel point ? Demandai-je ensuite "innocemment", en laissant courir mes yeux sur son corps. Oui bon ok, ça allait encore partir en vrille cette affaire. Enfin d'abord, elle mentionna mes potes en semblant se demander si je leur avais parlé de nous. Non, pas du tout, puisque ce n'était pas mon genre. Et je fus surpris par ses propos. Même un peu choqué en fait. Me vanter ? Dire des trucs ... Pareilles ? Non, jamais de la vie ! Ca ne les regardait pas du tout le fait qu'elle était une déesse de la baise et qu'on passait beaucoup de temps à se sauter dessus. Quoi !? Non ! C'est dégoûtant ! Enfin non c'est excitant un peu. Mais dire ça à qui que ce soit ? Non ! C'est pas un peu dégradant ? Ou j'étais vieux jeu. Fort probable également, oui. Finalement, nous eûmes droit à notre partie de jambes en l'air. Puis un moment d'amour dingue quand elle m'offrit ce collier qui signifiait énormément pour elle. Quand elle mentionna notre fils à venir, mon coeur s'emballa. Je plantai un regard pétillant dans le sien, un petit sourire au coin des lèvres. J'ignorais que mademoiselle Van Der Statten envisageait de fonder un jour une famille ... La taquinai-je avec un petit sourire. Moi, je ne m'étais jamais caché de mon envie de me marier et d'avoir des enfants, un jour. Vu l'heure, nous rejoignîmes la cuisine pour prendre le goûter et pour moi, préparer le dîner.
Je préparai une salade d'ananas et une autre, nettement plus "normale" et simple, parce que j'étais certain qu'elle n'allait pas du tout aimer l'autre. Et ça n'y manqua pas. Elle alla jusqu'à cracher dans son assiette. Ca par contre, c'était vraiment dégueulasse ! J'ouvris grand les yeux en la voyant faire. Hey ! C'est pas "immonde". Pas à ton goût, ok, mais pas "immonde" ! La rappelai-je à l'ordre en lui lançant un regard faussement sévère. Il est vrai que par moment, je me comportais un peu comme l'adulte dans notre couple, quand elle même faisait plus ou moins l'enfant. N'empêche que je retournai en cuisine pour lui rapporter la salade composée que j'avais préparé spécialement pour elle. Je peinais à ne pas rire tant sa tête dégoûtée avait été hilarante. Je me retenais de rire alors que je reprenais tranquillement mon repas. Entre deux bouchées d'ananas et poivrons à la sauce vinaigrette, je lui lançais des regards hilares. Finalement, j'explosai de rire sans pouvoir m'en empêcher. Le genre, véritable fou rire qui me fit mal aux joues et au ventre. Putain t'aurais vu ta tête ! C'est comme les mecs dans Koh-Lanta qui mangent des vers !
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Ven 26 Juin 2015 - 14:08
Tu m'étonnes! Mais je préfère quand c'est en moi.
Comme si il avait besoin de préciser qu'il aimait que ça soit dans ma bouche. J'en avais la preuve assez souvent d'ailleurs. Il adorait ça. Et moi j'adore lui faire plaisir. Puis à la maison quand nous fumes ensemble dans le bain, il me disait des choses qui me faisait complètement fondre. Je l'aimai tellement...
Attachante? Drôle? Peu être ouais... Mais je suis surtout capricieuse, arrogante, égoïste... J'ai tellement plus de défauts que de qualités.
En revanche ce qu'il dit ensuite me fit légèrement froncer les sourcils. Bien sur que si il était le genre de mec dont je rêvais. Il se trouvait casanier? Ennuyeux? Il pensait que je préférai un mec un peu plus "fou", qui me ferais vivre des aventures. Heu... Il est fou ou quoi?
Non mais... Ça va pas la tête! Bien sur que t'es le mec que j'attendais. Enfin Riley... T'es juste... le prince charmant en versions tatouée et sexy. Tu ne te rend pas compte que n'importe quelle fille rêverai d'être avec toi? Et les concurrentes que j'ai du évincer en sont la preuves : Hannah, ta collègue... Stacy... Je me suis battue pour t'avoir. Tu fais rêver les filles. Je te promet tu te rend pas compte à quel point t'es craquant.
Je serrai ses bras un peu plus fort autour de moi. Je tournais la tête pour déposer quelques baisers sur sa mâchoire.
Casanier? T'es étudiant en médecine, et barman. T'es pas casanier du tout. Et t'es pas non plus ennuyeux. Tu sais, j'en ai vécu des trucs, je suis allée de partout, j'ai vu un tas de choses... Toi, tu es stable, mature, posé. C'est vraiment et dont j'ai besoin aujourd'hui. Et puis même si tu n'étais pas comme ça, même si tu n'étais pas ce dont j'avais besoin, on ne choisi pas de qui on tombe amoureux. Je t'aime Riley, c'est comme ça. Et je suis tellement heureuse avec toi si tu savais...
J'avais juste vraiment envie qu'il arrête de se sous estimer à ce point et qu'il prenne enfin confiance en lui. Même si depuis le début de notre relation nous avions fait pas mal de progrès quand même. Il était devenu un peu plus sur de lui, et j'étais mieux dans ma peau, et beaucoup moins odieuse.
J'aime te faire tourner la tête. Et toi t'as carrément voler mon cœur. Tu m'as rendu folle amoureuse de toi.
Nous étions vraiment trop mignon tout les deux quand même. Et nous passions vraiment notre temps à nous faire des déclarations d'amour. Je me fiche qu'on pense que nous étions mielleux ou même chiant à voir. Et demain tout le monde allait savoir à quel point nous nous aimions. Puis nous parlions des vacances qui n'allaient pas tarder. Je n'avais pas du tout penser au boulot de Riley.
Oh...euh... C'est vrai tu bosses. Si je ne vais pas voir mes parents en juillet je ne pourrai pas les revoir avant la fin de l'année... Mais un mois loin de toi... Non! Non je peux pas. Riley je peux pas choisir entre eux et toi... Qu'est ce qu'on fait?
Je ne savais pas du tout quoi faire dans cette histoire. Aller voir mes parents? Rester ici avec Riley? Si je n'allais pas les voir maintenant je ne pourrais pas les voir avant plusieurs mois. Et je voyais Riley tout les jours. Mais me séparer pendant un mois de l'amour de la vie? Non! Je peux pas. Et si je ne partait qu'une semaine? Ça allait vexer mes parents ça! J'étais totalement dépassée par la situation.
Oui évidement que je vais leur dire. C'est justement pour ça que je voulais que tu m'accompagne mon cœur. Ils t'aiment beaucoup tu sais. Et ils vont être ravis.
Après ce sujet sérieux et même un peu épineux pour le coup, parce qu'il ne pouvait pas venir avec moi, nous passions à un sujet beaucoup plus léger en parlant des miroirs entre autres.
Excitée comme ça!
Je fis le geste avec mes mains. Et maintenant nous parlions de ses amis et la façon dont les mecs parlent entre eux. La réaction de Riley était vraiment trop adorable.
Peu être pas à ce point, mais si tu veux te vanter un peu, tu as ma bénédiction.
Et voilà que nous nous sautions dessus. Encore! Et maintenant nous étions entrain d'éponger toute l'eau avant que je ne lui offre le collier de mon frère qu'il accepta avec plaisir avant que nous ne parlions de nos futurs enfants.
Je l'ignorai avant de t'aimer. Mais je pense de plus en plus aux enfants pour notre avenir monsieur Burton.
Puis après un petit goûter et une fin de journée câline, je goûtais sa salade mais je n'aimai pas du tout et je crachais ma première bouchée dans mon assiette. Et Riley me sermonna un peu. Ce que je trouvait adorable. J'aimai bien quand il me recarderait un peu comme une petite fille. Ça me fit sourire. Puis il m'apporta une autre salade. Et quand nous mangions un était sans cesse au bord du fou rire. Je devais avoir une drôle de tête quand même. Ce qu'il confirma quand il fini par éclater de rire. Je ne l'ai jamais vu rire comme ça. Ses yeux étaient pétillants, il semblait déborder de bonheur.
Mais euuuuh... Arrêtes de te moquer de moi!!!
Il ne s'arrêtait plus de rire, comparant ma tête à ceux qui mangent des vers dans koh lanta. Alors la je lui sautai dessus. Et je m'attaquai à ses côtes pour le chatouiller. J'arrêtais pas d'enfoncer mes doigts dans ses côtés et sur son ventre et il se débattait pour m'échapper mais j'étais résistante.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Ven 26 Juin 2015 - 17:32
We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.
Evidemment qu'elle préférait quand c'était en elle. Dans ce cas là, nous prenions tous les deux du plaisir. Alors que dans sa bouche ... C'était tout pour moi. Ce dont je ne m'aurais jamais dans l'idée de me plaindre, bien entendu ! Alors que j'étais en train de mentionner certaines de ses qualités, elle rebondit dessus pour me rappeler ses défauts. Je levai les yeux au ciel. Elle aussi avait vraiment tendance à beaucoup se dénigrer. Je n'étais pas le seul dans l'affaire ! Capricieuse, carrément oui ! Arrogante ? Ca t'arrive ! Egoïste ? Seulement quand tu joues ta double personnalité. Sinon ... Non, t'as pas tant de défauts que ça tu sais. Oh je ne doutais pas qu'elle n'allait pas entendre raison aussi facilement. Moi même je refusais d'entendre pas mal de trucs sympas dans le fond. Et j'en vins d'ailleurs à me dénigrer, encore. En assurant que je n'étais pas le genre de type qui semblait être son genre, au départ. Ce n'était pas avec moi qu'elle risquait de vivre de grandes et fabuleuses aventures en tout cas. Evidemment, elle se récria aussitôt. En même temps, ce serait bizarre qu'elle ne le fasse pas ! N'importe quoi ! Ricanai-je avec une gêne évidente. Hannah n'est revenue que parce qu'elle ne supporte pas l'idée de ne plus m'avoir sous la main. Stacy se moquait juste de moi. Et ma collègue ... Je sais pas. Elle, peut-être. Je rougis un peu tant c'était étrange et gênant pour moi de reconnaître que, sans doute, une fille s'était vraiment intéressée à moi. Ce n'était pourtant pas la première fois. Encore heureux, à mon âge, quand même ! Mais ça ne changeait rien au fait que je ne me pensais pas du tout craquant et je ne sais quoi d'autre. Je souris quand elle tourna la tête vers moi pour déposer quelques baisers sur ma mâchoire.
Je fis toutefois un peu la moue quand elle assura avoir besoin de quelqu'un comme moi, posé et mature. Je n'étais pas certain de ça. Elle allait finir par s'ennuyer à un moment ou à un autre. Elle était faite pour vivre de folles aventures, j'en étais certain. Quoi qu'elle en pense et en dise ! Mais je la croyais vraiment quand elle assurait m'aimer réellement par contre. Oui, ça je voulais bien l'entendre et le croire ! Je suis heureux aussi avec toi. Vraiment très heureux. Comme jamais je ne l'ai été. En même temps, vu mon passé, ce n'était pas bien compliqué de faire mieux. Mais même en comparaison de ma relation avec Hannah ... Ce que nous vivions tous les deux me semblait insensé. Je ne pensais pas que j'aurais un jour la chance de vivre des choses pareilles. Ok, mon coeur s'emballa vraiment quand elle m'assura que je l'avais rendue "folle amoureuse" de moi. Ce genre de truc, c'était tellement bon à entendre ! Même s'il est vrai que nous passions notre temps à nous faire de belles déclarations d'amour comme cela. Malheureusement, l'ambiance fut un peu soufflée quand il fut question des vacances à venir. J'étais peiné de devoir lui rappeler que j'avais un boulot et que je ne pouvais pas tout planter pendant deux longs mois. Et elle fut peinée d'entendre ça, elle aussi. Oh mon Dieu, je n'aimais vraiment pas lui faire de la peine comme ça ! Je peux essayer de prendre un mois de congé. Au pire, juste trois semaines. Je les ferai chevaucher entre juillet et août si tu veux. Il faudra juste supporter qu'on ne se voit pas pendant une ou deux semaines. C'est faisable ? Non, bon sang, non ! L'idée même était intolérable. Je ne pouvais plus me passer d'elle. La preuve, nous vivions déjà ensemble quand même !
L'avantage de les avoir rencontrés avant qu'on ne soit ensemble, c'est que je suis certain qu'ils vont bien le prendre, oui. Ce sont vraiment des gens formidables. Je n'avais d'ailleurs pas pu m'empêcher de regretter de n'avoir jamais eus droit à des parents comme ça. On se taquina ensuite, encore, en se provoquant sexuellement tous les deux. On passait vraiment notre temps à ça ! Mais je retrouvai tout mon sérieux quand je lui assurai que je n'étais pas du genre à me vanter de mes exploits sexuels -et autre- auprès de qui que ce soit. Elle n'avait pas à s'inquiéter de ça, pour sûr. Je me contentai d'un nouveau levé de yeux au ciel en guise de réponse. Mais le sujet de conversation que nous eûmes un moment plus tard dans la chambre, fut certainement l'un des plus sérieux qui soit ! Elle voulait des enfants ! Pas tout de suite, bien sûr, moi non plus de toute façon. Mais un jour ! Elle était partante pour fonder une famille avec moi plus tard. Pour ma part, j'aurais accepté d'oublier ce rêve si elle n'avait pas voulu la même chose. Mais du coup, ça réglait la question ! C'est vrai ? T'imagines des mini nous, à courir de partout ou toujours dans nos pattes ? Demandai-je, tout sourire. J'eus droit à la Kat un peu enfant et capricieuse, à l'heure du repas. Quand elle recracha sa bouchée de salade. Je la rappelai faussement à l'ordre quant à son langage et lui apportai autre chose à manger. Mais pendant que je mangeais mon propre repas, je ne pu m'empêcher d'exploser de rire en repensant à sa tête. C'était plus fort que moi. Ca avait été tellement comique bon sang ! Je riais encore et encore. Et ce fut pire quand je la comparai aux candidats de Koh-Lanta. Je riais encore plus fort alors que maintenant, elle me chatouillait. Mais bon sang, je riais encore plus fort là. Je n'arrivais même plus à parler et les larmes coulaient toutes seules de mes yeux. Kaaaaaaaaat arrête ! arrête !! J'en peux ... Plus ! Parvenais-je difficilement à grogner/ gémir, entre deux éclats de rire et tentatives pour retrouver mon souffle. Enfin, je parvins à attraper ses bras pour les bloquer le long de son corps et me laissai le temps de retrouver mon calme puis mon souffle. J'essuyai vaguement mon visage, de mes épaules, puis plantai un regard brillant dans le sien. Je déposai quelques baisers sur ses lèvres sans la quitter des yeux. Maintenant, laisse moi déguster ma superbe salade ! Je ris encore un coup, sans pouvoir m'en empêcher. Puis portai un morceau d'ananas à ma bouche. Tout en le mâchant consciencieusement, je laissai échapper un petit grognement de plaisir, comme ceux que je laissais échapper quand nous baisions -littéralement-. Je le fis sans même la regarder, comme si de rien n'était.
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Sujet: Re: We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer. Ven 26 Juin 2015 - 21:01
Je souriais quand Riley essayai de me rassurer. Je n'avais pas tant de défauts que ça? Je n'en étais pas aussi sûre que lui mais je n'en disais rien. C'était une discussion qui tournai un peu en rond de toute façon. Je ne me trouvais pas à la hauteur pour lui. Il ne se trouvait pas à la hauteur pour moi. Mais j'espère qu'à force d'être ensemble, cette étape allait passer, et que nous allions enfin vraiment accepter l'idée que je l'ai choisi, lui et pas un autre, et que lui m'a choisi, moi et pas une autre. Et que nous étions juste parfaits l'un pour l'autre.
T'es vraiment un amour tu sais?
Il confirmait mes défauts oui, mais il me rassurait sur le fait que ce n'étais pas si grave que ça. C'est vrai que tout le monde avait des défauts, moi, lui, tout le monde. Nous n'étions pas parfait. Personne ne l'était. Mais nous étions parfaitement bien ensemble en revanche. Et moi j'étais entrain d'essayer de lui faire comprendre à quel point c'était un mec génial en lui rappelant le nombre de fille qui lui ont couru après. Et évidement il n'y croyait pas vraiment. Mais il ne s'en rendait juste pas compte.
C'est toi qui dit n'importe quoi! Hannah est toujours amoureuse de toi. Et Stacy ne se moquait pas de toi je la connais. Elle te voulait juste pour une nuit évidement, mais elle le voulait vraiment.
Et je savais bien de quoi je parlai en faisant référence à cette petite garce. Elle n'hésitait pas à nous raconter en détail tout ce qu'elle rêvait de lui faire et tout ce qu'elle aimerait qu'il lui fasse. Sauf que tout ça c'est avec moi qu'il l'avait finalement fait. Et j'avais hâte de voir la tronche de Stacy demain. Je tremblais un peu quand il affirma être heureux avec moi. Et je répondais d'une petite caresse. Et ensuite nous nous rendions compte que nous allions devoir être séparer pendant les vacances. Les paroles de Riley me faisaient mal au ventre. Il semblait n'avoir aucun mal à devoir se séparer de moi pendant une ou deux semaines.
Je sais pas... C'est faisable pour toi?
Je ne voulais pas tirer de conclusions hâtives et lui poser directement la question. Je savais dans le fond que ça allait lui faire du mal aussi d'être loin de moi mais je crois que nous n'avions pas vraiment le choix.
Je peux toujours aller voir ton patron? Je lui proposerai de lui dédommager ton absence et de lui payer un extra le temps de ton absence?
Évidement que Riley allait refuser ça. Ça ne m'étonnerai même pas. Mais ça allait être très dur, pour ne pas dire impossible, que je me sépare de lui même pour une semaine. Notre relation était trop fusionnelle. Ça allait être l'enfer. Mais il fallait aussi que j'aille voir mes parents. Je ne pouvais pas les délaisser complètement pour Riley. Je n'avais pas le droit, et je n'en avait pas envie. J'aimai énormément mes parents. Et depuis le décès de mon frère j'étais vraiment la prunelle de leur yeux. Enfin ils m'aimaient deja énormément avant ça, mais c'est vrai que nous étions beaucoup plus proches depuis cette tragédie. Et j'embrassai Riley quand il fit leur éloge. Il les adorait. Et eux aussi l'appréciaient beaucoup. Et quand ils allaient savoir que nous étions maintenant ensemble ils allaient être fois de joie. En même temps il était vraiment le gendre parfait. Et je riais quand nous parlions des enfants. Des mini nous. C'était trop mignon.
Oh oui alors! J'en serais tellement heureuse si tu savais! Tu voudrais combien d'enfants toi? Des filles ou des garçons?
Puis plus tard pendant le repas, je par lui sauter dessus pour le chatouiller parce qu'il se moquait de moi. Et il finir par me suppliera d'arrêter. Mais je n'en fis rien jusqu'à ce qu'il me bloque les bras le long du corps. J'adorai le voir rire. Nous finissions par terminer notre repas jusqu'à ce qu'il pousse un petit grognement carrément sexuel en mangeant un bout d'ananas. Alors je grimaçais de dégoût encore une fois. Puis en mangeant ma propre salade en poussant un gémissement de plaisir. Si il voulait jouer à ça il allait allaient être servi.
Hum... Oh oui, c'est trop bon Riley!
Je le regarde d'un air très provocateur.
Ben quoi? Je parle de la salade!
Mais évidement ça ne suffit pas à nous calmer et nous finissions par nous sauter dessus. Encore. Avant de finalement monte se coucher pour une bonne nuit de câlins et de sommeil. Puis le lendemain, après un réveil tendre et câlin, il était temps d'aller à la fac. Ensemble. J'avais vraiment hâte.
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We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.