We're a perfect match, perfect somehow, we were meant for one another, come a little closer.

Si je l'aimais ? Mais quelle question ! Je l'aimais plus que tout. Absolument tout. Plus que moi même. Bon ça c'était très facile en vérité, vu que je n'étais pas un grand fan de ma propre petite personne. Mais peu importe. Je l'aimais vraiment comme ça semblait pas possible d'aimer. Je pourrais crever pour elle tellement je l'aimais ! T'es pas rien ! T'es la femme de ma vie. C'est énorme ! Protestai-je en lui adressant un regard qui se voulait sévère. Elle n'allait pas commencer à se dévaloriser aussi, si !? Sinon, nous étions vraiment mal barrés tous les deux. Soit, je savais qu'elle n'était pas aussi confiante en elle que ce qu'elle voulait bien montrer. Mais tout de même. Un moment plus tard, elle émit l'idée d'aller à la piscine. Offre que j'acceptai volontiers. Et évidement, elle demanda à ce que je me mette en maillot également. A défaut, un short. Ca ne me dérangeait plus autant qu'avant, qu'elle puisse me voir torse nu et même totalement nu. Je dirais même que j'aimais bien son regard sur moi. Il me donnait vraiment confiance en moi. Parce que ses yeux n'étaient qu'amour et tendresse. Et fierté aussi. Ou quelque chose qui s'en rapprochait grandement. En tout cas, c'était un réel plaisir que de se sentir admiré par la personne que l'on aimait le plus sur cette terre. En tout cas je ne me fis pas prier pour me changer, avant d'aller m'installer avec elle sur les transats. Enfin bien vite, sur un seul transat où je la pris dans mes bras et où je commençai à caresser son corps sur toutes les surfaces que je pouvais atteindre.

C'est que j'aime trop toucher ce corps parfait qui n'appartient qu'à moi. Enfin ... Un peu à toi ... Et beaucoup à moi... Je ris doucement en serrant finalement mes bras autour d'elle pour la serrer fort contre moi et vins déposer un tendre baiser sur sa joue. Nous restâmes ainsi dans les bras l'un de l'autre, jusqu'à ce qu'elle décide d'aller se baigner en ma compagnie. Et bien vite, nous fûmes de nouveau dans les bras l'un de l'autre. Je t'aime encore plus. Lui répondis-je en n'ayant de cesse de la câliner et de l'embrasser. Nous restâmes ainsi encore un bon moment. Temps durant lequel je n'avais de cesse d'embrasser son visage ou d'enfouir mon visage dans son cou pour l'y embrasser également. Après un bon moment, elle nous entraîna au bord de la piscine où elle posa ses fesses. J'enroulai mes bras autour de sa taille, posés sur le carrelage. Ses questions sur ma mère ne me dérangèrent pas le moins du monde. Je souris un peu et pris le temps de réfléchir pour pouvoir lui apporter des réponses concrètes. Ouais ça m'arrive de penser à elle parfois ... J'ai beau savoir qu'elle se fiche royalement de moi et m'a sans doute oublié, je ne peux pas m'empêcher de me dire que si elle est en vie, j'aimerais bien la revoir. J'aurais évidemment préféré qu'elle ne coupe pas tout contact en disparaissant dans la nature. Elle n'a jamais été une bonne mère c'est vrai. Mais elle reste ma mère. Et rien que pour ça j'aurais adoré pouvoir lui présenter la femme que je compte épouser un jour. C'est pas une bonne mère mais elle ne m'a jamais fait de mal non plus.


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J'eus un tendre sourire quand je vis les larmes apparaître dans ses yeux. Non pas parce que j'étais heureux de la voir se retenir de pleurer ! Mais parce que je savais que c'était une émotion des plus positives qui la mettait dans cet état. A moins qu'elle ne soit triste d'apprendre qu'elle était la femme de ma vie ? Pour sûr que non ! Enfin, j'osais l'espérer. Il ne manquerait plus que ça tiens ... Je le pense tellement souvent, que j'étais persuadé de te l'avoir déjà dis à voix haute. Lui soufflai-je avec un sourire des plus amusés. Mais c'était parfaitement vrai. Je pensais lui avoir déjà dit. En fait, ça me semblait juste évident qu'elle était la femme de ma vie ! Je passais mon temps à la toucher. Pas uniquement quand on couchait ensemble, qu'on se le dise. Je le fis encore quand nous nous installâmes sur un transat devant la piscine. Je la caressais avec tendresse et fus vraiment ravi qu'elle me confirme qu'elle n'était qu'à moi. Voilà qui était vraiment bon à entendre ! Je suis le plus chanceux des hommes ... Confirmai-je doucement, avant de la serrer très fort contre moi. Je me sentais vraiment comme le plus chanceux des hommes ! Une fois dans la piscine, elle m'interrogea sur ma mère. Il est vrai que nous n'abordions pas souvent ce sujet. Sans doute n'osait-elle pas m'interroger parce qu'elle savait bien que c'était un sujet sensible. Mais je trouvais normal qu'elle sache les choses. Elle était ma petite amie. Et serait un jour ma femme. Il était normal qu'elle sache tout de moi, non ? Tout ça, c'est dans l'hypothèse où elle est encore en vie tu sais ... Préférai-je lui faire remarquer, pour qu'elle ne s'imagine pas des choses totalement dingues. Comme par exemple, renouer le contact avec elle. Je ne voulais pas la chercher et prendre le risque d'apprendre qu'elle était morte.

Dans le fond, j'ignorais si je préférais ça ou la voir et qu'elle me jette ... Dans tous les cas, je n'étais pas assez courageux pour prendre le risque. Après la piscine, ce fut dans son lit que nous échouâmes. Entre le vol, la piscine et les incroyables parties de jambes en l'air, je me sentais vraiment épuisé. Alors je ne me fis pas prier pour me blottir tout contre elle alors qu'elle m'embrassait et me caressait. Et m'endormis sans aucun mal. Quand je rouvris les yeux, je mis un moment avant de me rappeler où j'étais. Et je fus incroyablement heureux et soulagé de trouver ma petite amie contre moi. Le premier réveil à ses côtés depuis des jours ! Ca faisait un bien fou ! Et pour la réveiller, je me fis coquin en déposant des dizaines et des dizaines de baisers sur sa peau, en commençant à glisser le long de son corps. Elle se réveilla quand je fus sur sa poitrine. Je ris doucement en roulant pour m'allonger sur elle, jambes entre les siennes, membre durcit contre son bas ventre. pas de ma faute si tous les hommes se réveillaient comme ça ! Hey toi ... Bien dormi ? Lui demandai-je d'une voix douce, en me penchant pour l'embrasser encore et encore. Et encore. Je pressais mon bas ventre contre le sien avec plus d'insistance, quand j'entendis des bruits de pas dans le couloir. J'eus aussitôt le réflexe de la libérer de mon poids et de tirer les draps sur mon corps. J'avais oublié que tes parents étaient là ! Avouai-je en rougissant comme un idiot. Alors même que je n'avais pas été surpris en train de ... Mais quand même ! Je ne pouvais pas faire ça sous leur toit ! Bon ok je l'avais fais la veille. Mais en leur absence ! Ouais mais je ne pouvais pas attendre plus d'une journée, en ayant ma petite amie à mes côtés. Il allait falloir trouver une solution ! dans la journée ! Là tout de suite, ça passait encore, parce que nous n'avions fait que ça la veille. Mais quand même ...


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En effet, je n'avais jamais utilisé ces mots précis pour la définir. Pourtant, c'était bien ce qu'elle était. Elle était la femme de ma vie. Et si le fait de le lui dire la mettait toujours dans cet état, alors j'allais tâcher de le lui dire plus souvent. Parce que franchement, j'adorais pouvoir lui faire ce genre d'effet ! Eh bien maintenant tu ne peux plus avoir le moindre doute sur ce que je pense. Tu es la femme de ma vie. Je compte bien vieillir à tes côtés et tout le tralala ... J'affichais un petit sourire amusé et amoureux à la fois, en la regardant avec attention. Il ne s'agissait vraiment pas de paroles en l'air. Je le pensais dur comme fer. Aucun doute là dessus ! Et j'attendais juste le bon moment pour la demander en mariage. Parce que là aussi, il me semblait évident que j'allais le faire. Que nous allions nous marier ensemble tôt ou tard. Comme il semblait évident que sur la liste des invités, il n'allait pas y avoir ma mère. Pour la simple et bonne raison que j'étais certain du fait qu'elle était morte. Ou que si elle ne l'était pas, elle n'avait sans doute pas envie de me voir revenir dans sa vie. Je ne voulais pas savoir pourquoi. Je ne voulais pas me torturer à penser trop souvent à elle. Oui c'est toi ma famille. Et je n'ai besoin de personne d'autre. Tu suffis à mon bonheur ! Assurai-je sans l'ombre d'une hésitation. A quoi bon me torturer l'esprit quand j'avais droit au bonheur dans les bras de celle que j'aimais ?

Au réveil le lendemain matin, je me fis tout de suite coquin en la réveillant par de délicats baisers qui descendaient lentement mais sûrement le long de son corps. Et quand elle se réveilla, je roulai sur elle pour l'embrasser plus précisément et frotter mon bassin contre le sien. J'affichai un petit sourire alors qu'elle peinait à me répondre, trop perturbée par les frottements plus au sud. Elle me répondit par des mouvements contraires, se frottant plus fort contre moi. Je laissai échapper un petit grognement annonciateur de bien plus ... Quand j'entendis du bruit dans le couloir. Ca eut tout de suite le don de me calmer, de réaliser que ses parents étaient là. Je me dégageai vite d'elle, comme si je craignais de les voir entrer dans la chambre. Je gémis doucement à sa douce promesse. Parce que tu crois qu'on arrivera à le faire en silence ? Franchement moi j'avais quelques doutes. A moins qu'on ne se rende dans un coin éloigné du domaine, pour ça ? Comme ces endroits magiques où elle m'avait emmené la première fois ? Je me souvenais parfaitement de la vision de rêve qu'elle m'avait offerte ce jour et de combien il avait été difficile pour moi de ne pas céder à l'envie qu'elle suscitait chez moi. Nous rejoignîmes ensemble ses parents et nous installâmes pour le petit déjeuner. Installé aux côtés de Kat, je laissai courir mon regard sur elle ... Et me figeai. Discrètement, je tendis une main pour rabattra ses cheveux sur l'une de ses épaules. Il y avait un suçon bien visite sur son cou et une trace de morsure sur son épaule. Quand je me détournai, je réalisai que sa mère avait les yeux rivés sur l'endroit que je venais de cacher. Je baissai la tête, rouge de honte. Merde, merde, merde ! Qu'allait-elle imaginer ? Que sa fille et moi passions notre temps à baiser comme des animaux ? Bon, ok ... C'était la pure vérité ...


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Je prenais bonne note de l'état dans lequel mes mots pouvaient la mettre. Bien sûr, je savais que m'entendre lui dire je t'aime, suffisait à la troubler et à faire battre son coeur plus vite. Mais j'ignorais que ça pouvait encore plus la retourner de m'entendre lui dire qu'elle était la femme de ma vie, et tout ce qui s'ensuit. En tout cas, je n'allais pas m'en plaindre. C'était bien la première fois de ma vie que j'avais la sensation ... De vraiment compter pour quelqu'un. Et la première fois que je faisais autant d'effet à quelqu'un, aussi et surtout. Je me sentais tellement important pour elle ... Et ça faisait tellement de bien ! Je n'hésitai d'ailleurs pas à lui faire remarquer qu'elle était ma seule famille. C'était clair depuis un petit moment déjà. Et je n'avais besoin de personne d'autre dans ma vie. Oh si, peut-être de nos enfants, plus tard. Quand on serait prêts pour ça. Pour l'instant, je voulais juste profiter d'elle au maximum. Et pourquoi pas, l'épouser et garder ce statut pendant un petit moment avant qu'on ne commence à fonder notre propre famille ? Et toi tu seras une mère tellement merveilleuse ... Je n'avais aucun doute là dessus. Elle était merveilleuse sur tous les plans déjà. Et je n'osais pas imaginer quand on aurait nos propres enfants ! Après cette journée et la soirée particulièrement éprouvantes, nous filâmes nous coucher. Et même si nous n'avions fait que coucher ensemble depuis mon arrivée, je ne pu qu'être super excité dès le réveil !

Mais bien vite je perdis toute excitation. Ses parents étaient là. Je venais de les entendre. Rien de plus gênant pour quelqu'un comme moi, que l'idée d'être surpris en plein ébat ! Ses paroles m'arrachèrent un discret grognement et je lui lançai un regard brûlant de désir. Moi aussi je doutais de pouvoir un jour être rassasié d'elle. Et je ne le voulais pas de toute façon, cela va de soit ! Sinon sous la douche ... avec l'eau qui coule et tout ça, je suis certain qu'ils n'entendraient rien ! Oui, j'étais très sérieusement en train de réfléchir à toutes nos options pour qu'on puisse coucher ensemble sans que ses parents n'entendent quoi que ce soit. Pff ... Comme si je pouvais me retenir plus d'une journée en t'ayant sous la main ...Je fis d'ailleurs courir mes yeux sur ses courbes qui se dessinaient sous le drap dont elle se couvrait. J'avais tellement envie de ... Non, stop ! Plutôt rejoindre ses parents à l'étage inférieur pour partager le petit déjeuner. Malheureusement, je réalisai bien vite que j'avais laissé pas mal de marques sur la peau de Kat. Et sa mère aussi le vit. J'étais mortifié. Et je ne répondis que par un petit sourire crispé, quand Kat tenta de me rassurer en serrant ma main dans la sienne. Je te suis ! Il a l'air d'y avoir tellement de choses à voir ici ! Du peu que j'avais vu la dernière fois que j'étais avec elle, oui, j'avais la sensation qu'il y avait des tas de trucs à découvrir.

Je me tendis un peu quand la mère de ma petite amie émit l'idée de rencontrer un jour mes parents. Prévenante, Kat lui expliqua tout de suite que je n'avais pas de parents. Que j'étais passé de foyer en foyer. Je me contractai encore un peu plus quand sa mère vint me prendre dans ses bras et déposa un petit baiser sur mon front. Je n'étais vraiment pas habitué à ce genre d'attention et de contact. Enfin, avec quelqu'un d'autre que Kat je veux dire. Mais c'était différent avec elle. Les contacts étaient différents et avaient un autre sens. Là, c'était ... Maternel ... Et ça me faisait vraiment étrange. Mais c'était bien loin d'être désagréable ! Tout comme l'entendre dire que je faisais parti de la famille. C'était bon à entendre ça. Y'a pas de mal, vraiment. Je ne le vis pas trop mal. Encore moins depuis que j'ai Kat ... Je rougis un peu de faire une telle confession devant ses parents. J'ignorais s'ils savaient à quel point je pouvais aimer leur fille ... sans doute s'en rendaient-ils comptent ? Est-ce que ça se voyait ? Sans doute oui ... Je ne le cachais pas en tout cas. et je savais que Kat était heureuse. Et ça, ils ne pouvaient que le voir. Ils la connaissaient mieux que personne. Et ça devait les rassurer de savoir leur fille enfin pleinement heureuse. Bon sang, j'avais encore un peu de mal à croire que tout ça c'était ... Ouais, c'était grâce à moi !

Après le petit déjeuner, je laissai Kat monter récupérer quelques trucs dans sa chambre et avec son père, je débarrassai la table. Nous parlions de tout et de rien, comme la dernière fois que j'étais venu. J'appréciais vraiment son père. Il était simple, pas du tout curieux et discuter avec lui était facile. Il ne cherchait pas à en savoir plus qu'il ne fallait en ce qui concernait ma relation avec sa fille. La savoir heureuse devait lui suffire ! Kat redescendit et je ne pu que sourire en posant les yeux sur elle. Je récupérai sa main et nous quittions la maison ensemble. J'émis un bref râle de gêne pure et dure, quand elle me fit part des mots de sa mère. Je portai ma main libre à mon visage comme pour me cacher. Kat mais pourquoi tu me le dis ! Fallait pas ! Fallait le garder pour toi ! Comment je vais faire pour croiser son regard maintenant !? Bon ok, j'étais à moitié hilare quand même. Parce que malgré tout, la situation était très drôle. Mais quand même, j'étais également très gêné. Elle avait pas l'air ... Inquiète ? Dégoûtée ? Effrayée ? Non sérieusement, dis moi ? Bon ok, fallait bien le dire, l'avis de ses parents sur mon compte m'importait réellement ! Bon, où est-ce qu'on va ? Y'a d'autres endroits magiques que tu ne m'as pas montré la dernière fois ?


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J'étais terrifié à l'idée de ne pas pouvoir faire l'amour avec Kat, durant le temps que ses parents seraient ici avec nous. Mais c'était évidemment hors de question. Nous étions parfaitement incapables de nous contenir ! Et c'était bien ce besoin de constamment s'appartenir, qui me flanqua l'idée de la douche. On se contiendrait un peu pour ne pas hurler, et le tour était joué. C'est notre entente sexuelle qui me donne autant d'idées ! Je ne peux pas imaginer me retenir plus d'une journée. Je crois que je suis prêt à tout pour une partie de jambes en l'air avec toi ... Je m'en faisais le constat en même temps que je le disais. Est-ce que ça faisait de moi un parfait obsédé ? Sans doute un peu en tout cas. Et sa mère devait penser la même chose maintenant qu'elle avait prit connaissance des marques que j'avais fais sur le corps de sa fille. Kat parvint à me dérider un tant soit peu, en parlant de notre programme de la journée. Il y avait tant de choses à voir ici, que ce serait dommage de me gâcher le séjour juste parce que je craignais ce que sa mère pouvait penser de moi. Et elle pensait bien quelque chose, comme me le confirma ma petite amie quand nous quittions la maison un peu plus tard. Je rougis et me cachai le visage derrière les mains, mort de honte. Je fis la moue quand elle retira mes mains de mon visage pour me regarder.

Ouais mais je l'aurais pas mal pris si tu m'avais caché ça ... Remarquai-je sans me départir de ma moue assez enfantine. Qui devint alarmée sur la suite de ses propos. Raconter ça à nos enfants ? Certainement pas ! Déjà, on ne leur parlera pas de sexe avant leurs dix ans. Et ensuite ... Ensuite, il a faudra qu'on s'assure qu'ils ne puissent jamais rien entendre de nos ébats. Et qu'ils ne sachent pas que leurs parents sont deux accrocs ! Et puis d'abord, pourquoi on parlait encore enfant ? Je comptais bien profiter à fond de Kat, et la garder rien que pour moi, pendant encore quelques années avant d'avoir des enfants. Même si j'étais gêné, je voulais savoir exactement quelle réaction elle avait eut. La réponse de Kat me fit de nouveau froncer les sourcils. Comment ça si ça se passe bien ? Du genre : hey ma fille, est-ce que ton mec te fait jouir ? Je rougis moi même d'avoir osé dire un truc pareil. Et d'avoir pu imaginer que c'était le genre de question que pourrait lui poser sa mère. Non, ce n'était pas ça ... Pas vrai ? Après cette conversation aussi drôle que gênante, je me laissai guider par elle pour une promenade sur le domaine de ses parents. C'était immense et incroyable. Et elle me guida directement vers une falaise pas très haute donc pas très dangereuse, qui donnait sur l'océan. C'était incroyable là aussi. Mais y'avait-il seulement un endroit qui ne l'était pas, par ici ?

Faire quoi ? M'étonnai-je en reposant le regard sur elle. Je mis un moment avant de comprendre. Oh ... Tu veux dire ... Oui évidemment puisqu'elle ne pensait qu'à ça ! Ok, mauvaise foi. C'était mon cas aussi. La preuve, je venais de comprendre de quoi il était question. C'est bien que, dans le fond, ce genre de pensée était toujours là pour moi aussi. Je lançai un regard circulaire autour de nous pour m'assurer que personne ne nous verrait, puis je m'approchai d'elle. Ok ! Innocemment -ou non- je retirai mon tee shirt que je balançai à terre avant de m'approcher d'elle. J'étais certain qu'elle s'imaginait que je n'oserais pas faire ça ici. Quoi ? Evidemment que je peux pas dire non. Je te signale que tu m'as complètement dévergondé ! Je l'attrapai par la ceinture de son short pour l'attirer fermement à moi et commençai à le lui ouvrir. Je devrais le dire à ta mère ça ! Madame Van Der Statten, votre fille m'a complètement dévergondé ! Avant de la rencontrer j'étais presque puceau. Oui madame. Presque puceau ! Et maintenant regardez ce que je suis devenu. Maintenant je passe mon temps à me demander quand est-ce qu'on va faire l'amour. Quand est-ce que je vais pouvoir planter mes dents dans sa peau ... Je fis glisser son short le long de ses jambes et ramenai mes mains sur ses fesses que j'empoignai avec force, pour plaquer son bassin contre le mien. Et quand enfin arrive le moment, je me fiche du lieu et des gens autour. Je ne pense qu'à son corps qui m'appelle. Et à sa bouche qui me supplie ... Sourire au coin des lèvres, je lui ôtai son haut avant de m'emparer de ses lèvres pour un baiser passionné.


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